samedi 29 octobre 2022

Sylvie et Leslie 5

 Catherine découvre la fessée



Depuis plusieurs années j’étais soumise à la discipline de ma jeune belle-fille. Finalement nous avions trouvé un équilibre, de toute façon  je n'avais pas grand-chose à dire.

Puis mon mari est décédé me laissant ainsi qu'à Leslie un coquet héritage. La période de deuil passée, Leslie me convoqua un matin.

- et bien ma petite Sylvie, le problème des week-ends est réglé mais par contre tes petites fesses n'auront plus de vacances, tu as intérêt à être sage car si jamais ça doit arriver, ce n'est plus pendant 5 jours que tu auras les fesses bien rouges mais 7 jours sur 7.

Elle m'annonça également qu'elle habiterait définitivement à  la maison.

Je baissai la tête et acquiesçai, mes fesses s'étaient serrées instinctivement sous ma culotte. J'étais pourtant habituée à une sévère éducation mais les week-ends avec mon mari me permettait au moins de respirer, même si je le payais souvent le lundi par une mémorable déculottée.

A partir de cette date rien ne changea vraiment. Leslie était d’une remarquable sévérité. Mes fesses étaient soumises à un traitement rigoureux les fessées étaient quasiment journalières et certain jour mon derrière était mis à nu plusieurs fois et bien sûr rougi en conséquence.

Je m’étais grandement améliorée au niveau du rangement et ma tendance à la procrastination avait quasiment disparu. Mais c’était sans compter sans la perversité de mes fesseuses, en effet à part Leslie qui me déculottait à chaque fois qu’elle le jugeait nécessaire, il y avait Mme Dujou ma femme de ménage, Leslie lui avait donné l’autorisation de me punir quand elle le jugeait utile et son caractère naturellement pervers s’exerçait sur ma croupe, elle venait trois fois par semaine à la maison et j’étais sûr à chaque fois que mon derrière allait rougir.

Elle était adepte de la bonne fessée déculottée traditionnelle, avec elle pas de fioriture, je me retrouvais immanquablement couchée en travers de ses genoux comme si j’étais sa grande fille, mes 50 ans étaient vite oublié quand ma jupe retroussée elle m’annonçait.

- et bien madame à encore fait des bêtises et bien on va lui baisser la culotte. On dirait que ça te plaît ma grande de montrer tes fesses à maman Dujou. Allez cul nu, tu vas voir je vais te faire passer l’envie de faire des bêtises.

Malgré mon habitude, ces remontrances quand j’exposais mes fesses encore culottées me faisait rougir comme une gamine et je l’implorais.

- non, Madame pardon pas encore la fessée, s’il vous plaît.

Et quelques instants plus tard je pleurais et gigotais sur les genoux de cette forte femme.



Pour compléter mon éducation je pouvais aussi compter sur Chloé, l'amie de Leslie, celle-ci lui avait également donné la permission de me déculotter Et elle ne s'en privait pas, à chacune de nos rencontres qui heureusement était peu nombreuses je finissais au coin fesses à l'air bien rouges, la culotte baissée et la jupe épinglée dans le dos.



A cinquante ans j'avais désormais une paire de fesses parfaitement entretenues, la fessée régulière les musclaient, elles étaient bien rondes. Quand je les regardaient dans la glace j'en étais assez fière mais malheureusement elles étaient la plupart du temps bien rouges et cuisantes.

J'avais presque 50 ans mais quand j'étais allongée sur leurs genoux fesses à l'air on ne l'aurait pas dit.

Et puis il y avait Catherine, c'était mon amie la plus proche, elle connaissait bien sûr ma situation et elle avait assisté plusieurs fois à une de mes fessées, Leslie et Mme Dujou jugeait que l'humiliation de la fessée cul nu en public ne pouvait que m'améliorer.

Depuis peu, elle était divorcée et nos malheurs réciproques, mon veuvage et sa solitude nous avait encore plus rapprochées. Durant mon adolescence j'avais goûté aux plaisirs saphiques, c'est Catherine qui prit l'initiative, je venais de lui raconter que Mme Dujou m'avait administrée  le matin même une magistrale fessée déculottée.

- oh ma pauvre chérie, tu dois avoir mal à ton petit derrière ? Laisse moi voir ça.

Nous étions si proche que nous n'avions aucune gêne entre nous. Je retroussai ma jupe et descendit ma culotte sous les fesses. J'étais debout, elle était assise sur le canapé et je lui présentais mon fessier encore bien coloré. Elle passa sa main sur mes fesses.

- tu sais ma chérie que tu as vraiment un petit cul ravissant. Je comprends que Leslie et Mme Dujou veulent s'en occuper si souvent. Viens voir un peu là.

Elle m'avait pris la main et doucement elle m'avait attirée contre ses genoux, quelques secondes plus tard j'étais en position disciplinaire. Mais ce n'était pas une fessée qui m'attendait mais des caresses très explicites.



 Catherine écartait mes deux globes jumeaux, ses doigts descendirent jusqu'à ma vulve, déroutée je me laissais faire, elle me fit écarter les cuisses et ses doigts se firent plus insistant, je ne protestais pas, je me mis à gémir de plaisir. En général quand j'étais dans cette tenue et cette position, je gémissais de douleur et j'écartais largement mes fesses et mes cuisses mais c'était pour essayer d'atténuer la cuisson. Pour une fois je ne finissais pas en pleurs. Catherine me fit relever et retroussa sa robe, elle baissa sa culotte pour me présenter sa toison.

- dis moi ma chérie, tu n'as pas oublié quand on était étudiante, tu te rappelles, tu pourrais un peu t'occuper de mon petit abricot.

Je me mis à genoux devant elle et ma langue se mit à la lécher goulûment, je ne me souciais pas de ma tenue, ma culotte était autour de mes genoux, ma jupe courte de gamine était remonté découvrant ma croupe à moitié.

Le retour à la réalité fut brutal, tout occupée à notre plaisir réciproque qui nous faisait oublier le présent un peu morose nous n’avons pas entendu Leslie entrer dans la pièce.

- et bien c’est du joli mesdames !

Je voulu me redresser mais un ordre claqua.

- tu restes là, madame n’est certainement pas satisfaite.

En même temps elle s’était approchée de moi elle appuya sur ma tête pour que je reprenne ma place entre les cuisses de Catherine puis de son autre main elle commença à m’administrer une magistrale fessée, elle avait retroussée ma jupe sur mes reins et rapidement la brûlure de la fessée pris le pas sur le plaisir que j’éprouvais quelques instants auparavant. Puis elle me fit relever.

- va chercher le martinet, vite !!

Les fesses en feu ma culotte entortillée autour des chevilles je me dirigeai vers la cuisine. J’étais honteuse de m’être fait surprendre en train de faire l’amour à Catherine et encore plus humiliée d’avoir reçu cette fessée dans une position pour le moins originale.

Depuis la cuisine me parvenait l’écho d’une fessée, quand je revins dans le salon, Catherine avait pris ma place de gamine punie, elle était couchée en travers des genoux de ma belle-fille, sa culotte en dentelle aux chevilles, elle présentait ses belles et larges fesses à la main sévère de Leslie. Si j’en jugeais par la couleur de sa croupe et ses cris, la fessée était efficace.



 M’apercevant avec le martinet à la main, Leslie me fit signe d’approcher, elle cessa provisoirement la fessée.

- approche et tourne toi !

Elle avait pris le martinet, elle écarta mes fesses rouges et posa le manche au fond de ma raie fessière.

- tu serres les fesses si il tombe gare à toi, mets tes mains sur la tête pendant que je finis de m’occuper de ta copine.

Elle repris la fessée de Catherine là ou elle l’avait laissée et bientôt celle ci se mit à pleurer et à supplier comme une gamine. La fessée cessa rapidement, Catherine redevenue une adolescente punie pour s’être comportée comme une gourgandine fut conduite au coin fermement tenue par l’oreille par notre sévère gouvernante.

- le nez contre le mur ! les mains sur la tête ! et cessez de pleurnicher, gardez vos larmes pour la fessée au martinet !

Elle s’approcha de moi et saisis le martinet coincé entre mes fesses, elle me prit par l’oreille pour me guider vers le fauteuil.

- mets toi à genoux et tends bien tes fesses, monsieur martinet va avoir une petite discussion avec elle.

Il y avait un moment que le martinet n’avait pas servi sur mon pauvre derrière, j’avais oublié comment ça brûlait, je me mis à crier et à supplier immédiatement, mais c’était sans aucun effet sur Leslie qui s’ingéniait à couvrir toute la surface de mes fesses d’une magnifique couleur rouge brique. Les fessées au martinet pouvait durer un temps indéterminé car il n’abîmait pas les fesses, mais la punie en l’occurrence moi se souvenait très longtemps de la punition. Je fus conduite au coin par ma jeune maîtresse tenue bien sûr par l’oreille comme une gamine désobéissante. Bien sûr dès que je fus en position la jupe coincée dans la ceinture et la culotte remontée à mi cuisse,



 Catherine pris ma place sur le fauteuil, elle sanglotait doucement en suppliant Leslie comme une adolescente.

- non s’il vous plaît Mlle Leslie, plus la fessée, non ça brûle, s’il vous plaît. Aïe, Aïe.

Les premiers coups de martinet avaient cinglé le derrière bien tendu de ma compagne d’infortune et des cris déchirants retentirent dans le salon. Pour sa première fessée Catherine était gâtée, après une première déculottée à la main elle goûtait aux brûlures du martinet.

Quelques instants plus tard c’était deux derrières écarlates qui étaient exposés au coin du salon. Leslie nous avait mise chacune dans un coin pour que nous ne puissions pas parler entre nous, elle nous laissa ainsi pendant 1/é2 heure. Elle vaqua à ses occupations nous surveillant du coin de l’oeil, comme une maman sévère. Bien sûr elle appela Chloé pour lui raconter notre exploit et la sanction qui avait suivi.

- bien sûr ma chérie j’ai fait des photos de nos deux effrontées en train de se lécher et je vais également t’envoyer une photo des deux chipies au coin en train d’exposer leurs derrières bien rouges.

Bien sûr nous fûmes mis au courant officiellement par Leslie qu’elle avait des photos très explicites dans son téléphone, c’était une manière de couper toute idée de rébellion de la part de Catherine. Nous étions devant elle, les mains sur la tête, toujours cul nu, exposant notre toison à Leslie qui nous regardait goguenarde.

- alors comme ça mesdames veulent rejouer aux adolescentes dans le dortoir du lycée? Et bien on va vous faire rajeunir mes petites croyez moi ! Catherine à partir de maintenant tu es soumise au même régime que Sylvie. A la moindre incartade c’est la fessée déculottée ! J’espère que je me fais bien comprendre ! Pour ce qui est de tes dessous il n'est plus question que tu portes ce genre de culotte en dentelle. Tu as vu les mignonnes petites culottes de Sylvie et bien c'est les mêmes que je veux voir sur ton derrière. 



Gare à toi si tu désobéi. Nous fûmes enfin autorisées à nous reculotter, nous étions toutes les deux rouges de honte de ce qui venait de nous arriver et nos fesses respectives étaient brûlantes. Catherine pris congé.

Le soir même nous avons beaucoup parlé au téléphone, je la rassurai du mieux que je puisse mais sans lui laisser trop d'espoir d'éviter dorénavant la fessée déculottée. J'étais malgré tout un peu contente de ne plus être là seule à devoir montrer mes fesses nues.

Nous étions amoureuse l'une de l'autre et cela nous aidait à supporter les contraintes éducatives de notre jeune gouvernante, nous nous retrouvions chez Catherine pour nos ébats amoureux.

Par contre, Catherine comme moi au début eut un peu de mal avec les nouvelles règles établies par Leslie.  À peine une semaine après sa première fessée déculottée, alors qu'elle était à la maison et que nous prenions le thé, Leslie rentra à l'improviste, nous étions sage, l'expérience de la semaine précédente nous avait guéri.

Leslie nous fit la bise gentiment, elle passa sa main sur les fesses de Catherine.

- dis moi ma chérie, tu as trouvé des petites culottes en coton comme Sylvie ?

Catherine changea de couleur et baissa la tête en marmonnant quelque chose d'incompréhensible. Leslie lui mit un doigt sous le menton et lui releva la tête.

- pardon, ma chérie j'ai mal compris. J'aimerais bien voir ta culotte ?

Catherine avait les joues rouges, elle ne bougeait pas. Leslie la coinça sous son bras la fit se pencher et lui retroussa d’un geste brusque la jupe. Catherine portait un tanga bien échancré en dentelle jaune.

- à c'est comme ça que tu obéis ! Et bien je vais t'apprendre !!

Sa main claqua immédiatement une dizaine de fois les fesses culottées de Catherine. Sous la brûlure celle-ci trépigna sur place et essaya de se justifier.

- non, non, aïe aïe aïe, pardon Mlle Leslie, je vais vous expliquer

- oh mais il n'y a rien à expliquer ma petite, je t'avais interdit les culottes de dames et qu'est ce que je vois sur ton derrière ? Ah madame veux faire la maligne...tiens, tu la sent la main de Leslie sur tes fesses et bien je peux te dire que ce n'est pas fini.

D'un geste brusque elle déculotta Catherine, la fine lingerie glissa sur les cuisses puis jusqu'aux chevilles sous les mouvements désordonnés de ma pauvre Catherine, car la main de Leslie continuait de claquer les fesses tendues devant ses yeux. Le large fessier était maintenant rouge sur toute sa surface. Elle la relâcha et lui désigna le  coin.

- file au coin et je ne veux plus t'entendre !

Comme Catherine était gênée par sa culotte pour marcher, elle l'arrêta.

- donne moi ta culotte, tu n'en auras plus besoin !

Catherine enleva complètement sa culotte et lui tendit. Une magistrale claque sur le fessier rubicond lui indiqua le coin de la pièce. 



Ce n'était pas le même que celui où j'avais l'habitude de passer de long moment.

Je compris plus tard que Leslie comptait bien nous punir régulièrement et souvent ensemble, il fallait que nous ayons chacune notre coin attitré. Catherine sans qu'on lui demande avait mis ses mains sur la tête, Leslie lui retroussa la robe pour dégager les fesses, elle avait pris une pince à cheveux pour l’agrafer dans le dos de la punie.

J'étais sidérée par le spectacle auquel je venais d'assister, la seule fessée pour laquelle j'avais été spectatrice, c'était quand Leslie nous avait surpris pendant nos ébats, ayant moi même reçu une bonne fessée déculottée, je n'avais pas vraiment regardé la fessée de Catherine ce jour-là, j'étais un peu trop préoccupé par la fessée au martinet qui m'attendait.

Aujourd'hui je venais de voir en détail à quoi ressemblait une fessée cul nu administrée à une adulte, j'avais pu voir ces belles et larges fesses déjà rosées apparaître quand Leslie avait baissé la culotte de Catherine, puis je les avais vue se serrer et s'ouvrir pendant qu'elle  trépignait sur place. J'avais eu un peu de pitié pour elle, car je connaissais la cuisson d'une fessée sur mon derrière nu et puis surtout l'humiliation à 50 ans de recevoir ce châtiment enfantin qui plus est, en public. Mais d'un autre côté j'avais si souvent présenté mes fesses pour une punition que j'étais contente d'y échapper et puis je me suis rendu compte que c'était un peu excitant ce beau fessier qui dansait sous les claques. Le spectacle offert par Catherine dans son coin fesses à l'air les épaules secouée par des petits sanglots était assez charmant.

Bien sûr je m'imaginais également à sa place mais pour le moment j'étais assise tranquillement sur mon fauteuil et mes fesses ne me cuisait pas.

Leslie la laissa au coin fesses à l'air pendant 1/2 heure, je m'aperçus du machiavélisme de ma belle-fille quand je constatai que son coin était aussi visible depuis l'entrée. Elle eu droit comme moi à l'humiliation de présenter ses fesses à la factrice venue livrer un colis. Celle-ci fut un peu surprise en me voyant assise et pas cul nu, il y avait donc quelqu'un d'autre soumis à la stricte discipline de la fessée déculottée dans cette maison.

Quand la pénitence de Catherine fut terminée, Leslie lui permit de remettre sa robe en place et elle lui annonça la suite du programme.

- tu es privée de culotte aujourd'hui et demain, ça t'apprendra à désobéir et puis si jamais j'ai besoin de te claquer les fesses, elles seront tout de suite à ma disposition. Tu vas rester à la maison, comme ça je pourrai te surveiller, tu coucheras dans la chambre de Sylvie et ce soir tu auras droit à la fessée du coucher, Sylvie t'expliquera.

Puis elle nous laissa, j'essayai de consoler mon amie en lui expliquant que moi aussi j'en étais passée par là et que dorénavant il lui faudrait obéir aux consignes de Leslie sous peine de passer de long moment sur ses genoux ou coin fesses à l'air avec les fesses douloureuses. Leslie était sortie, je proposai à Catherine de lui passer une crème apaisante sur les fesses. Ce n'était pas dépourvu d’arrière pensée. Je l'entraînai dans ma chambre et après l'avoir fait allonger sur le lit, je retroussai bien haut sa robe pour mettre à jour son magnifique fessier. Je mis une bonne dose de crème sur ses deux fesses puis doucement je les massai, mes doigts pétrissaient  les deux globes, ils étaient encore un peu rosées de la fessée et légèrement chaud, je me régalais à les écarter pour mettre à jour son petit trou et sa vulve rose. Catherine gémissait doucement.

- c'est mieux que la fessée de Leslie, n'est ce pas ma chérie. Si jamais elle nous surprenait on serait bonne  pour une bonne  déculottée chacune.

J'avais dit ça en riant et en lui tapotant les fesses.

- tu sais que j'adore ton petit cul.... tu as vraiment un derrière magnifique, Leslie a eu raison de te priver de culotte pendant deux jours, je vais pouvoir en profiter....

Catherine protesta,

- oh tu es méchante

mais elle tortillait ses fesses de façon si aguichante que je lui claquai les fesses un peu plus fort.



- allez cache moi ce derrière, sinon tu vas me donner des idées et Leslie risque de rentrer.

Catherine passa donc sa journée cul nu sous sa robe. Elle m'avoua par la suite que c'était très humiliant mais vaguement excitant également. Je lui avais expliqué la fessée du coucher,  c'était une fessée supplémentaire administrée par Leslie juste avant le coucher, je la recevais quand j'avais fait une grosse bêtise dans la journée et que j'avais déjà reçu une bonne fessée déculottée. C'était pour que je dorme avec une paire de fesses bien rouges et que je puisse réfléchir.

Dès la fin du repas Leslie décida que Catherine devait aller au lit et se préparer pour la fessée, elle me dit que je pouvais l'accompagner. Elle se leva en rougissant et fit comme je lui avait expliqué. Je lui avais prêté un pyjama, après un passage à la salle de bain elle alla dans la chambre où je l'attendais. Il y avait des lits jumeaux. Elle se mit à genou sur le petit tabouret prévu pour celà, baissa sa culotte de pyjama à mi cuisses et mis ses mains sur la tête. J'étais assise sur mon lit un peu émue de voir mon amie dans cette position humiliante pour elle mais si suggestive.


Heureusement Leslie ne la fit pas attendre
 longtemps, elle rentra dans la chambre avec une brosse à cheveux à la main. Elle souriait, satisfaite de son autorité sur ces deux dames de cinquante ans qu'elle pouvait déculotter et fesser à sa convenance. Elle s'était assise sur le lit elle prit la main de Catherine et la guida pour se coucher en travers de ses cuisses. Elle caressait le derrière qui avait retrouvé sa virginité.

- ma petite Catherine, j'espère que tu as compris que je ne supporte pas la désobéissance, tu as reçu une bonne fessée cet après midi mais je veux vraiment que tu retienne la leçon, c'est le but de cette fessée du coucher. Tu vas avoir très mal aux fesses cette nuit ma chérie mais c'est nécessaire pour que tu ne recommence plus.

Elle leva la brosse à cheveux et Catherine poussa un cri, c'était la première fois qu'elle goûtait à ce terrible instrument. Mon derrière hélas le connaissait parfaitement, je compatissais à la punition de mon amie. Elle l'avait cependant un peu cherchée, je pensais qu'elle n'était pas prête de recommencer. 



Catherine effectua une magnifique danse des fesses, sa croupe prit une couleur rouge brique assez rapidement. Elle pleurait abondamment et sans aucun souci de pudeur elle nous offrait tout ses trésors secrets. Je les connaissais déjà mais je n'y fus pas indifférente, ma petite culotte était humide quand Leslie cessa la fessée.

Elle garda Catherine un moment sur ses genoux, le temps qu'elle se calme puis elle la fit se relever et telle une maman, elle remonta la culotte de pyjama sur le postérieur brûlant. Catherine fit une petite grimace, le contact du tissu sur sa peau était douloureux.

- maintenant au dodo, je pense que madame va dormir sur le ventre....tu vas penser à moi toute la nuit ma petite. 



Puis elle me regarda en souriant.

- tu deviens sage ma chérie, pas de panpan cucul aujourd'hui. Mais tu ne vas pas laisser Catherine toute seule. Donc toi aussi au dodo, ça te fera du bien à toi aussi.

J'étais soulagée d'avoir évité l'humiliation d'une fessée déculottée Mais je trouvais un injuste d'aller au lit si tôt comme si j'étais punie. Je me gardai bien de protester car comme l'avait dit Leslie mes fesses étaient restées blanches aujourd'hui je n'avais pas envie que ça change. Je me dépêchai d'aller dans la salle de bain et quelques minutes plus tard, j'étais couchée dans le lit voisin de Catherine.

C'était le début de notre vie commune faite de fessées déculottées et de corner time.



 

 

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