lundi 24 octobre 2022

A 70 ans il n'est pas trop tard 3ème jour 3

Sylvie et sa baby-sitter



 Pendant ce temps, dans la maison voisine, c'était l'heure du repas. En s'asseyant, Agnès remarqua que Sylvie faisait une petite grimace. Elle se mit à rire.

- ma petite Sylvie a encore mal à son petit derrière ? On va voir ça. Viens ici !

Sylvie regrettait sa grimace, elle se doutait de ce qui allait arriver. Agnès, comme ce matin, avait posé son pied sur la chaise et saisissant la main de sa nouvelle fille, elle la coucha sur sa cuisse horizontale, les pieds de Sylvie quittèrent le sol, elle se cramponna à la chaise. Immédiatement sa jupe courte fut retroussée et Agnès baissa rapidement la culotte. Ses fesses étaient parfaitement exposées. Elles étaient encore rouges, après la sévère fessée au martinet. Agnès les tapota doucement.



- voilà une jolie paire de fesses, ma petite chérie, elles sont encore bien chaudes. Tu ferais mieux d'être sage cet après-midi si tu ne veux pas que Mlle Ophélie te voies avec un petit derrière bien rouge.

Comme Sylvie était en bonne position, elle ne put s'empêcher de donner quelques tapes sur ses fesses bien exposées. Mais ce n'était pas une vraie fessée, juste des petites claques amicales pour rappeler à Sylvie que ses fesses étaient à la disposition de sa maman Agnès. Puis toujours dans la même position, Agnès lui remonta la culotte comme si elle était une gamine puis l'a finalement remise sur ses pieds.

Devant le regard interrogateur de sa maman, Sylvie savait ce qu'elle avait à faire.

- Oui, je serai sage maman. Merci d'avoir examiné mes fesses.

Agnès était satisfaite, l'éducation de Sylvie progressait rapidement.

Entre-temps, Ophélie avait laissé la boutique à sa collègue plus âgée. Mais pas avant de l'avoir informée fièrement qu'aujourd'hui elle devrait s'occuper de la jolie dame mature, qu'elle avait récemment amenée au glacier. Bien sûr, elle lui avait raconté que quand elle l'avait emmené dans l'arrière-salle, c'était pour regarder les marques sur ses fesses. Ophélie lui avait également raconté la première visite du docteur Bouger dans la boutique et qu'elle avait vu les fesses de cette dame mature se faire fesser par son amie allemande.

La collègue avait souri et avait demandé à  Ophélie si elle ferait plus que s'occuper de la jolie dame. En disant cela, elle balança sa main bien à plat dans un geste clair vers un derrière imaginaire.

Ophélie s'était abstenue de répondre à la question, mais son sourire était une réponse suffisante.

En route vers la maison du docteur Bouger, Ophélie était de bonne humeur. Elle avait vraiment hâte de travailler. Même si elle gardait régulièrement les enfants de parents proches, elle n'avait jamais eu affaire à une fille adulte. Et certainement pas avec quelqu'un de l'âge de Sylvie.

Elle se demandait quels pouvoirs punitifs Mme Agnès lui donnerait. Bien sûr, elle aurait préféré que la canne soit également autorisée. Elle n'en avait jamais utilisé une auparavant. Avec ses jeunes protégés, les choses n'étaient jamais allées au-delà de la cuillère en bois et de la brosse à cheveux. Mais de toute façon elle serait au moins autorisée à utiliser sa main pour punir.

Et être capable de fesser les fesses nues d'une dame âgée, qui était assez connue localement, serait aussi quelque chose de très excitant. Ophélie imaginait déjà les battements de pieds et les fesses qui se serraient de la petite dame, sans parler des gémissements, des hurlements, des supplications; Lorsqu'elle arriva devant la maison, elle dut se détendre un peu. Son cœur battait très fort, après quelques respirations profondes, elle appuya sur la sonnette. Elle pouvait entendre le ding-dong de l'intérieur puis des pas. La porte s'ouvrit et le docteur Bouger se tenait là devant elle, elle n’était pas vêtue d'une blouse de médecin, sa tenue correspondait davantage à l'occasion pour laquelle Ophélie était venue. Ses joues sont immédiatement devenue un rose vif. Ophélie a vu que les yeux étaient rouges. Elle avait visiblement pleuré récemment.

- bienvenue Mademoiselle Ophélie ! Veuillez entrer. Maman Agnès vous attend !

C'était presque un murmure. D'ailleurs, Sylvie ne pouvait pas continuer à regarder Mademoiselle Ophélie. Gênée et intimidée, elle baissa les yeux ! Elle ne savait que trop bien pourquoi Miss Ophélie était là

Bien sûr, Ophélie ne pouvait pas s'adresser comme à une dame à Sylvie qui était habillée comme ça et agissait de manière enfantine.

- bonjour Sylvie, ma chérie. Ça va ?

 En même temps, elle fit un pas vers Sylvie et la força avec son index sous le menton à lever la tête et à la regarder dans les yeux.  Elle s'est cependant abstenue de tout commentaire ou même de gronder Sylvie.

Néanmoins, Sylvie a soufflé,

- désolé, Mlle Ophélie!

Elle était  figée, Ophélie a pris les choses en main, dans le vrai sens du terme, elle a attrapé la main de Sylvie, a fermé la porte d'entrée avec l'autre main et a demandé

- où pouvons nous trouver Madame Agnès, ma petite ?

Bien sûr, Sylvie remarquait à quel point elle se comportait maladroitement, elle a prononcé un autre "désolé".

Mais au moins, elle a pu conduire Ophélie sur la terrasse où Agnès était toujours assise avec son livre.

Agnès reposa le livre et se leva. Ophélie lâcha la main de Sylvie. L’accueil fut chaleureux Agnès fit une bise à Ophélie, Sylvie se tenait debout et regardait en silence.

Agnès voulu savoir ce qu'Ophélie aimerait boire, puis elle envoya Sylvie chercher un verre d'eau pour sa future baby-sitter.

Lorsqu'elle revint avec le verre rempli, Agnès s'apprêtait à raconter que Sylvie n'avait pas été une gentille fille avant et c'est pourquoi elle avait été obligée de la punir avec le martinet.

- oh, alors ses fesses doivent être très douloureuses,

dit Ophélie, il y avait un peu de déception dans sa voix. Agnès comprit immédiatement et sourit.

- ne t'inquiète pas, Ophélie. Sylvie a une bonne paire de fesses. Tu n'as pas à tenir compte de la douleur du martinet si tu dois la punir.

Sylvie se mordit la lèvre inférieure pour ne pas dire un « mais ». Elle posa le verre sur la table devant Ophélie, incapable de prononcer un mot. Les deux ont simplement ignoré le fait que ce qu'elle avait entendu était évidemment très dérangeant et aussi embarrassant pour elle.

Sylvie n'était pas à l’aise, elle ne savait plus quoi faire maintenant. Agnès et Ophélie parlaient d'elle mais semblaient avoir oublié qu'elle était avec elles. Elle n'osait pas non plus demander à Agnès ce qu'elle devait faire ensuite. Alors elle a juste décidé de se tenir là comme une bonne d'autrefois et d'attendre si la maîtresse de maison avait un souhait. Dans leur enfance, ils avaient eu du personnel à la maison. Elle savait donc comment se comporter. Elle fit un pas en arrière, se redressa et posa ses mains sur une couture de pantalon imaginaire. Elle regardait droit devant elle, le menton légèrement relevé. Son expression était indifférente, comme si elle n'entendait pas ce qui se disait.

Mais bien sûr, elle écoutait. Et ce qu'elle entendait était effrayant. Agnès a expliqué en détail a règle de la rémanence. Et il ne faisait aucun doute que puisque Sylvie avait déjà été punie avec le martinet, cette rémanence serait obligatoire ce soir. Et comme Agnès voulait aller au restaurant avec Paola, cette tâche reviendrait à Ophélie.

Par contre Agnès a expliqué que la rémanence était toujours administrée à la main, mais bien sûr, sur les fesses nues même si elles encore douloureuses.



Paola traversa le jardin, elle était déjà habillée.  Agnès fut un peu surprise.

- oh, il est si tard ? Je parle et parle ici et je ne me suis pas encore changée. Je me dépêche, peut-être que tu peux t'occuper d’Ophélie en attendant !

Elle se précipita dans la maison. Sylvie était toujours au garde-à-vous. Paola ne sembla pas la remarquer non plus.

Paola et Ophélie ont discuté de l'avenir d'Ophélie en tant que baby-sitter. Paola réitéra ce qu'Agnès avait laissé entendre plus tôt, à savoir qu'Agnès partirait bientôt et qu'alors elle, Paola, prendrait Sylvie sous son aile. Puis elle a parlé de ses nièces et a souligné qu'elle aurait en charge trois nièces, ce qui nécessiterait certainement l'aide régulière d'une baby-sitter ou peut-être même d'une gouvernante.

Ophélie a immédiatement déclaré qu'elle était intéressée par un tel travail.  Jusqu'à présent, elle n'avait été employée que comme baby-sitter, mais elle se sentait capable d’être une gouvernante.

 Paola lui  a dit qu'elle avait pensé faire de sa jeune nièce Virginie la gouvernante de sa sœur aînée.  Mais  elle réalisait que ce n'était pas bon pour Virginie.  La jeune fille n'avait pas la maturité éducative nécessaire et préférait infliger douleur et humiliation à sa sœur.  C'est pourquoi elle révoquerait la permission de Virginie de punir sa sœur aînée.

 À ces mots, Ophélie fut un peu surprise,  elle se rendait compte que cela pouvait en partie être considéré comme une description de ses propres intentions.  Elle décida donc de cacher son enthousiasme pour la punition et de montrer un certain sérieux.

Il a été convenu qu'à partir de la semaine prochaine, Ophélie agirait comme gouvernante régulière pour les trois filles.  Mais ce soir, elle devrait se concentrer sur Sylvie.

 Agnès est enfin apparue, vêtue d'un élégant tailleur-pantalon lilas et de talons hauts.  Contrairement à d'habitude, elle avait mis du maquillage et des bijoux.

 - Ouah!  

Paola était impressionnée par le charisme féminin d'Agnès.  Sylvie a également jeté un rapide coup d'œil. « je ne serai plus jamais autorisée à ressembler à ça»  pensa-t-elle un peu tristement.  Elle était maintenant une petite fille qui avait besoin d'éducation.  Et les codes vestimentaires étaient différents pour elle.

- bien Ophélie, nous allons y aller maintenant. Je suppose que nous ne serons pas de retour avant 22h au plus tôt ! Cela signifie que Sylvie devrait être au lit à ce moment-là. La lumière doit être éteinte à 21h45. N'oublie pas qu'elle  doit se brosser les dents et aller aux toilettes avant. Et bien sûr, il faut aussi du temps pour la rémanence !

Agnès parlait d'un ton neutre, comme à propos de quelque chose qui allait de soi.

 Ophélie lui répondit sur le même ton .

- oui, comme nous en avons discuté ! Prends ton temps Agnès. Et profite bien de la soirée. Et toi aussi, Paola !

Agnès et Paola l'ont remerciée, Agnès est allée vers Sylvie, l'a prise dans ses bras et lui a dit

- et toi, sois une gentille fille. Ne m'embarrasse pas devant Mlle Ophélie, c’est elle qui sera ta maman pendant les prochaines heures.

Sylvie serra fort maman dans ses bras.  

- je serai gentille Maman Agnès,

elle voulait tenir Agnès dans ses bras.  Elle aurait volontiers demandé à obtenir la rémanence de sa part. Mais elle savait que cela ne ferait que provoquer l'incompréhension et la colère d'Agnès et elle laissa tomber.  De toute façon Mlle Ophélie avait déjà pu admirer ses fesses nues deux fois, par conséquent, l'embarras serait un peu limité.

Agnès se dégagea de l'étreinte de Sylvie puis avec Paola, elles quittèrent la terrasse par le jardin sans dire un mot de plus.

Maintenant elles étaient seules dans la maison, Ophélie se tourna vers sa pupille.

- alors ma petite Sylvie tu as encore été punie aujourd'hui, décidément tes fesses sont souvent rouges en ce moment. Madame Agnès a été sévère?

Sylvie instruite par Agnès savait qu'il lui fallait répondre.

- oui Mlle Ophélie, maman Agnès m’a d’abord donné une fessée sur ses genoux avec la main.

- ah oui, couchée sur ses genoux, une fessée avec la main ? comme une petite fille alors ?

Ophélie se régalait de la gêne de Sylvie d’être obligée d’avouer qu’à 70 ans, Agnès la traitait vraiment comme une gamine. Sylvie était toute rouge.

- oui Mlle…

- et ensuite ?

- maman Agnès m’a donnée la fessée au martinet

- et bien tu as du être très vilaine, ce n’est pas bien, j’espère que tu regrettes ?

- oui Mlle Ophélie, je ne contredirai plus maman Agnès.

- je crois qu’il faut que tu me montres tes fesses ma chérie.

Sylvie poussa un petit cri.

- oh non Mlle.

Ophélie fronça les sourcils.

- pardon, j’ai mal entendu ? tu as l’intention de me désobéir,  tu as entendu ta maman, si tu es vilaine, je dois te donner la fessée. Tu veux la fessée tout de suite ?

- non, non Mlle Ophélie, pardon, pardon.

Ophélie se mit à rire.

- c’est drôle comme la menace d’une bonne fessée fait des miracles.

Sylvie s’était tournée et commençait à retrousser sa jupe, elle commençait à être habituée à ce nouveau rituel qui la forçait régulièrement dans la journée à présenter ses fesses nues. Mais Ophélie l’arrêta.

- non, non ma petite chérie, comme tu as protesté, tu vas venir sur mes genoux, je n’aime pas les petites capricieuses.

Sylvie baissa la tête, elle se faisait vraiment traiter comme une enfant par cette jeune femme qui aurait pût être sa petite fille. Elle s’approcha d’Ophélie qui était déjà assise sur une chaise, elle se laissa coucher sans protester en travers de ses cuisses. La jeune baby-sitter était ravie, elle avait maintenant devant ses yeux les larges fesses de Sylvie tendues vers elle, la jupe s’était un peu relevée découvrant le haut des cuisse, elle apercevait la culotte à petite fleur que Mme Agnès avait trouvée si mignonne.

Elle n’avait pas de raison de punir sévèrement Sylvie mais la mettre dans cette position prête pour la fessée était déjà un grand pas de fait pour assurer son autorité. Elle retroussa sur les reins la courte jupette, la culotte était un peu étroite pour le beau fessier de Sylvie, elle rentrait dans la raie découvrant à moitié les fesses. Madame Agnès a raison tu as une belle paire de fesses qui peut recevoir beaucoup de fessées. Elle tapotait la culotte. Les traces de la sévère fessée étaient encore visible y compris sur le haut des cuisses, mais Ophélie n’allait pas se contenter de cette vue partielle du fessier de Sylvie, elle glissa ses doigts dans la culotte et la fit glisser sur les belles fesses de sa pupille. Elle voulait avoir une vue d’ensemble donc elle ne se contenta pas de descendre la culotte juste sous les fesses comme le faisait maman Agnès pour une petite remontrance, elle baissa la culotte jusqu’aux genoux.

C’était vraiment très humiliant pour Sylvie, bien sûr depuis 3 jours elle avait l’habitude de montrer ses fesses nues mais Ophélie était très jeune et maman Agnès lui avait donné l’autorisation de la punir si c’était nécessaire. Sylvie serrait les fesses dans l’attente de la première claque. Mais au lieu d’une claque ce fut une caresse.



- tu mérites une petite fessée pour ton caprice ma petite Sylvie et tu vas l’avoir. Ophélie tiens toujours ses promesses. Mais avant je veux examiner en détail ton derrière pour savoir si je peux te corriger sévèrement si tu n’es pas sage ce soir.

Pour la deuxième fois de la journée après Virginie, Sylvie dût subir l’examen humiliant de son intimité, les doigts expert de la jeune femme glissaient entre ses fesses et même ses cuisses. Heureusement pensa Sylvie elle n’a pas de thermomètre.

- maman Agnès à vraiment raison tes fesses sont en parfait état, elles peuvent recevoir de nombreuses fessées dans la même journée si c’est nécessaire. En attendant tu vas goûter à la main de Mlle Ophélie.

La baby-sitter leva la main et se mis en devoir de redonner une jolie couleur rouge aux deux fesses bien rondes de Sylvie. La mamie se mit à gémir un peu et tortilla ses fesses comme une petite fille qui reçoit une fessée.



 Ophélie la fit se relever, sa jupe était retombée mais on voyait encore sa culotte entourant ses genoux, la perverse baby-sitter se dit qu’elle pourrait encore profiter du spectacle des fesses de sa pupille. Elle l’a pris par l’oreille.

- après la fessée que fais maman Agnès?

Sylvie pleurnichait, elle n’était plus le médecin en retraite qu’avait connu Ophélie, c'était une gamine fessée par sa baby-sitter pour avoir fait un caprice. Mais il fallait qu’elle réponde.

- je vais au coin….

- et bien que fais tu là ?

Elle montrait le coin à Sylvie, celle-ci se dirigea à petit pas un peu gênée par sa culotte, dès qu’elle fut contre  le mur elle retroussa sa jupe et la tint relevée avec ses mains croisées dans le dos.

Ophélie était ravie, le spectacle était ravissant, les fesses rouges de Sylvie encadrée par la culotte blanche et la jupe comme un rideau de théâtre. 



La punie avait posé son nez contre le mur sans qu’Ophélie lui demande. Elle la laissa ainsi pendant 10’.

Elle lui avait remonté elle même la culotte comme si elle était là maman. Il était l'heure du repas, Sylvie essaya de manger mais elle connaissait la suite et elle n'avait pas trop faim. Ophélie discuta un peu avec Sylvie comme si de rien n'était.

- bien ma petite chérie, il est l'heure de se préparer pour aller au lit, tu sais que tu dois être au lit à 9h30 et nous avons un peu de travail avant n'est-ce pas ?

Elle avait dit ça en riant.

Sylvie se dirigea vers la salle de bain pour se préparer, Ophélie ajouta pour bien montrer à la dame qu'elle était redevenue une gamine.

- n'oublie pas d'aller faire pipi ma chérie.

Ophélie appréciait vraiment ce travail, elle pensa avec ravissement que quand elle serait gouvernante, c'est tous les jours qu'elle aurait les fesses de Sylvie à sa disposition et en plus certainement celle de Laetitia et Virginie.

Elle attendit assez longtemps elle se doutait que Sylvie devait déjà être en position et en tenue pour sa rémanence, l'attente faisait partie de la punition.

Quand elle rentra dans la chambre, Sylvie en jeune fille obéissante se tenait au pied de son lit, elle avait baissé sa culotte de pyjama et mis ses mains sur la tête.

- c'est très bien ma petite Sylvie, je suis contente de toi.

Elle s'assit sur le lit puis tapota ses cuisses, pour Sylvie c'était l'heure de la dernière fessée de la journée. Ces fesses étaient restées rouges et douloureuse depuis ce matin.

Maintenant elle était couchée en position disciplinaire.

- allez ma chérie, il est temps de me raconter pourquoi tu reçois cette fessée, plus tôt tu auras fini plus tôt la fessée sera terminée.

Ophélie avait bien compris les consignes de maman Agnès. Elle commença à claquer doucement les deux belles fesses étalées devant elle, elle espaçait bien les claques, les répartissant  sur toute la surface. Pendant ce temps en essayant de ne pas pleurer Sylvie lui racontait qu'elle n'avait pas voulu être gardée par une baby-sitter et que maman Agnès l'avait punie très sévèrement. Les claques d'Ophélie devenait de plus en plus forte, Sylvie pleurait maintenant autant de douleur que d'humiliation, surtout que la jeune femme l'obligeait souvent à recommencer pour donner une précision sur sa punition. 



Les fesses étaient d'un rouge profond, elles s'ouvraient et se serraient au rythme de la fessée. Ophélie aurait voulu que ça ne s'arrête pas,  mais toutes les bonnes choses ont une fin.

Elle posa sa main sur les fesses de Sylvie, elles étaient brûlantes.

- je crois que tu vas bien dormir ma chérie.

Elle remonta la culotte du pyjama sur le derrière écarlate.

- au dodo et je ne veux plus t'entendre.

Sylvie se glissa sous les draps avec une grimace, elle voulut se mettre sur le ventre mais Ophélie la rappela à l'ordre.

- non, non ma petite Sylvie, tu dois rester sur le dos, je veux que tu sentes bien ta fessée pour que tu ne recommences pas demain.

Elle éteignit la lumière, il était 9h25. Elle ne ferma pas complètement la porte pour pouvoir venir surveiller discrètement sa pupille.

Ophélie est allée dans la cuisine, elle pris un verre de lait et est ensuite retournée avec dans le salon.  Elle laissa la porte ouverte et s'assit sur le canapé de manière à pouvoir simultanément regarder la télévision et regarder la porte de la chambre, qui était entrouverte

Des sanglots silencieux provenaient de la chambre  Quand elle alluma la télévision à l'aide de la télécommande, celle-ci couvrit les lamentations discrètes de Sylvie.

 C'était le jeu-questionnaire préféré d'Ophélie.  Pendant longtemps, elle avait été fascinée par la grande maîtresse du quiz, puissamment bâtie, à la voix rauque et profonde.  Dans une certaine mesure, elle était une sorte de modèle pour Ophélie, car elle traitait les candidats de manière très stricte, souvent presque désobligeante. Surtout quand un candidat échouait et était exclu des tours suivants.  Malheureusement, Mme Granada n'était pas été en mesure de traiter avec la candidate qui venait d'être exclue comme l'aurait souhaité Ophélie et comme elle soupçonnait que la maîtresse du quiz aurait également aimé le faire.  Mais au moins, elle les grondaient et elles devaient se tenir côte à côte et regarder jusqu'à la fin du quiz. Ophélie, bien sûr, aurait préféré que Mme Granada mette la candidate qui venait d'être exclue sur ses genoux pour une fessée déculottée et qu'ensuite elle se tienne le nez contre le mur, mains sur la tête et bien sûr un derrière  rouge bien visible pour le public du studio et les spectateurs à l'extérieur.



Ophélie ignorait toujours les questions et réponses car elle ne fantasmait pas sur le rôle d'une candidate.  Son rôle préféré était toujours celui de Mme Granada, ou du moins de sa jeune assistante.

Le quiz comptait dix candidats à chaque fois qu'il était diffusé chaque semaine.  Ils devaient toujours répondre à sept questions à choix multiples.  Dans chaque cas, les réponses étaient de A à D.

Celui qui avait le moins de bonnes réponses était sorti et devait se lever et regarder ce qui se passait.  Il arrivait aussi que plusieurs candidats aient le même petit nombre de bonnes réponses.  Quand c'est arrivé, ils étaient tous sortis. Ophélie aimait ces moments car elle imaginait les deux ou trois perdantes debout l'une à côté de l'autre, les mains sur la tête et l'assistante découvrant leurs fesses.  Bien sûr, pour le plus grand plaisir du public du studio, qui ne lésinait sur les moqueries.

Puis la première était conduite par l'assistante vers Mme Granada qui, entre-temps, s'était assise sur une chaise solide à dossier haut et droit.

Dans son imagination, Ophélie avait appelé ce meuble "Trône de Maîtresse de Quiz".

Ensuite  la candidate était allongée  sur les genoux de Mme Granada qui fessait les fesses plus ou moins dodues, mais toujours nues et avec toujours beaucoup d'énergie.

Avec chaque candidate éliminée, Ophélie avait toujours une idée précise de la façon dont elle se comporterait couchée sur les genoux.  Lorsque les premiers cris "aïe" retentiraient ou que les coups de pied ne pouvaient plus être évités, etc. Et bien sûr, enfin, les larmes et les cris déchirants.



Malheureusement, Agnès et Paola rentrèrent au moment où une dame était sortie, qui rappelait beaucoup Sylvie à Ophélie.  Bien qu'elle soit évidemment plus jeune que sa pupille, ses cheveux étaient presque complètement blancs et son physique était tout aussi délicat.  Et elle a très bien rougi quand Mme Granada lui a demandé comment elle avait eu l'audace de postuler dans l'émission alors qu'elle était si ignorante.

Ophélie a dû reporter son fantasme de la façon dont cette dame réagirait sous la main sévère et claquante de la Maîtresse du Quiz.

Elle éteignit la télé et raconta à Agnès que Sylvie avait été très gentille et obéissante et que la rémanence s'était déroulée sans problème.

Agnès était très satisfaite, elles ont convenu qu'après le départ d'Agnès, Ophélie devrait régulièrement relever Paola de ses fonctions éducatives.  Bien sûr non seulement par rapport à Sylvie mais également avec deux nièces de Paola. Agnès invita également Ophélie à la fête d'adieu prévue.

 Finalement, Ophélie reçu son argent et quitta la maison.  Paola rentra chez elle s'occuper de ses nièces.

 Agnès regarda à nouveau brièvement dans la chambre de Sylvie.  La lumière qui venait du couloir suffisait à voir que sa grande petite fille dormait.  Ses bras étaient sur les couvertures. Agnès ne s'attendait à rien d'autre, frotter ses fesses était interdit, Sylvie apprenait vite.

  Elle ferma la porte avec un sourire puis alla se coucher.

4 commentaires:

  1. merci Caroline. Un compliment d'une experte en fessée déculottée comme vous l'êtes me va droit au cœur. Ce récit aura sans doute une suite puisque nous y travaillons actuellement avec Agnès.
    Sylvie

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  2. Merci encore une fois Sylvie pour ce beau récit !

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  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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