samedi 22 octobre 2022

A 70 ans il n'est pas trop tard 3ème jour 2

 Thermomètre et fessée 




Virginie faisait son travail avec beaucoup de soin, mais aussi avec la plus grande douceur possible.

Elle avait déposé une petite noisette de crème sur chacune des fesses tendues devant elle. Elle commença à faire pénétrer la crème. Elle était fascinée par ce large fessier d'une dame mûre mais qui était aussi rouge que celui d'une gamine après une bonne fessée par sa maman. Elle s'arrêta, une idée un peu perverse venait de lui traverser l'esprit, elle se tourna vers Agnès. 

- madame Agnès, ce serait plus pratique pour moi et plus confortable pour Sylvie si elle était couchée sur mes genoux. 

Agnès leva les yeux de son livre, elle regarda la jeune fille en souriant. 

- si tu penses que c'est mieux, vas y, c'est vrai que tu auras les fesses de Sylvie bien en vue. N'hésite pas à bien lui masser les fesses à notre petite chipie, il faut qu'elle ait les fesses en bon état si jamais Ophélie doit la punir. Les lanières glisse quelques fois entre les fesses et les cuisses, il faut que tu t'en occupe également. 

Virginie était ravie, certes on ne lui avait pas encore donner l'autorisation de corriger Sylvie comme si elle était une gamine mais elle allait pouvoir la mettre en position comme pour recevoir la fessée. Elle prit la main de Sylvie et l'aida à se relever. 

- tu vas venir t'installer sur mes genoux, tu vas voir on sera mieux toutes les deux. 

Sylvie ne pleurait plus, elle gémissait doucement, la brûlure qui envahissait ses fesses après la double fessée déculottée manuelle puis au martinet lui faisait oublier la honte d'être encore fesses nues devant cette très jeune fille. 

Virginie s'était assise, elle tapotait ses genoux. 

- allez ma petite chérie, en position, tu vas voir comme Virginie va bien  s'occuper de ton petit derrière.

Sylvie réalisa qu'elle allait se retrouver en position disciplinaire, fesses à l'air sur les genoux d'une gamine de 16 ans. Elle jeta un regard désespéré vers sa nouvelle maman, Agnès lui rendit son sourire. 

- tu devrais te dépêcher ma chérie, Virginie est vraiment gentille de bien vouloir s'occuper de ton petit derrière. Tu n'as pas l'intention de discuter, n'est-ce pas?

Sylvie se précipita sur les genoux de Virginie, elle se doutait qu'Agnès ne se contenterait pas de quelques claques si elle devait lui faire une remontrance, le martinet était toujours posé sur la table. Une fois couchée sur les genoux de sa très jeune cousine, elle abandonna toute résistance et toute pudeur. 



Virginie profitait de la situation, pour le moment elle n'avait pas encore le droit de déculotter et de fesser Sylvie mais elle avait ses fesses à sa disposition. Elle remis un peu plus de crème et la fit pénétrer lentement. Puis comme lui avait conseillé Agnès, elle  écarta les fesses de Sylvie, elles étaient brûlantes, c'était très agréable, la nouvelle petite fille voulu empêcher ce petit viol de son intimité en resserrant ses fesses, Virginie lui tapota gentiment le derrière. 

- laisse toi faire, tu as entendu ta maman  il faut bien soigner ton petit popotin. 

Agnès jetait un oeil par dessus ses lunettes, décidément cette petite avait des qualités. Maintenant Sylvie se laissait faire, les doigts expert de Virginie avait largement écarté les deux globes et la petite rondelle brune apparaissait au milieu du sillon fessier, elle y glissa un doigt. Sylvie était morte de honte mais elle n'osait pas protester. Agnès prit la parole. 

- dis moi, Virginie tu ne voudrais quand même pas prendre la température à notre petite chipie ?

Virginie rougit, Agnès l'avait surprise dans sa petite manoeuvre perverse,  c'est vrai qu'elle adorait voir sa tante prendre la température à Laetitia quand elle était malade, quand c'était son tour elle était humiliée mais elle ressentait également un certain plaisir. 

- remarque tu as raison, notre petite Sylvie a vraiment chaud aux fesses, on pourrait vérifier si elle n'a pas de la fièvre. 

Sylvie se mit à gémir mais elle savait qu'elle n'avait pas le droit de protester. Agnès s'était levée. Quelques instants plus tard elle revenait avec un thermomètre médical en verre. Elle le tendit à la jeune fille. 

- tiens, je suppose que tu sais comment faire?

- oui madame Agnès, tatie Paola nous prends toujours la température dans les fesses, elle trouve que c'est mieux. 

Elle mit un peu de crème sur l'embout du thermomètre et le posa sur le petit trou de Sylvie. C'était trop difficile à accepter pour la pauvre punie aux fesses écarlates. Elle serra à nouveau ses deux globes jumeaux. Cette fois-ci Virginie lui administra deux claques sur chaque fesses. 

- je t'ai dit d'écarter les fesses ma chérie !

Agnès surveillait les deux cousines , elle intervint. 

- Sylvie ! Je te conseille de te laisser faire. Monsieur Martinet est sur la table !!

La menace était réelle, Sylvie relâcha ses fesses. Maintenant l'instrument médical, pénétrait lentement. Virginie était fascinée, une petite humidité gagnait son entrejambe, elle essaya de cacher son excitation. Elle fit pénétrer profondément le thermomètre puis relâcha les fesses. Maintenant seul un petit bout de verre dépassait au milieu des fesses écarlates. 



Virginie regarda Agnès qui souriait. Elle n'y avait pas pensé mais ce petit épisode était parfait pour confirmer Sylvie dans son nouveau statut de gamine. 

- combien de temps dois-je le laisser en place madame Agnès ?

Virginie espérait garder un moment Sylvie sur ses genoux en train de lui exposer ses fesses. 

- je pense que 5' seront suffisantes ma chérie. Aujourd'hui ce n'est pas une punition. Quand je prends la température à une vilaine fille pour la punir, je peux quelques fois lui laisser 30', et dans ce cas là, je n'utilise pas un thermomètre aussi fin.

Agnès avait dit ça très calmement, Virginie en resta bouche bée. Ainsi on pouvait rester 30', fesses à l'air avec un thermomètre planté au milieu. Sylvie aussi avait entendu, elle se promis de tout faire pour éviter pareille humiliation. Les 5' lui parurent bien longues, surtout que Paola arriva avant la fin de sa pénitence. Elle se mit à rire devant le charmant tableau. 

- que c'est mignon ! Vraiment c'est ravissant ! 

Les joues de Sylvie étaient aussi rouges que ses fesses mais personne ne le voyait, c'était sa croupe qui était le centre des conversations. Agnès s'adressa à Virginie.

- cela suffit maintenant.  Tu peux retirer le thermomètre de notre petite chipie  Vérifie quand même la température, mais je suis sûr que la température est normal, elle n’a pas l’air d’avoir de la fièvre.  Si tout va bien, tu la conduit au coin pour que son petit derrière puisse finir de refroidir.

Virginie n'avait pas besoin qu'on le lui dise deux fois. Dès qu'elle eut vérifié la température, elle fit relever Sylvie, elle lui prit la main et comme elle l'avait fait avec sa soeur la veille elle se mit à lui claquer les fesses pour la faire avancer et traverser la pièce, elle chantonnait sa petite comptine pour accompagner la danse de Sylvie qui pleurnichait comme une petite fille. Bien sûr, comme elle l'avait fait avec sa soeur, elle lui retira complètement sa culotte qui entourait ses chevilles et la posa sur la table. 

Paola interrogea Agnès sur les raisons de la punition de Sylvie. Celle-ci lui expliqua que Sylvie avait fait un caprice car elle ne voulait pas être gardée par Ophélie ce soir. Paola regarda en souriant les fesses bien rouges et cuisantes de Sylvie. 

- je pense que notre petite chérie a bien compris la leçon.

Agnès lui rendit son sourire. 

- je le pense également. Ma mère disait que les fesses entendent mieux que les oreilles. 

Les deux amies se mirent à rire. Virginie qui était toujours là, serra ses fesses encore chaudes sous sa culotte, c'était un précepte exact mais qui risquait d'être douloureux pour son fessier également. 

Les dames renvoyèrent Virginie dans la maison de Paola et s'assirent à l'ombre.  Il commençait à faire chaud.  Paola regarda Sylvie puis recommanda à la punie de se mettre aussi à l'ombre. Agnès lui indiqua le tronc épais du grand cèdre qui fournissait une ombre suffisante.  Il ne fut pas nécessaire de lui expliquer qu'elle devait se tenir le nez contre le cèdre, ses mains étaient  restées sur sa tête.

- Je prends toujours la température de mes nièces par voie rectale. Elles détestent ça comme la peste. J'ai dû leur donner une fessée plusieurs fois au début avant qu'elles arrêtent de se tortiller et de se débattre.

Elle sourit soudain.  

- pendant qu'on parle de 'rectal'. Tu connais ce truc à propos du gingembre ?"

Agnès se mit à rire.  

- tu veux dire figging, sans doute

Paola rougit un peu.  

- oui, je pense que c'est comme ça que ça s'appelle. Mais plus probablement dans les cercles pervers, non ?

Agnès hocha la tête.  

- bien sûr que non,  pour être honnête, je l'utilise comme punition à l'occasion. Et je dois dire que cela a un effet très convaincant. Mais il est vraiment important de l’empêcher de sortir tout seul, en fait  Je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui n’a pas essayé après quelques minutes de l’expulser, même si bien sûr je l'avais strictement interdit.

Paola la regarda d'un air interrogateur.  

- est-ce si inconfortable ?

- je pense que oui,

 répondit Agnès, ajoutant pensivement, 

- je pense que cela crée une envie irrépressible de retirer ce suppositoire brûlant de son petit derrière 



Paola sourit.  

- tu penses que ça pourrait être utile pour mes nièces, Agnès ?  Elle regardait le derrière rouge de Sylvie, sous-entendant qu'il s'agissait aussi de sa future nièce.

- oui, je pense que ce serait certainement  un enrichissement pour nos méthodes de punition.

Agnès attrapa précipitamment son smartphone.  

- mon dieu, il faut absolument que j'appelle Ophélie pour voir si elle est prête à s'occuper de Sylvie ce soir quand on ira au restaurant.

Les yeux de Paola étaient toujours concentrés sur les fesses écarlates de Sylvie.  

- tu peux lui dire qu'elle aura certainement affaire à une super gentille fille ce soir

Agnès avait déjà enregistré le numéro d'Ophélie chez le marchand de glaces.  La numérotation fut donc facile.

- bonjour ! Ici Agnès ! Nous nous sommes rencontrés dans votre boutique de glaces l'autre jour. Vous vous souvenez peut-être que j'ai dû fesser le Dr Bouger là-bas. Nous avions également parlé de baby-sitting !

Elle acquiesça.  

- oui, Sylvie me l'a dit.

Puis elle secoua la tête.  

- non, c'était ok. C'était un joli tableau, n'est-ce pas ? Mais ce n'est pas pour ça que j'appelle. J'aurais besoin d'une baby-sitter pour Sylvie ce soir car ma voisine et moi voulons aller au restaurant !

Elle écouta et regarda Paola, celle-ci était très intéressée.

- Ah, c'est bien ! 18h00 ça va ? Merveilleux ! Paola, ma voisine qui était aussi chez le glacier, vous fais dire que Sylvie sera très gentille ce soir.

Agnès fit un signe de tête à Paola.

- pourquoi ? et bien, on regarde actuellement un fessier bien rond bien rouge. Oui, j'ai dû le soigner un peu avec un martinet. On a eu un petit désaccord, mais on a pu l'éclaircir rapidement de cette façon.

Agnès riait joyeusement.

- Ok ! Alors on se verra à six heures ! Au revoir ! 

 Agnès posa le smartphone sur la table.

- vas tu accorder à Ophélie le droit de punir Sylvie ? 

Paola voulait savoir.

- oui, bien sûr ! Sinon, comment est-elle censée faire du baby-sitting;

 Agnès éclata de rire, mais qu'à quelques mètres de là, une septuagénaire se mordait la lèvre pour ne pas dire un "mais". Heureusement, sa maman et sa tante ne l'ont pas vu.  Parce qu’un « mais »  auraient certainement été compris comme une protestation.

Dans de tels moments elle réalisait que maman Agnès était désormais responsable de son éducation et qu'elle décidait et faisait toujours tout pour son propre bien, peu importe à quel point cela était ou serait embarrassant ou douloureux, de toute façon la rencontre avec Mlle Ophélie n'était plus vraiment gênante maintenant qu'elle avait pu admirer deux fois ses fesses rougies.

Finalement Sylvie a été libérée de son temps de coin devant le cèdre.  Elle a même été autorisée à remettre sa culotte.  Elle a remercié Agnès pour cela et aussi pour la fessée avec le martinet.  Elle a même osé ajouter que c'était bien mérité et qu'elle voulait faire mieux et essayer de ne plus contredire sa maman 

Ensuite elle est allée à l'intérieur pour finir de ranger la maison. Paola a également dit au revoir et est retournée chez elle.  Agnès reprit son livre, se pencha en arrière et chercha l'endroit où elle s'était arrêtée de lire.

Paola était rentrée chez elle, Virginie avait décidé que Laetitia devait rester au coin, sa grande soeur était donc le nez contre le mur, elle n’avait plus de culotte, celle ci était pliée sur la table. La couleur des fesses de Laetitia ne laissait guère de doute, Virginie avait du lui administrer une bonne fessée.

Paola avait dit à sa jeune nièce qu’elle ne lui demanderait jamais pourquoi elle avait puni sa grande soeur mais le sourire satisfait de Virginie l’agaçait un peu. Elle décida qu’il était temps de remettre cette demoiselle à sa place. Elle lui adressa un sourire et lui dit

- dis moi ma chérie, je te trouve un peu pâle, je crois qu’Agnès a eu raison de prendre la température à Sylvie, je pense qu’on va prendre la tienne pour vérifier que tu n’es pas malade.

L’évocation du figging avec Agnès l’avait passablement excitée, c’était Virginie qui allait en payer les conséquences. Elle avait prévu d’aller le plus vite possible acheter du gingembre et de tailler deux suppositoires pour ses deux chipies de nièce. Elle songea avec gourmandise aux larges fesses de Sylvie. Que ça serait agréable d’écarter les fesses d’une dame d’âge mur et de lui introduire ce suppositoire brûlant.

Virginie n’était pas ravie du tout mais elle savait qu’il lui fallait obéir sans discuter à sa tante, elle était revenue de la salle de bain tenant le thermomètre médical à la main. Il était identique à celui qu’elle avait utilisé pour Sylvie. Elle songea à ce que lui avait dit Agnès, elle utilisait des thermomètres beaucoup plus gros pour punir les vilaines filles. Pourvu que sa tante n’ait pas l’idée d’en acheter un.

Paola prit le thermomètre et le posa sur la table, puis elle fit signe à Virginie, celle-ci connaissait malheureusement la suite. Elle devait se coucher sur les genoux de sa tante comme pour recevoir une fessée? C’était beaucoup moins douloureux mais beaucoup plus humiliant. Une fois qu’elle fut en position, la tête presque au sol, les fesses bien présentées, Paola lui retroussa la jupe haut sur les reins. Virginie portait une culotte de gamine en coton avec des petites fleurs, tatie Paola interdisait à ses deux nièces de porter des culottes sexy. Un fois Laetitia en avait acheté une, elle avait reçu une magistrale fessée et avait fini la journée fesses à l’air, la jupe épinglée dans le dos, la culotte en dentelle avait fini à la poubelle.

La petite culotte de Virginie était maintenant descendue aux genoux, elle ne pouvait pas s’empêcher de serrer ses fesses. Deux bonnes claques appliquées sur chaque fesses eurent vite fait de détendre son fessier.

- tu as intérêt à écarter tes fesses ma petite chérie, tu sais que je déteste quand tu refuse de me laisser faire.

Virginie était résignée cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas subi ce traitement humiliant, elle écarta ses jambes et relâcha ses fesses. Paola se régalait devant le spectacle des petites fesses bien rondes de Virginie, elle les palpa et les écarta largement pour mettre à jour l’anus. En levant les yeux elle avait bien en vue les deux fesses écarlates de Laetitia. Elle mit un peu de vaseline sur l’embout en verre du thermomètre et elle le posa sur la petite rondelle brune, elle savait que ses nièces détestaient ce moment, elle souriait en attendant la réaction de Virginie. Elle l’enfonça un peu puis le retira, Virginie essayait de ne pas réagir mais comme Paola l’introduisait une troisième fois, elle ne put s’empêcher de serrer ses fesses. Paola posa calmement le thermomètre sur la table et administra immédiatement une cinquantaine de claques sur les fesses rebondies de la jeune fille.



- je t’avais pourtant prévenue, décidément il n’y a que la fessée pour vous faire obéir !!

Virginie tortilla ses fesses sous la brûlure des claque et cria un peu mais rapidement elle écarta à nouveau largement ses cuisses et desserra ses fesses.

Paola savait que cette petite fessée serait suffisante, le derrière de Virginie était un peu coloré maintenant. Le thermomètre n’eut aucun mal à pénétrer. 



Normalement elle introduisait le thermomètre à peu près à moitié mais elle décida de punir un peu plus sévèrement sa nièce perverse,  elle fit donc pénétrer le thermomètre très profondément, lorsqu'elle relâcha les fesses, il ne dépassait qu'un tout petit morceau de verre au milieu des deux fesses rouges serrées. Paola caressa les fesses de Virginie.

- Et voilà ma chérie, il est en place, tu vas le garder un petit moment, ça te fera le plus grand bien.

Elle était confortablement assise sur son canapé, elle avait sous la main le petit derrière de Virginie et Laetitia lui exposait ses fesses bien rouges dans un coin de la pièce. Elle prit la télécommande du téléviseur et regarda un documentaire. Virginie trouvait le temps long, de temps en temps Paola tournait un peu le thermomètre et le faisait coulisser. Elle est restée comme ça pendant 30', Laetitia était toujours dans le coin les fesses en l'air.



Paola a finalement libéré ses deux nièces. Virginie avait les joues rouges de l'humiliation subie, Laetitia leva timidement la main, regardant sa tante.

- puis-je remettre ma culotte.

Paola regarda la petite culotte blanche pliée sur la table. Elle se mit à rire.

- Bien sûr ma petite chérie, tu ne vas pas rester cul nu toute la journée. Tu peux cacher tes petites fesses.

Laetitia soulagée remercia sa tante, Virginie fit une petite grimace, elle avait prévu que sa soeur serait privée de culotte toute la journée.

1 commentaire:

  1. J'aime beaucoup les séquences d'introduction du thermomètre et exibition entre les fesses ...très humiliant ce retour en enfance...très erotique aussi merci

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