jeudi 20 octobre 2022

A 70 ans il n'est pas trop tard 3ème jour 1

 La troisième partie du récit écrit à deux mains avec mon amie Agnès. La version en anglais est publiée sur son site. Je vous propose donc la version adaptée en français. Il sera publié en plusieurs chapitre, voici le premier. 

Sylvie et le martinet 




C'était devenu une habitude, quand Agnès entrait dans la cuisine, la table était déjà mise. Et pour preuve de son obéissance, Sylvie se tenait près de la table avec son pantalon de pyjama baissé. Sylvie était sûre que maman Agnès voudrait inspecter ses fesses comme elle l'avait fait la veille. Et comme  les deux derniers jours elle présentait ses fesses nues et elle avait posé docilement ses mains sur sa tête.

Agnès sourit en voyant cela. 

- bonjour, Sylvie

- bonjour maman Agnès,

Sylvie  avait répondu respectueusement, Agnès sourit et s'approcha de sa grande fille, elle tira une chaise et posa son pied gauche dessus. Bien que Sylvie n'ait jamais été couchée de cette façon sur le genou d'Agnès, elle compris tout de suite ce que sa maman attendait d'elle. Elle connaissait cette position depuis son enfance. A cette époque, elle s'était souvent retrouvée ainsi couchée  sur un genoux de sa grand-mère.

Sylvie ne put pas se contenter de se coucher dessus. Agnès dut la soulever pour la mettre en bonne position afin que Sylvie ne glisse pas.

Le résultat était parfait, les fesses nues de Sylvie étaient maintenant parfaitement présentées. La main gauche d'Agnès saisit le haut du pyjama pour bien le retrousser. Avec l'autre elle caressa tranquillement les fesses tendues.



- tu vois! Ton derrière n'est plus chaud du tout. Et les traces de la canne ont presque disparu. Tu as vraiment une bonne paire de fesses , elles peuvent en prendre beaucoup, il me semble !

Elle était manifestement ravie.

- ma petite Sylvie réussira-t-elle à ne pas être fessée aujourd'hui ? Ni avec la main, ni avec la brosse à cheveux, ni avec la cuillère de cuisine, ni avec le Martinet et ni avec la jolie canne non plus ?

Sous sa main caressante, elle sentait les fesses se crisper de peur à la mention de chaque outil.

C'était une question de maman. Et ces questions devaient recevoir une réponse immédiate et complète. Sinon, elle risquait un avertissement cuisant. Et comme ses fesses nues étaient bien présentées, cela pouvait arriver très rapidement.

- oh, maman Agnès, je ferai de mon mieux pour être gentille et travailleuse et pour ne pas utiliser le mot interdit non plus !"

Juste à ce moment, des bruits reconnaissable pour une oreille habituée sont venus de la maison voisine. Les fesses de Sylvie se serrèrent aussitôt et la main d'Agnès ne bougea plus, elle la posa tranquillement sur la fesse droite de sa fille. Elles écoutaient tous les deux.

Au bout d'un moment, Agnès demanda 

- tu entends qui se fait fesser à côté, Sylvie. C'est Laetetia ou Virginie ?

Sylvie leva les yeux par-dessus son épaule vers Agnès et secoua la tête.

- non, maman Agnès ! Je ne sais pas !

Les caresses recommencèrent et les fesses de Sylvie se détendirent.

Puis, après un moment, elle fut autorisée à descendre du genou et à remettre son bas de pyjama.

Elles s'assirent pour le petit déjeuner tandis que les claques et les cris continuaient à venir de l'autre côté.

Au bout d'un moment, les claques cessèrent et les cris se transformèrent en sanglots à peine audibles de loin.

Toutes les deux, se taisaient et écoutaient, puis après un court moment, il y eut à nouveau des claques et les cris reprirent aussitôt.



- ah une deuxième  fessée. Mais je ne peux vraiment pas distinguer les voix ! 

Agnès souriait et Sylvie ajouta un peu puérilement, 

- elles ont dû être vilaines toutes les deux!

Elles se turent à nouveau et continuèrent à écouter.

Paola expliqua plus tard à Agnès qu'elle avait décidé jusqu'à nouvel ordre, de donner à ses deux nièces une fessée préventive tous les jours avant le petit-déjeuner. Mais pour épargner sa propre main, elle ne fessait que le derrière de la jeune Virginie, ensuite celle ci devait fesser sa sœur aînée.

Après le petit déjeuner, Agnès indiqua à Sylvie qu’elle devait porter une blouse de femme au foyer pour faire le ménage. Agnès, de son côté, partit vers la terrasse, avec un livre et une dernière terrasse de café. Sylvie n'avait pas de café, bien sûr, mais du cacao, car le café était tabou pour les petites filles.

 Les cris avaient également cessé dans la maison voisine mais alors qu'Agnès arrivait sur la terrasse, elle vit deux paires de fesses de filles bien rougies exposées sur la terrasse voisine. Les filles regardaient le mur avec leurs mains sur la tête comme d’habitude.



Agnès se tut pour ne troubler en rien l'image harmonieuse. Aux mouvements saccadés des épaules de Laetetia, elle sut que la jeune fille sanglotait toujours doucement, elle soupçonna donc que c’était elle qu’elles avaient entendu crier en dernier.

Sylvie avait commencé à ranger la cuisine, c'était nouveau pour elle de faire le ménage et ranger correctement. Elle y trouva un certain plaisir, finalement même si sa nouvelle condition de grande fille était douloureuse pour ses fesses, elle dut reconnaître que cette méthode d'éducation avait du bon.

Quand elle eu rangé sa chambre elle vint su la terrasse et demanda timidement à maman Agnès comment elle devait s'habiller ce matin. Agnès la regarda en souriant, effectivement puisque Sylvie avait fini le ménage ce n'était pas la peine qu'elle garde sa blouse de travail, elle se leva.

- allons voir dans la chambre d’élodie comment nous pouvons habiller notre mignonne petite Sylvie. 

Elle chercha d'abord dans la commode pour voir quel genre de culotte elle pourrait trouver, elle fut ravie quand elle sorti du tiroir une petite culotte blanche en coton avec des petites fleurs. 

- quel culotte ravissante, regarde ma chérie ton petit derrière va être adorable. 

Sylvie fit la moue mais se garda bien de protester. Agnès maintenant cherchait une jupe, elle en trouva une toujours aussi courte et bien sûr un chemisier de jeune fille. Les vêtements était posé sur le lit, Sylvie compris d'Agnès désirait quelle s'habille devant elle. C'était un peu gênant mais après tout sa nouvelle maman connaissait déjà très bien ses fesses nues. Elle descendit sa culotte de pyjama et enleva également le haut. Elle était toute nue devant sa maman. Agnès la regardait attentivement, il n'y avait aucune perversité dans son examen, elle était juste attentive comme une maman. Sylvie enfila sa culotte, elle moulait parfaitement  son fessier de dame mûre, le pli fessier au dessus des cuisses était visible rendant cette tenue très sexy. Elle mit sa jupe et son chemisier, elle ressemblait vraiment à une grande jeune fille, la jupe lui arrivait à mi cuisses. Agnès la fit tourner et sans aucune gêne retroussa la jupe. 

- tu es très mignonne habillée comme ça ma chérie. Et puis cette jupe est très pratique, si jamais tu n'es pas sage tes petites fesses seront vite disponible. Bien je vais appeler Ophélie pour l'inviter à prendre le café, il faut qu'elle fasse mieux ta connaissance et visite un peu la maison. Ce soir nous allons au restaurant avec Paola et je ne veux pas te laisser seule. Ophélie fait du baby-sitting je lui demanderai si elle accepte de s'occuper de toi. 

Sylvie faillit avoir un malaise, elle pâlit, s'en était trop pour elle. Elle avala sa salive et se forçant à regarder sa maman elle commença. 

- oh non maman, je suis quand même assez grande pour me garder toute seule, vous pouvez aller au restaurant tranquillement avec tatie Paola, ne dérangez pas Ophélie pour si peu. 

Agnès regarda attentivement Sylvie, elle pensait que les deux jours précédents avaient été suffisant pour transformer son amie de 70 ans en une jeune fille obéissante. Décidément il y avait encore du travail. Elle se leva et  saisit l'oreille de Sylvie puis la fit pivoter. Elle lui administra deux claques magistrales sur les fesses. 

- ma chérie, je pense que tes fesses ont encore des choses à apprendre, va chercher le martinet dans la cuisine, je t'attends sur la terrasse. 

Sylvie avait crié en recevant les deux claques, elle se rendait compte trop tard qu'elle avait commis une faute impardonnable et que ses fesses allaient en payer le prix. Elle alla chercher le martinet dans la cuisine, elle se dépêchait, espérant par sa docilité atténuer la colère d'Agnès. 

Quand elle arriva sur la terrasse, Agnès était assise sur une chaise, elle prit le martinet et le posa sur la table, puis elle lissa sa jupe sur ses cuisses et fit un petit signe à Sylvie. Celle-ci savait ce qui lui restait à faire, elle  se coucha docilement sur les genoux de sa nouvelle maman. 

- tu as déjà eu plusieurs avertissements pour avoir utilisé les mots interdits ma petite Sylvie. Apparemment ces simples avertissements ne suffisent pas, je vais donc essayer d'être plus persuasive en m'adressant à tes fesses. Ma mère disait souvent que ce qui ne rentrait pas par les oreilles rentrait mieux par le derrière. 

Sylvie était atterrée, hier elle n'avait pas reçu de vraie fessée, celle-ci promettait d'être sévère. Elle sentit l'air sur ses cuisses, Agnès avait retroussé sa jupe très haut sur ses reins. La première claque arriva, suivi d'une avalanche d'autres gifles de plus en plus fortes. Malgré la protection de la culotte, Sylvie ressentait déjà la brûlure. 

- aïe aïe aïe, noon, pardon maman..aïe. 

La fessée sur la culotte n'était bien sûr qu'un apéritif. Sylvie sentit les doigts d'Agnès qui s'insinuait dans sa culotte et bientôt l'air frais calmait légèrement la brûlure de ses fesses. Mais ce fut de courte durée, la punition repris encore plus fort. Agnès était furieuse que Sylvie résiste à son éducation, elle était décidée à sévir. 

La fessée déculottée fut magistrale, les fesses de Sylvie dansaient, elles s'ouvraient largement, puis se serraient, ses jambes battaient l'air, sa culotte était maintenant autour de ses chevilles. 



Le fessier de la dame redevenue une grande fille était maintenant écarlate sur toute sa surface. Agnès cessa la fessée et garda Sylvie quelques instants couchée sur ses cuisses afin que ses pleurs se calme un peu. Puis elle la fit se relever et comme c'était maintenant l'habitude, elle la conduisit en la tenant par l'oreille jusqu'au coin de la terrasse  le nez contre le mur. Bien sûr elle coinça la jupe dans la ceinture et remonta la culotte à mi cuisses. Sylvie mit docilement ses mains sur la tête. Agnès était un peu calmée  le spectacle offert par les fesses bien rouges de son amie était ravissant. 

Elle jeta un oeil vers la maison de Paola, les deux nièces avaient fini leur temps de coin, elles étaient assises toutes les deux à la table, elle faisait leurs devoirs de vacances. Elles n'avaient rien perdu du spectacle de la magistrale fessée cul nu qu'avait reçu leur nouvelle cousine. 

Les deux ressentaient de la pitié pour Sylvie, surtout à cause de la douleur qu’elle ressentait elle même d’être assise sur des chaises dures. C'était  vrai pour les deux mais pour Virginie, les choses allaient bientôt changer.

Agnès fit un signe de tête et un sourire amical aux filles. Puis elle ajusta une chaise de jardin pour que son dossier repose contre la table, ensuite elle dit quelque chose à Sylvie qui sans hésiter, s'agenouilla sur la chaise et appuya le haut de son corps sur la table et serra le bord opposé avec ses mains.

Elle avait posé sa tête sur la table, pour pouvoir regarder les filles. Apparemment, son désir de pitié l'emportait sur la honte qu'elle ressentait en ce moment.

Agnès se tourna de nouveau vers les filles et elle appela Virginie, celle-ci était trop contente de faire ça,  Laetitia se senti de nouveau délaissée par rapport à sa petite soeur.

La pitié de Virginie s'était estompée sur le chemin de la terrasse de Sylvie. Elle se dit qu’elle allait pouvoir observer de très près comment Agnès allait administrer le martinet sur le derrière nu et certainement déjà très rouge de Sylvie.

Lorsqu'elle arriva, Sylvie la regardait avec des yeux larmoyants.  C'était inutile, bien sûr car même si Virginie l'avait voulu, elle n'aurait pas pu la protéger de la correction..

Mais elle pouvait l'aider d'une autre manière, du moins, Agnès pensait que ce serait utile.

- S'il te plaît, Virginie, aide ta cousine tiens lui fermement les mains pour qu'elle n'essaie pas de protéger son derrière ou de se frotter les fesses pour effacer la douleur.

- ben sûr, tante Agnès ! 

On devinait à quel point elle était fière de se voir confier une tâche aussi importante. Bien sûr, le plaisir de voir Sylvie dans cette position et la pensée de ce qu’elle allait lui administrer faisait sourire discrètement Agnès.  Mais personne ne pouvait le voir. Pas Laetitia car elle était trop loin, pas Sylvie car elle suivait Virginie des yeux, et pas Virginie, car elle était maintenant de l'autre côté de la table de jardin et n'avait d’yeux que pour les poignets de sa cousine, elle les serra fort.

- je les tiens, tante Agnès 

 s'exclama-t-elle triomphalement, comme si c’était une prouesse . Agnès trouva cela un peu enfantin, mais d’une part cette fille était encore jeune et d'autre part ça montrait qu'un jour Virginie pourrait devenir une fesseuse douée.

Elle prit le martinet et dit à Virginie 

- alors tiens bien ta cousine. Sylvie n'est vraiment pas la plus courageuse.

Sylvie rougit de honte. Elle ne s'était toujours pas habituée au fait qu'elle était maintenant la petite fille de Maman Agnès et qu’il était tout à fait normal d'être punie par elle de cette façon. Surtout, le fait que Virginie, désormais considérée comme sa cousine, prenne une part active à sa punition, la gênait totalement.

Mais quand elle sentit les lanières effleurer ses fesses exposées l'embarras fit place à une  crainte plus précise. Ses fesses se serrèrent anxieusement par anticipation. C'est exactement comme ça que sa grand-mère faisait avant de commencer la fessée avec le martinet.

- oh s'il vous plaît, Maman Agnès

Elle gémissait, Agnès répondit, mais ce fut pire pour Sylvie

- tais-toi, mon enfant !

Les lanières quittèrent la croupe tendue pour y revenir immédiatement avec un sifflement  et beaucoup d'élan. Elles cinglèrent les fesses de Sylvie qui poussa un cri à moitié étouffé.



C'était vraiment bien que Virginie tienne ses poignets solidement, car Sylvie lâcha le bord de la table.

Et elle ne l'avait toujours pas attrapé à nouveau lorsque les lanières cinglèrent une deuxième fois.

Un autre cri désespéré et cette fois pas du tout étouffé

Comment cela brûlait! Si seulement elle n'avait pas dit qu’elle ne voulait pas être surveillée par Ophélie le soir.

Et même plus! Si seulement elle l'avait considéré comme juste et nécessaire. Elle était une petite fille maintenant, et quand maman et tante allaient au restaurant, il était clair que la petite fille ne devait pas rester seule à la maison.

Les coups de martinet suivait les coups de martinet. Agnès n'avait pas dit combien de coups elle voulait donner à Sylvie. En fait, Agnès n'y avait même pas pensé.

Même quand Sylvie a crié qu'elle pensait que c'était bien qu’Ophélie  la surveille, Agnès  a continué la flagellation, les fesses se tortillaient. Ce n'est que lorsque Sylvie, désespérée, a enfin dit qu’elle voulait bien qu'Ophélie la couche sur ses genoux si nécessaire ce qu'Agnès n'avait même pas mentionné, que la correction pris fin.



Sylvie pleurait maintenant à chaudes larmes. Agnès ordonna à Virginie de tenir les poignets jusqu'à son retour de la maison.

Elle y disparut et emmena le martinet avec elle pour le remettre à sa place d'origine.

Virginie ne pouvait pas vraiment apprécier la vue des fesses de sa cousine Sylvie. Elle était trop près, elle dut ce contenter d'imaginer ce que ce serait si elle était allongée là à la place de Sylvie. L'idée lui était à peine venue que ses propres fesses, encore très cuisantes, se mirent à se serrer convulsivement au rythme du martinet.

Elle a juste essayer de calmer Sylvie. 

- ne pleure plus, Sylvie. C'est fini ! Calme-toi !

Il a fallu un certain temps à Sylvie pour remarquer qu'on lui parlait. Mais quand Agnès est revenue, Sylvie pleurait encore doucement.

- Virginie, tu peux lâcher ses poignets maintenant, 

Elle tendit un tube à la fille.

C'est une crème pour les brûlures ! Est-ce que tu peux passer ça sur les fesses de Sylvie ?



- oui bien sûr, tante Agnès 

Agnès retourna à son livre et s'assit sur sa chaise. Elle continua à lire. De temps en temps, elle  regardait les deux cousines 


7 commentaires:

  1. La pauvre . L'avantage c'est qu'elle peut désormais comparer la discipline anglaise à la canne et celle française au martinet.

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    1. C'est vrai, il faudra lui demander son avis. Je crois que dans un précédent chapitre elle avait jugé la canne plus douloureuse. Mais l'avantage à mon avis du martinet c'est que bien que très cuisante, la fessée au martinet ne laisse aucune trace et peut être renouvelée régulièrement si nécessaire sans risque d'endommager les jolies fesses de la punie.
      Sylvie

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  2. Et vous parlez en pleine connaissance de l'effet du martinet donné ou reçu n'est ce pas sylvie

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    1. oui mon cher, malheureusement pour moi, mes fesses connaissent bien l'effet des lanières sur un derrière dénudé. Mais vous êtes bien indiscret....
      Sylvie

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    2. Pardon je n'aurais pas du
      ...je nais jamais reçu le martinet...bon dimanche

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  3. Mon indiscrétion mériterait une bonne fessee avec mise au coin a 65 ans il n'est pas trot tard...personne pour me ma donné a moins que....je m'en charge....

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