mercredi 12 octobre 2022

Sylvie et Leslie 4

 Fessée en public pour Sylvie.



En plus de Mme Dujou, deux autres personnes étaient au courant qu'à mon âge, je recevais encore la fessée déculottée. Il y avait bien sûr mon amie Catherine et une copine à Leslie qu'elle informait régulièrement au téléphone des corrections qu'elle m'infligeait, elle s'appelait Chloé. Mais à part Mme Dujou qui avait en plus le privilège de me fesser, aucune de ces deux personnes n'avait vu mes fesses nues prêtes pour la fessée ou bien rouges après une bonne déculottée.  

Ce jour là, Mme Dujou m'avait flanqué une magistrale fessée pour une faute  assez vénielle que j'ai oublié. De toute façon ma femme de ménage adorait donner la fessée, il ne lui fallait pas grand chose pour lui donner l'occasion de me baisser la culotte comme une gamine et me rougir le derrière. J'y avais droit au moins deux fois par semaine, comme ces punitions n'étaient pas toujours vraiment méritées, elle omettait de toutes les signaler à Leslie. J'évitais donc l'humiliante tenue de punition qui me faisait ressembler à un collégienne et la fessée déculottée au retour de Leslie. Mais rassurez-vous elle n'était pas si magnanime que ça et j'avais droit à la punition complète un peu trop souvent à mon goût.  

Donc ce jour là, j'étais au coin fesses à l'air, la culotte baissée à mi cuisses, les fesses rouges comme deux tomates bien mûres. La sonnette retenti, j'en avais l'habitude, j'étais parfaitement visible depuis la porte d'entrée, la factrice et plusieurs livreurs avaient eu le plaisir d'admirer mon fessier écarlate. Je rentrais bien mon nez dans le coin pour ne pas être reconnue, après tout personne ne connaissait mes fesses. C’était la voix de Catherine.

- bonjour Mme Dujou, Sylvie est là? Oh

À son exclamation je suis que mon amie m'avait vu dans cette position peu enviable pour une dame d'une quarantaine d'années.

- oui Mme Catherine, mais elle est punie.

- je vois ça en effet, et bien dites donc, c'est vous qui lui avez mis cette belle culotte rouge sur les fesses ?

- et oui, comme d'habitude madame se croit tout permis mais avec moi elle est mal tombée. Quand on est pas sage c'est directement cul nu sur mes genoux. Mais ne restez pas là, entrez donc.

J'étais morte de honte, c'était une chose d'avouer dans un salon de thé à son amie qu'on recevait de temps en temps une fessée, mais s'en était une autre qu'elle puisse constater de visu que ce n'était pas une fessée pour rire et qu'après la fessée on avait droit comme une gamine à un passage au coin fesses à l'air.

Mme Dujou invita donc Catherine à prendre un café, en passant à côté de moi, elle me tapota les fesses.

- tu es adorable ma chérie avec tes petites fesses bien rouges.



Les deux dames se mirent à converser j'étais le nez contre le mur, comme une gamine que sa mère à corrigé et qui discute avec sa voisine sans se soucier de se qu'expose sa grande fille dans le coin. Bien sûr la conversation tourna rapidement autour des bienfaits de la fessée déculottée même pour les adultes.

- cette petite coquine de Sylvie m’avait caché que vous aussi vous lui flanquiez la fessée si nécessaire, elle ne m’avait parlé que de Leslie.

- c’est bien normal, elle n’allait pas se vanter qu’à son âge sa femme de ménage lui baissait encore la culotte. Mais normalement il lui est interdit de mentir.

- oh ce n’est pas un gros mensonge, plutôt une omission.

J’appréciais que Catherine prenne ma défens car la dernière phrase de Mme Dujou m’avait un peu inquiétée, je serrais instinctivement mes fesses car comme je vous l’ai dit plus haut elle m’en avait déjà administrée une des plus cuisante.

- omission ou pas, Mlle Leslie m’a recommandé de ne rien laisser passer.  Sylvie, venez ici !!



Nous y étions le moment tant redouté de ma première fessée publique était arrivé, je baissais les yeux pour ne pas croiser le regard de Catherine, il m’avait semblé apercevoir un léger sourire sur ses lèvres.

Penaude je m’approchai de Mme Dujou qui avait repoussé sa chaise de la table, dès que je fus à sa portée, elle me saisis la main et me fit basculer en travers de ses genoux.

- allez en position ma petite dame, je vais vous apprendre à mentir, oui je sais que vos fesses sont encore bien rouges et que vous devez sentir encore ma dernière fessée mais avec une bonne paire de fesses comme ça, deux fessées à la suite, elles peuvent bien le supporter. Et puis si vous ne voulez plus recevoir la fessée cul nu vous n’avez qu’à bien vous comporter.

J’étais déjà prête pour la fessée, j’évitais l’humiliation du déculottage. Car avouez que se faire baisser la culotte comme une gamine en public, personne ne le souhaite. Mes fesses étaient donc à la disposition de Mme Dujou, elle assura ma position en me faisant basculer un peu plus vers l’avant. Mes pieds ne touchaient plus terre, ma tête était près du sol et mes fesses bien tendues vers les deux dames. En tournant la tête je pouvais me voir dans le miroir, je voyais aussi Catherine qui ne perdait pas une miette du spectacle, effectivement elle souriait de voir son amie déculottée et en position disciplinaire. La fessée débuta, à cette époque Mme Dujou n’utilisait encore que sa main pour m’administrer la fessée, plus tard Leslie l’autorisera et même l’encouragera à utiliser divers instruments pour corriger mon derrière. Ce n’était donc que sa main qui me claquait les fesses, mais c’étaient des mains de travailleuse, de large main qui couvraient à chaque fois une bonne partie de la fesse corrigée. La première fessée reçue avait rendu mon derrière sensible, cette courte mais magistrale fessée me fit danser sur ses genoux, j’offrais à Catherine le spectacle de mes fesses grandes ouvertes puis bien serrées, je pleurais comme une gamine, promettant d’être sage, de ne plus recommencer. 



Enfin je me comportais comme toute personne recevant une bonne fessée déculottée. Elle m’avoua par la suite qu’elle avait été impressionnée par le spectacle de cette première fessée, depuis cette date, je lui ai tellement souvent exposé mes fesses qu’elle n’en est plus surprise, elle les connaît même de façon plus intime, mais nous y reviendrons. J’étais toujours allongée sur les genoux de Mme Dujou, je pleurais doucement, autant de douleur que de honte d’avoir reçu ce châtiment enfantin devant ma meilleure amie.

- bon j’espère que vous avez compris ma petite dame. Vous avez offert un magnifique spectacle à Madame Catherine , maintenant vous allez retourner au coin. Tant pis pour vous, puisque vous êtes revenu faire un petit séjour sur mes genoux, vous connaissez le tarif, 1/2 heure fesses à l’air.

Elle m’avait fait relever, une magistrale claque sur mon derrière écarlate m’indiqua la direction du coin.

- filez vite, les mains sur la tête et qu’on ne vous entende plus.

Ma culotte était entortillée autour de mes chevilles, elle coinça ma jupe dans la ceinture pour bien découvrir mon fessier et elle me caqua à nouveau les fesses.

- le nez contre le mur !! vous voulez revenir sur mes genoux.

- non, non, pardon madame.

J’étais vraiment redevenue une gamine soumise à l’autorité d’une sévère gouvernante. Catherine ne s’attarda pas, mais bien sûr l’après midi elle m’appela pour que je lui fasse un petit compte rendu de mes impressions.

- et bien dis donc ma chérie, ta femme de ménage n’y va pas de main morte quand elle donne la fessée. Elle vont comment tes petites fesses ?

Je sentais une petite pointe d’ironie dans sa voix surtout quand elle ajouta.

- je suppose qu’elle t’a fait mettre ta tenue de collégienne, Leslie ne va pas laisser passer l’occasion de t’en flanquer une autre en rentrant je suppose?

J’étais obligée de lui avouer que oui j’étais habillée avec ma jupette courte et que j’avais ma petite culotte en coton blanc sur mes fesses encore rouge. La suite était écrite, j’allais me recevoir une bonne déculottée quand Leslie rentrerait, j’irais au lit tôt avec une nouvelle fessée et je dormirais très bien avec mes fesses rouges.



Peu de temps après cet épisode humiliant, Leslie m’annonça la visite de sa copine Chloé, je la connaissait vaguement et je redoutais sa venue car je savais que c’était à elle que Leslie téléphonait régulièrement après m’avoir corrigée et mise au coin. Elle était donc parfaitement au courant de nos relations ma belle-fille et moi.

J’étais très inquiète mais je faisais bonne figure et je leur offrit le thé. Chloé était une petite brune rieuse, un peu rondelette, elle discutait tranquillement avec Leslie quand soudain mon sang se glaça.

- dites moi Sylvie, vos fesses sont rouges aujourd’hui?

Je rougis jusqu’aux oreilles et je bafouillai.

- euh, non, enfin oui, un peu mademoiselle.

Leslie m’avait administré le matin même une bonne fessée avec sa brosse à cheveux et j’avais encore les fesses sensibles.

- c’est oui ou c’est non, il faudrait savoir, qu’en penses tu Leslie chérie.

- bien sûr ma petite Chloé, Sylvie va nous montrer ça n’est ce pas, puisqu’elle n’a pas l’air de savoir on va vérifier.

J’étais mortifiée de cette demande, cette petite garce me regardait en souriant, je répondis sans réfléchir aux conséquences.

- oh non, quand même Mlle Leslie !!

C’était exactement ce qu’attendait ma belle-fille.

- pardon, j’ai mal entendu !! viens ici et tourne toi !! retrousse ta jupe !!

Comme une automate je m’exécutai et comme à son habitude Leslie me baissa la culotte sous les fesses et me les claqua rapidement. Ce fut juste une dizaine de claques mais vraiment très forte, je me retenais pour ne pas pleurer.

- tu vas aller montrer tes fesses à Chloé immédiatement et ensuite tu reviens me voir, on va régler rapidement ce problème d’indiscipline.

Par cette réaction inconsidérée j’avais gagné une fessée publique et l’humiliation d’aller présenter mes fesses dénudées à cette jeune femme. 



Je retenais mes larmes et je tournai mes fesses vers Chloé, elle était tout sourire, elle passa sa main sur ma croupe enflammée.

- et bien, j’ai la réponse, ces fesses sont encore rouges.

- oui et elles vont l’être encore un peu plus après le traitement que je leur réserve. Viens ici tout de suite !

Leslie s’était assise sur une chaise qu’elle avait placé au milieu de la pièce comme pour donner un peu plus de solennité à la scène. Elle m’attira vers elle en me prenant la main, je savais que toute résistance était inutile et ne ferait qu’aggraver la situation. Je me retrouvai donc pour la deuxième fois dans cette position humiliante couchée sur les genoux de Leslie et m’apprêtant à recevoir une nouvelle fessée déculottée en public. Par contre celle là n’eut rien à voir avec la fessée traditionnelle reçue de la main de Mme Dujou. Ma belle-fille avait été irritée de ma désobéissance et elle voulait me faire passer l’envie de recommencer, elle commença donc par une vigoureuse fessée à la main, ma culotte était déjà sous mes fesses donc ma croupe était à sa disposition. Au bout d'environ une minute de claques ininterrompues elle se tourna vers Chloé.

- tu peux me faire passer ma brosse à cheveux, madame à besoin d'une sérieuse mise au point.

J'avais déjà goûté le matin même à ce redoutable instrument, je ne pu m'empêcher de supplier.

- oh non, Mlle Leslie, s'il vous plaît, j'ai compris, pardon, je ne désobéirai plus, pas la brosse s'il vous plaît.

- mais ma petite Sylvie, ce n’est pas toi qui décide, si tu avais été obéissante et que tu avais gentiment montré tes fesses à Chloé quand je te l’ai demandé tu n’en serais pas là. Et comme tu te permets encore de protester alors que tu es en bonne position pour la fessée cul nu et bien je te réserve une petite surprise crois moi je vais te faire passer l’envie de discuter.

Elle leva la brosse et je me mis à hurler sans aucun souci de dignité devant l’amie de Leslie, je n’étais plus qu’une gamine qui reçois la fessée par sa maman, je suppliais à nouveau mais rien n’arrêtais la colère de Leslie, je devais offrir aux deux jeunes femme un charmant spectacle, mes fesses me brûlaient atrocement, je battait l’air avec mes jambes, ma culotte était maintenant entortillée autour de mes chevilles. 



Puis brutalement la fessée s’arrêta, j’étais un peu surprise car les fessées de Leslie étaient généralement plus longue. Elle me fit relever, mes fesses étaient brûlantes, je me retenais pour ne pas les frotter, elle me tendit la brosse à cheveux et  me désigna Chloé.

- tu vas voir Chloé et tu lui donnes cette brosse, c’est elle qui va finir ta fessée, je vais t’apprendre à discuter ! allez exécution !

Elle avait accompagné cette dernière phrase d’une magistrale claque sur mon fessier déjà écarlate. J’étais abasourdie mais je n’étais pas en position pour protester. Chloé me regardait avec un petit sourire  moqueur, elle me fit un petit signe avec son doigt, elle s’était redressée sur le fauteuil et ses genoux était prêt à m’accueillir.

- allez Sylvie venez un peu que je m’occupe de vos fesses, je ne les ai pas bien vue tout à l’heure.

J’étais tout contre elle, penaude en baissant la tête je lui tendis la brosse à cheveux, elle la pris et la posa à côté d’elle puis elle me bascula en travers de ses cuisses. J’allais être fessée par une troisième personne et celle ci était très jeune, j’aurais put être sa mère. Mais maintenant c’était moi la gamine, fesses à l’air, la tête prêt du sol, les jambes pendant de l’autre côté. Je serrais les fesses essayant de protéger ma pudeur mais elle glissa sa main entre mes cuisses pour les écarter, ses doigts se glissaient même dans ma raie fessière. Je gémissais devant cette ultime humiliation, je jetai un oeil vers Leslie elle souriait de ma gêne.

- tu ne m’avais pas menti, elle a une bonne paire de fesses ta belle-mère, un cul à fessée. Bon on ne va pas la faire attendre plus longtemps. Ma petite Sylvie je te conseille de desserrer tes fesses, ça n’empêchera pas la fessée et tu vas avoir plus mal.

Elle avait pris la brosse et soudain je me remis à crier puis rapidement à pleurer, autant de douleur que de l’humiliation de recevoir une fessée déculottée par une aussi jeune femme. 



La fessée fut courte, elle s’était rendue compte que mes fesses étaient déjà bien meurtrie, de toute façon son but était atteint elle m’avait donné la fessée comme à une gamine. Mais je n’étais pas encore au bout de ma punition.

Elle me fit relever et me força à la regarder en mettant son doigt sous le menton.

- qu’est ce qu’on dit à Chloé qui s’est si bien occupée de ton petit derrière.

Elle avait soudain adopté le tutoiement, mes joues étaient aussi rouges que mes fesses. J’avalai ma salive, Leslie me jetais un regard sévère.

- merci mademoiselle pour cette bonne fessée que j’avais bien méritée.

- parfait.  Dis moi Leslie je te félicite, elle est vraiment bien éduquée. Bon maintenant tu files au coin faire refroidir ton petit derrière.

Comme l’avait fait Leslie elle me claqua les fesses pour m’indiquer la direction, je n’étais plus en état de protester, mes fesses me brûlaient intensément, je me retenais pour ne pas les frotter, la dernière fois que je l’avais fait Leslie m’avait couché immédiatement sur ses genoux pour une deuxième fessée.

J’étais maintenant au coin, le nez contre le mur, j’avais posé mes mains sur la tête. Leslie m’avait suivie, elle retroussa ma jupe et l’épingla dans mon dos, elle remonta un peu ma culotte. Elle avait une théorie qu’elle expliqua à Chloé.

- tu vois ma chérie, quand une punie est au coin, il faut que ses fesses soient bien mise en valeur, il ne faut pas lui enlever complètement sa culotte, elle prend mieux conscience de sa condition de punie, elle se rend compte qu’elle est juste déculottée pour recevoir la fessée et montrer ses fesses à tout le monde.



Chloé était éblouie par l’inventivité de son amie.

- tu t’y connais vraiment pour ce qui est de punir les dames. En attendant merci de m’avoir permis de donner la fessée à Sylvie depuis le temps que tu me l’avais promis, c’est vraiment très agréable.

Leslie la regarda avec un petit sourire.

- tu sais ma chérie pour bien apprécier la fessée, il faut aussi l’avoir reçue. Mais ne t’inquiète pas, nous en reparlerons.

J’écoutais cette conversation en exposant mon derrière rougeoyant.

Bientôt je ne serais peut être plus la seule à exposer mes fesse nues.



 

A suivre

 

6 commentaires:

  1. Merci pour ce bel épisode sylvie va telle être punie pour des culottes sales et une toilette négligé??

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  2. Vivement une nouvelle histoire...

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    1. La suite de Sylvie et Leslie est en cours d'écriture. En attendant dans peu de temps la suite d'une autre série. Un peu de patience.
      Sylvie

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    2. Merci beaucoup c'est toujours un régal de vous lire

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    3. Merci, je suis très touchée par vos compliments qui vont me donner du courage pour continuer.

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