Mme Dujou.
Leslie avait repris le travail, j'étais donc assez tranquille la journée sauf les 3 jours où ma femme de ménage venait à la maison, elle venait de 8h à 12h.
Ça avait commencé dès le premier jour où je m'étais retrouvée seule avec elle.
Ce matin là, Leslie est déjà partie au travail. Je déjeunais tranquillement.
- bonjour madame. Comment vont vos petites fesses ce matin ?
Je rougis violemment, mes fesses étaient sensibles car Leslie m'avait particulièrement soignée la veille, j'avais été fessée deux fois dans la journée, donc la fessée déculottée du coucher avait été particulièrement sévère pour m'apprendre à obéir comme elle l'avait dit. Bien sûr avant de partir au travail ma jeune belle-fille avait vérifié l’état de mes fesses. Ça avait été mortifiant comme d’habitude, elle m’avait courbée sous son bras et baissé la culotte du pyjama sous les fesses, elle avait caressé mon derrière tendu.
- mais c’est parfait ton popotin est en parfait état, pas de traces, tes fesses sont juste encore un peu rosées. Bon j’espère que tu seras sage aujourd’hui, Mme Dujou vient ce matin, je compte sur toi pour bien te comporter. Gare à tes fesses si elle me rapporte quelque chose.
Pendant tout le temps qu’elle me parlait elle m’avait gardé cul nu les fesses tendues vers elle. Puis elle m’a donné deux petites claques sur les fesses et m’a reculottée comme si j’étais une gamine.
Je n’avais pas répondu à Mme Dujou, les joues rouges jusqu’aux oreilles j’avais plongé mon nez vers ma tasse de café. Ce ne fut pas du goût de ma femme de ménage, elle m’attrapa l’oreille comme l’aurait fait une institutrice avec une mauvaise élève.
- on ne vous a pas appris la politesse ?
Elle m’avait fait levé de ma chaise et une violente claque atterri sur mon derrière.
- puisque vous ne m’avez pas répondu et bien vous allez me le montrer ! Baissez votre culotte ! et vite !
J’étais paniquée, je savais qu’il me fallait obéir, j’avais entendu Leslie donner l’autorisation à Mme Dujou de me punir et je savais également qu’elle ne se gênerait pas pour faire un rapport à Leslie qui entraînerait des conséquences très douloureuses pour mes fesses. D’un autre côté je n’étais pas encore prête psychologiquement à me déculotter devant mon employée pour lui montrer mon derrière.
- madame, c’est très simple où vous baissez votre culotte vous même, ou c’est moi qui me charge de vous déculotter et je peux vous dire que ça ne sera pas pour rien. Je vais compter jusqu’à trois. Si à trois votre culotte est encore sur vos fesses ce sera la fessée cul nu sur mes genoux, à vous de choisir ! Un....Deux..
- non , non Mme Dujou c’est bon.
Mes deux doigts dans la ceinture de ma culotte de pyjama je l’avais baissée sous mes fesses et je m’étais tournée encore plus rouge de honte pour présenter mes fesses à ma femme de ménage.
- à la bonne heure, et bien Mlle Leslie a raison il n’y a que la fessée pour vous faire obéir. Mazette mademoiselle sait y faire avec le derrière des dames désobéissantes, vous avez du prendre une bonne correction pour que vos fesses soient encore de cette couleur ce matin. Bon vous pouvez finir votre café et vous irez vous mettre au coin un quart d’heure, je vais vous apprendre à obéir.
Je commençai à remonter ma culotte quand elle m’arrêta,
- non, non, vous restez cul nu, de toutes façon avec moi le coin c’est toujours fesses à l’air.
Résignée je me rassis avec les fesses nues directement sur la paille de la chaise, ce n’était pas très confortable, mais j’avais au moins évité la fessée. Dès que j’eu terminé ma tasse, je me levai et me dirigeai vers le coin de la pièce qui m’était maintenant destiné. Mme Dujou me regardait faire en souriant, je savais ses yeux rivé sur mes fesses découvertes par mon pyjama descendu. Comme Leslie me l’avait enseigné, je collai mon nez contre le mur, j’avais gardé mes mains le long de mon corps.
- mains sur la tête, vilaine fille !!
L’ordre avait claqué, c’était comme si j’avais reçu une claque sur les fesses, je m’exécutai immédiatement. J’avais plus de 40 ans et ma femme de ménage me traitait de vilaine fille en me mettant au coin les fesses à l’air. Mme Dujou se mit à vaquer à ses occupations sans faire attention à moi, c’était gênant au début d’être ainsi exposée mais finalement depuis que Leslie avait repris mon éducation en main je commençais à m’y habituer.
Au bout d’un quart d’heure je fus autorisée à me reculotter. Je me dirigeais vers la salle de bains quand Mme Dujou qui était dans ma chambre m’appela. Quand je passai le seuil de la porte mon sang se glaça, Mme Dujou tenait avec deux doigts ma culotte sale de la veille.
- pouvez vous m’expliquer la présence de cette culotte au pied de votre lit?
- euh… mais c’est à dire je comptais la mettre au panier à linge dès que j’aurais fini de me laver.
- je crois que Mlle Leslie a dit que votre chambre devait être rangée, exact?
Je devais être rouge comme une pivoine surtout que Mme Dujou s’était approchée de moi et balançait ma culotte sale juste sous mon nez.
- vous saviez pourtant que je serais là ce matin !
- oui madame…
- et alors ?
- je suis désolée…. ça ne se reproduira plus...
- oh ça j’en suis sûr et pour que la leçon soit bien apprise on va faire immédiatement une petite mise au point.
Nous y étions, j’avalai ma salive avec difficulté, je savais ce qui allait m’arriver mais mon cerveau disait non. Ce n’est pas possible ma femme de ménage ne va pas oser me donner une fessée déculottée comme si j’avais 12 ans. Mme Dujou s’était assise sur le bout du lit et son doigt me faisait un petit signe, comme une automate je m’approchai quand mes genoux furent contre elle, elle me bascula comme un fétu de paille sur ses larges cuisses. Elle ne perdit pas de temps, comme une maman en colère corrigeant sa progéniture, elle me déculotta à nouveau.
Je jetai un coup d’œil dans la grande glace, le spectacle était insolite, une dame de 40 ans, la culotte de pyjama baissée à mi-cuisses, couchée sur les genoux d’une dame un peu plus âgée vêtue d’une blouse de travail. J’eu le temps de constater que mes fesses étaient redevenue presque blanche. Puis soudain une claque magistrale me fit pousser un cri, suivi d’une multitude d’autres distribuées généreusement sur mon large fessier. Si Leslie s’y entendait pour rougir les fesses avec seulement l’aide de sa main, Mme Dujou n’était pas maladroite non plus.
Rapidement mes cris se transformèrent en pleurs, la fessée fut courte mais particulièrement sévère. Je pense que Mme Dujou voulait marquer le coup et me faire comprendre qu’elle serait aussi stricte que ma belle-fille.
Elle ne me laissa pas longtemps dans cette position humiliante, elle me fit relever, me tendit la culotte sale.
- vous pouvez aller vous laver, en même temps vous laverez vous même cette culotte à la main, ça vous apprendra ! Ensuite vous reviendrez me voir.
Je me dirigeai vers la salle de bain, je n’avais pas osé remonter ma culotte ce qui fait que Mme Dujou put me voir partir avec le popotin écarlate.
Après ma toilette, je revins dans le salon, j’avais mis un peignoir.
- très bien, allons vous habiller.
Je faillis protester mais mes fesses étaient encore douloureuses. Dans la chambre Mme Dujou ouvrit ma commode en sorti une culotte en coton et des socquettes de gym. Puis dans ma penderie elle choisi une jupette très courte que Leslie m’avait offerte la veille, elle était bleue marine et de forme évasée, elle compléta ma tenue par un tee-shirt blanc. Elle posa tout ça sur le lit et me regarda d’un air satisfait.
- c’est votre tenue de punition, Mlle Leslie m’a donné des instructions, si je suis amenée à vous punir, vous devez porter cette tenue jusqu’à son retour. Si vous avez à sortir vous mettrez des ballerines blanches.
J’étais atterrée, j’avais rendez-vous avec une copine l’après midi. Je m’habillai sous l’oeil goguenard de ma femme de ménage.
- voilà une très mignonne collégienne. Bon comme vous avez reçu la fessée vous connaissez le tarif, un quart d’heure de coin fesses à l’air. Allez vite !!
Une claque sur ma jupette avait accompagné ses paroles. Je connaissais parfaitement le protocole, arrivé dans mon coin je passai ma main sous ma jupe, baissai ma culotte sous les fesses et croisai mes mains dans le dos pour tenir ma jupe retroussée, bien sûr mon nez était collé contre le mur.
Une fois ma pénitence finie je pu vaquer tranquillement à mes occupations. Chaque fois que je passais devant la glace elle me renvoyait l’image d’une dame d’âge mûre habillée comme une collégienne. Mon amie Catherine n’allait rien comprendre ou se moquer de moi. De toute façon si je n’allais pas à notre rendez-vous elle allait s’inviter chez moi.
Pour dire que Catherine fut surprise, c'est peu de le dire.
- qu'est ce qui t'arrive ma petite chérie, tu veux ressembler à ma fille.
Je devais avoir les joues très rouges, nous étions dans un petit salon de thé où nous avions nos habitudes. Je connaissais Catherine depuis mon adolescence, je n'avais pas grand chose à lui cacher, elle m'avait soutenu dans les mauvais moment et savait me secouer quand je me laissais aller. Mon secret était un peu lourd à porter et je soupçonnais Leslie de ne pas laisser longtemps notre type de relations confidentielle. J'avalai ma salive et le me lançai, je sentais mes joues rougir au fur et à mesure que j'expliquais à mon amie ma nouvelle condition et je fus bien obligée d'aborder la question de la fessée. Les yeux de Catherine s'agrandir quand je lui racontai que comme une gamine Leslie me baissait la culotte pour m'administrer ce châtiment enfantin. Quand j'ai eu fini mon récit, je m'attendais au pire, qu'elle se moque de moi, qu'elle me prenne pour une folle, mais non. Elle m'a regardé droit dans les yeux.
- et bien ma chérie, depuis le temps que tu m'agace avec ta procrastination chronique, j'espère que Leslie a trouvé la solution.
J'étais à la fois soulagée de sa réaction mais surprise qu'elle approuve les méthodes de ma belle-fille.
- et donc si je comprends bien, tu es punie, puisque tu es habillée comme ça?
- euh...oui….
Comme devant Leslie, je me mettais à lui parler comme une adolescente prise en faute.
- et bien ma chérie, il ne faut pas que tu tardes à rentrer sinon Leslie va faire panpan cucul.
Elle avait dit ça en riant. Mon téléphone vibra, c'était un SMS de Leslie.
"Mme Dujou m'a appelé. Tu te prépares pour ta punition, tu te mets dans ton coin fesses à l'air et mains sur la tête et tu m'attends"
J'étais paniquée, j'aurais dû déjà être à la maison. Catherine voyant mon trouble prit d'autorité mon téléphone et se mit à lire le message.
- allez, je te pose chez toi. Déjà que tu vas te prendre une bonne déculottée, je ne voudrais pas être responsable d'une deuxième fessée pour ton retard.
Cinq minutes plus tard nous étions devant chez moi, elle me donna une petite tape sur les fesses.
- allez bon courage pour ta fessée cul nu ma chérie, ce n’est qu’un mauvais moment à passer et tu verras ça va te faire du bien.
Je ne répondis pas et je me dépêchai d’aller me mettre au coin comme Leslie me l’avait demandée. En fait j’avais le temps car ma belle-fille n’arriva qu’un quart d’heure plus tard. Je commençais à trouver le temps long, le nez contre le mur et les fesses à l’air.
Dès qu’elle eut fermé la porte elle me claqua les fesses.
- files au salon, tu peux remonter ta culotte on va s’expliquer. Je la suivis la tête basse. Elle s’était assise sur le canapé et je restais debout devant elle.
- tu peux m’expliquer pourquoi Mme Dujou a du te donner une fessée?
Elle le savait pertinemment mais avouer sa faute faisait parie de la punition. Sa main était prête à me claquer les cuisses si j’hésitais.
- j’ai laissé traîné ma culotte sale Mlle Leslie. Aïe, aïe.
Deux claques venait d’atterrir sur mes cuisses nues juste sous la jupe courte.
- pardon ? mais c’est quand même incroyable, Qu’est ce que je t’ai dit hier ?
- aïe, aïe, non pardon Mlle aïe aïe.
Les claques se succédaient sur mes cuisses.
- tourne toi ! lève ta jupe
Je m’exécutai et immédiatement ma culotte fut tirée sous mes fesses et une avalanche de claques tombèrent sur mes fesses nues.
- alors, qu’est ce que j’ai dit ?
- que vous ne vouliez pas voir mes culottes sales traîner dans ma chambre, aïe, aïe, pardon Mlle.
La fessée debout continuait, je trépignais sur place.
- puisque la fessée d’hier n’a pas suffit on va recommencer mais en mieux, crois moi celle de Mme Dujou c’était un apéritif. Va me chercher le martinet !
C'était nouveau depuis la veille, Leslie avait fouillé dans mes placards et elle avait retrouvé le vieux martinet familial, celui qu'utilisait ma grand mère sur les fesses de ma mère et celle-ci sur les miennes quand j'étais gamine. Il n'avait pas servi depuis de nombreuses années, ses lanières étaient usées d'avoir cinglé bien des derrières. En riant Leslie l'avait suspendu dans la cuisine.
- voilà, il sera toujours prêt à servir et j'espère que de le voir tous les jours va t'empêcher de faire des bêtises.
La culotte sous les fesses, je suis allée chercher l'instrument de ma punition. Catherine avait vu juste j'allais me prendre une mémorable déculottée. Quand je lui ai tendu le martinet je n'en menais pas large. Elle l'a posé sur la table basse et assise sur une chaise elle m'a basculé en travers de ses genoux. Je me retrouvais pour la deuxième fois de la journée dans cette position disciplinaire si classique et pourtant si humiliante. Elle baissa ma culotte jusqu'à mes genoux.
- ah, madame ne veux pas comprendre et bien je vais m'adresser à tes fesses. Quand tu en auras assez d'avoir les fesses bien rouges tu finiras bien par obéir. Mme Dujou a du être trop gentille, elle ne sait pas encore qu'il leurs faut des fessées bien sévère à ces fesses.
Pendant cette diatribe, les fesses déjà bien colorées, exposées à la main de ma belle-fille, je pensais à Catherine, maintenant qu'elle savait, elle devait m'imaginer en ce moment. La fessée à la main commença ou plutôt recommença, puisque j'avais déjà pris un acompte debout. Rapidement je ne pus retenir mes larmes, c'est vrai que la punition de Mme Dujou était douce par rapport à celle là. Mes fesses me brûlaient, je gigotais en tous sens pour éviter les claques mais c'était en vain, Leslie me tenait solidement et toute la surface de mon fessier de femme de 40 ans reçu la correction annoncée.
La fessée avait été rapide, elle me fit relever, et elle annonça la suite.
- à genoux sur le canapé et tu tends bien tes fesses. Elles sont bien échauffées, monsieur martinet va finir le travail. Je te garantis que tu vas t'en souvenir. Allez présente moi tes fesses mieux que ça !
Le martinet m'avait cinglé les cuisses.
- aïe aïe aïe.
- je veux voir tes bonnes grosses fesses rouges qui demandent la fessée. Voilà c'est bien. Quel jolie paire de fesses ma chérie, le rouge leurs va bien.
J'étais là à genoux tendant mes fesses en arrière, je jetai un regard sur le côté, la glace me renvoyait cette image incroyable de moi, le derrière tendu vers ma belle-fille, c'était vrai qu'on aurait dit qu'il demandait à être corrigé.
- 30 coups sur ton derrière ma chérie, ça va te faire réfléchir, tu vas avoir du mal à t'asseoir.
La punition commença, mes fesses étaient déjà bien échauffées, la brûlure de la fessée au martinet était intense mais finalement, c'était vrai ce que j'avais lu. La peau des fesses était faite pour la fessée, ma croupe n'état plus que deux boules rouges quand je filai au coin pour la faire refroidir mais pas aucune autre lésion. Monsieur Martinet avait fait son oeuvre.
Depuis cette mémorable journée, je n'ai plus jamais laissé traîner mes culottes sales dans ma chambre. Cette fessée déculottée remonte à 20 ans maintenant mais mes fesses s'en souviennent encore.
à suivre…
Beaucoup d'anglaises qui ont été punies en France avant la fin du 20ème siècle ( ou d'adepte de la fessée) ont été surprises par le martinet.
RépondreSupprimerCa fait vraiment mal aux fesses mais pour le reste c'est étonnant , ca ne marque pas , contrairement à la cane . Beaucoup se se sont demandées comment une fessée aussi piquante laisse aussi peu de trace qui disparaissent aussi vite
Et ensuite il y a les adeptes, soit des instruments qui ne marquent pas pour plus de discrétion, soit des instruments qui marquent pour garder "un joli souvenir"
Chez les demoiselles à l'école, les lignes rouges de la cane pouvaient parfois se voir ce qui ajoutait à l'humiliation.
C'est vrai que le martinet est un instrument très efficace pour rougir les fesses des dames. Il ne laisse aucune trace disgracieuses sur les derrières. J'aime avoir des fesses bien nettes quand je baisse la culotte pour la fessée journalière.
SupprimerSylvie
La fessee journaliere donne ou reçu....?
RépondreSupprimereuh.... oui bon c'est souvent moi qui présente mes fesses, mais ça ne change pas le problème. Pour une bonne fessée journalière voir pluri journalière, on peut avoir des fesses très rouges mais sans marques.
SupprimerSylvie
Merci pour votre franchise ..mon fantasme préféré que je subis régulièrement contrôle de ma culotte..sale fessee deculotee zu coin et lavage culotte à la maim
RépondreSupprimerQui vous corrige ?
SupprimerSylvie
Je peut si vous le souhaite vous donnez plus de détail en messagerie privé dr
SupprimerMalheureusement je doit faire le travail tout seul ma compagne n'entre pas dans ce jeu et ignoré tout de ma pratique solutaire
RépondreSupprimerPar souci de discrétion et de confidentialité pas de détail plus précis en public
RépondreSupprimerPar souci de confidentialité et discrétion pas de détail plus précis en public
RépondreSupprimerMerci Sylvie pour ces nouveaux récits où les fesses des vilaines sont rougies par la fessée.
RépondreSupprimerMerci Corentin, pour votre commentaire, Sylvie est entrée dans un cycle où ses fesses rouges seront souvent exposées.
SupprimerSylvie