mardi 4 octobre 2022

Sylvie et Leslie 2

Sylvie commence à comprendre 


Le lendemain je me réveillai assez tôt, j’étais bien reposée. Je me demandais si je n’avais pas fait un mauvais rêve, mais je fus rapidement ramenée à la réalité par Leslie qui prenait son café dans la cuisine. Le magazine de spanking était toujours sur la table, ma belle-fille était très souriante.

- alors ma petite Sylvie, bien dormi ? et ce petit derrière, comment va t il ?

J’étais rouge jusqu’aux oreilles, je baissai la tête et je bafouillai quelque chose d’incompréhensible. Le sourire disparu sur les lèvres de Leslie.

- décidément, nous avons encore du travail, tourne toi !!

Je me doutais immédiatement de la suite des événements, j’essayai de protester.

- non, non, Mlle Leslie, pardon.

- je ne vais pas le répéter tourne toi et vite !!!

J’étais devenue une jeune fille obéissante je me tournai présentant mon dos à ma belle-fille. La suite fut des plus classiques, ma culotte de pyjama fut rapidement tirée sous mes fesses et une dizaine de claques retentirent sur ma croupe dénudée. 



Dans le silence de la pièce le bruit des claques sur la peau nue était éclatant. Je constatai avec horreur que la fenêtre était ouverte.

Leslie ne prit pas la peine de me reculotter, elle me fit pivoter pour lui faire face.

- quand je te pose une question tu me regardes et tu me réponds immédiatement. La prochaine fois tu auras droit à une vraie fessée !

J’acquiesçai d’un petit «oui Mlle Leslie»

J’étais debout n’osant pas remonter ma culotte, Leslie me jeta un regard moqueur.

- c’est bon pour cette fois tu ne déjeuneras pas cul nu, mais gare à toi si tu recommences, tu peux te reculotter. Je te sers un café ?

Leslie semblait avoir oublié l’incident, elle me parlait comme si de rien n’était. Je jetai de temps en temps un regard au magazine, Leslie le remarqua.

- il y a des choses très inintéressantes dans ce magazine, ça peut donner des idées si tu n’es pas sage.

Je pensais que la femme de ménage devait être là bientôt.

- euh, Mlle Leslie...

- oui ?

- madame Dujou la femme de ménage vient ce matin, on pourrait peut être ranger le magazine....

Leslie éclata de rire.

- c’est sûr qu’elle va être surprise que sa patronne soit une amatrice de panpan cucul. Mais c’est toi qui l’a cherché ma chérie. Ce magazine ne bougera pas de là et si par hasard je constatais que tu as voulu le cacher, je te garantis une magistrale fessée déculottée devant Mme Dujou, je suis sûr qu’elle va être ravie depuis le temps qu’elle doit passer derrière toi pour ranger ton bazar.

Je sentais le sol se dérober sous mes pieds. J'allais me lever pour aller faire ma toilette quand Leslie m'arrêta. 

- reste un peu là, nous avons à parler.

Je me rassis et essayer de regarder ma belle-fille sans baisser les yeux, je ne tenais pas à connaître à nouveau  l'humiliation du déculottage debout dans la cuisine.

- bien, comme je te l'ai dit hier soir, il n'est plus question que tu laisse cette maison dans cet état de désordre. Mme Dujou vient pour faire le ménage un point c'est tout, tu rangeras ta chambre sinon tes fesses te cuiront. Ne t'inquiète pas quand papa sera là, il ne t'arrivera rien, mais n'en profite pas, tu le payerait plus tard avec les intérêts. Pour ce qui est de ta toilette, je te fais confiance pour le moment mais je vérifierai ta culotte régulièrement, gare à toi si elle n'est pas propre. En plus d'une bonne fessée déculottée, je serai obligée de m'occuper personnellement de ta toilette intime, mais je sais que je peux compter sur toi, nous n'en arriverons pas là. 

Je m'étais forcée à la regarder pendant toute sa tirade, je devais répondre quelques chose. 

- oui Mlle Leslie, je vais faire pour le mieux. 

Je parlais comme une mauvaise élève devant sa professeure. 

- j'y compte bien, allez tu files te laver !

Et comme elle en avait pris l'habitude depuis hier soir elle me gratifia de deux bonne claques sur le popotin pour me faire accélérer. 

Quand je sortis de la chambre, je trouvai une tenue sur mon lit, Leslie avait fouillé dans mon dressing et elle avait choisi comment je devais être habillée. Il y avait une jupe évasée assez courte que je mettais l'été, un chemisier très classique, un soutien-gorge sans fioritures et une de mes petites culottes blanches en coton que je mettais quand je voulais être à l'aise. Elle n'avait pas mis de collants, je pensai que c'était un oubli, j'en pris une paire dans la commode. 

Dans le salon Leslie était en grande discussion avec ma femme de ménage, Mme Dujou était une forte femme de 50 ans, elle travaillait pour moi depuis quelques années, elle écoutait attentivement ma belle-fille en hochant la tête, la revue de spanking était posée sur la table basse. Je ne savais pas quelle attitude adopter. 

- bonjour Mme Dujou. 

J'avais avalé ma salive et décidé de faire bonne figure. Leslie me regardait de haut en bas comme pour contrôler ma tenue. Elle fronça les sourcils. 

- tu as mis des collants ?

Je rougis violemment, car Mme Dujou avait sourit à la façon dont ma belle-fille s'adressait à moi.

- euh oui, pourquoi?

- je ne les avait pas mis sur ton lit, il me semble ?

- non, mais j'ai pensé que vous aviez oublié. 

- pardon !!

- vient ici ! Tourne toi !!

- non, non Mlle Leslie, s'il vous plaît. 

- dépêche toi !!

J'étais complètement paniquée, je savais ce qui allait se passer, je restai bloquée sur place. Leslie s'approcha, saisi ma main et me fit pivoter. 

- tu vas voir ce qui arrive quand tu désobéi !!

Ma jupe était déjà retroussée sa main avait glissé dans la ceinture de mon collant et de ma culotte et les avaient  descendu ensemble sous mes fesses. 



Sa main se mit à claquer mes fesses dénudées, je trépignais sur place, la brûlure m'avait fait oublier la présence de Mme Dujou. Après une vingtaine de claques elle cessa la petite fessée. 

- tu enlèves ce collant immédiatement !

- mais, Mlle Leslie...

Je n'aurais pas du,  elle me coinça sous son bras, baissa un peu plus mon collant et ma culotte et me força à me courber. Elle m'avait fait un peu pivoter, mes fesses étaient tendues vers la femme de ménage. Sa main se remit à claquer mon derrière si bien exposé.

- je vais t’apprendre à répondre !!

Cette fois-ci ce fut une véritable fessée, je ne put m'empêcher de supplier comme une gamine et je finis en pleurs. 

- maintenant tu enlèves ce collant et vite !

Je ne me le fis pas dire deux fois, mon collant fut roulé jusqu'à mes pieds et bientôt il fut en boule dans ma main. Leslie me tendit la sienne. 

- donne moi le. Il va finir à la poubelle comme tout ceux que tu as dans ton tiroir de commode. À partir de maintenant tu n'as droit qu'aux bas autofixants, je veux avoir ta culotte disponible pour te déculotter plus facilement. 

J'étais toujours cul nu, ma culotte descendue à mi cuisses, je baissais la tête pour ne pas croiser le regard de Mme Dujou. Puis comme si j'avais été une sale gamine désobéissante, Leslie me prit l'oreille et me conduisit au coin de la pièce. 

- mets bien ton nez contre le mur, tu vas rester là les fesses à l'air pendant que je finis de discuter avec Mme Dujou. Elle retroussa ma jupe et la coinça dans la ceinture. J'étais au coin, exposant mon derrière bien rouge après la fessée, décidément Leslie avait pris des idées sur le magazine de spanking. 



- comme je vous le disais avant que Sylvie n'arrive, il m'arrive d'utiliser la fessée déculottée, vous avez pu voir que c'est efficace. À partir de maintenant je veux que cette maison soit à peu près rangée avant votre arrivée en particulier la chambre de Sylvie. Si ce n'est pas le cas, vous me le signalez immédiatement. Si je suis disponible Sylvie goûtera à la bonne fessée déculottée, si par hasard je ne pouvais me libérer je vous chargerai de ça, sauf si ça vous dérange bien sûr.

- oh mais pas du tout, Mlle Leslie, j’en ai claqué des derrières dans ma vie, j’étais l’aînée et maman me déléguait souvent la punition de mes frères et soeur, quand à mes deux filles, elles ont goûté à la fessée cul nu jusqu’à ce qu’elle quitte la maison. J’avoue que ça fait bien dix ans que je n’ai pas baissé une culotte mais c’est comme le vélo ça ne s’oublie pas.

Elle avait terminé sa phrase en riant. Leslie approuva.

- c’est sûr et bien je suis contente que nous soyons sur la même longueur d’onde. Bon bien sûr quand mon père sera là, les fesses de Sylvie seront au repos mais je compte sur vous pour noter tout ses manquements afin que nous réglions ça ultérieurement.

Je sentais le regard de Mme Dujou braqué sur ma croupe.

- c’est vrai que je n’avais jamais vu madame dans cette tenue, mais elle a une belle paire de fesses, avec un derrière comme ça, on peut y aller franchement pour la fessée.

- bon je vais me préparer, je vais emmener Sylvie faire du shopping, je vous la laisse, elle va rester au coin fesses à l’air jusqu’à ce qu’on y aille, ça va lui faire le plus grand bien.

Je n’osais pas protester, j’étais définitivement soumise aux caprices pervers de ma belle fille. Je sentais Mme Dujou s’agiter dans mon dos, nul doute qu’elle devait se régaler de voir sa patronne au coin comme une gamine la 

culotte baissée avec une paire de fesses bien rouges. Je commençais à trouver le temps long et je bougeais un petit peu sur place, à un moment j’osai même toucher mes fesses pour constater la chaleur. Une claque atterri au milieu de mon derrière.

- aïe...

- quand on est punie au coin, on ne bouge pas, pour cette fois je ne dirai rien à Mlle Leslie mais la prochaine fois je vous promets une bonne fessée, mettez donc vos mains sur la tête, ça vous évitera de frotter vos fesses.

Mme Dujou prenait décidément son nouveau rôle très au sérieux. Je repris mon attitude bien droite et je posai mes mains sur ma tête.

Leslie me trouva dans cette position, elle félicita Mme Dujou pour son initiative.

- c’est une très bonne idée que vous avez eu là, elle a été sage j’espère ? Oh et puis tant qu’on y est je vous autorise à fesser Sylvie si vous le juger utile en cas de fautes légères, nous gagnerons du temps et vous ne serez pas obligée de me déranger à tout bout de champ, par contre pour les grosses bêtises c’est moi qui me chargerai des fesses de madame.

J’écoutais complètement abasourdie mon changement de statut dans ma propre maison, j’étais passée sous la coupe de ma femme de ménage qui pourrait me déculotter et me fesser comme une gamine quand elle le voudrait.

- bon Sylvie je lève ta punition on a bien vu tes jolies fesses tu peux te reculotter, on y va.

Évidemment c’est Leslie qui pris le volant, nous allâmes dans une grande surface, Leslie se dirigea avec autorité vers le rayon lingerie.

- on va t’acheter des bas autofixants c’est quand même plus pratique pour donner la fessée déculottée.

Je rougis violemment et je jetai un coup d’oeil autour de moi car Leslie avait parlé assez fort, heureusement il n’y avait personne dans le rayon. Leslie choisissait pour moi elle me fit pivoter pour apprécier ma taille.

- tu as un bonne paire de fesses, on va prendre du taille 3.

Une vendeuse apparu au bout du rayon.

- bonjour mesdames, que puis je pour vous, j’ai entendu que vous cherchiez des bas autofixants. C’est pour madame ?

J’aurais voulu rentrer sous terre, si elle avait entendu bas autofixants, elle avait aussi entendu  que c’était plus pratique pour donner la fessée déculottée. C’était une jeune femme d’environ 30 ans, elle me regardait avec un sourire malicieux. M’imaginait elle couchée sur les genoux de ma belle-fille la culotte baissée et les fesses bien rouges. 



- ah oui merci mademoiselle, on hésite sur la taille, 

elle me fit à nouveau pivoter pour que je présente mon postérieur à la jeune vendeuse.

- ma belle-mère a quand même un bon popotin, vous pensez qu’une taille 3 va suffire.

- mais mademoiselle, si c’est des bas autofixants la taille des fesses de madame n’a pas d’importance.

Leslie se mit à rire.

- c’est vrai je n’y avait pas pensé, mais il va nous falloir des culottes de toute façon.

Je regardais obstinément mes chaussures, Leslie avait pris 4 paires de bas et se dirigeait vers le rayon des culottes.

La vendeuse n’était pas encore très loin quand elle me dit.

- tu as intérêt à faire attention de ne pas les filer trop vite sinon c’est la fessée et tu iras jambes nues même si il  fait froid !

La vendeuse se retourna et jeta un sourire complice à Leslie, elle agita sa main d’une façon non équivoque comme une maman qui menace sa progéniture.

Sans hésiter Leslie comme je le craignais se mit à choisir des culottes classiques en coton blanche, bien sûr j'en portais régulièrement pour faire du sport, je lui fis remarquer que j'en avais déjà. 



- c'est sûr ma chérie, mais à partir de maintenant tu ne porteras plus que ça, tu n'en a vraiment pas assez. Regarde celle la, elle a un petit liseré de dentelle aux cuisses, c'est mignon, allez je vais en prendre deux quand tu seras sage ou pour sortir tu auras droit à une petite culotte sexy...

Elle avait dit ça en riant car ces culottes blanche bien couvrantes même avec ce petit liseré, faisait plutôt penser à des culottes d'adolescente.

Je pouvais donc dire adieu à mes culottes en dentelle sexy, 



à mes tanga qui mettaient mes fesses en valeur. D'un autre côté quand Leslie me donnerait la fessée sur la culotte mes fesses seraient mieux protégées. Mais rapidement j’oubliai cette idée car me revint à l’oreille la phrase de Leslie «la fessée c’est toujours cul nu».



J’étais ulcérée d’être considérée par Leslie comme si j’étais encore une adolescente, je me mis à bouder de façon ostentatoire, ça n’échappa pas à ma belle-fille, elle mit son doigt sous mon menton pour que je la regarde en face.

- je ne te conseille pas de commencer à bouder comme ça devant moi, je déteste ça. Nous réglerons ça à la maison mais je te conseille de changer de tête si tu ne veux pas que je déculotte dans le magasin.

Nous sommes rentrées à la maison, Leslie discutait de tout et de rien, j’avais compris qu’il était inutile de résister et je lui parlais le plus normalement possible. La petite fessée du matin était déjà oubliée. Mme Dujou n’était plus là, je commençais à respirer un peu. Mais ce fut courte durée, Leslie avait posé son manteau, elle me désigna le coin de la pièce.

- tu files au coin, tu tiens ta jupe retroussée et tu mets bien ton nez contre le mur, tu vas réfléchir à ton attitude dans le magasin et à ce que tu mérites.



Ça recommençais, je ne dis pas un mot et je me mis au coin tenant ma jupe relevée, ma culotte blanche bien exposée, je serrais les fesses, je savais que bientôt elles seraient rouges et brûlantes.

J’entendais Leslie vaquer à ces occupations, je trouvais le temps long mais je ne bougeais pas, la sonnette retenti, je me crispai et plaquer encore plus mon visage contre le mur. Leslie alla ouvrir, je savais que de la porte d’entrée on avait une vue parfaite sur ma jupe retroussée et ma culotte moulant parfaitement mon derrière. J’entendais une conversations mais mon cerveau était embrouillé, je n’avais pas suivi le début, c’était une voix féminine.

- quand j’étais au coin pour attendre ma fessée, c’était cul nu avec la culotte baissée, je peux vous dire que si quelqu’un passait à la maison à ce moment là, je ne faisais pas la fière. Mais à cette époque à la campagne toutes les filles recevaient encore la fessée déculottée, ça ne choquait personne.

- c’est vrai vous avez raison, mais j’ai remis cette pratique en vigueur depuis que j’habite ici, chez moi en Angleterre, la fessée est encore pratiquée couramment vous savez. Vous voulez boire un café ?

Heureusement la dame qui venait livrer un colis était pressée, elle refusa. Est ce que Leslie m’aurait donné la fessée devant elle, je n’en su rien mais la menace était à peine voilée.

Cela faisait maintenant 45’  que je morfondais dans mon coin, Leslie m’appela.

- viens ici ma chérie, j’espère que tu as bien réfléchis à ta conduite au magasin. Tu es une adulte et à ton âge on ne boude pas comme une gamine.

Je ne répondais pas, j’avais les yeux rivés sur la table basse du salon où Leslie avait déposé une grande cuillère en bois de cuisine. La réaction de Leslie fut sans surprise en un quart de seconde, elle m'avait fait pivoter, ma culotte était sous mes fesses et je trépignais sous la dizaine de claques qui s'abattaient sur mes fesses nues. Elle remonta ma culotte et me fit à nouveau tourner. 

- il va falloir que tu comprennes ma petite chérie que  quand je pose une question tu dois répondre. 

- aïe aïe aïe, oui Mlle Leslie. 

- bien, donc tu as réfléchi à ta conduite ?

- oui Mlle Leslie. 

- bien, donc tu sais ce que tu mérites ?

- euh....

- répond, vite!!!

- oui Mlle Leslie... euh...une fessée ?

- exactement et même je vais compléter ta phrase. Tu mérites une bonne fessée déculottée. Et je vais te la donner immédiatement !! Viens ici.!!

Leslie s'était assise sur une chaise, placée au milieu du salon, ça donnait encore un peu plus de solennité au châtiment annoncé. Couchée en travers des genoux de ma jeune belle-fille au milieu du salon, ce n'était pas banal à  l'époque mais depuis tous les meubles de la pièce connaissent mes fesses jusque dans leur plus petit détail. Ma courte jupe était déjà remontée découvrant mes cuisses, Leslie la retroussa haut sur les reins et commença immédiatement à me claquer les fesses moulées dans la fine culotte en coton. Je m'aperçus rapidement que cette petite lingerie protégeait bien mal d'une bonne fessée. 



Surtout que Leslie, je l'apprendrais par la suite avait une grande habitude de la fessée, sa main s'abattait régulièrement sur mes fesses culottées, jamais au même endroit, sous mes tortillements, ma culotte rentrait dans ma raie, découvrant un peu mes fesses, Leslie s'attaqua donc à cette partie de mes fesses qui était maintenant bien visible, ça brûlait plus que la simple fessée sur la culotte. Il me semblait que Leslie ne s'arrêterait jamais, en levant la tête j'avais une vue parfaite sur la grande cuillère en bois, elle n'était pas là pour rien. 

- bien j'espère que tu commences à comprendre où te mène ton comportement infantile, ton petit derrière est bien échauffé, on va passer à ta punition. 

J'étais terrorisée, mes fesses encore culottée me brûlaient déjà beaucoup, les doigts de Leslie s'imiscait sous la ceinture de ma culotte, je la sentis franchir la courbe de mes fesses. Leslie les palpa. 

- voilà un derrière bien chaud. Pourquoi vas tu recevoir la fessée déculottée ma chérie ?  je veux que tu me le dises.

Je n'avais pas le choix...la tête près du sol les fesses brûlantes bien tendues vers ma belle-fille. Je m'exécutai en parlant difficilement. 

- oui Mlle Leslie, j'ai mérité la fessée déculottée parce que j'ai boudé au magasin. 

J'en avais rajouté dans l'humiliation espérant peut être un peu de clémence de ma fesseuse. Je la vis prendre la cuillère en bois, elle frotta mes fesses avec. Mes fesses étaient crispées, j'attendais le premier coup. 

- aïe aïe aïe non, Mlle Leslie aïe aïe aïe. 



Les coups pleuvaient sans discontinuer, mes jambes battaient l'air, elle n'avait pas utilisé jusqu'à présent d'instruments pour me punir c'était terrible. La fessée fut courte mais magistrale. 

- j'espère que ça va te servir de leçon ma petite chérie, ton petit derrière est magnifique. Maintenant tu tiens ta jupe retroussée et tu files au coin. 

Mes fesses étaient tellement brûlantes que j'aurais voulu les frotter, mais je devais tenir ma jupe, mes mains étaient occupées. Je me dirigeai lentement vers le coin de la pièce, la culotte enroulée autour de mes chevilles m'empêchait un peu de marcher. Une fois contre le mur j’y collai mon nez et je ne bougeai plus.

J’entendis Leslie parler au téléphone, malgré ma honte d’avoir été punie comme une gamine et la douleur de mon fessier, j’essayai d’entendre la conversation.

- olala, oui je viens de lui en flanquer une bonne, ses fesses sont d’un beau rouge éclatant comme disait ma mère on pourrait presque y faire cuire un oeuf...hihi

- ...

- non, non, elle n’a rien dit, de toute façon je ne lui ai pas laissé le choix. Oui il est vraiment adorable, bien rond, un petit cul à fesser.

- ...

- mais oui, c’est promis, mais attend encore un peu. Bon je te laisse, ma petite chérie n’a pas compris comment on se tient au coin, je vais lui faire un petit rappel.

J'avais légèrement décollé mon nez du mur et je me dandinais un peu sur place pour atténuer la cuisson de mes fesses. Je n'ai pas entendu arriver Leslie mais quand elle m'a saisi l'oreille je n'ai pas pu m'empêcher de crier. Elle m'a courbée sous son bras et m'a administré une courte mais magistrale fessée, tout en me grondant comme une adolescente. 

- quand je te mets au coin, c'est le nez contre le mur et sans bouger !! Puisque tu n'as pas l'air de comprendre tu vas y rester encore 1/4 d'heure. 

Puis elle a prit une feuille de papier, et me l'a mis sous le nez.

- tu la tiens avec ton nez contre le mur, si elle tombe tu reviens faire un petit séjour sur mes genoux. 



Je peux vous dire que j'ai passé un quart d'heure horrible et que depuis je sais me tenir au coin. 

D'ailleurs j'ai un coin attitré dans la pièce, c'est celui qui fait face à la porte d'entrée, Leslie l'a choisi pour que mes fesses soient bien visible pour les visiteurs même ceux qui restent sur le pas de la porte. Je ne compte plus le nombre d'heures que j'y ai passé, les fesses à l'air bien rouges après la fessée ou encore blanche dans l'attente de la punition. J'ai remarqué d'ailleurs que la tapisserie est un peu usée aux endroits où je pose mon nez ou mon front. 

Quand elle m'a fait quitter le coin, Leslie ne m'a pas autorisé à remettre ma culotte, elle l'a pliée et posée bien en évidence sur la table. 

- tu es privée de culotte jusqu'à 16 h

C'était la première fois que je passais une partie de la journée cul nu sous ma jupe, ce ne fut pas la dernière. C'est un des compléments de punition préféré de Leslie, il m'arrive encore aujourd'hui de devoir aller faire mes courses sans culotte sous ma jupe et même de passer des journées entières fesses à l'air comme le dit en riant ma belle-fille. 



Je n'ai plus jamais mis de pantalon depuis cet époque, c'est une question d'habitude. 

J'avais été punie la journée, je connaissais donc la suite de la soirée. Dès que la cuisine fut en ordre, un petit signe m'indiqua qu'il était temps d'aller me préparer pour la nuit, j'étais à  nouveau punie comme une adolescente, privée de télé et au lit. 

Bien sûr je pris soin de ne retirer ma culotte avant de mettre mon pyjama puis je revins dans le salon. Leslie téléphonait à nouveau. 

- la voilà, chérie, je vais te mettre l'ampli du téléphone et je le pose sur la table. À tout à l'heure. 

Je réalisai qu'elle n'avait pas raccroché, sa correspondante allait assister en audio à ma punition. Je commençais à m'habituer aux fessées de Leslie mais sa propension à faire participer d'autres personnes à mon humiliation m'inquiètait. Je n'eut pas le temps de réfléchir plus avant, elle ne s'était pas levée du canapé mais avec un petit signe du doigt elle m'avait fait approcher puis m'avait basculée en travers de ses genoux. 

- allez la petite fessée déculottée du soir pour ma vilaine Sylvie, tu vas voir comme je vais bien te chauffer les fesses. 

Elle parlait assez fort, c'était bien sûr pour sa correspondante que j'imaginais tout excitée à l'autre bout du téléphone. 

Elle baissa brusquement ma culotte de pyjama jusqu'à mes genoux. 



- voilà une joli petit cul. Mais elles sont toutes blanche ces petites fesses....Quand je pense au cinéma que tu as fait quand je t'ai donné la fessée tout à l'heure. 

En fait elle commentait la fessée qu'elle allait m'administrer. Elle carressa mes fesses comme pour bien en prendre la mesure, puis l'avalanche de claques se déversa sur mon derrière. 

- aïe aïe aïe non Mlle, aïe aïe aïe pardon, non plus la fessée Aïe ouille ouille Nooon. 

C'était juste sa main, mais c'était super douloureux, j'avais conscience de lui offrir un spectacle particulièrement impudique en ouvrant largement mes cuisses et mes fesses pour essayer d'échapper à la fessée, mais j'étais solidement maintenue par la taille et seule mes jambes pouvaient bouger. 

- quelle jolie danse des fesses, ma chérie tu es vraiment douée. Voilà une belle paire de fesses bien rouges !



Je pleurais maintenant, j'avais oublié le téléphone sur la table, j'étais toujours couchée sur les genoux de Leslie,  pantelante.

- tu vois ce qui va t'arriver à chaque fois que tu feras des bêtises dans la journée, j'espère que ça va te servir de leçon. Quand tu en auras assez d'aller au lit avec des fesses bien rouges et cuisantes tu seras peut être sage.

- oui, Mlle...oui..ça brûle...pardon. 

- c'est bien, maintenant tu vas te laver les dents et les fesses et au lit, j'arrive dans 5'.

Je me relevai et filai en vitesse vers la salle de bain, sans remonter ma culotte de pyjama. 

Je me doutais bien qu'elle était maintenant au téléphone avec son amie en train de commenter ma punition de gamine. Je fis ma toilette rapidement et 5' après j'étais effectivement dans mon lit, le réveil marquait 20h30. C'était encore plus tôt qu'hier. 

Depuis 20 ans que je suis soumise à ce régime, j'avoue que je m'y suis habituée, c'est un peu difficile l'été quand les soirées sont longues. Mais c'est à la limite plus agréable que de passer la soirée au coin fesses à l'air à exposer ses fesses aux invités.


 

Mais nous y reviendrons....

4 commentaires:

  1. La cuillère en bois est toujours à disposition dans la cuisine c'est son gros avantage. Pour la cuisson c'est équivalent à la brosse à cheveux. L'avantage de fesser les dames, c'est qu'une jupe se retrousse beaucoup plus vite qu'on ne baisse un pantalon. Le pantalon est bien sûr interdit aux dames qui reçoivent encore la fessée déculottée même si elles en ont passé l'âge.
    Sylvie

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  2. Merci de l'information

    Oui , que ce soit la cuillère en bois ou la brosse à cheveux , ce sont des instruments qu'une maman a à disposition dans la maison.

    J'ai vu que c'étaient des instruments traditionnellement associés à la fessée maternelle .

    Pour la fessée paternelle, j'ai vu qu'on associe souvent la ceinture, puisqu'une ceinture , pliée en deux , c'est quelque chose qu'un homme à très souvent à disposition immédiate.

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  3. Merci beaucoup pour cette très plaisante histoire
    En plus de la douleur de la fessee sylvie doit subir l'humiliation d'une hygienne intime sous contrôle et décide malgré elle sonintimite lorsque elle écarté les jambes jattend la suite avec impatience merci denis

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    Réponses
    1. Merci, et oui Sylvie est maintenant soumise à la fessée, qu'elle fantasmais, c'est plus douloureux pour ses fesses. Mais ça va lui faire le plus grand bien. La suite arrive bientôt, patience.
      Sylvie

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