dimanche 2 octobre 2022

Sylvie et Leslie 1

Début d'une soumission domestique


Je m'appelle Sylvie j'ai 65 ans, cette histoire débute il y a une vingtaine d'années. Je venais de divorcer, j'étais seule sans enfants mon mariage avait été une catastrophe mais miraculeusement quelques mois plus tard alors que je commençais à revivre, j'ai rencontré John un anglais à peine plus âgé que moi, veuf, extrêmement gentil. Il était dans l'import-export avec des revenus confortables. Six mois plus tard nous étions marié, il était le père d'une jeune femme âgée à cette époque de 25 ans, c'était une fille sportive qui travaillait dans la banque. Son père ayant décidé d'habiter en France avec moi, elle trouva rapidement du travail à côté de chez nous dans le Sud de la France. John était très souvent absent, ce qui n'était pas très gênant car j'aimais mon indépendance. Quand Leslie me demanda si ça ne me gênait pas qu'elle habite à la maison le temps de trouver un logement, j'acceptai avec plaisir, j'adorais cette jeune femme dynamique que je considérais comme ma fille.

John était parti pour un mois quand Leslie s'installa à la maison. Je n'avais jamais été un foudre de guerre concernant le rangement et le ménage, je constatai rapidement que ça agaçait Leslie. Elle passait souvent derrière moi pour ranger et me faisait des petites remarques du genre.

- mais votre mère ne vous a jamais appris à ranger !

C'était dit sans méchanceté mais d'un ton assez ferme. Je dois avouer que j'étais un peu troublée, en effet depuis mon adolescence je fantasmais sur l'éducation sévère, ce qu'on appelait couramment à l'époque, "l'éducation anglaise" avec son lot de punition et de châtiment corporel, j'avais été élevée chez les soeurs et je n'avais pas échappé à l'internat à la traditionnelle fessée déculottée administrée par la pionne après un chahut mémorable, même si c'était déjà interdit, personne n'allait se vanter de s'être fait baisser la culotte.  



J'avais 15 ans et ça avait déclenché chez moi une tendance masochiste mais qui était toujours restée secrète. J'avais un jour découvert chez un bouquiniste une revue en anglais de spanking appelée Janus que j'avais dévoré mais cette revue était restée  bien cachée au milieu de mes livres. Leslie était logée dans la chambre où était justement cette bibliothèque. Ce jour là en rentrant dans le salon, mon sang s'est glacé quand j'ai vu la revue coquine sur la table posée bien en évidence. Leslie leva les yeux de son livre.

- mon père connaît cette revue ?



J'étais rouge, je bégayais, je ne savais plus où me mettre, le pire c'est que Leslie n'en rajouta pas et repris sa lecture. Je me précipitai dans la cuisine pour préparer le repas.

Ma belle fille se montra enjouée pendant le repas, ensuite j’ai débarrassé la table et essayé du mieux que je pouvais de ranger la cuisine. Leslie me regardait faire avec un petit sourire, on aurait dit qu'elle se jouait de ma gêne.

- tu files te mettre en pyjama et tu reviens me voir !!

La phrase avait claqué, je regardais Leslie, j'étais à côté d'elle m'apprêtant à m'asseoir.

- mais ça va pas !

Ma réponse était sortie naturellement, deux claques violentes sur mes cuisses me firent sursauter.

- tourne toi !!

Comme un automate je m'exécutai et je poussai un cri, Leslie avait tiré sur la ceinture de mon leggings et d'un même mouvement l'avait descendu avec ma culotte. J'étais les fesses à l'air au milieu du salon, quatre claques retentirent sur mon fessier exposé. Tétanisée je n'avais pas réagi.

- retourne toi !!

C'est à ce moment-là que je me rendis compte que ma belle-fille avait abandonné le vouvoiement pour le tutoiement, je n'avais pas remonté mon leggings.

- une phrase comme celle que tu viens de prononcer, mériterais une bonne paire de gifles, mais je déteste ça, je trouve que c'est dangereux et vulgaire. Par contre tes fesses sont tout à fait adaptée, on peut les claquer fort sans aucun danger. À partir de maintenant, à chaque fois que ça sera nécessaire je te claquerai les fesses et où que l’on soit.

Je baissais la tête et chose incroyable je n'avais pas protesté, pire j’ai répondu naturellement.

- oui Leslie, pardon

- Mlle Leslie !! Bon assez discuté, en pyjama en vitesse et tu reviens me voir !!

Comme une automate je me dirigeai vers la porte, je commençais à remonter mon leggings.

- tu restes fesses à l'air !!



J'étais abasourdie, je me déshabillais en regardant le réveil, il était 20h45, jamais de ma vie je n'avais mis mon pyjama à cette heure la.

Je revins dans le salon, la tête basse, les joues rouges, Leslie posa calmement son livre et me fit signe de me mettre devant elle. J'avais l'impression d'être une gamine devant sa mère ou son institutrice, je me tenais droite, les bras le long du corps. Elle avait pris le magasine où des jeunes femmes déculottées exposaient leurs fesses bien rouges.

- donc mon père ne connais pas l'existence de ce torchon !

- ….

- il va être content de le lire,

- oh non, non, Mlle Leslie

J'avais utilisé naturellement le terme mademoiselle. Elle souriait et tapotait son genoux qu'elle avait croisé négligemment.

- c'est sûr que ça ferait tâche

Elle laissa passer un instant.

- je pense que tu comprends, je veux bien être discrète mais ce genre de choses ne peut rester impunie.

- euh...oui Mlle Leslie.

- je crois qu’on pourrait mettre en application ce qu’il y a écrit sur cette revue, qu’en penses tu?

Je commençais à regarder ma jeune belle-fille d’un air un peu différent, je comprenais vaguement où elle voulait en venir mais c’était tellement imaginable que mon cerveau était comme anesthésié. Je ne répondais pas.

- tourne toi !!

Pour la deuxième fois elle baissa sèchement mon pyjama et ma culotte et sa main claqua rapidement mon derrière dénudé. 



-  aïe, aïe 

Elle remonta ma culotte.

- maintenant tu réponds !!

J’avais les larmes aux yeux. Son regard sévère me fixait.

- euh, oui… si vous le pensez mademoiselle …

- j’en suis sûr ! Viens ici !

Je m’approchai timidement d’elle, elle prit ma main et me fit basculer en travers de ses genoux. Elle prit son temps pour m’installer confortablement, j’avais la tête tout près du sol, les pieds légèrement décollés et mon généreux popotin bien tendu vers le ciel à portée immédiate de la main de Leslie. Elle commença à le tapoter doucement, la position tendait la culotte de pyjama sur mon fessier.

- tu as une bonne paire de fesses ma chère Sylvie, un joli joufflu comme on dit… ça doit bien prendre la fessée un derrière comme ça.

Elle me baissa la culotte du pyjama jusqu’aux genoux. Inconsciemment je serrais mes fesses, elle tira sur la ceinture de ma culotte ce qui eut pour effet de la faire rentrer dans ma raie.



- je  penses que ce n’est pas sain que tu gardes ta culotte pour dormir, à partir de maintenant tu seras cul nu sous ton pyjama.

Elle avait accompagné cette dernière phrase de deux bonnes claques sur mes fesses légèrement découvertes

 - bon on va quand même allez voir ce derrière que tu caches sous ta petite culotte.

L’humiliation continuait, ma jeune belle-fille venait de décider pour moi comment je devais être habillée pour dormir et maintenant elle était en train de me déculotter comme une vulgaire gamine. Ça ne m’étais jamais arrivé à la maison, je me retrouvais vraiment dans la position d’une gamine sur les genoux de sa mère, sauf que la maman en question avait l’âge d’être ma fille.

Je sentis ma culotte descendre lentement sur ma croupe rebondie, l’air frais sur mon derrière me faisait une drôle d’impression, tout à coup mon cerveau se remit à fonctionner, j’exposais mes fesses nues à ma belle-fille. Je poussai un cri et j’essayai de me relever.

- non ! non ! s’il vous plaît Mlle Leslie, pas la culotte ! Aïe Aïe, Noon !

Leslie était une sportive accomplie et elle me tenait fermement ceinturée,  ma tentative pour me relever m’avait valu quelques claques magistrales également réparties sur mes deux fesses maintenant dénudées. Je commençais à me rendre compte que j’étais sur le point de recevoir une fessée déculottée à 45 ans passé.

- et pourquoi donc pas la culotte, d’après les photos que j’ai pu consulter sur ton magazine, les dames n’ont plus de culottes, c’est la fessée cul nu comme on dit.

Ma culotte était maintenant à mi cuisse, mes fesses bien exposées. 



Pour une fessée, ce fut une fessée vraiment magistrale que m’administra ce soir là ma belle-fille que je n’appellerais plus dorénavant que Mlle Leslie sauf en présence de son père qui est mon mari.

Ma première fessée ne fut pas très longue. Mais maintenant avec l’expérience je sais qu’une bonne correction bien administrée, n’a pas besoin de durer trop longtemps pour être efficace et vous laissez pantelante et en pleurs en travers des genoux de votre fesseuse. Le feu qui envahi à ce moment votre fessier vous fait tout oublier, votre âge, votre dignité. Vous pleurez comme une madeleine, vous exposez sans souci de pudeur votre intimité à quelqu’un qui possède maintenant tout les droits sur vous puisqu’elle a été capable de vous coucher dans cette position humiliante et de vous déculotter malgré votre âge.

C’est précisément ce qui m’arrivait à ce moment précis. Quand Leslie cessa la punition, j’étais redevenue une jeune fille, fessée d’importance par sa maman. Elle me garda dans cette position infantilisante, mes fesses me brûlaient horriblement, j’étais obligée d’écouter les remontrances d’une jeune femme de 25 ans en lui exposant mes fesses nues.

- bien, j’espère que ça va te servir de leçon, depuis que j’habite ici ton comportement m’insupporte, mais tu es une très bonne épouse pour papa, donc je vais faire en sorte que tu t’améliores, ça sera mieux pour tout le monde. A partir de maintenant, je veux que tu ranges systématiquement sans que j’aie besoin de te le dire, je ne suis pas ta bonne. Demain nous ferons le point sur ce qui ne va pas et je t’indiquerai comment t’améliorer. Je pense que tu en as les capacités. De toute façon tu a pu voir ce qui t’attends si j’ai quelque chose à te reprocher. A chaque bêtise où désobéissance ce sera un passage sur mes genoux la culotte baissée. Tu as pu constater que ce n’est pas très agréable, il ne tient qu’a toi de faire ce qui faut pour éviter la fessée déculottée.

Quand tu auras été punie dans la journée, tu auras droit à une autre fessée avant d’aller au lit, tu seras privée de télé et tu seras couchée à 9 Heure, comme ce soir !

J’étais abasourdie par toute cette tirade que m’avait assénée Leslie, elle tapotait mes fesses en parlant manière de me faire comprendre qu’à partir de maintenant mon fessier lui appartenait.

Elle me fit relever, j’étais rouge de honte mais Leslie maintenant était souriante.

- ne fait pas cette tête là, une bonne fessée cul nu n’a jamais tué personne, maintenant c’est fini.

Elle me fit lever les pieds pour me retirer complètement le pantalon de pyjama et ma culotte. Elle l’a retourna et en regarda le fond.

- tu vas pouvoir te laver les fesses en même temps que les dents ma petite chérie.

J’étais mortifiée par cette remarque, j’aurais voulu répondre mais la cuisson qui envahissait encore mon derrière m’incita à la prudence. Elle me tendit le bas du pyjama et la culotte.

- tu vas mettre ta culotte dans la panière à linge sale et tu remettras ta culotte de pyjama quand ton derrière sera nickel. Allez file !

Elle avait accompagné cette dernière remarque par une claque sur mes fesses déjà douloureuses, ce fut efficace pour me propulser en direction de la salle de bain.

J’étais dans un état second je n’avais rien trouvé à redire à cette avalanche de directives qui me ramenait quasiment  à la condition de pupille de Mlle Leslie.

Bien sûr elle arriva quelques instants après dans la salle de bain et me regarda en souriant en train de procéder à ma toilette intime, à nouveau je ne protestai pas.



- tu as des fesses ravissantes Sylvie, à peine quelques traces de cellulite et puis le rouge leurs va si bien.

Elle avait dit ça en riant et à nouveau elle me claqua gentiment les fesses.

- bon allez maintenant tu te reculottes et au dodo !

Comme je l'ai dit un peu plus tôt, j'avais été envoyée dans ma chambre pour me mettre en pyjama à 20h45, le temps de m'administrer la fessée déculottée et le passage à la salle de bains il était un peu plus de 21 heures quand je fut bordée par Leslie, elle poussa la ressemblance avec une fessée maternelle en m'embrassant sur le front pour me souhaiter une bonne nuit.

Le plus curieux c'est que moi qui ne m'endormait jamais avant 23 heures, je trouvai le sommeil rapidement. Depuis maintenant plus de de 20 ans que je suis fessée régulièrement par Leslie c'est une chose qui ne s'est jamais démentie, je dors toujours très bien après une bonne fessée déculottée.



Mais ce somnifère la n'est pas pris en charge par la sécurité sociale.


11 commentaires:

  1. l'éducation peut commencer à tout âge. pour Sylvie ça a commencé à 45 ans et le plus embarrassant pour elle c'est que ça a commencé car sa belle-fille est sa tutrice dans cette éducation. belle mise à jour. avoir hâte de

    Chinmay

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    1. Bonjour Chinmay, je savais que cette histoire vous plairait. L'éducation de Sylvie va s'étaler sur de nombreuses années. Attendez la suite.
      Sylvie

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    2. J'avoue que je reçois beaucoup plus souvent que je ne donne mais détrompez vous la dame à beaucoup plus mal aux fesses que vous à la main. Et puis c'est quand même l'essence même de fessée que de baisser la culotte et de claquer les fesses, à tout âge on redevient une gamine sur les genoux de maman.
      Sylvie

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    3. C'est vrai que le côté régressif de retours en enfance peut avoir un côté amusant.

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  2. J'avoue ne pas être une fan de la canne, en bonne française je suis plutôt une adepte du bon vieux martinet de ma grand mère. Mais Sylvie n'en est qu'au début de son éducation des surprises sont toujours possible.
    Sylvie

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  3. L'avantage du martinet ou de la sangle , c'est que comme c'est des objets en cuir, il y a peu de chance de vraiment blesser à moins de faire n'importe quoi . Les objets en bois sont plus dangereux.

    J'ai l'impression que vous aimez beaucoup la fessée classique à la main , mais aussi la brosse? Plus fan des USA que de l'Angleterre? ( je plaisante)

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  4. Le "bon vieux martinet de grand-mère" , une "valeur sure" hehe.

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  5. Vous avez raison, je préfère les instruments qui ont rapport avec la fessée maternelle, donc la main, la brosse à cheveux, la large cuillère en bois que l'on trouve dans toutes les cuisines et bien sûr le bon vieux martinet qui était suspendu dans la cuisine, toujours prêt à servir. Pour les fessées scolaires, je suis vieille France, à mon époque les institutrices couchaient les vilaines filles sur un genou avec un pied sur la chaise et c'était parti pour une bonne fessée à la main où à la règle plate en général sur la culotte quand c'était devant toute la classe. Pour la fessée déculottée c'était le soir après la classe si la maman avait donné son autorisation.
    Souvenir, souvenir…
    Sylvie

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  6. ( je vais dire " ils" pour désigner les garçons et les filles)

    C'est très compréhensible.

    La majorité des amateurs de fessées ont commencé à être attiré par cette pratique vers l'adolescence, alors même qu'ils étaient encore soumis à la fessée en cas de bêtise. La fessée est devenue une source de douleur bien sûr, mais aussi d'une forme troublante de plaisir. C'est donc qu'ils appréciaient , au moins en partie, l'instrument de punition de leur enfance , souvent le martinet en France ( mais pas que= Les Anglais ont plus d'affection pour la cane et les Américains pour le paddle ( palette à fessée).

    Désormais adulte, rien de mieux pour revenir en enfance que de recevoir la fessée avec l'instrument que l'on recevait quand on était encore enfant.

    Pour ce qui est du martinet en France, il y a beaucoup de personnes d'une quarantaine d'année et sans doute moins qui ont entendu parler de cet instrument iconique ( le martifouet des inconnus) , ne l'ont jamais reçu mais ont gardé une curiosité et de fantasmes pour cet objet.





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  7. C'est vrai, vous avez raison, mais il ne faut quand même pas oublier la main qui est toujours disponible. Je me souviens de fessées déculottées manuelles qui vous laisse les fesses en feu. C'est quand même l'instrument préféré des mamans à mon avis. Bien sûr son défaut c'est que la rougeur s'estompe assez vite,mais rien n'empêche de remettre une seconde couche.
    Sylvie

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  8. Un des autres problèmes c'est que ca fait mal à la main aussi non?

    Moi qui n'ai jamais donné de fessée , je pense que j'aurai mal à la main avant que la demoiselle n'ait mal derrière , surtout si la dame en question a déjà l'habitude de recevoir la fessée.

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