vendredi 30 septembre 2022

Fessothérapie 5

Le traitement de Martine 


Martine Serat était à l’heure, elle savait pour en avoir subi les conséquences qu’il fallait être exact au rendez-vous donné par Mlle Jeanne.

Comme c’était précisé sur la porte, elle sonna et entra dans le hall d’accueil. Un bruit caractéristique et qui lui était maintenant familier retentissait dans la pièce, elle tourna la tête et constata que la porte du bureau de Mlle Jeanne était ouverte, c’est de là que provenait le bruit clair des claques administrées sur la peau nue, accompagné des gémissements caractéristiques d’une dame en train de recevoir une bonne fessée.

Martine savait que ce serait bientôt son tour mais savoir que quelqu’un partagerait ce matin son infortune et commencerait sa journée de travail avec une paire de fesses bien rouge était très satisfaisant.

Elle s’approcha doucement pour jeter un regard à l’intérieur, elle connaissait la disposition du bureau et l’endroit où se mettait Mlle Jeanne en général pour administrer la fessée. Effectivement Mlle Jeanne tournait légèrement le dos à la porte, elle ne pouvait pas la voir, par contre elle avait une vue parfaite  sur le fessier déjà rubicond de Laetitia, elle avait reconnu immédiatement la jeune secrétaire même si elle n’avait encore jamais vu ses fesses nues. La jeune femme exécutait une magnifique danse des fesses. Juste au moment où Martine avait jeté un oeil dans le bureau, Mlle Jeanne venait de prendre sa brosse à cheveux et Laetitia ne s’était plus contentée de gémir, elle criait maintenant jetant ses jambes à droite et à gauche, ouvrant largement ses fesses, sa culotte était maintenant enroulée autour de ses chevilles. 



C’était vraiment une très sévère fessée que recevait la jeune secrétaire, d’ailleurs bientôt les pleurs succédèrent aux cris et les mouvements désordonnés de la punie se calmèrent. Mlle Jeanne posa la brosse et palpa le fessier écarlate, c’était le moment qu’elle attendait pour cesser la punition, le moment où la dame couchée sur ses genoux lâchait prise.

- voilà une belle paire de fesses bien rouges et bien chaudes pour commencer la journée.

Martine se recula doucement et alla s’asseoir sur une chaise. Quelques instants après Laetitia sorti du bureau, elle avait les yeux un peu rougi, elle marqua un temps d’arrêt en voyant Martine assise.

- oh, bonjour Mme Serat,vous êtes là depuis longtemps ?

Martine ne put s’empêcher de sourire, elle pouvait enfin rendre la monnaie de sa pièce à cette petite pimbêche qui s’était moquée d’elle hier soir.

- quelques minutes, Mlle, juste à temps pour entendre un joli petit concert.

Laetitia rougit violemment mais elle ne répondit pas, cette petite garce ne perdait rien pour attendre.

Mlle Jeanne était à la porte de son bureau. 

- c'est bien madame, vous êtes à l'heure,  allons y. 

Comme prévu Martine n'avait pas mis une jupe crayon comme elle les aimait, ni un tailleur pantalon, c'était rigoureusement interdit. Elle avait opté pour une jupe sage s'arrêtant au genou, de forme un peu évasée, c'était marqué sur la feuille que lui avait remis Laetitia Lors de son premier rendez-vous.

Mlle Jeanne s'installa sur la chaise, Martine eut un petit frisson, elle savait que c'était la chaise à fessée, la fessothérapeute n'avait pas l'intention de perdre du temps. Elle fit un petit signe à sa patiente. 

- venez madame, on va procéder à l'interrogatoire, comment vous sentez-vous ?

Elle avait pris la main de Martine et l'avait tiré vers elle. Celle-ci se laissa faire. En un instant elle se retrouva couchée en travers des genoux de Mlle Jeanne, celle ci lui retroussa rapidement la jupe. Martine avait mis une culotte rose en dentelle qui ne cachait pas grand chose de son derrière. La fessothérapeute palpa lentement les fesses. 

- vous êtes bien tendue madame, allez desserrez moi ses fesses. Bon alors cette réunion comment va t elle se passer ?

- euh...Je pense que ça va aller Mlle, je sais qu'il faut que je me concentre bien. 

- c'est bien, mais si vous avez les fesses aussi contractées je ne pense pas que ça va aller. 

Mlle Jeanne commença doucement à claquer les fesses par dessus la culotte. C'était une succession de claques bien réparties sur chaque fesse, alternant la droite puis la gauche descendant à la racine des cuisses. Puis elle augmenta progressivement la force des claques, Martine se mit à gémir et à tortiller ses fesses, la culotte rentrait de plus en plus dans la raie fessière, le derrière était pratiquement découvert, la jolie croupe dodue prenait une belle couleur, virant du rose au rouge. 

La fessothérapeute prenait son temps, ce n'était pas une fessée punitive de maman en colère qui jette sa fille sur ses genoux la déculotte et claque très fort. La fessée thérapeutique devait chauffer progressivement ce derrière, elle devait s'imprégner dans le cerveau de la patiente, sa volonté était annihilée, à 40 ans elle présentait volontairement ses fesses nues pour recevoir une bonne fessée déculottée et c'était pour son bien, elle devait accepter ce châtiment enfantin et même le demander.

Mlle Jeanne baissa lentement la culotte, elle s’amusait à la tirer doucement, elle était coincée entre les fesses et même les lèvres,


 elle glissa sa main entre les cuisses de sa patiente et sourit en constatant une légère humidité. Madame apprécie le panpan cucul on dirait, on va lui en donner. La culotte était désormais à mi-cuisse, la main ferme se remit à claquer le derrière si bien présenté, mais cette fois-ci les claques étaient plus sévère, Martine poussait des petits cris et commençait à ouvrir et à serrer les fesses pour atténuer la cuisson, maintenant le fessier était écarlate. Mlle Jeanne cessa à nouveau la fessée, elle caressa cette belle croupe de femme si chaude, c’était un moment qu’elle appréciait beaucoup, Martine gémissait doucement.

- c’est bien vos fesses commencent à être parfaitement détendue, comment vous sentez vous ?

- euh, bien Mlle, mais ça brûle vraiment.

Mlle Jeanne se mit à rire.

- et oui une bonne fessée cul nu ça brûle, vous savez que c’est fait pour ça. D’ailleurs pour que vous réussissiez cette réunion il faut que vous sentiez vos fesses bien chaudes et douloureuses pendant toute sa durée, vous verrez c’est souverain comme remède.

Martine ne disait rien, elle savait qnue la séance n’était pas finie et elle avait raison. Mlle Jeanne avait enfilé un gant chirurgical, elle écarta les fesses de sa patiente. Martine par réflexe contracta ses fesses ce qui lui valu immédiatement une dizaine de claques supplémentaires sur son fessier déjà brûlant.

- mais c'est quand même incroyable, je vous ai dit de vous détendre, tant pis pour vous votre petit derrière va vous brûler un peu plus. 

- oui, aïe aïe aïe, pardon mademoiselle. 

La petite punition terminée, Martine se laissa faire. Ses fesses étaient largement écartées, Mlle Jeanne posa son doigt sur la petite rondelle brune et doucement le fit pénétrer dans l'anus de sa patiente. 



Ce petit viol de son intimité fit gémir Martine mais elle se garda bien de protester, ses fesses brûlantes lui rappelait qu'elle devait subir son traitement sans protester. Maintenant le doigt avait pénétré profondément et Mlle Jeanne le faisait coulisser et tourner à l'intérieur. Martine gémissait doucement. 

- voilà, c'est bien, détendez vous madame. 

Avec son autre main la fessothérapeute claquait doucement les fesses qui progressivement se relâchait. Martine émis un petit râle qui fit sourire Mlle Jeanne, elle retira son doigt et recommença la fessée, pas très longue mais très forte, ce qui eut pour effet de transformer les gémissements de sa patiente en pleurs. C'était le moment du lâcher prise, le traitement commençait à être efficace. Elle arrêta la fessée et se mit à carresser la croupe écarlate. 

- c'est très bien madame, je vous félicite vous prenez très bien votre traitement, vous allez voir la matinée va se dérouler parfaitement. Relevez vous. 

Martine avait les joues très rouges et quelques larmes avaient coulé, elle les essuya et rapidement porta ses mains à ses fesses. Mlle Jeanne la laissa faire quelques secondes. 



- bien, on a presque terminé, arrêtez de frotter votre petit derrière bien rouge, il faut que la douleur s'imprégne dans votre cerveau. 

Elle la fit pivoter et coinça la jupe dans la ceinture pour dégager les fesses, elle remonta la culotte. 

- une fessée manuelle aussi sévère soit elle ne permet pas aux fesses de rester rouges longtemps, votre réunion est assez longue m'avez vous dit. Il va donc falloir un petit supplément, vos petites fesses sont bien détendues et vous aussi, vous allez vous mettre au coin pendant 10' le temps que passe la cuisson la plus intense. 

Martine n'était plus en état de protester, elle se laissa conduire au coin comme une mauvaise élève devant toute la classe. 


Mlle Jeanne assise à son bureau contemplait ce fessier écarlate avec satisfaction. Elle appela Martine. 

- bien nous arrivons au terme du traitement, comme je vous l'ai dit il faut une fessée avec un instrument pour que l'effet soit de longue durée, vos fesses sont parfaitement échauffées elles ne craignent plus rien. Vous allez voir Laetitia et vous lui demandez de vous administrer une fessée avec le paddle en cuir. 

Martine marqua un moment d'arrêt, elle protesta un peu. 

- mais Mlle...non s'il vous plaît pas votre secrétaire. 

Mlle Jeanne était souriante mais le regard était sévère. 

- ce n'est pas à vous de décider cher madame. Aller quémander sa fessée fait partie du traitement, cela va vous aider à parler distinctement en public. Vous laisserez la porte ouverte que je puisse bien entendre. 

Martine se dirigea vers la porte, son fessier rougeoyant se balançait au rythme de ses pas, ce qui la rendait particulièrement sexy. 

Laetitia était assise à son secrétariat, elle était toujours cul nu sous sa jupe et ses fesses étaient très sensibles, elle sourit en voyant la patiente arriver vers elle, culotte à mi cuisses et jupe retroussée. Elle avait les joues très rouges, certainement autant que ses fesses, elle baissait les yeux. 

- regardez droit devant vous pour vous adresser à Laetitia. 

La voix sévère de Mlle Jeanne avait retenti depuis le bureau. 

Martine leva les yeux, elle croisa le regard malicieux de la jeune secrétaire. 

- que puis-je faire pour vous madame ?

- pouvez-vous s'il vous plaît m'administrer une fessée avec le paddle en cuir. 

Elle avait prononcé cette phrase très vite sans respirer. La voix sévère de Mlle Jeanne retenti à nouveau. 

- il manque quelques détails sur la fessée, vous parlez plus lentement, recommencez !!

Martine était au supplice et Laetitia oubliait ses fesses meurtries. 

- pouvez-vous mademoiselle, m'administrer une bonne fessée déculottée avec le paddle en cuir. 

Elle s'était appliquée à bien détacher les mots.

Laetitia se leva et plaça une chaise devant son bureau. 

- mais avec plaisir madame, c'est si gentiment demandé. 

En un clin d'oeil, Martine se retrouva couchée en travers des genoux de la jeune secrétaire. C'était la première fois qu'elle allait recevoir une fessée déculottée par quelqu'un d'autre que Mlle Jeanne, des larmes de honte perlait déjà de ses yeux, elle poussa un cri, la spatule en cuir venait de claquer sa fesse droite suivie immédiatement d'une autre sur la gauche. 



- aïe aïe aïe non pardon mademoiselle, ça brûle aïe. 

La fessée se poursuivait inexorablement, madame Serat n'était plus une jeune cadre dynamique. Elle pleurait comme une gamine, ses jambes battaient l'air désespérément, Laetitia lui avait coincé le bras dans le dos et elle la maintenait solidement, c'était vraiment une magistrale fessée déculottée. 

Mlle Jeanne était à la porte de son bureau et elle regardait sa secrétaire administrer la fessée à Martine. 

- c'est bon Laetitia, je pense que les fesses de Mme Serat sont à point, elles vont rester bien rouges et cuisantes toute la matinée. 

Laetitia s'arrêta à regret, c'était une petite satisfaction pour elle d'avoir les jolies fesses de cette dame prétentieuse à sa disposition. Elle posa la spatule et fit relever sa patiente. 

Martine se mit immédiatement à frotter ses fesses. 

- non, non on ne frotte pas je vous l'ai déjà dit !!

Mlle Jeanne regarda le bureau de sa secrétaire. 

- ou est votre culotte Laetitia !

- euh dans le tiroir Mlle...

- j'avais dit sur le bureau ! Je comptais vous la faire remettre et bien tant pis pour vous, vous restez cul nu jusqu'à midi et mettez la bien en évidence. Les patients sauront comment je traite les dévergondées. 

En rougissant Laetitia s'exécuta, elle plia délicatement sa petite culotte blanche et la posa à côté du téléphone. 

- bien madame Serat venez dans mon bureau. 

Martine la suivit docilement en exposant toujours sa paire de fesses bien rouges. 

- voilà votre séance est terminée, vos fesses et votre petit trou sont bien détendu, vous avez fait preuve d'humilité et de courage en allant vous faire fesser par Laetitia. Je pense que vous allez mener cette réunion de main de maître. Bien sûr la cuisson de vos petites fesses va rendre la position assise difficile, mais ça va vous forcer à vous consentrer. Vous m'écrirez un rapport détaillé sur le ressenti de la séance et sur le déroulement de la réunion. Il va sans dire que si vous omettiez cette partie du traitement je serais obligée de vous administrer une fessée déculottée qui ne serait pas thérapeutique cette fois.



Martine acquiesca en  souriant faiblement. 

- vous pouvez vous reculotter, il y a de quoi vous remaquiller dans la salle de repos. A la semaine prochaine madame. 



4 commentaires:

  1. Merci pour les récits .

    Je vois avec étonnement que les dames ne sont pas toutes sages comme une image comme on pourrait le croire parfois .
    D'ailleurs , il semblerait même que certaines apprécient alors que parfois le traitement est assez douloureux. Il semble que pour certains et certaines, le principal problème avec la fessée, c'est d'apprécier et de ne plus pouvoir s'en passer bien longtemps. Je constate avec surprise que certaines ont des mains en acier pour ne pas avoir mal à la main après avoir appliqué la punition.

    Pour ce qui est de la méthode, pour revenir aux méthodes officielles du 19ᵉ siècle , je trouve que l'on pourrait peut-être varier ( voir moderniser ) les questions et les punitions. Je m'explique.

    Sur ce que j'ai lu , l'une des raisons d'être puni(e) c'est d'être mauvais(e) en orthographe et la punition supplémentaire, c'est de faire des lignes ou de recopier bêtement un grand nombre de fois un texte. Même si je sais que c'était une méthode très usitée jusqu'au milieu du 20ème siècle , je pense qu'il serait peut-être possible , pour les volontaires, de changer un peu . D'une part , il n'y a pas que l'orthographe à connaitre . Même à l'époque , il y avait souvent des interrogations écrites sur la géographie , par exemple réciter les départements, leur numéro, les préfectures et sous préfectures ou réciter la liste des rois de France , des présidents ou des grandes dates de l'histoire de France.

    D'ailleurs on pourrait le moderniser en élargissant l'histoire et la géographie au monde entier , car désormais , on ne peut plus se dire cultiver sans connaitre au moins un minimum le monde extérieur.

    Une question ( simple ) serait de citer 10 États et 15 ville des États-Unis . Que l'on aime ou pas , difficile de ne pas connaitre ce pays.

    On pourrait aussi demander ( très simple) au moins 4 villes en Chine parce que ce pays est de plus en plus important ( Pékin , Shanghai, Hong kong et Wuhan ( tristement célèbre) . On pourrait demander 2 ou 3 villes au Japon , etc . ( Tokyo, Kyoto , Nagoya, Osaka , Kobe, et les tristement célèbres , Hiroshima, Nagasaki et Fukushima .

    Pour l'histoire, on pourrait demander ou se trouve les civilisations inca, aztèque et maya .

    La justice pousserait à sanctionner chaque erreur au lieu d'une punition globale si le niveau nécessaire n'est pas au rendez-vous .

    Et au lieu de faire des lignes , il serait plus éducatif de demander une dissertation sur un pays ou une civilisation . Non seulement la(le) punie apprendrait quelque chose, mais en plus , cela permettrait de vérifier l'esprit de synthèse et la clarté . Hélas , beaucoup ont du mal à s'exprimer clairement .

    Merci beaucoup pour les histoires .

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  2. D'ailleurs, toujours dans un cadre scolaire, il y avait aussi , ce qui était très important, "l'instruction civique" . C'était quelque chose d'important puisque avoir de bonnes notes dans ce domaine montrait que l'élève allait être un bon citoyen , ce qui était aussi le rôle des " hussards noirs de la république" . De bons résultats dans cette matière permettait souvent à un élève moyen voir médiocre de conserver une certaine estime de l'instituteur.

    Pour réactualiser, ce pourrait être des questions de base sur le droit et les institutions .

    Donc j'ai été bien trop long , mais je trouve qu'il est dommage ( avis perso ) de se limiter à l'orthographe, à la dictée et aux lignes à recopier.

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    1. Merci pour ce commentaire détaillé et élogieux qui peut effectivement me donner des idées de punition. En effet vu le niveau global de la population, je pense que ce genre de question amènera automatiquement la dame ou la demoiselle à présenter ses fesses déculottées pour une deuxième voir une troisième fessée.
      Sylvie

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    2. A oui j'oubliais , une bonne éducation comprend aussi une bonne alimentation . Certaines pourraient manger trop, mais il ne faut pas tomber non plus dans l'anorexie .

      C'est un peu le thème de l'hearth attack grill ( je sais que vous comprenez l'anglais , un restaurant à Las Vegas avec des nourritures hypercaloriques , des burgers monstrueux et ... pour celui ou celle qui ne finit pas son assiette c'est 3 coups de sangle devant tout le monde ( véridique) .

      Cela pourrait donner des idées pour éduquer ces demoiselles/dames.

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