Sylvie aussi reçoit la fessée déculottée
Caroline n'en menait pas large en arrivant chez Sylvie. Pendant le court voyage elle avait eu un peu de mal à rester tranquillement assise, elle s'était trémoussée sur le siège de sa voiture ses fesses brûlantes lui rappelait sa condition de punie. Sylvie l'accueilli avec un grand sourire et lui fit une bise puis sa main descendit jusqu'à la croupe de sa jeune amie.
- alors ma petite chérie, on a fait des bêtises?
Caroline piqua un fard. Nous y étions... Sylvie était au courant, elle baissa la tête et ne répondit pas.
- tu vas me raconter ça.
Elle lui claqua un peu les fesses pour l'inciter à entrer dans le salon. Caroline un peu gênée se mit à raconter sa matinée, Sylvie souriante se régalait de la confusion de sa jeune amie, elle lui demandait des détails.
- mais que faisiez vous exactement quand Mlle Jeanne est arrivée ?
- oh, Sylvie enfin tu vois bien....tu ne veux tout de même pas que je te fasse un dessin.
Caroline était rouge de confusion, elle se tortillait sur le canapé autant à cause de ses fesses brûlantes que par la gêne occasionnée par les questions intimes de Sylvie. Mais elle fut bien obligée d'avouer des détails croustillants, elle dut également raconter par le menu sa punition.
- et bien c'est du joli, Mlle Jeanne a eu mille fois raison de vous administrer une bonne fessée déculottée. Petite dévergondée !!
Caroline protesta.
- olala, c'est toi même qui n'arrête pas de me dire qu'il faut profiter de la vie. Tu es jalouse?
- pas du tout, c'est de ton âge mais ce qui est inadmissible c'est de l'avoir fait dans le bureau de Mlle Jeanne et cette petite Laetitia était censée travailler. Bon à ce que j'ai compris cette semaine elle va travailler avec les fesses bien rouges. Si tu me montrais un peu le résultat, à te voir gigoter sur le canapé j'ai bien l'impression que Mlle Jeanne a fait du bon travail.
Elle fit signe à Caroline de se lever puis la fit pivoter pour lui présenter ses fesses.
- tu trousses ta jupe et tu te déculottes !
Le ton était sans réplique, Caroline s'exécuta, elle tint sa jupe relevée puis baissa sa culotte sous ses fesses. Celle-ci portait encore les stigmates de la magistrale fessée de Mlle Jeanne.
- à je reconnais bien là du travail de spécialiste, tes fesses sont ravissantes, mais si je comprends bien tu es venue directement. Tu n'as même pas été au coin après ta fessée déculottée, on va corriger ça.
Elle se leva et claquant les fesses de Caroline, elle lui indiqua la direction du mur. Elle coinça la jupe dans la ceinture et baissa un peu plus la culotte.
- tu mets tes mains sur la tête et ton nez contre le mur, je ne veux pas t'entendre, tu vas exposer ton joli derrière pendant un moment, ça va te faire réfléchir à ta conduite.
Sylvie retourna s'asseoir, c'est vrai que le spectacle offert par Caroline était charmant et très excitant. Elle ne pouvait pas nier qu'elle avait été un peu jalouse en apprenant que sa jeune amie avait fait des galipettes sans elle. Bien sûr elle n'était pas exclusive et elle comprenait Caroline. Mais lui administrer une bonne fessée déculottée pour se venger n'était pas pour lui déplaire. Les jolies fesses rebondies de Caroline mise en valeur par la culotte blanche à mi cuisses lui faisait de l'effet, elle glissa sa main dans sa culotte et se mit à se caresser.
C'est à ce moment là que le téléphone sonna. Sur l'écran le numéro du cabinet de la fessothérapeute était affiché.
- allo, oui bonjour, c'est Laetitia l'assistante de Mlle Jeanne, je vous appelle car Mlle Jeanne m'a demandé si vous aviez amené vos lignes à copier. Malheureusement j'ai été obligée de lui dire que vous n'étiez pas venue. Vous êtes donc convoquée au cabinet à 14h précise, je n'ai pas besoin de vous préciser que vous devez être à l'heure, pour la tenue prévoyez une jupe ample et une culotte blanche. À tout à l'heure madame.
Sylvie avait blêmi, elle avait complètement oublié cette punition, un frisson parcouru ses fesses, elle jeta un oeil sur celle de Caroline, elles étaient encore très rouges et devait la cuire car elle se dandinait d'un pied sur l'autre, ce qui aurait pu être un charmant spectacle se transformait en une démonstration de ce qui l'attendait. Laetitia n'avait pas attendu sa réponse, c'était une évidence pour elle, Sylvie avait désobéi, ses fesses allaient en payer les conséquences.
Sylvie réfléchi rapidement, il lui était impossible d'échapper à la correction qui se profilait mais à bien y réfléchir elle l'avait bien mérité cette fessée. La première séance anti procrastination n'avait sans doute pas suffit puisqu'elle avait encore retardé une tâche urgente. Elle redirigea son regard vers la mignonne paire de fesses de Caroline, décidément cette petite avait un très joli derrière, elle se leva et sa main se mit à caresser la croupe écarlate.
- tu sais que tu es une vilaine fille, je ne crois pas que nous allons attendre ce soir avant de s'occuper de ton petit cul. Viens un peu ici.
Caroline protesta faiblement, mais elle savait qu'elle n'était pas en position pour décider quoique ce soit, gardant ses mains sur la tête elle se plaça devant Sylvie, celle-ci s'était assise sur le canapé, elle prit la main de la jeune femme et la fit basculer en travers de ses genoux, Caroline avait l'habitude de cette position. Malgré son âge, sa mère l'utilisait quand elle jugeait son comportement déplacé, la fessée cul nu était la règle à la maison et Julie la mère de Caroline avait la main leste. Depuis qu'elle avait rencontré Sylvie elle avait également goûté à une autre forme de correction, elle pouvait être sévère mais également érotique quand son amie en ressentait le besoin. Aujourd'hui c'était un peu les deux, Sylvie voulait la corriger pour son infidélité mais la perspective d'une fessée déculottée qui allait s'abattre sur son propre derrière l'incitait à un peu de tendresse. Elle commença à caresser la croupe encore rouge, elle insinua ses doigts entre les fesses puis descendit jusqu'à la vulve humide.
- mais dis donc petite cochonne, ça te fait cet effet de prendre la fessée, c'est du joli.
Elle leva la main et commença à claquer les fesses rondes de Caroline. Ce n'était pas une fessée sévère, elle détachait bien ses claques, alternant la fesse droite puis la gauche. Caroline gémissait doucement, la fessée déculottée qu'elle avait reçu le matin rendait ses fesses sensibles, la cuisson commençait à envahir tout son postérieur. Sylvie souriait en voyant le joli derrière se tortiller pour essayer d'éviter les claques, elle tenait solidement Caroline par la taille et elle ne pouvait pas se dérober. Elle décida que l'échauffement était suffisant et elle accéléra le rythme et la force des claques, elle s'attaqua également à la pliure entre les cuisses et les fesses, cette zone si sensible appréciée des fesseuses qui voulait donner une bonne fessée. Caroline maintenant criait et se débattait sous l'averse, ses fesses étaient brûlantes, puis elle se mit à pleurer, c'était le moment attendu par Sylvie, mais elle ne cessa pas la punition pour autant. Une fessée réussie devait amener la punie aux larmes mais il fallait un relâchement total des muscles fessiers preuve que la leçon serait profitable.
Bientôt Caroline cessa de se tortiller, ses fesses étaient ouvertes, elle pleurait doucement une cuisson intense lui embrasait le derrière et une douce chaleur montait de sa vulve. Sylvie posa sa main sur la croupe et la carressa doucement.
- voilà c'est fini ma chérie, mamie Sylvie devait corriger ton joli derrière pour ta petite infidélité, maintenant tu es pardonnée. Les fessées que je te donnerai toute la semaine ce sera de la part de Mlle Jeanne, mais elles seront au moins aussi sévère c'est normal elle m'a fait confiance, je ne veux pas la décevoir. Caroline protesta faiblement au milieu de ses larmes.
- oh noon, s'il te plaît, pas encore la fessée ce soir, ça fait trop mal aux fesses.
Sylvie se mit à rire et claqua gentiment les fesses brûlantes.
- mais ma petite chérie, ce n'est pas toi qui décide et puis je sais qu'une fessée ça fait mal aux fesses, c'est même fait pour ça figure toi.
Elle caressait toujours les fesses de sa jeune amie, ses doigts s'insinuaient entre les deux hémisphères, frôlant l'anus et progressivement forçant son entrée, Caroline se mit à gémir.
- oh, oh... Non.. Huum
Le doigt pénétrait son intimité de plus en plus profondément, Sylvie savait s'y prendre, même si c'était un peu humiliant de se faire pénétrer ainsi elle savait que Caroline y prenait du plaisir, elle retira son doigt et introduisit un thermomètre qu'elle gardait toujours à sa portée, elle avait initiée la jeune femme à ce plaisir un peu pervers. Au début Caroline avait protesté devant ce petit viol mais après avoir reçu une magistrale fessée elle s'était laissée faire et maintenant elle y prenait du plaisir. L'instrument médical était rentré très profondément et Sylvie le faisait coulisser, suscitant des râles de plaisir de la jeune femme aux fesses écarlates.
Sylvie souriait ravie du spectacle, une chaleur humide envahissait sa culotte. Elle garda Caroline pendant au moins 5' allongée sur ses genoux avec le thermomètre planté au milieu des fesses. Puis elle le retira lentement et d'une petite claque signifia à sa punie qu'il était temps de se relever.
- tu vas retourner te mettre au coin pendant que je nous prépare quelque chose à manger. Oui oui, tu files au coin vite et tu mets tes mains sur la tête. Tes petites fesses sont ravissantes tu sais.
Caroline avait cours l'après midi, Sylvie lui annonça qu'elle allait passer la semaine chez elle, ça serait plus pratique pour lui administrer ses fessées du matin et du soir. Elle avait appelé la mère de Caroline et elle était d'accord. Si la jeune femme était ravie de passer une semaine auprès de sa douce amie la perspective de devoir lui présenter ses fesses nues matin et soir pour une bonne fessée l'enchantait moins. Elle fit une bise à Sylvie avant de partir, celle ci lui tapota les fesses sur la jupe.
- tu ne traînes pas après les cours, je t'attends à 18 h au plus tard, sinon gare.
Pour elle, il était l'heure d'aller chez Mlle Jeanne. Comme lui avait précisé Laetitia elle avait mis une jupe ample qui lui arrivait au dessus du genou, elle avait changé sa culotte et en avait mis une bien sage en coton blanc.
Quand elle entra dans le secrétariat, la jeune secrétaire l'accueilli avec un sourire goguenard, elle savait que cette dame d'âge mûr allait bientôt gigoter et pleurer allongée cul nu sur les genoux de sa patronne. Il y avait deux personnes en plus de Laetitia, l'une d'elle attendait son tour assise et l'autre réglait sa consultation.
- ah, c'est bien vous êtes à l'heure, Mlle Jeanne vous attend allez y.
Sylvie toqua à la porte du bureau, la voix autoritaire de la fessothérapeute lui répondit. A peine était elle rentrée que Mlle Jeanne lui avait saisi l'oreille.
- à vous voilà madame la paresseuse ! Et en plus vous désobéissez ! J'ai un très bon traitement pour ce genre de comportement vous allez voir il est très efficace. C'est la fessée déculottée en public.
Tenant toujours Sylvie par l'oreille elle était maintenant dans le secrétariat, Laetitia approcha une chaise la thérapeute s'assit et fit basculer Sylvie en travers de ses cuisses puis elle s'adressa aux trois dames présentes.
- Sylvie ne semble pas comprendre mes leçons, je pense que celle ci devrait être plus profitable d'ailleurs c'est bon pour vous aussi mesdames. Une bonne fessée cul nu devant tout le monde voilà qui va vous faire du bien.
Elle avait saisi la jupe et l'avait retroussée bien haut sur les reins, les fesses étaient crispées sous la culotte, celle ci rentrait légèrement dans la raie fessiere. Sans attendre Mlle Jeanne glissa ses doigts dans la ceinture et fit glisser la culotte sous les fesses. Sylvie était atterrée, en quelques instants son statut avait changé. De femme sûr d'elle même d'une soixantaine d'années elle était passée à celui beaucoup moins enviable de gamine désobéissante couchée sur les genoux de sa maîtresse la culotte baissée.
Elle serrait ses fesses pour essayer de dissimuler son intimité. Les trois spectatrices étaient ravies du spectacle mais un peu inquiète également, elles avaient toutes les trois goûtés aux sévères fessées de Mlle Jeanne mais toujours en privé dans son bureau, la situation était complètement différente, elle se mettait à la place de Sylvie qui maintenant leur exposait son magnifique fessier. La main de la fessothérapeute était entrée en action et c'était une vigoureuse fessée que recevait Sylvie, rapidement malgré son désir de rester stoïque elle se mit à battre des jambes et à ouvrir largement ses fesses, puis les gémissements se transformèrent en cri puis rapidement en sanglot. Mlle Jeanne était une professionnelle quand elle avait une paire de fesses à sa disposition le résultat était assuré, la croupe de Sylvie était écarlate, la sévère demoiselle s'attaquait maintenant à l'arrière des cuisses provoquant une recrudescence des cris de Sylvie. Elle s'arrêta un instant pour passer sa main sur les fesses brûlantes.
- bien j'espère que la leçon sera profitable, et oui madame tout le monde voit bien votre joli derrière tout rouge mais je n'en ai pas encore fini avec lui.
Elle fit un petit signe à Laetitia, celle ci lui tendit la brosse à cheveux. La fessée repris de plus belle, les pleurs de Sylvie se mêlait à ses demandes de pardon mais imperturbablement la brosse claquait les fesses rebondies,
elles étaient maintenant d'un rouge profond, Sylvie ne se débattait plus, elle était vaincue la punition avait fait son œuvre, elle pleurait à chaudes larmes regrettant amèrement sa paresse, ses fesses s'ouvraient et se refermaient aux rythme des claques sans aucun souci de pudeur. Même Laetitia était impressionnée par la sévérité de la correction, Mlle Jeanne posa la brosse sur les reins de Sylvie et passa sa main sur les fesses brûlantes.
- voilà une bonne petite fessée cul nu.... J'espère que ça va vous servir de leçon, la prochaine fois c'est au jardin public que je vous flanquerai une fessée déculottée, quand vous en aurez assez de montrer vos fesses à tout le monde vous finirez bien par obéir.
C'était certainement une menace en l'air qui avait peu de chance de se réaliser mais rien qu'à l'entendre Sylvie serra à nouveau les fesses dans un mouvement de panique, elle avait justement reçu quand elle était fillette une fessée déculottée administrée par sa mère dans un square et elle en gardait le souvenir d'une humiliation cuisante. Mlle Jeanne claquait à nouveau les fesses, c'était des claques très fortes mais lente qui rythmaient ses paroles.
- voilà c'est presque fini, une belle paire de fesses bien rouges, voilà ce que vous nous montrer madame, avez-vous compris?
- oui, oui mademoiselle, aie non s'il vous plaît, pardon...aïe non, oui mademoiselle j'ai compris.
Sylvie était redevenue une gamine. Elle pleurnichait et suppliait Mlle Jeanne qui imperturbablement continuait de lui claquer les fesses.
- c'est bizarre comme la leçon est mieux apprise quand on a les fesses bien rouges, hein madame, je pense qu'il vaut mieux s'adresser à votre joli derrière qu'a vos oreilles et bien rassurez vous on va continuer. Demain vous reviendrez me voir que je continue ma leçon, une bonne fessée déculottée tous les jours pendant une semaine voilà qui va vous rendre docile.
Pendant toute sa péroraison sa main n'avait pas cessé de claquer la croupe de Sylvie. Enfin jugeant la punition suffisante elle fit relever Sylvie, celle-ci avait des larmes qui coulait sur ses joues presque aussi rouges que ses fesses, elle fit mine de porter ses mains à ses fesses mais le regard sévère de la fessothérapeute l'en dissuada. Celle-ci lui indiquait le mur.
- allez vous mettre au coin que tous le monde puisse voir vos jolies petites fesses.
Elle la suivi pour coincer sa jupe dans la ceinture et arranger la culotte qui était descendue aux chevilles pendant la fessée, elle claqua légèrement la croupe écarlate.
- mettez votre nez contre le mur et vos mains sur la tête. Vous allez rester la un petit moment, ça va vous permettre de réfléchir.
Puis s'adressant à Laetitia.
- je la laisse sous votre surveillance, n'hésitez pas à lui claquer les fesses si elle s'avise de bouger. Mais je pense qu'elle va être bien sage, n'est-ce pas Sylvie?
- oui....oui madame, pardon...plus la fessée.
- ça ne tient qu'à vous ma petite, soyez sage et vous vous éviterez un nouveau séjour sur mes genoux ou ceux de Laetitia.
Puis elle se tourna vers la patiente qui attendait bien sagement assise sur une chaise.
- bien à nous madame, vous allez m'expliquer pourquoi vous êtes toujours en retard.
Hélène se leva, son amie Brigitte l'avait prévenue des méthodes radicales de Mlle Jeanne mais elle ne s'attendait pas à ça. En rougissant elle se leva et suivit la thérapeute dans son bureau. La patiente qui attendait pour régler sa séance avait elle aussi une paire de fesses bien rouges sous sa jupe, elle connaissait la cuisson après la fessée et elle compatissait au sort de la pauvre Sylvie, celle-ci serrait convulsivement les fesses pour essayer d'atténuer la cuisson. Laetitia la surveillait du coin de l'oeil.
- cessez de gigoter ! Quand on est au coin on ne bouge pas, on se fait oublier. À moins que vous ne vouliez que je m'occupe de votre derrière.
Sylvie reprit immédiatement la position, Laetitia un petit sourire aux lèvres s'adresse à la dame debout devant elle.
- il n'y a pas à dire, la menace d'une bonne fessée déculottée fait des miracles. Bien pour votre prochain rendez-vous, que vous a dit Mlle Jeanne, elle veut vous revoir quand?
La dame questionnée rougit légèrement, ses fesses étaient également rouges et brûlantes sous sa culotte en dentelle et son tailleur élégant d’exécutive woman. Elle aussi elle avait goûté à l’humiliation de la punition enfantine, couchée sur les genoux de Mlle Jeanne, la culotte baissée. Mais elle savait que c’était pour son bien. Depuis qu’elle venait voir régulièrement la fessothérapeute pour ses problèmes de gestion du stress, elle avait énormément progressé dans le management de son équipe. Elle allait répondre mais Laetitia leva les yeux pour regarder Sylvie dans son coin, elle avait décollé son nez du mur et bougeait légèrement ses pieds.
- veuillez m'excuser, il va falloir que je m'occupe de ma punie.
Elle prit sur son bureau une petite raquette en cuir et se dirigea vers Sylvie.
- je croyais vous avoir prévenue, je pense que je vais avoir une petite conversation avec vos fesses.
Elle avait saisi l'oreille de sylvie pour l'amener au centre de la pièce vers la chaise.
- posez vos mains sur la chaise et tendez moi bien vos fesses, je vous conseille de ne pas bouger si vous ne voulez pas aggraver votre cas. Vous allez comptez 30 coups de mademoiselle claquefesse.
C'était le petit nom qu'elle avait donné à cet instrument après l'avoir expérimenté sur son propre derrière et en avoir apprécié la rigueur oui ça claquait rudement les fesses.
Elle leva la main et un claquement sec retenti dans la pièce suivi d'un cri de Sylvie
- aïe...un....aïe aïe deux
Laetitia était ravie de son nouveau rôle, ses fesses étaient encore sensibles après la fessée déculottée de ce matin et le supplément reçu à midi. Administrer une bonne fessée à une dame d'âge mûr c'était une bonne compensation. Sans pitié pour les fesses écarlates de Sylvie elle administra la punition annoncée, la pauvre Sylvie trépignait sur place mais se gardait bien de bouger sachant que cette petite peste n'attendait que cela pour augmenter la correction. La croupe était maintenant d'un rouge profond, toute la surface était recouverte y compris le haut des cuisses.
- j'espère que la leçon sera profitable, retournez coller votre petit nez contre le mur et que je ne vous voies plus bouger. La prochaine fois je vous emmène chez Mlle Jeanne, Je vous garantis qu'elle ne sera pas aussi gentille que moi.
Elle s'était assise à nouveau à son bureau et s'adressait en souriant à la cliente qui patientait.
- bien ou en étions nous ?
Subjuguée par la succession de fessées publiques auxquelles elle venait d'assister Martine Serat ne répondit pas immédiatement.
- je vous ai posé une question madame !
Le ton sec de la jeune secrétaire eu le don de faire revenir Martine à la réalité, ses fesses brûlantes sous sa culotte et la fessée à laquelle elle venait d'assister la rendait vulnérable, elle piqua un fard comme une écolière prise en faute.
- euh, oui, pardon mademoiselle. Euh, Mlle Jeanne doit me voir demain matin assez tôt, j'ai une réunion importante à 9h.
En disant ces mots elle pensait avec effroi qu'un jour prochain ce serait peut-être elle qui recevrait une fessée déculottée en public et peut être de la main de cette petite pimbêche qui la regardait avec un sourire moqueur.
- très bien, si vous ne voulez pas être en retard, je vais vous noter à 7h30. Mlle Jeanne préfère toujours avoir un peu de temps, vous avez beaucoup de trajet ensuite?
- non non ça ira.
Laetitia ne put s'empêcher une petite plaisanterie.
- vous avez prévu un petit coussin dans votre voiture ? J'espère que les chaises de la salle de réunion sont bien rembourrée.
Martine avait les joues écarlates quand elle sortit dans la rue, ses fesses la brûlait énormément.
A suivre….
J'ai lu cette histoire sur un blog précédent, mais je n'ai pu me souvenir que des parties 1 et 2. j'ai encore tout lu. c'est une histoire très prometteuse. merci d'avoir posté ici.
RépondreSupprimerChinmay