lundi 26 septembre 2022

Fessothérapie 3

 Traitement de la cellulite 



Valérie Grund venait d'arriver pour sa deuxième séance de fessothérapie, la première séance avait été cuisante mais Mlle Jeanne lui avait promis un résultat assez rapide aussi elle avait accepté de continuer l'expérience. Mlle Jeanne la fit rentrer dans son bureau, en la suivant elle admira en experte le volumineux fessier, cette dame était vraiment bien pourvue mais avec le traitement qu'elle avait prévu de lui appliquer, la graisse superflue allait disparaître et ne resterait qu'une magnifique paire de fesses bien agréable à regarder. Elle la fit asseoir et elle commença son interrogatoire habituel.

- bien, comment avez-vous supportez la dernière séance ?

Valérie rougit légèrement.

- euh, c'est à dire… Bien

Mlle Jeanne leva les yeux et la regarda en souriant.

- pas trop cuisant, le soir ? Vous avez bien dormi ?

Valérie avait les joues rouges, c'est vrai qu'elle avait senti la cuisson sur ses fesses pendant une bonne partie de la soirée mais c'était un peu gênant à avouer.

- euh, oui je l'ai senti un peu, mais ça a été quand même.

- c'est bien, nous allons pouvoir donc augmenter la dose, la première séance c'est toujours léger c'est pour voir comment la patiente réagi.

Valérie se mordit les lèvres, une fessée encore plus forte ? Elle trouvait que celle de la veille était déjà terrible, d'ailleurs elle n'avait pas pu s'empêcher de pleurer, mais comment allait elle le supporter. Elle n'eut pas longtemps à réfléchir, la thérapeute se levait déjà.

- enlevez votre jupe, vous pouvez garder le haut et votre culotte.

Elle s'était assise sur une chaise et faisait signe à sa patiente d'approcher. Valérie était maintenant devant elle, en petite culotte comme une gamine devant sa maman elle ne put s'empêcher de rougir et de serrer les fesses sous sa culotte. Elle se doutait de la suite, en effet elle n'eut pas longtemps à attendre, Mlle Jeanne l'avait pris par la main et l'avait basculée en travers de ses cuisses. Elle commença son inspection du fessier en glissant sa main sous la culotte au niveau des cuisses, elle la tira légèrement pour dégager la base des fesses, elle palpa et pinça légèrement la tendre peau ce qui mit au comble de la confusion Valérie, puis elle glissa ses doigts dans la ceinture et entrepris de déculotter sa patiente, c'était toujours un moment qu'elle appréciait, c'est pour cette raison qu'elle ne faisait pas quitter leurs culottes à ses patientes, même si la fessée était uniquement à but thérapeutique et non punitif elle adorait baisser les culottes,



elle avait aussi constaté que ça ne laissait pas indifférente ces dames, ajoutant souvent à l'efficacité du traitement. Maintenant la culotte était arrivée aux genoux, l'examen minutieux du plantureux derrière pouvait se dérouler. Et Mlle Jeanne s'y entendait, elle malaxait la cellulite, elle glissait ses doigts dans la raie fessière, Valérie essayait de ne pas réagir mais quand elle senti les doigts frôler son intimité elle serra violemment les fesses. Deux claques magistrales retentirent, une pour chaque fesse.

- Mlle je vous ai déjà prévenue hier, il faut vous laisser faire, je dois examiner vos fesses quoi qu'il en coûte à votre pudeur, je vous conseille de les desserrer rapidement si vous ne voulez pas goûter à nouveau à ma main. Valérie s'exécuta, honteuse d'être traitée comme une gamine, elle pensa que de toute façon elle allait goûter à la fessée, mais ça ne serait pas tout à fait pareil, ce serait un traitement et pas une punition même si le résultat était le même. Tranquillement Mlle Jeanne continua à examiner le derrière bien tendu devant elle puis elle leva sa main et commença à administrer des claques lentement elle n'était pas très fortes mais elle résonnait dans la pièce, elle claquait alternativement chaque hémisphère, prenant soin de changer d'endroit pour que toute la surface du fessier monte en température. Puis elle arrêta et posa sa main sur les fesses pour apprécier la chaleur.

- c'est bien votre derrière réagi très bien, on va contrôler votre température.

Valérie eut un petit frisson en entendant cette phrase, que voulait dire Mlle Jeanne, lui prendre la température ? Elle était fesses à l'air couchée sur ses genoux. Non…?

Elle n'eut pas longtemps pour réfléchir, elle senti les doigts de la thérapeute écarter ses fesses et un embout froid sur son anus. C'était horrible, ça lui rappelait son enfance, sa mère lui prenait souvent la température comme ça et elle détestait cela. Elle gémit et protesta.

- oh non…

Ses fesses s'étaient contractées, la sanction fut immédiate, deux nouvelles claques très fortes atterrirent sur sa croupe.

- à mais ça commence à suffire mademoiselle, vous allez vous laisser faire ou je vais être obligée de sévir.

Valérie desserra ses fesses immédiatement, la brûlure sur ses fesses étaient intense. Le thermomètre en verre rentra profondément dans son fondement.



- voilà, il est bien en place, ce n'était pas la peine de faire tout une histoire pour un petit thermomètre dans votre petit trou.

La thérapeute tapotait doucement le derrière qui commençait à se colorer de rouge. Les fesses étaient maintenant resserrées, ne dépassait de la raie fessière qu'un tout petit morceau du thermomètre.

C'est à ce moment que Laetitia tapa à la porte, Mlle Jeanne lui dit de rentrer, Valérie était au comble de l'humiliation, se faire prendre la température comme une gamine couchée sur les genoux était déjà très gênant mais que quelqu'un d'autre la voie dans cette posture c'était le comble. Elle ne pouvait malheureusement rien faire, Laetitia avait une vue magnifique sur sa croupe qui était tournée vers la porte.

- excusez moi de vous déranger mademoiselle, mais c'est pour une urgence.

- j'espère bien, vous savez que je déteste être dérangée pendant une thérapie.

Laetitia rougi, elle savait que ses fesses pouvaient payer cher cette intrusion si Mlle Jeanne la jugeait injustifiée.

- c'est à dire que j'ai Mme Dulac au secrétariat, elle est avec sa fille, elle tient absolument à ce que vous la voyez ce matin, elle lui a fait encore une crise.

- encore !! Bon je vais la voir tout à l'heure. En attendant vous me la mettez au coin dans le secrétariat, fesses à l'air. Vous dites à sa maman qu'elle pourra la récupérer en fin de matinée.

Laetitia acquiesça et retourna dans le secrétariat. Deux dames s'y tenait, l'une d'elle âgée d'une quarantaine d'années avait les joues rouges et la tête basse, à côté d'elle une femme énergique d'une soixantaine d'années la regardait sévèrement.

- c'est bon, Mlle Jeanne accepte de prendre Julie en urgence, vous pourrez la récupérer à midi.

- à c'est bien, vous remercierez Mlle Jeanne de ma part. Quant à toi ma chérie, je pense que tu vas regretter ta petite scène au magasin.

Elle s'adressait à sa fille de quarante ans comme si elle était une gamine. Elle se tourna vers Laetitia.

- si c'est pas malheureux, d'être obligée d'en arriver là. Mais c'est toujours pareil avec Julie, je lui avait pourtant dit que je voulais bien faire les courses avec elle mais que je ne tolèrerais pas un caprice, mais non madame n'a pas pu s'empêcher de faire une crise parce qu'il n'y avait plus sa taille pour le pantalon qu'elle voulait. Ça n'a pas traîné comme on était pas loin, je lui ai dit tu vas avoir droit à une petite séance chez Mlle Jeanne, ça va te calmer.

Laetitia écoutait en souriant et regardait Julie qui rougissait de plus en plus. Elle s'adressa tranquillement à la dame redevenue une gamine.

- approchez madame, je vais vous préparer pour attendre votre séance. Tournez vous.

Julie s'exécuta, elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Laetitia retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture puis elle saisit l'élastique de la culotte rose et la descendit rapidement à mi cuisses. Surprise Julie poussa un petit cri et mis ses mains sur ses fesses comme pour les protéger, une rapide série de claques eurent vite fait de lui faire comprendre qu'il valait mieux éviter ce geste. Laetitia était à bonne école, sa main avait atteint les zones non protégées.

- je vous déconseille de recommencer madame, mettez vos mains sur la tête!

Elle prit Julie par l'oreille et la conduisit contre le mur, en face de son bureau et de la porte d'entrée. Mme Dulac applaudit au spectacle offert par sa fille.



- à bravo mademoiselle, c'est comme ça qu'il faut traiter cette impertinente. Au coin cul nu, je pense que ça va la faire réfléchir.

- C'est Mlle Jeanne qui m'a demandé de la mettre au coin fesses à l'air, en attendant sa fessée elle va pouvoir réfléchir.

Mme Dulac était satisfaite, Julie était en de bonnes mains, elle prit congé. Laetitia reprit sa place à son bureau, elle avait une vue parfaite sur les fesses bien exposées de Julie, elle songea, toi ma petite tes fesses ne vont pas rester blanches bien longtemps et quelque chose me dit que tu vas passer un moment le nez au mur à me montrer tes fesses.

Pendant ce temps dans le bureau de Mlle Jeanne, Valérie était toujours couchée en travers des genoux de la fessothérapeute avec le thermomètre bien enfoncé dans les fesses. La sévère demoiselle faisait coulisser l'instrument et comme si c'était une situation normale elle commença à questionner sa patiente.



- bien, dîtes moi mademoiselle cette cellulite elle n'est pas venue toute seule ? Je suppose que vous êtes gourmande ?

Valérie était honteuse de devoir répondre à cet interrogatoire alors qu'elle sentait l'instrument médical faire des allers et retours dans son petit trou, c'était humiliant mais également un peu excitant, elle hésitait à répondre mais la main de Mlle Jeanne se posa sur ses fesses, elle les contracta dans l'attente d'une claque, elle n'était ni en position ni en tenue pour résister. Avant que la main ne se lève pour claquer son derrière si bien présenté elle se décida.

- euh, oui c'est mon gros défaut, j'ai du mal à résister à un gâteau ou à une tablette de chocolat.

La thérapeute tapota les fesses déjà bien colorées.

- Vous savez que dans votre cas, la fessothérapie a un double intérêt, elle va vous raffermir les muscles fessiers et elle va vous aider à faire des efforts alimentaires.

Valérie semblant ne pas comprendre, Mlle Jeanne précisa sa pensée.

- Je vais vous donner des consignes alimentaires que vous devrez suivre à la lettre, si vous êtes disciplinée vous allez perdre du poids donc du volume fessier, si ce n'est pas le cas, si votre poids ne varie pas et que votre périmètre fessier ne bouge pas, c'est que vous n'aurez pas suivi mes  consignes et dans ce cas vous recevrez une fessée déculottée supplémentaire à but punitif celle la. En général c'est très efficace pour que le régime soit bien suivi.

Pendant ce temps, elle continuait à faire coulisser le thermomètre, mettant au comble de la confusion sa patiente qui avait un peu de mal à suivre la conversation. Elle pensait à la fois au spectacle de ses fesses exposées à la vue de sa thérapeute mais également à ce qui se profilait, c'est à dire une accumulation de fessées pour son derrière.

Enfin Mlle Jeanne se décida à retirer le thermomètre.

- c'est bien vous n'avez pas de température, on va pouvoir échauffer correctement votre derrière.

Elle commença à claquer lentement les fesses de Valérie, elle procédait méthodiquement claquant alternativement chaque fesse et s'appliquant à varier l'endroit, elle claquait la base de la fesse juste à la pliure des cuisses puis la partie la plus charnue sur laquelle elle insistait particulièrement. Au début les claques n'étaient pas très fortes mais progressivement elle augmenta l'intensité et bientôt ce fut une magistrale fessée que Valérie reçu. Elle avait d'abord essayé de rester stoïque puis avec l'augmentation de la force des claques, elle avait gémis puis maintenant elle pleurait doucement et suppliait Mlle Jeanne de cesser.

- aie aie, oh mademoiselle ça fait mal, s'il vous plaît, aie, non arrêtez.

Mlle Jeanne ne s'arrêtait jamais aux supplications de ses patientes, elle savait qu'une fessée déculottée ça faisait mal mais elle appliquait le traitement prévu sans état d'âme. 



Elle cessa la fessée uniquement quand elle jugea suffisante la température atteinte par le fessier. Elle posa sa main sur la peau brûlante.

- c'est parfait, voilà un bon début, nous allons brûler ces mauvaises graisses qui encombrent vos jolies fesses.

Elle fit se relever Valérie qui porta immédiatement ses mains à ses fesses pour les frotter ce qui fit rire la thérapeute.

- et oui, ça brûle n'est-ce pas ? C'est fait pour ça, bon arrêtez de frottez vos fesses, il faut que la chaleur diffuse.

Puis elle la conduisit dans la salle de traitement. Elle lui désigna le coin de la pièce.

- vous connaissez le principe, vous allez rester la pendant une heure et nous allons maintenir la chaleur de vos fesses, aujourd'hui je vais rajouter un petit exercice de raffermissement.

Elle prit une règle métallique carrée et elle écarta les fesses de Valérie pour la coincer dans la raie fessière.

- vous serrez bien fort vos fesses, la règle doit rester en place pendant 15', si elle tombe on recommence. C'est un très bon exercice de musculation des fesses.

Elle tapota les fesses écarlates bien serrées sur la règle.

- voilà, c'est parfait, je vous laisse, Laetitia viendra contrôler la température de vos fesses régulièrement et ne faites pas tomber la règle sinon gare !

Cette dernière phrase était lourde de sous entendu.

Mlle Jeanne ouvrit la porte qui donnait sur le secrétariat, le spectacle offert par Julie était ravissant, une paire de fesses potelée bien blanche, encadrées par la culotte rose descendue à mi cuisses et la jupe retroussée sur les reins. En entendant la porte s'ouvrir Julie contracta légèrement ses fesses, quelle angoisse et quelle honte que de se retrouver culotte baissée au coin à 40 ans. Sa mère ne se gênait pas pour lui administrer des fessées déculottées mais depuis qu'elle avait découvert le cabinet de la fessothérapeute elle appréciait de déléguer son rôle de fesseuse à Mlle Jeanne jugeant plus efficace car plus humiliante une fessée administrée par une tierce personne.

- à voilà donc notre chipie. Qu'avez vous encore fait ?

Elle s'était approchée de Julie et lui avait saisit l'oreille puis de l'autre elle lui avait claquée les fesses nues.

- vous allez m'expliquer ça dans mon bureau !

Laetitia regardait le spectacle, amusée de voir cette dame adulte traitée comme une gamine désobéissante. Julie suivait Mlle Jeanne, elle ne disait rien, elle savait depuis la réaction de sa mère dans la boutique que ses fesses allaient payer pour son mauvais caractère. Arrivée dans le bureau la fessothérapeute ne perdit pas de temps, elle s'assit sur une chaise et bascula Julie en travers de ses genoux. Celle ci avait l'habitude de cette position disciplinaire enfantine, malgré son âge sa mère n'avait jamais cessé de l'utiliser pour la corriger quand elle le jugeait utile. Elle était déjà en tenue pour la fessée déculottée, Mlle Jeanne descendit un peu plus la culotte et tapota les fesses blanches serrées par l'émotion.

- détendez vous ma petite Julie, vous avez mérité de vous retrouver dans cette position et je vais vous administrer la fessée que votre maman vous a promis, mais avant vous allez m'expliquer ce qui vous vaut de vous retrouver fesses à l'air sur mes genoux.

C'était toujours un plaisir pour la fesseuse de forcer la punie à confesser ses fautes juste avant la punition. Julie malgré son habitude était affreusement gênée d'exposer ainsi son derrière mais elle connaissait la règle, tout manquement à une bonne éducation était sanctionné par une correction exemplaire, elle avala sa salive et expliqua qu'elle s'était mise en colère au magasin mais qu'elle le regrettait. Elle savait que ses regrets seraient sans effet et que la fessée allait être magistrale mais c'était aussi une des règles que lui avait inculqué sa maman, toujours manifester des regrets avant une punition, ça n'atténuait pas la fessée prévue, ça évitait seulement une deuxième correction.

- décidément vous êtes incorrigible, combien de fois faudra t il vous administrer des fessées déculottées avant que vous cessiez de vous comporter comme une gamine capricieuse. Je pense que votre maman à raison, c'est à vos fesses qu'il faut s'adresser.

La sévère demoiselle leva la main et commença à administrer à Julie la magistrale fessée prévue. Malgré sa grande habitude de ce châtiment enfantin, Julie ne s'y faisait pas. En plus de la cuisson qui lui embrasait le derrière, l'humiliation de se retrouver à 40 ans couchée sur les genoux d'une dame était une punition supplémentaire. Mlle Jeanne était une fesseuse expérimentée, c'était son métier, elle savait adapter la fessée à la situation, dans le cas de Julie c'était une punition et non une fessée thérapeutique donc les claques furent immédiatement très fortes, administrées alternativement sur la fesse droite puis la gauche, elle variait l'endroit, visant tantôt la partie la plus charnue du fessier puis la base de la croupe et même le haut des cuisses. Rapidement Julie retrouva ses accents de gamine punie, elle se mit à crier puis à supplier, ses fesses brûlantes se serraient et s'ouvraient au rythme des claques puis soudain les pleurs arrivèrent, la fessothérapeute avait changé de technique elle se concentrait sur une seule fesse, la brûlure ressentie était intense après une trentaine de claque administrée quasiment au même endroit elle appliqua le même traitement à l'autre fesse. 



Puis les battements de jambes redoublèrent, c'était le haut des cuisses qui recevaient leur dû, cette partie à la peau si tendre à la base des fesses. Julie n'en pouvait plus, ça faisait très longtemps qu'elle n'avait pas reçu une telle correction, maintenant ses fesses n'étaient plus qu'une boule de feu. Mlle Jeanne s'arrêta pour contempler son œuvre. La large croupe de sa patiente était maintenant rouge carmin, la rougeur descendait largement sur les cuisses et s'étendait sur le côté des fesses. Julie sanglotait ses fesses se contractaient convulsivement, elle la laissa se calmer un peu toujours en position disciplinaire en lui tapotant le fessier brûlant.

- bien voilà une jolie paire de fesses, j'espère que vous commencez à comprendre qu'il va falloir changer votre caractère. C'est un bon début mais croyez moi, je n'en ai pas fini avec votre petit derrière.

Julie n'en croyait pas ses oreilles, sa punition n'était donc pas finie, elle regrettait amèrement son mouvement d'humeur dans la boutique, la fessée faisait son œuvre. Mlle Jeanne la fit se relever, la culotte était descendue aux chevilles sous les mouvements désordonnés des jambes de Julie, elle lui remonta jusqu'à mi cuisses puis elle lui saisit l'oreille et ouvrit la porte du bureau.

- Vous allez me faire refroidir ces fesses avec un petit séjour au coin, tous le monde verra ce qui arrive aux dames capricieuse.

Julie maintenant sanglotait doucement, mais au travers de ses larmes elle eu le temps de voir que Laetitia n'était pas seule dans le secrétariat. Elle marqua un temps d'arrêt mais la fessothérapeute continuait d'avancer, elle accentua sa traction sur l'oreille de Julie et de sa main libre elle claqua la croupe dénudée.

- avancez vilaine fille, et oui tous le monde va voir vos fesses bien rouges, il fallait y réfléchir avant.

La dame qui venait prendre un rendez-vous leva les yeux et esquissa un léger sourire devant le spectacle surprenant de cette dame d'âge mûr, culotte baissée, tenue par l'oreille comme une gamine. Mlle Jeanne fît mettre à Julie son  nez contre le mur. Christine, la cliente, fut époustouflée par la couleur du fessier. Elle n'avait jamais vue une croupe aussi bien mise en valeur, aucun centimètre de peau n'avait échappé à la main de la fessothérapeute, on aurait dit que Julie avait revêtu une culotte rouge bien couvrante. Mlle Jeanne compléta l'humiliation du coin en lui faisant mettre les mains sur la tête.



- Laetitia je laisse Julie sous votre surveillance, elle ne doit pas bouger d'un centimètre, si c'est le cas n'hésitez pas, ses fesses sont à votre disposition.

Laetitia arborait un large sourire, c'est sûr qu'elle n'allait pas se priver de claquer ces jolies fesses puisqu'elle en avait l'autorisation. Elle se tourna vers la cliente.

- bien, vous me disiez que vous désirez un rendez-vous pour votre amie. C'est pour traiter un problème de retard récurrent si j'ai bien compris.

Christine décolla enfin ses yeux du fessier rubicond.

- oui c'est cela, c'est devenu vraiment insupportable et je ne sais plus quoi faire. J'ai pensé à Mlle Jeanne.

- vous avez eu raison, donc pour ce genre de problème, Mlle Jeanne propose deux prestations. Soit des séances à la demande, vous nous envoyez la patiente à chaque retard constaté pour une fessée thérapeutique. Soit, et c'est beaucoup plus efficace, la patiente à un rendez-vous fixe chaque semaine pour une séance qui comprend une fessée thérapeutique de base complétée par une série de fessée en fonction des retards constaté dans la semaine. C'est à vous de choisir ce qui vous paraît le plus adapté au cas de votre amie.

Christine regarda à nouveau Julie, la cuisson de son derrière devait être intense car elle serrait convulsivement ses fesses ne pouvant pas les frotter.

- à ce que je vois, Mlle Jeanne à l'air très compétente, je vais opter pour la deuxième option, Hélène a vraiment besoin d'un traitement sérieux.

Pendant ce temps la fessothérapeute s'était rendue auprès de Valérie qui était toujours au coin avec la règle coincée entre ses fesses.

- c'est bien vous n'avez pas fait tomber la règle, ce petit exercice de musculation va nous aider à faire partir cette mauvaise graisse. Bon on va maintenir la température, venez ici.

Valérie se tourna vers la sévère demoiselle, comme elle ne lui avait rien précisé elle garda ses mains sur la tête et serra très fort ses fesses pour maintenir la règle en place ce qui fit sourire la fessothérapeute. Décidément après une bonne fessée, qu'elle soit punitive ou thérapeutique, les dames redevenaient instantanément des petites filles obéissantes. Elle prit la main de Valérie pour la faire pivoter puis elle la courba sous son bras, elle retira la règle puis entrepris d'appliquer la suite du traitement. Les fesses de la jeune femme étaient encore sensibles, immédiatement elle se mit à trépigner sur place pour atténuer la cuisson, rapidement elle se mit à pleurer.

- aïe aïe aïe, mademoiselle non, ça fait mal, arrêtez s'il vous plaît.

- olala que vous êtes douillette, c'est juste une petite fessée pour réchauffer votre joli derrière,  cessez de gigoter comme ça, j'ai presque fini, faut il que je vous mette sur mes genoux comme une gamine pour vous calmer!

La perspective d'une véritable fessée en position disciplinaire calma la jeune femme. Elle se contenta de gémir pendant que Mlle Jeanne finissait de lui chauffer le derrière. Celle-ci cessa la fessée et posa sa main sur la croupe brûlante.

- voilà c'est parfait, ce n'était pas la peine de faire tout ce cinéma. Vous retournez vous mettre au coin, vous mériteriez que je vous remette la règle pour vous apprendre à gigoter de la sorte. Il vous reste encore une demi-heure, je vous laisse. Laetitia viendra vous dire quand vous pourrez vous rhabiller, moi je vous dis, à demain.



Elle passa dans son bureau, une chaleur avait envahi son sexe, bien sûr elle était toujours très professionnelle mais administrer des fessées lui procurait un plaisir intense et les fesses de Valérie étaient vraiment appétissantes, elle glissa sa main dans sa culotte pour soulager son envie, elle eu un petit râle de plaisir, les fesses de Julie l'attendait pour une dernière fessée ensuite ce serait au tour de Laetitia de lui montrer son mignon petit derrière. Depuis une semaine matin et soir elle couchait sa jeune secrétaire sur ses genoux pour une magistrale fessée déculottée, c'était la punition pour son écart de conduite avec Caroline. Mais c'était vraiment un plaisir pour Jeanne, après la cuisante correction elle gardait la jeune femme en position disciplinaire et sous prétexte de vérifier l'efficacité de la punition elle glissait ses doigts entre les fesses écarlates et descendait jusqu'à la vulve. Laetitia s'était rendu compte que ses fesses ne laissait pas indifférente sa patronne et sa punition au cours de la semaine s'était progressivement transformée en plaisir.

Nous y reviendrons….

 

 

 

 

 

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