dimanche 25 septembre 2022

Fessothérapie 2

 Caroline et Laetitia 



Caroline était venue au cabinet de Mlle Jeanne le lendemain pour apporter sa punition, à savoir les 500 lignes à copier que lui avait infligé la fessothérapeute. Elle trouva Laetitia qui l'accueilli avec un grand sourire.

- Mlle Jeanne est absente, vous pouvez me laisser votre punition, je lui remettrai.

Elle avait insisté avec un petit sourire gourmand sur le mot punition. Caroline rougi légèrement, ça lui rappelait quelques souvenirs cuisant.

- tes fesses vont bien ?

Subitement Laetitia avait changé de ton et son sourire se faisait plus enjoleur. Caroline se souvint de ses caresses excitantes et lui rendit son sourire.

- oui, je te remercie, ta crème m'a fait du bien, ça m'a cuit quand même beaucoup mais il n'y a pas de traces.

- on peut vérifier ?

Laetitia s'était levée de sa chaise, Caroline tourna la tête vers le bureau de Mlle Jeanne avec un regard interrogateur.

- pas de problème, elle n'est pas là, elle ne revient que vers 17h, ça nous laisse une heure devant nous. Vient, on va vérifier l'état de ton petit cul.

Caroline était aux anges, elle ne pensait pas qu'en amenant sa punition elle aurait l'occasion de se faire un petit plaisir. Elle suivi Laetitia dans la salle de repos, dès qu'elle eut refermé la porte, la jeune secrétaire s'assit sur une chaise et fit un signe à Caroline.

- allez ma petite chérie, en position. Maman Laetitia va examiner ces jolies fesses.

Caroline compris ce qu'attendait la jeune femme, elle se coucha docilement sur les genoux de celle-ci. Rapidement elle senti l'air sur ses cuisses et la main experte de Laetitia qui se glissait sous sa culotte, la tirant dans sa raie fessière.

- oh mais c'est très mignon ce petit cul tout blanc.

Elle palpait les fesses, ses doigts glissait sous le fin tissu pour atteindre l'entrecuisse. Caroline frissonna et serra les jambes. Une claque atterri sur sa fesse droite.

- mais qu'est ce que c'est que ça ! Écarte tes cuisses, vilaine !

Elle avait saisi l'élastique de la culotte et elle la baissa jusqu'à mi cuisse.

- voilà, cul nu ma petite Caroline. Tu sais que tu as vraiment un beau cul, on en mangerait.

Joignant le geste à la parole, elle se pencha et mordilla le fessier de sa nouvelle amie. Caroline protesta en riant.

- aie, aie, mais ça va pas, arrête !

- comment ça arrête ? C'est comme ça que tu me parles, tu vas voir, des fesses bien rouges, c'est encore mieux.



Elle commença à fesser doucement la croupe de Caroline, ce n'était pas une fessée sévère, rien à voir avec celle de la fessothérapeute, c'était des claques lentes, la main s'attardait sur la fesse, la caressait puis soudain le rythme s'accélérait, Caroline savourait cette fessée érotique. La chaleur envahissait progressivement son derrière et elle sentait monter une excitation entre ses cuisses. Bientôt la fessée s'arrêta et la main experte de Laetitia s'insinua vers la vulve humide.

- ça te fait plaisir de te faire claquer le derrière petite coquine. Allez vient.

Elle fit relever Caroline et la conduisit vers le canapé. Caroline était très excitée, elle fourragea sous la jupe de la jeune femme pour atteindre sa culotte, elle la descendit prestement et à son tour elle se mit à caresser les fesses et la vulve de Laetitia. Elle était maintenant couchée sur le canapé, jupe largement retroussée sur les reins, les fesses à l'air. Caroline chevauchant Laetitia pour atteindre sa vulve avec ses lèvres. Mais soudain la porte s'ouvrit, c'était Mlle Jeanne. Tout occupée à leur plaisir respectif les deux jeunes femmes ne l'entendirent pas rentrer. Caroline était à quatre pattes les fesses en l'air, la tête entre les cuisses de Laetitia, ce fut celle ci qui vit Mlle Jeanne en premier, elle poussa un cri et repoussa la tête de Caroline. Au même instant Caroline cria elle aussi mais c'était parce qu'une formidable claque avait atterri sur ses fesses tendues. Elle voulu se redresser mais une main appuyait sur ses reins et les claques se succédaient sur son derrière bien exposé.

- mais qu'est ce que c'est que ça, petites gourgandines, je vais vous apprendre moi !

Mlle Jeanne cessa la fessée et elle saisi l'oreille de Caroline pour la faire se relever, Laetitia était tétanisée, les cuisses écartées elle ne bougeait pas, elle fut elle aussi saisie par l'oreille pour se relever.

- dans la salle de repos ! Fesses à l'air ! Mais c'est incroyable !

Mlle Jeanne avait fait se retourner les deux jeunes femmes pour qu'elle lui présentent leurs fesses, elle claquait maintenant les fessiers, recouvert à moitié par les jupes qui étaient retombées, elle leurs désigna la porte.

- dans mon bureau, immédiatement, nous allons régler ce problème.

Les deux jeunes femmes s'exécutèrent et elle traversèrent le secrétariat guidée par Mlle Jeanne qui continuait à leurs claquer les fesses. 



Arrivée dans le bureau de la fessothérapeute, celle ci roula les jupes pour les coincer dans la ceinture, elle désigna le coin à Caroline.

- nez au mur ! mains sur la tête ! Pendant que je m'occupe de votre complice !

Caroline s'exécuta rapidement, la courte fessée qu'elle venait de recevoir lui cuisait déjà les fesses et ne présagait rien de bon. Mlle Jeanne s'était assise sur une chaise et elle avait attiré Laetitia contre ses genoux.

- à nous deux mademoiselle.

En un clin d'œil, la jeune femme se retrouva couchée en travers des cuisses de sa patronne. La magistrale fessée commença, ce n'était pas une fessée thérapeutique, c'était une véritable correction, Laetitia se mit à crier immédiatement, les claques s'abattaient à une cadence infernale sur les fesses tendues, celles ci s'ouvraient et se refermaient au rythme de la punition, les jambes battaient l'air frénétiquement, les larmes succédèrent au cri mais les supplications n'y faisaient rien, tout à sa colère, Mlle Jeanne administrait à sa secrétaire la plus sévère correction de sa vie. Les fesses étaient maintenant écarlates mais la fessée continuait, Laetitia pleurait à chaudes larmes, elle ne savait plus depuis combien de temps elle était là couchée comme une gamine à présenter ses fesses, il lui semblait que c'était une éternité. 



Mlle Jeanne cessa la punition et fit relever sa secrétaire.

- au coin, mains sur la tête, vite !

Laetitia s'exécuta sans un mot, sa culotte était enroulée autour de ses chevilles, Mlle Jeanne la remonta jusqu'à mi cuisse. Puis elle saisi Caroline par l'oreille.

- à nous mademoiselle !

Quelques instants plus tard, Caroline avait retrouvé une position qui lui était familière. Comme une gamine punie par une sévère maman, elle était couchée en travers des cuisses de Mlle Jeanne, les fesses bien présentées. La fessée ne tarda pas, ce fut la même correction que pour Laetitia, aussi sévère et cuisante, Caroline ne fut pas en reste pour ce qui est de la danse des fesses, Mlle Jeanne put admirer à loisir son intimité, la brûlure était intense, supérieure à celle qu'elle ressentait habituellement, une seule fois sa mère lui avait administré ce genre de correction, mais ça faisait longtemps, elle savait que la punition était méritée même si elle avait plus de 20 ans, recevoir une fessée déculottée était dans l'ordre des choses après ce qu'elle venait de faire. Elle pleurait comme Laetitia, ses fesses étaient un brasier incandescent, la terrible fessothérapeute continuait inlassablement à lui tanner le derrière. La couleur de sa croupe n'avait rien à envier à celle de sa copine. Jugeant cette première fessée satisfaisante, Mlle Jeanne la fit se relever.

- mains sur la tête, vilaine fille. Laetitia venez ici !

La jeune secrétaire quitta son coin, elle garda ses mains sur son crâne et se présenta devant Mlle Jeanne. Celle ci fit le tour de son bureau pour s'asseoir, les deux jeunes femmes lui faisaient face. Elles baissaient les yeux, gênées d'être fesses à l'air dans le bureau, leurs joues étaient rouges et quelques traces de larmes persistaient, signe de la sévérité de la correction.

- votre comportement est inqualifiable mesdemoiselles, vous pensez bien que je n'en ai pas encore fini avec vos fesses. Je vous garantis que vous n'êtes pas prêtes d'oublier ma thérapie. Vous allez recevoir une fessée déculottée matin et soir pendant une semaine. Pour vous Laetitia, ça sera des votre arrivée au travail et le soir avant de partir. Pour vous Caroline, il y a deux solutions, ou je demande à votre maman de s'en charger, je pense qu'elle va être ravie d'apprendre que sa fille se livre à de tels ébats. Ou je vous confie à Sylvie, j'ai cru comprendre qu'elle avait une grande habitude des fessées déculottées.

Caroline était effarée, il ne fallait surtout pas que sa mère apprenne qu'elle s'était livrée à des jeux sexuel dans un lieu public et qui plus est avec une fille, elle aurait trop honte. Ne restait que la solution Sylvie, elle serait certainement ravie de lui claquer les fesses, elle pouvait être sévère et Caroline pensait qu'elle n'allait pas se gêner, mais c'était quand même moins gênant que sa mère.

Elle ne leva pas la tête et répondit doucement.

- je préfère que ça soit Sylvie.

La fessothérapeute sourit, elle connaissait Sylvie, elle savait que la punition serait administrée sans faiblesse, Caroline allait avoir les fesses rouges toute la semaine.

- bien, cependant je n'en ai pas tout à fait terminé avec vous, la petite récréation est terminée. Penchez vous sur le bureau.



Caroline connaissait cette position, elle l'avait expérimentée lors de sa séance antiprocrastination. Les deux jeunes femmes posèrent leur buste sur le plateau du bureau, leurs deux fessiers étaient parfaitement tendus et bien exposé. La culotte de Caroline était descendue sur ses chevilles, celle de Laetitia était à mi cuisse, les deux derrières étaient écarlates, on reconnaissait le talent de la fesseuse, la couleur était identique, Mlle Jeanne avait devant ses yeux, quatre tomates bien mûres. Elle sortit d'un tiroir un paddle assez court mais épais de deux centimètres et large de dix. Elle contourna son bureau et caressa avec son instrument les deux fessiers tendu devant elle.

- j'espère que vous commencez à comprendre et que vous regrettez votre attitude on va finir cette première punition par une fessée à la paddle. Dix coups sur chaque fesses pour commencer, je veux vous entendre compter. Vous direz merci mademoiselle après chaque coup.

Elle leva l'instrument et l'abattit sur la fesse droite de Caroline qui poussa un hurlement, la fessée à la pantoufle c'était vraiment doux à côté de ça, elle pensa qu'elle ne pourrait pas supporter 20 coups comme cela.

- je n'ai rien entendu, on recommence...

- noon, pardon, un mademoiselle.

- trop tard, et vous n'avez pas dit merci.

Caroline se mit à pleurer. Mlle Jeanne leva à nouveau la paddle et l'abattit au même endroit que précédemment. Caroline poussa un cri mais elle put quand même articuler. 



- aie, un... Merci mademoiselle... Aie aie deux.. Merci mademoiselle. 

La fessothérapeute avait décidé de ne pas alterner les coups, elle administra donc les dix coups sur la fesse droite de Caroline, celle ci maintenant pleurait à chaudes larmes, mais elle comptait les coups et remerciait sa fesseuse après chacun. Elle avait l'impression que la peau de sa fesse allait se détacher. Mais il n'y avait rien à craindre, Mlle Jeanne était une professionnelle, elle savait apprécier la qualité des fesses à sa disposition et Caroline était bien pourvue, son derrière pouvait largement supporter ce traitement. Il était temps maintenant de passer à l'autre fesse, Caroline cria à chaque coup mais instruite par les sévères fessées qu'elle recevait à la fois par sa mère et par Sylvie, elle compta sans broncher les dix coups sur sa fesse gauche. Laetitia couchée à côté d'elle était effrayée, elle n'avait pas l'habitude de recevoir de telles corrections. Bien sûr depuis qu'elle travaillait chez Mlle Jeanne elle avait reçu régulièrement des fessées déculottées mais elle n'avait jamais goûté à cet instrument. Elle ne tarda pas à connaître cette brûlure intense, les dix coups successifs administré sur chaque fesses lui tira elle aussi des larmes, elle trépignait sur place mais elle savait qu'il ne fallait pas bouger sous peine d'un doublement de la punition. Quand enfin la fessée prit fin les quatre fesses étaient uniformément colorées de rouge, des marques plus sombres marquait le centre de chaque fesses, c'était l'endroit où le paddle avait claqué le plus souvent. Les deux jeunes femmes sanglotaient, leurs fesses se serraient convulsivement mais elles ne bougeaient pas. Mlle Jeanne s'était reculée pour apprécier le spectacle. 

- c'est bien vous avez été obéissante, on va terminer cette séance avec une série de cinq sur les deux fesses à la fois. 

Elle avait posé la courte paddle et en avait prit une plus longue. Elle la posa sur les fesses de Caroline, celle ci contracta son fessier. 

- détendez-vous ma petite, la fessée est plus douloureuse sur un derrière serré. 

Elle leva le paddle et l'appliqua rapidement en travers des deux fesses tendues. 



- aie aie, oh non mademoiselle pardon... Un.. Merci mademoiselle. 

Caroline hurlait à chaque coup, son derrière n'était plus qu'une boule de feu. La fessée fut rapide mais ajoutée aux précédentes c'était vraiment la correction finale qui allait faire rentrer la leçon dans la tête de ces écervelées. C'était la théorie de Mlle Jeanne, les dames comprenaient mieux la leçon quand on parlait à leurs fesses. Puis ce fut au tour de la croupe de Laetitia de goûter à la cuisson du long paddle, elle exécuta une très jolie danse des fesses en sautillant sur place au rythme des claquements. 

- voilà votre punition est terminée, vous pouvez remonter vos culottes pour cacher vos vilains derrières. 


Caroline vous irez voir Sylvie, je vais l'appeler immédiatement pour qu'elle s'occupe de vous dès ce soir et toute la semaine. Quant à vous Laetitia vous vous remettez immédiatement au travail. Je m'occuperez de vos fesses ce soir avant que vous ne partiez. 





2 commentaires:

  1. Merci pour la republication de ces récits sur votre blog !
    Corentin

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    Réponses
    1. Merci, Corentin, j'apprécie beaucoup que mes lecteurs me fasse part de leurs envies. Moi aussi j'étais un peu triste que mes récits aient disparu. Les relirent me fait plaisir et trouver les illustrations est aussi un plaisir. J'ai encore pas mal d'archives mais il y aura également des nouveaux récits prochainement.
      Sylvie

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