mercredi 21 septembre 2022

Fessothérapie 1

Première séance chez Mlle Jeanne



Caroline et Sylvie était désespérée, l'une et l'autre était en panne d'inspiration, elles n'arrivaient plus à écrire la moindre ligne, aucun récit n'était publié, elles se trouvaient toujours de bonnes excuses mais à bien y réfléchir à force de discuter elles étaient arrivées à la même conclusion, elles procrastinaient, il fallait trouver une solution.

C'est Caroline qui trouva l'annonce en fouinant sur le net.

Mlle Jeanne, fessothérapeute. Pour régler vos problèmes, elle est là, que vous ayez du mal à suivre un régime, à arrêter de fumer, une aide pour réviser vos examens, une tendance à la procrastination et bien d'autres soucis qui vous gêne dans votre vie personnelle adressez vous a son cabinet spécialisé, avec ses deux assistantes spécialement formées, elle saura vous apporter la solution.

- j'avais entendu parler de ce cabinet spécialisé, tu crois que c'est nécessaire, je ne sais pas si je suis prête à ce genre de thérapie.

C'était Sylvie qui avait pris la parole, elle buvait un café chez Caroline, celle ci se mit à rire.

- je ne pense pas qu'il y ait une autre solution ma chérie, c'est toi qui m'a dit que ce n'était pas possible de continuer comme ça, on a tout essayé, on se donne des punitions, on se flanque mutuellement des fessées mais c'est plutôt un plaisir pour nous, non ce qu'il nous faut c'est une véritable prise en main pas un petit jeu, je pense que mademoiselle Jeanne est la personne qu'il nous faut.

Sylvie soupira, elle avait entendu parler de la fessothérapie, c'était très douloureux pour le derrière et souvent difficile à supporter pour l'amour propre. Elle avait plus de 60 ans, elle adorait la fessée mais Caroline avait raison c'était un jeu, il lui fallait peut-être retourner à l'école et recevoir la fessée déculottée comme une gamine et enfin se remettre à écrire. Elle regarda Caroline.

- je crois que tu as raison et puis je pense que ça va me faire plaisir de te voir gigoter les fesses à l'air sur les genoux de mademoiselle Jeanne.

Caroline souriait, j'en ai autant à ton service ma petite chérie. Elle avait 20 ans et elle se régalait en pensant au spectacle qu'allait lui offrir son amie courbée sur un genou, la culotte aux genoux, les fesses écarlates se serrant sous la magistrale correction. Elle prit son téléphone.

- bon c'est décidé, je nous prend un rendez-vous, on ne risque rien d'essayer.

- c'est toi qui le dit... On risque quand même d'avoir très mal aux fesses. Bon allez vas y, il faut bien qu'on fasse quelque chose.

C'est ainsi que deux jours plus tard, elle sonnait à la porte d'une maison bourgeoise. Une jeune femme blonde, grande et mince, les cheveux courts les accueilli avec un sourire engageant.

- bonjour mesdames, vous êtes à l'heure, c'est bien !

Le ton était ferme, elle les fit entrer dans une pièce qui servait de secrétariat, de salle d'attente. Deux portes donnaient sur le secrétariat, sur l'une était notée le nom de la fessothérapeute : Mlle Jeanne, sur l'autre : salle de soins. Laetitia, c'était le nom de la secrétaire devait avoir tout juste 20 ans, elle leur demanda si elles avaient ramené le dossier à remplir, les deux amies les lui tendirent. Elle les feuilleta rapidement.

- à, je vois que vous avez omis de noter vos mensurations, ce n'est pas grave, je vois que vous êtes là pour un problème de procrastination, pas pour un problème de régime, nous les prendrons avant votre départ, Mlle Jeanne exige toujours des dossiers complets.

Une sonnerie retenti, la jeune femme s'excusa.

- pardonnez moi, j'ai un traitement à surveiller, installez vous, Mlle Jeanne ne va pas tarder, elle a pris un peu de retard sur le traitement de la patiente précédente. Elle se leva et ouvrit la porte de la salle de soins et ne prit même pas la peine de la refermer, Caroline et Sylvie aperçurent une magnifique paire de fesses écarlates dans un coin de la pièce. Elle appartenait à une dame, la jupe épinglée dans le dos, la culotte blanche descendue à mi cuisse elle exposait un magnifique et large fessier. La cuisson devait être intense car la dame serrait convulsivement ses fesses, ses mains étaient posées sur sa tête. Estelle s'approcha de la dame en pénitence, elle posa sa main sur la croupe rubiconde.

- c'est bien, vos fesses sont encore à bonne température, vous pouvez enlever vos mains de la tête, mais vous savez que je ne veux pas que vous frottiez vos fesses, je sais ça brûle mais c'est signe que le traitement est efficace, il vous reste encore 1/2 heure à rester au coin, je reviens dans 10' contrôler la température de votre peau, Mlle Jeanne m'a dit de ne pas les laisser refroidir.



Elle tapota les fesses de la dame, puis referma la porte, sur son bureau un écran de contrôle lui permettait de surveiller la pièce. La porte du bureau s'ouvrit, Mlle Jeanne une petite femme brune, très énergique, précédait une dame d'une cinquantaine d'années, celle ci avait les joues très rouges et elle portait des lunettes fumées, Sylvie en fesseuse avertie reconnu tous les signes d'une dame qui venait de se faire corriger. La thérapeute s'adressa à la jeune secrétaire.

- Laetitia, vous donnez un rendez-vous à Mme Dulac pour demain en soirée.

Puis elle se tourna vers sa patiente.

- comme je vous l'ai dit, je souhaite vous voir tous les jours cette semaine, si on veut que le traitement soit efficace il faut vraiment s'y tenir. Mme Dulac acquiesça d'une petite voix.

- bien, euh si vous jugez que c'est utile... Mais euh... Vous croyez que... Enfin, je vais le supporter...

Mlle Jeanne eut un petit sourire.

- Rassurez-vous, chère madame votre derrière peut en supporter beaucoup plus, si c'est ça que vous voulez dire.

La dame baissa les yeux et piqua un fard énorme, elle devait regretter sa question. Mlle Jeanne était satisfaite, elle adorait rabattre le caquet de ces bourgeoises et puis l'humiliation publique faisait partie de la thérapie. Elle s'adressa à nouveau à Laetitia.

- et Mlle Grund, comment va t elle, vous avez surveillé la chaleur de ses fesses ?

- oh oui mademoiselle, j'y vais toute les dix minutes, c'est parfait.

- n'hésitez pas à me prévenir quand elles auront refroidi, je dois vous montrer comment on les maintient à bonne température.

Elle se tourna vers Caroline et Sylvie qui avait écouté sagement cette conversation.

- bien à nous mesdames, entrez dans mon bureau, je prends vos dossiers et je suis à vous.

Caroline et Sylvie n'en menait pas large, bien sûr elle savait pourquoi elles étaient là, mais le ton employé leur rappelait leur adolescence quand elles étaient convoquées chez la directrice. Sylvie et Caroline était habituée à écrire sur la fessée, il leur arrivait aussi quelques fois d'en recevoir, surtout Caroline d'ailleurs qui devait montrer très souvent ses fesses nues à son amie pour une bonne fessée déculottée mais elle n'était pas en reste et Sylvie avait droit elle aussi à quelques séances de panpan cucul. Des qu'elles furent entrées, Mlle Jeanne leur désigna les chaises en face de son bureau, elle même prit place derrière ce grand bureau en bois. Elle parcouru rapidement les dossiers

- vous venez donc pour un stage antiprocrastination, c'est bien, vous verrez que c'est très efficace.

Elle avait dit ça d'un ton très professionnel mais avec un léger sourire.

- parfait, vous avez signé le contrat, vous savez donc que vous vous êtes engagée à accepter les traitements que je serais amené à vous administrer, vous savez que ça sera souvent la fessée déculottée.

Elle avait dit ça comme si il était naturel pour des dames adultes de recevoir ce châtiment enfantin, elle avait insisté sur le mot déculottée. Caroline et Sylvie se regardèrent, avaient elles bien réfléchi avant de prendre ce rendez-vous. Mais il était trop tard et puis il fallait trouver une solution à leur manque d'inspiration.- alors comme ça, on procrastine, je vois. Vous savez comment ça s'appelle en français !!! Non ? Et bien je vais vous le dire, vous êtes des paresseuses mesdemoiselles et j'ai un très bon moyen pour traiter la paresse ! Une bonne fessée déculottée ! C'est ce qui aurait dû vous arriver depuis longtemps.

En disant ces mots, elle s'était levée et avait fait le tour du bureau. Elle avait saisi Caroline et Sylvie chacune par une oreille et elle les fit se lever.

Mademoiselle Jeanne, lâcha l'oreille de Caroline et elle conduisit Sylvie au coin de la pièce. Elle lui fit mettre le nez contre le mur puis lui relâchant enfin l'oreille, elle retroussa sa jupe qu'elle épingla dans le dos puis d'un geste rapide elle baissa la petite culotte blanche jusqu'à mi cuisse.

- mains sur la tête, vous ne bougez pas tant que je m'occupe de votre camarade.



Elle prit une chaise qu'elle posa au milieu de la pièce et fit un signe du doigt à Caroline.

- approchez, vilaine fille.

Caroline était devant elle, les yeux baissés.

- vous savez ce qui arrive quand on est paresseuse mademoiselle ? Regardez moi quand je vous parle !

Une claque rapide avait atterri sur la cuisse de Caroline, qui poussa un petit cri.

- aie... Oui, euh, pardon madame.

-alors ? J'attends, qu'avez vous mérité ?

Une autre claque sur la cuisse avait accompagné ces paroles.

- aie.. Euh.... Une fessée.

- oui mademoiselle, une bonne fessée... Une fessée déculottée, cul nu comme une gamine que vous êtes.

Elle avait saisi la main de la jeune femme et rapidement elle l'avait basculée en travers de ses genoux. Caroline portait une jupe assez courte, elle légèrement s'était relevée dès la mise en position disciplinaire, découvrant le bas de la culotte, elle retroussa complètement la jupette sur les reins et tapota les fesses bien moulées, Caroline portait une culotte en coton gris avec une petite bande de dentelle rose au niveau des cuisses

- voilà de bien bonnes fesses, vous êtes bien pourvue Caroline, ça va être un vrai plaisir de vous corriger.

Elle commença immédiatement à claquer le fessier rebondi, Caroline avait l'habitude de recevoir la fessée mais elle se rendit compte immédiatement que Mlle Jeanne était une spécialiste malgré la protection du vêtement la brûlure était conséquente, quant serait il quand elle serait déculottée. Elle tourna légèrement la tête et vit Sylvie cul nu, les mains sur la tête et le nez au mur. Soudain elle poussa un cri, mademoiselle Jeanne avait claqué la base des fesses découvertes par la culotte, cette zone si sensible à la pliure des cuisses. La fesseuse insista quelques instants pour bien rougir le haut des cuisses, puis elle glissa ses doigts dans l'élastique de la culotte et la baissa lentement. Caroline gémit doucement, certes quand Sylvie la punissait c'était toujours cul nu mais se faire baisser la culotte comme une gamine par une personne étrangère, elle ne l'avait jamais vécu. Elle serra ses fesses afin de protéger un peu son intimité, elle savait par expérience que c'était peine perdue quand elle recevait la fessée par Sylvie ou sa mère, la danse de ses fesses mettait à jour tout ce qu'une jeune femme veut habituellement cacher. La fessée repris de plus belle, mademoiselle Jeanne s'appliquait à bien couvrir toute la surface des fesses, d'une belle couleur rouge uniforme, Caroline maintenant pleurait à chaudes larmes sous la cuisson de la punition, ses fesses s'ouvraient largement, ses pieds battaient l'air au rythme effréné de la fessée, elle ne se souvenait pas d'avoir reçu une aussi sévère fessée déculottée, elle regrettait amèrement son idée de stage anti procrastination. La fessée lui paraissait interminable. Sylvie le nez contre le mur entendait les claquements sec sur les fesses nues de sa jeune amie, les pleurs qui accompagnaient la fessée ne laissaient guère de doute sur la sévérité de la correction, elle serrait ses fesses d'appréhension en pensant que ça serait bientôt son tour. Elle n'allait plus attendre longtemps, mademoiselle Jeanne jugea que la couleur de la croupe de Caroline était satisfaisante, elle posa sa main sur la peau nue pour en apprécier la chaleur, c'était brûlant, Caroline pleurait doucement une cuisson aussi intense après une fessée, elle était sûre de ne l'avoir jamais ressentie, sa fesseuse la fit se relever, sa culotte était descendue aux chevilles, elle la prit par l'oreille et la conduisit à côté de Sylvie, comme elle l'avait fait précédemment elle épingla la jupe pour la maintenir retroussée puis elle remonta la culotte à mi cuisse, le contraste du gris clair du sous vêtement avec la rougeur des fesses étaient étonnant, Caroline avait l'habitude de passer du temps au coin après la fessée, aussi sans que mademoiselle Jeanne eut besoin de lui dire, elle posa ses mains sur sa tête. La fessothérapeuthe satisfaite de cette docilité se recula pour apprécier le spectacle.

- vous êtes ravissante, Caroline, mettez bien votre nez contre le mur et réfléchissez aux conséquences de votre paresse.

Caroline sanglotait doucement, elle aurait tellement voulu frotter ses fesses brûlantes. Mademoiselle Jeanne s'était tournée vers Sylvie.

- à nous chère madame, remontez votre culotte et venez me voir.

Sylvie s'exécuta, sa jupe était toujours épinglée dans son dos, laissant bien visible sa petite culotte blanche, elle se dirigea la tête basse vers mademoiselle Jeanne. Quand elle fut devant sa fesseuse, elle du elle aussi subir l'interrogatoire humiliant qui avait pour but de la faire retomber en enfance, elle du avouer sa paresse et admettre après quelques claques bien senties sur les cuisses qu'elle méritait une bonne fessée déculottée. La sévère maîtresse la fit pivoter pour lui présenter ses fesses encore culottées et elle entrepris de claquer l'arrière des cuisses.

- je vais vous apprendre, madame la paresseuse, à votre âge, vous devriez avoir honte.

Les claques rythmaient ses paroles, Sylvie sautillait sur place et essayait de ne pas trop crier, mais la fessée sur cette zone très sensible était nouvelle pour elle et bientôt elle se mit à gémir, surtout que mademoiselle Jeanne comme elle l'avait fait pour Caroline, claquait maintenant la pliure des cuisses, à la base des fesses juste sous la culotte. Quand elle cessa, l'arrière des cuisses de Sylvie était d'un rouge uniforme.



 Il était temps de passer à la vraie fessée, elle prit la main de la dame redevenue une gamine et la força à se coucher en travers de ses cuisses. La fessée repris immédiatement sur la culotte bien tendue, Sylvie avait une paire de fesses moins joufflue que celle de Caroline mais bien entretenue par des séances de gym, elle remplissait bien sa culotte, mademoiselle Jeanne se mit à claquer la culotte blanche qui la faisait ressembler à une gamine, surprise Sylvie se mit à gémir malgré le coton qui protégeait sa peau elle ressentait déjà la brûlure. Cette fessée préparatoire ne dura pas longtemps c'était une fessée déculottée que méritait cette paresseuse, Sylvie senti les doigts de sa fesseuse s'insinuer sous l'élastique de sa culotte, elle eu un petit frisson d'angoisse, elle avait du déjà exposer ses fesses à Mlle Jeanne mais se faire baisser la culotte dans cette position était autrement humiliant. La thérapeute en était consciente c'est pour cette raison qu'elle avait fait reculotter Sylvie. Maintenant la lingerie était arrivée au niveau des genoux, la large croupe de la dame mûre s'étalait devant les yeux de la fesseuse, malgré sa grande habitude, c'était toujours un plaisir pour elle de découvrir une nouvelle paire de fesses, les fesses de jeunes femmes comme celles de Caroline était agréable avec leurs fraîcheurs et leurs élasticités, mais déculotter et fesser une dame plus âgée qu'elle était particulièrement excitant surtout quand comme Sylvie ce fessier était large et bien musclé. Les fesses étaient déjà bien colorées, Jeanne repris la correction, les claques étaient magistrales, distribuées alternativement sur chaque hémisphère, la main semblait rebondir au contact de la fesse, Sylvie avait crié au premier coup puis supplié, maintenant elle pleurait à chaudes larmes comme une gamine paresseuse punie par sa maîtresse, aucun souci de pudeur n'encombrait son esprit, tout à la brûlure qui embrasait son derrière, elle ouvrait et serrait ses fesses au rythme de la punition laissant voir à sa fesseuse son intimité. 



La punition paru interminable à Sylvie, mais soudain les claques cessèrent, la cuisson bien sûr continuait. Comme elle l'avait fait pour Caroline, mademoiselle Jeanne la garda un moment dans cette position humiliante, elle lui caressait les fesses comme pour apprécier l'efficacité de son châtiment.

- bien voilà une bonne fessée, j'espère que vous commencez à comprendre où va vous mener la paresse si vous ne changez pas de comportement.

Se faire gronder dans cette position, exposant ses fesses écarlates ramenait les patientes au rang de fillette et faisait partie de la thérapie. Quand Sylvie pu enfin se relever, elle n'osa pas lever les yeux, son visage rouge et inondé de larmes témoignait de l'efficacité du traitement, sa jupe toujours épinglée dans le dos laissait sa croupe bien dégagée, sa culotte était descendue aux chevilles, c'est dans cette tenue peu en accord avec son âge qu'elle fut conduite au coin par la thérapeute, la culotte fut remontée au milieu des cuisses. Mademoiselle Jeanne accompagna la mise au coin d'une vigoureuse claque au milieu des fesses.

- vous collez bien votre nez contre le mur et vous mettez vos mains sur la tête, je ne veux plus vous entendre.

Caroline et Sylvie était côte à côte, le nez au mur, les mains sur la tête, les fesses brûlantes. Mlle Jeanne s'était rassise à son bureau, le téléphone sonna c'était Laetitia qui lui indiquait que la patiente qu'elle surveillait n'avait plus les fesses très chaudes. Elle prit une petite raquette en cuir sur son bureau et quitta la pièce non sans avoir prévenu les deux punies.

- je vous laisse un instant, ne vous avisez pas de bouger !

Arrivée au secrétariat, elle s'adressa à la jeune femme.

- venez avec moi Laetitia, il faut que vous appreniez à maintenir un fessier à bonne température, si un jour je suis débordée, vous devrez me seconder.

Elle ouvrit la porte de la salle de soins, la patiente était toujours sagement debout fesses à l'air le nez contre le mur, ses fesses étaient encore rouges, elle posa sa main dessus.

- effectivement vous avez raison Laetitia, ces fesses ont perdu en température, cette patiente est là pour une thérapie anticellulite, il est impératif qu'elle garde les fesses très chaudes pendant au moins deux heures chaque jour, ça brûle les calories et ça stimule les muscles fessiers. Venez ici Mlle Grund.

La jeune femme d'une trentaine d'années se retourna, elle était brune avec un joli minois mais effectivement elle avait des fesses plantureuses, qui la complexait depuis longtemps, elle était prête à tout accepter pour avoir des fesses plus sexy. Mlle Jeanne lui avait expliqué qu'avec la fessothérapie elle perdrait peu de volume mais qu'en revanche elle aurait un derrière qui ferait des envieuses. Le traitement était douloureux et légèrement humiliant mais que ne ferait on pas pour être belle. Mlle Jeanne lui attrapa le bras pour la faire pivoter puis d'un geste rapide elle lui entoura la taille et la fit se courber sous son bras pour bien lui présenter ses fesses. Laetitia avait la large croupe juste en face d'elle. La thérapeute prit la raquette en cuir et commença à fesser tranquillement le large derrière. Elle prenait son temps, elle alternait une fesse après l'autre, s'appliquant à couvrir toute la surface des fesses tendues.

- voyez Laetitia, cette palette à fessée est parfaitement adaptée, elle couvre bien la fesse à chaque coup, ce n'est pas la peine d'aller trop vite, vous claquer fermement, vous alterner et surtout vous fessez bien toute la surface, même ici.



La patiente avait poussé un cri, car Mlle Jeanne maintenant fessait le haut des cuisses et le pli sous les fesses. Mlle Jeanne ne se souciait pas des réactions de Mlle Grund, celle ci maintenant trepignait sur place mais la thérapeute la maintenait solidement contre sa hanche et continuait imperturbablement la fessée. Laetitia était fascinée par ce gros fessier écarlate qui ballottait sous les claques. Mlle Jeanne cessa la fessée et posa sa main sur l'épiderme brûlant.

- tenez Laetitia, venez voir, c'est comme ça que les fesses doivent être pour traiter la cellulite, allez y toucher.

La jeune femme s'était approchée, et avait posé sa main sur les fesses brûlantes. Valérie Grund était toujours coincée sous le bras de Mlle Jeanne, les fesses bien présentées, elle avait les larmes aux yeux, vraiment j'espère que ce traitement va être efficace pensait elle. Mlle Jeanne la relâcha.

- allez retournez vous mettre au coin et ne frottez pas vos fesses. On en est à combien de temps Laetitia ?

La jeune secrétaire regarda la pendule.

- une heure mademoiselle, euh... Mlle Grund a frotté ses fesses tout à l'heure, je me suis permis de lui faire mettre ses mains sur la tête. J'ai bien fait ?

Mlle Jeanne sourit.

- vous avez eu raison, mais ne prenez quand même pas trop d'initiative sans m'en parler.

Elle revint dans son bureau, ses deux punies n'avaient pas bougé.

- bien j'espère que ce passage au coin vous aura fait réfléchir, on va passer à la suite du traitement, venez avec moi. Elle ouvrit une porte qui donnait directement sur la salle de soins où Valérie patientait en exposant son derrière rougeoyant. Les deux amies appréciait de ne pas être seules avec les fesses à l'air, Mlle Jeanne leur désigna deux pupitres.

- asseyez-vous !

Caroline et Sylvie se regardèrent un peu surprise, sur chaque siège était posé un petit paillasson, elles avaient les fesses encore douloureuses et s'asseoir cul nu sur ce siège n'était pas très enthousiasment, mais le ton de Mlle Jeanne était sans réplique. Elles s'exécuterent en grimaçant. Il y avait un cahier posé sur chaque table.



- bien, ouvrez votre cahier, vous allez me copier proprement 100 fois la phrase suivante : je suis une paresseuse qui a bien mérité la bonne fessée déculottée administrée par mademoiselle Jeanne.

La phrase était longue, Caroline qui avait perdu l'habitude d'écrire à force d'utiliser l'informatique, elle pensa que l'écrire 100 fois allait être un supplice surtout que les picots rugueux du paillasson s'imprimait dans ses fesses endolories. Sylvie n'était pas en reste, cette situation la ramenait 50 ans en arrière, les lignes à copier étaient un grand classique des punitions scolaires quand les châtiments corporels eurent disparu. Aujourd'hui elle avait eu les deux, une bonne fessée déculottée et maintenant 100 lignes comme à l'école !!

La punition était sévère car pour écrire ces100 lignes, ils leur fallu environ une heure. Pendant ce temps elles eurent le plaisir un peu pervers d'assister à la deuxième fessée thérapeutique de Valérie Grund, elles levèrent discrètement les yeux de leur copie pour voir la jeune femme trépigner sur place pendant que Mlle Jeanne lui administrait son traitement, les fesses étaient maintenant rouge carmin et elle sanglotait tout en exposant sa large croupe. 



Quand la thérapeute revint dans la pièce elle s'approcha des pupitres pour regarder les copies.

- bien, où en sommes-nous ? Sylvie vous avez fini ? Parfait, et vous Caroline ? Encore 10 lignes !!! Je vous laisse encore 5' pour terminer mais vos fesses vont payer ce retard.

Sylvie avait posé son stylo, ses fesses étaient de plus en plus douloureuses, le paillasson ne permettait pas à la brûlure de se dissiper. Caroline se pressait pour finir sa pénitence, elle se doutait bien que dans quelques instants son derrière serait encore plus douloureux.

Mlle Jeanne les fit se relever et les accompagna dans son bureau.

- bien j'espère que vous commencez à comprendre où vous mène votre paresse, tournez-vous pour me montrer vos fesses.

Docilement les deux dames se retournèrent, leurs fessiers étaient encore très rouge, les marques du paillasson étaient incrustées dans la peau. La thérapeute passa sa main sur les fesses.

- ça brûle n'est ce pas ? C'est bien vous allez vous en rappeler. Caroline venez ici, quand à vous Sylvie, mettez vos mains sur la tête et allez vous mettre au coin.

Elle s'était à nouveau assise sur la chaise et avait tiré le bras de Caroline pour la coucher en travers de ses genoux, elle était déjà déculottée donc prête pour la fessée.

- décidément ma petite, vous semblez ne pas comprendre, vous avez encore baillé aux corneilles au lieu d'écrire vos lignes et bien je vais parler avec vos fesses.

Elle avait pris une brosse à cheveux et la correction commença. Caroline avait déjà reçu par sa maman des fessées avec cet instrument mais ses fesses étaient encore endolories par le séjour sur le paillasson elle se mit à crier sous la cuisson, Mlle Jeanne n'appuyait pas trop les coups c'était une fessée d'intensité moyenne pour que la jeune femme comprenne qui était la maîtresse. Une cinquantaine de coups suffirent pour que Caroline sanglote comme une gamine après une fessée maternelle. Mlle Jeanne était satisfaite, elle la fit se relever et appela Sylvie. Elle était maintenant assise à son bureau, les deux punies debout devant elle.

- bien, nous allons terminer cette petite séance par une fessée à la pantoufle, c'est le châtiment préféré des institutrices en Angleterre et vous savez qu'ils s'y entendent pour corriger les vilaines filles. Vous vous comportez comme des gamines vous serez punies comme telle.

Elle s'était levée et avait pris dans le tiroir de son bureau une solide pantoufle avec une semelle épaisse en cuir. Elle désigna son bureau.

- vous allez vous pencher sur mon bureau côte à côte, les fesses bien tendues.

Les deux amies obéirent immédiatement, leurs deux fessiers rougeoyant étaient maintenant à la disposition de la sévère demoiselle. Celle-ci passa derrière elle pour arranger un peu leur position, de façon à avoir une vue parfaite sur la zone à corriger. Puis elle tapota les fesses de Sylvie.

- alors ma petite Sylvie on sera encore paresseuse ?

Sylvie contracta ses fesses dans l'attente de la première claque, mademoiselle Jeanne leva la pantoufle et administra une vigoureuse claque sur la fesse droite puis immédiatement une deuxième, Sylvie avait crié et piétiné sur place mais instruite par les précédentes punitions, elle n'avait pas essayé de se dérober. Mlle Jeanne administra dix coups successifs sur la même fesse, la brûlure était intolérable, Sylvie pleurait sous la douleur mais la redoutable fesseuse voulait que ces chipies se souviennent de leur punition, elle changea de fesse et dix coups retentirent sur la fesse gauche. Sylvie sanglotait maintenant, elle aurait tellement voulu frotter ses fesses. C'était maintenant au tour de Caroline de goûter à la brûlure de la pantoufle, elle exécuta une très jolie danse des fesses, elles s'ouvraient et se refermaient au rythme de la correction et la fesseuse pouvait apprécier l'intimité de la jeune femme. Sylvie reçu ensuite sa deuxième fessée et ne fut pas en reste, dix coups sur chaque fesses sans alterner, elle regrettait amèrement sa procrastination, telle une mauvaise élève dans le bureau de la directrice, elle suppliait et promettait d'être sage, de ne plus recommencer. 



Insensible aux supplications la thérapeute administra les quatre séries qu'elle avait prévue sur les deux paires de fesses qui étaient maintenant d'un rouge profond, les deux amies semblaient avoir revêtu une magnifique culotte rouge. Satisfaite elle se recula pour admirer son travail, elle avait posé la pantoufle, elle prit une photo des deux derrières punis.

- voilà j'espère que la leçon vous sera profitable, relevez vous et reculottez vous.

Les deux amies ne se firent pas prier pour cacher leurs fesses, elles grimacèrent quand le fin tissu fut en contact avec leur épiderme endolori. Mlle Jeanne enleva l'épingle qui tenait retroussée les jupes, Caroline et Sylvie avaient retrouvé une tenue plus en accord avec leurs âges. Mlle Jeanne s'était rassise à son bureau, elle leur désigna les chaises.

- asseyez-vous.

Un sourire éclaira son visage quand elle vit la grimace sur les visages des punies au moment où leurs derrières entrait en contact avec le siège, c'était le signe que la punition avait été efficace.

- nous n'en avons pas tout à fait terminé, pour demain vous allez me copier 500 fois la phrase suivante.

"une bonne fessée déculottée est le meilleur remède à la paresse"

Vous devrez amener ces lignes avant demain 18 heures à mon secrétariat sinon vous aurez droit à un nouveau séjour sur mes genoux. J'espère ne pas avoir à sévir.

Mlle Jeanne se leva pour les raccompagner. Laetitia avait un léger sourire aux lèvres, elle leurs présenta la note de la prestation. Quand elles eurent régler, elle s'adressa à Caroline.

- mademoiselle, si vous voulez bien rester quelques instants, je dois compléter votre dossier.

Sylvie s'éclipsa, laissant les deux jeunes femmes. La jeune secrétaire désigna une porte.

- si vous voulez bien me suivre, il faut que je note vos mensurations, ça sera rapide.

Une fois la porte refermée elle se tourna vers Caroline.

- je dois vous peser et mesurer vos tours de taille et de fesses, vous avez omis de les noter sur votre fiche d'inscription. Déshabillez vous, gardez seulement culotte et soutien gorge.

Un peu surprise, Caroline s'exécuta la série de fessées qu'elle venait de recevoir l'avait rendu docile. Laetitia lui indiqua la balance, la rougeur des fesses dépassait de la culotte, Caroline le savait et c'était un peu humiliant. Puis la jeune secrétaire prit un mètre à ruban et elle mesura le tour de taille de Caroline, elle notait les mensurations soigneusement, elle s'approcha de Caroline, lui fit signe de pivoter et avant que celle ci puisse dire un mot, elle lui baissa la culotte. Caroline poussa un petit cri de surprise qui fit sourire Laetitia.

- je dois mesurer votre tour de fesses mademoiselle, la culotte est de trop.

Caroline exposait ses fesses écarlates devant la jeune secrétaire, celle ci avait l'habitude de voir des fesses rouges mais celle de Caroline était très mignonne. Elle mesura soigneusement le périmètre fessier, sa main s'attarda brièvement sur la croupe brûlante.

- Mlle Jeanne vous a bien soigné, vous voulez que je vous passe un peu de crème

Caroline rougit, elle regarda la jeune secrétaire, elle lui souriait. N'étant pas une oie blanche, Caroline remarqua le regard intéressé de Laetitia sur son anatomie postérieure. 



Après tout pourquoi ne pas se faire du bien pensa t-elle. La jeune femme s'était assise et elle lui faisait un petit signe avec le doigt, Caroline compris qu'elle devait reprendre la position disciplinaire si elle voulait bénéficier du traitement calmant. Elle se coucha docilement sur les genoux de Laetitia, elle savait que ses fesses n'avaient rien à craindre. Celle-ci baissa un peu plus la culotte, déposa une noisette de crème sur chaque fesse et se mit en devoir de masser le derrière de Caroline, sa main experte s'insinua entre les deux hémisphères et un doigt glissa jusqu'à la vulve, Caroline se mit à gémir.

- ça te plaît petite coquine, heureusement que Mlle Jeanne est en consultation, sinon nous serions bonne toutes les deux pour une bonne fessée déculottée. Tu sais que tu as un très joli petit cul, en plus le rouge lui va bien.

Elle fit relever Caroline et lui fit une bise. Puis elle prit un papier sur lequel elle nota son téléphone.

- si ça t'intéresse, appelle moi un de ces soirs.

Caroline se reculotta, finalement la séance aurait été positive à tout point de vue. 

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