Après la fessée à la canne
Quelques instants plus tard, c'était une dame âgée toujours habillée en collégienne qui traversa rapidement la place tenant à la main un long paquet entouré d'un joli ruban, il contenait deux cannes, une pour les fesses de Sylvie et l'autre pour les fesses de Laetitia et Virginie.
Les deux cannes étaient identiques, Sylvie avait décidé que si la canne fine lui suffisait, les filles ne devraient pas non plus souffrir d'une canne senior.
Rien qu'à la pensée de l'épaisse canne, elle serra son derrière de peur et ne put s'empêcher de dire "AÏE !". Elle essaya rapidement de détendre ses fesses et se mordit les lèvres pour qu'aucun mot ne sorte de sa bouche.
Elle regarda autour d'elle, embarrassée et nerveuse pour voir si quelqu'un l'avait entendue. C'est alors que son regard croisa celui d'Ophélie, la jeune vendeuse du glacier, qui lui avait rappelé la veille que sa mère lui avait donné une fessée déculottée il y a bien longtemps dans le cabinet médical de Sylvie. Mais ce qui fit rougir Sylvie, c'est qu'Ophélie avait assister à une sévère admonestation d'Agnès. Pour être précis, une main sévère claquant les fesses déculottées de Sylvie.
- mais qu'y a-t-il, docteur Bouger ?
Ophélie voulait savoir. Elle avait l'air inquiète, mais Sylvie ne lui faisait pas confiance. Au glacier, elle avait fait une remarque sur le fait que cette fois c'était elle qui avait le droit de voir les fesses nues de Sylvie se faire fesser. Elle avait manifestement vu cela comme une sorte de vengeance.
Sylvie baissa les yeux. Ses pensées s'emballaient. Bien sûr, elle ne pouvait pas non plus mentir ou omettre quoi que ce soit. Telles étaient les nouvelles règles d'Agnès. Mais elle ne pouvait pas non plus se taire. Parce que ce serait irrespectueux. Et depuis hier, tout le monde semblait être une personne de respect, même les très jeunes vendeuses de glaces.
- oh... oh... c'est... c'est juste... juste parce que j'ai les fesses en feu, Mlle Ophélie !
Maintenant, le visage de Sylvie était vraiment écarlate. Elle se força cependant à regarder Ophélie.
- ah oui vraiment ? Mais pas à cause des quelques claques d'hier ?
La jeune femme n'avait plus l'air inquiète mais curieuse. Et appelée Mlle, elle sentait qu'elle avait en quelque sorte du pouvoir sur le Dr Bouger.
' n... non, non vous avez raison. Mais j'ai été... encore punie ces derniers temps !
Il y avait comme une supplication dans la voix de Sylvie. « S'il vous plaît, s'il vous plaît Miss Ophélie, n'en demandez pas plus. Ne demandez pas de détails !» priait intérieurement Sylvie.
Mais Ophélie ne lui a pas rendu ce service.
- je vous ai vu sortir du magasin de fournitures pédagogiques docteur Bouger. Dans ce long paquet... je suppose qu'il y a une canne, n'est-ce pas?
Sylvie était au bord des larmes.
- deux ! Deux cannes, Mlle Ophélie. Il y a deux cannes dans le paquet !"
Sylvie avait le pressentiment que ça allait se transformer en une situation encore plus embarrassante.
- et vous avez été cannée sur votre pauvre petit derrière avec ça, Dr Bouger?
Ophélie ne pouvait cacher son excitation.
- oui... oui...hu... huit fois, mademoiselle Bouger !
Et comme cela n'avait plus d'importance maintenant de toute façon et qu'elle soupçonnait déjà la question suivante, elle ajouta.
- sur mes fesses nues !
Elle ne devait rien oublier car ce serait quelque chose comme mentir.
- Waouh ! Je n'ai jamais été fessée avec la canne, ni vu quelqu'un la recevoir. Ça cause des zébrures, n'est-ce pas, Dr Bouger ?
Pourquoi Mlle Ophélie disait elle cela ? Sylvie avait déjà une idée précise d'où elle voulait en venir, mais elle ne savait pas comment arrêter le désastre. Il lui fallait exaucer tous les souhaits de Mlle Ophélie, c'était une sorte de marque de respect.
Et bien ! Ophélie lui a simplement pris le paquet de cannes, a pris par la main la septuagénaire en tenue d'écolière et lui a dit.
- allons au magasin de glace, j'adorerais voir le résultat. Et je suis sûre cela ne vous dérangera pas Dr. Bouger. J'ai vu vos fesses nues hier de toute façon.
La serveuse plus âgée qui était derrière le comptoir du glacier a été un peu surprise quand Sylvie entra dans la boutique tenue par la main d'Ophélie. Mais à part "Bonjour", elle n'a rien dit quand Ophélie disparu avec Sylvie et le long paquet dans l'arrière-boutique.
Sylvie paniquait vraiment maintenant. Elle craignait qu'Ophélie ne veuille utiliser la canne sur ses fesses déjà meurtries.
Mais ce n'était pas du tout l'intention d'Ophélie, cependant une humiliation se préparait qui serait pire qu'une autre fessée avec la canne.
Ophélie leva la main de Sylvie et la guida jusqu'à sa nuque. En obéissance anticipée, Sylvie y posa également son autre main. Puis sans rien dire, Ophélie s'accroupit devant Sylvie, glissa ses mains sous la jupe courte d'écolière et tira la culotte jusqu'aux genoux. Sylvie haletait, mais restait silencieuse, ses mains n’avait pas quitté sa nuque.
Ophélie s'était redressée, elle posa une main sur l'arrière de la tête de Sylvie et lui donna un petit coup de coude. Sylvie comprit immédiatement et se pencha en avant. Elle avait une idée précise de la position souhaitée. Pliant légèrement les genoux, elle se pencha en avant et posa ses mains dessus.
Dans cette position, Ophélie pouvait déjà voir les zébrures courir sur le bas des fesses. Puis elle a remonté la jupe et l'œuvre d'art de Mathilde est apparue dans toute sa splendeur.
- oh!
Elle n'avait pas pu se retenir, on sentait qu'il y avait une profonde excitation là-dedans.
- comme c'est joli!
Elle caressa lentement les huit zébrures avec son index. Elle les copiait, pour ainsi dire, et très doucement.
- elles sont très parallèles, Dr Bouger ! Qui les a dessinées?
Sylvie dut s'éclaircir la gorge avant même de prononcer un mot. C'était la situation la plus embarrassante qu’elle ait connue durant sa longue vie. Elle aurait presque souhaité que Mlle Ophélie, ou était-ce déjà Madame Ophélie ? prenne la canne au lieu de continuer à l'examiner et à poser des questions sur son fessier douloureux.
- c'est Ma... euh pardon... Mlle Mathilde, l'apprentie du magasin.
murmura-t-elle d'une voix rauque.
- une fille vraiment talentueuse, il me semble !
Apparemment, Ophélie était vraiment sincère. Elle ne semblait pas non plus comprendre à quel point la situation était embarrassante pour Sylvie. Le fait qu'une jeune stagiaire dessine des traces parallèles sur les fesses nues d'un ancien médecin de 70 ans lui semblait tout à fait normal.
On sentait qu’elle imaginait que quelque chose d’équivalent pourrait être fait par une jeune vendeuse de glaces, c’était facile à comprendre dans son commentaire suivant.
- j'espère que je pourrai bientôt gagner un peu d'argent en tant que baby-sitter !
Puis elle donna une petite tape sur les fesses de Sylvie et lui dit
- vous pouvez y aller, je pense que la dame qui a claqué vos fesses ici hier vous attend. Vous et les cannes!
Sylvie se redressa rapidement. Un sentiment de soulagement l'envahit, Mlle Ophélie s'abstiendrait donc d'essayer la canne aujourd’hui. Sylvie préférait ignorer le fait qu'elle remettait probablement cela à plus tard par exemple quand elle ferait du baby-sitting chez Sylvie.
Mais ne voulant pas donner une autre raison pour la fessée à la canne, elle essayait d'être aussi obéissante que possible elle a immédiatement remis ses mains sur sa tête, même si elle aurait aimé remonter sa culotte immédiatement.
Mais humiliation supplémentaire, c’est Ophélie qui s’en est chargée. Il lui semblait évidemment que Sylvie était plus une petite fille qu'une collégienne.
- n'oublie pas ton paquet cadeau, Sylvie,
Lui a dit Ophélie en souriant. Puis elle a conduit la collégienne à travers le magasin jusqu'à la sortie. Le regard de la vendeuse derrière le comptoir était maintenant encore plus suspicieux. Sylvie était sûre qu'Ophélie satisferait cette curiosité dès qu'elle serait partie.
Devant la porte, Ophélie lui a demandé de saluer la dame qui l'avait fessée hier. Et Sylvie s'est précipitée à travers la place du marché. Inquiète que maman Agnès pense qu’elle avait traîné pour rentrer.
Sylvie arriva rapidement à la maison, elle fut un peu surprise, du bruit s'échappait de la maison de Paola, des sons qui ne lui était pas étranger. Des cris et des pleurs mêlés, en tendant l'oreille on pouvait également entendre des claquements, pour une oreille exercée comme l'était Sylvie depuis deux jours, ces claquements c'était ceux d'une main sur la peau nue d'un fessier.
Elle ne s'attarda pas, maman Agnès n'aimait pas les jeunes filles en retard. Elle était assise en train de lire le journal, elle leva les yeux en souriant dès que Sylvie eut franchi la porte.
- alors ma petite chérie, tu me ramène cette jolie canne ? Tu l'as essayée sur ton petit derrière ? Tu vas me montrer ça.
La fenêtre était ouverte et on entendait distinctement le bruit d'une fessée déculottée. Agnès montra la maison de Paola du regard en souriant.
- il me semble qu il y a un petit derrière qui est en train de chauffer chez tante Paola.
Sylvie serrait ses fesses striées et chaudes sous sa culotte. A chaque fois qu'on évoquait ce mot de fessée, elle s'imaginait à la place de la punie la culotte baissée. Elle tendit le paquet cadeau à maman Agnès, celle-ci tira sur le ruban et sorti les deux cannes.
- elles sont magnifiques !
Elle en prit une et testa sa souplesse puis elle la fit siffler dans l'air. Sylvie serra très fort ses fesses, elle se revoyait les fesses nues, tendues vers Mathilde.
- ça doit faire du bon travail, tu vas me montrer ma chérie.
Sylvie était maintenant habituée à montrer ses fesses quand une grande personne lui demandait. Elle se tourna, retroussa sa jupe et baissa sa culotte sous ses fesses. Puis, sans qu'Agnès lui demande, elle se pencha en avant pour bien tendre son popotin. Il était encore rouge et marqué par les huit traits horizontaux bien parallèle. Agnès s'approcha, elle passa sa main sur les fesses tendues puis suivi avec un doigt les traits rouges.
- quel joli travail, qui a fait ça?
Sylvie avait les joues aussi rouges que ses fesses, mais elle savait que maman Agnès voulait toujours la vérité.
- euh... C'est Mathilde la stagiaire du magasin.
- ah oui ? cette Mathilde est une experte en fessée. Raconte moi ça.
Sylvie savait qu'elle n'avait pas le choix, il fallait qu'elle raconte dans le détail sa fessée. Toujours dans cette position humiliante, la culotte baissée et les fesses tendues vers sa nouvelle maman, elle raconta l'échauffement de son derrière par Mathilde et les 8 coups de cannes car elle en avait oublié deux. Pendant qu'elle parlait, Agnès continuait de lui caresser les fesses ce qui augmentait son trouble. Elle hésitait à raconter le passage chez le marchand de glace quand soudain les pleurs se rapprochèrent, la porte s'ouvrit et Paola apparu tenant Lætitia par l'oreille, elle accompagnait sa marche par de grandes claques sur ses fesses, sa jupe était retombée mais on voyait sa culotte descendue aux genoux. La grande jeune fille pleurait et suppliait sa tante.
- non tante Paola, non, aïe aïe aïe. Promis je ne recommencerai plus.
- oh c'est sûr que tu ne vas pas recommencer après la fessée que je vais t'administrer.
Virginie suivait sa tante et sa sœur en souriant. Agnès se tourna vers son amie avec un regard interrogateur.
- qu'as donc fait cette demoiselle ?
- mademoiselle, se croit tout permis, Virginie était en train de lui administrer une bonne fessée cul nu, quand elle s'est débattue et s'est relevée, c’était juste au moment où j'arrivais. Je sais que Sylvie devait ramener une canne, ça me paraît être le bon moment pour l'essayer. Lætitia se mit à pleurer encore plus fort.
- noon, pardon ! Pas la canne tatie, non, promis, je vais laisser Virginie me donner la fessée, s'il te plaît pas la canne!
- c'est trop tard, ma petite chérie, il fallait réfléchir avant. Tu vas nous montrer tes petites fesses et mademoiselle La Canne va s'en occuper. Allez mets toi vite en position, pour le moment c'est 12 coups mais si tu traîne je double la punition.
Sylvie n'avait pas bougé, elle présentait toujours ses fesses nues Virginie appréciait le spectacle. Lætitia était terrifiée par les traces de la canne sur le fessier de sa voisine.
Paola tenait toujours l'oreille de Lætitia, elle l'a conduisit devant une chaise.
- tu te penche bien et tu poses tes mains sur la chaise et ne t'avise pas de bouger.
Lætitia était vaincue, en pleurant elle se mit en position. Paola retroussa largement sa jupe sur ses reins. La culotte blanche était déjà au niveau des genoux, les fesses rougies par Virginie étaient serrées par l'appréhension.
Paola se tourna vers Agnès en souriant,
- on va pouvoir vraiment tester l'efficacité de cette canne
Puis remarquant enfin Sylvie qui exposait toujours ses fesses nues.
- j'ai déjà un modèle avec le joli derrière de Sylvie.
Agnès ne pouvait pas rester sans intervenir, c'était elle la maîtresse fesseuse.
- oui tu as raison, d'ailleurs on va mettre Sylvie à côté de Lætitia.
Elle prit une autre chaise qu'elle disposa à côté de Lætitia, mais à une distance quand même suffisante pour ne pas gêner Paola dans l'application de la punition. Puis elle s'adressa à Sylvie.
- ma chérie, tu vas te mettre dans la même position que ta cousine, tu tends bien tes petites fesses et tu écartes les jambes.
Sylvie s'exécuta sans protester, elle était déjà fesses à l'air et la canne posée sur la table incitait à l'obéissance. Paola carressa les fesses de Sylvie.
- c'est du joli travail, qui a fait ça ?
Agnès était ravie, elle adorait quand la punie racontait elle même sa punition.
- Sylvie, dis nous qui t'a fait ces jolis dessins.
La pauvre Sylvie du à nouveau raconter l'épisode humiliant de la fessée par Mathilde. Comme lui avait appris Agnès, elle n'oublia aucun détail, le jeune âge de sa fesseuse, la fessée d'échauffement coincée sous son bras, sa culotte baissée jusqu'aux genoux et les huit coups de canne.
Paola écoutait attentivement en lui tapotant de temps en temps les fesses pour l'inciter à continuer. Virginie était subjuguée par les deux paires de fesses bien tendues devant elle, la confession de Sylvie était très excitante. Elle espérait que sa tante lui donnerait l'autorisation de donner la fessée cul nu à cette dame qui avait de si jolies fesses.
- et bien c’est parfait, le résultat de ce test sur tes fesses est tout à fait satisfaisant ma petite Sylvie.
Paola avait pris une canne sur la table et comme l’avait fait Agnes, elle testa sa souplesse et la fit siffler dans l’air. Les fesses de Lætitia était serrées dans l’attente de la punition, Paola tapota l’intérieur des cuisses avec la canne.
- écartes un peu tes jambes ma petite, tes fesses doivent être bien détendues sinon la canne va te faire encore plus mal. Voilà, c’est bien, qu’elle jolie paire de fesses tu as ma chérie, on va les décorer comme celle de Sylvie.
La jeune femme avait obéi, maintenant ses fesses étaient légèrement ouverte par la position, le derrière bien rebondi et ferme était tendu vers les trois spectatrices. Sylvie leva légèrement les yeux et aperçu dans la glace fixée au mur les deux paires de fesses bien exposées, l’humiliation de présenter ses fesses ainsi était atténuée par le fait qu’elle n’était pas la seule.
Il était temps pour Paola de commencer la punition.
- tu vas recevoir douze coups de canne ma petite chérie, si jamais tu te relèves ou tu frottes tes fesses le coup ne compte pas. Il ne tient qu’à toi de ne pas recevoir plus de douze coups.
Elle se plaça sur le côté et leva la canne, le sifflement dans l’air précéda le claquement sur les fesses et le cri de Laetitia.
- aïe, noon, pardon tatie, noon, aïe.
Le deuxième coup avait tracé un trait juste sous le premier. Paola ne frappait pas trop fort, c’était la première fessée à la canne pour sa nièce, elle ne voulait pas endommager la peau fragile de son petit derrière. Au cinquième coup, Lætitia se releva et se mit à frotter ses fesses.
- noon, noon, ça fait trop mal, pardon tatie, plus la fessée s’il te plait !
Calmement Paola lui appuya sur le dos pour lui faire reprendre la position.
- qu’est ce que je t’ai dit ! Tant pis pour toi ce coup ne compte pas, nous recommençons à quatre. Ecarte les jambes et penche toi mieux, je vais t’apprendre à obéir !
-aïe, aïe, aïe, oui tatie pardon, pardon.
Paola avait administré trois coups successifs très rapides, la jeune femme trépignait sur place mais elle gardait la position, ses fesses étaient maintenant striées par huit traits horizontaux bien parallèles. Agnès admirait la technique de son amie, les fesses rebondies de la jeune femme était vraiment appétissantes. Paola appliqua deux coups supplémentaires, elle avait frappé un peu plus fort, Laetitia pleurait mais gardait la position. La sévère tatie regarda son amie et lui tendit la canne.
- je pense que tu devrais finir la punition de cette vilaine fille.
Agnès était ravie, elle avait vraiment envie d'essayer ce nouvel instrument mais elle ne pouvait pas punir Sylvie qui n'avait rien fait pour mériter une fessée. Elle prit la canne et la fit siffler dans l'air, puis elle passa sa main sur les fesses de Laetitia.
- jolies fesses, joli dessin ma chérie. Je pense que cette petite n'est pas prête à recommencer. Encore trois coups mademoiselle !
Elle se recula et administra un coup bien au milieu des fesses sur la partie la plus charnue, puis le deuxième un peu plus bas. Elle regarda Paola en souriant, le dernier coup devait être le plus douloureux pour que la punition soit efficace. Elle visa la base des fesses presque au niveau des cuisses. Laetitia hurla, ses fesses s'écartèrent largement puis elle serra les cuisses. Elle avait bougé un peu mais ne s'était pas relevée, Agnès décida d'être gentille, le coup allait compter quand même. Elle reposa la canne sur la table.
Paola sourit et dit;
- quel beau motif nous avons créé. Presque aussi parfait que celui de Sylvie."
- oui ! Mais celui là a évidemment été fait par une experte.
Agnès a ri et a continué.
- mais si nous nous entraînons dur, nous deviendrons tout aussi bons.
Les deux cousines aux croupes striées continuait de montrer leurs fesses nues. L'une d'elle sanglotait et trépignait encore sur place. Ses fesses se resserraient et se détendaient toujours en rythme. L'autre silencieuse et inquiète. A chaque coup de canne sur le derrière de Laetitia, les fesses de Sylvie s'étaient contractées comme si c'était elles qui avaient été frappées par l'impitoyable instrument de punition.
Maman et Tatie ont bavardé un peu plus. Ce n'est que lorsque les sanglots de Laetitia se sont calmés et que seules des larmes coulaient que tante Paola l’a autorisé à se relever. Bien sûr avec l’ordre de placer ses deux mains sur sa tête.
- voudrais tu s'il te plaît mettre ta sœur dans le coin et épingler l'ourlet de sa jupe afin que nous puissions continuer à admirer ses fesses nues et les motifs dessus.
Paola n'avait pas fini de donner la consigne que Virginie posait déjà sa main sur le cou de sa sœur, accompagné par quelques claques légères, qui faisaient quand même assez mal à cause des zébrures fraîches, suffisante donc pour un « Aïe » crié par Laetitia, suivi d'un petit bond en avant.
Maman et tante ont eu du mal à réprimer un rire parce que ces sauts étaient si drôles et mignons.
Laetitia n'osait pas se plaindre. Elle remarqua que les deux tuteurs légaux n'intervenaient pas, même s'il était clair de voir à quel point cela amusait Virginie. Elle n'a pas conduit sa sœur directement au coin mais l'a fait courir en cercle au préalable. En plus, elle récitait joyeusement une petite comptine pour enfants. "Hop, hop, hop ! Le poney court au galop..."
La seule qui ne pouvait pas assister au spectacle, c'est Sylvie qui exposait encore ses fesses. Mais elle n'aurait certainement pas aimé ça. Elle était encore trop inquiète de savoir si Agnès ne voudrait pas essayer la canne sur ses fesses déjà bien meurtries. Elle s'identifiait également beaucoup trop à sa compagne actuelle Laetitia.
Lorsque Laetitia fut enfin arrivée dans son coin et que les petites claques ont cessé, elle a lâché un très humble
- merci, Virginie.
Il n'y avait là aucune ironie. L'application de la canne avait brusquement changé son attitude.
Bien entendu, il serait interdit à Virginie de la canner elle-même. Mais tante Paola avait décidé que Virginie pouvait décider elle-même quand et quelle punition elle voulait imposer à sa sœur aînée, elle avait aussi précisé que toute plainte serait considérée comme une rébellion.
Virginie n'aurait donc qu'à prétendre que Laetitia s'était plainte d'avoir été punie. Et peut être qu’un « Aïe » crié, dont le ton suggérait un soupçon de reproche pourrait être considéré comme une rebellion.
En tout cas, il était clair que si sa petite sœur prenait la décision que Laetitia devait sentir la canne, alors elle la sentirait.
Elle a juré de montrer la plus grande obéissance à Virginie à partir de maintenant, et de faire preuve d'humilité en tout temps. Ce n'était pas vraiment clair pour elle, devait elle vraiment l'humilité à sa petite sœur ou le faisait elle juste pour protéger ses fesses.
Comme déjà mentionné, la canne avait tout changé.
Pourtant, Virginie n'était pas satisfaite du degré de soumission de sa sœur. Elle avait soif d'une petite humiliation supplémentaire.
A chacun des petits bonds, la culotte avait glissé, arrivé dans le coin, elle avait atteint les chevilles.
La jeune fille maintenant maîtresse s'est exclamée.
- ça a l'air idiot, on ferait mieux de l’enlever complètement.
Sans hésiter, elle s'accroupit derrière Laetitia et attrapa la culotte. Et sans qu'on le lui demande, l'aînée a sorti un à un ses pieds de sa culotte.
Laetitia était persuadée que Virginie oublierait de lui demander de remettre sa culotte plus tard et tante Paola l'oublierait sûrement aussi. Laetitia devrait donc se promener les fesses nues sous sa jupe tout le reste de la journée.
Et peut-être que ses fesses nues resteraient encore visibles car on oublierait aussi de lui dire de remettre correctement sa jupe.
Bien que l'idée soit extrêmement gênante, en aucun cas Laetitia n'oserait se plaindre ou ne demanderait si elle pouvait remettre sa culotte.
Ce n'est que lorsque la culotte de Laetitia fut soigneusement pliée et posée à côté de la canne que Sylvie fut enfin libérée de sa position humiliante, elle fut même autorisée à remonter sa culotte.
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