vendredi 16 septembre 2022

A 70 ans, il n'est pas trop tard 2ème jour 5

 Fin d'une journée  fesses rouges 




- eh bien, tu seras bientôt très célèbre, ma chérie. Mademoiselle Ophélie ne verra sûrement aucune raison de ne pas le dire à tout le monde. Et la fille du magasin de fournitures scolaires, je suppose qu’elle fera la même chose.

Apparemment, Paola ne trouvait rien à redire à ça.

Et pour Sylvie, ce n'était pas une surprise non plus. En fait, elle s'était réconciliée avec cela. Mais ce que maman Agnès suggéra alors allait bien au-delà.

- tu as raison, mais je pense qu'il serait bon d'informer immédiatement ses meilleurs amis de la nouvelle condition de Sylvie. Je pense combiner cela avec une petite fête, de préférence la veille de mon départ. A ce moment là je pourrais solennellement te confier le destin de Sylvie.

Sylvie failli recevoir une nouvelle réprimande. Mais au lieu d'un « mais », elle soupira simplement.

Paola était totalement enthousiaste à l'idée, les deux amies décidèrent de creuser un peu plus la question.

Sylvie désignerait les trois amies pour qui il était le plus important de connaître sa nouvelle situation. Elle ne devait absolument pas être gênée par la situation. 

- bien au contraire, Sylvie. Plus tu es gênée d'inviter tel amie, plus il est probable que cet amie ne reste  sans invitation

 lui expliqua Paola.

- Sylvie fera de son mieux pour rester objective. Tout le reste serait une sorte de mensonge ou d'omission, n'est-ce pas, ma petite ?

Agnès tenait Sylvie par les épaules et étudiait l'expression de son visage.

- non, maman Agnès. Ta Sylvie ne mentira pas et ne laissera rien de côté. Je te le promets ! Sylvie réussit même à soutenir le regard d'Agnès, elle avait retenu la leçon. Regarder tous ceux qui lui parlait ou à qui elle s’adressait.

Agnès l'embrassa tendrement sur le front.

- maintenant, va vite à ton bureau et écris les noms de tes amis. Je te propose d'inviter Mademoiselle Ophélie, ta future baby-sitter. Avec elle et nous cinq ici, ça fera neuf dames. Ça devrait être un joli diner !

Sylvie s'en est allée sans faire la moindre tentative pour influencer le projet. Ce que Maman Agnes avait décidé devait être fait sans si ni mais.

Puis Virginie a été priée de ramener la canne et sa sœur à la maison.

Comme elle le craignait, Virginie a simplement emporté la culotte de Laetitia avec elle et celle-ci a dû rentrer chez elle de l'autre côté de la terrasse avec le derrière nu et bien visible puisque sa jupe était restée retroussée.

Après cet épisode palpitant, Agnès et Paola se sont offert un verre du sherry de Sylvie et elles se sont assise sur la terrasse pour discuter un peu.

Sylvie s'était assise à son bureau, ses fesses étaient encore un peu douloureuses,  mais c'était très supportable et contrairement à hier, elle avait gardé sa culotte sur ses fesses. Cette idée d'inviter des amies pour les mettre au courant de sa nouvelle situation était la pire des humiliations qu'elle avait eu à subir depuis l'arrivée d'Agnès. Elle se doutait bien que la soirée se finirait sans doute avec sa culotte baissée et que ses fesses reprendraient certainement une jolie couleur rouge comme c'était la règle depuis deux jours.

La première personne qui lui vint à l'idée c'est sa belle soeur, Brigitte était la soeur de son mari, elle avait dix ans de moins qu'elle, c'était une ancienne professeur de mathématiques, très stricte, elles avaient eu souvent des relations tendues en raison du caractère nonchalant de Sylvie. Bien sûr immédiatement le visage de Séverine apparu en suivant, c'était la fille de Brigitte une élégante jeune femme de 35 ans. Sylvie l'avait souvent eu en vacances chez elle quand elle était jeune et elles étaient restées très proches. Un épisode lui revint à l'esprit soudainement. C'était ce jour où Brigitte avait administré devant elle une magistrale fessée cul nu à Séverine alors que celle-ci avait 15 ans.



 Elle se rappela son trouble devant les fesses écarlates de la jeune fille et la réflexion de Brigitte. "Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée, j'en connais qui en aurait bien besoin".

Lors de leurs conversations plus tard quand Séverine fut adulte, celle-ci avait abordé ce problème sans aucune gêne, avouant même à sa tante que sa mère lui avait administré la fessée bien après ses vingt ans. Elle avait ajouté en riant, d'ailleurs ça ne m'a pas fait de mal et je pense que c'est une très bonne méthode d'éducation.

La troisième personne qui lui vint à l'esprit ce fut Clara, c'était la jeune médecin qui l'avait remplacée quand elle avait pris sa retraite, elles avaient gardé de très bon rapport et Clara lui demandait encore souvent des conseils, c'était une petite brunette, un peu ronde et très énergique.

Elle posa son stylo après avoir inscrits les trois noms. Son esprit se mit à vagabonder, une image apparu, c'était  Brigitte, elle la regardait d'un air sévère en tapotant ses cuisses, pour lui faire comprendre qu'il était temps de solder toutes ses bêtises durant les années où sa main la démangeait devant le comportement immature de sa belle soeur. Sylvie avait glissé sa main sous sa sa culotte et sa main palpait ses fesses. Est-ce que Brigitte allait faire la même chose dans 3 jours ?

Pendant ce temps, Virginie et Laetitia était arrivée à la maison. La plus jeune des soeurs plaisantait tandis que la plus âgée faisait la tête.

- Laetitia ! Cesse de bouder, tu sais que tatie déteste ça et moi aussi !!

- oh pardon, Virginie, mais quand même, ce n'est pas juste, pourquoi ais je du traverser le jardin avec la jupe retroussée et sans culotte en plus...

Virginie se mit à rire.

- mais tu as un très joli petit derrière ma chérie, en plus il est bien décoré. Bon tu cesses immédiatement de bouder sinon je préviens tatie Paola.

- non, non pardon, je te promets de ne plus bouder, ne dit rien à tatie.

Virginie souriait, décidément sa soeur était devenue très docile, elle voulu voir si elle pouvait en profiter davantage.

- très bien, je veux bien passer l'éponge pour cette fois. Tu peux remettre ta culotte.

Elle lui tendait la petite lingerie blanche, puis elle ajouta dans un sourire.

- tu iras chercher la brosse à cheveux dans la salle de bain et tu me rejoindras dans la chambre.

Laetitia la regarda, un peu surprise. D'un côté, elle était contente de cacher ses fesses de l'autre elle angoissait d'aller chercher cet instrument de punition. Mais pourquoi l'avoir fait reculotter si elle voulait lui donner encore une fessée.

Quand elle arriva dans la chambre, Virginie était assise au bout de son lit. Elle fit signe avec son doigt à sa soeur d'approcher.

- je ne vais donc pas prévenir tatie Paola de ton comportement mais je pense que tu as encore besoin d'une petite leçon. Approche un peu ma petite chérie.

Laetitia pâlit, elle se doutait bien que la brosse à cheveux qu'elle tenait à la main n'allait pas servir à la coiffer. Virginie lui prit la brosse et de l'autre main elle la tira vers elle. Bientôt Laetitia se retrouva dans une position qui commençait à lui être familière depuis ce matin. Elle sentit sa jupe se retrousser,  Virginie carressa le derrière bien moulé par la petite culotte blanche.

- ta culotte est ravissante ma chérie, tes fesses sont encore un peu chaudes mais je pense que ça sera mieux si je les prépare un peu.

Elle commença à claquer les fesses de sa soeur, d'abord doucement puis de plus en plus fort, Laetitia ne put s'empêcher de crier, malgré la protection de la culotte, ses fesses étaient restées sensibles et c'était une vraie fessée qu'elle recevait.

- voilà, une paire de fesses bien chaudes, prête pour la fessée !

Virginie avait glissé ses doigts sous la ceinture de la culotte et elle la faisait descendre lentement. C'était aussi pour ça qu'elle avait fait remettre sa culotte à sa soeur, elle s'était découvert une vraie passion pour la fessée et en petite vicieuse, elle appréciait l'humiliation du déculottage. Sentir sa culotte descendre doucement et ses fesses nues apparaître, c'était terrifiant pour la punie mais un vrai plaisir pour celle qui administrait la punition. 



La culotte de Laetitia était maintenant autour de ses genoux, ses belles fesses rebondies étaient bien rouges avec les traces parallèles de la canne. Virginie caressa les fesses encore chaudes, puis elle leva la brosse et commença la fessée. Laetitia se mit immédiatement à pleurer, ses jambes se mirent à battre l'air, ses fesses s'ouvraient largement mais elle savait qu'elle ne devait pas chercher à échapper à sa punition. Virginie était ravie de la facilité avec laquelle sa soeur acceptait d'être traitée comme une gamine. Les fesses étaient maintenant d'un rouge profond, Virginie claqua le haut des cuisses et Laetitia se cabra encore plus.

- noon, plus la fessée, s'il te plaît Virginie, non, promis je vais être sage.



Virginie cessa la fessée.

- à partir de maintenant, quand tu seras punie tu m'appelleras mademoiselle Virginie, c'est bien compris !!

Elle accompagne ces derniers mots par quelques coups supplémentaires.

- oui, Oui mademoiselle Virginie, promis. Aiie  ouï merci mademoiselle Virginie.

- parfait, tu deviens une mignonne petite fille. Maintenant tu files au coin et tu mets tes mains sur la tête.

Laetitia couru au coin et mis son nez contre le mur et ses mains sur la tête. C'était très humiliant, mais elle était ravie que la fessée s'arrête. Ses fesses étaient brûlantes, elle n'avait jamais été punie aussi sévèrement.

Virginie remonta la culotte à mi cuisses et agrafa la jupe dans le dos. Elle prit son téléphone et fit une photo des fesses écarlates de sa soeur.

Laetitia avait entendu le bruit de la photo. Elle se retourna, surprise, mais n'osa pas enlever ses mains de sa tête. Elle vit le smartphone dans les mains de Virginie. Elle comprit immédiatement ce qui s'était passé.

- Vir... Mademoiselle Virginie, que faites-vous ? Vous m'avez photographiée ?

cria-t-elle d'horreur. Virginie éclata de rire.

- seulement ton joli petit derrière bien rouge, ma chérie ! 



Puis elle s'est fâchée et a sifflé

- est-ce que je t'ai permis de te détourner du mur ? Veux-tu revenir sur mes genoux ? Tout ce que tu as à faire est de le dire !

- non, non ! S'il vous plaît, ne le faites pas ! Je suis désolée, Mlle Virginie. S'il vous plaît, plus sur vos genoux, mon pauvre derrière brûle si fort !

Puis rapide comme l'éclair, elle se retourna vers le mur et cette fois elle appuya même fermement son nez contre lui.

- je veux bien être gentille, Laetitia ! Mais je te préviens. Encore un acte de désobéissance et j'essaierai une cuillère en bois. Ça te plairait ?

- non s'il te plait, s'il vous plaît ne le faites pas, Mlle Virginie ! S'il vous plait ! Je ne recommencerai plus, promis !

Finalement dire "Mlle Virginie" avait été très facile pour Laetitia.

Au grand soulagement de Laetitia, elle entendit

- bon, je veux bien te croire !"

Puis vint le message dévastateur.

- je n'ai pris la photo que pour l'envoyer à Serena. Ne t’ai-je pas dit qu'elle aide sa mère avec ses deux petites sœurs. Elle a dit qu'elle les met souvent sur ses genoux. Et bien, elle va être vraiment jalouse que je le fasse également maintenant. Et en plus avec ma grande sœur !

A cette nouvelle, Laetitia se mit à sangloter bruyamment. Mais elle n'a pas ajouter un mot. Elle savait que c'était inutile et que cela serait potentiellement considéré comme un défi aux conséquences désastreuses.

En revanche, Virginie derrière elle rayonnait. Ces sanglots étaient une musique pour elle et aussi la preuve qu'elle avait maintenant sa sœur aînée complètement entre ses mains. Elle s'amuserait beaucoup avec elle dans un futur proche.

Sur la terrasse de Sylvie, Agnès et Paola avaient entendu le claquement de la brosse à cheveux et les cris de Laetitia. Elles se regardèrent avec un sourire, mais ne firent aucun commentaire. "Les choses semblent aller très bien", pensaient-elles toutes les deux.

Agnès appréciait ce très bel après-midi. Elle se pencha en arrière, sentit le soleil sur son visage et sirota à nouveau sa crème de xérès.

Paola avait également apprécié le soleil et le sherry. Quand ils entendirent de là-bas de grands sanglots, elle dit.

- je crois que je vais y aller maintenant. Je suis trop curieuse de savoir ce que Virginie a fait là-bas avec le joli derrière de Laetitia.

- Il ne sera pas abîmé,

dit Agnès un peu endormie et sans ouvrir les yeux.

Paola vida le verre et laissa Agnès sans un mot de plus. C'était tellement agréable d'avoir trouvé une amie où vous n'aviez pas besoin de beaucoup de mots pour vous sentir sur la même longueur d’onde.

Mais Agnès n'a pas vraiment réussi à s'endormir, car peu après Sylvie est apparue sur la terrasse avec un mot à la main.

_ maman Agnès ?

murmura-t-elle prudemment. Agnès ouvrit les yeux et se tourna vers sa petite fille.

- oui ma chérie ?

- maman Agnès, j'en ai fini avec la... la liste. 

Sylvie lui tendit le papier

- voilà... Puis-je demander quelque chose, maman Agnes ?

Sylvie baissait les yeux.

- ne dois tu pas regarder maman quand tu lui parles ?

Agnès l’avait reprit, mais sur un ton plutôt amical.

- oh ! Désolé maman Agnès ! 

Sylvie la regarda avec de grands yeux craintifs et se tordit les mains.

Agnès n'a pas insisté sur cette question mais a demandé.

- veux tu dire quelque chose commençant par 'mais', ma chérie?

Il n'y avait rien de menaçant dans sa voix. Les yeux de Sylvie s'humidifièrent, mais elle hocha courageusement la tête.

- bien, mon enfant. Tu sais que quand tu prononces le mot je dois te réprimander ? Oui ou non ?

Sylvie hocha à nouveau la tête, se souvenant qu'elle devait toujours répondre complètement aux questions.

- oui maman Agnès, je sais que mes fesses doivent en subir les conséquences.

- bien! dit Agnès en souriant.

- nous allons faire comme ça. Je vais d'abord te réprimander et ensuite tu me diras ce que tu as en tête ?

Les yeux de Sylvie s'écarquillèrent un court instant. Mais immédiatement elle essuya les deux petites larmes aux coins de ses yeux et sourit.

- tu es si gentille avec moi, maman Agnes !

Elle glissa ses mains sous sa jupe d'écolière puis baissa sa culotte jusqu'à ses genoux. Ensuite, elle se pencha en avant, prit l'ourlet de sa jupe et la retroussa jusqu'à sa taille. Puis elle se pencha encore plus en avant pour empêcher la jupe de glisser puis elle attrapa ses chevilles.

Deux fesses barrées de rouge s'offraient à la main sévère d'Agnès. Elle se tenait si près d'Agnès qu'elle n'avait qu'a s’asseoir dans le transat pour les atteindre.

D'abord la fesse gauche a reçu trois coups bien appliqué. Accompagné bien sûr de trois grands cris de douleur. Agnès dut se relever un peu plus pour appliquer à la fesse droite le même traitement. Trois autres cris retentirent.



- bien tu peux te rhabiller correctement, Sylvie. Et assieds-toi sur mes genoux et je t'écouterai attentivement.

Sylvie s'empressa de recouvrir ses fesses, elle regardait Agnès avec des yeux remplis de larmes. Mais elle a souri.

- merci, maman Agnès,

Presque à la hâte, elle s'est assit sur les genoux de sa mère et s’est blottit contre elle. Bien sûr, elle grimaça alors que ses fesses douloureuses se pressaient contre les cuisses d'Agnès. Mais elle était si heureuse en ce moment.

Agnès lui caressa les cheveux et lui caressa le dos et descendit jusqu'aux fesses.

- maintenant, tu peux me dire ce que tu voulais ma chérie !

Sylvie la regarda en face.

- oh, c'est réglé maman Agnes,

 annonça-t-elle, mais elle a vu qu'Agnès n'était pas satisfaite, elle s'est empressée d'ajouter;

- je voulais juste vérifier si nous devions vraiment faire cette fête. Mais c'était stupide de ma part. Bien sûr, j'aurai très honte quand mes amies vont découvrir tous les détails sur ma nouvelle situation. Mais d'une part je pense qu'ils ont déjà entendu les rumeurs de toute façon, et d'autre part je pense qu'ils ont le droit de savoir. Surtout que je sais qu'elles s'inquiètent pour moi depuis longtemps. Je pense qu'elles seront même prêtes à soutenir tes efforts éducatifs et ceux de Paola ensuite.

Agnès serra sa nouvelle fille dans ses bras et l'embrassa sur le front.

- je suis vraiment contente que tu sois si perspicace, mon enfant. Elle prit la feuille et interrogea Sylvie sur les trois dames qui y étaient inscrites.

Il s’en est suivit une très longue conversation. Sylvie n'oubliait rien. Elle a également raconté combien de fois ses amis l'avait exhortée à remettre enfin son style de vie sur les rails. Cela la fit rougir à nouveau. Et très souvent, elle répétait à quel point elle avait été stupide et irresponsable et à quel point elle était heureuse maintenant que maman Agnès soit entrée dans sa vie.

Quand elles eurent fini, il faisait déjà nuit. Elles mangèrent rapidement quelque chose afin que Sylvie puisse se coucher à l'heure. Elle était si heureuse qu'aucune rémanence ne soit nécessaire aujourd'hui. Ses fesses étaient encore bien rouges de toute façon. Et quand elle a revu toute la journée, elle a recommencé à pleurer doucement. Surtout, elle s’est souvenue de l’humiliation quand les jeunes stagiaires de la boutique s’était occupée d’elle. Mais le mélange de larmes et de fesses chaudes fit que Sylvie s'endormit très vite.

C'était moins harmonieux dans la maison voisine. Bien qu'à la fin, la combinaison de larmes et de fesses brûlantes ait fait s'endormir rapidement les filles.

Quand sa tante est arrivée, Laetitia n'avait pas osé se plaindre, et sa tante n'avait rien demandé. Bien sûr, les filles savaient qu'elles méritaient une rémanence.

Juste après le dîner, elles ont été envoyés dans leur chambre commune avec des instructions pour se préparer à aller au lit jusqu'à l'arrivée de Paola. Cela signifiait mettre son pyjama, mais aussi se brosser les dents et faire pipi. De plus, la culotte du pyjama devait être baissé avant l'arrivée de la tante, les filles devaient se tenir devant leur lit, les mains sur la tête.

Laetitia pleurait déjà en se dirigeant vers la chambre, tandis que Virginie s'était résolue à ne pas pleurnicher ni supplier, aussi douloureuses que soient les claques.

Mais lorsqu'elle a vu tante Paola entrer dans la pièce avec une grande cuillère en bois à la main, elle a commencé à douter d’être vraiment capable de mener à bien son plan.Elle s'était attendue à ce que ses fesses soient corrigées seulement avec la paume de la main de sa tante.

Tante Paula ne dit pas un mot elle s'assit sur le bord du lit de Virginie et la  jeune fille s'allongea sur ses genoux sans qu'on le lui demande.

Seul l'ourlet de la veste de pyjama devait être relevé un peu, puis la croupe se montrait dans toute sa beauté aux yeux de la tante, peu importe que le rouge soit déjà un peu estompé.

Ce serait bien sûr très différent ensuite avec Laetitia. Les dernières claques qu'elle avait reçues ne remontaient pas à si longtemps.

Avant que la cuillère en bois n'entre en action, tante Paola a d'abord expliqué la procédure prévue pour ce soir.

Elle donnerait à Virginie la rémanence. Et après cela, Laetitia obtiendrait sa rémanence de sa petite sœur.

Les réactions des deux filles furent totalement différentes. Tandis que Virginie retrouvait la volonté de ne plus pleurnicher et supplier, Laetitia est passée des pleurs aux sanglots. Les larmes coulaient de son menton sur le devant de sa veste de pyjama. Mais elle n'a pas osé les essuyer. Ses mains étaient littéralement collées à sa tête.

La cuillère en bois est entrée en action, des claquements bruyants remplissaient la salle. Dans un rythme rapide, la cuillère en bois frappait les fesses, cependant Virginie a 0éussi à mettre en œuvre son plan dans une certaine mesure.



Ses jambes s'élevaient un peu à chaque coup, le pauvre derrière essayait d'esquiver les coups à droite et à gauche. Pas intentionnellement, mais de façon désordonnée, en raison de l'accumulation de la cuisson.

Elle n'a pas non plus réussi à rester complètement silencieuse. Bientôt, des gémissements et des halètements réguliers se firent entendre. Et vers la fin "AÏE" et "OUCH" se sont mêlés aux claquements..

Mais à part ça, elle s'est abstenue de tout gémissement et de toute supplication.

Tante Paola a été vraiment impressionnée par la bravoure et le sang-froid de sa nièce.

Si Laetitia avait l'intention de jouir d'une certaine satisfaction et de se réjouir à la vue de la punition de sa sœur, elle se retrouvait les joues se serrant de peur à chaque coup de la cuillère en bois. Elle espérait ardemment que ce soit fini le plus tôt possible, parce qu'elle craignait secrètement que Virginie ne se venge en quelque sorte de chaque coup qu'elle recevait sur les fesses de Laetitia, bien qu'elle ne fut pas du tout responsable du supplice des fesses de sa petite soeur.

Puis ce fut fini. Tante Paola aida Virginie à se lever. Elle lui tendit la cuillère en bois puis remonta sa culotte de pyjama. Malgré les larmes, la jeune fille essaya de sourire.

- très courageux,

a félicité tante Paola, elle se leva et dit d'un ton énergique.

- tu sais quoi faire, Virginie !

Puis elle quitta la chambre sans même regarder Laetitia sangloter.

Virginie prit la cuillère en bois que sa tante avait déposée sur le lit puis elle regarda Lætitia qui n’osait pas bouger. Elle avait toujours les mains sur la tête et elle se tenait debout devant son lit, sa culotte de pyjama entourait ses genoux dévoilant ses magnifiques fesses rondes encore rouges des fessées reçues durant la journée. La dernière fessée de Virginie avec la brosse à cheveux avait été particulièrement sévère et les fesses de la jeune fille était semblable à deux tomates bien mûres, elles se serraient convulsivement dans l’attente de la prochaine punition. Virginie adorait donner la fessée à sa sœur mais elle n’était pas sadique et surtout elle ne voulait pas abîmer son nouveau jouet, en l’occurrence ce joli petit derrière, elle pensa qu’elle devrait limiter cette fessée, mais ce n’était que partie remise elle aurait d’autres occasion de rougir ce popotin.

- et bien ma chérie, finalement tu vas y goûter à la cuillère en bois dont je t’avais parlé. Tu vas voir tes jolies fesses vont l’adorer. Tu vas venir bien vite te coucher sur les genoux de Mlle Virginie.

Laetitia pleurait doucement mais elle ne protesta pas, elle savait que c'était inutile. Elle s'approcha de sa soeur qui s'était assise sur son lit, elle n'avait pu s'empêcher de faire une petite grimace car ses fesses étaient douloureuses de la fessée de tante Paola, Laetitia ne le remarque pas. Dès que sa grande soeur fut couchée en travers de ses genoux, elle retroussa un peu plus le haut du pyjama pour bien dégager les fesses.

- quelle jolies fesses, avant de recevoir ta fessée de rémanence je veux que tu m'expliques pourquoi j'ai été obligée de te punir comme si tu étais une gamine. Dépêche toi, j'attends!!

Elle avait ponctué ces dernières paroles en claquant très fort chacune des fesses.

- aïe aïe aïe.

Les pleurs de Laetitia redoublèrent, agacée Virginie leva la cuillère en bois et claqua une dizaine de fois les fesses bien rouges.

- tu sais ma chérie, ce n'est pas la peine de pleurer, tu as mérité cette fessée et tu vas la recevoir, si tu veux pouvoir t'asseoir demain, il vaudrait mieux que tu te dépêche de me dire pourquoi tu es punie. Plus tôt ce sera fini plus tôt tu pourras aller au lit.

Laetitia en reniflant, se mit à parler, elle reconnu qu'elle avait désobéi et qu'elle avait boudé et qu'elle avait bien mérité toutes ces fessées cul nu. Virginie lui caressait les fesses tandis qu'elle parlait.

- c'est bien ma chérie, puisque tu reconnais que tu as mérité ces fessées, il ne te reste plus qu'à me demander de te donner la fessée de rémanence et nous en aurons presque fini.

Laetitia  était honteuse de prononcer cette phrase, mais elle savait que Virginie ne céderait pas, elle voulait en finir au plus vite, même si en disant ces mots, elle reconnaissait définitivement l'autorité de sa soeur.

- s'il vous plaît....Mlle Virginie....pouvez vous me donner la fessée de rémanence.... que j'ai bien méritée.

- mais avec plaisir ma chérie.



Virginie leva la cuillère en bois et commença à claquer les fesses tendues devant elle. Elle ne frappait pas trop fort mais les fesses de Laetitia étaient tellement rouges et chaudes que c'était comme si elle recevait une fessée magistrale. Elle battait des jambes, écartait ses fesses puis les serraient mais elle ne cherchait pas à se dérober. Virginie termina la punition par quelques coups sur le haut des cuisses. Laetitia hurla et se cabra sous la brûlure. Virginie reposa la cuillère et carressa tendrement les fesses de sa soeur. La peau était très chaude mais également très douces

Virginie remonta la culotte de Laetitia sur ses fesses écarlates.

- voilà !  C'est fini!  Maintenant au lit

Toutes les deux se sont vite endormie, Laetitia à cause de ses fesses brûlantes qu'elle contractait pour calmer la cuisson et en pleurant abondamment.  Et Virginie en entendant les petits sanglots de sa sœur lui rappelant comme c'était bon d'avoir été la cause de ces pleurs. Son esprit vagabondait, elle revoyait les fesses rouges vif, contractées sous les coups sévères de la cuillère en bois. Bien sûr, les fesses de Virginie étaient aussi bien chaudes, mais c'était une sensation plutôt agréable maintenant.  La journée avait été épuisante pour elles deux mais de différentes manières.  Elles se sont donc endormies après quelques minutes ou plutôt elles sont parties au pays des rêves.  Certes, les rêves de Virginie étaient bien plus agréables que ceux de sa sœur aînée, qui était désormais sa soumise.

 Paola avait rejoint Agnès sur la terrasse   En raison du temps chaud, toutes les fenêtres étaient ouvertes.  Les sons de la rémanence leur parvenait très distinctement.  Et tant qu'il y eut quelque chose à entendre, les deux restèrent silencieuses et sirotèrent leur vin.

Ce n'est que lorsque le silence revint dans la chambre des filles qu'Agnès soupira

- c'était vraiment une jolie musique, n'est-ce pas, Paola ?

Paola la regarda avec un sourire.  

- oui, certainement  la plus belle musique qu'on puisse imaginer !

Ensuite elles ont parlé de ceci et de cela, mais plus de tout ce qui avait à voir avec l'éducation ou la punition.  Ça ne serait plus un problème jusqu'au lendemain matin, quand Sylvie recevrait sa fessée préventive.  Paola ne savait pas encore si elle devait soumettre ses nièces à quelque chose de similaire. Elle n'avait pas encore résolu la question quand elle s'est allongée dans son lit.

Quant aux dernières pensées d'Agnès, elles tournaient autour de l'idée d'inviter Ophélie au café le lendemain.

 

 La fin du deuxième jour


 

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