Béatrice retrouve Mlle Alice
Béatrice regardait son carnet rouge, les fessées que lui avait administrée Julie y était toute notée.
Sa nouvelle maîtresse avait instauré rapidement un régime qui n'avait rien à envier à celui en vigueur avec Alice sa dernière directrice d'école.
En effet si Alice avait instauré la fessée du lundi matin et continué celle du vendredi soir. Qui bien sûr venait en plus des fessées reçue dans la semaine en fonction des bêtises.
Julie avait décidé que Brigitte étant restée 2 ans sans recevoir la moindre fessée, qu'il y avait du temps à rattraper. En conséquence Brigitte devait se présenter tous les 2 jours à l'appartement de Julie pour une fessée de maintenance et le week-end elle le passait avec sa nouvelle maîtresse en compagnie de Lucie. Julie avait décidé qu'elle devrait l'appeler tatie, et elle s'était mise à gérer sa vie, décidant comment elle devait s'habiller à quelle heure elle devait se coucher ou se lever. Brigitte acceptait sans se plaindre cette tutelle, surtout que Julie savait se montrer douce et câline quand il le fallait. Aujourd'hui c'était mercredi, jour de fessée de maintenance, Brigitte savait à quoi s'en tenir, ce soir elle dormirait certainement sur le ventre et sans culotte sauf instructions contraire de sa maîtresse car quelques fois pour compléter la punition, Julie exigeait qu'elle dorme sur le dos et avec une culotte bien moulante pour mieux ressentir la cuisson de ses fesses. Quand elle rentra dans la pièce, elle marqua un temps d'arrêt, une dame était assise dans le fauteuil et lui tournait le dos. Julie l'accueilli avec un grand sourire.
- j'ai une surprise pour toi.
À ce moment, la dame se retourna et Béatrice reconnut son ancienne directrice, Mlle Alice.
- bonjour Brigitte, comment allez-vous, je vois que vous avez trouvé quelqu'un pour s'occuper de votre petit derrière. C'est très bien j'ai toujours pensé que vos fesses étaient faites pour la fessée.
Brigitte était rouge de honte, bien sûr elle avait toujours accepté sans rechigner toutes les punitions que lui avait imposé ses maîtresses successives mais ce voir rappeler en public qu'elle méritait encore la fessée déculottée à son âge c'était particulièrement humiliant.
La présence de mademoiselle Alice ne lui disait rien qui vaille, elle serra instinctivement ses fesses sous sa petite culotte blanche en coton, celle que doivent porter les petites filles qui reçoivent encore la fessée même si elles ont 62 ans passé.
Lucie apparu à la porte de la cuisine, elle avait les yeux rougis, signe que ses fesses devaient lui cuire abondamment, elle portait un plateau avec des tasses et une théière, elle portait un petit tablier blanc qui lui donnait un air de soubrette. Elle posa le plateau sur la table et tout le monde put voir qu’elle ne portait pas de jupe et que sa petite culotte était descendue sous ses fesses qui étaient d’un rouge éclatant. Alice appréciait le spectacle.
- cette demoiselle a une tenue ravissante et quelle jolie paire de fesses. Qu’a donc fait cette jeune dame pour avoir un derrière si joliment coloré.
Julie était toujours contente qu’on apprécie ses qualités de fesseuse.
- oh, comme d’habitude, mademoiselle se croit trop grande pour recevoir la fessée cul nu en public, dès qu’on attend de la visite elle se croit tout permis en pensant que je n’oserai pas lui baisser la culotte et bien elle a été servie, elle va rester fesses à l’air tout l’après midi et je vais m’arranger pour qu’elle n’ait pas froid aux fesses je vous le garantis.
- vous avez raison, malheureusement quand je m’occupais de Béatrice je ne pouvais pas lui faire faire la classe cul nu, mais elle a passé de nombreuses soirées après la classe le derrière bien rouge et sans culotte, rien de mieux pour ramener à l’humilité nos petites chipies.
- c'est tout à fait exact, Béatrice m'a raconté la façon que vous aviez de la corriger, je crois que vous avez bien fait, elle en a gardé un caractère docile et une magnifique paire de fesses.
Elle avait ajouté cela en souriant et en claquant les fesses de Béatrice par dessus sa jupe.
- depuis que j'ai repris en main l'éducation de Béatrice, j'ai instauré la fessée de maintenance tout les deux jours, aujourd'hui c'est le jour ou madame vient me présenter son petit derrière. Ça vous ferait plaisir de vous en charger ?
Alice adressa un grand sourire à Julie.
- c'est vraiment un joli cadeau que vous me faites, depuis 2 ans que je n'ai pas eu sous la main les jolies fesses de Béatrice, vraiment ça va être un plaisir.
Elle se tourna vers Béatrice.
- je suppose que vous n'avez pas oublié vos bonnes habitudes ?
Béatrice était rouge de honte, elle savait parfaitement ce que voulait la perverse directrice d'école. Elle commença à bredouiller en baissant la tête. Une vigoureuse claque de Julie sur ses fesses, la ramena à la réalité.
- on regarde la personne à qui on s'adresse !! Décidément je pense que la fessée de maintenance ne va pas suffire !
Béatrice se ressaisit devant la menace à peine voilée d'une deuxième fessée déculottée. Elle regarda Mlle Alice et prononça ce que celle-ci appelait la phrase magique.
- s'il vous plaît Mlle Alice pouvez-vous m'administrer la bonne fessée déculottée que j'ai méritée.
Alice souriait et regardait droit dans les yeux l'ancienne institutrice obligée de quémander sa punition. Elle tapota ses cuisses gainées par des bas fumés, sa jupe assez courte était légèrement remontée ce qui malgré ses 50 ans lui donnait un caractère sexy auquel Julie n'était pas insensible. Elle était fesseuse dans l'âme et elle avait immédiatement imaginé que cette dame un peu hautaine finirait bien un jour ou l'autre en travers de ses genoux les fesses à l'air.
Nous n'en étions pas là. Béatrice le visage toujours aussi écarlate était maintenant tout près d'Alice. Elle était revenue 2 ans en arrière, à la différence qu'elle n'allait pas recevoir une fessée déculottée dans sa classe mais devant Julie et Lucie qui n'en perdait pas une miette. La fessée déculottée en public était toujours un moment très difficile à passer. Alice lui avait pris la main pour la coucher en travers de ses genoux. Elle serrait ses fesses encore recouverte par sa jupe et sa culotte. Soudain l'air frais sur ses cuisses l'informa que sa jupe était retroussée haut sur ses reins, la main d'Alice tapotait négligemment la petite culotte blanche, qui moulait parfaitement le derrière bien rebondi. Béatrice portait des bas autofixants, ses différentes maîtresses lui avait toujours interdit les collants. La culotte devait toujours être accessible pour être baissée rapidement, Alice prenait son temps, elle appréciait le galbe et la fermeté de cette croupe encore culottée, elle savait l'angoisse de sa punie dans l'attente de la correction. Elle leva les yeux vers Julie.
- notre petite Béatrice a toujours un derrière bien rebondi, c'est vrai que la fessée régulière entretient la musculature fessière, ce n'est pas la peine d'aller dépenser de l'argent dans des salles de gym.
Elle riait et Julie approuvait, Béatrice la tête presque au sol, les fesses tendues vers sa maîtresse était beaucoup moins à l'aise. Elle connaissait la perversité de son ancienne directrice, elle savait qu'une fessée avec elle pouvait durer très longtemps et elle se doutait qu'elle allait passer un bon moment dans cette position humiliante. D'ailleurs Alice se préoccupait de son confort, elle la souleva légèrement et écarta légèrement ses cuisses pour modifier un peu la position de sa punie, ses pieds decollèrent légèrement du sol, elle posa ses mains sur le sol.
- voilà, c'est parfait, vous êtes bien confortable ma petite Béatrice, nous en avons pour un moment.
Puis la fessée commença sur la culotte, de grandes claques bien espacées, alternant une fesse puis l'autre, comme d'habitude Béatrice s'était jurée de rester stoïque et de ne pas se comporter comme une gamine recevant ce châtiment humiliant. Mais le fin coton de sa culotte était une piètre protection devant la vigueur des claques et bientôt elle commença à gigoter puis de petites plaintes s'échappèrent de sa bouche.
- aïe, ouille...Non...
Ses fesses commençaient à la brûler, décidément Mlle Alice n'avait pas perdu la main, elle songea avec angoisse que ce n'était que le début...la fessée déculottée n'était pas loin. Elle avait vu juste, Alice regarda les deux spectatrices car bien sûr Lucie malgré ses fesses nues et bien rouges ne perdait rien du spectacle.
- bon maintenant que ces petites fesses sont bien chaudes on va passer à la fessée.
Chaque fois qu'elle entendait cette phrase Béatrice avait un petit frisson qui la parcourait, elle avait déjà les fesses brûlantes mais pour Alice ça ne comptait pas, seule la fessée cul nu,comme elle disait avait droit à l'appellation fessée.
- voyons un peu ce que nous cache cette petite culotte.
Alice descendait doucement la fine lingerie, elle adorait ce moment où elle découvrait enfin le fessier de la dame qu'elle avait couchée sur ses genoux, il ne fallait pas gâcher son plaisir, c'était une humiliation supplémentaire pour la punie que le lent déculottage, la mise à nu de ses fesses surtout en public malgré les années restait une épreuve pour Béatrice.
La culotte maintenant entourait les genoux, les deux fesses de l'institutrice retraitée était déjà d'un beau rouge sur toute leur surface. Alice recommença à carresser ces fesses qui lui avait appartenu durant de nombreuses années, elle était contente de les retrouver, ses doigts s'insinuaient dans la raie fessière, descendant entre les cuisses, elle eu un petit sourire et un clin d'oeil pour Julie,.
- décidément notre petite Béatrice a vraiment besoin d'une bonne fessée déculottée.
Julie acquiesca.
- effectivement, madame à besoin d'avoir les fesses bien rouges et cuisantes, je crois que c'est nécessaire à son équilibre. Dis moi, Béatrice tu n'as rien à demander à Mlle Alice qui donne de son temps pour s'occuper de ton petit derrière ?
Béatrice malgré sa position très inconfortable et la main d'Alice qui continuait l'exploration de son intimité savait ce qu'attendait sa maîtresse.
- s'il vous plaît mademoiselle, pouvez vous me donner la fessée déculottée que je mérite.
Quémander soit même sa fessée faisait partie intégrante de la punition.
- à la bonne heure ! Comme c'est si gentiment demandé, je vais vous satisfaire ma chère.
La main commença à claquer alternativement chaque fesse, Béatrice se rendit compte rapidement que la fessée sur la culotte n'était effectivement pas une vraie fessée, les fesses maintenant rebondissaient à chaque claque, elles s'ouvraient puis se fermaient largement, ses jambes battaient l'air, la cuisson était intolérable, elle se mit rapidement à supplier puis à pleurer comme une gamine. Les spectatrices étaient oubliées, elle n'était plus qu'une gamine punie par sa maman où sa maîtresse d'école.
- aïe,aïe aïe aïe, pardon mademoiselle, noon, s'il vous plaît aïe...plus la fessée...
C'était toujours une jolie musique pour les oreilles d'une vraie fesseuse, que ces cris et ces supplications mêlé aux claquements de la main sur la peau nue. Les fesses étaient maintenant rouge brique sur toute leur surface, la rougeur descendait également sur le haut des cuisses.
Alice jugea que la punition était suffisante, c'était une très sévère correction pour une fessée de maintenance mais elle n'avait utilisé que la main. Béatrice pleurait, toujours couchée sur les genoux de sa fesseuse, Alice passa la main sur la croupe pour en apprécier la chaleur.
- madame ne va pas avoir froid aux fesses pendant un moment.
Julie acquiesca en riant.
- c'est bien pour ça qu'elle va aller au coin pour nous les montrer et les faire refroidir. Béatrice était maintenant remise sur ses pieds, elle mourait d'envie de frotter son derrière brûlant mais le regard sévère de ses deux maîtresses, l'incita plutôt à mettre ses mains sur la tête. Julie lui avait saisi l'oreille et l'avait conduit immédiatement au coin de la pièce. La jupe fut naturellement coincée dans la ceinture pour bien dégager le postérieur écarlate. Béatrice colla son nez contre le mur s'était une position qu'elle connaissait depuis si longtemps, elle avait passé tellement de temps au coin fesses à l'air que c'était devenu une habitude pour elle. Alice etait contente de son oeuvre.
Lucie n'en menait pas large, elle avait raison, Julie ne voulait pas être en reste, elle prit le bras de sa petite amie et courba contre sa hanche, les fesses bien musclées étaient immédiatement à sa disposition. La fessée fut courte mais magistrale. Quand Julie la relâcha, la pauvre Lucie était en larmes, les fesses écarlates et elle sautillait d'un pied sur l'autre pour atténuer la brûlure, ce qui fit bien rire les deux fesseuses.
- cesse un peu de danser et file au coin toi aussi, on va pouvoir comparer vos deux jolis derrières.
Julie avait accompagné ces paroles d'une magistrale claque sur les fesses de sa petite amie.
- voilà une bonne après midi. Je vous sert du thé ?
Julie se comportait en maîtresse de maison attentive, elles sirotèrent leur thé en discutant des mérites de la fessée déculottée administrée sans tenir compte de l'âge de la punie.
Alice prit congé alors que Béatrice était toujours au coin, ses fesses avaient perdu un peu de couleurs mais elles etaient encore bien chaudes.
- vous la laisser longtemps au coin ?
- en général c'est une demi-heure minimum, mais c'est souvent plus.
Béatrice soupira, elle trouvait le temps long. Mais comme elle savait que Julie ne la laisserait pas partir sans avoir eu un conversation avec ses fesses comme elle disait, elle n'était finalement pas pressée de quitter son coin.
La soirée se passa comme elle l'avait prévu. Julie utilisa son instrument préféré, la brosse à cheveux qui n'avait pas son pareil pour vous mettre les fesses d'un beau rouge profond.
Elle rentra chez elle avec des fesses brûlantes, les deux fessées reçues avaient été notée sur son carnet rouge, elle allait dormir sur le ventre et sans culotte....
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