jeudi 15 septembre 2022

A 70 ans, il n'est pas trop tard 2ème jour 3

 Sylvie redécouvre la canne. 



Sur le trottoir, elle était remplie d'une sorte de bonheur. Ses fesses n’avaient pas été pas exposées aujourd'hui. cela signifiait peut-être que l'avertissement ne devait pas nécessairement conduire à la rémanence du soir. "Merci, Maman Agnès," murmura-t-elle à nouveau.

Mais le bonheur pris fin rapidement quand elle se rendit compte qu'elle était maintenant en public. Elle réfléchis brièvement à un chemin sûr à travers les rues jusqu'au magasin. Mais la boutique était sur la place du marché. Il n'y avait aucune chance de l'atteindre sans être remarqué.

Il était évident que tous ceux qu'elle rencontrait la reconnaissaient. Le médecin déguisé en écolière. Ils la saluait tous poliment et même courtoisement et ont tous été assez discrets pour ne pas lui parler. Néanmoins, elle voyait de la surprise dans les expressions des passants, mais également de la curiosité voire de l'amusement.

Pour Sylvie, c'était un challenge. Elle sentit son visage rougir, elle ne pouvait pas s'en empêcher. Elle fit donc semblant de ne pas s'en apercevoir elle-même et releva fièrement la tête.

Bien que ce ne soit pas un jour de marché, la place était bien fréquentée. Sylvie n'a pas hésité elle s'est empressée de monter les marches jusqu'à l'entrée du magasin de fournitures scolaires. Un carillon retentit alors qu'elle ouvrait la porte. À son grand soulagement, il n'y avait manifestement aucun autre client présent. Mais une dame énergique d'une quarantaine d'années se tourna aussitôt vers elle. Sylvie remarqua que la dame l’avait immédiatement reconnut, elle vit qu’elle était à la fois surprise et amusée.

- bonjour Dr Bouger. Vous êtes retourné à l'école ?

La dame souriait, c'était plus une plaisanterie qu'un reproche ou une taquinerie. Bien sûr, la dame ne supposait pas qu'un médecin de 70 ans puisse retourner à l'école.

- non madame! C'est juste que... eh bien... je..."

Sylvie bégayait. Comment diable devrait-elle expliquer sa tenue? Bien sûr, elle avait à nouveau rougit intensément.

- vous n'avez pas à me l'expliquer. C'est votre affaire privée.

La vendeuse avait maintenant un ton amical, elle se présenta car il lui semblait que le Dr Bouger ne la reconnaissait pas car elle n'avait pas été sa patiente. Elle n'avait jamais vu non plus cette dame d’âge mûre, vêtue maintenant comme une écolière, dans sa boutique.

Il s'est avéré que la dame était la propriétaire de la boutique. Elle s'appelait Tiffany Tailler.

Bien sûr, Mme Tailler voulu savoir ce qu'elle pouvait faire pour Mme Bouger, le bégaiement n'aidait pas, 

Sylvie était tentée de tourner les talons et de fuir la boutique. Mais elle avait une tâche à accomplir. Et la fuite était impossible.

Alors elle se ressaisit et demanda deux cannes d'école.

Le visage de la vendeuse marqua de la surprise et même un peu de confusion. Mais elle s’est rapidement reprise et a essayé d'apaiser la tension perceptible par l'humour.

 - vous voulez dire ces choses longues et minces qui étaient utilisées pour encourager la discipline dans les écoles ?

Elle riait, Sylvie lui était extrêmement reconnaissante d'avoir rendu ça drôle et s'est également lancée dans une conversation du même genre.

- oui, ces bâtons avec lesquels on avaient l'habitude de dessiner de jolis motifs de rayures sur les fesses nues des filles, si l'on pensait qu'il y avait quelque chose à critiquer ou à améliorer sur leur comportement ou leurs actions !



- est-ce que vous êtes peut-être celle qui ont parfois un comportement fautif ou louable, madame?

Un air espiègle était apparu sur le visage de Mme Tailler. Mais cela ne changeait pas le côté sérieux de la question.

Que devait répondre Sylvie maintenant ? En fin de compte, c'était une question, et Agnès lui avait appris que mentir n'était pas toléré. Encore pire, essayer de trouver des excuses c’était également considéré comme un mensonge par Agnès.

Sylvie regarda Mme Tailler. Elle a dû se racler la gorge, puis, elle laissa échapper un, «oui, Mme Tailler», retentissant. Elle n’avait même pas rougit cette fois.

- et qui a l'intention de vous aider avec la canne dans cette affaire, ma chère?

La vendeuse restait souriante et affable, mais beaucoup moins distante. La conversation devenait très privée.

Maintenant que Sylvie avait admis que les cannes étaient pour elle, elle n'avait aucune raison de ne pas tout révéler. Elle en était venue à faire confiance à Mme Tailler.

Elle commença à parler de son amie de tchat qui était en visite chez elle. Elle évoqua son laisser aller ces derniers temps, puis elle ajouta que Mme Benniza était une éducatrice chevronnée de la vieille école. Elle parla également de sa voisine qui finirait par s'occuper de son éducation stricte. Elle ne cacha pas non plus que la deuxième canne était destinée aux nièces de sa voisine.

- en fait, nous n'avons pas racheté des cannes depuis qu'elles sont interdites dans les écoles. Mais nous en avons encore quelques anciennes en stock. Des dames âgées en demandent de temps en temps. Parfois des mères, mais surtout des grands-mères, qui bien souvent lorsqu'elles étaient jeunes les ont expérimentées à l'école !

 Elle lança à Sylvie un regard amusé.

- des femmes de votre âge, docteur Bouger. Mais il n'y en a jamais eu une parmi elles qui sont venue acheter une canne pour leur propre punition !

Sylvie se mordit la lèvre. Un "mais" voulait sortir. Mais elle était presque certaine que l'interdiction ne s'appliquait pas seulement à la présence d'Agnès. Surtout qu'un propriétaire d'un magasin de fournitures scolaires pouvait être considéré comme une personne de respect.

Donc pas de mensonges ni d'excuses ni même de contradiction.

Sylvie se taisait et Mme Tailler continuait à parler sans être dérangée.

- à l'origine, nous avions quatre modèles de cannes à disposition. Mais malheureusement, il ne nous reste que deux modèles en stock actuellement. Nous avons le modèle un, c'est une canne épaisse comme un crayon et longue de soixante-dix centimètres et le modèle quatre qui s'appelait autrefois la «canne senior». Elle fait presque l'épaisseur d'un pouce, elle est dix centimètres plus longue que le modèle un. Elle était probablement utilisée pour des fautes très graves et elle a une certaine tendance à laisser des marques bleu-noir et aussi à faire éclater occasionnellement la peau si elle n'est pas utilisée avec beaucoup de précaution !



A ces révélations, Sylvie laissa échapper un « Oh !

Mme Tailler poursuivi, imperturbable.

- normalement, les mères et les grands-mères choisissent le modèle approprié qu'elles souhaitent utiliser plus tard à la maison sur les fesses de leurs filles ou petites-filles. Mais dans votre cas, je suppose qu'il n'est pas approprié que vous preniez cette décision. On peut considérer que vous seriez partial, n'est-ce pas, Dr Bouger ? 

La dame savait vraiment argumenter et Sylvie ne pouvait qu’être d'accord avec elle. Un « mais » n'était pas possible pour elle de toute façon.

La propriétaire du magasin réfléchit un instant, puis son visage s'éclaira à nouveau.

- j'ai trouvé  ! Vous n'avez qu'à appeler votre maman Agnès maintenant, lui parler des options et la laisser décider.

Sylvie hocha la tête soulagée. C'était vraiment la meilleure solution. Elle n'aurait pas osé choisir la canne fine car on aurait pu soupçonner qu'elle ne l'avait choisie que parce qu'elle serait moins douloureuse que la canne senior. Mais être obligée de prendre la grosse canne la terrifiait .

- vous avez tout à fait raison, madame Tailler.

Sylvie pris son smartphone et appela Agnès.

Elle lui raconta tout ce que le propriétaire du magasin lui avait dit sur les cannes et s'est abstenue de juger.

- oui Maman Agnès ! Oui, je comprends. M.. ... Non, non. Pas le gros mot, Maman Agnès. Je ferai ce que tu m'as dit. Oui, à plus tard. Je vais me dépêcher !

Elle remit le smartphone dans son sac. Quand elle se retourna vers Mme Tailler, son visage était rouge de honte.

- maman Agnes pense que le modèle mince sera probablement suffisant. Mais elle n'en est pas tout à fait sûre.  C'est censé faire plus mal que le martinet de ma grand-mère !

Elle hésita.  Mme Tailler la regardait d'un air interrogateur.

- oui, et comment comptez-vous le savoir, madame Bouger ?

- ma...maman pense qu'on devrait essayer la canne fine. Je sais comment... comment... le martinet fait mal et je pourrai comparer.

Bien involontairement, Sylvie appuya ses mains sur ses fesses comme si elle devait les protéger.

Mme Tailler sourit.  

- oui, c'est une bonne idée!

Elle appela à l'arrière du magasin.

- Mathilde ? Veux-tu venir.

La bouche de Sylvie s'ouvrit de confusion.

- oui, Mme Tailler !

Une voix venait de répondre depuis la réserve. Une très jeune fille, grande et un peu dégingandée, vêtue d'une blouse de vendeuse, entra dans le magasin par la porte qui menait au bureau et aux réserves.

- voici Mme Bouger ! Elle aimerait essayer l'une des cannes fines. Pouvez-vous faire cela ? Jusqu'à présent, nous n'en avons discuté qu'en théorie. Mais maintenant, il est possible que vous appreniez à le mettre en pratique.

Les yeux de Sylvie s'écarquillèrent d'horreur, mais elle ne put prononcer un mot. Le plus drôle, c'est que les yeux de la fille sont également devenus énormes.  

- mais madame Tailler, je n'ai rien fait

gémit-elle.

Mme Tailler éclata de rire.

- non, Mathilde, c'est Mme Bouger qui veut sentir la canne parce qu'elle veut savoir si ça fait assez mal !

- oh!

Mathilde semblait soulagée mais aussi gênée.

- je... je vais punir Mme Bouger avec la fine canne, Mme Tailler ?

- ce n'est pas vraiment une punition, Mathilde. J'appellerais plutôt ça un test !

 Mathilde se tourna alors vers Sylvie pour la première fois.  

- combien de coups de canne voulez-vous, madame Bouger ? Et dois-je les donner sur les fesses nues ?"

Alors que Sylvie se contentait de la regarder avec horreur, les mains toujours pressées contre ses fesses et incapable de parler, la jeune fille se retourna vers son patron.  

- est-ce que je dois faire ça dans la réserve où sont les cannes, madame Tailler ?

- oui, dans la réserve, Mathilde.

Puis elle répondit également aux autres questions à la place de Sylvie.

- je dirais que six coups avec la canne fine suffisent à Mme Bouger pour estimer l'effet. Et bien sûr sur les fesses nues. Vous pourrez ainsi  voir comment les zébrures se développent. Prenez votre temps pour ça.

Mathilde était soulagée, Mme Tailler était sévère et elle lui avait donné quelque fois la fessée cul nu mais seulement avec la main. Quand elle avait rangé la réserve et découvert les cannes, elle n'en connaissait pas l'usage. Sa patronne lui avait expliqué qu'avant dans les écoles les jeunes filles comme elle pouvait être punie avec cet instrument sur leurs fesses nues, elle lui avait également indiqué que quelque fois des mamans venaient encore en acheter pour leurs grandes filles. Mathilde en testant la souplesse de la canne en avait eu des frissons au niveau de ses fesses. Ça devait être autre chose qu'une fessée avec la main. En entendant Mme Tailler, elle avait cru que l'heure était arrivée pour elle de présenter ses fesses à "Mlle La Canne", comme l'appelait en riant sa patronne.

Elle regarda avec curiosité la cliente, elle n'avait pas encore fait attention à sa tenue. C'était surprenant, cette dame âgée habillée comme une collégienne avec sa jupe plissée très courte.

Sylvie ne bougeait toujours pas, elle venait de réaliser avec horreur qu'elle allait recevoir une fessée déculottée avec la canne mais en plus cette punition allait être administrée par une très jeune femme. Mme Tailler la ramena à la réalité.

- Mme Bouger ! Mathilde vous attend pour l'essayage, dépêchez vous !

La jeune femme était déjà à la porte de la réserve, Sylvie se décida. Quand elle passa devant elle Mathilde lui donna une petite claque sur les fesses pour l'inciter à aller plus vite.

- allons y madame, je vais vous montrer cette canne.

Arrivée dans la réserve, elle sorti les deux cannes de leur emballage, elle déposa la plus grosse et testa la souplesse de la plus fine.

- la canne senior est vraiment trop sévère, mais celle-ci doit bien cingler les fesses. Alors comme ça, vous voulez savoir comment ça fait de recevoir la fessée cul nu avec la canne ?

Sylvie ne savait pas quoi dire, elle ne pouvait tout de même pas dire qu'elle se faisait claquer les fesses par plaisir, ça serait ridicule. Mais surtout depuis hier le mensonge ou les omissions lui était interdit. Elle se lança dans une explication de sa nouvelle situation. Mathilde l'écoutait avec des yeux ronds. Sylvie expliqua qu'elle avait reçu hier une fessée cul nu avec le martinet pour avoir menti et que sa nouvelle maman voulait avoir à la maison un instrument un peu plus sévère si elle faisait des bêtises plus importantes. Au fur et à mesure que Sylvie parlait, Mathilde la regardait d'un autre œil, ce n'était plus une dame âgée déguisée en collégienne qu'elle avait devant les yeux, mais une grande fille, venue acheter l'instrument de sa punition. Mme Tailler lui avait raconté qu'un jour c'était arrivé, une grande jeune fille de 18 ans avait été envoyée au magasin chercher une canne afin de lui faire bien honte. Mathilde décida de prendre son rôle au sérieux. Elle prit une chaise et la déplaça au milieu de la réserve.

- comment vous appelez vous ? Je veux dire qu'elle est votre prénom, quand on reçoit la canne sur les fesses nues on est une gamine et pas une dame.

Sylvie rougit d'être ramenée par cette jeune stagiaire à son statut de jeune fille.

- oui mademoiselle, je m'appelle Sylvie.

- très bien, penchez vous en avant, les mains sur la chaise.

Sylvie s'exécuta, elle savait que sa jupe courte allait se relever dans cette position et que Mathilde allait voir ses cuisses et même la base de ses fesses. Son derrière pointait honteusement vers l'arrière, Mathilde appuya un peu sur ses reins pour faire encore plus ressortir le large fessier. Sylvie avait vu juste, on voyait déjà un peu sa culotte. La jeune stagiaire était ravie de son nouveau rôle, elle saisit l'ourlet de la jupe et la retroussa très haut sur les reins. La culotte blanche tendue sur les fesses, rentrait légèrement dans la raie fessière dévoilant une bonne partie de la zone destinée à la punition. Mathilde avait repris la canne, Mme Tailler lui avait dit de prendre son temps, elle appréciait le spectacle offert par Sylvie. Elle tapota les fesses tendues avec la canne.

- voulez-vous un échauffement, avant la canne ?

Mme Tailler lui avait expliqué qu'une correction à la canne pouvait endommager les fesses et qu'il valait mieux les préparer par une fessée manuelle qui échauffait la peau. Sylvie avait les joues écarlates, elle aurait voulu rentrer sous terre. Elle se rappelait des discours de miss Faucon quand elle était dans cette position et cette tenue, c'était il y a très longtemps, Mathilde continuait à claquer doucement la culotte avec la canne.

- alors Sylvie ? Un échauffement pour votre petit derrière ?

- euh, oui mademoiselle, si vous pensez que c'est utile.

- je le pense, Sylvie vos fesses supporteront mieux la canne et vous pourrez mieux juger de son efficacité.

Mathilde posa la canne et s'approcha de Sylvie, elle entoura sa taille avec son bras gauche puis elle leva la main et commença à claquer la culotte de Sylvie.



 Cette petite fessée n'était rien à côté de celle qu'elle avait reçu par Agnès et Paola, en plus Mathilde ne lui avait pas encore baissé la culotte. Mais cette fessée était très humiliante car administrée par une très jeune femme qui avait l'âge d'être sa petite fille. Sylvie était courbée sous son bras et recevait une fessée à la main comme si c'était Mathilde la maman et Sylvie la gamine. Les fesses commençaient à rougir sous la culotte.

- voilà, votre petit derrière est bien échauffé.

Mathilde s'était redressée,  elle glissa ses doigts dans la culotte et la fit descendre lentement. Sylvie se mit à gémir,  cette fois-ci la honte était complète, elle présentait ses fesses nues à une jeune femme inconnue qui allait lui administrer le châtiment réservé aux collégiennes. Mathilde descendit la culotte jusqu'aux genoux. Elle tapota l'intérieur des cuisses.

- écartez un peu les jambes, Sylvie, vos fesses seront plus détendues et mieux présentées.

Sylvie s'exécuta sans protester, décidément cette petite Mathilde semblait avoir pris des cours avec miss Faucon, elle utilisait la même méthode pour préparer la fessée. Maintenant Mathilde tapotait les fesses tendues, elle était vraiment contente de son nouveau rôle, sa mère et Mme Tailler étaient sévères et pour une fois que ce n'était pas elle qui allait recevoir la fessée, elle profitait du spectacle. La jeune femme était un peu surprise que les fesses de Sylvie soient déjà si rouges, la fessée d'échauffement n'avait pas été si terrible, mais les fesses de la pauvre Sylvie avait reçu tellement de fessée la veille qu'une simple petite fessée donnait un résultat impressionnant. Mathilde passa sa main sur la large croupe, ce qui fit frissonner Sylvie et par réflexe elle serra ses fesses. Mathilde se mit à rire.

- ne serrez pas trop les fesses Sylvie, sinon la fessée va être plus douloureuse. Bien, Mme Tailler a dit 6 coups. Je pense que vous devriez les compter.

- oui mademoiselle.

Sylvie était résignée, elle se revoyait les fesses nues devant toute la classe et miss Faucon qui annonçait : "six coups et vous comptez Sylvie, si vous oubliez de compter, nous recommençons".

Mathilda fit siffler la canne dans l'air.

- nous commençons Sylvie, détendez vous.

Le premier coup traça une ligne rouge horizontale en travers des deux fesses. Sylvie hurla et se redressa en frottant ses fesses. Mathilda la regarda en souriant.

- vous ne devez pas bouger, Sylvie sinon nous allons y passer trop de temps. Et vous n'avez pas compté !

- pardon mademoiselle, pardon....

Sylvie reprit immédiatement la position. Mathilda passa ses doigts sur la ligne rouge tracée par la canne.

- ça fait plus mal que le martinet ?

- oh oui mademoiselle, oui, ça brûle.

Bien nous recommençons Sylvie, et cette fois-ci vous ne bougez pas et vous comptez. Mathilde appliquait donc la méthode de miss Faucon, elle n'avait pas compté donc le coup ne comptait pas.9



Le deuxième coup qui était donc seulement le premier, fit une marque identique à la première mais juste en dessous.

- aïe, un mademoiselle. Aïe aïe aïe deux.

Mathilde avait administré deux coups à la suite. Maintenant trois lignes rouges parallèles ornaient les fesses de la collégienne de 70 ans. Elle avait trépigné sur place et serrer très fort la chaise avec ses deux mains pour ne pas bouger. Mathilda fit une pause, elle se recula pour juger du résultat. Mme Tailler lui avait dit  de prendre son temps.

- c'est bien, Sylvie, vous êtes très courageuse. Ça brûle beaucoup?

Elle passa à nouveau ses doigts sur les fesses de la punie.

- oh oui mademoiselle, ça brûle....beaucoup plus que le martinet...Je... je crois que le test est concluant...

- que voulez vous dire Sylvie ? Mme Tailler a dit six coups. Vous ne voudriez tout de même pas que je désobéisse ?

Sylvie se rendit compte qu'elle venait de suggérer quelque chose d'interdit. Une punie ne choisit pas la fin de sa punition. Pourvu que maman Agnès ne soit pas au courant.

- non, non mademoiselle, ce n'est pas ce que je voulais dire. Oui il faut continuer le test.



Mathilde caressait les fesses rouges et chaudes. Ce n'était pas désagréable de donner la fessée. Elle se recula et administra deux coups supplémentaires.

- aïe, trois, ouille, oh mademoiselle ça fait mal...euh quatre.

- vos fesses sont très jolies ma petite Sylvie. Écartez un peu plus les jambes et tendez bien votre petit derrière.

Sylvie n'osait pas protester même si cette position humiliante était également très impudique, elle écarta les pieds autant que sa culotte descendue aux genoux lui permettait. Mathilde savait que cette expérience serait certainement unique, autant en profiter, elle tapota l'intérieur des cuisses.

- c'est bien, vous êtes très obéissante.

Sylvie frissonna en sentant la canne sur ses cuisses, souvent miss Faucon terminait la punition par quelques coups sur la base des fesses, cette endroit où la peau est la plus sensible. Les fesses rondes étaient marquées par cinq traits horizontaux, Mathilde visa effectivement la base des fesses. Sylvie hurla et se releva en frottant ses fesses.

- noon...Aïe mademoiselle, pas là  ça fait trop mal...

Elle se mit à pleurer.

- reprenez la position ! Vite !

Le ton de Mathilde était devenu sévère.

- vous n'avez pas compté ! Je suis désolée pour votre petit derrière. Mais il faut que le test soit complet.

Sylvie en pleurant repris la position.

- oui, mademoiselle, pardon....ça fait mal.

- je le sais, mais il nous faut aller au bout. Encore deux coups. N'oubliez pas de compter !

Sylvie croyait entendre la voix de miss Faucon. La canne siffla dans l'air deux fois.

- aïe aïe aïe, cinq...ouille, six...merci mademoiselle.

Sans qu'on lui demande Sylvie avait repris la tradition, à la fin de la punition, il fallait remercier la fesseuse.

Mathilde avait administré les deux derniers coups à la base des fesses. Maintenant c'était huit traits parallèles qui ornaient le large fessier.

- restez en position, je vais chercher Mme Tailler.

Celle-ci était en train de discuter avec une cliente. Elle se tourna vers Mathilde.

- tu as fini l'essayage ?

- oui madame, j'ai dit à Sylvie de rester en place pour que vous puissiez juger du résultat.

- très bien, j'y vais. Fini de t'occuper de cette dame, tu me rejoindras dans la réserve ensuite.

Quand elle arriva dans la réserve, elle ne put s'empêcher de sourire. Le tableau offert par Sylvie était magnifique et légèrement excitant. Ses fesses étaient tendues vers la porte, en entrant l'oeil était attiré par cette magnifique paire de fesses rouges, barrée par huit traits bien parallèle, les jambes écartées avec la culotte blanche tendue entre les genoux faisaient encore mieux ressortir cette large croupe de femme mûre qui était dans une tenue et une position de collégienne.



- alors Mme Bouger, le test a été satisfaisant ? je vois que Mathilde a fait du bon travail.

Sylvie ne pleurait plus, elle avait discrètement essuyé les larmes sur ses joues, mais la honte de présenter ainsi  ses fesses à Mme Tailler la fit à nouveau sangloter.

- ou....oui, madame, ça fait très mal, plus que le martinet.

Elle n'osait pas bouger, elle entendit Mathilde rentrer dans la pièce. Mme Tailler s'était approchée, elle passa la main sur les fesses.

- Mathilde, j'avais dit six coups, pas huit ?

- c'est vrai madame, mais Sylvie a oublié de compter deux coups.

Tiffany Tailler souri. Cette petite apprenait vite décidément. Elle décida que Sylvie avait suffisamment exposé ses fesses.

- c'est parfait, l'essai est donc concluant,  vous pouvez remonter votre culotte.

Sylvie ne se fit pas prier, elle se redressa et remonta précipitamment sa culotte sur ses fesses écarlates et remis sa jupe en place.

Heureusement, il n'y avait personne dans la boutique, Mathilde tenait la canne en suivant Sylvie. Elle s'adressa à elle avec un sourire malicieux.

- est ce que je vous fais un paquet cadeau ?

C'était une idée un peu curieuse, mais Sylvie accepta, c'était préférable plutôt que de traverser la ville avec une canne à la main. 

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