mardi 13 septembre 2022

A 70 ans, il n'est pas trop tard 2ème jour 2

Souvenirs d'école



Soudain Agnès tout en continuant la fessée s’adressa à Sylvie :

- au fait, Sylvie, il faut que tu t'habilles maintenant. S'il te plait va dans la chambre d'Elodie et prends la jolie jupe plissée bleu marine et les autres vêtements assortis pour que tu ressembles à une vraie écolière. Je pense qu'aujourd'hui ce sera une journée d'écolière pour notre petite Sylvie.

Quand elle vit à l'expression de Sylvie que celle-ci n'aimait pas ça du tout, elle l'a regardée fixement et l'a prévenue

- Sylvie, ma chérie. Dis moi, tu ne veux sûrement pas utiliser le mot interdit ?

Sylvie s'est rendu compte que toute résistance serait non seulement inutile, mais entraînerait également de la douleur. Elle balbutia précipitamment

- non, maman Agnès, non, pas le mot interdit, oui, une journée d'écolière. Bien sûr, maman Agnès !

Elle quitta rapidement la cuisine.  Sur le chemin de la chambre d'Elodie, elle se souvint avec angoisse qu'elle avait oublié quelque chose pendant sa confession hier  elle n'avait pas pensé à parler de l'école.  Or maman Agnès semblait s'intéresser à tous les instruments et tous les types de punition.   Elle en parlerait immédiatement à maman et à tante Paola dès qu'elles en auraient fini avec les deux fessées. Espérons que maman ne le prenne pas comme un mensonge. A cette pensée, les fesses de Sylvie se serrèrent d'appréhension. C'était sans doute encore plus intensifié par les claquements intenses et continus et les cris AÏE et OUCH qui résonnaient derrière la porte.

Elle entra dans la chambre d'Elodie et ferma rapidement la porte pour étouffer ces bruits qui l'angoissait.

Malgré tout, ses fesses se serrèrent encore plus en se changeant et en pensant à ce qu'elle devrait bientôt dire à sa maman et à sa tante.

Miss Faucon apparut dans son esprit telle qu'elle avait été il y a six décennies. Et bien sûr, elle avait cet horrible instrument à la main dont elle devait parler à maman et tatie. "Aie!" murmura-t-elle doucement. Elle se souvenait clairement à quel point la canne avait brûlé ses petites fesses nues à l'époque.

Sylvie essaya de s'encourager en pensant qu'au moins maman ne pourrait pas utiliser la canne au cas où elle voudrait punir Sylvie pour son oubli. Il n'y en avait pas dans la maison. Maman pourrait peut-être prendre le Martinet, mais c'était beaucoup moins sévère que la canne, même si ses lanières de cuir lui avait provoqué une sensation de brûlure insupportable hier soir.

Les claquements retentissants s'étaient arrêtés juste au moment où elle sortait de la chambre d'Elodie, elle ramena rapidement son pyjama dans sa chambre. Alors qu'elle s'approchait de la cuisine, elle entendit les gémissements qui continuaient. Mais ce n'était plus des cris ou des sanglots bruyants, c'était des reniflements et des gémissements atténués. Et quand elle entra de nouveau dans la cuisine, elle comprit pourquoi. Ces deux nouvelles cousines se tenaient le nez contre le mur, présentant deux derrières vraiment très rouges, ils se contractaient avec des petits spasmes. Le haut des cuisses n'avaient rien à envier à la rougeur des fesses.



Mais Sylvie n'eut pas le loisir de regarder longuement ses cousines, Paola en la voyant s'était exclamée

- oh, regarde comme elle est mignonne la collégienne Sylvie!

Elle se jeta sur elle, la prit dans ses bras et la fit tourner comme dans un carrousel. Les pieds de Sylvie perdirent contact avec le sol.

Puis elle la reposa et Agnès demanda à Sylvie de tourner plus lentement pour qu'elle aussi puisse bien voir la tenue de l'école.

- eh bien, les baskets ne vont pas tout à fait avec la tenue d'un point de vue historique, c'est sûr, mais nous allons laisser passer ça!

 - merci, maman Agnès ! 

Involontairement, Sylvie fit la révérence. Elle était totalement étonnée de savoir encore comment la faire. Mais elle n'avait rien oublié ! Elle se souvenait des interminables exercices sous la surveillance de sa grand-mère, au cours desquels de nombreuses larmes avaient coulé.

Mais immédiatement elle se souvint du message désagréable qu'elle devait annoncer.

- Maman… Maman ! Maman… puis-je dire quelque chose, maman ?

Elle joignait les mains, soulignant le caractère suppliant de sa voix.

- oui ma fille !

Agnès souriait, elle était heureuse de la rapidité avec laquelle toutes les anciennes compétences et comportements que Sylvie avait appris de sa grand-mère étaient revenus.

Sylvie se mit à faire un compte rendu détaillé sur Miss Faucon et sa canne. D'abord elle a bégayé, puis comme apparemment l'orage ne se déclenchait pas tout de suite, elle parla plus fluidement.

Bien sûr, elle n'arrêtait pas de s'excuser de ne pas l'avoir signalé plus tôt. Et elle a demandé à maman s'il vous plaît, de ne pas considérer cela comme un autre mensonge.

À son grand soulagement, Agnès a accepté. Mais le soulagement fut de courte durée, car Agnès demanda si l'on pouvait acheter de telles cannes quelque part en ville. Car évidemment seule une canne irait avec la tenue de Sylvie, dans le cas certes improbable où la collégienne Sylvie serait vilaine, distraite ou maladroite. Elle avait ajouté cela en souriant.

Sylvie se mordit les lèvres et baissa les yeux pour supprimer un « mais ». Heureusement, Paola a donné la réponse.

- il y a un magasin de fournitures scolaires près du marché et je suis sûr d'y avoir vu des exemplaires anciens de canne traditionnelle il y a quelque temps.

C'est à  Sylvie que revint l'horrible tâche, après avoir fini ses corvées matinales, elle devrait aller dans ce magasin pour acheter deux cannes convenables.

Pas une seule, car Agnès pensait que Virginie et Lætitia auraient encore beaucoup à apprendre elles aussi dans un futur proche.

Sylvie ne put réprimer un gémissement et souffla

- oh s'il te plait Maman Agnès !

Le regard sévère d'Agnès suffit pour lui confirmer sa mission et qu'elle devrait l'exécuter de la manière la plus polie et la plus soumise.

Puis maman et tante se retirèrent sur la terrasse,  emmenant les sœurs avec elles. Elles voulaient expliquer une nouvelle fois en détail les nouvelles responsabilités pédagogiques de Virginie sur Lætitia.

Paola était ravie de voir ses deux nièces se tortiller sur leurs chaises. Elles avaient eu l'autorisation de remettre leurs culottes en place, mais leurs derrières étaient encore très sensibles. Elle décida qu'il fallait bien préciser aux deux filles ce qu'elle attendait d'elles, une surveillance de sa sœur pour Virginie et une obéissance aux ordres de Virginie pour Lætitia. Virginie qui était une jeune fille douce regarda sa tante avec des yeux ronds quand elle lui expliqua son rôle.

- ma petite Virginie, j'ai beaucoup plus confiance en toi qu'en Lætitia. Comme tu l'as entendu, nous avons décidé avec maman Agnès que tu aurais le droit de punir ta sœur si jamais elle désobéi à mes consignes ou si tu juges qu'elle va faire une bêtise.

- mais tante Paola, tu veux que je punisse Lætitia ? Comment ?

Paola souriait en regardant ses deux nièces, son esprit un peu pervers imaginait déjà le tableau. Elle décida de préciser les choses.

- je pense que tu sais comment je punis ma chérie... tes petites fesses doivent s'en souvenir.

- une... tu veux que je donne une fessée à Lætitia si elle fait des bêtises ?

- tout à fait ma chérie et tu as même intérêt à le faire, si je m'aperçois que Lætitia à été désobéissante et que tu n'as rien dit, tu auras droit à la fessée déculottée en même temps que ta sœur.

Virginie se rendit compte qu'elle n'avait pas le choix, elle regarda sa sœur avec un petit sourire, elle pourrait se venger des petites humiliations que sa sœur aînée lui avait fait quelques fois subir. Lætitia malgré ses fesses douloureuses tenta d'intervenir, il lui paraissait ridicule et pour tout dire impossible que sa jeune sœur lui administre une fessée.

- non, non, tante Paola, je ne veux pas !!

Elle tapa du pied par terre et croisa ses bras devant elle, avec un air de défi, comme une gamine en colère.

Mal lui en pris, Agnès l'attrapa par l'oreille comme elle l'avait déjà fait avec Sylvie.

- qu'est ce que j'entends ?

Deux  magistrales claques sur les fesses de Lætitia accompagnait ses paroles. Lætitia compris trop tard qu'elle aurait mieux fait de se taire.

- Paola, je pense que cette demoiselle n'a pas bien compris la première leçon, il est temps de passer à la suite, Virginie va pouvoir nous montrer si on peut lui faire confiance.

- aïe aïe aïe, non pardon madame Agnès, ce n'est pas ce que je voulais dire.

Pendant qu'elle s'adressait à Paola, Agnès n'avait pas cessé de tirer sur l'oreille de Lætitia, elle la forçait même à se tenir sur la pointe des pieds. Elle montra son sac à main.

- Virginie, s'il te plaît ma chérie, regarde dans mon sac. J'ai toujours une brosse à cheveux, au cas où j'aie à m'occuper d'une dame récalcitrante.

Paola était vraiment contente de la tournure que prenait ces événements. Lætitia venait de fournir elle même l'occasion de voir Virginie à l'œuvre. Celle-ci un peu surprise s'exécuta, elle savait que de toute façon, elle n'avait pas le choix si elle voulait préserver ses propres fesses.

Elle tenait maintenant dans sa main le redoutable instrument de punition d'Agnès. C'était une brosse à cheveux avec un large dos en bois verni, en la soupesant, Virginie ne pu s'empêcher de serrer ses fesses sous sa petite culotte en pensant comment cette brosse devait brûler quand elle atterrissait sur des fesses bien tendues.

Paola déplaça une chaise et fit signe à la jeune fille de s'asseoir.

- installe toi la Virginie, tu vas pouvoir nous montrer si on peut te faire confiance pour t'occuper de ta sœur.

Agnès avait approché Lætitia toujours tenue par l'oreille, elle pleurait maintenant en se rendant compte de ce qui allait lui arriver. L'humiliation de recevoir ce châtiment enfantin par sa jeune sœur se rajoutait à la crainte de la fessée elle-même. Un vigoureuse claque sur sa jupe l'incita à se mettre en position.

Virginie la bascula un peu plus en avant, sa tête touchait presque le sol, ses pieds étaient décollé et ses fesses bien à la disposition de la fesseuse. Elle jeta un regard interrogateur vers sa tante et Agnès. Celle-ci compris rapidement.

- oui ma chérie, une fessée c'est toujours cul nu, retrousse moi cette jupe.

- noon, s'il vous plaît madame, pas cul nu !

Lætitia se mit à crier tandis qu'en souriant, Virginie avait retroussé la jupe sur les reins. La culotte blanche rentrait dans la raie médiane, découvrant déjà à moitié le fessier rebondi. La rougeur de la base des fesses et des cuisses avait un peu diminué. Virginie qui semblait déjà devenir une experte en fessée tapota les fesses tendues.

- tu as entendu madame Agnès, ma petite Lætitia, la fessée c'est toujours cul nu.

Paola était ravie décidément cette petite apprenait vite. Pendant ce temps Virginie avait glissé ses doigts dans la ceinture de la culotte et elle la faisait descendre doucement. Lætitia maintenant pleurait vraiment, elle serrait ses fesses pour dissimuler son intimité, elle était déculottée comme une gamine par sa sœur devant deux spectatrices attentives. Les fesses étaient encore colorées mais une seule fessée manuelle ne pouvait pas donner un couleur qui tenait longtemps. Virginie caressa les fesses de sa sœur avec le dos de la brosse à cheveux. Elle n'avait encore jamais donné une fessée, mais le spectacle de ces deux fesses rondes tendues vers elle, était vraiment ravissant.

Elle regarda les deux dames sévères, il était temps de passer aux choses sérieuses. La brosse s'abattit avec un claquement sec sur la fesse droite de Lætitia. Celle-ci poussa un cri strident, la brûlure était intense, elle n’eut pas le temps de réfléchir, déjà sa fesse gauche subissait le même sort. Puis la fessée prit son envol, Lætitia hurlait, ses fesses s'ouvraient largement, sa pudeur était oubliée, ses jambes battaient l'air, Paola se tenait prête à intervenir pour la maintenir en place si nécessaire mais Virginie tenait fermement sa sœur par la taille. Les fesses avaient repris immédiatement une jolie couleur rouge.



 Maintenant le haut des cuisses subissait le même sort. Quand la correction s'arrêta l'ensemble du fessier était cramoisi. Virginie posa la brosse à cheveux et passa la main sur les fesses de sa sœur, elles étaient brûlantes. Elle la laissa se calmer un peu, ses fesses se serraient puis s'ouvraient largement pour essayer d'atténuer la douleur. Agnès et Paola applaudirent.

- c'est parfait ma petite Virginie, tu as passé brillamment ton examen. Je pense que Lætitia à bien compris la leçon. Elle va aller exposer son joli derrière au coin. Lætitia était maintenant debout, sa culotte était descendue aux chevilles. Agnès la repris par l'oreille pour la conduire au coin. Comme à son habitude elle arrangea la tenue de la punie, elle coinça la jupe dans la ceinture et remonta la culotte à mi cuisses.

- mains sur la tête et le nez contre le mur !

Paola pensa que Lætitia aurait certainement très souvent les fesses bien rouges car Virginie était une jeune fille très mûre pour son âge, elle prendrait très au sérieux le rôle de tutrice de sa sœur. Mais Paola ne comptait pas être en reste et Virginie aurait à montrer ses fesses également, monsieur Martinet aurait encore du travail.

- ma petite Virginie, je te rappelle qu'il te faut être sévère mais juste. Tu dois adapter la punition à la faute, une petite bêtise ne nécessite qu'une fessée à la main  tu ne dois utiliser la brosse à cheveux qu'en cas de désobéissance ou de grosse bêtise. Mais je te fais confiance  je suis sûr que Lætitia va devenir une jeune fille très mignonne.  

Sylvie avait débarrassé la table, elle faisait la vaisselle quand, elle entendit le bruit de la fessée, elle s'approcha doucement de la porte et assista discrètement à la punition de Lætitia. Cela faisait deux fois qu'une fessée retentissait dans cette maison alors que sa culotte n'avait pas quitté ses fesses. C'était une petite satisfaction mais il lui restait à accomplir la mission que lui avait confié Agnès.

Elle savait qu'il ne lui fallait pas tarder, maman Agnès ne tolérerait pas un retard. Elle se dirigea  vers la porte d'entrée en passant dans le couloir, elle se regarda dans la glace. Elle était un peu ridicule avec sa jupe plissée bleue marine qui lui arrivait à mi cuisses, une vraie collégienne, 



ses fesses se serraient sous sa petite culotte en coton, combien de fois celle-ci avait été retroussée devant toute la classe par cette garce de miss Faucon. Elle entra dans la pièce où Lætitia exposait toujours sa paire de fesses bien rouges.

- maman Agnès, je vais au magasin de fourniture scolaire.

Elle ajouta rapidement.

- je me dépêche, maman !

Mais immédiatement, elle fut à nouveau submergée par l'angoisse en réalisant à quel point toute cette affaire, allait être extrêmement humiliante.

- maman s'il te plait ! Est-ce que je dois vraiment y aller ? Est-ce qu'on ne peut pas commander les cannes en ligne et ensuite les faire livrer ? S'il te plait maman chérie, tout le monde va me voir dans ma tenue d'écolière, dans les rues et dans la boutique. Maman, je vais mourir de honte !

Sylvie se tordit les mains et de grosses larmes coulèrent sur son visage. Puis brusquement  elle réalisa qu'elle contredisait sa mère. Agnès n'avait pas dit un mot. Elle la regardait juste très sévèrement. Sylvie sut immédiatement quoi faire. Elle plia un peu ses genoux puis se pencha en avant. Avant de poser docilement ses mains sur ses genoux, elle retroussa rapidement sa jupe d'écolière pour dévoiler sa culotte dans toute sa splendeur.

Agnès était restée silencieuse. Elle s'est même abstenue de baisser la culotte pour cette fois, elle était pressée. Les seuls sons qui suivirent étaient...

- clac "AÏE !", clac "Aïe!", clac "Aïe !", clac "AÏE!!" , clac "AÏE !! clac,  AÏE !!", clac AÏE AÏE AÏE!!



Puis Agnès lui dit calmement.

- maintenant, tu cours vite !

Sylvie s'est redressée. Elle n'eut pas à se soucier de sa jupe, elle est retombée toute seule. 

- merci maman!

Elle respira, essuya les larmes avec le dos de ses mains, puis se précipita hors de la maison.

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