mardi 13 septembre 2022

A 70 ans, il n'est pas trop tard 2ème jour 1

 Voici le 2ème épisode de ce récit écrit à 4 mains avec mon amie Agnès Benniza. Cet épisode est assez long, aussi il sera publié en plusieurs chapitre sur mon blog. La version en anglais sera à la lecture sur le site d'Agnès.

Sylvie et ses cousines. 



Sylvie se réveilla et regarda son réveil, elle se remémora la journée précédente. Le retour en arrière avait été brutal, elle glissa sa main dans sa culotte et caressa ses fesses. Elles étaient encore sensibles, cela lui rappela les instructions d'Agnès, il lui fallait préparer le petit déjeuner pour elle et Paola. Elle se leva rapidement  elle pressentait que si tout n'était pas prêt quand Agnès arriverait que ses fesses en paierait les conséquences.

Elle avait l'habitude de déjeuner rapidement sans préparer la table, elle fit des efforts pour faire une jolie table pour ses invitées. Quand Agnès rentra dans la pièce, elle fut satisfaite du travail de Sylvie. Elle souriait, décidément une bonne fessée cul nu, c'est très efficace à tout âge.

- c'est bien ma chérie, je suis contente de toi, as tu bien dormi?

Sylvie acquiesça, ses fesses se serraient sous la culotte de son pyjama. Agnès s'approcha d'elle et la fit pivoter.

- avant l'arrivée de nos invitées, je voudrais vérifier l'état de ton popotin.

Sans aucune gêne, elle baissa la culotte sous les fesses et fit pencher Sylvie en lui appuyant sur le dos. 



Elle palpait les fesses de son amie, insinuant même ses doigts entre ses cuisses pour les écarter. Sylvie était morte de honte mais le souvenir des épisodes cuisants de la journée précédente la forçait à ne pas protester.

Les fesses étaient encore bien rosées, la sévère fessée du coucher avait été efficace. Agnès tapota les fesses et remonta la culotte.

- c'est bien ma chérie, tes fesses ne sont pas abîmées, elles sont en prêtes pour une nouvelle fessée si tu la mérite.

Puis elle regarda la table.

- tu peux rajouter deux couverts, j'ai dit à Paola hier soir de venir avec ses deux nièces, j'aimerais les connaître. Et puis tu connaîtra mieux tes nouvelles cousines puisque maintenant Paola est ta tante.

Sylvie rougit au rappel de sa nouvelle condition, elle était désormais rangée au rang d'une adolescente qui recevait encore la fessée. Elle frissonna en pensant que Lætitia et Virginie, les deux nièces de Paola allaient sans doute être au courant que comme elle, Sylvie recevait la fessée cul nu.

Des éclats de voix retentirent dans l'entrée, c'était Lætitia l'aînée des nièces de Paola âgée de 18 ans qui protestait bruyamment.

- mais, tante Paola, je suis trop vieille pour recevoir encore la fessée, c'est ridicule !

- ma chérie, je te conseille de changer de ton, tu sais bien que je ne changerai pas ma façon de faire, même si il y a du monde, si je dois te baisser la culotte ça sera fait et tu montreras ton petit bootie bien rouge.

La conversation était arrivée aux oreilles des deux dames qui attendaient dans la salle à manger. Agnès était ravie d'entendre parler de fessée et de culotte baissée dès le matin. Sylvie un peu moins, même si la menace ne la concernait pas, ses fesses encore sensibles lui rappelait de mauvais souvenir.

- bonjour, mes chéries. J'espère que vous allez bien !

dit Paola en arrivant dans la pièce, Agnès et Sylvie lui répondirent de la même manière. Paola plissa les yeux d'une manière malicieuse.  

- ma nièce Lætitia dit que juste parce qu'elle a l'âge légal maintenant, je ne peux plus lui donner la fessée cul nu !

- oh, nous savons très bien que c'est faux n'est-ce pas, Paola ?

Agnès se tourna vers Lætitia et continua.

- Lætitia, tu te trompes complètement. Je vais te montrer quelque chose qui va te prouver que personne n'est jamais trop vieux pour être éduqué sévèrement quand des personnes responsables et mûrs le jugent nécessaire.

Sylvie avait une idée de ce que tramait Agnès. Elle essaya de protester.

- oh, s'il te plait, ne le fais pas, maman Agnès !"

Mais Agnès ignorait totalement les gémissements de Sylvie.  

- mets tes mains sur tes genoux. Penches toi en avant, Sylvie et présente bien ton petit popotin.

Sylvie gémit, son visage était rouge vif, mais elle n'osa pas protester et obéit sans plus d'hésitation.

Agnès saisi à nouveau la ceinture de la culotte du pyjama de Sylvie et la baissa jusqu'aux genoux. Paola sourit, mais les filles restèrent bouche bée de surprise horrifiée.


 

- que vois-tu là, ma chère Lætitia ?

Le ton d'Agnès montrait qu'elle attendait une réponse.

- oh, les fesses de Mme Bouger sont rouges et ses cuisses aussi. Est-ce que… est-ce qu'elle a... est-ce qu'elle a... reçu … sur les fesses, madame ?

Agnès hocha la tête mais décida que c'était à  Sylvie de répondre.

- dis-lui, Sylvie, ma chérie. Et dis-lui quel âge tu as !

Le visage de Sylvie était vraiment brûlant. Mais maman avait demandé quelque chose, et bien sûr sa petite Sylvie devait répondre immédiatement et clairement.

Une petite déglutition puis elle répondit en sanglotant.

- oui, hier, j'ai reçu plusieurs fessées sur mes fesses nues. Une fois même avec mon vieux Martinet. Et ta tante s'en est aussi mêlée !

Elle resta un moment silencieuse et dut essuyer deux larmes qui commençait à couler avec le dos de sa main. Puis elle ramena rapidement sa main sur son genou pour reprendre sa position et annonça.

- j'ai soixante-dix ans !

Paola applaudi

- tu as dit ça magnifiquement, Sylvie !

- merci, tante Paola ! Merci beaucoup !

Comme elle aurait aimé se relever maintenant et remonter son bas de pyjama pour pouvoir enfin cacher ses fesses nues. Mais elle n'osait pas sans l'autorisation d'Agnès.

- c'est vrai, Paola. Mais sûrement que tes nièces voudraient savoir si les fessées étaient bien méritées !

Agnès fit un clin d'œil à Paola. Les filles ne l'ont pas remarqué car leurs yeux étaient toujours attirés par le derrière nu et rouge de Sylvie.

- oui, oui, c'était bien mérité. Je n'ai pas dit la vérité et j'ai également utilisé un mot interdit à plusieurs reprises. J'ai vraiment mérité mes punitions.

Sylvie se mit à pleurer doucement. Même si maintenant elle était persuadée de ce qu'elle disait, c'était toujours totalement humiliant pour elle de l'admettre devant deux adolescentes.

Agnès jugea que la petite humiliation de Sylvie était suffisante pour lui faire bien comprendre qu’elle était maintenant vraiment reléguée au rang d’une adolescente qui devait obéir sans discuter à sa nouvelle maman. Elle remonta elle même la culotte du pyjama sur les fesses de Sylvie comme l’aurait fait une maman. Puis elle se tourna vers Paola.

- je pense que notre petite Lætitia à besoin d’une leçon matinale, depuis quand une nièce parle ainsi à sa tante ?

Lætitia rougit immédiatement, elle avait compris ce qui allait lui arriver, les fesses encore bien rouges de Sylvie dansaient encore devant ses yeux, elle essaya de se sortir de cette situation périlleuse.

- non tante Paola, s’il te plait, j’ai compris, ce n’est pas ce que je voulais dire. Oui bien sûr, il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée.

Paola souriait, ravie de la situation. Administrer une bonne fessée déculottée dès le matin n’était pas pour lui déplaire. Cela faisait bien trois jours que Lætitia ne lui avait pas présenté ses fesses alors que Virginie avait reçu une courte mais sévère fessée hier soir.

- tu as parfaitement compris ma petite chérie, il n’y a effectivement pas d’âge pour recevoir la fessée cul nu comme vient de te le prouver Sylvie. Donc je vais m’empresser de corriger ton insolence. Approche un peu !

Lætitia se mit à gémir, elle savait l’issue inéluctable et devant le regard sévère de sa tante elle s’approcha. Paola s’était assise sur une chaise et elle lissait sa jupe courte sur ses cuisses pour bien montrer à sa nièce que c’est ici qu’elle devait s’allonger. Lætitia avait compris, Virginie également, elle jeta un regard inquiet vers Agnès  la magistrale fessée d'hier soir était encore présente à son esprit, ses fesses étaient encore sensibles sous sa culotte.

Dès qu'elle fut à sa portée, Paola saisit la main de Lætitia et la tira pour la faire s'allonger sur ses genoux. La jolie brune de 1,65 m était mince, elle portait une minijupe en jean, dès qu'elle fut couchée, la jupette remonta légèrement, découvrant le pli des fesses et une mignonne petite culotte à fleur. Paola ne pouvait pas se satisfaire de se début de retroussage, elle leva bien haut la jupe sur les reins de Lætitia, découvrant complètement la culotte bien tendue sur le fessier juvénile. Elle posa sa main sur les fesses.

- alors comme ça, mademoiselle est trop grande pour recevoir la fessée ? Moi je pense que non. Et en plus c'est une fessée cul nu que tu vas recevoir et devant Agnès et Sylvie. Tu as vu ses fesses et bien elle va pouvoir admirer les tiennes.

En disant ses mots, elle avait glissé ses doigts sous la ceinture de la culotte et elle la descendait lentement, elle savait la honte que devait ressentir Lætitia et elle voulait faire durer le plaisir. Sylvie était un peu vengée de son déculottage en public. Lætitia gémissait.

- noon pardon tante Paola, pas la culotte, pas cul nu la fessée, s'il te plaît.

Paola regarda Agnès en souriant et désigna de l’œil Virginie.

- mademoiselle Virginie à été très insolente hier soir, j'ai été obligée de sévir. Je pense qu'un petit rappel par une nouvelle main lui ferait le plus grand bien.

La petite culotte de Lætitia était arrivée maintenant aux genoux, découvrant une petite paire de fesses blanches, bien rondes et musclées. Agnès en souriant avait pris la main de Virginie puis s'était assise sur une chaise en face de son amie Paola. Virginie était âgée de 17 ans, elle était plus petite que sa sœur et plus ronde. Elle portait un mini-short en jersey qui moulait parfaitement son derrière bien joufflu. Agnès la plaça devant elle et avec ses deux mains, elle saisit la ceinture du short et dun geste rapide, elle le fit glisser jusqu'aux chevilles.



Elle portait également une mignonne petite culotte en coton blanc. Ses fesses bien plus grosses que celle de sa sœur dépassait un peu de cette culotte qui rentrait un peu dans la raie médiane et découvrait partiellement le fessier rebondi, on devinait les fesses serrées par l'appréhension. Contrairement à sa sœur, elle n'avait rien dit, deux larmes coulaient sur ses joues. Sans perdre de temps, Agnès la bascula en travers de ses genoux et immédiatement entrepris de la déculotter. Lætitia était déjà fesses à l'air, attendant sa punition sur les genoux de Paola. Agnès baissa rapidement la culotte de l'adolescente jusqu'à ses genoux. Il n'y avait plus de traces de la fessée d'hier soir. Paola s'était contentée d'une vigoureuse fessée à la main qui chauffait bien le derrière mais ne laissait pas les fesses rouges longtemps contrairement à une fessée au martinet où avec un autre instrument. Les deux fesseuses se regardèrent en souriant, il était temps de passer aux travaux pratiques. Agnès était toujours ravie d'avoir une nouvelle paire de fesses à fesser et Paola était satisfaite d'asseoir son autorité sur ses deux nièces. Agnès donna le signal, sa main s'abattit sur la fesse droite de Virginie déclenchant un cri de la jeune fille, auquel répondit un autre de Lætitia. Paola avait commencé par la fesse gauche, puis les claques se succédèrent â un rythme effréné. Les deux sœurs offraient un véritable concert accompagné d'une magnifique danse des fesses, les jambes battaient l'air, les fesses s'ouvraient largement puis se serraient sous la brûlure des claques. Sylvie regardait ce spectacle qui la consolait un peu des fessées reçue la veille.



Puis Agnès ralentit considérablement le rythme pour que chacune des claques de Paola atterrisse exactement entre deux claques d'Agnès. Les musiciens appelait cela push-pull. 

 

La main qui administrait  la punition se posait toujours brièvement sur la fesse qui était claquée avant de se lever pour la suivante.

Agnès fit une suggestion. Elle avait eu de bonnes expériences avec les punitions collectives.

- cela favorise le sens des responsabilités chez les contrevenants. Virginie, par exemple, pourrait avoir intérêt à modérer Lætitia si elle savait qu'elle aussi serait punie pour les bêtises de sa sœur. Et bien sûr vice versa.

Elle devait parler fort pour masquer les gémissements. Mais à cause du rythme plus lent et du fait qu'une seule fesse était touchée à la fois, les filles n'étaient plus aussi bruyantes et hurlantes. Néanmoins, la cuisson continuait à se répandre sur les quatre globes et encore plus en profondeur du fait du rythme soutenu

Paola approuva.

- je pense que c'est une bonne idée sur le principe, mais c'est un peu injuste pour Virginie car elle est de loin la plus mignonne des deux. Et elle va avoir du mal à  tempérer sa sœur aînée qui est très têtue.

Puis elle ajouta pensivement, sa main reposant brièvement sur la fesse de Lætitia.

- à moins que je ne lui permette un genre d'influence tutorale sur Lætitia!

Elle fit un clin d'œil à Agnès en souriant et Agnès comprit immédiatement.

- tu veux lui permettre d'être stricte avec Lætitia quand elle se rend compte qu'elle prépare quelque chose de mal, Paola ?

La main d'Agnès venait de claquer bruyamment les fesses de Virginie. Et la jeune fille poussa un cri un peu plus fort. La conversation n’empêchait ni Agnès ni Paola de remplir leur devoir, la punition continuait inexorablement.

Mais il n'y avait pas qu'Agnès qui avait compris l'idée de Paola.

- non ! S'il te plaît, tante Paola ! S'il te plaît, pas ça ! S'il te plaît, à partir de maintenant, je vais toujours être une fille très gentille et bien élevée. aiie  ! Et bien sûr, je ne suis pas trop vieille pour recevoir la fessée déculottée ! Promis , j'ai compris !

Paola ne répondait pas. Bien sûr qu'elle autoriserait Virginie à coucher sa sœur sur ses genoux si nécessaire. Elle sourit à l'idée de rentrer chez elle et de trouver Lætitia sanglotant et rougissant dans le coin où sa petite sœur l'aurait placée. 



Et elle décida également de ne jamais demander à Virginie le motif de la punition et de ne pas écouter les plaintes de Lætitia à ce sujet.

1 commentaire:

  1. belle histoire. introduction de deux nouveaux personnages. J'étais curieux de savoir s'il y aurait une lutte de pouvoir entre Pala et Agnès

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