mardi 5 juillet 2022

L'institut chapitre 26

 Une soirée â l'institut 3ème partie 



Mlle Rose repris la parole, 

- je félicite les fesseuses pour ces cinq magnifiques correction, le résultat est magnifique. Je vais vous donner les résultats des votes pour les plus jolies fesses. Pour les fesses blanches c'est Amélie qui a gagné. Pour les fesses rouges c'est Sylvie qui remporte le concours, j'avoue qu'Isabelle lui a mis une jolie culotte rouge sur les fesses. 

Les résultats furent accueilli par des applaudissements. Amélie avait les joues rouges de plaisir et de confusion, surtout que madame Costa sa voisine lui glissa à l'oreille en souriant. 

- le traitement anticellulite à été vraiment efficace, mes félicitations madame. Je ne sais pas si c'est la crème, le suppositoire ou la fessée, qu'en pensez-vous?

- euh... merci, je ne sais pas. 

Florence Costa (chapitre 3, 6 et 9) souriait toujours. 

- méfiez-vous quand même, avec une si jolie paire de fesses, ça peut donner des idées, on a vraiment envie de vous baisser la culotte pour les voir de plus près. 

Mlle Rose avait repris la parole. 

- avant de vous annoncer les récompenses pour les deux gagnantes, j'aimerais qu'elles nous remontrent à nouveau leurs jolies fesses. Amélie, si vous voulez bien rejoindre à nouveau Sophie. 

Amélie fit une moue désespérée en direction de sa voisine madame Costa, celle-ci l'encouragea d'une petite tape sur les fesses. 

- allez y, vos fesses sont vraiment adorables.

Elle avait dit ça avec un sourire gourmand. 

Amélie savait de toute façon qu'elle n'avait pas le choix, elle remonta sur l'estrade et Sophie en un clin d'œil lui troussa la jupe, l'épingla dans le dos et la déculotta jusqu'à mi cuisses. Puis elle la fit pivoter pour bien présenter ses fesses à l'assemblée.



 Pendant ce temps Aurélie avait saisi Sylvie par l'oreille pour l'amener à côté d'Amélie, le contraste  était frappant entre la blancheur du fessier d'Amélie et la couleur pourpre de celui de Sylvie. Mlle Rose jugea cependant que les fesses de Sylvie avaient perdu un peu de leur jolie couleur. 

- Aurélie, s'il vous plaît, redonnez un peu de brillant au derrière de Sylvie, il était vraiment plus joli après la fessée d'Isabelle. 

La jeune assistante ne se fit pas prier. Elle saisit Sylvie par la taille, la courba sous son bras pour lui faire tendre les fesses vers la salle puis elle leva la main et se mit en devoir d'administrer une rapide mais vigoureuse fessée à la dame mûre redevenue une gamine punie par son institutrice. Sylvie telle une mauvaise élève, trépignait sur place, elle était bien maintenue par Aurélie et ne pouvait pas échapper à sa punition. Rapidement ses fesses retrouvèrent une magnifique couleur. Satisfaite Aurélie la relâcha, Sylvie pleurait à nouveau et ses mains firent mine de se porter à ses fesses brûlantes. La jeune femme veillait au grain.

- mains sur la tête !

L'ordre ne s'adressait qu'à Sylvie, mais Amélie habituée à obéir sans discuter sous peine de fessée cuisante, mit également ses mains sur sa tête. Le public appréciait le spectacle et applaudit à tout rompre. 

Isabelle était ravie que son amie et désormais gamine soumise à la fessée ait remporté le concours. C'est vrai quelle avait des fesses magnifiques, elle lui disait d'ailleurs souvent quand elle la couchait sur ses genoux pour la fesser. 

- ma petite chérie, tu as vraiment des fesses à fessée. 

Et c'est vrai qu'elles étaient encore plus jolies quand elles étaient écarlates. Quant à la jeune femme qui était à côté d'elle, Isabelle songea avec gourmandise à la magistrale déculottée qu'elle lui administrerait si elle en avait l'occasion. Mlle Rose reprenait la parole. 

- nous avons donc deux gagnantes mais également quatre perdantes. Voici donc les récompenses, Sylvie évitera la fessée déculottée que ses quatre voisines vont recevoir et Amélie gagne le droit de choisir une des spectatrices pour lui administrer une bonne fessée déculottée. Vous avez le temps de réfléchir ma petite Amélie, vous pouvez vous reculotter. Quant à vous Sylvie, vous évitez la fessée, mais pas l'exposition de votre petit derrière bien rouge. Vous retournez au coin. 

Puis elle se tourna vers les fesseuses.

- mesdames nous allons procéder à la punition des perdantes. Je propose une double fessée pour chacune, placez vous deux par deux comme Sophie et Aurélie tout à l'heure. 

Lola et Elodie s'assirent face à face perpendiculairement à la salle, Isabelle et Brigitte firent de même. 

- c'est parfait, Irène sur les genoux de Lola et Elodie, Monique sur les genoux d'Isabelle et Brigitte. 

Les deux punies s'étaient docilement couchées sur les genoux des quatre fesseuses, leurs fesses étaient encore bien rouges des fessées précédentes. 


Lola carressa la croupe tendue d'Irène, elle jeta un regard gourmand à Elodie. 

- mazette, c'est bien chaud, mais une si belle paire de fesses ça peut en supporter un peu plus. 

Elodie acquiesca en tapotant le derrière bien présenté d'Irène. 

- oui, oui les mamans qui reçoivent encore la fessée ont vraiment de jolies fesses, regardez Monique aussi à une bonne paire de fesses.

Irène était mortifiée par ses réflexions sur sa croupe, surtout de la part de ces très jeunes femmes. À côté d'elle, Isabelle et Brigitte appréciait également le postérieur écarlate de Monique, Elles étaient toutes les deux des fesseuses passionnée et découvrir une nouvelle paire de fesses à claquer était toujours un plaisir. Mlle Rose donna les instructions. 

- bien mesdames, pour une double fessée, c'est le rythme qui est important, ce n'est pas une fessée de maman en colère. Vous devez adapter votre fessée au rythme de votre collègue. Il faut que vos claques soient légèrement décalées, ainsi la punie n'a aucun répit, elle reçoit une fessée permanente sans aucune pause, ce qui fait la sévérité de cette fessée. Nous allons partir pour une fessée de cinq minutes. Allez y.

Elle avait déclenché un chronométre. Les quatre fesseuses n'attendaient que ça, ce fut bientôt un festival de claquements sur la peau nue se mêlant aux cris des deux punies, bientôt les pleurs suivirent avec les supplications habituelles. Bien maintenues par la main libre des correctrices, elle ne pouvait pas échapper à la rigueur de la punition. Il ne leurs restait plus qu'à battre frénétiquement des jambes et à serrer et desserrer leurs fesses au rythme effréné de la fessée. Les cinq minutes parurent une éternité à Irène et Monique, bien qu'habituées à recevoir de sévère correction celle-ci faisait partie des meilleures. Pour le public et les fesseuses c'était différent, elles n'avaient pas vu le temps passer. Mais l'état des deux fessiers ne laissait pas de doute sur l'efficacité de la punition. Sur toute la surface un rouge profond s'étalait dépassant même sur le haut des cuisses où les mains expertes des fesseuses savaient que la punition était plus douloureuse. Irène et Monique avaient toutes les deux une magnifique culotte rouge. Après quelques instants allongées pour calmer leurs pleurs, elles purent se relever. Mlle Rose intervint à nouveau. 

- bien, vous rester là, et vous présentez bien vos jolies fesses au public. Edwige sur les genoux de Sylvie et Brigitte, Elisabeth sur les genoux de Lola et Elodie, dépêchez vous un peu. 

Edwige se mit à pleurer en arrivant devant ses deux fesseuses, elle avait été impressionnée par la sévérité de la fessée de ses camarades. 

- non, non... s'il vous plaît, plus la fessée...

Isabelle lui prit la main pour la faire approcher mais Edwige résistait, de sa main libre elle se mit à lui claquer les fesses, Brigitte lui vint en aide elle  tira également la récalcitrante et lui claqua l'arrière des cuisses. Edwige en pleurant bruyamment se retrouva malgré sa résistance dans la position requise pour recevoir sa fessée. Mlle Rose avait froncé les sourcils devant cet acte d'indiscipline, Elisabeth sans rechigner s'était couchée en travers des genoux des deux jeunes femmes, elle était résignée depuis longtemps à subir les punitions que jugeait utile Mlle Rose. La fessée supplémentaire qu'elle aurait reçu en arrivant chez elle si Mme la baronne sa mère l'avait su était suffisamment convaincante pour la rendre docile. 

Les deux punies étaient maintenant prêtes pour la bonne fessée déculottée, Mlle Rose déclencha le chronométre. Les deux fessées n'eurent rien à envier aux précédentes et la danse des fesses fût également très suggestives, les spectatrices n'ignoraient plus rien de l'intimité de ces dames. 



Quand le chronométre indiqua cinq minutes, Mlle Rose s'adresse à nouveau aux fesseuses.

- très bien. Isabelle et Brigitte, vous allez continuer encore deux minutes la fessée d'Edwige, ça va lui apprendre à protester. 

La punie poussa un cri de protestation, mais déjà la fessée avait repris et les pleurs et supplications de la pauvre Edwige se melèrent aux claquements sur son fessier cramoisi. Elle reçut jusqu'au bout sa punition, puis elle dut se placer debout, les fesses présentées au public à côté de ses fesseuses. Mais Mlle Rose avait décidé que le spectacle n'était pas terminé, Monique et Irène durent à nouveau se coucher en position disciplinaire, Sophie remis aux quatre dames une mademoiselle claquefesse. 

- pour que ces chipies ne recommencent plus je pense que deux minutes de mademoiselle claquefesse sera suffisant. 

Les deux punies recommencerèrent leur concert de pleurs et supplications. Les fesses étaient maintenant boursouflées et brûlantes, quand elles purent se relever, elles piétinaient sur place pour calmer la cuisson, au grand plaisir du public. Edwige et Elisabeth prirent leur place et ce fut bientôt quatre derrières cramoisi qui furent exposés sur l'estrade. Parmi les spectatrices nombreuses étaient celles qui avait goûté aux sévères fessées de l'institut et leurs fesses se serraient sous les culottes en s'imaginant à la place d'Irène, Monique, Elisabeth et Edwige. Après cette dernière fessée avec mademoiselle claquefesse, elles furent reconduites au coin tenues par l'oreille comme il sied à des gamines punies, Aurélie et Sophie ne se privèrent pas d'accompagner leur marche par quelques claques bien senties. 



Le fessier de Sylvie bien que très rouge faisait un peu pâle figure. Isabelle s'approcha de son amie et lui glissa à l'oreille. 

- je suis désolée ma chérie, mais tes fesses ont besoin d'une petite fessée supplémentaire. 

Elle la courba sous son bras et lui administra une rapide mais vigoureuse fessée avec mademoiselle claquefesse. Sylvie hurla sous la brûlure et piétina sur place mais Isabelle ne céda pas et bientôt les fesses reprirent une jolie couleur. Mlle Rose était très contente du spectacle, des fesses bien rouges étaient toujours un plaisir pour elle. Elle se tourna vers Amélie. 

- alors madame, vous avez fait votre choix ? Qui va nous montrer ses fesses ?

Amélie en souriant acquiesca. Les spectatrices retenaient leur souffle, consciente que l'une d'elle allait bientôt avoir les fesses brûlantes. La plus jolie paire de fesses de la soirée se tourna vers Florence Costa et sans hésiter lui saisit l'oreille pour la faire se lever. La sévère professeur de français à la retraite, poussa un petit cri et voulu protester, mais un rapide regard vers Mlle Rose la convainqui qu'elle n'avait aucune chance d'échapper au châtiment humiliant qu'elle réservait habituellement à ses élèves. Elle était maintenant sur l'estrade, Amélie s'était assise sur la chaise, elle retroussa la jupe un peu trop étroite de Florence, celle-ci portait des dessous élégants, une culotte blanche en dentelle, des porte jarretelles et des bas fumés. Amélie ne lui laissa pas le temps de réfléchir et la fit basculer en travers de ses genoux. 

- je vais pouvoir constater à mon tour si vous avez une jolie paire de fesses madame. 

Amélie s'amusait du renversement des rôles, elle caressait la culotte tendue sur la large croupe. Elle se tourna vers la salle. 

- une fessée cul nu ?

Un oui unanime s'éleva de l'assemblée. Amélie se mit à rire. 

- et bien ma chère Florence, tous le monde veut voir vos jolies petites fesses. 

Elle avait glissé ses doigts dans l'élastique de la culotte et elle fit descendre l'élégant sous vêtements jusqu'au milieu des cuisses. Florence Costa avait ce qu'on peut appeler un beau derrière, des fesses laiteuses larges et bien étalées, séparées par une profonde raie fessière, la chaise était placée obliquement par rapport à la salle, la pauvre Florence savait que si elle ouvrait les cuisses, toutes les spectatrices auraient une vue parfaite sur son intimité. 



Elle serrait donc ses fesses, ce qui fit sourire Amélie, elle savait par expérience que pendant la fessée  les fesses allaient s'ouvrir et se refermer naturellement. Elle tapota l'intérieur des cuisses. 

- allez madame, détendez vous, une fessée est beaucoup plus douloureuse si on serre les fesses. 

Florence garda les cuisses serrées. 

- comme vous voulez, tant pis pour vous. 

Amélie avait levé la main et commencé la fessée. Mlle Rose l'arrêta.

- attendez, je pense que cette désobéissance mérite une petite sanction. Disons pour commencer cinq minutes de fessée à la main. 

Elle avait déclenché le chronométre, pendant que Florence protestait en entendant la sentence. 

- noon, s'il vous plaît, pas cinq minutes, c'est trop....aïe aïe aïe aïe non..aïe  çà brûle.

La dernière fessée déculottée de Florence remontait à son adolescence, elle avait oublié que ça faisait aussi mal. Caroline qui avait subi l'humiliation de la fessée cul nu chez madame Costa, se régalait de voir sa fesseuse, se tortiller et gémir sous la cuisson des claques d'Amélie. Monique le nez collé contre le mur, se remémorait les innombrables fessées reçue chez la sévère professeur. Ça l'aidait à supporter la douleur de son propre derrière. Le large fessier avait perdu sa blancheur, il était devenu d'un beau rouge vif, la profonde raie fessière, s'ouvrait maintenant largement, la culotte était maintenant autour des chevilles, Florence abandonnant toute fierté, pleurait à chaudes larmes, elle était redevenue l'adolescente punie pour un chahut nocturne  par la surveillante dans le dortoir de son lycée. C'était la dernière fessée dont elle se souvenait. 

- aïe...aïe, non pardon mademoiselle, promis je ne recommencerai plus. Arrêtez s'il vous plait.

Amélie claquait calmement et régulièrement la large croupe, sa main descendait également sur le haut des cuisses. La minuterie retenti, Mlle Rose se leva et s'approcha d'Amélie, elle posa sa main sur les fesses de la punie. 

- c'est très bien ma petite Amélie, mais des bonnes fesses comme ça peuvent supporter un peu plus. Cinq minutes de mademoiselle claquefesse !

Elle avait tendu la petite raquette en cuir à la jeune femme et les pleurs et supplications de  Florence avaient redoublé. Amélie avait un peu mal à la main, aussi l'utilisation de mademoiselle claquefesse lui parut plus facile. Après cinq minutes de fessée supplémentaire, les fesses de madame Costa étaient d'un beau rouge brique, elle ne bougeait plus les jambes, vaincue par la sévérité de la punition, seul ses pleurs se mêlaient aux claquements du cuir sur sa peau brûlante et ses fesses s'ouvraient et se serraient au rythme imposé par Amélie. Pour une première expérience de fesseuse, Amélie avait été gâtée, elle en avait oublié l'humiliation de l'exposition de ses fesses nues sur l'estrade.

Florence put enfin se relever, elle rejoignit les cinq autres punies qui exposaient leurs derrières rougeoyant. Elle avait tant de fois imposé ce passage au coin à ses élèves qu'elle sut immédiatement quelle posture adopter. En une soirée elle avait changé de statut, de professeur sévère qui distribuait généreusement la fessée déculottée, elle était passée dans la catégorie  des dames mûres troussées et déculottées par une jeune femme. A sa grande honte elle s'était comportée comme ses élèves, elle avait pleuré et supplié pendant la fessée et maintenant elle exposait en public ses fesses nues. 



Mlle Rose était contente de sa soirée, elle annonça aux spectatrices que l'institut leur offrait un verre.


5 commentaires:

  1. quel beau chapitre d'institut. J'ai toujours voulu voir Mme Costa recevoir une fessée. J'adorerai voir ce qui se passera le lendemain lorsque Caroline et Monique seront chez elle pour les cours. aussi Elodie humiliera mrs. Costa pour la fessée. Super retour

    Chinmay

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    1. Merci pour ces compliments. Madame Costa avait bien besoin d'une bonne leçon. Une fessée déculottée en public c'est parfait.

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  3. J'espère que vos vacances se sont bien passées, merci pour ce retour en forme des fessées de l'institut ! L'été sera chaud pour les fesses !
    Corentin

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    1. Merci Corentin, effectivement la canicule est annoncée sur les derrières â l'institut 🤗.
      Vos commentaires élogieux me poussent à continuer. Ces dames peuvent préparer leurs fesses.
      Sylvie

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