mercredi 25 mai 2022

L'institut chapitre 23

 Tea party 



Progressivement Christine avait pris l'ascendant sur sa mère. Un jour après lui avoir administré une magistrale fessée déculottée elle lui avait annoncé alors qu'elle se tenait devant elle fesses à l'air. 

- tu te conduis vraiment comme une gamine. À partir de maintenant tu vas m'appeler momy, je vais reprendre ton éducation ma petite chérie. 

 Irène les joues du haut aussi rouges que celle du bas n'osa pas protester, surtout que Christine continuait. 

- tu vas venir t'installer à la maison, je veux pouvoir te surveiller. 

La vie d'Irène changea du tout au tout, elle avait perdu son indépendance, elle devait rendre compte à sa fille de toutes ses activités et ses fesses étaient bien souvent d'une jolie couleur rouge. 



Pour ce qui était d'Hervée, il était devenu définitivement la petite soubrette de la maison, Christine veillait à ses tenues, les jupes très courtes permettait un retroussage rapide et une mise à nu des fesses qui avec la répétition des cuisantes corrections avait pris un joli volume et une grande fermeté. 

Les revenus confortable d'Irène avait permis à Hervée de cesser son travail pour se consacrer à l'entretien de la maison. 

Finalement Irène qui s'ennuyait un peu quand elle vivait seule trouvait assez confortable que sa fille prennent en charge toutes les tâches matérielles. Bien sûr la contrepartie était un derrière cuisant de façon journalière. Christine était une fesseuse passionnée, elle avait maintenant deux paires de fesses en permanence à sa disposition.

 Elle avait voulu faire la connaissance de Marie Louise la mère de Dominique, leur passion réciproque pour la fessée déculottée les avaient rapidement rapprochées et elles étaient devenues des amies inséparables malgré leur différence d'âge. C'est Christine qui avait eu cette idée de Tea party fessée. 

Tous les vendredis Marie Louise accompagnée de Dominique venait prendre le thé. C'était bien sûr Hervée qui faisait le service pour l'occasion Christine lui faisait revêtir un costume de soubrette classique, jupette noir, bas et porte jarretelles, escarpins. Mais avant l'arrivée des invités elle le mettait en "tenue Tea party" elle lui administrait une magistrale fessée déculottée couché sur ses genoux pour donner une belle couleur rouge à son fessier



puis elle lui remontait la culotte juste sous les fesses lui coinçait la jupe dans la ceinture, ainsi ses fesses écarlates restaient bien visible. La tenue était complétée par une petite raquette en cuir suspendue à la ceinture qui permettait à Christine d'entretenir régulièrement les fesses de sa soubrette. 

Irène et Dominique était habillée en jeune fille, jupe courte, socquettes blanches, la première fois que sa fille lui avait imposé cette tenue, Irène avait voulu protester mais après une magistrale fessée déculottée à la main complétée par la brosse à cheveux, elle avait recouvert ses fesses brûlantes avec une petite culotte blanche de gamine et avait mis sans rechigner la jupette bleue marine et le chemisier blanc. Pour Dominique habituée à obéir sans discuter à sa mère le retour à l'enfance s'était fait sans discussion inutile. Marie Louise avait ressorti les tenues d'adolescente de Dominique et celle ci en se regardant dans la glace s'était revue quelques années auparavant quand elle allait au lycée privé de jeunes filles. 

Le processus était immuable, dès son arrivée Dominique était saisie par l'oreille par Christine qui la conduisait au côté d'Irène, celle-ci se tenait le nez au mur, mains sur la tête, sa jupette épinglée dans le dos, exposant ses fesses bien moulées dans sa petite culotte blanche.



 Dominique rapidement se retrouvait dans la même tenue et la même position. Les deux amies après s'être fait la bise s'asseyait pour jouir du ravissant spectacle, Marie Louise était habituée mais s'était chaque fois un plaisir pour elle quand Christine appelait Hervée, bien sûr celle-ci le forçait à se retourner pour présenter son derrière dénudé. La sévère maman de Dominique appréciait en connaisseuse, elle caressait les fesses brûlantes. 

- je te félicite ma chérie, ta petite bonne a vraiment une paire de fesses ravissantes. Je peux?

Christine comprenait rapidement et avec un sourire coquin encourageait son amie. 

- mais je t'en prie, ça fera le plus grand bien à mademoiselle de goûter à une autre main que la mienne. 

Marie Louise n'attendait que ça, elle se leva, plaça son pied sur un tabouret et tapotant sa cuisse horizontale. 

- en position ma petite. 

Hervée docilement, tête basse s'approcha, rapidement avec une technique parfaitement au point, Marie Louise le bascula en avant, ses pieds quittèrent le sol, ses fesses étaient maintenant pointées vers le haut à la disposition de sa fesseuse. Christine adorait donner la fessée mais c'était aussi un plaisir d'assister à la punition d'un de ses deux soumis. La main experte caressait le derrière tendu, s'insinuait dans la raie fessière. 

- détendez vous ma petite, de toute façon vous l'avez bien mérité cette fessée n'est-ce pas, donc ce n'est pas la peine de serrer vos petites fesses, je vous promets qu'elles vont danser. 

Et pour danser, elles dansaient! La main claquait alternativement chaque fesse semblant rebondir pour ensuite retomber avec encore plus de force. Hervée criait et suppliait, bien qu'habituée aux sévères corrections de Christine, cette fessée déculottée administrée par une dame dans cette position infantilisante était vraiment insupportable la punition reçue juste avant, la peau de son derrière si tendue dans cette posture, elle ne se souvenait pas avoir reçu une correction pareille. Bien qu'il n'est pas changé biologiquement de sexe, maintenant Hervée n'était plus qu'une petite bonne recevant une fessée déculottée et c'est tout naturellement que tous le monde employait le féminin pour elle. Quand Marie Louise la reposa par terre, des larmes coulaient sur ses joues aussi rouges que ses fesses, bien sûr ce n'était pas la première fessée déculottée qu'elle recevait en public et par une autre personne que Christine mais à chaque fois l'humiliation et la cuisson était la même, elle redevenait une gamine fessée d'importance pour ses bêtises. Bien sûr elle ne toucha pas ses fesses, bien que la cuisson fut intense. Christine souriait, ravie du spectacle. 

- bien, maintenant que tes fesses sont prêtes, tu nous prépares le thé. Et dépêche toi, mademoiselle claquefesse pourrait s'occuper de ton derrière si tu traîne. 

Dominique et Irène chacune dans leur coin avait entendu la retentissante fessée, décidément les maîtresses étaient en forme, elles avaient serrés les fesses sous leur petite culotte blanche de gamine. Elles savaient que se serait bientôt leur tour de présenter leurs derrières. 

- venez ici les vilaines!!

C'était Christine qui avait pris l'initiative, Marie Louise avait pris de l'avance avec la fessée d'Hervée, sa main la démangeait. Les deux dames quittèrent leur coin mais bien éduquées, elles gardèrent leurs mains sur la tête. 

- c'est l'heure de régler la note de vos bêtises de la semaine. Pour toi Irène tu sais que je t'ai promis une magistrale fessée déculottée devant Marie Louise, je suppose que Dominique n'est pas en reste?

- oh pour ça, non. Tu sais bien que Dominique à besoin d'avoir une bonne paire de fesses bien rouges pour comprendre et se comporter en jeune fille exemplaire. Une bonne fessée déculottée en public me paraît approprié aujourd'hui. 

Les deux punies avaient beau savoir depuis le début ce qui les attendaient, l'annonce de la fessée déculottée était toujours stressant, Irène malgré ses 60 ans ne pu s'empêcher de se comporter comme une gamine grondée par sa maman. 

- oh non, pardon momy, j'ai déjà été fessée ce matin. 

Cette supplication enfantine amusa beaucoup Christine. 

- mais ma chérie ce n'est pas toi qui décide tes punitions, si tu as reçu la fessée ce matin c'est que tu l'avais mérité et tu sais bien que momy peut donner plusieurs fessées dans la journée, ton derrière peut très bien les supporter. Si tu ne veux pas me montrer tes fesses, il ne tient qu'à toi d'être sage et obéissante. D'ailleurs puisque tu proteste, tu vas expliquer à Marie Louise pourquoi momy t'a baissé la culotte ce matin. 

Irène piqua un énorme fard, bien sûr Marie Louise savait qu'elle était punie comme une gamine quand elle faisait des bêtises mais être obligée de lui raconter les raisons de sa punition c'était particulièrement humiliant. Mais elle savait que Christine ne céderait pas, tête basse elle commença. 

- euh, j'ai désobéi à momy ce matin. 

Marie Louise la regardait sévèrement. 

- ah oui, regarde moi quand tu me parles ! Et quelle genre de désobéissance ?

Irène releva la tête, les joues aussi rouges que ses fesses après un passage sur les genoux de Christine.

- j'ai été sur Facebook avant de déjeuner sans demander l'autorisation. 

- et bien c'est du joli, et comment momy t'a puni?

Irène était au supplice.

- euh...elle m'a donné une fessée...

- juste une fessée ? Cul nu j'espère. 

- oui madame, la culotte baissée... avec la main et avec la brosse. 

- à la bonne heure, j'espère que ça te servira de leçon, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée pour faire obéir les vilaines. 

Pendant ce temps Dominique attendait toujours les mains sur la tête, elle appréciait de se faire oublier. Christine était ravie de la honte d'Irène, c'était un bon préliminaire à une bonne correction. Mais il était temps de passer aux choses sérieuses, elle déplaça deux chaises pour les mettre face à face. Puis elle s'adressa à Marie Louise. 

- on fait comme d'habitude, je te confie le derrière d'Irène et je prends en charge les rondeurs de Dominique ?

- oh oui, c'est parfait.

Un petit signe du doigt en direction d'Irène et la dame de 60 ans redevenue une gamine s'approcha de ses genoux, en un instant elle retrouva une position qui lui était familière, la tête prêt du sol, les fesses tendues vers le ciel, elle posa ses mains par terre, elle savait qu'elle ne pouvait rien faire de plus. De son côté Christine avait tapoté ses genoux pour indiquer à Dominique l'endroit où elle voulait la voir et celle-ci docilement s'était couchée en travers des cuisses légèrement écartées pour offrir une bonne stabilité à la punie. Chacune de leurs côtés elles modifièrent légèrement la position, Christine fit basculer Dominique un peu plus en avant afin que ses fesses soient mieux présentées, Marie Louise prit la main droite d'Irène pour la croiser dans son dos afin de mieux la maintenir. Leurs regards se croisèrent, un petit sourire complice, il était temps de passer aux choses sérieuses, les doigts s'immiscèrent dans les culottes et les deux fessiers bien tendus apparurent. Celui d'Irène portait encore les traces de sa correction matinale, une teinte rosée du plus bel effet mais qui n'empêchait pas l'administration d'une nouvelle fessée, en connaisseuse Marie Louise le carressa.

- Irène a vraiment une belle paire de fesses, je te félicite ma chérie tu les entretiens bien



- c'est sûr que la fessée déculottée régulièrement appliquée ça vaut un abonnement en salle de gym. Mais celle de Dominique ne sont pas mal du tout également. 

Les deux punies dans leurs positions humiliante appréciaient moyennement les commentaires sur leurs fessiers respectifs. Puis soudain la fessée commença, c'est Christine qui avait marqué le départ, une magistrale claque sur la fesse droite de Dominique qui avait laissé une empreinte rouge sur la peau encore blanche, pour ne pas être en reste, Marie Louise avait claqué aussi fort la fesse d'Irène, habituée aux sévères fessées de sa mère Dominique n'avait rien dit mais Irène avait poussé un cri, attirant un sourire de satisfaction sur les lèvres de sa fesseuse, Christine ne voulu pas être en reste, il fallait que sa punie réagisse, elle augmenta la puissance des claques et bientôt le bruit caractéristique de la fessée retenti dans la pièce, un mélange de cris et de supplications au milieu du claquement des mains sur la peau nue. C'était un petit concert, les mains rebondissaient sur les fesses, bientôt les pleurs succédèrent aux gémissements, les deux croupes étaient écarlates, la punition cessa, les deux dames d'âge mûr redevenues des gamines gisaient pantelantes sur les genoux de leurs maîtresses, elles attendirent que les sanglots se calment, puis en bonne maîtresse de maison, Christine prit l'initiative. 

- bon, voilà un bon échauffement, vous allez faire refroidir ces vilains derrières au coin et vous cessez de pleurnicher, gardez vos larmes pour la vraie punition. 

Les deux punies n'en croyaient pas leurs oreilles, bien sûr elles étaient habituées à être punie sévèrement mais appeler cette magistrale fessée déculottée un simple échauffement voilà qui n'augurait rien de bon. Sans discuter ni frotter leurs fesses, elles rejoignirent le coin de la pièce, les mains sur la tête et le nez contre le mur sans qu'on leur dise. Marie Louise s'était levée, elle remonta un peu les culottes qui entouraient maintenant les chevilles, elle tenait à une certaine esthétique dans l'exposition des fessiers rougis. 

Christine tapa dans ses mains et Hervée qui avait tout entendu depuis la cuisine se présenta avec le plateau du thé. Elle  ne put réprimer un petit sourire de satisfaction en voyant le spectacle offert par Irène et Dominique. Elle  n'était plus la seule à avoir un derrière écarlate et cuisant. En servant le thé elle  était obligé de tendre ses fesses vers Marie Louise, celle-ci en connaisseuse appréciait se derrière bien rond et bien chaud, sa main tapota les fesses si bien présentées. 

- merci ma petite, vos petites fesses rouges sont ravissantes. 

Christine regardait le spectacle en souriant, quoi de plus agréable que ces trois derrières bien rouges en exposition dans son salon. 

- j'ai un peu peur qu'Hervée attrape froid aux fesses, je trouve qu'elles ont perdu un peu de couleur, tu peux t'en occuper, regarde ce qu'il a suspendu à la ceinture.

En effet accroché par un petit mousqueton une petite raquette en cuir pendait sur la hanche de la soubrette. Marie Louise poussa un petit cri d'excitation. 

- oh mais comme c'est mignon et astucieux, mademoiselle a toujours un instrument pour s'occuper de ses fesses quand on en a besoin. Allez hop, en place ma petite. 

Elle désignait ses genoux après avoir décroché la petite raquette en cuir, la fessée fut rapide mais intense, le derrière déjà bien échauffé de la petite bonne était maintenant d'un rouge profond, ses jambes pédalaient dans le vide, elle sanglotait et suppliait sa fesseuse d'arrêter mais Marie Louise appliqua jusqu'au bout la punition prévue.



 Quand elle fut remise sur pied, elle dansait d'un pied sur l'autre pour atténuer la cuisson sachant qu'il lui était interdit de toucher ses fesses. Marie Louise lui tendit l'instrument de sa punition. 

- remettez ça en place ma petite, c'est très pratique. Ça brûle un peu je pense?

En reniflant, Hervée raccrocha la petite raquette à sa ceinture, elle serait prête pour sa sa prochaine fessée qui ne tarderait sans doute pas trop. 

- va te mettre au coin à côté des vilaines filles, qu'on puisse admirer ton petit cul bien rouge. 

Christine avait apprécié à sa juste valeur la technique de son amie. Maintenant elle pouvait déguster leur thé en papotant sur les mérites des bonnes vieilles méthodes sur l'éducation des dames quelque soit leur âge.

Mais il ne fallait pas en rester là, c'est Marie Louise qui prit l'initiative, elle appela Irène. 

- viens ici ma petite chérie. 

Elle employait à dessein le tutoiement pour mieux rabaisser sa punie au rang de gamine. Elle était restée assise sur le canapé, elle désigna ses deux cuisses légèrement écartées qui offrait une assise confortable. 

- en position, madame nous n'en avons pas fini avec ces jolies fesses. 

Résignée Irène se coucha en travers des cuisses de sa maîtresse, celle-ci ouvrit son sac à main et en sorti une magnifique brosse à cheveux avec un manche très large en ébène. 

- regarde un peu ma dernière acquisition, je l'ai dénichée chez un antiquaire, je suis sûr qu'elle a déjà servi à administrer la fessée, ce manche est trop lourd et trop large pour se coiffer. 

- ça c'est sûr, par contre pour le fessier d'Irène elle est parfaite, tu vas voir ma chérie, ton petit derrière va se régaler. 

Irène serrait les fesses, apeurée à l'idée de l'instrument qui allait lui tanner les fesses, Marie Louise ne se pressait pas, elle tapotait la croupe tendue devant elle. 

- alors ma petite chérie, on a désobéi à sa momy, tu sais que ce n'est pas bien, tes fesses sont bien échauffées, elle vont apprécier cette belle brosse. Je te garantis qu'elle va te faire passer l'envie de recommencer. 

Puis elle leva la brosse et un formidable claquement retenti dans la pièce, Irène hurla sous la brûlure, bien sûr elle avait déjà goûté à la fessée déculottée à la brosse à cheveux, mais celle qu'utilisait Christine était beaucoup plus légère, à chaque coup elle se cabrait, elle avait l'impression que la peau de ses fesses allait se détacher. Mais Marie Louise était une fesseuse expérimentée elle savait qu'une bonne paire de fesses comme celle d'Irène pouvait supporter sans grand dommage une sévère fessée, tout au plus elle aurait du mal à s'asseoir ce soir et demain et son derrière présenterait une belle rougeur pendant au moins 24h, la douleur serait persistante suffisamment longtemps pour qu'elle devienne une gentille fille obéissante. 



La fessée ne semblait pas vouloir s’arrêter, les deux fesses serrées formaient une boule rouge puis soudain elles s’écartaient dévoilant l’intimité d’Irène, celle ci suppliait au milieu des pleurs.

- nooonn, pardon madame... pardon plus la fessée....aiie, aiie, noon, ça fait trop mal.

Mais Marie Louise concentrée sur la belle paire de fesses ne se lassait pas d’administrer cette magistrale fessée, une légère buée semblait s’élever au dessus du derrière en feu. Enfin la punition cessa, Irène pleurait comme une gamine, serrant et desserrant convulsivement ses fesses pour atténuer la brûlure. Marie Louise caressait doucement cette croupe brûlante.

- voilà, allez c’est fini, on ne va plus désobéir maintenant?

- oh non... madame, pardon pardon....

- tu peux t’occuper de Dominique, je vais garder cette vilaine fille en position, ça lui apprendra.

C’était encore pire que d’aller au coin être obligée de rester couchée sur les genoux de sa maîtresse et lui exposer son derrière cuisant. Christine en souriant appela Dominique, elle appréciait la perversité de son amie. Elle prit la belle brosse à cheveux que lui tendait Marie Louise.

- Dominique vient donc me voir, tes petites fesses sont bien pâles à côté de celle d’Irène.

Docilement Dominique se présenta devant Christine quand elle fut contre sa cuisse, celle-ci lui prit la main et la fit basculer en avant, en un instant à 45 ans cette belle dame se retrouvait dans la position humiliante d’une gamine punie par sa maman, mais la maman en question avait 15 ans de moins qu’elle. Christine la fit basculer un peu plus vers l’avant pour mieux surélever sa croupe, elle la caressa avec le manche poli de la brosse.

- alors ma petite chérie, on a encore été vilaine cette semaine, décidément on dirait que tu aimes me montrer ton petit derrière, tous les vendredis je suis obligée de le faire rougir.



La brosse commença son oeuvre, Christine ne voulait pas être en reste par rapport à Marie Louise, aussi Dominique se mit rapidement à pleurer et à supplier au milieu des claquements du bois sur son fessier dénudé. La punition fut au moins aussi sévère que celle d’Irène. Celle ci toujours allongée sur les genoux de Marie Louise pouvait tourner la tête pour voir son amie  battre l’air avec ses jambes, elle avait une vue parfaite sur son derrière écarlate. Enfin la fessée prit fin ainsi que la danse des fesses de Dominique. Les deux fesseuses pouvaient maintenant contempler leur oeuvre, deux dames en pleurs affalées sur leur genoux exposant deux paires de fesses écarlates. Elles souriaient satisfaite, elles décidèrent de les garder dans cette position et reprirent une tasse de thé. C'était une belle après midi, Hervée avait été autorisée à quitter son coin, en petite soubrette attentive elle fit le service, le spectacle qui lui était offert compensait un peu la cuisson de ses propres fesses. Les deux punies ne disait plus rien, elle savait que leurs derrières étaient toujours à la disposition des deux sévères maman. D'ailleurs de temps en temps l'une ou l'autre claquait en riant la paire de fesses qui brillait devant ses yeux. Ce n'était que quelques claques, pas vraiment une fessée mais les croupes endolories avaient du mal à encaisser ce petit supplément. Au bout d'un quart d'heure de ce traitement humiliant, Christine mit fin à la punition. 

- bien il est temps pour ses dames de faire leur temps de coin.

- je dois malheureusement partir, j'ai une course à faire, je vais te laisser Dominique. Tu penses les laisser longtemps en pénitence ?

- pas de problème, prend ton temps, je pense qu'un long moment de réflexion fesses à l'air vont leur faire le plus grand bien. Elles exposeront leurs jolis derrières jusqu'à ton retour. 

Les deux punies avaient déjà rejoint le mur, docilement elles avaient mis leurs mains sur la tête et le nez contre le mur. Marie Louise arrangea les culottes à mi cuisses pour que le blanc souligne mieux la rougeur des fesses.


- voilà, ne sont-elles pas mignonnes comme ça?  Allez part tranquille, je les surveille, mais je pense qu'avec une si belle paire de fesses bien chaudes  nos deux chipies vont se tenir tranquille. 




4 commentaires:

  1. quelle belle histoire Sylvie. Je le voulais juste plus jusqu'à la dernière ligne, je voulais que cette histoire ne se termine pas et continue. Une autre belle histoire. Deux dames plus âgées debout dans un coin avec des fesses rouges chaudes, c'est une situation idéale. Je l'aime. continuez comme ça. juste une suggestion, pouvez-vous simplement nommer le personnage de l'institut avec l'âge et leur relation sur une seule page. Cela aidera les lecteurs qui ont atteint votre page via Google, qui est le personnage, quel est son âge ou sa profession ou tout ce que vous vouliez détailler. Je t'aime Sylvie. maintenant, quand vais-je obtenir ma prochaine partie de l'institut.

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  2. J'ai hâte de lire la prochaine histoire 🍑

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    1. Je vais m'y atteler rapidement, je ne voudrais pas être grondée par mes lecteurs.
      Sylvie

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  3. tout plan devrait avoir une date cible pour terminer. Ainsi, en cas de retard, cela doit être compté et la peine nécessaire pour retard doit être prononcée. donc à quelle date faut-il s'attendre à la prochaine partie.

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