Clémentine

 Cette série a déjà été publiée sur bulledefessees, mais il y a un troisième épisode et peut être plus qui ne pourront pas être publié du fait de l'arrêt par Caroline de son blog. 

La jeune étudiante était un peu inquiète, elle faisait moins la fière maintenant. Elle sonna au portail de la grande maison, Sylvie vint lui ouvrir, elle était comme elle se l'imaginait, assez grande, mince, cheveux courts et souriante. Elle fit une bise à Clémentine et l'invita à rentrer. La grande jeune femme mince dans son jean moulant n'en menait pas large malgré l'air avenant de Sylvie, elle avait volontairement désobéi à ses consignes par bravade bien sûr, c'était son habitude. Elle aurait du être en jupe et porter une petite culotte blanche, elle avait mis un pantalon et un shorty en dentelle rose. Sylvie la suivait appréciant le petit fessier bien rond moulé par le jean, décidément cette petite a du caractère, je crois qu'elle a besoin d'une bonne leçon. 

A peine furent elles dans la pièce, qu'elle saisit l'oreille de Clémentine et lui claqua vigoureusement les fesses. 

- ça fait deux désobéissance mademoiselle, vous n'avez pas fait les lignes que vous deviez m'envoyer hier et vous êtes en jean au lieu d'être en jupe !

Clémentine avait été surprise par la réaction de Sylvie mais curieusement elle se laissait faire, elle savait qu'elle avait cherché la punition et bien elle arrivait. Sylvie s'assit sur le canapé, Clémentine debout devant elle ne bougeait pas. La sévère maîtresse ne souriait plus, elle dégrafa les boutons du jean et le descendit jusqu'aux chevilles. 

- de mieux en mieux, tu cherches les ennuis ma petite chérie. 

Une claque retenti sur la cuisse de la jeune femme, elle cria sous la brûlure et frotta sa cuisse droite mais déjà une autre atterrissait sur la gauche. 

- les mains sur la tête, vite!

Clémentine s'exécuta, pendant que la main de Sylvie continuait de lui claquer les cuisses. 

- j'avais dit quoi pour la culotte ?

- aïe aïe, pardon madame, Je n'avais pas de culotte blanche, aïe aïe. 

- ne rajoute pas des mensonges à ta désobéissance! File te mettre au coin pour réfléchir à la punition que tu as méritée. Tu viens de gagner trois fessées. Une pour les lignes non faites, une pour le jean et la troisième pour ta culotte. 

La main de Sylvie avait claqué sur les fesses que l'on devinait sous la culotte transparente. Clémentine se dirigea à petit pas vers le coin de la pièce avec le jean entortillé autour de ses chevilles. Elle avait gardé ses mains sur la tête, elle savait qu'elle allait passer un sale quart d'heure, ce n'était pas la peine d'en rajouter. 

- mets bien ton nez contre le mur, vilaine fille et que je ne te voies pas bouger!

Clémentine réfléchissait à la situation, depuis qu'elle avait fait la connaissance de Sylvie sur le net elle rêvlait de la rencontrer, elle savait que Sylvie pouvait être sévère mais son caractère rebelle s'était encore manifesté, Sylvie pour la punir lui avait infligé des lignes à copier et elle avait négligé de les faire, la maîtresse lui avait proposé une rencontre pour enfin faire mieux connaissance et régler ce petit problème d'obéissance. Clémentine aimait la fessée, elle la recherchait souvent, son petit derrière était souvent bien rouge. Quelque chose lui disait qu'elle avait peut-être poussé le bouchon un peu loin. Sylvie souriait intérieurement elle savait que la jeune femme l'avait provoquée pour recevoir une bonne fessée déculottée mais ce n'était pas à elle de choisir sa punition. Ma petite Clémentine, je te garantis que la prochaine fois tu vas obéir, tu vas avoir du mal à t'asseoir pendant un moment. Elle savait que le temps passé au coin paraissait souvent bien long mais elle avait décidé de donner une bonne leçon à cette impertinente. Au bout d'un quart d'heure Clémentine n'en pouvait plus, elle se dandinait d'un pied sur l'autre, son nez quittait souvent le mur. Sylvie se leva, baissa la culotte sous les fesses de la demoiselle et administra une dizaine de claques sur chacune des fesses rondes. Immédiatement Clémentine se mit à gémir et à protester.

- aïe aïe aïe ça fait mal, noon!

- quand je te mets au coin jeune fille c'est nez contre le mur et sans bouger. Tu viens de gagner une fessée supplémentaire. 

Clémentine en gémissant repris la position indiquée. Sylvie se dirigea vers la chambre et revint avec des vêtements à la main. C'était une jupe plissé bleue marine, un chemisier blanc, des socquettes blanches et une culotte blanche en coton avec des petites fleurs. Une vraie tenue de petite fille modèle. Elle appela Clémentine. 

- viens ici vilaine fille, tu te déshabille entièrement et tu mets cette tenue qui correspond tout à fait à ta conduite. 

La jeune femme regardait bouche bée les vêtements posés sur le canapé, elle hésitait mais une vigoureuse claque sur son derrière dénudé là convainquit qu'il était temps d'obéir. Elle commença son petit striptease, bien sûr elle avait l'habitude de ce faire baisser la culotte pour recevoir les fessées que lui attirait inévitablement son caractère rebelle mais se mettre complètement nue devant une quasi inconnue était quand même gênant. Le picotement de ses fesses lui indiquait que Sylvie n'allait pas patienter longtemps. Son jean était autour de ses chevilles, elle eut vite fait de l'enlever, sa culotte était descendue sous ses fesses, elle rejoignit le pantalon sur le fauteuil, elle enleva également son tee-shirt, elle était maintenant nue mise à part son soutien gorge, Sylvie lui fit signe de l'enlever également. 

- j'ai dit tout ! Quand on est une petite fille on a pas besoin de ça !

Clémentine avait les joues rouges, on ne l'avait jamais traité ainsi. Elle s'exécuta puis elle entrepris de s'habiller comme une gamine. Elle qui avait l'habitude des culotte fines et colorées fit la grimace quand elle se glissa dans la petite culotte blanche à fleur, elle était à sa taille et moulait parfaitement ses petites fesses rondes. En quelques instants, son costume enfilé elle était revenue quelques années en arrière.

Sylvie avait regardé avec amusement la jeune femme se transformer en gamine, la jupette lui arrivait à mi cuisses, elle lui prit la main pour la faire pivoter. 

- tu es ravissante, une vraie petite fille. Mais tu sais ce qui arrive aux petites filles désobéissante?

Clémentine baissait les yeux, elle avait perdu sa superbe, une claque sur sa cuisse la fit sursauter.

- je t’ai posé une question, j’aimerais que tu me répondes, à moins qu’une fessée supplémentaire te tente.

Clémentine fit rapidement le calcul dans sa tête, Sylvie lui avait déjà promis quatre fessées, c’était déjà plus que son petit derrière pouvait supporter.

- euh, oui pardon madame…. elle reçoive la fessée déculottée.

- et bien dis moi tu fais des progrès, tu deviens obéissante, il n’y a rien de mieux que la promesse d’une bonne fessée cul nu pour rendre toute douce les vilaines filles.

Sylvie s’était assise sur une chaise, elle prit la main de Clémentine pour l’attirer contre ses genoux.

- on ne vas pas te faire patienter plus longtemps, vilaine comme tu es, tu as du en recevoir souvent des bonnes fessées, tu connais la position.

Rapidement elle bascula la jeune femme en travers de ses genoux, la courte jupette remonta naturellement, découvrant les cuisses de Clémentine et le bas de sa culotte. Sylvie la retroussa sur les reins, la position mettait bien en valeur le joli fessier de Clémentine, parfaitement moulé dans l’enfantine culotte, la base des fesses apparaissait, le sous vêtement rentrait légèrement dans la raie fessière. C’était toujours un moment agréable pour une fesseuse, mais Sylvie ne s’y attarda pas, Clémentine avait mérité une correction, elle allait la recevoir. Elle leva la main et commença à administrer des claques très fortes sur la fine culotte en coton, le bruit était atténué par le tissu mais Clémentine fut surprise par la vigueur de ce début de fessée, son derrière commençait à lui cuire, Sylvie avait annoncé une fesse déculottée, qu’est ce que ça allait être quand elle serait cul nu. Elle eut rapidement la réponse, sa nouvelle maîtresse avait glissé ses doigts sous l’élastique de la culotte et elle senti l’air frais caresser sa croupe, nous y étions, Sylvie avait une vue imparable sur son joli petit cul comme elle disait.

- bien mademoiselle la désobéissante après ce petit échauffement on va passer aux choses sérieuse, je vais t’apprendre ce qui arrive quand on est vilaine, une bonne fessée cul nu!

La main repris son œuvre, effectivement cette fessée n’avait rien à voir avec la précédente et rapidement Clémentine se mit à gémir puis à supplier, la douleur était trop forte, ses jambes battaient l’air au rythme des claques, ses fesses rougissaient à vue d’œil, elle avait la peau très mat mais la sévérité de la correction se voyait, les deux petites fesses rondes se transformaient rapidement en tomates mûres, elles s’ouvraient largement découvrant la rondelle brune au milieu du sillon puis plus bas la vulve rose. Clémentine toute à la brûlure qui lui embrasait la croupe ne songeait pas à l’indécence de sa position. Rapidement des sanglots se mêlèrent aux gémissements et au cri, la danse des fesses était toujours un ravissement pour Sylvie, elle continuait imperturbablement à corriger cette petite impertinente. Après cinq bonnes minutes, elle cessa la fessée et posa sa main sur l’épiderme brûlant.

- voilà mademoiselle, c’était ta première fessée, je n’en ai pas encore fini avec ton petit derrière mais tu vas aller le faire refroidir un peu au coin pour que tu puisse bien réfléchir à ta situation et à ce qui va suivre.

Elle fit relever Clémentine qui pleurait à chaudes larmes après cette sévère fessée, la culotte était descendue aux chevilles sous les mouvements désordonnés des jambes, elle lui remonta à mi cuisse et coinça la jupette dans la ceinture pour la maintenir relevée. Le spectacle était vraiment ravissant, elle prit son téléphone et fit une photo pour immortaliser la scène.

- si tu continue tes bêtises, cette jolie photo parviendra à tes copines, elles seront ravies.

Elle se dirigea vers sa chambre et revint avec sa brosse à cheveux, elle était décidée à faire passer à Clémentine l'envie de se moquer d'elle. Elle saisit l'oreille de la jeune femme et la força à se coucher à nouveau en travers de ses cuisses. Les fesses de Clémentine étaient écarlates, elle caressa la peau brûlante.

- oh que c'est doux et bien chaud, c'est vrai qu'il n'y a rien de mieux que la bonne fessée pour faire un joli petit cul aux dames. Allez tu te détends sinon tu vas avoir très mal à ton petit derrière. 

La main s'insinuait entre les fesses écarlates. Clémentine serra instinctivement ses deux petits globes musclé. Une vigoureuse claque atterri au milieu de sa croupe. 

- pas de ça avec moi ! Tu devrais le savoir, tu me desserres ces fesses immédiatement ! 

Clémentine gémit mais s'exécuta. La main de Sylvie écarta un peu plus les deux globes écarlates pour mettre à jour la petite rondelle brune, elle savait que cette inspection indiscrète était très humiliante, ses doigts descendirent un peu plus bas, clémentine était trempée signe que malgré la douleur elle avait apprécié le traitement de sa maîtresse. Sylvie souriait, elle était ravie d'avoir donné du plaisir à cette petite chipie, mais la fessée à la brosse c'était autre chose. Ma petite, ton petit cul va danser maintenant, le plaisir sera pour plus tard, pensa t elle avec un sourire gourmand. Les fesses de Clémentine étaient parfaitement détendues, elle leva la brosse et commença la deuxième fessée. 

Elle avait décidé de corriger sérieusement sa petite amie, la brosse s'abattait avec un bruit sec sur la peau nue, au début Clémentine avait décidé de rester stoïque malgré la cuisson qui lui embrasait le derrière, la première fessée avait bien échauffé sa petite paire de fesses et elle se mordait les lèvres pour ne pas crier. Mais rapidement la brûlure devint intolérable, elle se mit à crier, ses pieds battaient l’air, ses fesses s’ouvraient largement, Sylvie savaient qu’une fessée à la brosse étaient souvent très difficile à supporter, aussi tenait elle Clémentine fermement par la taille. Bientôt les pleurs succédèrent aux cris, mais Sylvie ne se laissa pas attendrir, cette chipie l’avait provoquée, elle allait en payer le prix. Maintenant les deux petites fesses n’étaient plus qu’une seule boule rouge uniforme, la jeune femme pleurait à chaudes larmes, ses jambes avaient des mouvements désordonnés mais elle ne cherchait plus à éviter sa correction, Sylvie senti qu’elle lâchait prise, signe que la punition avait atteint son but. Elle administra encore quelques vigoureuse claques puis elle reposa la brosse et caressa l’épiderme brûlant.

- voilà ce que j’appelle une bonne fessée, que pense tu de la brosse à cheveux de mamie Sylvie?

Clémentine sanglotait toujours, elle ne se souvenait pas d’avoir reçu une si sévère fessée, la main de Sylvie s’insinua à nouveau entre ses fesses mais cette fois ci elle se laissa faire, elle était totalement soumise. Satisfaite la sévère mamie la fit se relever.

- nous en sommes à deux fessées ma petite chérie, on va laisser reposer un peu ton petit cul, un séjour au coin va te permettre de réfléchir. Je te rappelle que ton nez ne dois pas quitter le mur, sauf si tu veux une fessée supplémentaire.

Clémentine se dirigea vers le coin de la pièce et s’empressa de se remettre dans la position prescrite. Sylvie savait que se tenir au coin mains sur la tête avec les fesses à l’air était très humiliant, mais ça faisait partie de la punition. Et puis clémentine était vraiment ravissante dans cette tenue, elle n'allait pas se priver du spectacle. Une douce chaleur envahissait sa culotte, si recevoir une bonne fessée déculottée faisait de l'effet à la jeune femme, la donner était aussi très excitant. Les fesses de Clémentine était d'un rouge profond sur toutes leurs surfaces, Sylvie pour l'avoir expérimenté savait qu'une fessée à la brosse était très douloureuse surtout après une première fessée déculottée manuelle, elle compatissait un peu en voyant sa petite punie se dandiner d'un pied sur l'autre et serrer ses fesses pour essayer d'atténuer la cuisson. Toi ma petite chérie, je crois que tu n'es pas prêt de recommencer à te moquer de mamie Sylvie, elle prit son téléphone et se mit à pianoter sur Twitter. Elle avait décidé que Clémentine resterait très longtemps au coin fesses à l'air. Au cours de leurs conversations elle lui avait souvent dit qu'elle trouvait très pénible et humiliante cette situation. Après 1/2 heure passée le nez au mur, la jeune femme commença à marquer des signes de fatigue, ses fesses étaient encore rouges mais l'intensité avait un peu diminué.

- cesse de gigoter comme çà! À moins que tu ne veuilles repasser tout de suite sur mes genoux.

- madame, s’il vous plait, c’est trop long ….

Clémentine n’en pouvait plus de rester immobile avec ses fesses brûlantes. Sylvie en souriant s’approcha d’elle et posa sa main sur sa croupe.

- et oui c’est long, mais tu l’as bien cherché ma petite chérie. Ton petit cul est bien chaud tu sais. Alors tu préfère recevoir ta fessée maintenant?

Clémentine reniflait doucement, de toute façon se dit elle, je vais me la prendre cette fessée, j’en ai trop marre d’être au coin. Sylvie tapota un peu le derrière brûlant.

- alors? Tu la veux ta fessée? Tu vas me la demander?

Clémentine n’hésita pas longtemps malgré l’humiliation, elle prononça la phrase attendue.

- madame, s’il vous plait, donner moi la fessée.

- tu es bien sûr? Et pourquoi vais je te donner la fessée petite chipie.

- euh … parce que j’ai désobéi ?

- exactement tu es une vilaine fille désobéissante, et les gamines de ton espèce ce n’est pas une fessée cul nu qu’il leur faut mais c’est plusieurs. Viens ici!

Clémentine ravie de quitter son coin se présenta devant Sylvie. En souriant celle ci se dirigea vers la chaîne stéréo pour y mettre un cd.

- je vais satisfaire ta passion pour la musique ma petite chérie, c’est une fessée musicale que je t’offre, tu vas venir gentiment te coucher sur mes genoux et quand nous serons prêtes je vais mettre le boléro de Ravel, il dure environ 16 minutes, ca sera la durée de ta fessée, je vais essayer de suivre le rythme. Tu verras c’est endiablé par moment, tes petites fesses vont danser.

Elle s’était assise sur sa chaise et fit un petit signe à Clémentine. Celle ci docilement se remit en position disciplinaire. Sylvie la repositionna pour qu'elle soit confortablement installée et que ses fesses soient bien à sa portée, la fessée allait durer assez longtemps. Elle prit la télécommande et lança la musique. La main se leva et Sylvie s'appliqua à suivre le rythme de la musique, c'était très réjouissant de voir les petites fesses écarlates s'ouvrir et se refermer au rythme du boléro, les jambes n'étaient pas en reste, clémentine exécutait vraiment une très jolie danse des fesses, ses cris et supplications se mêlaient au bruit de l'orchestre, bientôt elle ne put retenir ses larmes, elle connaissait très bien ce morceau et elle savait que sa fessée était loin d'être terminée. Sylvie s'appliquait à rougir uniformément la croupe de cette impertinente, elle s'attaquait maintenant au haut des cuisses, provoquant un redoublement des supplications de Clémentine. 

- non, non, pardon madame ça brûle trop, non s'il vous plait ,aïe aïe aïe. 

Sylvie n'était pas fatiguée, c'était la première fois qu'elle punissait Clémentine il fallait marquer le coup et puis cette petite chipie avait voulu ce moquer d'elle, elle lui avait annoncé quatre fessées, elle les aurait. Le boléro de Ravel arrivait à son terme, le fessier de la jeune femme était maintenant d'un rouge profond, une légère buée s'élevait, signe d'une chaleur intense. Sylvie garda un moment sa punie allongée sur ses genoux en lui caressant les fesses, Clémentine sanglotait doucement, les muscles fessiers relâchés montraient qu'elle était vaincue. Sylvie la fit se relever et la conduisit à nouveau au coin. 

- voilà vraiment un très joli derrière, ça serait dommage de ne pas l'exposer. 

Clémentine ne pouvait plus protester, sans que sa nouvelle maîtresse lui demande elle posa son nez contre le mur et mis ses mains sur la tête. Sylvie était ravie du résultat, la jeune femme ne protestait plus et ne se livrait pas à ses impertinences habituelles. Vu l'état de son postérieur elle aurait sans doute du mal à s'asseoir pendant quelques temps. Sylvie ne la laissa pas trop longtemps au coin, au bout de 10' elle l'appela.

- viens ici, petite chipie. Tu peux te reculotter. 

Clémentine était un peu surprise, Sylvie ne lui avait elle pas annoncé quatre fessées. Elle eu rapidement la réponse. 

- on va laisser un reposer ton petit derrière, je te donnerai ta dernière fessée juste avant de partir, comme ça tu te souviendra bien de la leçon. 

Clémentine grimaça en remontant sa culotte, c'était autant la perspective d'une nouvelle fessée déculottée que la douleur du contact du tissu sur sa croupe endolorie. Elle s'approcha timidement de Sylvie, celle-ci avait un sourire moqueur sur les lèvres. Elle la fit pivoter, passa une main sur la culotte tendue sur le fessier écarlate puis elle remit la jupette en place. 

- alors ma petite clémentine, que penses-tu de la fessée de mamie Sylvie, je vais t'offrir un petit café, tu l'as bien mérité. 

Clémentine avait les joues aussi rouges que ses fesses, décidément elle n'était pas prête à recommencer ses moqueries, Sylvie lui avait désigné le canapé. 

- assieds toi là, je vais nous préparer un café. 

La jeune femme hésitait, la cuisson qui lui embrasait le derrière laissait présager que la position assise allait être douloureuse, mais elle n'avait pas le choix, elle posa délicatement ses fesses sur le cuir du canapé, Sylvie la surveillait du coin de l'œil avec ravissement. 

- je crois que tu vas penser à moi pendant quelques jours à chaque fois que tu vas t'asseoir. J'en suis ravie. 

Elle posa le plateau avec les tasses sur la table et s'assit à côté de sa punie, elle lui enlaça les épaules et lui fit une bise. 

- alors ma petite chérie a mal aux fesses ? Il me semble que tu l'as bien cherchée n'est-ce pas. 

Clémentine se détendit et progressivement elle se mit à discuter normalement avec sa nouvelle maîtresse, de temps en temps elle se trémoussait un peu pour atténuer la douleur de son fessier. 

Après une demi-heure de discussion, Sylvie regarda sa montre. 

- je crois qu'il est l'heure que tu y aille, il nous reste juste une petite formalité. 

Elle s'était levée et avait pris clémentine par la main. Elle posa son pied sur la table basse et avant que la jeune femme ne put  protester elle l'avait fait basculer sur sa cuisse horizontale. Clémentine était menue, elle n'avait pas opposé de résistance si ce n'est un petit cri de surprise, maintenant ses pieds avaient quitté le sol, ses fesses étaient à nouveau bien exposées à la vue de Sylvie, elle s'accrocha à la jambe de sa fesseuse pour se stabiliser, mais Sylvie la tenait fermement par la taille. La jupe s'était naturellement relevée découvrant la base des fesses et la culotte blanche. Sylvie la retroussa rapidement sur les reins puis sans perdre de temps elle glissa ses doigts dans l'élastique du sous vêtements et déculotta largement clémentine, la culotte était maintenant descendue aux genoux, les fesses bien rouges étaient serrées dans l'attente du châtiment. Comme elle en avait l'habitude, Sylvie commença par les caresser. 

- voilà une bien jolie paire de fesses bien présentées, allez ma chérie, desserre moi un peu ces petites fesses. C'est ta dernière fessée, après ça nous serons quitte et ton ardoise sera effacée. 

Clémentine protesta faiblement. 

- oh non madame, s'il vous plaît, plus la fessée, j'ai déjà trop mal s'il vous plaît. Aïe aïe aïe. 

Elle avait à peine fini sa phrase que la brosse à cheveux avait claqué sèchement sa croupe tendue. Après les trois fessées de l'après-midi, la cuisson de la brosse était intolérable, les jambes libérées par la position se mirent à battre l'air, mais Sylvie la maintenait fermement en place. La fessée fut courte, Sylvie n'était pas sadique, elle jugeait que clémentine avait été suffisamment punie mais elle lui avait promis quatre fessées, il lui fallait tenir sa promesse. Au bout d'une trentaine de coups de brosse, elle relâcha la jeune impertinente, dès qu'elle fut sur ses pieds, clémentine se mit à sautiller sur place en massant son derrière, ce qui fit rire Sylvie. 

- voilà, nous sommes quitte, tu peux y aller. 

Devant le regard interrogateur de la jeune femme qui regardait son jean posé sur la chaise, elle sourit.

- tu devais venir en tenue de petite fille, tu repart comme ça. Tu reviendras me voir demain dans la même tenue et je te rendrai tes vêtements.