Sy-Ca
Un petit récit érotique et coquin où la fessée tiens une grande part. Expérience réellement vécue ou fantasme?
Sylvie se réveilla, ses fesses étaient encore douloureuses, elle passa sa main dessus, elle n'avait pas de culotte, juste un long tee-shirt que lui avait prêté Caroline, celle-ci lui avait dit d'un ton péremptoire
- chez moi, on dort sans culotte !
Sylvie regardait maintenant la jeune femme qui dormait à ses côtés, elle était couchée en chien de fusil, elle lui tournait le dos, son tee-shirt, le même que celui de Sylvie était un peu remonté et découvrait ses fesses, larges bien pleines, blanches avec quelques petits grain de beauté une belle croupe de femme comme elle les aimait.
Elle se rappela les derniers mots prononcé par Caroline
- tu verras on dort merveilleusement bien avec des fesses bien chaudes.
Et c'était vrai qu'elle avait bien dormi, était ce la dernière fessée que la jeune femme lui avait administrée à l'aide de la brosse à cheveux qui traînait maintenant sur la table de nuit ou les caresses qu'elle lui avait prodiguée auparavant, difficile à dire. Les coups de langues de Caroline distribué sur son sexe, ses doigts s'insinuant dans son intimité, pinçant ses lèvres restait un souvenir très agréable, mais la brosse laissait également un souvenir sur ses fesses, elle les caressa à nouveau elles étaient encore un peu chaudes. Elle se leva pour en vérifier la couleur dans la glace, ça confirma son impression, son derrière n'était plus écarlate mais encore bien rouge.
Elle se remémora ce qui l'avait conduit elle une professeur de français en retraite de 63 ans dans le lit d'une jeune femme de 20 ans.
Elles s'étaient rencontrées sur le net, chacune de leur côté elles avaient développé un intérêt pour la fessée. Caroline en recevait encore régulièrement de sa mère et avait développé ce fantasme d'en donner à son tour à une dame. Sylvie était plus dans le cérébral et si elle administrait régulièrement des fessées à son mari, elle avait développé un fantasme inverse celui de recevoir la fessée. Après des mois de conversation sur le net, elles s'étaient décidées à sauter le pas et Sylvie était venue voir Caroline, elle s'était donné rendez-vous dans un café. Le courant était immédiatement passé entre ces deux femmes, la différence d'âge n'avait pas été un obstacle et c'est Caroline la plus jeune qui avait proposé d'aller chez elle pour enfin concrétiser leur fantasme respectif. Elles avaient convenu d'un mot de sécurité car Caroline avait prévenu Sylvie
- dès que vous aurez passé le pas de ma porte, vous serez une gamine et si je vous puni ce n'est pas pour de rire.
Sylvie avait acquiescé avec un petit rire nerveux. Le programme décrit par Caroline s'était déroulé à la perfection, dès que la porte se fut refermée elle se tourna vers Sylvie en la tutoyant.
- dis moi jeune fille, tu te crois tout permis, et bien si c'est la fessée qu'il te faut pas de problème.
En un clin d'œil tout les rêves de Sylvie s'était réalisé, Caroline lui avait pris l'oreille comme si elle était une élève dissipée et l'avait amenée dans le salon, puis elle s'était assise sur une chaise et l'avait couchée sur ses genoux, sa jupe retroussée, la fessée sur la culotte avait commencé
puis rapidement elle lui avait annoncée que son comportement méritait une fessée déculottée et elle lui avait baissé la culotte jusqu'aux genoux.
Le fantasme était devenu plus douloureux, en effet comme elle l'avait indiqué, Caroline ne fessait pas pour de rire et rapidement malgré ses 63 ans, Sylvie s'était mise à supplier comme une gamine, la brûlure était intolérable mais elle était décidée à vivre l'expérience jusqu'au bout, elle avait serré les dents mais avait fini par lâcher quelques larmes. C'était ce qu'attendait Caroline, elle avait cessé la punition et sa main s'était fait plus douce et caressante, écartant les deux hémisphères écarlates et descendant plus bas, ses doigts pénétrant même l'intimité de Sylvie qui n'avait jamais connu de caresses féminine. Satisfaite de la passivité de sa victime la jeune femme l'avait fait se relever et sans lui permettre de remonter sa culotte l'avait attiré vers le canapé.
- madame à l'air d'apprécier les caresses.
Elle avait posé sa bouche sur le sexe de Sylvie et sa langue entreprenante s'était chargée de faire découvrir des plaisirs interdits à Sylvie.
La soirée avait été une succession de fessées de plus en plus cuisantes et de caresses de plus en plus appuyées. Sylvie a sa grande honte avait du subir le viol de son anus par un thermomètre médical délicieusement manié par Caroline, elle l'avait mis sur ses genoux comme pour une fessée et lui avait ouvert largement la raie fessière, elle avait passé son doigt mouillé de salive sur son petit trou
puis avait fait pénétrer l'instrument profondément, le retirant et l'enfonçant chaque fois un peu plus. Elle l'avait gardé allongée sur ses genoux comme une fillette, et elle la femme de 63 ans s'était laissée prendre la température par cette jeune femme qui aurait pu être presque sa petite fille.
Caroline lui avait indiqué comment donner du plaisir à une dame et elle l'hétérosexuelle s'était surprise à aimer cela.
La soirée était bien avancée et Caroline avait proposé à sa nouvelle amie de rester dormir.. Tout à son plaisir d'avoir réalisé son fantasme, Sylvie avait accepté et c'est comme cela qu'après avoir revêtu ce tee-shirt elle s'était à nouveau retrouvée allongée sur les genoux de sa jeune maîtresse nouveau déculottée.
La brûlure de la brosse à cheveux l’avait surprise et elle avait crié mais au milieu de ses supplications, elle n’avait toujours pas prononcé le mot de sécurité au bout d’une trentaine de claques elle pleurait abondamment et elle était décidée à stopper l’expérience quand la main gauche de Caroline s’insinua sous son ventre et commença à la caresser, Sylvie en oublia la brûlure de ses fesses. Caroline claquait lentement la croupe de son amie, un peu moins fort mais ce n’était tout de même pas des caresses. Le derrière de la professeur de français à la retraite n’avait rien à envier à celui d’une mauvaise élève corrigée dans un collège anglais, il était d’un rouge éclatant. Caroline estimant suffisante l’expérience de la punition qu’elle venait de faire vivre à Sylvie prononça la phrase qui était revenue aux oreilles de Sylvie à son réveil,» tu verras on dort merveilleusement bien avec les fesses chaudes».
C’est à ce moment là que Caroline sortit de son sommeil, elle regarda Sylvie en souriant.
- alors? Bien dormi?
Sylvie rougit à l’allusion et tira sur le tee-shirt pour cacher son intimité, ce qui fit rire Caroline.
- ma petite chérie, ce n’est pas la peine d’avoir ces pudeurs de gazelle, ton anatomie n’a plus de secret pour moi. D’ailleurs tu vas me montrer tes fesses que je puisse constater les dégâts.
Docilement Sylvie se tourna et releva son tee-shirt pour bien dégager sa lune. Si on lui avait dit il y a 24 h qu’elle accepterait sans rechigner de se faire examiner les fesses par une gamine de 20 ans, elle aurait éclaté de rire. C’est pourtant ce qui était en train de se passer, Caroline palpait les fesses de cette dame de 63 ans en l’appelant mamie gamine, elle lui écartait les globes fessiers, descendait entre les cuisses, introduisait un doigt dans le sexe, caressait le clitoris de Sylvie.
Celle ci n'osait pas bouger, c'était la première fois qu'une dame s'occupait de cette partie de son anatomie et c'était une découverte loin d'être désagréable.
- tu apprécie petite dévergondée, tes fesses sont très jolies tu sais mais elles ont perdu leurs belles couleurs d'hier.
Sylvie pensait qu'elle avait déjà reçu assez de fessée, aussi protesta t elle doucement quand Caroline s'asseyant sur le bord du lit la fit glisser sur ses genoux.
- ce n'est pas toi qui décide, tu es encore ma petite fille… Et je veux te voir partir avec les fesses rouges.
La fessée éclata dans le silence de la chambre, courte mais suffisamment sévère pour que les fesses soient à nouveau écarlates. Elles allèrent prendre un café, Sylvie était un peu gênée car le tee-shirt masquait à peine son derrière tout rouge, elle tirait dessus, ce qui fit rire Caroline.
- tu sais que je connais très bien tes fesses, ce n'est pas la peine de les cacher, si tu continue je te mets au coin avec les mains sur la tête comme une vilaine fille.
La menace avait été prononcée d'un ton badin, mais Sylvie rougit encore plus et cessa de toucher à son tee-shirt.
Elle prit une douche rapide sous l'œil moqueur de Caroline qui la reluquait sans vergogne
- tes fesses ont vraiment bonne mine ma chérie.
Sylvie devait partir, quand elle fut dans le hall, en tenue de dame, Caroline l'embrassa fougueusement et plaqua d'autorité ses mains sur le fessier de son amie. D'un geste rapide elle retroussa la jupe et la courba sous son bras puis elle la déculotta, Sylvie poussa un cri, elles étaient tout contre la porte et on entendait des voix dans l'escalier, Caroline n'en avait cure, et elle fessa Sylvie d'importance comme une maman en colère.
- c'est pour que tu penses à moi ma chérie.
Sylvie était rouge de confusion et de ravissement. Elle rendit son baiser à sa maîtresse toujours les fesses à l'air. Puis elle réajusta sa tenue et prit congé.
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