Irène apprend qu'il ne faut pas mentir
Marie-Louise avait laissé ces deux invitées assises sur le canapé et Dominique à genoux sur le prie dieu, la jupe épinglée dans le dos, la culotte descendue aux genoux et les fesses rouges bien présentées. Elle revint quelques instants plus tard tenant Victor par l'oreille, celui ci n’en menait pas large il baissait la tête, sa culotte était aux genoux, sa chemise était épinglée dans le dos pour découvrir sa croupe, par contre elle pendait devant cachant ses attributs virils, Marie-Louise tenait à cette marque de pudeur, bien sûr lors des multiples punitions qu’elle avait administrée à son gendre, il lui était arrivée assez souvent d’avoir accès au côté face mais elle était spécialement intéressée par les fesses et le côté punitif de la fessée quand elle corrigeait Victor il redevenait un gamin même si son fessier d’homme pouvait recevoir de vigoureuses fessée. Elle le fit se tourner toujours en le tenant par l’oreille.
- voyez mesdames, ces fesses ont déjà reçu une bonne fessée mais ce n’est pas suffisant, comme pour Dominique ce monsieur à besoin de plusieurs passage sur mes genoux pour bien apprendre ses leçons.
Irène et Béatrice appréciaient le spectacle en tant que fesseuses bien sûr mais surtout parce que ce n’étaient pas elles qui présentaient leurs derrières dénudés. Les fesses de Victor portaient les stigmates de la correction précédentes, elles étaient encore très rouges et le passage sur le paillasson pendant plus d’une heure avait entretenu la rougeur, les marques des piquants étaient bien visible. Docilement il se pencha légèrement pour que les deux dames aient une meilleure vue, c’était un spectacle un peu étrange et vaguement excitant que de voir ce monsieur de 40 ans déculotté comme un gamin présenter ses fesses à deux dames, comme elle l’avait fait pour Dominique, Irène passa la main sur l’épiderme échauffé.
- belle fessée madame, le résultat est éloquent, mais je pense que vous avez raison avec une bonne paire de fesses comme celle là, une seule fessée est loin d’être suffisante.
Marie-Louise s’était approchée de la chaise tenant toujours son gendre par l’oreille, elle s’assit et le força à se coucher en travers de ses cuisses. Souriante, elle tapota les fesses tendues devant elle, c’était le moment qu’elle appréciait le plus quand le ou la soumise était en position disciplinaire les fesses bien exposée et totalement à sa merci, elle adorait également déculotter ses patients mais dans le cas d’une deuxième fessée, il fallait se contenter d’admirer des fesses encore rouges.
- alors mon petit Victor, on désobéira encore à maman Marie-Louise!
- non, non, pardon maman, je vous promets, s’il vous plait plus la fessée.
Marie-Louise se mit à rire.
- mais ce n'est pas toi qui décide mon petit ami, regardez moi ce monsieur comme il devient tout gentil... C'est curieux comme une bonne fessée déculottée améliore le caractère. Maman a décidé que Victor méritait une autre fessée et Victor va me la demander et vite !
La main claqua rapidement le fessier tendu.
-aie, aie, pardon... Oui... J'ai mérité... Aie aie... La fessée déculottée.... Aie aie, je vous remercie de me la donner.
- et bien c'est un peu laborieux aujourd'hui... Mais puisque c'est si bien demandé... Je vais vous la donner cette fessée.
Elle leva la main et comme à son habitude, la fessée fut immédiatement sévère, Victor ne mit pas longtemps à gémir puis à supplier et enfin à pleurer sous la brûlure des claques, Marie-Louise était satisfaite mais comme l'avait fait remarquer Irène, une bonne paire de fesses comme ça pouvait supporter une vraie fessée. Elle prit la brosse à cheveux et entrepris de continuer la correction avec ce redoutable instrument Victor se mit à crier et à supplier encore plus mais sa belle mère était inflexible, il le savait bien. Quand elle cessa la punition, la croupe écarlate du monsieur redevenu un gamin n'était plus qu'une boule rouge carmin. Comme à son habitude elle le laissa en place dans cette position humiliante afin qu'il se calme un peu, puis elle le fit se relever et le conduisit au coin de la pièce.
Satisfaite du spectacle, elle sourit à ses deux invitées, voilà comment je règle les problèmes d'indiscipline, je pense que vous serez plus vigilante la prochaine fois.
Les deux amies acquiescèrent, leurs fesses encore douloureuses étaient là pour le leur rappeler. Elles prirent congé.
Irène en arrivant chez elle se rappela qu'elle avait rendez-vous avec Christine pour aller au sauna, c'était un petit plaisir qu'elle s'accordait une fois de temps en temps. Ces fesses étaient encore douloureuses de la fessée de Marie-Louise, elle retroussa sa jupe et baissa sa culotte, ses fesses portaient encore les stigmates de sa correction, elle se voyait mal expliquer à sa fille qu'elle avait reçue une magistrale fessée déculottée comme une gamine, pendant la séance de sauna elle aurait du mal à cacher ses fesses. Elle prit le téléphone et appela Christine.
- ma chérie j'ai un mal de tête épouvantable et certainement un peu de fièvre on va annuler notre sauna.
Très déçue celle ci lui annonça qu'elle arrivait immédiatement. Quand elle passa la porte elle trouva sa mère sur le canapé, celle ci prise au piège essayait de faire la malade. Christine après l'avoir embrassée lui toucha le front
- tu n'as pas l'air d'avoir de la fièvre, tu as pris ta température ?
Irène rougis et protesta.
- non, mais ce n'est pas la peine je t'assure.
Christine s'était levée et elle revint avec un thermomètre, celui la même que sa mère utilisait sur elle quand elle était plus jeune
- tiens prend la, comme ça je verrai si j'appelle le médecin.
Irène bafouilla
- mais enfin ma chérie, tu crois, ce n'est pas la peine.
Christine se mit à rire.
- on dirait moi quand j'étais gamine, allez dépêche toi, tu ne veux pas quand même que ça soit moi qui te la prenne. Je pourrais tout à fait te déculotter tu sais.
Vaincue, Irène se tourna légèrement, retroussa sa jupe et baissa sa culotte sous ses fesses, elle prit le thermomètre que lui tendait sa fille.
- oh mais tu en fais bien des manières, je te rappelle que j'ai déjà vu tes fesses, mets toi plus à l'aise.
De plus en plus rouge, Irène baissa un peu plus sa culotte et se tourna un peu plus sur le ventre. Évidemment Christine remarqua immédiatement les traces de la fessée. Elle se leva et appuya sur le dos de sa mère pour la mettre à plat ventre, elle retroussa largement la jupe.
- mais je rêve, tu as reçu une fessée, et une bonne on dirait.
Elle passait ses doigts sur les traces laissées par la brosse à cheveux.
- tu as certainement chaud aux fesses mais pas trop de fièvre ma chérie... On va quand même vérifier puisque tu es en position.
Elle prit le thermomètre des mains de sa mère et sans aucune gêne elle lui écarta les fesses et lui planta le thermomètre bien profondément. Irène au comble de la confusion, s'était laissée faire comme si il était normal qu'à 60 ans elle se fasse prendre la température culotte baissée comme une gamine. Christine lui tapota les fesses puis alla se rasseoir. Tout en regardant sa mère déculottée, elle réfléchissait à la nouvelle situation. Fesser sa mère ? Était-ce possible, après tout pourquoi pas. Elle avait été punie récemment vu la couleur de ses fesses et puis ce gros mensonge devait être sanctionné. Elle décida de la laisser un moment avec ce thermomètre dans les fesses. Irène honteuse de son mensonge et surtout de la découverte par sa fille de sa fessée n'osait pas bouger, elle se demandait comment elle allait expliquer tout ça à Christine. Celle ci se leva, sa décision était prise, elle était en colère d'avoir loupé son sauna et que sa mère l'ait pris pour une idiote, elle se dirigea vers la chambre de sa mère et prit la brosse à cheveux posée sur la commode.
Quand elle revint dans la pièce, Irène n’avait pas bougé, c’était un spectacle assez étrange de voir cette dame adulte allongée sur le canapé, la culotte baissée avec un thermomètre dépassant de sa raie fessière.
Christine saisit à deux doigts le thermomètre et le retira lentement. Par acquis de conscience, elle vérifia la température, elle était normale.
- tu sais ce que faisait les mamans il n’y a pas encore si longtemps aux petites menteuses? Non? Et bien je vais te rafraîchir la mémoire, elle leurs administrait une bonne fessée déculottée. Maintenant ce n’est plus le cas mais pour les dames je pense que ça reste vraiment la meilleure solution. Quand penses tu?
Irène était pétrifiée, la face dans le coussin, les fesses nues bien exposées, elle n’osait pas bouger, regarder sa fille lui paraissait au dessus de ses forces. Elle fut pourtant bien obligée, Christine lui saisi l’oreille et la fit se relever. Les joues beaucoup plus rouges que ses fesses son regard croisa celui de Christine, elle aperçu la brosse dans sa main. Elle osa une protestation
- non, Christine, s'il te plaît, je t'en prie… Je.. Pas la brosse…
Elle venait de se rendre compte qu'elle allait recevoir une nouvelle fessée et horreur c'était sa propre fille qui allait lui donner…. La suite lui était connue malheureusement, même si elle ne tenait pas ce rôle habituellement, elle se retrouva couchée sur les genoux de Christine, sa jupe retombée fut à nouveau troussée haut sur les reins, la culotte ne gênait pas l'administration de la punition.
La brosse entra immédiatement en action. Les cordes vocale d'Irène se mirent à l'unisson, ses fesses avaient goûté à cette brûlure l'après-midi même et la peau de ses fesses s'en souvenait encore, en quelques secondes elle eut l'impression d'être assise sur un poêle incandescent, un véritable incendie envahissait sa croupe. Elle battait l'air de ses pieds mais ne cherchait pas à échapper à la correction. Inconsciemment elle sentait qu'elle méritait cette punition, Christine ne la fit pas durer trop longtemps, la couleur des fesses montrait que la punition avaient été sévère. Elle garda sa mère quelques instants en position disciplinaire. C'était un peu curieux comme situation mais à ce moment là, Christine n'avait plus devant les yeux qu'une belle paire de fesses et comme toute bonne fesseuse qui se respecte, elle adorait en tester des nouvelles, malgré son âge celle d'Irène n'était pas mal du tout. Elle lui donna une petite claque pour l'inviter à ce relever.
- de si jolies fesses, ça serait dommage de ne pas les montrer, tu vas aller faire un petit tour au coin, ça te rappellera ta jeunesse.
Irène sans un mot, tête basse, s'exécuta. Béatrice la laissa 10' au coin, puis en riant elle l'appela.
- c'est bon ma chérie tu peux te reculotter et venir me voir.
Comme Irène s'approchait rougissante et tête basse, elle continua.
- mais ne fait pas cette tête là, c'est fini, avoue que tu l'as bien mérité ce petit panpan cucul….
Irène regarda sa fille et compris qu'elle était pardonnée, elle sourit à son tour.
- oui tu as raison, j'ai été ridicule, mais quand même tu y as été un peu fort !!
Elle posa délicatement ses sur le fauteuil ce qui lui arracha une petite grimace. Christine éclata de rire.
- ma pauvre petite maman, tu as l'air d'avoir bien mal à ton petit derrière, sert nous un thé, ça t'évitera de t'asseoir ! Ensuite tu vas me raconter en détail cet après-midi où tu as montré tes fesses à une autre dame.
Irène soulagée d'avoir repris sa tenue de dame ne se le fit pas dire deux fois. Elle entreprit la description complète de son séjour chez Marie-Louise, les fessées de Dominique et de Victor, le martinet qui cingle les fesses et le haut des cuisses. Et bien sûr leurs fessées à Béatrice et elle même, elle était honteuse de se décrire allongée et déculottée sur les genoux de Marie-Louise recevant ce châtiment enfantin à 60 ans mais elle se rendit compte qu'elle y trouvait une certaine jouissance. Christine la regardait avec un petit sourire se délectant de la voir rougir, lui faisant préciser un détail.
- dis moi, ma chérie qui est la plus sévère, c'est la maman de Dominique ou moi ?
Irène troublée la regarda, ses fesses la brûlait encore, mais Marie-Louise avait été beaucoup plus sévère que Christine avec sa double fessée, d'abord manuelle puis avec la brosse. La fessée de sa fille avait été douloureuse car administrée sur des fesses encore chaudes. Mais elle avait été surtout très humiliante, se faire punir surtout de cette façon par sa propre fille, elle ne pensait pas cela possible. Ses pensées s'emmêlaient dans son cerveau quand une claque sur sa cuisse la ramena à la réalité.
- je t'ai posé une question ! Tu veux revenir sur mes genoux ?
- non, non pardon Christine, euh c'est à dire…
Elle ne savait pas que répondre, si elle avouait à sa fille qu'elle avait été moins sévère, celle ci pouvait très bien vouloir se rattraper. Elle ne put pas aller plus loin dans sa réflexion, Christine lui avait prit la main et l'attirait contre elle.
- je crois décidément que tu as besoin d'un petit supplément.
En un instant Irène se retrouva dans une position qu'elle commençait à connaître, sa jupe retroussée rapidement et sa culotte descendue à mi cuisse. Elle essaya de protester.
- oh non Christine, s'il te plaît, plus la fessée, pardon, j'ai trop mal, mes fesses me brûlent.
La jeune femme se mit à rire.
- mais c'est fait pour ça la fessée, j'espère bien que ça te brûle et tu vas voir ça va te cuire encore plus. Ah madame ne veut pas répondre et bien si il lui faut des fessées pour cesser de faire la tête, crois moi tu vas en avoir.
La main s'était élevée au dessus du derrière écarlate et le bruit caractéristique des claques sur la peau nue retentit dans pièce. La fessée ne dura pas longtemps, maintenant Irène pleurait réellement de douleur autant que de honte d'être traitée ainsi par Christine. Elle cessa la punition mais garda sa mère dans cette position humiliante, exposant sa large croupe rubiconde. Elle la caressa doucement comme pour apprécier la qualité de son travail.
- voilà ce qu'on peut appeler une bonne fessée, n'est-ce pas ? Du genre de celle que tu as administrée hier à Hervé. Il m'a raconté que tu avais la main leste. Pour faire aussi bien que toi j'ai dû m'appliquer mais je t'assure qu'il a les fesses encore bien rouges et qu'elles vont le rester jusqu'à demain. Remarque je pense que les tiennent n'ont rien à leur envier. Es tu décidée à me dire qui est la meilleure fesseuse ?
Irène sanglotait doucement, ses fesses n'étaient plus qu'une boule de feu en bas de son dos. Elle avoua doucement.
- oui… Oui c'est toi qui m'a donnée la plus grosse fessée… Ouille… Pardon… Aie, aie.. Christine avait ajouté quelques claques pour faire bonne mesure.
- et bien tu vois, ce n'était pourtant pas difficile, ça t'aurais évitée une deuxième fessée déculottée comme une gamine.
Christine se régalait, Irène avait vraiment une belle paire de fesses une belle croupe de femme mûre large, bien fendue par un raie profonde. Décidément ça compensait le sauna largement. Elle lui tapota le derrière cuisant.
- je crois bien que tes fesses ont eu leur compte aujourd'hui. Tu peux te relever et te reculotter. J'espère que tu ne me mentiras plus, sinon tu sais ce qui t'arrivera, un petit panpan cucul comme une gamine.
Ce n'était pas des paroles en l'air.
À partir de cet instant les choses changèrent dans la maison, bien sûr Irène pouvait de temps en temps administrer une bonne fessée déculottée à Hervé mais son statut n'était plus le même, elle passait de très long moment fesses à l'air.
Son derrière était le plus souvent d'un beau rouge vif, les séjours au coin le nez collé contre le mur n'avait plus de secret pour elle.
Un mensonge = une fessée pour ces dames ! Merci pour la suite de ce récit !
RépondreSupprimerAmitiés
Merci pour votre commentaire élogieux, les récits de l'institut va continuer et nous montrer encore beaucoup de fesses bien rouges.
SupprimerSylvie