l'éducation de monsieur et ses conséquences.
Hervé savait en arrivant à la maison que sa journée serait au moins aussi cuisante que celle de la veille. Christine adorait administrer des fessées et elle n'allait pas laisser passer l'occasion. La culotte trop petite de sa belle mère lui rentrait dans la raie fessiere lui rappelant son statut de mari puni et féminisé. Son épouse l'accueilli avec un grand sourire.
- alors mon chéri, ce petit séjour chez maman, ça t'a plu ? Elle a été très contente de toi. Moi un peu moins je pensais que tu me ferais un peu plus honneur, le service n'a pas été parfait, 8 fessées !!! C'est du joli, tu connais le tarif ? Oh ce n'est pas la peine de faire la tête, tu devrais le savoir depuis le temps, une fessée chez maman égal une fessée à la maison. Enleve ton pantalon, on a pas de temps à perdre.
Hervé avait beau avoir l'habitude, la tirade de Christine le surpris, ça lui promettait une journée cuisante mais elle lui annonçait cela avec le sourire sans aucun signe de colère comme si c'était une évidence de lui administrer une fessée déculottée. Il s'exécuta sans un mot, pliant soigneusement son pantalon sur une chaise et il se présenta à sa femme dans la petite culotte de sa belle mère. Christine se mit à rire.
- mais tu sais que tu es très mignon avec la culotte de maman ! Tourne toi que je voies bien ça. C'est vrai qu'elle est un peu petite, tu as un bon popotin...
Ce terme de popotin était en général utilisé pour désigner un postérieur féminin bien dodu, Christine l'avait utilisé à dessein pour bien marquer le changement de statut de son mari. Elle ajouta
- à partir de maintenant tu seras Hervée ma petite soubrette.
Elle avait insisté sur le e final. Puis saisissant son mari par la main elle le coucha sur ses genoux. La position accentua l'étroitesse de la lingerie qui rentra un peu plus dans la raie et découvrit largement le fessier d'Hervée. Christine sourit elle appréciait le spectacle, son mari avait un joli petit cul et sa mère lui avait fait mettre une culotte sexy.
- décidément ton derrière profite des fessées qu'on te donne mon chéri, la culotte ne protège pas grand chose.
Elle leva la main et commença la fessée sur la culotte, effectivement celle ci ne cachait pas trop les fesses et la main sévère de Christine claquait plus souvent la peau nue que la lingerie, les fesses rougissaient à vue d'œil mais il va de soi qu'une bonne fessée c'est cul nu. Elle cessa la fessée et baissa la culotte à mi cuisse.
- passons aux choses sérieuses, après ce petit échauffement tes fesses sont prêtes pour la bonne fessée de madame Christine !!
Elle continua pendant quelques instants la fessée manuelle, les fesses furent rapidement rouges. Elle saisit sa brosse à cheveux et entama la véritable correction. Elle voulait que son mari sache qui était vraiment la maîtresse, hier il avait été déculotté et fessé par sa mère mais maintenant il était à la maison et il pleurait comme un gamin puni sous la brûlure de la brosse à cheveux.
- oh tu peux pleurer, je n'en ai pas fini avec tes fesses mon chéri, maman m'a raconté ton comportement et toute les fessées qu'elle a été obligée de t'administrer, tu m'as fait honte, mais je te garantis que tu vas le regretter...
La brosse ne cessait d'aller et venir, le fessier du pauvre Hervé n'était plus maintenant qu'une boule rouge qui s'ouvrait et se fermait au rythme du battement de ses jambes. Cela faisait longtemps que son épouse ne lui avait pas administré une telle correction. Jugeant celle ci suffisante, elle posa la brosse sur les reins de son mari et passa sa main sur l'épiderme brûlant.
- je pense que tu vas t'en souvenir de celle là. Bien nous allons maintenant discuter.
Elle aimait bien sermonner son mari en le laissant dans cette position humiliante, fesses bien exposées.
- maman m'a fait le compte de toutes tes fessées, tu en as reçu 8, tu connais le tarif... Tu en auras 8 ici, il t'en reste encore 7. Il ne va pas falloir traîner, mon pauvre petit chéri j'ai bien peur que tes fesses ne restent rouges toute la journée. Il est 9 heures, bon j'ai bien calculé, tu peux préparer ton derrière, une à 10h30, une avant le repas, une après, une en milieu d'après-midi et pour finir une avant le dîner, une après et la petite fessée du coucher pour passer une bonne nuit.
Christine avait déroulé le programme de façon clinique, comme si c'était normal qu'un monsieur d'une quarantaine d'années se retrouve déculotté et fessé par sa femme 8 fois dans la journée.
- en attendant tu vas aller te mettre au coin, le nez bien collé au mur et les mains sur la tête, je ne veux pas te voir bouger, oui je sais tes fesses te brûle et tu voudrais bien les frotter mais il n'en est pas question, au contraire au coin tu vas bien sentir la cuisson et ça n'en sera que plus profitable.
Elle rajouta une dizaine de claques sur le fessier bien tendu et Hervé fila au coin sans demander son reste. Satisfaite du spectacle, la petite culotte rose barrant les cuisses surmontées d'une jolie paire de fesses rondes. C'est vrai que Hervé a presque des fesses de femme pensa-t-elle, les jupes et les culottes en dentelle lui vont à ravir, il faudrait que j'essaye de lui mettre des bas avec des porte jarretelle, il serait définitivement sexy. Elle prit son téléphone et appela sa mère. Bien évidemment la conversation roula sur le thème de la fessée et de celles reçues par Hervé en particulier. Irène lui fit remarquer qu'il serait nécessaire de le faire épiler entièrement pour que sa féminisation soit plus réaliste.
- je connais un salon qui m'a été enseigné par une amie, l'esthéticienne pratique les épilations intégrales aussi bien chez les dames que chez les messieurs et je me suis laissé dire qu'elle a parfois la main leste, si ses clients ne sont pas suffisamment docile, ils peuvent repartir de chez elle avec une paire de fesses bien rouge sous la jupe ou le pantalon.
Elle donna les références à sa fille. Christine était ravie, elle lui demanda comment c'était déroulée la soirée. Irène lui raconta par le menu n'omettant pas la fessée déculottée de Dominique.
- quelque chose me dit d'ailleurs que celle-ci doit regretter sa soirée, si jamais sa mère apprend les détails je pense que sa culotte ne va pas rester en place bien longtemps.
Irène ne croyait pas si bien dire, à son arrivée à son domicile elle trouva Victor son mari un peu inquiet.
- ta mère a appelé, elle voulait te parler, je lui ai dit que tu étais sortie pour un dîner entre copines, elle a eu l'air surprise. Tu dois l'appeler demain matin à 8h.
Dominique eut un petit frisson, elle ressentait encore la cuisson de la fessée sous sa jupe mais elle avait le pressentiment que demain matin la sensation serait encore plus douloureuse.
Le lendemain à l'heure exacte elle appela Marie-Louise sa mère, l'accueil fut glacial
- qu'est ce que c'est que cette histoire, tu sors toute seule et avec des copines, mais tu n'as plus 20 ans que je sache, j'espère que tu t'es bien comportée au moins et que tu n'as pas trop bu.
- mais maman, enfin… Euh non bien sûr que non…
- je vais en avoir le cœur net, donne moi le téléphone de ton amie, je la connais ?
- euh non, mais ce n'est pas la peine, je t'assure.
- cesse de discuter, tu sais que ça m'agace et comment ça se termine !
Dominique le savait hélas très bien, la discussion était close rapidement avec une dame d'une quarantaine d'années couchée comme une gamine sur les genoux de sa mère, la jupe retroussée et la culotte baissée. A regret elle donna les coordonnées d'Irène.
- je vais l'appeler, je vous attends cet après-midi avec Victor, on a à discuter.
Ils se regardèrent, une discussion avec Marie-Louise se terminait toujours avec les fesses cuisantes pour l'un ou pour l'autre et même souvent pour les deux.
Irène ne fut qu'à moitié surprise du coup de téléphone de la mère de Dominique, elle devina à sa voix que son amie ne lui avait pas menti en lui faisant le portrait de sa mère. Son attirance pour les bonnes déculottées l'incita a ne rien omettre de la soirée, y compris la fessée qu'elle avait administrée à son amie pour son abus de boisson.
- je m'en doutais, vous avez bien fait, même à son âge, il n'y a rien de mieux qu'une fessée déculottée pour lui mettre du plomb dans la cervelle, mais je pense que votre fessée n'est pas suffisante, je vais m'occuper de ses fesses cet après-midi. Si vous voulez, venez avec votre amie Béatrice, l'humiliation d'une punition publique rendra la leçon encore plus profitable.
Irène était ravie, elle appela immédiatement sa copine.
A 14 h, Victor et Dominique sonnèrent à la porte de Marie-Louise, il se doutait bien que l'après-midi risquait d'être douloureuse pour leur amour propre et leur derrière. Le regard sévère de la mère de Dominique leur confirma le bien fondé de leur crainte, d'un geste elle leur désigna le salon.
- c'est bien, vous êtes à l'heure pour notre petite explication, on va commencer par toi Victor. En attendant Dominique tu vas te mettre au coin… tu connais la suite, je suppose, tu baisses ta culotte, tu tiens ta jupe retroussée et tu mets ton nez contre le mur. Ça va te permettre de réfléchir aux explications que tu vas me fournir!
Puis se tournant vers son gendre.
- à nous deux, mon petit ami, alors comme ça on laisse son épouse sortir seule pour faire des sottises et en plus on ne me prévient pas ?
Victor était rouge jusqu'aux oreilles, il avait beau connaître sa belle mère depuis plus de 10 ans, chaque fois qu'il se retrouvait debout devant elle, il perdait ses moyens et redevenait un petit garçon.
- je vous ai pourtant déjà prévenu que je ne supporte pas les mensonges ou les cachotteries, vous savez donc ce qui va vous arriver ?... Ne faites pas l'innocent, assumez vos bêtises. Alors j'attends !
Victor savait que pour sa belle mère l'important dans la punition, en plus de la douleur c'était l'humiliation et quoi de plus humiliant que de devoir reconnaître qu'on méritait une fessée. Il hésita un peu, la main de Marie-Louise claqua le fessier à sa portée.
- ne me faites pas trop attendre Victor, à moins que vous ne vouliez que je double la punition !
Vaincu, Victor la mort dans l'âme s'exécuta.
- pardon belle maman, ça mérite la… fessée…
- mais encore ?
- euh... Aie...
La main de Marie-Louise avait à nouveau claqué les fesses par dessus le pantalon.
- pardon, madame... Euh.. La fessée déculottée...
- voilà qui est mieux, ça a été un peu laborieux, mais nous y sommes arrivés.
Elle déboutonna le pantalon et le fit glisser sur les chevilles de son gendre. Pendant tout cet épisode, Dominique s'était tenue bien droite, la culotte descendue à mi cuisse, les fesses blanches bien serrées, elle connaissait tellement bien sa mère et ses méthodes un peu perverse, exposer ses fesses nues en faisait partie comme le fait de devoir demander sa fessée. Victor était maintenant en caleçon devant sa belle mère, depuis le temps qu'elle le punissait comme un gamin, il avait perdu sa pudeur.
- donc, vous reconnaissez que vous méritez une punition et bien vous allez me la demander, j'attends !!
C'était le moment redouté, Victor avala sa salive.
- euh, oui... Pardon madame... Je mérite une fessée déculottée... Je vous remercie de me la donner....
Cette phrase, il leur avait fallu de nombreuses fessées à lui comme à Dominique pour la connaître par cœur et la réciter avant chaque correction.
Satisfaite, Marie-Louise lui saisi la main et l'attira contre sa cuisse, Victor était résigné et il n'opposa aucune résistance quand elle le bascula en travers de ses genoux.
- puisque vous me le demandez, je ne peux qu'être d'accord avec vous mon ami, oui une bonne fessée déculottée, c'est ça que vous méritez et je vous garantis que celle là, vous allez vous en souvenir !
La suite fut des plus classique, le caleçon descendit jusqu'aux genoux et la paire de fesses musclée de son gendre s'offrit à la main de Marie-Louise. Elle aimait donner la fessée et le fessier de Victor se prêtait parfaitement à l'administration de fessées très sévères. La main commença la punition, le monsieur allongé sur ses genoux perdait son statut, il devenait un gamin puni par sa maman et rapidement la transition s’opéra, Victor se mit à gigoter, à gémir puis rapidement sous la sévérité des claques il se mit à pleurer et à supplier. Marie-Louise souriait en continuant à claquer méthodiquement les fesses bien tendues devant elle.
- ah, oui c'est cela, vous pouvez pleurer, mon ami, ça vous brûle, mais oui, figurez-vous que c'est fait pour ça la fessée et je n'ai pas fini, oh non... Je vous ai dit que vous alliez vous en souvenir... Voilà, un joli derrière bien rouge.
La fessée cessa, Victor à plat ventre sur les cuisses de sa belle mère avait perdu toute dignité, il sanglotait sans bouger, ses fesses se serraient convulsivement pour essayer d'atténuer la cuisson. Très contente de sa prestation la mère de Dominique passa la main sur les fesses enflammées de son gendre.
- voilà, c'est fini, j'espère que cela vous servira de leçon.
Elle le fit se relever, l'envie de frotter sa croupe était forte mais il savait que c'était strictement interdit. Elle le prit par l'oreille.
- bien, mon petit ami, venez avec moi.
Il la suivi les jambes empêtrées dans son pantalon. Elle ouvrit la porte de son bureau.
- enlevez votre pantalon et pliez le correctement, votre culotte reste ou elle est !
Elle plaça sur la chaise de bureau un petit paillasson rond.
- voilà votre chaise de réflexion est prête, vous allez me copier 200 fois.
"je ne désobéirai plus à belle maman sinon je recevrai une bonne fessée déculottée", bien écris et sans faute, si j'en trouve une où si c'est mal écrit, c'est une fessée supplémentaire et vous recommencez tout.
Elle savait qu'avec cette menace ce grand dadais en avait pour tout l'après-midi, car il devrait s'appliquer à bien écrire. Victor ne put retenir une grimace quand ses fesses se posèrent sur le paillasson, l'épiderme endolori allait lui rappeler l'après midi durant sa condition de puni.
Elle fermait la porte quand Irène et Béatrice arrivèrent. En entendant la sonnette, les fesses de Dominique se serrèrent, Marie-Louise s'en rendit compte.
- oh oui, je pense que tu peux serrer ton petit derrière ma chérie, je pense qu'il va y avoir du monde pour assister à la danse de tes fesses !
Dominique reconnu immédiatement la voix de ses amies ce qui accentua son désarroi. En entrant dans la pièce le spectacle de cette dame d'une quarantaine d'années tenant sa jupe retroussée, la culotte descendue et le nez contre le mur était surprenant, Irène en tant que fesseuse apprécia le spectacle, Béatrice néophyte en la matière poussa un petit oh de surprise.
- bonjour mesdames, je vous remercie d'être venue, comme vous le savez Dominique a eu un comportement que je ne peux tolérer, je vous remercie Irène de lui avoir flanqué une fessée mais, la punition n'est pas suffisante et une bonne fessée déculottée en public lui sera plus profitable.
Dominique était habituée à la sévérité de sa mère et à sa propension à l'humiliation mais elle ne put retenir quelques larmes en entendant ce qui l'attendait, sa mère le remarqua.
- oh, ce n'est pas pas la peine de pleurer, il fallait y réfléchir avant, tu ferais mieux de les garder pour tout à l'heure. Cesse ces gamineries, reculotte toi et viens me voir.
Dominique s'exécuta, elle connaissait trop sa mère pour savoir que ce n'était que pour mieux lui faire sentir sa condition de gamine qu'elle procédait ainsi, quoi de plus humiliant à 40 ans que de se faire déculotter une fois allongée sur les genoux de sa mère et quel plaisir pour une fesseuse de découvrir la paire de fesses toute blanche qu'on allait punir. Elle se présenta devant Marie-Louise tête basse n'osant pas regarder ses deux amies.
- bien madame, vous savez que je ne supporte pas les gens qui boivent ! Qu'est ce qui arrive aux dames qui se comporte de la sorte ?
Elle avait à dessein utilisé le terme de madame, pour bien lui signifier qu'elle était une adulte mais qu'elle allait recevoir un châtiment enfantin. Il était nécessaire à ses yeux que la punie admette sa punition et même la réclame. Dominique le savait, mais elle hésita un instant,
- Dominique !! Je t'ai posé une question !!
Une claque sur sa cuisse sous la jupe la fit réagir.
- elle....elle reçoive la.... fessée...
- mais encore ??
- la... la fessée déculottée...
- bien, bien, c'est mieux, tu as trop bu hier soir ma chérie, ton amie me l'a dit tu vas donc être punie comme il se doit mais je veux que tu me le demande.
Irène et Béatrice était subjuguée par l'autorité de Marie-Louise et la façon qu'elle avait de traiter sa fille, celle-ci connaissait par cœur la phrase qu'elle devait prononcer, ses fesses l'avaient appris à leurs dépend. Mais être obligée de la répéter devant ses deux amies rajoutait à sa confusion. Elle prit sa respiration et débita à toute vitesse la phrase magique comme l'appelait sa mère.
- j'ai mérité une fessée déculottée et je te remercie de me la donner.
Marie-Louise la regarda sévèrement, qu'est ce que c'est que ses façons, nous n'avons rien compris, tu répètes ça doucement que tes amies comprennent bien ce que tu me demandes. Les larmes perlèrent à nouveau sur les yeux de Dominique, mais elle savait que sa mère était intraitable. Elle repris sa respiration et lentement elle répéta la phrase magique.
- j'ai mérité une fessée déculottée et je te remercie maman de me la donner.
Marie-Louise avait écouté sa fille en souriant, c'était toujours un plaisir pour cette fesseuse invétérée d'entendre sa future punie réclamer elle-même sa correction.
- puisque tu reconnais ta faute, je vais te satisfaire, va chercher la brosse à cheveux dans ma chambre et en revenant tu prendras le martinet qui est accroché dans la cuisine.
Par ces mots, elle annonçait une correction sévère, les deux spectatrices en avait conscience, elles regardèrent leur amie se diriger docilement vers la chambre. Marie-Louise leur jeta un regard complice comme pour leurs signifier qu'elles n'étaient pas venues pour rien et que le spectacle allait leurs plaire.
Dominique les joues très rouges revint rapidement tenant à la main les instruments de sa punition, sa mère les prit et les déposa sur la table du salon, elle avait disposé une chaise à côté, elle invita ses deux invitées à prendre place sur le canapé puis saisissant sa fille par la main elle la bascula rapidement en travers de ses genoux. Dominique en dame habituée à être traitée comme une gamine ne résista pas, elle fit même un effort pour bien se positionner sur les genoux de sa maman, elle posa ses mains par terre pour assurer son équilibre, ses fesses tendues sous la jupe étaient maintenant juste à portée de la main de sa fesseuse, Marie-Louise tapota le derrière sur la jupe, elle voulait faire durer le plaisir..
- dit moi ma chérie, tu ne m'as pas appelé hier avant de sortir ?
Dominique émis un faible, non.. La main claqua deux fois le fond de la jupe
- et pourquoi donc ? Je pense te l'avoir déjà dit, tu dois me tenir au courant de toutes tes sorties.
Elle retroussa largement la jupe, découvrant la jolie culotte rose pâle ornée de dentelle qui couvrait encore les fesses de Dominique, cette lingerie très féminine n'était pas en accord avec la position disciplinaire de la dame, on se serait plutôt attendu à voir apparaître une culotte blanche bien couvrante, c'est d'ailleurs la remarque que se fit Irène, cette culotte qui découvrait la base des fesses n'allait pas être une protection très efficace. La main de Marie-Louise s'était levée et commençait à claquer le derrière encore culotté.
- nous allons donc commencer par nous occuper de cette désobéissance !
La fessée retentissait dans la pièce, le bruit des claques encore assourdi par le fin tissu, la douleur devait commencer à se ressentir car Dominique se mit à gémir. Marie-Louise saisit l'élastique de la culotte et la baissa jusque sous les fesses, celle-ci avaient déjà pris une légère couleur, tout à fait en accord avec la culotte.
- oh ce n'est pas la peine de gémir ma petite, une fessée sur la culotte, tu sais bien que c'est juste un échauffement, voilà cul nu devant tes amies, tu n'as pas honte, à ton âge, je suis encore obligée de t'administrer la fessée déculottée pour te faire obéir.
La fessée repris sur une croupe désormais sans protection et cette fois ci, Dominique se mit vraiment à tortiller ses fesses au rythme de la correction, ses gémissements se transformèrent en supplications puis bientôt en pleurs.
Irène et Béatrice assistaient fascinée au spectacle de leur amie réduite au rang de gamine punie par une maman sévère. Les fesses étaient maintenant écarlates, Marie-Louise cessa la punition et passa sa main sur les fesses de sa fille.
- alors, tu désobéiras encore à maman ?
- noon.... Pardon maman... Je... Je.. te promets....
- j'espère bien, mais comme je ne suis pas sur, on va compléter un peu la leçon.
La fessée repris toujours aussi retentissante, Dominique se remit à pleurer…
- non, non.. pardon maman.. oui, promis je ne désobéirai plus.. aie, aie… non plus la fessée…
C'était peine perdue, une fessée de Marie-Louise était toujours d'une sévérité extrême. Les fesses maintenant n'étaient plus que deux tomates bien mûres, la redoutable main se posa sur l'épiderme brûlant.
- bien, nous avons déjà réglé ce problème de désobéissance, maintenant passons aux choses sérieuses…
Les deux spectatrices se regardèrent, cette fessée qui leurs avait paru sans fin n'était donc qu'un hors d'œuvre. La sévère maman caressait les fesses de sa fille comme pour en saisir la fermeté, ses doigts s'insinuait dans la raie fessière sans aucun souci pour la pudeur de sa fille, elle lui fit même écarter les cuisses et réajusta la position de sa punie.
- nous allons maintenant aborder le problème qui t'a fait se retrouver dans cette position peu envieuse, fesses à l'air devant tes amies. Tu sais que je ne tolère pas que tu boives ma chérie et qui plus est, j'ai appris que tu avais bu plus que de raison… C'est exact ?
Dominique pleurait silencieusement, elle ne répondit pas immédiatement. La fessée reprit…
- noon !! aie, aie oui maman je, je sais, je ne dois pas boire… d'alcool.
Satisfaite de la réponse, Marie-Louise s'arrêta et se remit à caresser les fesses de sa fille.
- et tu l'as fait quand même !! Décidément mes fessées ne doivent pas être assez sévère, je te promets que tu vas le regretter ma chérie. Mais d'abord tu vas me dire ce que tu mérites pour ta désobéissance.
Béatrice était bouche bée, elle ne pensait pas qu'une telle perversité soit possible, son amie troussée et déculottée sur les genoux de sa mère avait déjà reçu une fessée dont elle imaginait qu'elle devait être cuisante et maintenant voilà qu'elle allait devoir réclamer la suite de son châtiment. Et c'est ce qui arriva, Dominique entre ses petits sanglots prononça une nouvelle fois la phrase attendue, mais légèrement modifiée.
- oui maman j'ai été vilaine et j'ai bien mérité la fessée déculottée…
Irène en tant que fesseuse était admirative devant cette inventivité dans l'humiliation de la punie. Maintenant Marie-Louise souriait satisfaite de la soumission de sa fille, elle s'adressa aux deux spectatrices tout en continuant à caresser les fesses brûlantes de Dominique.
- vous voyez mesdames malgré ses 40 ans, Dominique a besoin d'être remise à sa place, c'est toujours ma petite fille qui reçoit quand elle le mérite la fessée déculottée mais ces bonnes fesses de dame ont besoin d'autre chose que de ma main pour comprendre.
En disant cela elle continuait de palper le fessier rebondi de sa fille. C'était vrai que celle-ci avait une bonne paire de fesses, bien large et joufflues, des fesses à fessée !
- à ce derrière il lui faut la brosse à cheveux de maman Marie-Louise n'est-ce pas ma chérie.
Elle avait pris l'instrument posé sur la table et elle en passait le dos lisse sur l'épiderme échauffé. Dominique contracta les fesses dans l'attente de la première claque, elle connaissait la brûlure intense de la fessée à la brosse, sa mère faisait durer le plaisir.
- voyez vous mesdames, pas plus tard qu'avant hier, madame m'a présenté ses fesses pour une recevoir une bonne fessée et je vous prie de croire qu'elle est sortie de mes genoux le derrière bien rouge, mais il semble que cela n'ait pas suffit, madame continue à désobéir, madame est têtue et bien madame va comprendre de quel bois je me chauffe.
La brosse s'abattit sur les fesses tendues et Dominique ne put retenir ses cris, la sévère maman fessait avec application, reteintant à nouveau la croupe d'un rouge encore plus soutenu, elle visait également le haut des cuisses et le pli fessier si sensible attirant des cris encore plus soutenu de sa fille. Sans aucun souci de pudeur celle-ci battait l'air de ses pieds et ouvrait largement ses fesses dévoilant son intimité, sa mère avait raison ce n'était pas une gamine qui recevait la fessée mais une dame pourvue de tous les attributs de la féminité. La belle croupe était maintenant d'un rouge carmin. Béatrice ne pensait pas que l'on pouvait donner une fessée pareille et elle se demandait comment son amie pouvait la supporter, mais bien maintenue en position celle ci n'avait pas le choix, elle ne pouvait que sangloter et implorer la clémence.
La fessée prit fin, laissant Dominique pantelante sur les genoux maternel, pleurant à chaudes larmes, comme précédemment, Marie-Louise passa la main sur les fesses brûlantes.
- voilà une bonne fessée, j'espère que tu as compris cette fois. Tu vas aller montrer tes jolies fesses à tes amies pour qu'elles puissent constater ce qui arrive aux désobéissantes.
Dominique se releva et toute honte bue se dirigea sans oser les regarder vers Irène et Béatrice, puis elle se tourna et se pencha légèrement, signe qu'elle avait l'habitude de se genre de situation. Ses fesses étaient à la hauteur du visage des deux dames. Irène tendit la main et la passa sur l'épiderme brûlant.
- je vous félicite madame, j'ai rarement vu une fessée aussi efficace, je pense que cette dame n'est pas prêt de l'oublier.
- merci, mais c'est fait pour ça vous savez, malheureusement Dominique a besoin très souvent d'une petite mise au point, n'est-ce pas ma chérie ? Bien maintenant que tes amies ont pu admirer tes petites fesses, tu vas aller les faire refroidir au coin.
Docilement tenant sa jupe retroussée Dominique se dirigea vers le coin qu'elle occupait précédemment. Sa mère la suivit et lui coinça la jupe dans la ceinture. Montrant qu'elle avait une grande habitude de cette pénitence la dame redevenue une mauvaise élève punie posa ses mains sur sa tête et son nez contre le mur.
Marie-Louise se tourna vers les deux amies.
- bien voilà une bonne chose de faite, si nous parlions de vous mesdames.
Irène et Béatrice se regardèrent surprise.
- oh ne faites pas les innocentes, je suppose que si Dominique a trop bu, vous ne deviez pas être en reste.
Elles protestèrent d'une seule voix.
- vous me prenez pour une innocente ? De toute façon, vous êtes fautive de ne pas avoir raisonné ma fille. Elle a été punie et elle l'avait bien mérité, mais vous aussi vous méritez d'être punie. Laquelle veut commencer ?
Irène se leva.
- mais enfin madame, vous n'y pensez pas, votre fille est majeure et j'ai passé l'âge d'être traitée comme une gamine !
Marie-Louise la regarda en souriant.
- peut être préférez vous que j'appelle Victor, mon gendre il est dans la pièce à côté en train de finir sa punition, il sera ravi de venir me prêter main forte. Il a reçu la fessée avant votre arrivée, ça serait pour lui une bonne compensation d'assister à votre punition.
Les deux amies se regardèrent, le rouge leur était monté aux joues. Était il possible que la situation se dégrade si rapidement, il y a quelques instants elles étaient spectatrices d'une fessée déculottée et maintenant c'était leur croupe qui était menacée. La manière dont Marie-Louise avait puni sa fille ne leurs laissaient que peu d'espoir d'échapper à une bonne correction. La sévère maman s'était assise sur la chaise et elle fit signe à Irène, c'était elle qui avait protesté, c'est elle qui allait recevoir la fessée en premier. Quand la mère de Christine fut contre ses genoux, Marie-Louise la bascula en travers de ses cuisses. Ce n'était plus la sévère maîtresse de maison qui avait traité son gendre comme une petite bonne maladroite mais une dame mal élevée s'apprêtant à recevoir comme une gamine une bonne fessée déculottée. Sa jupe fut retroussée et la culotte rose descendue jusqu'aux genoux. Irène malgré ses 60 ans possédait un joli fessier, bien rond et agréablement fendu par une large et profonde raie fessière. Marie-Louise comme toute fesseuse aimait découvrir de nouvelles fesses, sans se gêner elle entrepris d'examiner en détail la croupe que lui tendait bien malgré elle Irène. Ses doigts écartèrent les deux hémisphères, découvrant l'intimité de sa punie, une claque très sèche invita Irène à ne pas les resserrer, puis tapotant l'intérieur des cuisses, elle lui fit écarter les jambes.
- voilà de jolies fesses bien présentées, prête pour la fessée, on se détend madame.
La fessée commença, Irène administrait la fessée mais cela faisait très longtemps qu'elle ne s'était pas retrouvée en aussi fâcheuse posture, en fait sa dernière fessée remontait à son adolescence, sa mère l'avait punie d'une sévère déculottée pour une rentrée tardive à la maison après avoir trop bu. Ça lui rappelait un peu la situation actuelle, mais elle ne se souvenait pas qu'une fessée fut si douloureuse, la main de Marie-Louise était d'une redoutable efficacité et dès les premières claques Irène ne put retenir ses cris, elle se débattait, essayant vainement d'éviter la brûlure, bien tenue par la taille ses fesses restaient à portée de main, seule ses jambes battaient l'air et en s'écartant ses cuisses laissaient voir à sa fesseuse les trésors de son intimité. Rapidement la croupe prit une jolie couleur pourpre, Marie-Louise cessa la fessée, Irène pleurait doucement.
- voilà un bon échauffement, ces bonnes fesses vont pouvoir goûter à la fessée maison.!
Irène se rendant compte que la fessée cuisante qu'elle venait de recevoir n'était qu'un début se mit à supplier, elle ne savait pas comment on pouvait supporter une plus sévère correction. Elle fut vite renseignée, oui son fessier pouvait être claqué encore plus fort et c'était intolérable, la brosse à cheveux s'abattait avec un bruit mat sur chacune de ses fesses, déclenchant à chaque fois un cri de la punie, bientôt noyé par des pleurs. Maintenant toute la surface de la large croupe était d'un rouge uniforme. La fessée cessa, Irène sanglotait, ses fesses se serraient convulsivement, Marie-Louise passa la main sur l'épiderme brûlant.
- voilà ce que j'appelle une fessée… J'espère que vous aurez compris la leçon, relevez vous et tenez votre jupe qu'on voie bien votre derrière.
Puis se tournant vers Béatrice qui avait regardé avec effarement la correction de son amie.
- à nous madame, vous connaissez la position maintenant.
Béatrice était tétanisée, elle ne pensait pas que cela soit possible de supporter une telle punition, la suite allait lui prouver le contraire.
Quelques instants plus tard, elle était dans la position classique des mauvaises élèves, la jupe retroussée haut sur les reins et la petite culotte blanche descendue aux genoux. La main de Marie-Louise commença la fessée, la phase d'échauffement fut de courte durée, bientôt les claques tombèrent à toute volée sur la jolie croupe ronde bien tendue, Béatrice ne mit pas longtemps à pleurer et à implorer la clémence mais la redoutable fesseuse n'en avait cure, elle continuait à administrer la punition prévue. Bientôt la brosse à cheveux prit le relais, Béatrice battait l'air frénétiquement avec ses pieds mais bien tenue par la taille ses fesses ne pouvait éviter les morsures de la brosse. Quand Marie-Louise cessa la correction la croupe de Béatrice était d'un rouge uniforme, la rougeur descendait même sur le haut des cuisses. Dès qu'elle fut remise debout, ses mains se portèrent à ses fesses, mal lui en prit, Marie-Louise l'a saisi par la taille et la courba sous son bras pour lui faire à nouveau présenter ses fesses.
- qu'est-ce que c'est que ces façons, on ne frotte pas ses fesses madame, je vais vous apprendre !!
Immédiatement la brosse à cheveux avait repris son œuvre sur les fesses endolories, arrachant à nouveau des cris et des supplications à la pauvre Béatrice Elle qui fantasmait sur la fessée depuis un moment, ne pensait pas que cela soit possible d'en recevoir une aussi sévère et que cela soit aussi douloureux. Quand Marie-Louise la relâcha enfin des larmes coulaient sur ses joues, elle trépigna sur place mais se garda bien de frotter ses fesses malgré la brûlure.
- voilà mesdames ce qui arrive quand on est pas sage ! Tournez-vous et tenez bien vos jupes retroussées que je voies bien vos fesses. C'est parfait, maintenant au coin et vite !
Elle avait accompagné son injonction d'une bonne claque sur chacun des postérieurs tendus devant elle. Les deux amies tout en pleurnichant se dirigèrent vers le mur où était déjà installée Dominique, la sévère maman arrangea leurs tenues de façon que les fesses soient bien mises en valeur, la jupe épinglée et la culotte remontée à mi cuisse pour souligner encore plus la rougeur du fessier. Elles durent comme leur amie, mettre leurs mains sur la tête et appuyer leurs nez contre le mur.
Marie-Louise était satisfaite, c'était une fesseuse insatiable et la découverte de deux nouvelles paires de fesses la comblait. Elle laissa les trois dames en pénitence fesses à l'air pendant 1/2 h, puis elle appela Irène et Béatrice, celle ci se présentèrent à elle, penaudes, n'osant pas ôter leurs mains de leur tête. Marie-Louise souriante devant le résultat de sa fessée compléta leur humiliation.
- c'est bien, je vois que la fessée commence à porter ses fruits, tournez-vous que je voies un peu l'état de vos derrières.
Elle passa la main sur les fesses écarlates de ses deux punies, glissant même ses doigts dans la raie. Une contraction intempestive valu à Irène une dizaine de claques rapides.
- pas de ça madame, on se laisse faire, à moins que vous ne vouliez refaire un petit séjour sur mes genoux.
Irène immédiatement écarta ses fesses comme les doigts de sa maîtresse lui demandait.
- vous pouvez vous reculottez, mais vous savez ce qui vous arrivera à la prochaine bêtise.
Les deux amies ne demandèrent pas leur reste et rapidement les culottes cachèrent les fessiers écarlates. Marie-Louise les invita à s'asseoir et ne put réprimer un petit sourire quand elle vit ces deux dames poser délicatement leurs fesses sur le canapé et esquisser une grimace. Puis elle s'adressa à sa fille toujours au coin.
- ma chérie, vient un peu voir maman, nous n'en avons pas fini avec tes désobéissances.
Docilement, Dominique se présenta devant sa mère, toujours les mains sur la tête. Marie-Louise avait pris le martinet et avec le manche elle lui désigna un prie dieu installé contre le mur.
- tu peux enlever tes mains de ta tête et tu vas me chercher monsieur confesse.
Dominique s'exécuta sans mot dire, elle montrait ses fesses encore écarlates mais ne semblait pas s'en soucier, Irène se dit en elle même que ce n'était sans doute pas la première fois que son amie était punie comme une gamine en public. Quand le prie dieu fut en place, sans que sa mère ne dise un mot Dominique s'y agenouilla et posa ses mains sur la petite tablette prévue à cet effet.
- présente moi un peu mieux ces fesses, allez penche toi et tends les bien.
Marie-Louise s'approcha et appuya un peu sur le dos de sa fille tout en passant l'autre main sur le pubis pour bien relever le fessier.
- voilà une jolie paire de fesses bien présentées qui n'attendent plus que la fessée. Voyez vous mesdames c'est la position parfaite pour la fessée au martinet.
Elle descendit un peu plus la culotte et se recula pour apprécier le spectacle, puis se plaçant de côté, elle commença la punition, le martinet utilisé était certainement assez ancien car les lanières étaient polies et bien souple, le manche en bois était patiné. Béatrice regardait fascinée cet instrument de punition, il n'y en avait pas chez elle, mais chez sa grand-mère oui et celle ci l'avait menacée plusieurs fois de l'utiliser, elle avait appris que sa mère y avait goûté souvent, culotte baissée et d'après elle c'était très douloureux et humiliant car les traces des lanières qui débordaient sur les cuisses amenait souvent des commentaires moqueurs. Elle se promis de demander à sa mère où il était passé. Pendant ces réflexions le martinet n'avait pas cessé de cingler les fesses tendues. Dominique avait commencé à gémir dès le début de la correction mais maintenant elle implorait le pardon et pleurait à chaudes larmes, preuve de son habitude des sévères punitions, elle ne bougeait pas, seule ses fesses se contractaient et ses pieds dansaient au rythme de la fessée. La croupe avait repris une couleur rouge brique caractéristique des fessées magistrales. Marie-Louise jugeant la leçon suffisante cessa la punition.
- j'espère que cette fois tu as bien compris, de toute façon je suis prête à recommencer aussi souvent que nécessaire. Tu vas rester la, tes amies ont une vue magnifique sur ton derrière, elles pourront méditer sur ce qui les attend si elles recommençaient leurs bêtises.
Irène et Béatrice, directement visées par cette pique, ne dirent mots.
- mais j'y pense, vous devez connaître Victor mon gendre, ce monsieur c'est également mal conduit et j'ai été obligée de lui administrer une fessée déculottée avant votre arrivée, il m'écrit les lignes de punition dans le bureau pour le moment mais comme je lui dois une fessée supplémentaire, je vais profiter de votre présence, une fessée déculottée en public sera encore plus bénéfique.
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