mercredi 16 février 2022

L'institut chapitre 8

Le traitement d'Amelie



Amelie se présenta comme prévu le lendemain matin à l'institut, Sophie était déjà au travail, par la porte de la salle de soins grande ouverte, on pouvait voir une dame d'un certain âge si l'on s'en tenait à ses dessous, elle portait des bas retenus par des porte-jarretelles ce qui n'était plus la mode aujourd'hui. Ce qui aurait surpris un nouveau venu ne choqua pas Amelie, en effet cette dame allongée sur le banc à lavement était largement déculottée et elle exposait son fessier bien mis en valeur par la position. Afin de venir ouvrir à sa patiente, Sophie l'avait laissé dans cette position humiliante.

- bonjour madame, c'est bien, vous êtes à l'heure, commencez à vous préparer pendant que j'administre un lavement à madame De Nouvel, vous vous déshabillez, comme d'habitude, culotte et soutien gorge.

Puis elle se dirigea vers sa patiente, elle tapota les fesses tendues.

- allez, on me détends bien ces petites fesses, on les écarte bien gentiment pour que je voies bien votre petit trou, allez, plus vite que ça

La main avait claqué rapidement les fesses, rosissant déjà légèrement le derrière de la baronne De Nouvel qui se retrouvait en fâcheuse posture. Elle gémit légèrement mais preuve de l'efficacité des punitions reçues précédemment elle obéit immédiatement, ouvrant largement sa raie fessière

- voilà qui est mieux, je vous rappelle que ma brosse à cheveux est à la disposition de vos fesses en cas de besoin

Élisabeth émit un petit gémissement.

- pardon, j'ai mal entendu, vous avez quelques choses à me dire,

La brosse était déjà entrée en action et madame De Nouvel hurlait sous la brûlure

- non, non, aie, aie, pardon, je n'ai rien dit, aie, pitié, pardon.

La dame allongée sur le banc présentant ses fesses déculottées n'était plus la baronne De Nouvel, mère et même grand-mère, mais une adolescente désobéissante punie par une sévère infirmière, elle suppliait, pleurait à chaudes larmes sous la brûlure de la brosse. Sophie était satisfaite, rien ne lui faisait plus plaisir que de transformer une dame en punie réclamant la clémence.

- bien, j'espère que vous avez compris, je ne veux rien entendre, détendez moi ces fesses.

Elle posa une petite noisette de vaseline sur l'anus et présenta la canule, doucement elle la fit pénétrer, instruite par la fessée à la brosse, Élisabeth se laissa faire. La situation était humiliante surtout que Amelie était présente mais elle savait que Sophie n'attendait qu'une occasion pour la fesser. La canule pénétrait doucement dans le fondement d'Élisabeth, Sophie prenait un malin plaisir à faire durer l'humiliation, elle retirait légèrement l'instrument puis le réintroduisait plus profondément, quand il eu entièrement disparu dans l'orifice, elle relâcha les deux fesses qu'elle tenait écartées, seul le tuyau dépassait de la raie fessière. Elle ouvrit le robinet du bock à lavement.





- je vous ai gâtée, 2 l, vous ne bougez plus, vous allez le garder le temps que je m'occupe de madame Ducs.

Amelie sursauta en entendant son nom, il faudrait qu'elle s'y fasse, maintenant qu'elle était une pensionnaire de l'institut la discrétion n'était plus de rigueur et tout le monde connaissait les noms des messieurs et des dames qui recevaient la fessée déculottée. Délaissant Élisabeth, Sophie se tourna vers Amelie et lui désignant le lit d'examen

- en place madame, on va examiner ces petites fesses.

Amelie se rendit compte à cet instant qu'elle avait assisté à l'humiliation publique de madame De Nouvel mais que maintenant c'était elle qui allait se faire déculotter et mettre un thermomètre dans les fesses et ceci en public. Sophie saisi l'élastique de la culotte et la fit descendre jusqu'à mi cuisse. Ce qui gênait le plus Amelie, n'était pas de montrer ses fesses après tout si elle voulait faire disparaître sa cellulite, il fallait bien en passer par la, non ce qui était particulièrement gênant c'était de se faire déculotter, ce retour à l'enfance ou sa maman lui baissait la culotte était très humiliant. La jeune assistante procédait maintenant à un examen minutieux du fessier, malaxant les rotondités, introduisant ses doigts entre les cuisses et les fesses, instruite par les jours précédents et ne désirant pas s'exposer à la fessée, Amelie se laissait faire.

- ces fesses commencent à acquérir de la souplesse, nous sommes sur la bonne voie, il reste quelques rougeurs des fessées d'hier, j'espère que vous serez sage aujourd'hui. Desserrez moi ça que je vous mette le thermomètre.



Le tube en verre pénétra doucement, comme à son habitude, Sophie faisait durer le plaisir, après de multiples aller et retour, l'instrument médical avait presque disparu complètement quand dans un mouvement incontrôlé, Amelie contracta ses fesses ce qui eu pour effet de repousser le thermomètre, immédiatement Sophie tout en maintenant l'instrument en place administra une dizaine de claques sur la croupe tendue.

- a pas de ça madame, si vous recommencez c'est la fessée à la brosse et je vous mets au secrétariat avec le thermomètre dans le derrière pendant toute la matinée.

La menace terrifia Amelie qui s'appliqua à relâcher ses muscles fessiers. Quelques instants plus tard l'instrument bien en place ne dépassait plus qu'à peine au milieu des fesses serrées. Satisfaite, Sophie lui tapota le derrière comme elle l'aurait fait avec un enfant, puis elle se tourna vers la baronne De Nouvel toujours en position sur le banc de lavement, le tuyau dépassant de sa raie fessière.

- alors madame, ce lavement c'est bien passé ? Vous verrez ça fait le plus grand bien, oui, je sais, 2 litres à garder 10' c'est un peu long, mais ça vous apprendra à désobéir, quand je dis que je ne veux rien entendre, ce n'est pas la peine de gémir. Bon je retire la canule et vous allez pouvoir vous soulager, je vous conseille de bien serrer les fesses !

Ce fut un spectacle assez curieux que de voir cette dame, tenant sa jupe retroussée, découvrant des bas tenus par des porte-jarretelles, la culotte descendue à mi cuisse, marchant à petit pas, les fesses rouges bien serrées. Sophie se mit à rire.

- allez, on se dépêche mademoiselle cul serré, et on revient vite se coucher sur mes genoux pour une bonne fessée.

Au comble de la confusion Élisabeth se rendit aux toilettes et en revint peu après tenant toujours sa jupe retroussée et les joues empourprées par la honte. Sophie l'attendait assise sur une chaise, elle la bascula en travers de ses genoux et immédiatement commença à lui administrer une vigoureuse fessée.



- voilà qui va assouplir ces fesses, elles sont prêtes à recevoir le plug.

L'aristocrate un peu snob de 62 ans n'était plus qu'une fillette implorant le pardon, promettant d'être sage, enfin toute chose incongrue dans sa bouche habituellement. Cessant la fessée, Sophie saisi le plug qu'elle avait préparé et le posa sur la rondelle qui avait déjà été préparée par le passage de la canule, et malgré les gémissements de sa punie elle l'introduisit profondément jusqu'à ce que la butée.

- voilà, il est bien en place, je vous ai gâtée, un plug numéro 2, ça vous garni bien un derrière, bien mademoiselle tapecul va s'occuper de ce joli postérieur.

Elle avait pris la raquette en cuir, spécialité de la maison, elle l'avait rebaptisé de ce nom très évocateur de son usage et en effet mademoiselle tapecul remplissait parfaitement sa fonction, les cris et supplications d'Élisabeth remplissait la pièce, Aurèlie était arrivée et elle était venue assister à la fessée, elle appréciait en souriant la technique de sa collègue. Quand la croupe fut parfaitement colorées sur toute sa surface, la jeune femme cessa la punition mais elle garda quelques instants sa punie en position disciplinaire, celle-ci à présent pleurait doucement, ses fesses se contractait et s'ouvrait largement laissant voir son intimité mais la dame allongée sur les genoux de Sophie ne se souciait plus de pudeur, elle cherchait à diminuer la cuisson qui lui embrasait les fesses. Jugeant l'exposition suffisante Sophie l'a fit se relever, et s'adressa à Aurèlie.

- peux-tu me rendre service et me mettre cette dame au coin, je dois m'occuper de madame Ducs.

Ravie de l'occasion de parfaire l'humiliation de cette aristocrate, Aurèlie saisit Élisabeth par l'oreille comme une mauvaise élève et tout  en accompagnant sa marche de bonne claques sur le fessier écarlate, elle la conduisit au coin.

Pendant ce temps, Sophie avait retiré le thermomètre, qui garnissait le fondement d'Amelie depuis une bonne vingtaine de minutes et quelques instants plus tard celle ci se retrouvait dans la posture classique allongée sur les cuisses de la jeune femme pour une fessée thérapeutique.

Le traitement se déroula sans problème particulier, Amelie apprenait vite et les fessées successives avaient eu raison de sa pudeur, elle se laissa mettre le suppositoire sans rechigner. Quand elle fut rhabillée elle vit que madame De Nouvel était toujours au coin, ses fesses encore parfaitement colorées, elle se demanda si elle allait passer la matinée à exposer ses fesses, la réponse arriva par Sophie

- madame De Nouvel, venez me voir, tournez vous, parfait ce plug est bien en place, vous pouvez vous reculottez. Aurèlie vous attends à midi précise pour la pénitence. Vous aussi Amelie.

Celle-ci fit la grimace en entendant que c'était la plus jeune des assistantes qui se chargerait de leur punition, car si les fessées de Sophie étaient sévères, Aurèlie faisait preuve de plus de perversité, elle serra les fesses sous sa jupe, il lui restait 2 h, pour faire refroidir sa croupe.

La semaine se passa relativement bien pour Amelie, elle n'eut droit qu'à une sévère fessée administrée avec générosité par Aurèlie à l'aide de mademoiselle tapecul, évidemment elle n'évita pas ce jour là l'humiliante exposition de son derrière écarlate dans un coin du secrétariat, le nez bien collé contre le mur.



 Chaque matin elle retrouvait sa compagne d'infortune la baronne De Nouvel qui devait être pluggée toute la semaine avec un minimum de 3 fessées, une le matin, une à midi et une le soir au retrait de l'instrument punitif, bien sûr les deux jeunes femmes ne se contentaient pas de ce tarif de base et la pauvre Élisabeth gardait les fesses rouges toutes la journée.

Le samedi arriva et Amelie se rendit à l'institut à 14h pour la visite hebdomadaire de contrôle, c'était Sophie qui officiait ce jour là. Comme le premier jour elle prit les mensurations d'Amelie, elle avait immédiatement baissé la culotte de celle-ci au niveau des genoux si bien que c'est fesses à l'air qu'Amelie subit tout son examen, y compris la pesée, elle l'a fit coucher sur ses genoux pour lui examiner les fesses, comme à son habitude elle ne se gêna pas pour forcer l'intimité de sa patiente, elle écarta largement les deux hémisphères rebondis, glissa sa main entre les cuisses et palpa toute la surface exposée par la position. Amelie se laissa faire, c'était très humiliant de se faire traiter ainsi mais la crainte d'une cuisante fessée avait raison de sa pudeur. Sophie lui permis de se relever et la laissant toujours cul nu, elle rentra les données dans l'ordinateur.

- nous avons un problème madame, vous n'avez pas perdu un gramme, ni un centimètre de tour de fesses, de plus le logiciel m'indique que vous avez grignoté.

Amelie protesta de sa bonne foi

- je vous conseille de dire la vérité madame, une entorse aux prescriptions vaut une bonne fessée déculottée, mais un mensonge en plus vaut une semaine de pénitence à midi avec trois fessées à chaque fois.

Amelie bredouilla, les joues aussi rouges que ses fesses après un passage sur les genoux de madame Rose

- euh, oui, c'est à dire, euh… oui j'ai pris un carré de chocolat le midi avec mon café

-  c'est tout ?

Sophie tapotait, le bureau et regardait en souriant la dame devant elle, la culotte baissée exposant son intimité, elle décida de pousser son avantage.

- tournez-vous pour me montrer vos fesses, elles sont encore blanches, mais ça ne va pas durer, oh vous pouvez les serrer ça ne vous évitera pas la bonne déculottée que je vous réserve, il vaudrait mieux que vous me disiez tout.

Amelie avoua, également les petits croissants du matin. Sophie notait tout sur l'ordinateur.

- bien, je vais vous donner les résultats fournis par le logiciel concernant la suite du traitement, devant l'inefficacité de la première semaine, nous passons dés lundi à deux séances par jour et trois suppositoires, vous viendrez le matin à 8h et le soir à 17h pour une séance améliorée, il faudra augmenter la température de la peau, et vous viendrez à midi vous faire mettre un suppositoire.

Amelie, lui fit remarquer qu'elle pouvait peut-être se le mettre toute seule, elle s'attira une remarque cinglante

- ce n'est pas à vous de décider de la thérapie madame, en plus je ne pense pas qu'on puisse vous faire confiance, vous viendrez présenter vos fesses tous les midis, un point c'est tout ! Le logiciel m'indique également la punition méritée pour vos écarts de régime, une double fessée publique. Vous pouvez vous rhabiller.

Un peu surprise par cette ordre, alors que Sophie venait de lui annoncer une fessée, Amelie s'exécuta. Des qu'elle fut prête, Sophie l'a saisi par l'oreille et l'amena dans le hall d'accueil, Aurèlie présentait les produits à un couple, une dame attendait son tour et un monsieur exposait au coin une magnifique paire de fesses rougies et striées par la canne. Amelie compris pourquoi elle avait été autorisée à se rhabiller, c'était pour qu'elle subisse l'humiliation du retroussage de sa jupe et du déculottage en public. Sophie s'était assise sur une chaise confortable placée au milieu de la pièce de façon que toutes les personnes présentes aient une vue parfaite sur les fesses d'Amelie. Elle fit signe à celle-ci de se mettre en position. Abasourdie par ce qui allait lui arriver et qui dépassait tout ce qu'elle aurait pu imaginer comme dans un rêve elle se retrouva couchée en travers des cuisses de la jeune femme, celle-ci corrigeant un peu la position de façon à ce que les fesses soient bien à sa portée lui annonça

- vous avez désobéi madame, vous savez ce qui arrive aux dames désobéissante, non ?

La main avait claqué le fond de la jupe

- je vais vous rafraîchir la mémoire, les dames désobéissante reçoivent la fessée, répétez après moi, j'ai désobéi et je mérite une bonne fessée

La main claqua à nouveau et Amelie au comble de la confusion obéi cette fois-ci.

- euh… j'ai.. désobéi et euh, je mérite une bonne fessée.

- c'est bien, mais vous connaissez la maison, ici la fessée est toujours déculottée.

Joignant le geste à la parole, elle retroussa largement la jupe puis elle caressa la culotte qui moulait parfaitement le fessier découvrant légèrement le bas des fesses et le pli séparant la région fessière des cuisses.

- une fessée déculottée, madame voilà ce que vous méritez, je vais donc baisser votre culotte pour que tout le monde puisse voir vos jolies fesses et que tout le monde comprenne ce qui arrive quand on a désobéi.

Elle prenait son temps pour faire glisser la culotte, lentement celle-ci descendait, découvrant peu à peu des fesses blanches, serrées par la crainte. Amelie n'avait encore jamais reçu une fessée en public, certes il y avait eu des témoins à ses précédentes corrections mais c'était soit une des trois fesseuses de l'institut ou un autre pensionnaire, mais en général celui-ci était déculotté, les fesses rougies et il attendait la suite nez au mur. A cet instant elle exposait sa croupe dénudée à deux personnes inconnue et habillée. Le couple d'ailleurs ne perdait pas une miette du spectacle offert bien malgré elle par Amelie. Le monsieur montrait un visage un peu inquiet devant le discours de Sophie quant la dame semblait l'approuver.

S'adressant à son mari

- tu vois mon chéri, il n'y a pas que toi qui reçoit la fessée déculottée quand il n'est pas sage. Regarde la dame, elle doit avoir ton âge et elle montre bien ses fesses !

- vous voilà prête madame, une bonne fessée déculottée sur ces fesses si bien présentées.

Amelie ferma les yeux dans l'attente de la première claque, les commentaires de la cliente l'avait convaincu, elle était passée du côté des gamines que l'on trousse et déculotte dès qu'elle l'ont mérité, elle n'était pas loin maintenant d'en être convaincue, peut-être avait elle mérité la fessée qu'elle allait recevoir, elle n'eut pas le temps de réfléchir longtemps au bien fondé de sa punition car la brûlure ressentie était supérieure à ce qu'elle avait déjà enduré, Sophie avait pris une paddle, sorte de raquette en bois assez lourde percée de trous pour ne pas ralentir sa course dans l'air et elle claquait joyeusement les deux fesses à sa disposition.



 La fessée à la paddle est terrible au bout de 50 claques les deux hémisphères jumeaux ne faisaient plus qu'une boule rouge bien compacte, Amelie serrait et desserrait ses fesses au rythme des claquades, elle hurlait sous la cuisson, battait des jambes désespérément mais Sophie l'a maintenait en bonne position, elle avait décidé que pour sa première vraie fessée publique, Amelie devait s'en souvenir aussi elle continua imperturbablement la punition, une centaine de claques plus tard, Amelie anéantie et en pleurs se laissa aller, toujours couchée en travers des cuisses de sa fesseuse, indifférente à l'humiliation et au spectacle qu'elle avait offert bien malgré elle. Sophie l'a fit se relever et imperturbable lui saisi à nouveau l'oreille pour la conduire au coin, la jupe fut épinglée dans le dos pour bien découvrir le fessier écarlate, la culotte descendue aux chevilles dans les mouvements désordonné de la punie fut remontée à mi cuisse, de façon à offrir un écrin très suggestif aux deux magnifiques fesses rouges.

- voilà pour la première de vos fessées, vos fesses vont refroidir pendant une heure, ensuite vous reviendrez sur mes genoux.

Amelie pleurait doucement, le nez collé au mur et les mains sur la tête, elle entendit cependant la fin de la phrase, sa punition n'était pas terminée, elle devrait à nouveau se coucher dans cette position enfantine pour présenter ses fesses à la main de Sophie.

Les deux clients avait apprécié le spectacle, Christine se tourna vers Hervé son mari

- c'était vraiment une belle fessée, qu'en penses-tu mon chéri ?

Puis s'adressant à Aurèlie qui avait sorti sur le comptoir divers instruments de correction dont la fameuse tapette en cuir appelée "mademoiselle Tapecul"

- dite moi mademoiselle, est ce qu'on peut essayer les instruments ?

Hervé pâli, Aurèlie qui avait compris ce qui allait se passer lui confirma que c'était possible et lui désigna la chaise qui avait servi à la fessée d'Amelie.

- aucun problème, la place est chaude.

Christine prit mademoiselle Tapecul d'une main et de l'autre elle saisi l'oreille de son mari

- en piste mon chéri, depuis la fessée de ce matin ton derrière à du refroidir.

Hervé protesta faiblement,

- non, s'il te plaît, pas ici

- et pourquoi pas ici, tu as bien profité des fesses de la dame et bien maintenant c'est à toi de montrer les tiennes.

Elle s'était assise sur la chaise et elle dégrafait le pantalon, celui ci descendit sur les chevilles et immédiatement, Christine fit basculer son mari en travers de ses genoux. Sophie et Aurèlie en fesseuses expérimentées appréciaient la technique et la docilité du puni, il n'avait pas résisté, il exposait maintenant une culotte blanche qui était à l'évidence une culotte de grande fille style petit bateau, Christine lui faisait porter ce genre de sous vêtement pour bien lui faire comprendre la position qui était la sienne à savoir un monsieur qui malgré son âge était soumis à une discipline domestique stricte. La culotte un peu petite pour le fessier du monsieur rentrait légèrement dans la raie fessière, mais elle ne resta pas longtemps en place, Christine déculotta prestement son mari qui exposa comme Amelie auparavant une magnifique paire de fesses bien musclées par l'application régulière de fessées, la tapette en cuir entra en action et Hervé offrit immédiatement le spectacle d'une trépidante danse des fesses. Mademoiselle Tapecul faisait un travail remarquable en quelques instants le postérieur du monsieur ressemblait à celui d'Amelie.




- ça claque, mon chéri ? C'est parfait tes petites fesses ressemblent à celle de la dame, tu vas aller la rejoindre au coin que l'on puisse comparer.

Hervé larmoyant fut conduit à côté d'Amelie, effectivement la couleur des fesses était très ressemblante.

C'était somme toute un après midi normal à l'institut, aux coins de la pièce, trois derrières déculottés bien rouge et de l'autre côté, trois dames conversant sur les bienfaits de la fessée pour l'harmonie des ménages ou pour traiter les bourrelets disgracieux lié aux abus de chocolat. C'était la fin de la pénitence pour Hugues, Aurèlie l'autorisa à se reculotter, il passa en rougissant devant les deux dames qui avaient pu admirer ses fesses rougies et striées, il régla la prestation, Christine se décida pour l'achat de mademoiselle Tapecul et d'un martinet de voyage, elle l'essaya sur les fesses de son mari qui trépigna courbé sous son bras et il put enfin remonter sa culotte sur une paire de fesses bien rouge.

II ne restait plus que la pauvre Amelie à exposer sa croupe écarlate, Sophie consulta sa montre,

- bien, madame, il est l'heure. En piste pour votre deuxième fessée.

Elle décida d'utiliser une position nouvelle pour Amelie, celle dite "à l'écolière", posant son pied sur un tabouret elle fit basculer sa patiente sur sa cuisse horizontale, ses pieds quittèrent le sol, elle se cramponna au tabouret, ses fesses étaient exposées dans toute leur splendeur, parfaitement bombées par la position. Cette situation finissait de ramener cette dame d'une cinquantaine d'années à son enfance quand son institutrice l'avait corrigé un jour devant toute la classe, mais elle s'était contentée d'une rapide fessée sur la culotte, aujourd'hui celle-ci était baissée au milieu de ses cuisses. Sophie se contenta d'une vigoureuse fessée manuelle, la croupe déjà bien échauffée par la fessée précédente repris rapidement une bonne couleur et les cris et gesticulations des jambes d'Amelie montrait l'efficacité de la correction. 



Quand elle l'a reposa par terre des larmes coulaient sur ses joues rouges, c'était du autant à la cuisson qu'à l'humiliation subie d'avoir été fessée à la main dans cette position. Sophie l'a fit venir au bureau en lui demandant de tenir sa jupe troussée, elle avait devant elle le carnet de suivi.

- je note donc les deux fessées de ce jour, ce qui nous fait si je compte bien 6 fessées dans la semaine, vous savez qu'au delà de 5 fessées vous devez venir en pénitence à midi toute la semaine, on en profitera pour vous mettre le suppositoire.

Amelie se rendit compte que la semaine prochaine, non seulement elle devrait venir matin et soir pour son traitement, elle se doutait bien que ces deux petites garces en profiteraient pour lui claquer le derrière tout à leur aise mais en plus tous les midis, elle serait déculottée et fessée devant ses compagnons d'infortune et qu'on lui mettrait un suppositoire en public. Dans sa tenue jupe retroussée et fesses à l'air elle n'était pas en position pour discuter. Elle acquiesça sans mot dire et put enfin cacher ses fesses rougies sous sa culotte. 

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