mardi 15 février 2022

l'institut chapitre 7

Traitement de la cellulite





Amelie était complexée depuis des années par ses fesses qu'elle trouvait trop grosse, pas assez ferme et en plus dotée d'une culotte de cheval. A force d'en parler avec son amie Sylvie, celle-ci lui avait conseillé de prendre un rendez-vous à l'institut de madame Rose. C'est Sophie qui l'avait accueilli et après lui avoir présenté l'institut lui avait fait signer l'adhésion qui contenait l'acceptation d'un certain nombre de conditions qui avaient un peu intriguée Amelie, notamment celle concernant un éventuel recours à des techniques de fessothérapie qui pourraient à l'occasion être punitive. Rassurée par les recommandations de son amie Sylvie et ne se sentant pas concernée elle avait apposé son paraphe sans hésitation. Sophie lui annonça la suite.

- bien suivez moi dans la salle de traitement, nous allons faire votre dossier, déshabillez vous, gardez simplement votre soutien gorge et votre culotte.

Amelie un peu surprise de devoir répondre au questionnaire dans cette tenue, s'exécuta. Sophie assise à une petite table lui posa des questions sur son hygiène de vie et son alimentation puis elle pris un mètre à ruban

- bien passons au mensurations

Elle se leva et entrepris de mesurer Amelie sous toute les coutures, les cuisses, la taille puis elle l'a fit pivoter et lui descendit la culotte sous les fesses, un peu surprise, Amelie poussa un petit cri, Sophie éclata de rire

- et bien, madame vous en faites une histoire, vous savez j'ai déjà vu des fesses et il me semble que c'est votre problème, je peux vous dire que ce n'est pas la dernière fois que je vais les voir, ici on montre ses fesses très souvent.


Amelie ne comprit pas l'allusion, elle aurait l'occasion effectivement de s'en rendre compte plus tard. Pendant ce temps Sophie avait entouré le derrière de sa patiente avec le mètre et avait noté soigneusement les mensurations puis sans lui remonter la culotte elle l'a fit monter sur la balance. Amelie impressionnée par la réflexion précédente n'osait pas se reculotter et c'est les fesses à l'air qu'elle finit son examen. Sophie lui expliqua qu'elle allait rentrer toutes ces données dans un programme informatique qui lui donnerait exactement le traitement, sa durée et la posologie. En attendant elle lui expliqua le déroulement d'une séance.

- je vais mesurer votre température corporelle que je comparerai avec la température de votre peau, ensuite je ferai monter votre température de peau par une fessée thérapeutique ceci à pour but de faciliter l'absorption de la crème que je vous appliquerai, ensuite après un massage pour faire pénétrer la crème, j'échaufferai à nouveau la peau avec une fessée thérapeutique, suivra l'administration d'un suppositoire et une période de relaxation terminera la séance.

Amelie avait écouté un peu inquiète tout ce qui l'attendait, mais Sophie ne lui laissa pas le temps de poser des questions, elle l'invita à se coucher sur la table d'examen pour un examen de ses fesses, un peu gênée par la situation, Amelie s'exécuta, Sophie lui baissa un peu plus la culotte et entrepris de palper la croupe rebondie de sa patiente, elle introduisit ses doigts dans la raie fessiere suscitant un petit réflexe de surprise chez Amelie, une petite claque sur les fesses la ramena à la réalité, elle devait se soumettre aux examens nécessaires et abandonner toute pudeur.

- il va falloir vous détendre madame, ce traitement concerne vos fesses, il me semble, si vous ne me laissez pas les examiner, nous allons avoir un problème.

Le ton était sans réplique, finalement Amelie se laissa faire et Sophie pris tout son temps, pinçant un peu la peau pour apprécier la cellulite, tapotant la base du fessier, puis jugeant que sa patiente était devenue suffisamment docile elle lui annonça qu'elle allait lui prendre la température, Amelie rougit, elle ne s'était pas imaginé que la prise de température serait rectale, elle fit mine de protester, Sophie l'interrompit sèchement

- cessez ces enfantillages, la température rectale est la seule exacte et puis je vous ai déjà dit que j'aurais souvent l'occasion de voir vos fesses.

Elle baissa la culotte jusqu'au genoux et pris le thermomètre.

- bien, madame, il va falloir vous détendre, je suppose que ce n'est pas la première fois qu'on vous met un thermomètre dans le derrière, allez écartez moi un peu ces fesses.

Ce faisant, elle tapotait l'intérieur des cuisses d'Amelie, qui résignée mais honteuse s'exécuta. La dernière fois qu'on lui avait pris la température de cette manière, elle devait avoir 10 ans et c'était sa mère qui officiait. La, elle avait 40 ans et la personne qui lui introduisait le thermomètre avait 20 ans et ne se gênait pas pour la traiter quasiment comme une gamine capricieuse. L'instrument médical avait forcé l'entrée du petit trou comme lui avait dit Sophie en riant, maintenant celle ci tout en maintenant les fesses écartées le faisait coulisser lentement, le retirant légèrement puis l'introduisant chaque fois un peu plus profondément, Amelie au comble de la confusion ne disait plus rien, quand le petit bout de verre ne dépassa plus que de un centimètre de l'anus, Sophie relâcha les deux hémisphères bien charnus et il ne dépassa du sillon fessier que l'extrémité du thermomètre. Sophie tapota les fesses de sa patiente.

- c'est bien, vous avez été sage, vous allez garder ce thermomètre pendant 10 ', je reviens, détendez vous.



Amelie était abasourdie en a peine 1/4h elle était retombée en enfance, déculottée comme une gamine par sa mère et maintenant allongée sur cette table d'examen, exposant ses fesses. Quelques minutes plus tard la porte s'ouvrit c'était Aurèlie l'autre assistante de madame Rose qui venait chercher un instrument, elle laissa la porte grande ouverte sur le hall, Amelie imaginait bien que toutes les personnes présentes pouvaient la voir dans cette position humiliante, déculottée avec un petit bout de thermomètre dépassant de sa raie fessière, Aurèlie s'approcha d'elle.

- tout ce passe bien ? Bon le thermomètre est bien en place à ce que je vois, ne le faites pas ressortir, sinon gare !

En disant ces mots elle avait tapoté les fesses d'Amelie, qui trouvait décidément que son postérieur attirait beaucoup les mains de ces jeunes femmes. Aurèlie sorti mais elle ne prit pas la peine de refermer complètement la porte ce qui mit dans l'embarras Amelie, mais lui permis de constater qu'elle n'était pas la seule à montrer ses fesses. En effet Aurèlie s'occupait d'une dame qui devait avoir un certain âge à sa voix, elle suppliait la jeune femme de lui épargner la punition promise en lui disant qu'elle avait déjà été beaucoup punie ce matin, ce qui avait pour résultat de bien faire rire la jeune femme.

- je le sais bien madame, vos fesses rouges sont la preuve que madame Rose vous a bien soignée, mais ce n'est pas à vous de juger si la punition est suffisante, je pense que vous avez mérité une autre fessée et je peux d'ores et déjà vous annoncer que vous en aurez une de plus pour cette demande incongrue, aller, cessez de pleurnicher et présentez moi un peu mieux ces fesses, c'est parfait voilà, encore un peu mieux tendues, vous allez goûter au martinet.

Les cris et le claquement des lanières furent le signe que la fessée venait de commencer, Amelie frissonna en pensant à ses fesses déculottées et si vulnérable dans cette position. Elle n'eut pas longtemps à méditer sur les risques que prenaient ses fesses à être si avantageusement présentées, Sophie entra dans la pièce.

- bon, ça c'est bien passé ? Vous voyez bien que se faire prendre la température, ce n'est pas si terrible que ça, bien voyons.

Tout en disant cela, elle avait écarté les fesses et délicatement, elle retirait le thermomètre.

- 36,8 parfait, une température normale, maintenant il faut que nous fassions monter la température de la peau de ces fesses un peu plus haut pour que la crème fasse son effet. Levez vous et venez sur mes genoux.

Interloquée mais ne préférant pas se faire remarquer, Amelie s'exécuta, Sophie s'était assise sur une chaise et elle tapotait ses cuisses pour bien indiquer à sa patiente l'endroit où elle devait se coucher. Devinant les pensées d'Amelie elle lui expliqua la suite des opérations.

- nous allons passer à la fessée thérapeutique, c'est le meilleur moyen pour échauffer la région fessière et pour appliquer la fessée, la meilleure position c'est celle que les mamans utilisent pour fesser leurs progénitures.

Amelie n'en croyait pas ses oreilles, à 40 ans, elle se retrouvait effectivement dans la posture très désagréable d'une gamine s'apprêtant à recevoir une bonne fessée déculottée. Sophie connaissait son métier, une fessée thérapeutique n'avait rien à voir avec une fessée punitive si ce n'est la position. Elle commença donc à administrer des petites claques bien réparties sur toute la surface de la croupe étalée devant elle. Au bout de quelques instants, la peau des fesses commença à se colorer, Amelie était surprise, dans ses lointains souvenirs les fessées qu'elle avait reçue de sa mère étaient très douloureuses mais là, elle ressentait juste un léger picotement, si ce n'avait été la position très humiliante pour une dame de son âge la fessée thérapeutique n'était pas si terrible que ça. Sophie s'arrêta pour apprécier la chaleur du derrière de sa patiente.

- bien, l'échauffement est en bonne voie, détendez vous, je vais maintenant passer à une cuisson un peu plus vive, ça va être un peu plus désagréable, mais ça ne durera pas longtemps.

Elle reprit la fessée mais maintenant les claques étaient beaucoup plus appuyées, la main bien ouverte prenait la forme de la fesse, celle ci sautait et se contractait à chaque claque. Amelie avait sursauté au premier coup, elle s'était juré de ne rien dire mais soudain la brûlure de son fessier devenant plus vive, elle se mit à gémir et bientôt demanda à Sophie de claquer moins fort, celle ci se mit à rire.



- cessez ces pleurnicheries, on dirait vraiment une petite fille qui reçoit une fessée bien méritée.

Cette humiliante comparaison eut raison d'Amelie, qui se contenta de gémir doucement pendant toute la durée de sa "punition" thérapeutique. Quand Sophie cessa la fessée, les deux hémisphères rebondis étaient rouges vifs sur toutes leurs surfaces. Elle tâta l'épiderme

- voilà, nous avons atteint la bonne température, vous avez été très sage, c'est bien, nous allons appliquer la crème.

Amelie avait l'impression de vivre un rêve éveillé, cette jeune femme, la traitait vraiment comme une gamine que l'on peut trousser, déculotter et fesser à sa guise et en plus elle la félicitait pour sa sagesse !

Sophie appliquait la crème sur toute la surface de la croupe brûlante, n'oubliant aucune zone, ses doigts s'immisçant même dans la raie fessière provoquant une gêne chez sa patiente, quand le rouge des fesses eut disparu sous la crème, elle fit relever Amelie.

- bien, vous allez vous allonger sur le ventre, il faut 1/2 h à la crème pour faire son effet, détendez vous, je vous laisse.

Amelie se retrouvait à nouveau allongée sur la table d'examen, culotte baissée aux genoux exposant ses fesses. Évidemment, Sophie ne ferma pas la porte et les deux assistantes ne cessèrent pas d'aller et de venir pendant la durée de l'exposition de son fessier. Les fessées ne cessaient pas dans le hall ou dans le bureau de madame Rose, c'était une suite continue de bruits de claques retentissant sur la peau nue et de pleurs ou des gémissements des punis. Sa position vulnérable inquiétait Amelie dans cet environnement sonore.

Au bout de la 1/2 h, Sophie l'a fit se relever et l'invita à nouveau à se coucher sur ses genoux.

- nous allons faire pénétrer la crème par un petit massage fessier, puis nous réchaufferons à nouveau l'épiderme.

La jeune femme se mit à masser énergiquement les deux globes jumeaux, la crème disparu rapidement, les fesses étaient encore bien colorées, Sophie posa sa paume pour apprécier leur chaleur.

- bien, une petite fessée thérapeutique pour faire réchauffer ces petites fesses et nous passerons au suppositoire.

Amelie frissonna à cette annonce, elle avait oublié cette partie du traitement, elle n'allait quand même pas lui mettre un suppositoire et en plus dans cette position. Elle n'eut pas le temps de protester, la main de Sophie avait repris son œuvre sur ses fesses et la brûlure était plus forte que précédemment, sans doute due à l'action de la crème et à la fessée précédente, elle se remis à gémir mais se garda bien de se plaindre pour s'éviter des réflexions humiliantes. Quand le fessier eut retrouvé sa belle couleur rouge, Sophie sans lui laisser le temps de réagir, écarta avec deux doigts la raie fessière pour mettre à jour le petit trou comme elle disait et elle appuya le suppositoire qui était d'une taille remarquable pour le faire pénétrer. S'en était trop pour Amelie qui resserra vivement ses fesses. Sophie s'y attendait, elle reposa le suppositoire et appliqua quelques claques vigoureuses sur les fesses tendues.

- ah ça madame c'est rigoureusement interdit et ça pourrait vous valoir une vraie fessée, desserrez moi ces fesses immédiatement.

Amelie surprise par la réaction de Sophie et la cuisson de ses fesses obéit instantanément. Le suppositoire disparu dans son fondement, Sophie resserra immédiatement les deux fesses,

- parfait, maintenant vous pouvez serrer vos fesses, le suppo ne doit pas ressortir, sinon gare !



Une petite claque avait accompagné ses paroles. Aurèlie du se recoucher sur la table d'examen et rester à exposer ses fesses rougies pendant encore 1/4 h. Puis elle fut autorisée à se rhabiller. Sophie lui donna rendez-vous pour le lendemain en lui disant que toutes ses données étaient rentrées dans l'ordinateur et que demain elle pourrait lui donner la durée du traitement et un régime à suivre.

Le lendemain Amelie était à l'heure au rendez-vous, elle avait ruminé toute la nuit, mais finalement elle s'était résolue à continuer le traitement. Après tout, les petites humiliations étaient vite oubliées et les fessées thérapeutique pas si douloureuses que ça et surtout elle avait vraiment envie de faire disparaître cette cellulite, si il fallait en passer par la, tant pis.

Ce fut Aurèlie qui l'accueilli avec un sourire un peu moqueur

- aujourd'hui c'est moi qui vais m'occuper de vos petites fesses, la nuit s'est bien passée pas de problème à me signaler, bien vous allez dans la salle de traitement et vous vous déshabillez, comme hier, en soutien gorge et culotte.

Amelie sans discuter, s'exécuta, la jeune assistante répondait au téléphone, elle l'a laissa ainsi en sous vêtement avec la porte grande ouverte pendant une dizaine de minutes.

- bien comme hier, on commence par un examen des fesses, venez ici.

Amelie se dirigeait vers la table d'examen, mais Aurèlie s'était assise sur une chaise et elle lui faisait signe de venir s'allonger sur ses genoux, devant le regard interrogateur d'Amelie, elle précisa.

- chacune sa technique, Sophie examine sur la table, moi je préfère avoir la patiente sur mes genoux, l'examen est plus facile et plus précis.



Amelie pensa en elle même que cette jeune femme devait être très perverse et qu'il valait mieux ne rien dire sous peine de problème. Elle aborderait la question avec Sophie. Elle s'allongea donc docilement sur les cuisses de la jeune femme, celle ci lui baissa la culotte jusqu'aux genoux, Amelie avait la désagréable impression d'être déculottée avant de recevoir une fessée, Aurèlie commença comme hier Sophie l'avait fait, à palper et même à pincer légèrement les deux globes jumeaux, elle lui fit écarter les cuisses, puis insinua ses doigts dans la raie fessière, Amelie contracta ses fesses, quelques claques eurent tôt fait de la ramener à la raison

- détendez vous madame, je dois examiner vos fesses pour apprécier l'efficacité du traitement, bien on va prendre la température.

Amelie failli protester, mais elle se retint, décidément cette petite était terrible, elle allait lui prendre la température allongée sur ses genoux, elle écarta les fesses et posa l'extrémité du thermomètre sur l'anus et le fit rentrer progressivement, comme Sophie l'avait fait hier, elle introduisait l'instrument puis le ressortait pour l'enfoncer chaque fois un peu plus profondément, quand elle jugea que le thermomètre était assez enfoncé c'est à dire ne dépassant presque plus, elle relâcha les fesses, comme elle en avait l'habitude elle claqua légèrement les fesses.


- bien voilà un thermomètre bien en place, vous allez me le garder 10 minutes, détendez vous.

Elle prit son téléphone et se mit à converser avec une amie sans se soucier de la dame allongée sur ses genoux, culotte baissée et un thermomètre planté au milieu des fesses. Amelie était depuis 6 à 7 minutes dans cette position inconfortable et peu conforme à son statut de cadre dans une grande société quand madame Rose rentra dans la pièce, elle remarqua que Aurèlie avait posé rapidement son téléphone

- belle position pour la température. Qui est cette dame, il ne me semble pas reconnaître ses fesses.

Aurelie fit les présentations, c'était assez cocasse vu la position et la tenue de la dame. Madame Rose prit l'instrument qu'elle était venue chercher puis en partant, elle s'adressa à Aurèlie

- dès que vous aurez un moment, vous passez me voir dans mon bureau, je pense avoir une petite conversation avec vos fesses.

La jeune assistante rougit, elle savait ce que cela voulait dire, une fessée déculottée et une fin de journée sans culotte, celle ci accrochée sous son nom au secrétariat.

Quand les 10 ' furent écoulées, elle retira le thermomètre et en souriant annonça

- vous connaissez la suite du traitement, madame, la fessée thérapeutique, vous êtes en parfaite position, allez, on se détend.

Elle commença à échauffer lentement le postérieur d' Amelie celle ci connaissait la suite, en effet les claques se firent plus vives et soudain ce fut une avalanche de gifles sur la croupe de la pauvre Amelie qui ne put s'empêcher de gémir et d'implorer la clémence de la jeune femme, celle ci éclata de rire.

- vous êtes bien douillette, tout ça pour une petite fessée, attendez que je m'occupe de vos fesses quand vous ne serez pas sage, la vous pourrez vraiment vous plaindre, bon ces fesses me semblent à bonne température.

Elle appliqua largement la crème puis fit se relever sa patiente, Amelie était rouge de honte d'avoir été traitée comme une gamine par Aurèlie qui aurait pu être sa fille. Elle avait passé pas loin de 20 ' allongée sur ses genoux à présenter ses fesses, elle fut autorisée à s'allonger sur la table d'examen. Aurèlie la laissa seule, mais sans fermer la porte. Amelie l'entendit taper à la porte de madame Rose et quelques instants plus tard le bruit caractéristique de claques sur la peau nue retentit. Quand Aurèlie ressortit du bureau, elle avait les yeux rougis et elle tenait à la main sa petite culotte blanche, qu'elle accrocha derrière le bureau d'accueil sous l'étiquette de son nom.

Amelie était contente de savoir que cette petite peste avait reçu une bonne déculottée mais elle était inquiète, n'allait elle pas se venger sur ses propres fesses. Aurèlie rentra dans la pièce et d'un ton sec lui intima l'ordre de revenir se mettre en position sur ses genoux, elle massa énergiquement la croupe de sa patiente, puis sans dire un mot, elle commença à lui administrer une fessée, cette fois ci, pas d'échauffement préalable, les claques étaient vives et la brûlure immédiate, Amelie eut beau protester, elle reçu quasiment une fessée punitive.

- voilà un derrière bien chaud, détendez vous que je vous mette le suppositoire

C'était toujours aussi intolérable pour Amelie ce petit viol de son intimité, et elle ne put s'empêcher de serrer les fesses. La sanction fut immédiate, Aurèlie lui administra une sévère claquée, rapide mais très cuisante

- Sophie m'avait prévenue de votre désobéissance d'hier, je crois qu'elle vous avait prévenu que ça méritait la fessée et bien la voilà

Pendant qu'elle parlait, elle continuait à claquer le derrière bien tendu d'Amelie redevenue à l'instant une gamine fessée par sa baby Sitter

- j'espère que ça va vous suffire et que vous allez desserrer vos fesses, sinon je recommence et vous goûterez à la brosse à cheveux

Pleurant à chaudes larmes sous la cuisson, Amelie se résolut à laisser la jeune femme lui écarter largement la raie fessière et lui introduire sans ménagement le suppositoire.

- voilà, c'est fait, tout ce que vous avez gagné, c'est un séjour au coin dans le hall d'accueil, c'est le tarif après une fessée, 1/2 h, nez au mur et mains sur la tête.

Amelie y fut conduite, tenue par l'oreille, devant les deux patients qui attendaient leur tour, elle était morte de honte, elle avait bien vu des punis dans cette position hier, mais il lui semblait que ça ne pouvait pas lui arriver. Elle resta à exposer ses fesses rouges pendant 1/2 h, comme lui avait dit Aurèlie, derrière elle la vie de l'institut continuait, Sophie était arrivée en la voyant dans cette humiliante position elle avait sourit



- a je vois qu'on a toujours du mal à desserrer les fesses pour se faire mettre un suppositoire

Amelie était au comble de la honte, recevoir une fessée déculottée à son âge, être mise au coin fesses à l'air et en plus tout le monde savait qu'on lui avait mis un suppositoire !

Quand sa pénitence fut terminée, Aurèlie l'a conduisit au bureau de madame Rose qui devait lui présenter son bilan et lui indiquer le traitement approprié à sa cellulite, elle ne lui avait pas dit de se reculotter et Amelie n'osait pas le faire, si bien que c'est avec la culotte descendue à mi cuisse qu'elle se présenta devant madame Rose.

Celle ci en souriant lui dit

- alors on a pas été sage à ce que je vois, tournez-vous un peu que je voies ces fesses.

Amelie désormais soumise, s'exécuta, madame Rose s'approcha et l'a fit se pencher légèrement pour bien présenter ses fesses, elle passa la main sur l'épiderme encore rouge des précédentes corrections.

- c'est bien, c'est encore chaud, c'est parfait pour la cellulite. Vous pouvez vous reculotter,  je vais vous expliquer la suite du traitement.

Prenant son courage à deux mains, Amelie osa articuler.

- euh, c'est à dire, je crois que je vais arrêter les séances

Les humiliations et les cuisantes fessées avaient eu raison de son envie de perdre sa cellulite. Madame Rose lui sourit

- comme vous voulez, mais dans ce cas, j'aimerais que vous me donniez votre avis sur les photos que je vais mettre sur notre site de vente de matériel de discipline domestique.

Amelie l'a regarda avec de grands yeux, madame Rose avait tourné l'écran de l'ordinateur pour qu'elle puisse visualiser les photos, elles étaient très évocatrices, on y voyait Amelie, déculottée, couchée sur les genoux de Sophie, les fesses écarlates, une autre l'a présentait toujours dans la même position sur les genoux d'Aurèlie avec le thermomètre dépassant de sa raie fessière et enfin une autre où elle était conduite au coin tenue par l'oreille. Sur chacune de ces photos, on distinguait parfaitement son visage.

- mais, enfin vous n'avez pas le droit

Protesta Amelie,

- je pense que vous avez mal lu, le contrat d'adhésion, vous avez abandonné votre droit à l'image en faveur de l'institut, toutefois je peux comprendre que cela soit un peu gênant, dans ce cas nous ne publierons pas ces photos mais vous devrez accepter de continuer vos séances jusqu'à la fin. Amelie sentit le piège se refermer, elle baissa la tête et fit signe qu'elle acceptait.

- bien, nous réglerons ce petit problème d'indiscipline ultérieurement pour le moment je vais vous expliquer notre thérapeutique. Donc vous allez avoir un carnet de traitement sur lequel est noté vos mensurations, ensuite à chaque séance la thérapeute note le déroulé de la séance. Sur la deuxième partie du carnet, on note les différentes punitions que l'on a été obligé de vous administrer et sur la troisième partie vous devez noter exactement votre alimentation y compris les grignotages, à ce propos, inutile d'essayer de tricher, l'algorithme trouvera rapidement les anomalies et je vous garantis que la sanction sera immédiate.

Vous aurez une séance par jour pendant un mois, le samedi après midi, contrôle du carnet, en fonction des résultats nous adaptons le traitement, nous en profitons pour vérifier si vous avez suivi nos prescriptions de régime et pour finir nous faisons le point sur les punitions reçues, au delà de 3 fessées vous êtes punies la semaine suivante d'une séance de retenue à midi avec fessée et mise au coin, au delà de 5 fessées c'est une semaine de retenue tous les midis. C'est bien compris ?

Amelie était abasourdie par cette succession d'annonces, mais elle acquiesça. Madame Rose s'était levée et avait placé une chaise à côté de son bureau, elle fit un petit signe du doigt à cette dame en culotte debout devant elle, le doigt indiquait ses cuisses. Amelie compris ce qui allait lui arriver, elle s'approcha, un instant plus tard, elle était couchée à plat ventre sur les genoux de madame Rose, celle ci sans attendre saisi l'élastique de la culotte et la fit glisser sous les fesses, elle caressa la peau encore rosée des fessées successives.

- la peau de vos fesses est très douce, signe de l'efficacité du traitement, mais je ne vous ai pas déculotté pour constater le résultat, je vous ai baissé la culotte car vous vous êtes comportée comme une gamine et même à 40 ans, les dames indisciplinées reçoivent la fessée cul nu. Vous allez répéter après moi, "j'ai été vilaine, merci madame Rose de m'administrer la fessée déculottée que j'ai bien mérité", allez vite!

La main avait claqué vigoureusement la croupe d'Amelie. Celle-ci hésita quelques secondes, la main claqua à nouveau

- aie, aie, pardon, oui… Euh, j'ai été vilaine, euh, aie, aie et...merci madame Rose de me donner la fessée déculottée…. Euh, aie, aie que j'ai bien mérité, aie, non, pardon, pardon…



La fessée avait débuté, immédiatement et la main de madame Rose, claquait alternativement la fesse droite puis la gauche, l'épiderme déjà endolori par les précédentes corrections eut vite fait de retrouver une belle couleur carmin. Madame Rose ne s'arrêtait jamais aux premières pleurnicheries comme elle disait, elle fessait jusqu'à l'obtention du repentir de la punie et systématiquement les dames aussi âgées fussent elles, finissaient par pleurer à chaudes larmes comme des petites filles punies par leur maman, elles promettaient d'être sage, de ne plus recommencer enfin toutes choses très inattendue de la part de mère de famille ou même parfois de grand mère. Amelie ne dérogea pas à la règle et ce fut les joues aussi rouges que ses fesses avec des larmes coulant encore qu'elle fut conduite tenue par l'oreille pour une nouvelle séance d'exposition de sa croupe écarlate dans un coin du hall d'accueil, Aurèlie s'était chargée de cette mission avec plaisir accompagnant la marche d'Amelie de quelques solides claques sur les fesses.

- je pense que vous avez compris madame, à partir de maintenant, il va falloir obéir, sinon vos fesses vous cuiront souvent et vous ferez de long séjours au coin.

Amelie resta 1/2 h dans cette humiliante position puis elle dut se présenter toujours déculottée devant Aurèlie qui lui donna 2 rendez-vous pour le lendemain, le premier dès le matin pour la suite du traitement et le deuxième à midi pour sa pénitence, quand ce fut fini, elle courba Amelie sous son bras, et examina son fessier.

- voilà une belle paire de fesses bien rouges et bien douces.

Puis elle leva la main et administra une dizaine de claques sur la croupe si bien présentée, Amelie trépigna sur place mais ne bougea pas, puis Aurèlie la reculotta comme si elle était sa mère et l'autorisa à se rhabiller.

- a demain, madame, soyez à l'heure, c'est Sophie qui fait l'ouverture et elle déteste les retards !

 

 

 

 

 

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