Une institutrice pour madame Dumon
Monique Dumon avait été très occupée entre ses consultations, ses séjours à l'institut de madame Rose, elle avait tenté de faire les lignes d'écriture et la conjugaison prescrite par madame Costa, elle y avait passé une bonne partie de la journée du dimanche mais il lui manquait quelques lignes quand elle se présenta au domicile de sa nouvelle institutrice. Elle se dit que le mieux c'était d'avouer franchement qu'elle n'avait pas pu finir son pensum, dès qu'elle eu fini sa phrase, Florence sans dire un mot, l'a courba sous son bras lui releva la jupe et d'un mouvement sec la déculotta. La fessée qui suivi fut rapide mais extrêmement sévère, Monique trépignait sur place, la punition se déroulait dans l'entrée de l'appartement et bien que la porte fut fermée, elle avait l'impression de recevoir une fessée publique, elle essayait de ne pas trop crier afin que les personnes descendant l'escalier ne soient pas au courant de son infortune. Quand Florence Costa la relâcha, ses fesses avaient repris leur couleur habituelle depuis quelques jours, rouge foncé.
- je déteste la désobéissance, ma petite, nous y passerons le temps qu'il faudra mais je vais vous faire passer ces mauvaises habitudes, pour commencer, vous viendrez en retenue, samedi après midi de 14h à 18h, puisque vous ne faites pas vos lignes à la maison vous les ferez ici et si elles ne sont pas finies vous reviendrez le dimanche ! Ne croyez pas que cette petite fessée solde votre désobéissance, nous réglerons ça tout à l'heure.
Puis saisissant Monique par l'oreille, elle l'a conduisit vers la table où elle la fit asseoir sur une chaise, non s'en avoir au préalable retroussé sa jupe, la culotte était toujours descendue ce qui fit que Monique se retrouva cul nu sur cette chaise. Le contact de la peau de ses fesses endolories avec le cannage la fit grimacer.
- et oui madame, ce n'est pas très agréable, mais ça vous rappellera qu'une autre fessée vous attend. Bien la dernière fois nous avons travaillé l'oral, aujourd'hui nous allons nous occuper de l'écrit, vous allez me faire une rédaction, le sujet est très simple, "racontez dans les moindres détails votre dernier séjour chez madame Rose". Vous avez 1/2h, soyez précise et n'oubliez rien, vous serez notée sur le style, l'écriture et bien sûr l'orthographe.
Madame Dumon se retrouvait de nombreuses années en arrière quand sa mère lui faisait donner des cours de français par une étudiante, elle avait 15 ans et la jeune fille était très sévère, elle n'avait pas hésité un jour où elle était inattentive à lui claquer les fesses jupe retroussée mais heureusement sur la culotte. Aujourd'hui sa culotte était au niveau de ses genoux. Elle se concentra, sachant que madame Costa n'hésiterais pas à la fesser à la moindre occasion. Une 1/2h plus tard elle remis sa copie.
Je me suis présenté hier à 9h à l'institut, Sophie m'a annoncé qu'il lui fallait d'abord vérifier l'état de mes fesses, je n'ai pas protesté, je sais qu'elle n'attend que cela pour nous punir. Elle a repoussé un peu la chaise de son bureau et elle m'a fait coucher sur ses genoux comme quand elle veut me donner la fessée, ensuite elle m'a retroussé la jupe et baissé la culotte jusqu'aux genoux puis elle s'est mis à me palper les fesses, elle m'a fait écarter les cuisses pour passer sa main sur mon intimité, c'était très gênant, mais depuis une semaine et les nombreuses humiliations que cette petite perverse me fait subir, je me suis laissé faire. D'ailleurs je crois que Sophie connaît mieux nos fesses que nos visages, nous lui présentons notre anatomie de façon si prolongée qu'elle doit être capable de reconnaître tous les patients de l'institut rien qu'en regardant leur derrière. Elle m'a également écarté les fesses, elle m'a félicité pour ma docilité, je crois qu'elle était déçue de ne pas avoir de raison de me punir. C'est alors qu'elle m'a dit qu'elle allait vérifier ma température, et en maintenant mes fesses écartées j'ai senti qu'elle m'introduisait un thermomètre, j'ai eu une réaction malheureuse, j'ai voulu resserrer mes fesses, cette chipie n'attendait que ça, immédiatement elle m'a administré une fessée magistrale malgré mes excuses et mes supplications. Quand elle a jugée que j'avais été assez corrigée elle m'a introduit très profondément le thermomètre, elle le faisait ressortir puis l'enfonçait lentement encore plus loin, malgré la gêne je ne disais plus rien, car mes fesses me brûlaient, ensuite quand elle a jugé que le thermomètre était bien en place, elle a relâché mes fesses et m'a annoncé que je le garderais 10'. Puis comme si de rien n'était elle a continué ses activités, elle répondait au téléphone, prenait des rdv, de temps en temps elle me tapotait les fesses pour me féliciter de ma sagesse. J'avais déjà eu des expériences humiliantes depuis mes débuts à l'institut mais quand une cliente s'est présentée devant le bureau et qu'elle m'a vu dans cette position, déculottée, fesses rouges avec un thermomètre planté au milieu de mes fesses j'ai cru mourir de honte. A la fin du temps imparti, Sophie m'a enlevé le thermomètre et m'a fait me relever. Puis elle m'a annoncé le programme, c'était "journée collège", elle m'a amené ma tenue, c'était un uniforme de collège anglais, une jupe bleue très courte 15 cm au dessus du genou, un chemisier blanc, une culotte en coton blanc et des socquettes également blanches. J'ai du m'habiller rapidement et en me regardant dans la glace, je me suis revu à l'adolescence quand ma mère me faisait habiller de cette façon. Je me suis présenté dans cette tenue devant madame Rose qui s'est chargée de compléter mon retour à l'enfance en me couchant immédiatement en travers de ses genoux pour m'administrer une sévère fessée déculottée. Madame Rose est la plus sévère des fesseuses, dès la première claque la brûlure sur les fesses est intolérable et même si ma fierté me pousse à résister, je ne mets que quelques secondes à supplier et à pleurer. C'est toujours une honte pour moi de me retrouver dans cette position et cette tenue obligée de faire comme une gamine qui promet à sa maîtresse d'être sage mais c'est pourtant chaque fois ce qu'il m'arrive. Quand la fessée a été finie, je me suis retrouvée comme d'habitude au coin main sur la tête, toujours déculottée, exposant mes fesses brûlantes et sans doute écarlates. J'ai entendu madame Rose appeler quelques uns et à sa voix, j'ai reconnu la baronne De Nouvel, j'ai déjà rencontré cette dame plus âgée que moi mais qui est traitée par madame Rose et Sophie comme les autres patients, elle est troussée et déculottée et les fessées qu'elle reçoit sont aussi sévère. D'ailleurs celle qu'elle a reçu pendant que j'étais au coin n'a pas dérogé à la règle, madame Rose l'a d'abord grondé comme si elle était sa mère puis elle lui a annoncé la punition prévue à savoir une correction à la paddle, madame De Nouvel n'a pas protesté et quelques secondes plus tard ses cris et supplications n'avaient rien à envier aux miens. Quand elle a eu fini, madame Rose a appelé Sophie et celle ci nous a conduit au coin dans le hall d'accueil en nous tenant chacune par l'oreille. Madame De Nouvel pleurait comme une adolescente punie, et malgré la cuisson de mes fesses j'étais satisfaite de savoir que je n'étais pas la seule à subir des situations humiliantes. En effet Sophie commença par installer madame De Nouvel au coin et j'ai pu assister à la préparation, elle lui a un peu remonté la culotte à mi cuisse puis elle a coincé la jupe dans la ceinture, Élisabeth De Nouvel portait des dessous très chic avec des bas et des porte jarretelles c'était très curieux de voir ces fesses écarlates encadrées par la culotte blanche et la dentelle des jarretelles. Je n'ai pas pu apprécier longtemps le spectacle car Sophie m'a saisi l'oreille et en me claquant les fesses avec l'autre main elle m'a installé dans l'autre coin dans la même tenue et la même position. Je suis restée 1h au coin, exposant mon derrière déculotté à tous le monde, à la moitié de ma pénitence, Sophie s'est fait un plaisir de me faire rougir les fesses avec sa palette en cuir, madame De Nouvel a été reconduite au bureau de madame Rose pour une nouvelle fessée au martinet et je l'ai entendu revenir à sa place en pleurnichant. J'ai moi aussi du me présenter devant madame Rose, Sophie m'avait donné une canne, je savais donc ce qui allait m'arriver, j'ai du me pencher en avant et tenir mes genoux avec mes mains, madame Rose m'a fait écarter un peu les jambes, c'est une position très honteuse même si c'est une dame qui vous regarde et elle m'a dit que j'allais recevoir 12 coups de canne et que je devrais les compter. C'était la première fois que je recevais la canne et ça fait très mal, malgré mes supplications madame Rose m'a administré la fessée jusqu'au bout. C'est Aurèlie la nouvelle assistante qui m'a remis au coin, elle est encore plus jeune que Sophie, mais elle a été bien formée par celle ci, elle m'a pris par l'oreille et c'est très humiliant de se faire traiter de la sorte par une si jeune fille, elle m'a accompagnée jusqu'au coin en me claquant les fesses puis après m'avoir installée elle m'a dit en riant que j'avais de très jolies fesses rouges et bien striées. Je pense qu'elle est aussi perverse que Sophie. Je suis restée 1 h de plus au coin avec bien sur une petite interruption allongée sur les genoux d'Aurèlie, c'était la première fessée qu'elle m'administrait, elle s'est régalée. Il était presque midi quand elle a levé ma pénitence, j'ai du bien sûr subir un examen fessier, elle avait du avoir des consignes par Sophie car elle ne s'est pas contentée d'un examen penchée sur le bureau, elle m'a a nouveau couchée sur ses genoux et j'ai eu droit à un examen complet de mon anatomie intime et bien sûr, elle s'est fait un plaisir de me reprendre la température, elle m'a laissé le thermomètre profondément enfoncé pendant 10', et pour bien me prouver qu'elle serait aussi sévère que Sophie, elle m'a redonné une bonne fessée avec le thermomètre planté dans les fesses. Quand j'ai enfin eu le droit de me reculotter, j'avais les fesses brûlantes.
Monique était satisfaite de sa rédaction quand elle l'a remis à Florence Costa, celle ci s'en saisi et avant de la lire, elle fit lever son élève et la conduisit au coin, elle lui retroussa la jupe pour qu'elle expose son derrière rouge puis s'asseyant confortablement sur son fauteuil elle entrepris de corriger la copie tout en surveillant du coin de l'œil cette dame de 40 ans, déculottée, mains sur la tête et nez collé contre le mur.
Elle prenait bien son temps sachant la gêne que devait ressentir madame Dumon, enfin elle l'a fit venir devant elle.
- bien nous allons passer à la correction de votre copie, venez ici !
Elle prit la main de Monique et la fit basculer en travers de ses genoux, elle lui retroussa à nouveau la jupe pour bien découvrir le fessier.
- vous voilà en bonne position pour écouter mes commentaires, je vous félicite pour la qualité du style et des descriptions de vos fessées, ça prouve qu'elles ont été efficaces, par contre pour l'écriture et l'orthographe c'est une catastrophe
Elle posa la feuille sur le dos de Monique et tout en lisant elle leva la main et claqua alternativement les deux fesses.
- a chaque faute ce sera 10 claques sur chaque fesses, et à chaque mot mal écrit 5 claques. Je commence !
Les fautes étaient assez nombreuses, la fessée fut sévère, pas moins de 300 claques retentirent sur la croupe bien tendue de la punie. Monique pleurait comme une mauvaise élève corrigée par son institutrice. Florence cessa la correction et après l'avoir fait relever elle l'a reconduisit au coin, jupe épinglée dans le dos et culotte toujours à mi cuisse. Après 1/2h de pénitence, Florence lui annonça la sentence, votre copie mérite tout juste un 10/20 c'est inadmissible, en plus de votre désobéissance vous allez donc goûter au martinet ça va vous apprendre à vous appliquer et à obéir . Elle fit agenouiller sa punie sur le fauteuil et l'a fit se pencher pour bien tendre sa croupe. Florence avait retrouvé le martinet familial, il avait servi sur ses propres fesses manié par sa mère et elle même l'avait utilisé pour corriger sa fille et son fils. Les lanières étaient usées par des années de fessée mais il était solide, le manche était poli.
Monique reçu 50 coups de martinet qui firent rapidement rougir à l'écarlate son fessier rebondi. Florence Costa l'a laissa ainsi exposée et lui annonça la suite.
- bien j'espère que vous avez compris la leçon, samedi vous venez en retenue et vous me mettrez la même tenue que chez madame Rose, une jupe courte au moins 20 cm au dessus du genou, une culotte blanche en coton, des socquettes et un chemisier blanc.
En entendant cela, Monique blêmi, comment trouver une telle tenue à son âge, elle ne se voyait pas aller l'emprunter à Sophie, elle se doutait bien qu'elle devrait donner des explications qui seraient très gênantes. Elle resta exposée fesses à l'air pendant 1/4 h, puis elle eut l'autorisation de se reculotter. Madame Costa la raccompagna jusqu'à la porte, puis en souriant elle lui tapota les fesses par dessus la jupe.
- je vous attends samedi, en tenue de collégienne, soyez à l'heure.
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