mercredi 26 janvier 2022

l'institut chapitre 1



L'institut de Mme Rose

Gérard était un peu inquiet quand il sonna à l'interphone, sur la plaque il était simplement indiqué "Institut de Mme Rose, soins du corps et fessothérapie"

Une voix féminine lui répondit, il se présenta, la porte s'ouvrit. Dans le hall d'accueil qui ressemblait à une salle d'attente avec quelques chaises et derrière un comptoir une jeune femme blonde et souriante l'accueillit.

- bonjour, Gérard je vous attendais,

Elle regarda ostensiblement la pendule.

- c'est bien, vous êtes à l'heure, nous sommes très à cheval sur le respect des horaires de rdv.

Gérard était un peu surpris d'être appelé directement par son prénom mais il se garda bien d'en faire la remarque.

- bien, je vois que vous êtes là pour un stage de remise à niveau de 5 jours, suivez moi.

Elle se leva et ouvrit une porte, c'était une pièce avec des porte manteau et une chaise.

- déshabillez vous, je reviens avec votre tenue de stage.

Elle s'éclipsa sans fermer la porte, bien qu'habitué à obéir sans discuter avec la ferme éducation qu'il recevait chez lui, il resta sur place sans réagir. Sophie la jeune assistante de Mme Rose revenait avec des vêtements sous le bras.

- mais je rêve ! Qu'est-ce que vous faites là les bras ballants, je vous ai dit de vous déshabillez.

Elle fit pivoter Gérard et elle lui administra une dizaine de claques sur les fesses encore couvertes par les vêtements. Surpris par cette petite fessée impromptue le monsieur de 45 ans, habitué à de bien plus sévère correction ne protesta pas mais il piqua un fard car la personne qui le traitait comme un gamin désobéissant n'avait guère plus que 25 ans.

- il va falloir apprendre à obéir, monsieur sinon vos fesses vont en payer le prix ! Allez enlever moi ce pantalon, oui et la culotte aussi !

Gérard suivait les consignes à la lettre et il se trouvait maintenant fesses à l'air devant cette jeune femme qui sans manière le courba sous son bras et se mit en devoir de lui administrer sa première vraie fessée à l'institut, mais ce ne serait pas la dernière.

Revenons un peu en arrière, Sylvie l'épouse de Gérard pratiquait la discipline domestique depuis un moment mais par une amie elle avait appris l'existence de cet institut un peu particulier. Mme Rose avait créé cet institut qui proposait des services que l'on ne trouvait que rarement à savoir l'épilation intime, le traitement de la cellulite par une méthode révolutionnaire et la fessothérapie. Cet institut n'était accessible que par cooptation, il fallait être introduit par un membre en effet pour bénéficier des prestations il fallait payer une cotisation et signer la charte qui précisait les différentes conditions d'application des traitements.

Sylvie avait pu adhérer par l'intermédiaire de sa voisine Isabelle et en étudiant la plaquette elle avait trouvé son bonheur, Mme Rose proposait un stage de remise à niveau pour adultes désobéissant ou paresseux consistant en une fessothérapie punitive pendant 5 jours. Elle avait immédiatement pris rdv et Gérard s'était vu offrir ce stage en cadeau d'anniversaire.

Sophie avait relâché Gérard et elle lui présentait sa tenue, un bermuda, une culotte blanche, des socquettes blanches et un polo, une parfaite tenue de collégien anglais. Elle le surveilla pendant qu'il s'habillait, puis elle le laissa. Il s'aperçut qu'il y avait une porte entrouverte, il y jeta un œil, le spectacle était édifiant. Une solide femme d'une cinquantaine d'années assise sur une chaise tenait allongée sur ses genoux une dame, qui malgré son âge était dans une position peu enviable, la jupe retroussée et la culotte descendue sous les fesses.

- bien chère Mme vous voilà en bonne position pour la fessée de maman Rose.

Mme Rose, puisque c'était elle qui tenait Monique Dumon sur ses genoux leva la main et commença à administrer à sa patiente une magistrale fessée, la main claquait alternativement la fesse droite puis la gauche, c'était une redoutable fesseuse et au bout de quelques instants la punie se mit à pleurer et à implorer la clémence.

- et oui, je sais ça brûle la fessée, c'est même fait pour ça, oh, c'est ça remuez bien les jambes, serrez les fesses, vous aurez votre fessée, vous l'avez mérité.

Tout en commentant la punition, elle continuait à administrer de solides claques sur ce fessier si bien présenté, il avait pris rapidement une belle couleur carmin, il ne s'était pas écoulé plus de trois minutes quand elle cessa la correction, une paire de fesses brûlantes qui se contractait sous ses yeux pour atténuer la cuisson, elle souriait satisfaite, c'était toujours un plaisir pour elle d'administrer une fessée à une dame de la bonne société et de les voir pleurer et supplier après une bonne déculottée. Elle fit relever Monique et lui saisissant l'oreille elle la conduisit au coin de la pièce.

- bien, les mains sur la tête et le nez au mur, on ne bouge pas, on va retrousser cette jupe, ce serait dommage de se priver du joli spectacle de vos fesses rouges, mes félicitations Mme, vous avez un magnifique postérieur.

Mme Rose adorait ajouter à l'humiliation d'exposer ses fesses nues un petit commentaire qui pimentait la punition.

Monique Dumon nez au mur et les mains sur la tête ressentait une intense cuisson envahir la partie la plus charnue de son individu, elle regrettait amèrement ce moment d'égarement où sous l'emprise de l'alcool elle avait dragué d'une façon éhontée le mari de sa meilleure amie, celle ci s'en était rendue compte et le lendemain devant les regrets sincères de Monique avait accepté de passer l'éponge à condition que celle-ci accepte de se rendre chez Mme Rose pour dix séances de fessothérapie punitive. Elle avait ajouté en riant.

- et puis en plus ma chérie c'est bon pour la cellulite, ne t'inquiète pas, Mme Rose est une spécialiste ça sera douloureux pour tes fesses et pour ton amour propre mais une bonne déculottée n'a jamais tué personne.

Et c'est comme ça que pour la troisième fois de la semaine, elle se retrouvait culotte baissée et jupe retroussée contrainte d'exposer ses fesses écarlates, elle l'ophtalmologiste réputée, mère de deux grandes filles réduite à une condition de gamine qu'on déculotte et que l'on fesse à volonté.

Pendant que Monique se livrait à ces réflexions, Mme Rose s'était dirigé vers la porte, Gérard s'était reculé vivement. Quand elle ouvrit celle-ci il constata que sa future fesseuse n'était pas très grande mais ses formes rondes, ses cheveux tirés en chignon et son regard bleu d'azur dégageait une autorité naturelle. Elle lui fit signe d'avancer.

- alors c'est vous, Gérard, votre épouse n'a pas l'air très satisfaite de vous à ce qu'on m'a dit, je pense qu'après ce petit stage chez nous elle sera contente du résultat.

Gérard n'en menait pas large, si il était habitué à recevoir la fessée par sa femme, il n'avait jamais été fessé par une autre personne, sauf tout à l'heure par Sophie pensa t'il rapidement, mais il se doutait bien après avoir assisté à la correction de la dame qui l'avait précédé que la petite fessée de la jeune femme n'était qu'un apéritif. En entendant Mme Rose parler, Monique sut que quelqu'un d'autre était dans la pièce et avait tout le loisir d'admirer le spectacle qu'elle offrait bien malgré elle, ses fesses rondes écarlates soulignées par la blancheur de la culotte descendue juste en dessous. C'était un plaisir que s'offrait Mme Rose, fesser deux personnes dans la même pièce mais sans qu'il puisse se reconnaître puisqu'il ne voyait que les fesses de leur malheureux compagnon ou compagne. Gérard se rendit compte que en plus de recevoir la fessée d'une main étrangère il allait exposer ses cris et ses supplications à une dame inconnue.

Mme Rose n'avait cure de ses interrogations, elle s'était assise sur une chaise avait fait approcher ce monsieur redevenu un collégien soumis à la rude discipline d'une professeur en colère. Le bermuda avait glissé sur les chevilles et Gérard se retrouvait maintenant dans la position classique pour une bonne fessée, allongé en travers des cuisses de sa fesseuse, les mains sur le sol, les pieds pendant de l'autre côté et au milieu de cette courbe, son fessier bien exposé encore protégé par la culotte blanche qui tendue par la position avait tendance à rentrer dans la raie fessière. La protection ne dura pas longtemps, Mme Rose était une experte en déculottage, le dernier rempart de sa pudeur était maintenant descendu à mi cuisse. Et soudain la fessée commença une succession de formidables claques qui embrasèrent son postérieur, il s'était promis de résister, mais la cuisson était trop intense, il se mit à crier et à supplier puis à pleurer comme Monique quelques instants auparavant. Les fessées de Mme Rose étaient toujours très rapides mais très intenses au bout de quelques minutes les fesses étaient écarlates et brûlantes. Gérard se rendait compte que les fessées de Sylvie bien que très douloureuse étaient bien moins sévères que celle-ci, quand enfin l'avalanche des claques cessa une intense cuisson lui embrasait le bas des reins, il avait l'impression d'être assis sur un poêle brûlant. Mme Rose savourait ces moments où un adulte perdait de sa superbe en exposant un derrière bien rouge, retombé en enfance, redevenu un sale gosse déculotté sur les genoux de sa maman, sanglotant et implorant la clémence elle les laissaient en général quelques instants dans cette position humiliante.



Elle le fit se relever et le conduisit devant une grande glace qui permettait au puni si il le désirait de se voir dans une position peu enviable en train de recevoir leur correction.

- tenez, mettez vos mains sur la tête et tournez vous pour bien voir vos jolies fesses bien rouges, on va faire une photo que votre épouse puisse constater que j'ai bien travaillé.

La photo était éloquente, on voyait la paire de fesses bien rouge soulignée par la culotte à mi cuisse et dans la glace on distinguait bien le visage du puni. Mme Rose pratiquait toujours ainsi, elle avait une très belle collection de fessiers écarlates de nombreuses personnes de cette ville, la simple suggestion que ces photos pourraient illustrer une page Facebook incitait ses clients à la discrétion et à l'obéissance.

Gérard rejoignit rapidement le coin qui lui était assigné, encouragé par une vigoureuse claque sur son derrière brûlant.

Mme Rose appela Monique Dumon, celle ci se dirigea à petit pas vers sa fesseuse en gardant ses mains sur la tête.

- tournez-vous que je voie vos fesses, c'est parfait elles sont prête pour la suite, vous allez demander à Sophie de vous donner le martinet numéro deux.

Monique marqua un instant d'hésitation, la main de Mme Rose lui claqua vivement la fesse droite puis la gauche pour lui rappeler à l'obéissance immédiate. Elle se dirigea vers la porte qui donnait sur le hall d'accueil et ce qu'elle craignait se réalisa, Sophie n'était pas seule, elle discutait avec deux dames. En la voyant arriver elle s'interrompit et interrogea Monique du regard, celle-ci les joues rouges comme ses fesses bredouilla quelques mots.

- mais enfin, Monique, articulez, je ne comprends rien.

En fait elle avait parfaitement compris la demande de la pauvre Monique mais elle voulait enfoncer le clou et la forcer à bien la reformuler.

- euh, Mme Rose voudrait que vous me donniez, euh, euh, le martinet.

- ah, c'est donc ça, un martinet pour vos petites fesses, et lequel, elle a bien du vous le dire.

- euh, euh, oui le numéro deux.

- et bien, ça va bien claquer sur votre joli derrière, je peux vous l'assurer.

Puis s'adressant à ces deux clientes.

- comme je vous le disais tout à l'heure nous avons plusieurs modèles de martinet, ils portent chacun un numéro qui correspond à la longueur des lanières, le numéro deux c'est celui là, les lanières mesurent environ 30 cm ce qui permet plusieurs positions pour la fessée ou classique allongée sur les genoux où bien sur un chevalet ou un fauteuil et cette longueur permet une fessée sévère.

Tout en disant cela elle caressait les lanières, Monique était effrayée par cet instrument et la description de sa future punition. Sophie lui tendit le martinet, elle le prit et pour éviter d'exposer ses fesses dénudées elle commença à reculer vers la porte, Sophie eut vite fait de la rappeler à l'ordre,

- cessez ces simagrées Mme, et tournez-vous ! Vous n'allez tout de même pas rentrer en marche arrière dans le bureau de Mme Rose !

De plus en plus rouge, Monique s'exécuta et les trois femmes purent admirer ses fesses écarlates encadrées par la culotte blanche descendue sous les fesses et la jupe épinglée dans le dos. La plus jeune des deux dames émis un petit cri surprise.

- et bien ça c'est une belle fessée, quelle résultat, tu vois ma chérie ce qui arrive au vilaines filles.

Son amie piqua un fard mais ne répondis pas. Monique tenant son instrument de punition à la main rentra dans le bureau, elle aperçu le monsieur qui avait reçu sa fessée pendant qu'elle était au coin, la couleur de ses fesses ne laissait aucun doute sur la sévérité de la correction, la cuisson devait être encore intense au vu des contactions du fessier cherchant à atténuer la douleur. Elle tendit le martinet à Mme Rose. Celle-ci s'en saisi et avec le manche elle lui montra un fauteuil.

- mettez vous à genoux là et vous me tendez bien vos fesses, voilà c'est bien, penchez vous encore un peu, quelle belle paire de fesses, ne les serrez pas trop sinon le martinet vous cuira encore plus, c'est ça voilà allez on écarte un peu les jambes.

Mme Rose en fesseuse experte plaçait sa punie comme il fallait pour que la fessée au martinet produise son effet au maximum.

Monique Dumon était rouge de honte de devoir exposer ainsi son intimité, ses fesses nues, bien tendues et présentées aux lanières qui allaient dans un instant mordre ses chairs si tendres. Elle n'eut pas longtemps à attendre, elle poussa un cri quand ses fesses furent cinglées par les 10 lanières de cuir, Mme Rose habituée à entendre ses punies pleurer et implorer la fin de la punition ne se laissa pas émouvoir et elle continua jusqu'au bout la punition prévue. Après une cinquantaine de cinglades, elle fit une pause pour passer sa main sur la croupe écarlate.

- cessez ces pleurnicheries madame, vous avez mérité la fessée et vous l'aurez jusqu'à ce que je juge la punition suffisante, ces fesses sont tout juste chaudes, encore un peu de martinet et vous irez les faire refroidir dans le hall, tout le monde pourra les voir.

La fessée repris et Monique reçu comme prévu une cinquantaine de cinglées supplémentaires. La fessée terminée, Mme Rose la laissa quelques instants sangloter et serrer ses fesses, puis elle appela Sophie.

- vous m'emmener cette vilaine fille et vous la mettez au coin, que tout le monde puisse voir ses fesses rouges, une heure au coin et je compte sur vous pour que ses fesses restent à la bonne couleur. Sophie souri, ça lui donnait la permission de fesser cette bourgeoise à sa guise et elle ne s'en priverait pas, elle saisi Monique par l'oreille pour la faire se relever et elle la conduisit au coin en face de son bureau, les deux clientes étaient toujours là et elles regardaient avec attention ce spectacle, une dame d'une quarantaine d'années, culotte à mi cuisse, jupe retroussée, tenue par l'oreille par une très jeune femme qui la traitait comme une gamine et accompagnait sa marche de quelques claques sur les fesses déjà très rouges.

- je pense que vous vous rappelez comment vous devez vous tenir, c'est comme hier, le nez bien collé au mur et les mains sur la tête et vous ne bougez pas.

Sophie avait ostensiblement parlé  de la veille afin que les spectateurs sachent que cette dame n'en était pas à sa première punition.

Pendant ce temps Mme Rose s'était dirigé vers Gérard qui exposait toujours ses fesses écarlates dans le coin de la pièce, elle le saisi par l'oreille pour l'amener vers son bureau où elle prit une belle règle plate en bois longue de 50 cm, puis elle posa son pied sur la chaise et soulevant Gérard qui n'était très grand elle le fit basculer sur sa cuisse horizontale, ses pieds ne touchait plus le sol, il se cramponna au dossier de la chaise, mais Mme Rose le tenait solidement, elle était d'une force peu commune et son habitude d'administrer des fessées la rendait très à l'aise pour maintenir ses patients avec les fesses bien présentées. Elle leva la règle et commença la correction, Gérard se mit à crier et à supplier, la brûlure de l'instrument était nouvelle, il n'avait jamais reçu de fessée aussi cuisante, de plus la position adoptée par sa fesseuse tendait parfaitement les fesses rendant les coups de règles encore plus douloureux et bien tenu par la taille il ne pouvait que battre les jambes au rythme de la fessée. Il jeta un œil dans la glace et ce qu'il vit le projeta 25 ans en arrière quand pendant un cours particulier d'anglais sa professeur avait utilisé la même méthode pour lui inculquer les règles de la bonne conduite , il avait 14 ans et elle n'avait pas hésité à le déculotter après une énième désobéissance.

Aujourd'hui il en avait 40 mais madame Rose n'en avait cure et tandis qu'elle s'appliquait à lui rougir uniformément la croupe, elle le grondait comme un gamin.

- ah, je vais vous apprendre à obéir mon petit ami, oh ce n'est pas la peine de supplier, cette fessée vous l'avez mérité et je peux vous dire qu'elle n'est pas finie, après un séjour sur les genoux de Mme Rose on devient doux comme un agneau, c'est ça gigotez autant que vous voulez, si vous voyez le spectacle que vous offrez vous auriez honte, une bonne déculottée à 40 ans comme un sale gosse !

La règle n'avait pas cessé ses allers et retours pendant cette tirade. Elle décida que la punition devait être suffisante, toute la surface des fesses du bas des reins à la racine des cuisses était rouge. Elle le reposa par terre et le saisissant immédiatement par l'oreille, elle le reconduisit au coin. 



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