lundi 1 décembre 2025

L'institut suite 13

La punition d'Alice



Dans la salle des culs rouges, Aurélie s’occupait du bon gros derrière d’Alice.

La professeure de math du collège Sainte-Marie était arrivée dans cette salle réservée aux fessées, tenue par l’oreille par la jeune assistante.

Elle l’avait amenée ainsi au milieu de la pièce, le regard d’Alice s’était figé en voyant la panoplie d’instruments punitifs suspendu aux murs, une collection de martinets, de paddles en bois et en cuirs, de lanières plus ou moins larges, de règles plates en bois de différentes tailles et de cannes de tailles variées.

Ces instruments étaient là dans un seul but, faire rougir le plus vite possible les fessiers des punies pour leur apprendre l’obéissance et transformer ces dames de la bonne société en grandes filles éplorées.

Alice allait en faire l’expérience.

— Reculottez-vous.

L’ordre surprit la punie, mais on est toujours contente de cacher son derrière, elle s’empressa de remonter sa culotte pour couvrir ses fesses.

— Mettez vos mains sur la tête.

Alice rougit violemment, elle n’était pas encore habituée à être traitée comme une gamine qui devait obéir sans discuter. Mais la vue des instruments suspendus au mur l’incita à la prudence, elle posa ses mains sur la tête.

— Tournez-vous !

Elle présenta ses fesses culottées à Aurélie qui se délectait du trouble de sa patiente. Elle passa sa main sur la fine lingerie et sa main s’égara sur la base des fesses qui débordait du sous-vêtement :

— Jolie culotte, alors comme ça, vous aimez la lingerie ?

Alice ne répondit pas, une claque magistrale atterrit sur le haut de ses cuisses et le pli fessier.

— Aïe, aïe…

Une deuxième claque avait suivi la première.

— Il va falloir vous habituer à répondre immédiatement à mes questions Alice !

Surprise que cette jeune femme l’appelle par son prénom, la professeure répondit d’une petite voix :

— Euh… oui mademoiselle… aïe, aïe.

Deux nouvelles claques venaient de s’abattre sur l’arrière de ses cuisses.

— Mademoiselle Aurélie !! Rappelez-vous de ça ma petite Alice

— Oui, oui, pardon mademoiselle Aurélie.

La jeune assistante souriait, ravie de la soumission de cette nouvelle patiente, elles étaient toutes pareilles, une fois en culotte et après quelques bonnes claques administrées sur l’arrière des cuisses, ces dames de la bonne société devenaient douces et obéissantes. Une fois cul nu et couchées sur ses genoux c’était encore meilleur, elles rajeunissaient d’un seul coup et se comportaient comme de grandes filles punies par leur maman.

— Vous aimez la lingerie au point de la voler ? C’est du joli !! Combien de fois l’avez-vous fait avant de vous faire prendre ?

— Euh… jamais mademoiselle Aurélie… aïe, aïe, aïe, aïe, non, non, pardon mademoiselle Aurélie…

La main avait claqué très rapidement la base des fesses :

— Pardon, pourquoi ? Vous avez menti ? Combien de fois ?

— Aïe, aïe… oui, oui mademoiselle… trois fois…

— C’est bien sûr ?

— Euh… Oui… enfin non… Aïe, aïe.

— Tu commences à m’énerver, on va changer de méthode.

Aurélie glissa ses doigts dans la ceinture de la culotte et la baissa rapidement sous les fesses, puis elle décrocha du mur une mademoiselle Claquefesse. Elle se plaça à côté d’Alice et lui administra une vingtaine de claques sur les fesses dénudées, la professeure se mit à trépigner sur place et à supplier :

— Non, non, pardon mademoiselle Aurélie, aïe, aïe… ça fait mal…

La jeune assistante s’approcha et posa son doigt sous le menton d’Alice pour la forcer à la regarder :

— Je sais bien que ça fait mal, ma petite Alice, mais c’est fait pour ça figure-toi, si tu n’avais pas menti, tu aurais toujours ta culotte sur les fesses. Alors tu te décides à tout me dire sinon je te garantis que ça va te cuire.

En pleurnichant Alice expliqua qu’elle était devenue accro au vol dans les magasins de lingerie et qu’au moins une fois par mois elle se livrait à cette activité. Elle s’était fait prendre une fois mais avait échappé à une plainte en payant ce qu’elle avait dérobé, mais bien sûr la deuxième fois la responsable du magasin avait prévenu la police.

Cette confession n’avait pas été facile, mais mademoiselle Claquefesse avait été persuasive et le large derrière d’Alice était rouge quand elle eut fini de parler.

— Parfait, nous allons avoir du travail pour te faire passer cette mauvaise habitude, mais nous y arriverons.

Aurélie remonta la culotte sur le fessier rougeoyant :

— Tu m’attends là et tu ne bouges pas.

Alice inquiète, ne broncha pas, les mains toujours posées sur sa tête elle se sentait un peu ridicule d’être ainsi exposée en culotte. La porte s’ouvrit, c’était Sophie :

— Oh oh, une nouvelle paire de fesses que je ne connais pas, voyons cela de plus près.

Sans gêne, elle procéda comme Aurélie, après avoir glissé ses doigts sous l’élastique de la culotte, elle la retourna pour mettre à nu le derrière serré par la honte et l’angoisse. Elle passa sa main sur la peau rougie par la première fessée :

— On a déjà eu panpan cucul à ce que je vois, mon petit doigt me dit que ce n’est pas fini. Vous avez un très joli derrière ma chère.

Elle reculotta Alice qui n’avait pas osé bouger, puis elle prit un martinet et sortit. La professeure de math attendit un moment, dans le secrétariat le bruit caractéristique des fessées se faisait entendre, elle serra encore un peu plus les fesses sous sa culotte, décidément ici les derrières rougissaient encore plus vite que les tomates en été. Enfin Aurélie arriva, elle venait d’assister à une triple fessée et ça l’avait mise en joie, maintenant il lui fallait découvrir vraiment le large fessier de sa nouvelle patiente. Elle tenait à la main une boite rose qu’elle posa sur la table devant la dame en pénitence, elle l’ouvrit et en tira une culotte à fessée, ce fameux modèle exclusif de l’institut. Une petite culotte en coton bien sage dont le fond était amovible, tenu par des pressions, deux à la taille et une autre dans l’entrejambe. La particularité de celle qu’Aurélie lui montrait tenait dans le fait que le jour de la semaine était inscrit sur le fond de la culotte, elle la présenta à Alice :

— Regarde comme elle est mignonne, elle te plaît, c’est sûr que ça va te changer de tes froufrous en dentelle, mais tu vas devoir t’y habituer, à partir de maintenant tu ne porteras plus que ces culottes. Tous les matins tu iras voir madame Desrodes pour qu’elle vérifie que tu as bien mis la culotte du jour, l’institut te fournit un semainier de culottes. Quel jour sommes-nous ?

Elle le savait pertinemment, mais elle voulait entendre Alice.

— Mercredi, mademoiselle Aurélie.

— Parfait, tu te déculottes et tu enfiles celle-là.

Elle lui tendit la culotte où mercredi était écrit en grand sur le fond, Alice baissa sa fine lingerie et l’enjamba, Aurélie tendit la main pour recueillir le sous-vêtement :

— Confisqué, ce n’est pas ce genre de culotte que portent les dames qui reçoivent encore la fessée cul nu.

Alice enfila la culotte à fessée et jeta un œil dans la glace, sa moue fit sourire Aurélie :

— On dirait que ça ne te plaît pas trop, mais tu vas voir comme c’est pratique pour recevoir la fessée.

Elle posa son pied sur un tabouret, prit la main d’Alice pour l’attirer contre elle et bascula la plantureuse professeure en travers de sa cuisse horizontale, comme si elle n’était qu’une vulgaire gamine corrigée par son institutrice en colère.

Les pieds de la punie avait quitté le sol, elle agrippa le pied du tabouret pour garder son équilibre, la jeune assistante la ceintura fermement et tira sur les pressions pour libérer le fond de la culotte :

— Eh voilà, cul nu et prête pour la bonne fessée déculottée de mademoiselle Aurélie.

Le large derrière déjà rougi était crispé par l’angoisse, la raie fessière n’était plus qu’une ligne. Même dans ses pires cauchemars, Alice n’aurait jamais imaginé se retrouver dans cette situation, déculottée et prête à recevoir cet humiliant châtiment, une bonne fessée. Elle en venait presque à regretter d’avoir accepté l’arrangement proposé par la directrice du collège, à savoir un séjour à l’institut en contrepartie de l’abandon de la plainte pour vol.

Elle n’eut pas à réfléchir longtemps la correction venait de commencer, un déluge de claques très fortes administrées sur chacune de ses fesses, elle se mit immédiatement à crier et à supplier. Ses jambes libérées par la position pouvaient battre l’air, ses fesses s’ouvraient largement. À quand remontait sa dernière fessée déculottée ? Elle aurait été bien en peine de le dire, elle n’avait pas souvenir d’une brûlure aussi intense. Et comme toutes les dames qui passaient sur les genoux de madame Rose ou d’une de ses assistantes, elle se mit pleurer, de honte et de douleur mêlées. La fessée ne cessa pas immédiatement, c’était une première, il fallait que les fesses de la punie s’en souviennent.

Quand Aurélie la reposa par terre, la croupe de la professeure était écarlate, elle n’eut pas le loisir de frotter son derrière même si elle en avait envie :

— Mets tes mains sur ta tête, ça t’évitera de faire des bêtises, et cesse de pleurnicher pour une petite fessée. Je n’en ai pas fini avec tes bonnes grosses fesses, mais avant un petit séjour au coin pour que tout le monde les admire te fera le plus grand bien.

Le fond de la culotte pendait sous les fesses, Aurélie glissa sa main entre les cuisses et dégrafa la dernière pression, elle montra le bout de tissu à la punie :

— Tes fesses sont ravissantes, si tu es sage je te remettrai le fond de ta culotte avant de partir.

Elle saisit à nouveau la punie par l’oreille et la conduisit dans le secrétariat, il n’y avait plus de derrière rouge exposé, celui d’Alice serait au centre de l’attention, après lui avoir fait coller le nez contre le mur, elle donna les consignes à Ambre :

— Une demi-heure de coin pour cette chipie.

Sophie sortait juste à ce moment de l’autre salle de traitement, Héloïse avait les yeux rougis et des larmes coulaient sur ses joues, mais son derrière était encore plus coloré, il était carmin, Sophie accompagnait sa marche de grande claques sur son fessier :

— Avance un peu ! À mademoiselle n’a toujours pas compris qu’il ne faut pas serrer les fesses quand je lui mets le thermomètre et bien tu vas rester au coin un moment et je te garantis que tu vas partir d’ici avec les fesses rouges.

Ambre regardait en souriant son ex copine se faire gronder comme une gamine, une idée perverse germa :

— Si tu veux Sophie je peux la prendre sur mes genoux et lui mettre le thermomètre pour remplacer le coin, ça va la calmer, je dois surveiller Alice et j’ai des dossiers à classer, elle ne me dérangera pas.

Sophie regarda sa jeune collègue en souriant, décidément cette petite avait du potentiel :

— Très bonne idée, comme tu auras son derrière à disposition tu t’arranges pour qu’il ne perde pas ses couleurs.

— Ne t’inquiète pas, son joufflu va rester bien chaud.

Sophie claqua sèchement la croupe rebondie d’Héloïse :

— Tu as entendu, va voir Ambre, c’est elle qui va se charger de l’éducation de ton petit trou.

Morte de honte de devoir se coucher sur les genoux de sa copine, la jeune femme s’approcha, Ambre la regardait un sourire ironique sur les lèvres :

— Viens un peu là ma petite chérie, tu vas voir comme mes genoux sont confortables.

Héloïse se coucha en travers des cuisses de la jeune assistante, celle-ci avait légèrement reculé sa chaise pour l’accueillir confortablement, Sophie la regardait pour voir comment elle allait se débrouiller.

Ambre commença par palper le derrière comme pour en prendre la mesure, puis elle écarta les fesses. À sa grande surprise, Héloïse ne les contracta pas, il faut dire que la magistrale correction que venait de lui administre Sophie lui avait servi de leçon. La perverse jeune femme ne s’avoua pas vaincue, elle voulait absolument claquer ce joufflu si appétissant et si possible devant sa collègue pour lui montrer ce qu’elle savait faire. Elle posa son index sur la rondelle brune et l’enfonça doucement :

— Alors ma chérie on n’aime pas le thermomètre ? et les suppos ? Maman ne t’en met plus ? Elle parlait à la jeune femme de vingt-deux ans, comme si elle en avait dix.

Ces petits mouvements de pression eurent raison de la résistance d’Héloïse qui serra involontairement les fesses. Satisfaite Ambre regarda Sophie en souriant :

— Tu as raison, cette demoiselle ne semble pas vouloir comprendre, je vais être obligée de sévir.

Sophie opina :

— Tu fais comme tu l’entends, maintenant qu’elle est en position.

Ambre leva la main et se mit à claquer sèchement le derrière déjà écarlate, Héloïse se cabra, la fessée était sévère, décidément cette peste avait toujours la main leste. Après une centaine de claques généreusement distribuées, elle s’arrêta et posa sa main sur la croupe brûlante :

— Alors ça te suffit ? Vas-tu me laisser écarter tes fesses bien gentiment ou veux-tu que je continue ?

Héloïse avec des sanglots dans la voix supplia :

— Non, non mademoiselle plus la fessée… Aïe, aïe…

La main venait de reclaquer chacune des fesses :

— Mademoiselle Ambre !! Répète !!

— Pardon mademoiselle Ambre… oui, s’il vous plaît écartez mes fesses, mais plus la fessée… ça brûle trop.

La nouvelle assistante jeta un regard coquin en direction de sa collègue :

— C’est curieux comme une bonne fessée déculottée fait des miracles, regarde un peu comme elle devient mignonne notre petite Héloïse.

Elle avait à nouveau largement écarté la raie fessière, elle prit le thermomètre posé sur le bureau et le fit immédiatement pénétrer dans le fondement de la pauvre Héloïse. L’humiliation était totale pour la jeune femme, non seulement elle n’arrivait pas à s’habituer à se faire mettre un thermomètre dans le derrière, mais qui plus est que ce soit cette peste d’Ambre qui lui tienne les fesses écartées et qui commente l’introduction de l’instrument.



— Allez ma petite détends-toi, il va bientôt être en place, tu le sens bien dans ton petit trou ?

La jeune assistante relâcha les fesses et les tapota :

— Eh bien voilà, ce n’était vraiment pas la peine d’en faire toute une histoire.

Sophie se mit à rire :

— Mademoiselle doit aimer se faire claquer les fesses. Bon je te la laisse, je vois qu’elle est dans de bonnes mains. Tu la gardes longtemps ?

Ambre n’en demandait pas tant, c’était à elle de décider de la durée de la punition, elle palpa les fesses de sa copine :

— Une heure si tu n’y vois pas d’inconvénient, si je dois me déplacer, elle ira au coin avec le thermomètre dans les fesses.

— Comme tu veux, je te la confie, ensuite tu me la renvoies.

Une fois Sophie sortie, Ambre claqua deux ou trois fois le derrière d’Héloïse :

— Alors ma chérie, tu es contente que je m’occupe de tes fesses, quand on était au lycée j’ai toujours rêvé de te baisser la culotte, là je suis servie. Tu sais que tu as vraiment un cul magnifique.

Héloïse ne répondit pas, mal lui en prit, une avalanche de claques se déversa sur son derrière endolori.

— Depuis le temps que tu viens à l’institut, tu n’as pas appris qu’il faut toujours répondre aux questions des grandes personnes !!

Héloïse cria immédiatement, Sophie n’avait pas ménagé ses fesses et cette correction supplémentaire était vraiment cuisante :

— Non, non, mademoiselle Ambre, ça brûle, oui, oui pardon… plus la fessée…

Ambre se régalait de la confusion de sa copine, elle cessa la fessée :

— Alors tu réponds et vite ! Tu es contente que je m’occupe de tes fesses, ça te plaît de te faire déculotter par mademoiselle Ambre ?

— Oui, oui mademoiselle Ambre, je suis contente, s’il vous plaît… je serai sage…

Ambre éclata de rire :

— Eh bien, c’est fou comme d’avoir les fesses rouges ça te change ma chérie. Alors comme ça tu vas être sage ?

Héloïse se rendit compte du ridicule de la situation, mais la phrase était sortie toute seule. En fait elle était comme toutes les dames punies à l’institut, recevoir ce châtiment honteux et infantilisant et exposer ses fesses nues les faisaient régresser. Soudain, elles n’étaient plus que des grandes filles corrigées par leur maman, quel que soit leur âge et celui de celle qui leur administrait la fessée.

— Je crois que tu as intérêt à être sage ma grande, maintenant que j’ai commencé à m’occuper de ton bon gros derrière, je ne vais pas m’arrêter, je pense que Sophie n’y verra aucun inconvénient.

Elle fit coulisser le thermomètre et l’enfonça un peu plus profondément :

— Tu le sens bien ma chérie, c’est bon n’est-ce pas ?

Héloïse ne trouvait pas cela agréable, même si elle ressentait une certaine excitation en sentant le thermomètre coulisser, mais il lui fallait répondre :

— Oui mademoiselle Ambre, je le sens bien, oh s’il vous plaît, j’ai trop honte.

En souriant la jeune assistante écarta à nouveau largement la raie fessière :

— Ah oui ? Et là tu as encore plus honte n’est-ce pas… C’est fait pour ça ma chérie. Bon maintenant tu cesses de pleurnicher, je ne veux plus t’entendre, sinon c’est panpan cucul direct, tes fesses sont à ma disposition.

Elle leva les yeux vers Alice qui commençait à fatiguer, ses coudes s’abaissaient et elle ne se tenait plus droite :

— Alice, viens ici !



Surprise la professeure se redressa et se dirigea vers le bureau, Ambre lui fit un petit signe pour la faire approcher :

— Je crois que tu as besoin d’un petit rappel à la loi. Quand on est au coin on se tient droite et les coudes bien haut. Penche-toi là pour me présenter tes fesses.

Elle désignait le côté du bureau, Alice s’exécuta et son large fessier s’étala devant les yeux émerveillés de la jeune femme. Elle avait toujours apprécié les croupes joufflues, avec Alice elle était comblée.

La tête d’Héloïse était contre les cuisses de la punie, Ambre saisit une mademoiselle Claquefesse et commença à claquer lentement mais très fort le derrière de la professeure du collège Sainte-Marie. Celle-ci se mit à trépigner et à crier, elle n’était pas encore habituée aux fessées répétitives, sa croupe n’était plus qu’une boule de feu :

— Arrête de gigoter et de chouiner et tend mieux tes fesses, la prochaine fois tu te tiendras correctement au coin.



Ambre ne fit preuve d’aucune mansuétude, les patientes de l’institut seraient bientôt toutes au courant, la plus jeune des assistantes était vraiment la plus sévère. Après une centaine de claques, elle renvoya Alice au coin :

— Tache de bien te tenir sinon je prends le martinet.

Héloïse dans sa position inconfortable avait assisté du coin de l’œil à la correction, elle savait que sa copine était perverse, mais elle n’imaginait pas qu’elle aurait été aussi sévère. Elle sentit la main d’Ambre se glisser entre ses cuisses et remonter dans la raie :

— Je crois que tu aimes vraiment ça petite friponne, mais ton derrière à besoin d’être réchauffé.

Mademoiselle Claquefesse reprit du service sur le derrière rebondi d’Héloïse qui se mit immédiatement à crier et à pédaler dans le vide ce qui fit rire sa copine :

— Tu sais que tu es mignonne à gigoter comme ça, fait quand même attention si tu fais sortir le thermomètre je te pèle les fesses.

En pleurant, Héloïse essaya de serrer les fesses pour que l’instrument de punition reste en place. Elle reçut la même fessée qu’Alice, son derrière cramoisi témoignait de la sévérité de la correction.

Quand Aurélie revint chercher Alice, elle regarda ses fesses avec un sourire gourmand :

— Tu as été obligée de sévir ?

— Oui, cette chipie ne se tenait pas correctement au coin, mais depuis que mademoiselle Claquefesse a caressé son derrière, sa position est parfaite.

Aurélie passa sa main sur l’épiderme cramoisi :

— Il va falloir être plus obéissante ma petite Alice sinon tu auras du mal à t’asseoir. Nous aurons à discuter de ça.

Elle aperçut Héloïse couchée sur les genoux d’Ambre :

— Mais c’est notre petite Héloïse, encore des problèmes avec le thermomètre à ce que je vois.

— Exactement, c’est pour ça qu’elle fait un petit stage sur mes cuisses, elle est en formation si on peut dire.

La jeune assistante avait terminé sa phrase en riant et en tapotant le derrière brûlant de la punie. Aurélie avait déjà saisit l’oreille d’Alice, elle approuva :

— Ça ne peut que lui faire du bien, bon je vais finir de discuter avec les fesses de madame.

Elle disparut dans la salle des culs rouges avec Alice juste au moment où la sonnette du visiophone retentissait. Ambre vérifia avant d’ouvrir, une dame élégante attendait.

Elle se présenta à la jeune femme, elle ne semblait pas très à l’aise :

— Bonjour, je suis madame Desrodes… euh, j’ai rendez-vous avec Sophie.

— Ah oui, c’est moi qui ai eu votre amie Judith au téléphone.

La bourgeoise d’une quarantaine d’années rougit violemment

— Euh… Oui, c’est ça…

Le matin même, Judith l’avait surprise en train de manger des chocolats, chose qu’elle lui interdisait formellement en raison de sa prise de poids. Elle lui avait administré sur le champ une fessée déculottée et lui avait annoncé qu’elle prenait un rendez-vous à l’institut pour un complément de punition.

— Vous devez avoir un mot de mademoiselle Judith à me remettre, c’est ce qu’elle m’a dit au téléphone.

— Oui, oui…

Hélène Desrodes fouilla dans son sac à main, elle en sortit une enveloppe qu’elle remit à Ambre, c’est ce qu’elle craignait le plus, cette jeune femme allait être au courant de sa situation. Elle remarqua Héloïse couchée en travers des cuisses de la jeune femme. La couleur de ses fesses ne laissait guère de doute sur le traitement que lui avait réservé Ambre, le petit bout de verre qui dépassait de raie fessière était encore plus significatif.

Héloïse aurait voulu disparaître sous terre, sa position était déjà très humiliante sans spectatrice, mais savoir qu’une paire d’yeux supplémentaire pouvait examiner son fessier était au-dessus de ses forces, elle se mit à pleurer, ce qui lui valu une réflexion ironique :

— Tu devrais garder tes larmes pour tout à l’heure ma chérie, ta punition n’est pas finie.

Ambre avait décacheté l’enveloppe, elle parcourut rapidement le petit mot de Judith puis leva les yeux vers Claire :

— A votre âge vous désobéissez encore ? C’est du joli ! Je pense que Sophie va savoir comment traiter ça. Troussez-vous et allez vous mettre au coin en attendant que je la prévienne.

Habituée des séjours à l’institut, la directrice du collège Sainte-Marie s’exécuta, sa jupe retroussée dévoila son plantureux derrière débordant d’une jolie culotte rose en soie, ornée de dentelle, les bas fumés retenu par des porte-jarretelles complétait l’élégante tenue.

Sophie entra :

— Encore vous ma chère Hélène, qu’avez-vous fait comme bêtises ?

Ambre lui tendit le mot de Judith.

— Parfait, eh bien on va régler ça sur le champ.

La fière bourgeoise disparut dans la deuxième salle de punition tenue solidement par l’oreille. Avant de refermer la porte, Sophie s’adressa à Ambre :

— Il reste combien de temps pour la pénitence d’Héloïse ?

— Vingt minutes.

— Bien si je n’ai pas fini, tu lui mettras le suppo.

Ambre n’en croyait pas ses oreilles décidément c’était une bonne journée, Héloïse n’était évidemment pas de cet avis.

Pendant ce temps dans la salle des culs rouges Aurélie, comme elle l’avait annoncé, avait une discussion avec le derrière d’Alice Léger. Elle s’était installée sur la chaise à fessée et avait basculé la professeure de math en travers de ses genoux comme si elle était une gamine. Les larges fesses étaient encore très rouges de la dernière fessée administrée par Ambre, mais ce n’était pas un obstacle à l’administration d’une suivante, Aurélie palpa la croupe :

— Tu viens de goûter à mademoiselle Claquefesse, je vais donc utiliser autre chose.

Elle avait posé à côté d’elle le paddle en bois percé de trous, qu’avec Sophie elles avaient surnommé madame Tapecul. Elle le posa sur la fesse droite de la punie :

— Tu recommenceras à voler ma chérie ?

— Non, non, mademoiselle Aurélie je vous le promets.

— C’est bien, mais tu dois être punie n’est-ce pas ?

— Oui mademoiselle Aurélie… Mais ça brûle…

— Je le sais ma chérie, mais il faut que tu retiennes la leçon. Je vais t’annoncer ce que j’ai prévu pour toi et ensuite tu recevras la fessée. D’accord ?

— Oui mademoiselle Aurélie.

Couchée en travers des cuisses de cette jeune femme les fesses brûlantes tendues vers le ciel, Alice attendit la sentence.

— Pendant un mois, tu vas venir me voir tous les jours après tes cours et tu seras fessée cul nu afin que ton derrière explique à ton cerveau que c’est mal de voler. Tu ne porteras dorénavant que des culottes à fessée et madame Desrodes vérifiera ta tenue tous les matins. Tu passeras tous les week-ends chez l’une d’entre nous à tour de rôle, tu arriveras le vendredi après être venue à l’institut et tu repartiras le dimanche soir. Ce week-end, c’est Ambre qui va s’occuper de toi, je te conseille d’être sage, elle est jeune, mais elle sait comment soigner les chipies.

Le nez contre le sol, Alice avait écouté complètement abasourdie la sanction décidée par Aurélie, celle-ci était extrêmement sévère, mais elle ne pouvait pas protester, elle contracta ses fesses dans l’attente de la première claque. Le paddle s’abattit sur sa fesse gauche dans un claquement sec, la brûlure fut foudroyante, elle hurla, mais déjà sa fesse droite venait de recevoir son dû, elle se cabra, ses pieds battirent l’air et elle se mit à supplier en pleurant. 



Rien n’y fit quand on était sur les genoux d’une des assistantes de l’institut les fesses à l’air, la fessée allait toujours à son terme et c’est toujours avec une croupe cramoisie qu’on se relevait des genoux de ces demoiselles, ce fut le cas d’Alice ce soir-là. C’était sa première séance à l’institut, mais malheureusement pour ses fesses pas la dernière, durant le mois à venir, elle s’endormirait tous les soirs avec un derrière écarlate et brûlant.









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