Clotilde en week-end
Clotilde n’était pas en retard, la veille après sa dernière fessée de la journée administrée dans son bureau, Claire Dugou lui avait dit :
— Je t’attends chez moi demain matin à neuf heures, tâche d’être à l’heure. Tu prévois des affaires jusqu’à dimanche soir.
Clotilde était devant elle, toujours cul nu, elle avait baissé la tête :
— Oui madame.
Ses fesses brûlantes l’incitaient à l’obéissance et de toute façon depuis la découverte de ses malversations son statut avait changé, mais son caractère aussi, elle était désormais entièrement soumise à sa sévère cheffe de service. Elle se doutait bien que le week-end chez madame Dugou serait cuisant.
Elle sonna à la porte du coquet pavillon de Claire Dugou, ce fut une jeune fille qui vint lui ouvrir. Elle regarda en souriant la dame de cinquante ans bien en chair qui attendait avec son sac de voyage :
— Vous êtes Clotilde ? Maman m’a prévenue de votre arrivée. Entrez.
La jeune fille s’effaça et fit passer devant elle la cheffe comptable très intimidée et se demandant ce que sa maîtresse avait prévu. Elle fut vite mise au courant, une fois dans le hall, la jeune demoiselle blonde reprit :
— J’ai oublié de me présenter, je suis Karine une des deux filles de votre cheffe de service. Maman m’a dit de vous dire que vous deviez faire comme tous les matins avant qu’elle n’arrive à son bureau.
Clotilde écarquilla les yeux et regarda affolée autour d’elle, le sol semblait se dérober sous ses pieds, elle avait compris ce que madame Dugou exigeait, mais ça lui semblait inimaginable. Karine la regardait en souriant, elle ne semblait pas vouloir la laisser :
— Maman a bien précisé, dans le hall et dans la même tenue.
Clotilde se résigna, sa descente aux enfers continuait, elle posa son sac et enleva son manteau, elle le suspendit à un porte-manteau. Puis en baissant les yeux pour ne pas regarder la jeune fille, elle retroussa sa jupe. À moitié surprise, Karine la regardait faire, elle souriait toujours. Clotilde glissa ses doigts dans la ceinture de sa culotte et la baissa lentement sous ses fesses, ses joues étaient écarlates, puis tenant sa jupe retroussée elle se tourna présentant ses larges fesses à cette jeune fille qui semblait trouver cela naturel, du moins elle n’en laissait rien paraître. Clotilde se dirigea vers le mur et y posa son nez.
Karine avait dix-huit ans, c’était la deuxième fille de Claire, elle était en terminale et malgré son âge, elle présentait encore régulièrement ses fesses nues à sa maman. Elle aussi se retrouvait souvent au coin les fesses à l’air, mais voir cette dame d’un certain âge dans la même position qu’elle après une fessée avait quelque chose de surprenant. Elle contempla pendant quelques instants les deux bonnes grosses fesses de la cheffe comptable crispée par l’angoisse et la gêne, puis elle la laissa et retourna sur son téléphone. Elle entendait distinctement le bruit de la fessée déculottée que sa mère était en train d’administrer à sa sœur aînée, Héloïse s’égosillait et le bruit des claques sur la peau nue était le signe d’une correction magistrale.
Héloïse malgré ses vingt ans recevait encore la fessée déculottée, ce n’était pas très courant, mais les deux filles avaient remarqué que depuis quelque temps ce genre d’humiliantes et douloureuses punitions étaient plus fréquentes.
Ce qu’elles ne savaient pas encore c’est que leur mère avait repris goût à l’administration de ce châtiment, les bonnes déculottées qu’elle administrait journellement à ses subordonnées lui avait donné des idées, c’était malheureux pour les derrières de Karine et Héloïse.
La fessée avait cessé, Claire ouvrit la porte, elle tenait sa fille par l’oreille, les larmes coulaient sur ses joues signe de la sévérité de la correction. C’était une jeune femme assez grande, sportive avec un joli derrière musclé et qui pour l’heure était parfaitement rougi, Clotilde ne le vit pas puisqu’elle faisait face au mur son derrière bien exposé.
Claire avait souri en voyant la cheffe comptable les fesses à l’air, décidément elle était devenue d’une docilité à tout épreuve. Tenant toujours Héloïse par l’oreille, elle saisit celle de Clotilde de sa main libre :
— On va aller au salon.
Les deux punies suivirent sans dire un mot, Karine appréciait le spectacle de ces deux fessiers, l’un bien rond et très rouge, l’autre joufflu, moins ferme et encore tout blanc.
Claire Dugou conduisit sa fille jusqu’au mur de la pièce :
— Tu colles bien ton nez et tu mets tes mains sur la tête.
La petite culotte blanche était descendue aux genoux, l’ourlet de la jupe coincé dans la ceinture, la mignonne paire de fesses d’Héloïse était parfaitement exposée. La sévère maman n’avait toujours pas lâché l’oreille de sa subordonnée qui baissait la tête pour ne pas croiser le regard de la jeune Karine qui avait suivi la scène et n’en perdait pas une miette :
— C’est bien ma petite Clotilde, tu as été très obéissante, je sais que ce n’est pas très agréable d’être obligée de se déculotter devant une inconnue, mais tant pis pour toi. On va commencer par ta fessée matinale, aujourd’hui elle est un peu plus tard que d’habitude, je serai donc un peu plus sévère.
Clotilde ne répondit pas, elle ne comprenait pas bien pourquoi une fessée plus tardive devait être plus sévère, mais elle avait appris à ses dépens qu’il ne fallait jamais contrarier madame Dugou.
Celle-ci s’était installée sur une chaise et elle eut vite fait de basculer la dame de cinquante ans en travers de ses genoux. Karine suivait tout ceci d’un œil amusé, quand elle avait vu la visiteuse baisser sa culotte et se mettre au coin de façon aussi naturelle, elle s’était bien doutée de la suite. Il n’en demeurait pas moins que c’était quand même surprenant de voir cette dame d’âge mûr exposant son plantureux fessier dans une position qui était habituellement le fait d’une gamine insupportable.
La suite coulait de source, Claire baissa un peu plus la culotte de la punie, puis levant la main, elle commença à claquer consciencieusement le large derrière. Karine devinait ce que devait ressentir Clotilde, elle passait de plus en plus régulièrement sur les genoux de sa maman ces temps-ci et elle savait combien la cuisson était intense. La main claquait à toute vitesse, alternant chaque fesse, et n’épargnant pas les cuisses, le gigotement des jambes et les cris étaient éloquents, la correction commençait à faire son effet. Les pleurs ne furent pas longs à arriver, Claire leva les yeux vers sa fille :
— Passe-moi la brosse, cette jolie paire de fesses a besoin d’un peu plus que ma main.
Clotilde retrouva la parole :
— Oh non madame, ça brûle, pas la brosse s’il vous plaît… Aïe, aïe, noon…
La brosse venait de commencer son travail, Claire n’aimait pas qu’on conteste la punition et les coups de brosse furent appliqués encore plus fort :
— Vas-tu bien te taire ! Je sais que ça brûle ma petite Clotilde, c’est même pour ça que je te flanque une fessée figure-toi !!
La fessée déculottée avec la brosse à cheveux était une nouveauté pour la cheffe comptable, jusqu’à présent elle n’avait goûté qu’à la main et à la règle plate, elle se rendit compte que cet instrument était beaucoup plus cuisant. Elle avait perdu toute contenance, elle recevait sa première fessée déculottée en présence de Karine et elle se comportait comme une gamine, elle pleurait, suppliait et ses jambes battaient l’air frénétiquement.
La jeune fille appréciait ce spectacle, c’était quand même plus agréable d’assister à une fessée que d’en recevoir une. Sa mère administrait ce châtiment enfantin a cette dame d’âge mûr d’une façon tellement naturelle qu’elle n’en était même pas surprise.
La large croupe de Clotilde était maintenant écarlate, la culotte avait glissé jusqu’aux chevilles sous l’effet des mouvements désordonnés de la punie, Claire la fit se relever :
— Donne-moi ta culotte, tu n’en as plus besoin pour le moment.
Clotilde se baissa enjamba la fine lingerie et la tendit à sa maîtresse, celle-ci en souriant la posa sur la table :
— Tourne-toi !
Elle saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa largement, elle s’adressa à Karine :
— Fais-moi passer deux pinces à linges, il serait dommage de cacher une si jolie paire de fesses
Sa fille lui ayant tendu les deux pinces, elle agrafa bien haut dans le dos la jupe de la punie, elle portait des bas autofixants qui soulignaient le derrière bien rouge, immédiatement en grande fille bien éduquée la cheffe comptable posa ses mains sur sa tête.
Claire se pencha et examina le large derrière bien rouge, elle passa son doigt sur la peau brûlante :
— Voilà de jolies fesses bien chaudes, tu vas te mettre à côté d’Héloïse et rester bien tranquille.
Une claque magistrale atterrit sur la belle croupe indiquant à Clotilde la direction du mur.
Puis Claire regarda sa deuxième fille :
— Déjà deux fessées depuis ce matin, j’espère que tu ne m’obligeras pas à te baisser la culotte ma chérie.
Les joues de la jeune fille s’empourprèrent, elle ne savait que répondre, heureusement sa mère continuait :
— C’est agréable à regarder n’est-ce pas ?
Karine ne savait plus où se mettre, apparemment sa mère l’avait percé à jour et dépisté son goût pour les cuisantes déculottées, comme sa mère souriait, elle s’enhardit :
— Oui, elles ont vraiment chacune une bonne paire de fesses bien rouges. Elles sont différentes, mais chacune avec leur style, Clotilde a vraiment un beau derrière.
Claire Dugou se mit à rire :
— Tu deviens une experte en fessiers dis-moi. Oui je suis d’accord avec toi, ce serait vraiment dommage de se priver, il y a de la place pour lui flanquer la fessée. Quant à ta sœur, on dirait que cette chipie aime bien me montrer ses fesses avec toutes les bêtises qu’elle fait.
Encouragée par le ton badin de sa mère la jeune fille s’approcha et tapota les fesses de la dame de cinquante ans, celle-ci contracta immédiatement ses muscles fessiers :
— Clotilde est là pour le week-end ? Elle a fait des bêtises pour mériter la fessée ?
Sans s’en rendre compte, Karine parlait de cette dame d’âge mûr comme si c’était une gamine qui venait d’être corrigée par sa maman. Claire prit son air sévère :
— Ça tu peux le dire, des vraiment grosses bêtises, mais comme je suis gentille je lui ai proposé de régler ça entre nous, à l’ancienne. Elle paye ses fautes avec ses fesses. Elle va rester ici jusqu’à dimanche, elle reçoit normalement une fessée matin, midi et soir pour régler son problème, j’ai décidé qu’il ne fallait pas interrompre la sanction. En plus je lui ai prévu du travail à faire, elle ne va pas s’ennuyer. Bon, j’ai une course à faire, je laisse ces deux chipies sous ta surveillance encore un quart d’heure de coin, ensuite Héloïse pourra aller à son cours de danse et tu conduiras Clotilde dans la chambre d’amis pour qu’elle se change.
Elle s’adressa ensuite aux deux punies exposant leurs derrières bien rouges :
— Vous avez entendu, tâchez d’être sage, si jamais Karine avait à se plaindre de vous, je vous garantis que vos fesses le regretteront.
La jeune fille était ravie de la responsabilité que sa mère venait de lui confier, elle n’était pas mécontente par rapport à sa sœur qui en tant qu’aînée, se comportait souvent mal avec elle.
Elle s’approcha d’Héloïse et lui tapota les fesses :
— Alors sœurette tu as mal à ton petit derrière ? Tu sais que tu es très mignonne comme ça…hihi.
Elle claqua un peu plus sèchement les fesses encore rouges :
— Elles sont moins rouges que celle de Clotilde, j’ai bien envie de te les claquer un peu.
Héloïse se mit à gémir :
— Oh non s’il te plaît, tu n’as pas le droit.
Karine lui claqua sèchement la croupe :
— Je vais te montrer si je n’ai pas le droit, tends bien tes fesses ! Si tu continues je te mets sur mes genoux comme une gamine. Et en plus je dirai à maman que tu as désobéi.
La grande sœur se mit à pleurnicher :
— Non, non, c’est bon, ne dit rien à maman.
En souriant Karine saisit son aînée par l’oreille comme si elle était son institutrice :
— Très bien, mais c’est un peu tard ma chérie, je vais t’apprendre les bonnes manières, tu vas voir l’effet que ça fait de se retrouver couchée sur les genoux de sa petite sœur.
Elle s’installa sur une chaise, et malgré les protestations d’Héloïse, elle la força à se coucher en travers de ses cuisses :
— Tu es bien installée ma petite chérie.
Elle riait en tapotant le derrière rebondi de sa grande sœur :
— Tu vas pouvoir comparer avec la fessée de maman.
Elle se mit à claquer les fesses encore rouges et Héloïse cria immédiatement autant de douleur que de rage d’être ainsi fessée par sa petite sœur. La jeune fille se prit au jeu et elle administra à sa sœurette comme elle l’appelait une magistrale correction, quand elle se releva Héloïse avait une paire de fesses dont la couleur n’avait rien à envier à celle de Clotilde. Elle entreprit de frotter énergiquement ses fesses brûlantes ce qui mit en joie la jeune fille :
— On dirait que ça te cuit ma chérie, alors tu préfères le panpan cucul de Karine ou celui de maman ? Bon maintenant tu arrêtes et tu te remets au coin, ta pénitence n’est pas terminée.
Docilement Héloïse se remit en position et la jeune maîtresse entrepris de discuter sur son smartphone. Prise par les conversations avec ses copines, elle en oublia un peu les punies qui restèrent plus longtemps que prévu le nez collé au mur.
Quand elles furent autorisées à quitter le coin, Karine prit les choses en main, elle s’adressa d’abord à sa sœur :
— Tu peux te reculotter, j’espère que ton collant de danse est opaque sinon tout le monde va savoir que mademoiselle reçoit encore la fessée cul nu.
En effet en regardant sa croupe dans la glace, Héloïse put se rendre compte que la rougeur descendait sur le haut des cuisses. Elle enfila un jogging, prit son sac et ne demanda pas son reste.
Pendant ce temps, Karine s’était approchée de Clotilde et lui avait tapoté le derrière :
— Venez avec moi, je vais vous montrer votre chambre, vous pouvez prendre votre sac.
Elle ne lui proposa pas de remettre sa jupe en place, Clotilde n’avait plus de culotte, c’est donc avec les fesses à l’air qu’elle traversa la maison, au moment de monter dans l’escalier, la jeune fille s’effaça et lui indiqua la direction :
— Montez, c’est la première porte à droite.
Elle put ainsi se délecter du large fessier bien rouge qui ballottait au rythme des pas de cette dame d’âge mûr encore cul nu. Elle la suivait en souriant, décidément le week-end s’annonçait bien.
Sur le lit elles découvrirent des vêtements qui avaient été disposés par Claire, c’était une tenue de soubrette des années cinquante, une jupe courte noire évasée, un chemisier blanc, un petit tablier blanc également. Une culotte rose et un soutien gorge assorti complétait la tenue ainsi que des bas et un porte-jarretelles, c’était une tenue relativement sexy. Clotilde la regardait sans comprendre, la jeune fille dut à nouveau prendre l’initiative :
— Maman a dit que vous deviez vous changer, vous devriez le faire avant qu’elle ne rentre, elle n’aime pas quand on lambine.
Elle voyait bien que cette dame semblait gênée d’être obligée de se changer devant elle, mais elle ne comptait pas se priver du spectacle, elle avait déjà pu contempler son derrière donc un peu plus ou un peu moins, elle ajouta dans un sourire :
— Faut-il que je vous aide ?
Elle avait dit ça naturellement, mais Clotilde y vit comme la menace voilée d’une autre sanction, elle n’avait pas envie de recevoir une fessée par cette gamine. Elle commença donc à retirer ses vêtements pour mettre ceux que Claire avait prévu pour elle.
Elle fit glisser sa jupe, enleva son chemisier, elle avait cinquante ans, était bien en chair mais son corps n’était pas désagréable à regarder, ses fesses n’étaient pas flasques et son ventre était plat. Elle hésita encore un peu en regardant la jeune fille souriante, puis elle dégrafa son soutien gorge, Claire lui avait confisqué sa culotte, elle était donc quasiment nue mis à part les bas. Elle les fit glisser sur ses jambes, elle était maintenant en tenue d’Ève.
Elle aimait les tenues sexy et portait de temps en temps des dessous de ce style, elle enfila le porte-jarretelles puis mit les bas. Elle savait qu’il fallait toujours mettre sa culotte par-dessus pour pouvoir l’enlever, elle pensa intérieurement « ce sera plus pratique pour me déculotter », ça la fit rougir, elle avait intégré son statut de dame qui reçoit encore la fessée cul nu.
Elle se reculotta donc, cachant enfin ses fesses au regard de la jeune fille, celle-ci n’était pas insensible à la sensualité de la situation, elle regretta de ne plus voir le beau derrière de la punie.
Clotilde avait enfilé le soutien-gorge et le chemisier, elle mit la jupe et fut surprise, elle était à sa taille, mais si courte qu’elle découvrait largement ses cuisses. Il ne restait plus que le petit tablier blanc sur le lit quand Claire Dugou entra dans la pièce :
— À voilà notre petite soubrette, n’est-elle pas mignonne ?
Elle s’adressait à Karine qui acquiesça en riant :
— C’est vrai, elle est même très sexy.
La sévère maîtresse de maison avait pris la main de Clotilde et la fit pivoter :
— Tourne-toi un peu que je te voie bien.
Clotilde docilement s’exécuta, quand elle tourna le dos à Claire, celle-ci retroussa la jupe :
— Ça te fait un très joli derrière.
Elle baissa un peu la culotte.
— C’est bien tes fesses sont tout juste rosées, elles seront prêtes pour ta fessée du midi.
Au grand soulagement de Clotilde, elle remonta la culotte et relâcha la jupe, puis elle claqua sèchement le large derrière :
— Bon maintenant que tu es en tenue, tu vas te mettre au travail, tu as toutes les poussières de la maison à faire, Karine va te montrer où est le matériel. Tâche de faire ça bien sinon j’époussetterai également tes fesses.
La jeune fille conduisit la nouvelle soubrette à la cuisine et lui donna les chiffons nécessaires à son travail. Clotilde n’était pas une experte, elle avait une femme de ménage à la maison et se retrouver dans cette situation qui plus est sous le regard d’une jeune fille était déstabilisant. Sa tenue n’était pas très adaptée, elle s’en rendit compte rapidement, dès qu’elle se baissait sa culotte était visible, cette jupe était plus faite pour la fessée que pour le ménage.
Elle était au travail depuis une heure quand Claire entra dans le bureau où elle s’escrimait à dépoussiérer les nombreux bibelots :
— Ça n’avance pas très vite. Si ce n’est pas fini à midi tu continueras cet après-midi, mais je te garantis que tu n’auras pas froid aux fesses.
Elle souleva une statuette et passa son doigt dessous, il revint avec des traces grises. Elle saisit l’oreille de la soubrette :
— C’est comme ça que tu fais le ménage !! Je vais t’apprendre !!
Avant que Clotilde eût le temps de dire un mot, elle se retrouva coincée sous le bras de sa patronne, les fesses tendues, la jupe vola sur les reins, la culotte glissa sous les fesses et la fessée pétarada dans la pièce.
Karine était dans sa chambre, elle esquissa un sourire, les fesses de Clotilde ne seraient pas restées longtemps cachées. Elle n’avait pas tort, après cette rapide correction, Claire coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture et remonta la culotte juste sous les fesses, elle claqua sèchement l’épiderme rougi :
— Maintenant au travail, il te reste trois-quarts d’heure avant ta fessée de midi, ne lambine pas !
A midi, Héloïse était de retour, le cauchemar de Clotilde se poursuivait, elle n’éviterait pas une fessée déculottée en présence des deux filles de sa maîtresse.
Karine avait préparé la table et mis quatre assiettes, Claire en souriant s’adressa à ses deux filles :
— Clotilde est punie, elle ne mangera pas avec nous, elle a droit juste à une petite salade avec un quignon de pain à manger à la cuisine.
Elle se tourna vers sa soubrette :
— Dépêche-toi d’aller manger ce que je t’ai préparé, ensuite tu te reculottes et tu viens au salon nous t’attendrons.
Les deux filles étaient ravies, surtout Héloïse qui pensait encore à sa fessée matinale, elle avait tellement eu honte d’être mise au coin fesses à l’air en présence de Clotilde. Le cours de danse n’avait pas été très agréable non plus, elle avait bien pris soin de cacher à ses copines les traces rouges sur ses fesses en enfilant rapidement son justaucorps, mais malheureusement pour elle le collant n’était pas assez opaque pour dissimuler les traces sur ses cuisses et sa prof de danse s’en était rendu compte. En riant elle avait dit à la cantonade :
— Soyez plus attentive, sinon ce sera panpan cucul comme pour Héloïse.
La pauvre avait piqué un énorme fard et ça avait été la honte de sa vie, mais maintenant c’était oublié, ses fesses n’étaient presque plus sensibles et elle discutait avec Karine en attendant le retour de la soubrette.
Celle-ci était terriblement angoissée, elle picora sa salade, elle avait l’appétit coupé, elle remonta sa culotte comme lui avait demandé Claire. Juste au moment où elle s’apprêtait à venir au salon, elle croisa Karine qui fouilla dans un tiroir et en sortit une grande cuillère en bois qu’elle tendit à la punie :
— Maman veut que vous lui ameniez ça.
Elle soupesa l’instrument culinaire, c’était une large et longue cuillère, elle se doutait bien qu’elle était destinée à son derrière, elle surprit le sourire coquin de la jeune fille, nul doute que celle-ci attendait avec impatience l’administration du châtiment enfantin sur ses bonnes grosses fesses de dame mûre :
— Vous devriez vous dépêcher, maman n’aime pas attendre quand elle doit donner la fessée.
Au moins les choses étaient dites, Clotilde baissa la tête et se rendit au salon, suivie par Karine. Claire l’attendait en souriant, comme si c’était une chose normale que d’administrer une fessée déculottée à une dame de cinquante ans devant deux jeunes femmes avant de passer à table. Un petit signe du doigt et Clotilde fut contre ses genoux, une petite poussée dans le dos et la soubrette se coucha en travers de ses cuisses :
— Voyons un peu ce bon gros derrière. Regardez bien mes chéries, vous voyez qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée quand on l’a méritée.
La jupette était déjà remontée par la position, les deux filles voyaient le haut des bas et les jarretelles ainsi que la culotte rose. Claire retroussa largement le vêtement sur les reins de sa punie et le large derrière moulé dans la lingerie rose s’étala dans toute sa splendeur.
Clotilde savait pourquoi sa maîtresse lui avait demandé de remonter sa culotte, pour la punie l’humiliation du déculottage était aussi intense qu’était le plaisir pour la fesseuse de baisser la culotte.
Claire prenait son temps le bon gros derrière de Clotilde comme elle l’appelait, était tendu sous la petite culotte, la base des fesses était découverte, elle claqua un peu cette zone si sensible :
— Une bonne fessée déculottée ma petite Clotilde, voilà ce que tu vas recevoir, j’espère que tu as bien honte de montrer tes fesses à Héloïse et Karine.
Puis sans plus de façon, elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit glisser le long de la large croupe. Bien que depuis quelque temps elle se soit fait régulièrement déculotter et même en public, cette mise à l’air de son derrière fut très humiliante pour la cheffe comptable, les deux spectatrices étaient très jeunes, elles auraient pu être ses filles.
Les deux hémisphères étaient serrés par la honte et l’angoisse, Claire leva la main et commença à claquer méthodiquement le large derrière, c’était toujours un plaisir pour elle d’administrer une fessée classique avec la main et d’avoir la punie couchée sur ses genoux.
Le fessier repris rapidement une couleur qui ne le quittait quasiment plus depuis la découverte des malversations de sa propriétaire, une belle teinte carmin s’étalait sur toute la surface de la croupe. Clotilde avait commencé par gémir doucement puis la cuisson augmentant, elle s’était mise à crier et à battre des pieds. Claire cessa la punition le temps de saisir la cuillère en bois posée sur la table basse et immédiatement les cris redoublèrent ainsi que la magnifique danse des fesses de la dame de cinquante ans. Les pleurs ne tardèrent pas, Claire jetait de temps en temps un œil en direction de ses deux filles, celles-ci semblaient apprécier à sa juste valeur le spectacle offert par la cheffe comptable redevenue le temps d’un week-end une soubrette corrigée par sa maîtresse.
Clotilde put enfin se relever, sa croupe était cramoisie, la jupe était retombée, la culotte entourait les genoux et de grosses larmes coulaient sur ses joues, Claire s’adressa à Karine :
— Va me chercher deux pinces à linges.
Puis elle saisit l’oreille de Clotilde et se dirigea vers le coin de la pièce :
— Colle ton nez contre le mur et cesse de pleurer, ce n’était qu’une bonne fessée tu devrais commencer à t’y habituer.
Karine était revenue, elle tendit les pinces à sa mère, mais celle-ci avait l’intention d’augmenter la confusion de sa subordonnée :
— Tu vas fixer toi-même la jupe de cette vilaine fille dans son dos pour qu’on puisse bien voir ses fesses.
Le visage de Karine s’illumina d’un large sourire, elle s’approcha de Clotilde, saisit l’ourlet de la jupe et la fixa bien haut dans le dos dégageant parfaitement le fessier écarlate.
— Remonte un peu la culotte, ça sera plus mignon. Quant à toi ma petite Clotilde tu mets tes mains sur la tête et je ne veux plus t’entendre.
Une fois la punie en position au coin, Claire s’adressa aux deux jeunes filles :
— Bien, maintenant passons à table, cette déculottée m’a ouvert l’appétit.
Le repas fut décontracté, les filles savaient que la passion fesseuse de leur mère était assouvie par la correction administrée à la soubrette, elles jetaient de temps en temps un regard sur le beau fessier rougi, elles étaient passablement excitées par ce spectacle assez incongru.
La pénitence de Clotilde dura bien après la fin du repas, elle était habituée à passer un peu de temps au coin dans le bureau de sa cheffe de service, mais elle n’était jamais restée si longtemps le nez contre le mur et les mains sur la tête à exposer son derrière.
Les deux jeunes étaient parties quand enfin Claire l’appela :
— Clotilde vient ici !
Elle se présenta tête basse devant sa maîtresse :
— Tu peux enlever tes mains de ta tête, j’espère que tu commences à comprendre et que ton derrière te brûle. Voilà ton programme de l’après-midi. Tu vois ce cahier sur la table et bien c’est ton cahier de punition. Tu vas me copier deux cent fois « Je ne volerai plus mon employeur, je remercie madame Dugou de m’administrer régulièrement de bonnes fessées déculottées sur mon gros derrière ».
Elle fit tourner sa soubrette et lui palpa les fesses :
— Tu restes cul nu pour copier tes lignes. A seize heures tu recevras une autre fessée, je ne voudrais pas que tes fesses refroidissent.
Elle claqua le fessier et indiqua la chaise :
— Au travail et ne traîne pas, je n’ai pas besoin de te dire que ça doit être bien écris !
Clotilde se mit au travail, madame Dugou lui avait promis un week-end cuisant, elle tenait parole.