lundi 10 mars 2025

Lucie et Christian 23

 Repas cuisant



Bien sûr ces pages de copie furent difficiles pour Clotilde, assise cul nu sur la chaise, les fesses douloureuses et deux cent fois cette phrase à copier. Au bout d’une heure, Claire regarda par-dessus son épaule, elle sourit, visiblement la cheffe comptable avait du mal à écrire correctement, elle prit le cahier :

— Voyons un peu où tu en es.

Clotilde avait copié péniblement quarante fois cette phrase humiliante, la sévère maîtresse lui saisit l’oreille pour la faire se lever :

— Qu’est-ce que c’est que ce torchon. Je vais t’apprendre moi ! Si ton institutrice avait utilisé les bonnes vieilles méthodes, tu écrirais sans doute un peu mieux !

Elle courba la soubrette déculottée sous son bras et se mit en devoir de claquer à nouveau le plantureux fessier. Clotilde bien maintenue ne pouvait que trépigner sur place et supplier :

— Aïe, aïe, non, non pardon madame… Aïe, plus la fessée, ça brûle trop, aïe…

Les pleurs se mêlèrent aux supplications, décidément c’était vraiment cher payé ce moment d’égarement, son bon gros derrière comme lui répétait tous les jours sa patronne n’avait pas fini de lui cuire.

Enfin madame Dugou satisfaite de la belle couleur de la croupe la relâcha, elle prit le stylo et barra toutes les pages déjà écrites :

— Tu recommences et tu tâches de t’appliquer, la fessée que tu viens de recevoir ne te dispense pas de celle qui était prévue à seize heures, tu as une heure avant de me représenter tes bonnes grosses fesses.

Clotilde se rassit en gémissant et recommença sa copie, une heure plus tard elle était couchée en travers des genoux de Claire et elle lui présentait effectivement une belle paire de fesses encore rouges, cela n’entraîna aucune indulgence de la part de sa sévère maîtresse. On ne meurt pas d’une bonne fessée déculottée même si elle est administrée avec une brosse à cheveux, on a juste un peu plus de mal quand on s’assoit.

Clotilde reçut encore une fessée avant l’heure du dîner, elle venait de finir ses lignes, ses fesses étaient cramoisies quand Claire lui annonça en souriant qu’elle mangerait comme à midi seule à la cuisine, mais qu’elle serait dispensée de coin puisqu’elle ferait le service.

Elle avait eu le droit de remonter sa culotte, elle grimaça légèrement quand le fin tissu glissa sur son épiderme brûlant, Karine assistait à son reculottage, elle ne put s’empêcher de sourire en voyant la mimique de la soubrette. Elle avait assisté à la dernière correction et malgré sa perversité, elle avait compati au sort de Clotilde qui avait le derrière rouge depuis son arrivée.

Claire avait invitée deux voisines à partager le repas, c’était un couple de lesbiennes, Mary était une petite brunette de vingt-cinq ans, originaire du pays de galles et Jane une dame bien en chair de trente-cinq ans blonde avec une peau diaphane. Dès le premier abord, on savait comment fonctionnait le couple, Mary parlait fort et ne laissait pas son amie en placer une et quand celle-ci disait enfin quelque chose, si cela ne convenait pas à sa jeune compagne elle était sèchement remise à sa place. Elles habitaient la maison voisine et étaient bien sûr au courant de la sévérité de Claire envers ses filles. Mary avait assisté à une sévère déculottée administrée à Héloïse un jour qu’elle était en visite et bien qu’elle ne soit pas beaucoup plus âgée que la jeune punie, elle n’avait nullement compati à son sort et avait même approuvé la rigueur de l’éducation de Claire :

— Je ne pensais pas que la fessée déculottée était encore pratiquée en France, mais je vous donne entièrement raison. Depuis que j’habite ici, je me dis des fois qu’il y a des fessées qui se perdent quand je vois la conduite de certaines personnes.

Héloïse avait été particulièrement vexée de se retrouver la culotte baissée et les fesses rouges, surtout que comme à son habitude sa mère l’avait envoyé au coin après la correction.

Elle n’était pas très à l’aise chaque fois qu’elle rencontrait Mary, mais ce soir elle savait que ce ne serait pas ses fesses qui risquaient d’être au centre de l’attention, ce serait plutôt le bon gros derrière de Clotilde.

Elles étaient cinq assises au salon quand Clotilde apparu pour servir l’apéritif, elle était un peu gênée dans sa tenue de soubrette sexy devant des inconnues, en la voyant Mary s’exclama :

— Mais vous avez une bonne ma chère Claire ? Je ne savais pas.

Claire était assez fière de la surprise de ses voisines :

— Je vous présente Clotilde, elle est en stage pour le week-end. Je lui apprends les bases du travail de soubrette.

Jane semblait surprise mais son attirance pour les dames et les fessiers bien joufflu était visible son regard ne quittait pas le splendide popotin de Clotilde.

— Elle est vraiment mignonne dans cette tenue, vous avez du goût.

Karine et Héloïse souriaient en pensant au fessier écarlate que cachait la soubrette sous sa courte jupette et sa petite culotte. Elle se demandait quand leur mère allait déculotter la dame rougissante de cinquante ans, une chose était sûre, la malheureuse allait exposer ses charmes mais quelle occasion allait bien pouvoir trouver la sévère maîtresse ?

Clotilde déposa les flûtes pour le champagne, elle dut se baisser et immanquablement, vu la taille de la jupette, la lisière des bas apparut, elle tournait le dos à Mary, celle-ci jeta un sourire coquin à la maîtresse de maison :

— C’est vraiment adorable, on a vraiment envie d’en voir un peu plus.

Jane rougit à la remarque osée de sa petite amie, Claire n’en demandait pas tant pour se livrer à son sport favori, les petites humiliations perverses du quotidien.

— C’est facile, vous allez voir, j’ai soigné ses dessous. Clotilde retrousse ta jupe !

La pauvre avait déjà les joues rosées, elles virèrent au vermillon :

— Oh madame, s’il vous plaît…

Elle avait gémi à la demande humiliante de sa patronne. Celle-ci lui jeta un regard :

— Pardon ? Si c’est moi qui le fait tu sais ce que ça signifie !

Le regard des deux invitées allait de la bonne à la maîtresse de maison, Mary semblait la plus excitée :

— Madame a sa pudeur sans doute.

Le regard de Claire était devenu noir, Clotilde sentit qu’elle ne pouvait pas reculer, elle baissa la tête et se tourna pour ne pas affronter le regard des spectatrices puis elle saisit le bas de sa jupe et la retroussa.



 Le large fessier moulé dans la fine culotte rose apparu, il débordait du sous-vêtement et bien évidemment la rougeur, conséquence des multiples fessées reçues, sauta aux yeux des deux voisines. Mary éclata de rire :

— Mazette, quel popotin. On dirait qu’il y a eu du panpan cucul.

Jane avait rougi et ne disait rien. Claire était satisfaite de son petit effet.

— Oui et il ne s’en est pas fallu de beaucoup pour qu’il y en ait encore. D’ailleurs puisque c’est ça, madame va se déculotter. Je vais t’apprendre à obéir ma petite !

Les deux filles trouvaient que leur mère exagérait un peu, mais en même temps, elles étaient ravies de ne pas être au centre de la conversation et puis ce petit strip-tease n’était pas pour leur déplaire, le spectacle de cette dame d’âge mûr jupe retroussée et derrière tendu était assez excitant.

Clotilde savait qu’elle ne pouvait pas refuser sous peine d’une sanction immédiate et comme celle-ci serait immanquablement une fessée déculottée, autant montrer son derrière et ne pas recevoir ce châtiment. Elle glissa ses doigts sous l’élastique de la culotte et baissa celle-ci sous ses fesses.

Le derrière encore bien rouge s’étalait devant les yeux médusés des deux voisines, elles étaient certes au courant des méthodes expéditives et claquantes que Claire utilisait avec ses filles. Mais cette dame d’un certain âge qui leur exposait sa croupe n’était pas sa fille et pourtant elle lui avait administré, sans aucun doute possible, une bonne fessée.

Mary en souriant approcha se leva et posa sa main sur le fessier :

— C’est plus qu’un simple panpan cucul, on dirait que madame a reçu une magistrale déculottée.

Jane était de plus en plus rouge, son amie se tourna vers elle :

— Tu as vu ma chérie, c’est joli un derrière bien rouge. Il est comme le tien hier soir.

La trentenaire baissa les yeux ses joues étaient devenues écarlates, les quatre paires d’yeux avaient quitté la croupe de Clotilde pour la fixer, Mary était satisfaite de sa sortie, elle regarda Claire :

— Il n’y a pas que chez vous que les culottes sont baissées.

Celle-ci se doutait des relations des deux jeunes femmes, mais elle fut satisfaite d’en avoir la confirmation, elle regarda Jane d’un œil nouveau, elle était très mignonne et sa croupe parfaite pour une amatrice comme l’était Claire :

— C’est toujours ce que je dis aux filles, il n’y a pas d’âge pour se faire baisser la culotte. Regardez notre grande Clotilde, n’est-elle pas mignonne avec ses fesses à l’air ?

Elle s’approcha de la soubrette déculottée et lui appliqua une claque sur chaque fesse :

— Tu peux te reculotter. Va chercher les petits fours, je m’occupe du champagne.

Clotilde ne se le fit pas dire deux fois et c’est dans une tenue plus conforme qu’elle se dirigea vers la cuisine, Mary paraissait hypnotisée par le balancement du large fessier. Claire le remarqua et se mit à rire :

— Elle a vraiment une belle paire de fesses n’est-ce pas ? Un vrai régal.

Les trois autres spectatrices appréciaient également mais à des degrés divers, Karine était une fesseuse en devenir et même si de temps en temps sa mère lui rougissait les fesses, elle appréciait le derrière de la soubrette en connaisseuse, par contre Héloïse qui avait déjà montré ses fesses à Mary, songeait que la jeune femme avait dû faire le même genre de réflexion sur son popotin. Quant à Jane, l’allusion transparente qu’avait fait sa petite amie sur son recours à la fessée déculottée dans leur couple, avait anéanti ses pensées coquines concernant le postérieur de Clotilde.

L’apéritif se passa bien, les deux fesseuses discouraient sur l’éducation traditionnelle et ses bienfaits, seule Karine donnait de temps en temps son avis. Clotilde essayait d’assurer du mieux possible le service, mais on ne la sentait pas à l’aise. Au moment de débarrasser les flûtes, ce qu’elle craignait arriva, l’une d’elle se renversa avec le reste du champagne. La réaction de Claire fut immédiate :

— Quelle maladroite, dépêche-toi de nettoyer ça, ensuite je vais m’occuper de tes fesses !!

Elle avait accompagné sa phrase d’une magistrale claque sur le derrière joufflu de la soubrette.

Morte de honte et inquiète de la suite, Clotilde se précipita pour ramasser les débris et éponger le champagne, toutes les spectatrices la regardaient faire et attendaient la suite avec impatience. Dès qu’elle revint de la cuisine, sa sévère maîtresse lui indiqua ses genoux d’un doigt impérieux :

— En position ! Je vais t’apprendre à faire un peu attention !!

Le visage rouge comme une pivoine, consciente qu’elle n’allait pas échapper à l’humiliation d’une fessée déculottée publique, Clotilde se coucha en travers des cuisses de Claire. Celle-ci eut vite fait de retrousser la jupette sur les reins, c’était une punition de maîtresse en colère, le déculottage fut donc immédiat, les deux fesses encore rouges étaient serrées par l’appréhension.

Comme une maman appliquant un châtiment mérité à sa progéniture, Claire Dugou commença immédiatement la fessée, elle fut carabinée. La soubrette cria rapidement et elle effectua une danse des fesses mémorable, quand la correction cessa la croupe était cramoisie. La sévère patronne la garda un moment déculottée en travers de ses genoux, le temps qu’elle se calme :

— Voila ce que j’appelle une déculottée ma chérie, j’espère que ça va te servir de leçon et que je ne serai pas obligée de recommencer pendant le repas.

Elle fit relever Clotilde qui pleurnichait encore, elle lui claqua les cuisses :

— Cesse de couiner, tu n’as eu que ce que tu méritais.

Elle coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture, remonta la culotte juste sous les fesses et les claqua sèchement :

— Maintenant tu files et tu fais ton service correctement, tes fesses sont à disposition si nécessaire et tout le monde pourra les admirer.

Clotilde ne demanda pas son reste et disparu vers la cuisine sous le regard amusé des spectatrices, ses deux bonnes grosses fesses bien rouges ballottant au rythme de la marche.

Mary regarda sa petite amie :

— Tu as vu, Claire à une méthode très efficace pour soigner la maladresse, je crois que je vais l’utiliser la prochaine fois que tu casses quelque chose.

Elle avait dit ça en riant, mais Jane ne trouvait pas ça drôle, elle piqua à nouveau un fard pendant que les deux filles pouffaient.

Elles passèrent à table et Clotilde fit le service avec ses fesses rouges bien en vue, Mary était vraiment intéressée par son fessier joufflu et elle le tapotait chaque fois qu’il passait à sa portée. Le repas se déroula sans incident jusqu’au dessert où Jane tacha malencontreusement la nappe. Mary la regarda en souriant :

— Eh bien ma chérie, voilà une bonne occasion pour expérimenter la méthode de Claire.

Elle avait repoussé sa chaise, elle s’adressa à la maîtresse de maison :

— Ça ne te dérange pas si je règle ce petit problème maintenant.

Claire Dugou, n’en demandait pas tant, quel plaisir que de découvrir une nouvelle paire de fesses, surtout que Jane avait vraiment l’air bien pourvue de ce côté-là, elle indiqua le salon :

— Mais pas du tout, je suis partisane de régler ce genre de problèmes dès qu’ils se produisent. Tu veux t’installer au salon ?

— Non, non ce n’est pas la peine, notre petite maladroite va venir gentiment sur mes genoux, vous serez aux premières loges pour admirer son derrière et ça lui servira de leçon.

Elle avait suffisamment reculé sa chaise de la table pour que Jane puisse se coucher en travers de ses cuisses. Effectivement les spectatrices étaient aux premières loges pour admirer la jolie culotte en dentelle de la trentenaire, ses bonnes fesses rebondies contractées faisaient rentrer la lingerie dans la raie fessière. La jupe avait été soigneusement relevée, les bas autofixants délimitaient la zone à corriger. Mary leva la main et commença à claquer le derrière culotté. La punie morte de honte essayait de rester stoïque et ne poussait que des petits cris, en souriant la fesseuse claqua sèchement la base des fesses découvertes, Jane poussa un cri plus aigu et battit l’air avec ses pieds :

— Cesse un peu ces simagrées, la fessée cul nu tu vas la sentir beaucoup mieux. Voyons un peu ce bon gros derrière.

Elle déculotta lentement sa petite amie, découvrant une magnifique paire de fesses, à peine rosée par la fessée d’échauffement, Karine appréciait à sa juste valeur, malgré ses dix-huit ans, elle aurait bien aimé être à la place de Mary, ce derrière était fessable. Pour Héloïse, ce n’était pas tout à fait la même chose, elle se voyait plutôt à la place de la punie et cette image n’avait rien de réjouissant.

Mary palpait le beau fessier de sa petite amie comme pour mieux se l’approprier, puis elle déclencha une avalanche de claques toutes plus sévères les unes que les autres. Claire était admirative devant la technique de la jeune femme, rapidement la croupe prit une belle couleur pourpre, digne des plus sévères corrections qu’elle administrait au bureau.

Jane piaillait et gigotait comme une vulgaire adolescente punie par sa maman, que celle-ci ait dix ans de moins qu’elle, n’avait aucune importance, elle se mit à pleurer et à supplier :

— Noon… Aïe, aïe, arrête, ça brûle trop… Non pardon… Je n’ai pas fait exprès… Pardon… Maman…

Le mot était sorti naturellement et n’avait pas surpris les spectatrices, Mary se comportait vraiment comme une mère de famille corrigeant sa fille.



La fessée fut assez longue pour que Jane expose à tout le monde l’intégralité de ses trésors intimes, son derrière et l’arrière de ses cuisses étaient rubiconds quand sa petite amie l’autorisa à se relever. Immédiatement saisie par l’oreille, elle fut conduite au coin par Mary qui épingla sa jupe dans le dos et remonta la culotte à mi-cuisse :

— Tu cesses de pleurnicher et tu mets tes mains sur la tête, j’espère que tu as honte de montrer tes fesses toutes rouges !!

Pendant la correction de la jeune femme, Clotilde était venue discrètement à la porte pour assister à la punition, c’était une petite consolation, au moins elle n’aurait pas été la seule à exposer ses fesses nues et rouges. Claire l’aperçut :

— Tu ferais mieux de débarrasser et de nous servir le café si tu ne veux pas que je te réchauffe le derrière.

Elles se levèrent pour s’installer au salon, en passant Mary prit sa petite amie par l’oreille :

— Tu vas exposer tes fesses au salon ça serait dommage de se priver du spectacle d’un derrière si joli.

Héloïse demanda l’autorisation de monter dans sa chambre, l’atmosphère claquante de cette soirée l’incitait à la prudence, les deux fesseuses auraient pu avoir d’autres idées. Karine ne se lassait pas du spectacle du beau fessier rebondi de Jane, elle se demandait comment elle allait pouvoir se débrouiller pour lui flanquer une fessée, son absence de réaction était le signe d’un caractère soumis. Et puis il y avait également le splendide joufflu de Clotilde qui allait et venait toujours les fesse à l’air. Mary remarqua son regard qui allait d’une croupe à l’autre, elle se mit à rire :

— Eh bien dis donc ma petite chérie, tu as l’air d’aimer voir danser les fesses.

Karine rougit légèrement mais ne se démonta pas :

— Elles ont toutes les deux une bonne paire de fesses, vous fessez souvent Jane ?

Claire regardait sa fille d’un œil amusé, cette petite lui ressemblait, Mary désigna du regard son amie en pénitence :

— Madame a souvent besoin d’un petit rappel, surtout ces temps-ci. Mais tu as raison, elle a vraiment un bon gros derrière, elle peut être souvent corrigée sans dommage.

Karine se leva et caressa les fesses bien rouges :

— C’est vrai qu’elles sont vraiment mignonnes.

Clotilde avait fini de servir le café, Claire reprit les choses en main, elle lui fit un petit signe :

— Viens un peu ici et montre-moi tes fesses.

Docilement Clotilde se tourna et se pencha légèrement en avant, Mary était impressionnée par sa docilité. La maîtresse se pencha également et passa sa main sur l’épiderme encore bien rouge :

— Tu vas aller au coin toi aussi, tes fesses sont encore rouges, mais pas autant que celle de Jane. Tant pis pour toi tu es bonne pour une autre fessée.

Elle ceintura sa soubrette et claqua fortement le derrière une cinquantaine de fois, ce fut suffisant pour lui redonner un éclat qui n’avait rien à envier à celui de la trentenaire en pénitence. Clotilde sans que Claire ait eu besoin de lui dire alla se placer le nez contre le mur et les mains sur la tête au côté de Jane, les deux fessiers étaient de la même teinte, celui de Clotilde était un peu plus joufflu et moins rebondi que celui de sa voisine.

Mary se tourna vers sa voisine, notre petite soubrette aurait besoin de muscler son derrière, je le trouve un peu ramolli. Claire éclata de rire :

— C’est vrai, mais ne t’inquiète pas avec le traitement que je lui réserve il va rapidement se raffermir, la fessée cul nu régulièrement appliquée vaut la salle de gym.

Karine se régalait, décidément cette soirée était passionnante, mais soudain le ciel s’assombrit pour elle. Sa mère la regarda en souriant :

— Alors comme ça ma petite chérie tu te moques de tes petites camarades.

Karine surprise, bredouilla :

— Mais non… Euh pourquoi… Je n’ai rien fait.

Claire lui fit un petit signe du doigt :

— Viens un peu ici, petite coquine.

Karine sentit soudain que sa soirée allait être gâchée, elle s’approcha de sa maman, celle-ci sans façon glissa ses mains sous sa jupe, Karine protesta faiblement :

— Non, non… Maman, s’il te plaît.

Elle sentit les doigts de Claire saisir sa culotte :

— Je voudrais que Mary puisse comparer tes fesses avec celle des deux punies, tu as dit qu’elles étaient mignonnes, eh bien on va voir les tiennes.

La petite culotte blanche, était descendue jusqu’aux genoux :

— Tourne-toi !

Le ton était impérieux, Karine s’exécuta immédiatement et sa mère souleva la jupe pour découvrir le mignon fessier de la jeune fille, les fesses étaient serrées. La sévère maman, coinça la jupe dans la ceinture et claqua le derrière dénudé :

— Va montrer tes fesses à Mary.

Les joues empourprées Karine se dirigea vers la voisine, qui lui fit un petit signe :

— Tourne-toi ma chérie, j’adore les mignons petits derrières

Karine regrettait amèrement de ne pas avoir suivi sa sœur, la main de Mary explorait ses formes, c’était la honte totale. Le verdict tomba :

— Elle va aller au coin elle aussi ?

C’était à peine une question, Claire approuva immédiatement :

— Bien sûr, mais à ton avis tu vas la mettre au coin avec des fesses de cette couleur ?

Karine sentit l’orage arriver, elle essaya de protester :

— Oh non, je n’ai rien fait ! Aïe…

La main de Mary venait de claquer le popotin tendu devant ses yeux :

— Vas-tu te taire ! Comment ça tu n’as rien fait, tu n’arrêtes pas de reluquer les fesses rouges de tes copines et d’aller caresser leur derrière, je vais t’apprendre petite dévergondée.

Elle se leva, posa son pied sur la table basse et bascula Karine en travers de sa cuisse. Les pieds de la jeune fille quittèrent le sol, elle poussa un petit cri de surprise devant la rapidité de sa fesseuse.

Son derrière était parfaitement exposé, Mary aimait les dames et leur forme, ce fessier juvénile était un régal, elle se mit à le palper, elle écarta les deux globes :

— Alors ma chérie, ça te fait quel effet de me montrer tes fesses dans cette position ?

Karine se mit à gémir :

— Pardon madame, pardon, s’il vous plaît pas la fessée… Aïe, aïe… non, non…



La correction avait commencé, elle fut équivalente à celle reçue un peu plus tôt par Jane, une magistrale déculottée. Karine battit des jambes, piailla tout son saoul, mais la main de la fesseuse ne cessa pas de claquer son derrière avant que celui-ci ne fut cramoisi comme les deux autres exposés contre le mur.

Remise sur ses pieds, la jeune fille sautilla sur place pour essayer d’atténuer la brûlure, c’était ravissant et ça fit bien rire les deux dames. Claire reprit l’initiative :

— File te mettre au coin, Mary a eu raison de te flanquer cette fessée, tu l’avais bien cherchée.

Karine ne demanda pas son reste et alla se mettre à côté de Clotilde, Mary qui avait le sens de l’esthétique, remonta la culotte à mi-cuisse, elle se tourna vers sa voisine en riant :

— Voilà une belle brochette de derrières.

Elle caressa les trois fessiers brûlants et regardant la porte qui menait aux chambres :

— Dommage qu’il n’y ait pas celui d’Héloïse. Dans mes souvenirs, il est vraiment mignon.

Claire regarda en souriant sa jeune voisine, celle-ci lui ressemblait, elle aimait passionnément les croupes féminines et par conséquent la fessée. Pourquoi ne pas lui faire plaisir, elle se dirigea vers la porte et appela sa fille aînée :

— Héloïse, tu peux venir s’il te plaît.

Depuis qu’elle était dans sa chambre, la jeune femme écoutait ce qui se passait au salon. Elle avait d’abord entendu la énième fessée reçue par la soubrette, elle s’était dit que sa mère était vraiment sévère et quelques instants plus tard les cris et les pleurs de sa sœur l’avait confortée dans son idée de rejoindre sa chambre, elle avait eu raison de se méfier. Le bruit de la fessée sur le derrière dénudé de Karine était terrible, Mary semblait être une redoutable fesseuse. Il y avait eu un petit moment de calme après les claquements, elle se doutait bien que maintenant sa jeune sœur pleurait le nez posé contre le mur, l’appel de sa mère l’avait fait sursauter.

Elle savait qu’il ne fallait pas la faire attendre, elle entra dans le salon, le spectacle offert était édifiant, une rangée de trois paires de fesses écarlates, les jupes retroussées, les culottes baissées à mi-cuisse soulignant encore plus la rougeur des derrières.

Le sourire carnassier de Mary ne lui laissait guère d’espoir, la jeune voisine avait l’intention de découvrir à nouveau ses fesses.

Sa mère aborda immédiatement la question sans aucun détour ni circonvolution :

— Mary aimerait comparer ton derrière avec celui de ta sœur et des deux punies.

Héloïse fit une grimace qui mit en joie la jeune femme :

— Ça n’a pas l’air de te faire plaisir. Pourtant je suis sûr qu’elles sont de loin les plus mignonnes.

Comme sa sœur quelques instants plus tôt, la jeune fille avait les joues très rouges, elle jeta un regard aux trois fessiers exposés, il ne faisait aucun doute que Mary ne se contenterait pas de regarder son derrière.

Claire Dugou la sortit de sa sidération :

— Tu préfères que je te déculotte ou tu le fais toi-même ?

Héloïse la regarda les yeux déjà mouillés :

— Mais maman, je n’ai rien fait…

Mary se mit à rire :

— Décidément ces petites disent toutes la même chose, Karine non plus n’avait rien fait, ça ne l’a pas empêché de recevoir une bonne déculottée.

Elle se tourna vers la maîtresse de maison :

— Tu veux que je m’en charge ?

— Avec plaisir, mademoiselle fait sa tête et je n’aime pas ça du tout. Mets lui les fesses à l’air ça lui fera le plus grand bien.

Des larmes se mirent à couler sur les joues rouges de la jeune femme, elle n’allait pas échapper à l’humiliation du déculottage et pire encore c’était sa voisine qui allait s’en charger. Mary s’était levée, le petit signe d’acquiescement de Claire l’avait confortée, elle prit Héloïse par la main et l’attira vers elle, en un clin d’œil la jeune étudiante se retrouva coincée sous son bras, la sévère voisine retroussa rapidement la jupe, la fine culotte bleu clair cachait à peine la jolie paire de fesses. Sans attendre elle glissa ses doigts dans la ceinture et fit glisser la lingerie.



Héloïse était assez grande et sportive, son fessier était bien musclé, presque orgueilleux dans toute la plénitude de sa jeunesse. Honteuse d’avoir son intimité ainsi exposée, la sœur de Karine serrait les fesses. Mary les tapota :

— Détends-moi ça ma chérie, ton derrière n’en sera que plus mignon.

Elle maintenait la future punie bien coincée contre sa hanche, la forçant à tendre un peu plus sa croupe, elle se tourna vers Claire :

— Je lui donne un peu de couleur ?

Un petit hochement de tête de la maman fut suffisant. Elle décida d’utiliser la même position que pour sa sœur, elle était humiliante et très utilisée par les institutrices voulant punir les gamines devant toute la classe.

Son pied posé sur la table basse, elle bascula la jeune femme sur sa cuisse horizontale, Héloïse poussa un petit gémissement quand ses pieds quittèrent le sol :

— Oh, non mademoiselle, s’il vous plaît… Aïe, aïe…

La main avait claqué les fesses tendues :

— Veux-tu te taire. Attends un peu pour pleurer que je t’aie bien chauffé le derrière.

Elle se tourna vers la maman qui paraissait ravie que quelqu’un d’autre se charge de corriger ses filles :

— Elle a vraiment une belle paire de fesses, je vais lui mettre la même couleur que ces trois chipies, comme ça on pourra comparer.

Claire appréciait la perversité de sa voisine, c’était certainement un peu injuste pour les deux filles qui n’avait pas fait grand-chose. Mais si la nature à pourvu les dames d’une belle croupe, c’est sûrement fait pour leur administrer la fessée. Elle revoyait les cinq derrières à sa disposition au travail et maintenant il y avait en plus celui de Jane.

Héloïse était désormais couchée sur la cuisse de Mary, sa croupe parfaitement exposée, ses jambes pendant dans le vide, elle était vraiment à la merci de sa jeune voisine. Comme elle l’avait fait avec la plus jeune des deux sœurs, elle explora un peu les rotondités de la jeune femme, c’était vraiment une belle paire de fesses qui s’offrait à elle.

La fessée ne fut pas moins sévère que celle reçue par Jane et Karine, une magistrale déculottée, si l’on peut dire. Héloïse effectua une magnifique danse des fesses, ses pieds battaient l’air encore plus que sa sœur, peut-être était-elle plus douillette ou bien la fesseuse appuyait plus ses claques, mais sa culotte était maintenant entortillée autour de ses chevilles, elle pleurait à chaudes larmes quand Mary la reposa par terre :

— Voilà une paire de fesses cuite à point !

Claire avait décidé de reprendre les choses en main, c’était elle la maîtresse de maison après tout. Elle saisit l’oreille de sa grande fille et la conduisit contre le mur à côté de ses trois compagnes d’infortune.

La culotte remontée à mi-cuisse, la jupe coincée dans la ceinture, le nez collé au mur et les mains sur la tête, tout était conforme, elle se rassit et invita sa collègue fesseuse à faire de même.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Lucie et Chistian 24

  Double fessée Le temps parut long pour les quatre punies, le nez collé au mur et les mains sur la tête. Les deux amies discutaient joyeus...