vendredi 29 novembre 2024

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia 



Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe :

— Coucou ma chérie, tu as passé une bonne nuit ? On va aller chez Annie tout de suite.

Laurence acquiesça, Odile la regarda en riant :

— Tu n’as pas l’air rassurée, tu n’as pas envie qu’elle t’examine on dirait ?

Laurence fit une petite moue et essaya de faire bonne figure :

— Oh arrête un peu, j’en ai vu d’autres.

Odile lui palpa à nouveau le derrière par-dessus la jupe :

— J’espère que tu as pris une bonne douche et que tes petites fesses sont propres, tu sais que c’est de ça qu’on va s’occuper aujourd’hui.

Laurence piqua un énorme fard, c’était humiliant comme question, on aurait dit une maman qui s’occupait de l’hygiène de sa fille, elle bredouilla :

— Mais enfin, oui… Bien sûr.

Odile était ravie de la gêne de son amie, en plus celle-ci au lieu de l’envoyer balader avait répondu comme pour se justifier. Elle lui claqua les fesses :

— Bon, alors on y va. Je connais Annie, elle déteste quand on est en retard.







Dès que sa mère fut partie, Laetitia grimpa les escaliers, elle avait gardé les clés de l’appartement de Brigitte. Elle entra doucement, un bruit familier parvenait du salon, des gémissements accompagnés de claquements secs. Quelqu’un recevait une fessée et avec ce son particulier, c’était certainement une fessée administrée sur la peau nue, une déculottée en quelque sorte.

La jeune fille s’approcha doucement, la porte était entrouverte, la première chose qu’elle vit fut les jambes d’une dame qui battaient l’air et une culotte entortillée autour des chevilles. En passant la tête elle vit un derrière écarlate, elle le reconnut immédiatement, c’était celui de Clémence.



Brigitte ne l’avait pas vue, elle était concentrée sur sa tache, la brosse à cheveux faisait des allers retour incessant sur la jolie croupe écarlate de la jeune étudiante. Clémence pleurait à chaudes larmes, ses battements de jambes étaient la preuve de l’efficacité de la punition.

La professeure morigénait son élève :

— Je vais t’apprendre à faire attention ! Dix fautes dans une simple dictée, c’est inadmissible, je te garantis que tu vas faire des progrès en orthographe, sinon tu auras chaud aux fesses très souvent.

Elle leva la tête et vit soudain Laetitia, la brosse resta en suspens au-dessus du fessier cramoisi. Laetitia la regardait en souriant :

— Ne t’arrête pas, je pense que cette chipie n’a pas les fesses assez rouges.

Clémence se mit à pleurer de plus belle, mais la fessée reprit, Brigitte se vengeait sur le derrière de la jeune femme des fessées reçues et de celles à venir, la présence de Laetitia ne lui disait rien qui vaille. Celle-ci leva la main :

— Bien, je crois que mademoiselle a compris.

Comme à regret, la sévère professeure posa la brosse, elle passa sa main sur l’épiderme enflammé, Clémence sanglotait toujours, ses fesses continuaient de se serrer puis de s’ouvrir comme pour atténuer la cuisson. Laetitia reprit la parole :

— Un passage au coin s’impose, ce serait dommage de ne pas exposer un si joli derrière.

Brigitte fit relever la punie, elle baissait la tête pour ne pas croiser le regard de sa jeune voisine, celle-ci s’approcha et lui mit un doigt sous le menton pour lui faire relever la tête :

— Alors mademoiselle n’a pas travaillé à ce que j’entends, file te mettre au coin, nous réglerons ça tout à l’heure.

Clémence se dirigea vers le mur, elle marchait à petit pas à cause de sa culotte enroulée autour de ses chevilles, Laetitia la suivait, dès qu’elle eut posé son nez contre le mur, elle retroussa la jupe qui cachait le fessier rougeoyant et coinça l’ourlet dans la ceinture, elle remonta la culotte à mi-cuisse et enfin elle claqua sèchement la croupe :

— Colle bien ton nez contre le mur et cesse de pleurnicher, tu l’as bien mérité cette correction.



Puis elle se tourna vers Brigitte qui ne savait pas quoi faire et la regardait les bras ballants, le regard moqueur de Laetitia la fit rougir :

— Tu n’as pas oublié quelque chose ma petite Brigitte ?

Les joues de la dame de soixante ans s’empourprèrent encore plus :

— Euh… c’est-à-dire… Je, je…

Laetitia lui fit un petit signe du doigt lui signifiant de se tourner, Brigitte compris soudain ce que voulait la jeune fille, elle bégaya à nouveau :

— Euh, oui, oui, pardon mademoiselle Laetitia.

Elle jeta un regard désespéré vers Clémence, comme pour supplier sa jeune maîtresse, celle-ci se délectait du désarroi de sa victime :

— Clémence a les fesses bien rouges, mais bientôt elle ne sera plus la seule, tu devrais te dépêcher.

Constatant l’inflexibilité de la jeune femme et consciente que toute résistance serait inutile, la professeure se tourna, retroussa sa jupe et glissant ses doigts dans la ceinture de sa lingerie intime entreprit de se déculotter, puis elle se pencha légèrement pour tendre sa croupe en espérant amadouer quelque peu sa sévère maîtresse. Laetitia s’approcha et tapota les fesses nacrées, elles ne portaient plus de traces des fessées de la veille :

— Tu as désobéi ma petite chérie, je vais donc être obligée de te punir, va chercher le martinet.

Brigitte se mit à gémir :

— Oh non mademoiselle, pardon, mais j’avais oublié, je vous promets que je ne recommencerai plus.

La main de la jeune fille claqua sèchement le large derrière tendu devant ses yeux :

— C’est justement pour que tu n’oublies plus que tu vas être punie, dépêche-toi, ma main me démange !

Vaincue, Brigitte se dirigea vers le hall d’entrée, Odile avait exigé que le martinet familial qui lui avait cinglé les fesses pendant de si nombreuse années, soit suspendu bien en vue à un crochet, juste en face de la porte. Elle revint en tenant piteusement l’instrument de punition, Clémence avait suivi la conversation, la tournure que prenaient les événements n’était pas pour lui déplaire.

Depuis une semaine Odile avait décidé de leurs faire donner des cours de français à elle et Clara et elles avaient rapidement été mises au courant des méthodes pédagogiques de la professeure en retraite, comme pour Laetitia et Chloé, les leçons ne se terminaient jamais sans qu’elles aient les fesses bien rouges et bien chaudes.

Entendre Laetitia traiter Brigitte comme si elle était une gamine était une douce revanche, elle en aurait presque oublié la brûlure de son fessier.

La jeune fille tendit la main pour se saisir de l’instrument punitif :

— Je pense qu’hier je n’ai pas été assez explicite, que dois-tu faire dès que j’arrive ?

Brigitte avait le feu aux joues, mais le regard glaçant de Laetitia ne lui laissait pas le choix, il lui fallait répondre quoiqu’il puisse lui en coûter, elle avala sa salive et se força à regarder sa jeune maîtresse :

— Je… Je dois retrousser ma jupe, me déculotter et vous présenter mes fesses mademoiselle Laetitia.

Elle s’efforçait à être la plus soumise possible pour atténuer la punition qui allait suivre, la jeune fille souriait, elle s’approcha de sa nouvelle pupille et lui saisit l’oreille et la força à se tourner pour lui exposer à nouveau sa croupe, qu’elle claqua deux fois :

— L’as-tu fait ?

— Non, mademoiselle Laetitia, pardon… Aïe, aïe, aïe, aïe.

La main claquait sèchement le large fessier :

— Et pourquoi ne l’as-tu pas fait ?

— Je… j’ai oublié mademoiselle Laetitia.

Brigitte gémissait sous les claques qui continuaient à s’abattre régulièrement sur chacune de ses fesses.

— Ah tu as oublié ? Eh bien le martinet va te rafraîchir la mémoire.

Elle tenait toujours Brigitte par l’oreille, elle s’installa sur une chaise et la fit basculer en travers de ses genoux :

— On va commencer par chauffer ton gros derrière et ensuite monsieur martinet va t’expliquer.

La fessée manuelle fut rapide, Brigitte se rendit vite compte que les fessées de la fille n’avaient rien à envier à celle de la mère. Quand elle se releva son derrière était brûlant, elle fit mine de porter les mains à ses fesses, mais le regard sévère de Laetitia l’en dissuada immédiatement. La jeune fille souriait toujours, ravie de la docilité de cette dame qui aurait pu être sa grand-mère et qu’elle traitait comme une gamine, elle prit le martinet et désigna la table :

— Tu te penches et tu tends bien tes fesses. Trente coups, la prochaine fois ce sera le double.

Discrètement Clémence avait tourné légèrement la tête, elle aperçut dans son champ de vision la large croupe de sa professeure déjà bien rouge. Laetitia lui tournait le dos, elle allait pouvoir assister à la punition de sa fesseuse quelle jolie satisfaction.

Le martinet commença sa danse sur les fesses étalées devant les yeux des deux jeunes femmes. Brigitte était habituée aux punitions sévères, elle se mit à crier et à frapper des pieds par terre, ses fesses s’ouvraient largement, mais elle ne se dérobait pas aux cuisantes lanières. Les trente coups furent administrés sans faiblesse, la croupe était littéralement cramoisie, Laetitia laissa la punie se calmer, puis elle la conduisit dans l’autre coin de la pièce et l’installa comme Clémence, la jupe retroussée et la culotte à mi-cuisses.

Elle se recula un peu pour profiter du joli spectacle de ces deux derrières bien rouges, puis elle se dirigea vers la jeune étudiante et lui saisit l’oreille :

— Tu connais le principe ma petite Clémence, une fessée à l’école égale deux fessées à la maison.

Elle tira sur l’oreille de la jeune femme pour l’amener jusqu’à la chaise et quelques instants plus tard Clémence était à nouveau en position disciplinaire, les fesses pointant vers le ciel à la disposition de Laetitia :

— Je vais commencer par t’en flanquer une maintenant pour que tes petites fesses soient bien chaudes et tu auras droit à la deuxième tout à l’heure.



La main se mit à claquer le fessier déjà écarlate, Clémence cria immédiatement, la brûlure d’une deuxième fessée sur un derrière préalablement bien échauffé, était terrible. Les pleurs ne tardèrent pas et c’est une jeune femme les joues baignées de larme qui regagna le coin de la pièce. Elle n’avait pas eu le loisir de profiter du spectacle offert par sa professeure.

Laetitia laissa les deux punies pendant un quart d’heure le nez collé contre le mur, elle avait pris de nombreuses photos qu’elle avait envoyé à des copines.

Elle autorisa enfin la jeune étudiante à quitter son coin :

— Clémence, viens ici. ! Tu peux te reculotter, mais comme tu as fait dix fautes, tu me copieras dix fois ta dictée pour demain matin. Je passerai dans la soirée t’administrer ta deuxième fessée.

Clémence ne se le fit pas dire deux fois, elle remonta sa culotte sur ses fesses écarlates, prit ses affaires et quitta la pièce, au passage elle jeta un coup d’œil au large fessier rubicond de la professeure, elle esquissa un sourire, ça la consolait un peu de cet après-midi cuisant.

Laetitia s’était approchée de Brigitte, elle tapota les fesses rouges :

— Alors ma chérie, tu as compris la leçon ?

Brigitte savait qu’il lui fallait répondre :

— Oui, oui mademoiselle Laetitia.

La jeune fille écarta un peu les deux fesses, elle esquissa un sourire en les voyant se contracter légèrement, elle devinait la gêne de cette dame de soixante ans exposant son fessier dénudé :

— Tu as honte de me montrer ton bon gros derrière bien rouge n’est-ce pas ?

La professeure geignait doucement :

— Oh oui, mademoiselle j’ai honte, s’il vous plaît…

Une claque sèche atterrit sur le derrière :

— Allez reculotte-toi, on va sortir.

Surprise Brigitte s’exécuta, c’était assez excitant de voir cette dame d’âge mûr remonter sa culotte en rougissant devant le regard goguenard de cette jeune femme :

— Je suis gentille, aujourd’hui tu ne vas pas sortir les fesses à l’air, remets ta jupe en place.

Dès que sa pupille se fut exécutée, elle lui prit la main et l’entraîna avec elle. Arrivée dans le hall, elle traversa la cour et s’engouffra dans l’immeuble d’en face. Devant le regard interrogateur de Brigitte qu’elle tenait toujours par la main, elle lui annonça en souriant :

— On va voir mademoiselle Vilpot, je pense qu’elle va être ravie de voir ton bon gros derrière de plus près.

Elle sentit la main de la professeure se crisper dans la sienne, elle la tira plus fermement et de l’autre lui claqua les fesses par-dessus la jupe :

— Allez avance !

Comme Brigitte s’était mise à protester faiblement, sa main claqua à nouveau :

— Tu veux que je te déculotte ici ? Tu sais ça ne va pas me gêner et je n’en ai pas pour longtemps !

La professeure reprit sa marche en avant, en arrivant devant la porte de la vieille fille, ses joues étaient très rouges, Laetitia sonna.

Suzanne Vilpot ouvrit, elle avait soixante-dix ans, la taille fine, le visage sévère agrémenté de lunettes qui lui donnait l’air d’une institutrice. Elle ne s’était jamais mariée après un chagrin d’amour à vingt ans et avait travaillé toute sa vie dans l’hôtellerie de luxe pour finir sa carrière comme gouvernante. Elle était réputée pour son intransigeance et sa sévérité, des bruits couraient qu’on aurait entendu des claquements dans les chambres de l’hôtel, ce qui était certain c’est que des employées plus ou moins jeunes en étaient sorties avec les larmes aux yeux et les joues rouges. Cependant aucune d’entre elles ne s’était hasardée à se plaindre, les salaires étaient confortables et mademoiselle Vilpot si elle était stricte savait se montrer maternelle envers ses subordonnées

Depuis qu’elle habitait en face de chez Odile, elle avait pu constater que sa voisine d’en face avait une conception très vieille France de l’éducation et le derrière dénudé des deux filles de la maison n’avaient plus de secret pour elle. L’arrivée des deux étudiantes avait été une surprise agréable et depuis hier le fessier de Brigitte s’était ajouté à son tableau de chasse visuel.

En voyant Laetitia accompagnée de Brigitte elle marqua un temps d’arrêt, la jeune fille en souriant lui annonça :

— Bonjour mademoiselle, je vous amène ma nouvelle pupille, vous la connaissez sans doute, elle habite en face l’appartement au-dessus du mien.

Intriguée Suzanne Vilpot les invita à entrer :

— Oui parfaitement, on s’est déjà croisée, mais que me vaut votre visite ?

Elle se doutait bien de quelque chose, Laetitia avait désignée Brigitte comme sa pupille et la façon dont elle l’avait traitée la veille, lui administrant une fessée déculottée et lui prenant la température comme à une gamine ne laissait que peu de place au doute. La jeune fille était la maîtresse et malgré son âge, la dame qui l’accompagnait semblait soumise à son autorité.

Laetitia fit pivoter Brigitte :

— Madame n’a pas été sage et je dois la punir, j’ai pensé que vous apprécieriez de voir ses fesses de plus près et puis quoi de mieux qu’une bonne fessée déculottée en public pour punir les vilaines filles.

Suzanne esquissa un sourire, son attrait pour la fessée datait de son adolescence, mais elle n’avait pas pratiqué cette activité depuis son départ en retraite, dix ans déjà songea-t-elle en regardant le fessier rebondi de sa voisine :

— Vous avez raison Laetitia, allons au salon.

Brigitte était atterrée, mais elle commençait à être habituée à la perversité de sa jeune maîtresse et puis son caractère soumis l’incitait à l’obéissance malgré la honte et la perspective d’une nouvelle déculottée.

La jeune fille avait suivi Suzanne qui lui désigna une chaise :

— Vous voulez vous installer ici ? Ou peut-être préférez-vous un fauteuil ?

Laetitia hésita un instant puis une idée lui vint, elle avisa un petit tabouret :

— Je vais commencer par lui chauffer les fesses, ça ira très bien.

Elle avait posé son pied sur le tabouret elle fit basculer Brigitte sur sa cuisse horizontale, les fesses étaient tendues sous la jupe, les pieds touchaient à peine le sol. Elle saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa bien haut sur les reins, la culotte blanche couvrait le beau fessier, elle rentrait légèrement dans la raie médiane, le pli séparant les fesses des cuisses était bien visible. Laetitia décida de retarder un peu le déculottage, elle claqua cette zone si sensible à la base des fesses, on apercevait les restes de la fessée précédente et bien vite l’épiderme enflammé reprit une belle couleur rouge. La main claquait tantôt la culotte, tantôt les cuisses, Brigitte gémissait et piétinait sur place, sa jeune maîtresse la tenait solidement par la taille, la culotte rentrait progressivement dans la raie découvrant de plus en plus la croupe de la punie.

De temps en temps la jeune fille levait les yeux vers la demoiselle, celle-ci semblait ravie du spectacle. Bien sûr elle assistait souvent aux corrections généreusement distribuées par Odile sur les quatre fessiers juvéniles à sa disposition, mais voir de si près ce derrière de femme mûre se trémousser sous les claques, c’était vraiment un spectacle ravissant.

Des images lui revenait, cette femme de ménage de l’hôtel aux formes généreuses, comment s’appelait-elle, ah oui madame Dumas. Elle avait peur de perdre son emploi et puis elle la craignait tellement, Suzanne lui avait mis le marché en main, « Je passe l’éponge sur vos retards et vos erreurs, mais en contrepartie, ce sera la fessée ». La dame d’une cinquantaine d’années avait accepté pensant que quelques claques sur le derrière ce n’était pas cher payé, mais elle avait vite déchanté quand le lendemain dans une chambre que Suzanne avait pris soin de fermer à clé, elle avait reçu une magistrale fessée déculottée. Après l’avoir couchée sur ses genoux comme une vulgaire gamine, la gouvernante lui avait annoncé qu’une fessée se donnait toujours sur les fesses nues et malgré ses protestations elle n’avait pu empêcher sa supérieure de lui baisser la culotte.

Mademoiselle Vilpot se souvenait avec émotion du plantureux derrière qu’elle rougissait au moins deux à trois fois par semaine et ce jusqu’à sa retraite.

Laetitia avait cessé de claquer les fesses culottées, elle regarda Suzanne, celle-ci avait le regard vague, elle était plongée dans ses souvenirs, les paroles de la jeune femme la ramenèrent à la réalité :

— Je pense que l’on peut passer à la suite, je vais vous présenter le magnifique popotin de cette vilaine fille.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit glisser doucement sur les rotondités, elle baissa la fine lingerie juste sous les fesses qu’elle tapota :

— N’est-ce pas qu’il est mignon, le rose lui va bien, mais on va lui donner un peu plus de couleur



Elle claqua sèchement la fesse droite :

— Tu n’as pas honte ! A ton âge, je suis encore obligée de te déculotter pour t’apprendre à obéir !

Brigitte gémissait doucement, se demandant quelle idée perverse allait germer dans le cerveau de sa jeune maîtresse :

— Pardon mademoiselle Laetitia…

La main claqua à nouveau la croupe tendue :

— Tu as honte j’espère ?

— Oui, oui mademoiselle Laetitia.

— C’est parfait, c’est fait pour ça la fessée déculottée en public, pour que tu aies bien honte de montrer tes bonnes grosses fesses bien rouges. Maintenant tu vas me demander de te punir.

Le rouge monta un peu plus aux joues de la dame de soixante ans, recevoir une fessée déculottée en public c’était déjà humiliant, mais être obligée de la demander. La jeune femme claqua à nouveau les fesses tendues :

— Dépêche-toi !

— Pardon mademoiselle Laetitia… Euh… Je mérite une fessée pouvez-vous me la donner.

La main claqua encore deux fois :

— Bien sûr que tu la mérites, mais tu vas me préciser ça et à voix bien haute, tu vas me dire ce que tu vas recevoir exactement.

— Aïe, oui mademoiselle Laetitia… Pouvez-vous me donner la bonne fessée déculottée que j’ai bien méritée.

Laetitia arborait un sourire radieux, fier de son pouvoir, elle regarda la vieille fille avec un air triomphant :

— Quelques bonnes fessées déculottées correctement administrées et voilà le résultat, une petite Brigitte bien docile.

Elle caressa les fesses crispées dans l’attente de la punition :

— Ce n’est pas la peine de serrer tes bonnes grosses fesses ma chérie, comme tu l’as dit tu mérites une fessée déculottée et comme tu me l’as demandé, je vais me faire un plaisir de te l’administrer.

Suzanne Vilpot était impressionnée par la sévérité dont faisait preuve cette très jeune femme, elle regardait le large derrière de sa voisine mis à nu et exposé devant ses yeux. Elle s’imaginait déjà lui flanquer une fessée, mais ce n’était pas encore le moment, la main de Laetitia avait commencé la correction. Brigitte se mit rapidement à trépigner sur place et à crier, la brûlure était sans commune mesure avec la fessée sur la culotte, son derrière était déjà endolori.

La jeune maîtresse ne se contenta pas d’une rapide fessée, ce fut une bonne correction que reçut Brigitte, sa croupe était cramoisie, la rougeur s’étendait sur le tiers supérieur des cuisses, elle pleurait de honte et de douleur quand enfin elle put enfin se redresser. Immédiatement Laetitia coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture pour laisser les fesses bien visibles, la culotte était descendue à mi-cuisse :

— Va montrer tes fesses à mademoiselle, qu’elle puisse constater que tu as été bien punie.

Brigitte s’avança vers Suzanne puis comme elle était habituée à le faire, elle se tourna et toute honte bue, se pencha légèrement pour faire ressortir son fessier écarlate. La demoiselle souriait, ravie du cadeau que lui faisait sa jeune voisine :

— C’est vraiment parfait, voilà un derrière cuit à point, je ne pense pas qu’elle recommence à désobéir de sitôt.



Laetitia s’approcha et palpa le fessier rougeoyant :

— Oh détrompez-vous, il faut sans arrêt remettre le travail sur le métier, on dirait que madame aime se faire rougir le derrière. Il faut dire qu’elle a une bonne paire de fesses, mais je suis obligée de la corriger plusieurs fois par jour si je veux qu’elle obéisse.

Suzanne fit mine d’être surprise :

— Plusieurs fois par jour ? Eh bien dites donc, elle va avoir les fesses tannées. Vous n’utilisez que la fessée pour la punir ?

Elle se demandait si Laetitia allait lui proposer autre chose. Celle-ci la regarda en souriant :

— Bien sûr que j’utilise d’autres méthodes, mais je ne vous apprends rien, vous avez une vue parfaite sur notre appartement et le sien.

Suzanne rougit à l’évocation de sa curiosité, elle essaya de détourner la conversation :

— Vous ne la mettez pas au coin ?

Laetitia avait remarqué le léger rougissement des joues de la vieille fille, elle la fixa :

— Bien sûr que si, on ne va pas se priver d’un si joli spectacle et puis comme ça nous pourrons discuter tranquillement.

Elle conduisit sa grande pupille au coin en la tenant par l’oreille, la jupe retroussée mettait en valeur le derrière cramoisi. Sans qu’elle eût besoin de lui dire, Brigitte posa ses mains sur sa tête. La jeune femme se tourna vers Suzanne :

— N’est-elle pas mignonne comme ça. Vous m’offrez quelque chose à boire, lui administrer une fessée m’a donné chaud.

Elle avait fini sa phrase en riant, la demoiselle fut un peu surprise du sans-gêne de cette très jeune femme, mais malgré son air enjoué, le ton était autoritaire. Elle se dirigea vers la cuisine, Laetitia eut le regard attiré par sa croupe, elle n’était pas large comme celle de Brigitte mais semblait encore rebondie. Elle se prit à fantasmer, serait-il possible de découvrir ce nouveau terrain de jeu.

Quelques instants plus tard, confortablement installée dans un fauteuil, Laetitia interrogeait son hôte sur son intérêt pour les derrières féminins et plus particulièrement pour la fessée :

— Ma chère Suzanne, dites-moi qu’est-ce qui vous plaît le plus dans une fessée, le déculottage ? ou le rougissement du derrière ?

Cette question posée abruptement surprit un peu la vieille fille, elle hésita un peu :

— Euh… Je ne sais pas, c’est-à-dire…

Laetitia la regardait amusée par sa gêne, elle insista :

— Vous devez pourtant bien aimer ça puisque vous passez votre temps à regarder par votre fenêtre et vous appréciez quand maman nous baisse la culotte et nous met au coin avec les fesses bien rouges.

Suzanne était stupéfaite du naturel de cette jeune femme, ça l’incita à se confier. Elle se tourna vers le coin de la pièce illuminée par le fessier rougeoyant de Brigitte :

— C’est vrai qu’elle a une magnifique paire de fesses votre protégée, elle me rappelle tellement celle de Louise.

Laetitia sentit que quelque chose allait se passer, il suffisait de laisser la pelote se dérouler, la demoiselle avait le regard un peu vague :

— Qui était Louise ?

Suzanne semblait légèrement excitée, elle se leva et se dirigea vers la punie, puis elle posa sa main sur la croupe brûlante :

— C’était une femme de chambre, elle avait besoin d’être stimulée et quoi de mieux qu’une bonne fessée déculottée pour corriger une écervelée.

Laetitia savait que mademoiselle Vilpot avait été gouvernante dans un hôtel, mais l’entendre raconter comment elle dirigeait son personnel risquait d’être vraiment intéressant :

— Vous donniez la fessée déculottée à vos femmes de chambre ?

— Pas à toutes, mais Louise était particulièrement étourdie et paresseuse, elle préférait ça à des retenues sur salaire ou pire à un licenciement, c’était un accord entre nous.

— Elle avait quel âge ?

Suzanne s’était rassise, elle regarda pensivement le large derrière de Brigitte :

— Cinquante ans, et son derrière était aussi rebondi que celui de madame.

Laetitia était ravie de ces confidences :

— Eh bien, je ne pensais pas que ça se pratiquait encore de nos jours.

L’ancienne gouvernante la regarda en souriant :

— Vous savez c’est un milieu un peu spécial celui des hôtels de luxe. Il faut accepter une stricte discipline si on veut y rester. Moi-même j’y ai goûté dans ma jeunesse.

— Vous… vous avez reçu la fessée vous aussi ?

Suzanne rougit légèrement :

— Euh, oui bien sûr, il y a cinquante ans, c’était encore une pratique assez courante. Les gouvernantes l’utilisaient sur les jeunes femmes de chambre, j’avais seize ans quand j’ai commencé à travailler.



Laetitia se mit à rire :

— Ah c’est donc ça, vous aussi on vous a baissé la culotte, ça vous rappelle de bons souvenirs ?

La demoiselle était à l’aise maintenant, elle se mit à rire également :

— Oh oui et plus souvent qu’à mon tour, elle avait la main leste. Je suis souvent rentrée à la maison avec les fesses rouges.

Laetitia voulait en savoir plus :

— Et à la maison, je suppose que votre mère vous en remettait une couche.

— Comment savez-vous ça ?

La jeune fille la regardait différemment maintenant qu’elle savait que Suzanne Vilpot avait été soumise au même traitement qu’elle :

— Parce que maman, c’est comme ça qu’elle pratique, une fessée à l’école, une fessée à la maison. Enfin c’était avant que Brigitte me montre ses fesses, maintenant c’est juste pour Chloé et les deux chipies.

Suzanne souriait à l’évocation de la correction de la professeure :

— Oui maman nous administrait très souvent la fessée à ma sœur et moi.

— Déculottée, je suppose ?

Elle regarda la jeune fille, surprise :

— Bien sûr, une fessée c’est toujours cul nu.



— Ça vous manque ?

Les joues de Suzanne s’empourprèrent :

— Pardon, que voulez-vous dire ?

Laetitia sentit que des possibilités s’ouvraient devant elle, elle fixa sévèrement la vieille fille :

— Vous le savez très bien ma chère, mais je vais mieux formuler ma question. Ça ne vous manque pas de ne plus recevoir la fessée déculottée ?

Le sol sembla se dérober sous les pieds de l’ex-gouvernante, certes elle adorait assister aux corrections qu’Odile distribuait généreusement aux filles, ça lui rappelait celles qu’elle administrait à Louise, mais là, il s’agissait d’elle et des déculottées qu’elle avait reçues dans son adolescence et sa jeunesse. Un léger trouble s’empara d’elle, elle sentait la chaleur sur ses joues mais également des petits picotements dans le bas ventre. Oui, malgré la cuisson de son derrière et l’humiliation du déculottage, recevoir la fessée lui avait procuré ses premiers émois sexuels, les souvenirs et les images se bousculaient dans son cerveau. Elle s’entendit répondre comme dans un rêve :

— Oui… oui mademoiselle Laetitia, je… Je pense… que ça me manque un peu…

La jeune femme arborait un sourire triomphant, c’était sûr maintenant elle allait découvrir une nouvelle paire de fesses, son regard se porta sur le fessier cramoisi de Brigitte puis ses yeux fixèrent la demoiselle aux joues rouges :

— Eh bien ma chère, il ne faut pas vous faire attendre plus longtemps.

Elle s’installa sur une chaise et fit un petit signe du doigt en direction de Suzanne, puis elle tapota ses cuisses :

— En position Suzanne ! Vite !!





jeudi 14 novembre 2024

Deux étudiantes 21

 Une fessée pour Laurence



Odile et Laurence étaient revenues dans l’appartement des deux jeunes femmes. Leurs cours finissaient tard, les deux dames avaient été émoustillées par la correction de Brigitte et notamment la fin quand Laetitia s’était occupée d’elle.

Odile avait eu dès le premier jour une attirance pour les fesses de Laurence, celle-ci préférait les dames, elle n’en avait pas fait mystère. Elles avaient donc toutes les deux de bonnes raisons de vouloir être tranquille.

Ce fut Odile qui attaqua frontalement son amie, elle la regarda avec un petit sourire coquin :

— J’aimerais bien vérifier ton sillon inter-fessier ma chérie, peut-être qu’on pourrait demander à Annie de te le rendre bien net.

Laurence eut un petit rire nerveux :

— Olala, comme tu y vas, c’est quand même un peu gênant, tu ne trouves pas ?

La sévère mère de famille se mit à rire :

— Pas du tout, je ne sais pas si tu es au courant, mais j’ai l’habitude d’en voir des paires de fesses.

Laurence rougit légèrement et minauda à nouveau :

— Oui, mais quand même…

Odile la fixa :

— Allez arrête un peu, dépêche-toi de me montrer ça. À moins que tu veuilles que ce soit moi qui te déculotte.

Elle avait dit ça en souriant, mais le ton était impérieux, elle avait utilisé exprès le mot déculotté qui évoquait immanquablement la fessée. Laurence se sentit rougir, en général, c’était elle qui proférait ces menaces. Elle glissa ses mains sous sa jupe et baissa sa culotte, puis gênée elle regarda son amie :

— Euh, bon… Mais tu veux que je me mette comment ?

Odile était enchantée d’avoir été si facilement obéie, elle prit la main de Laurence :

— Tu vas voir, je connais une position qui sera très pratique.

Avant que celle-ci ait put dire quoi que ce soit, elle s’assit sur une chaise et la bascula en travers de ses cuisses. Clémence poussa un petit cri :

— Mais qu’est-ce qui te prend ? ça va pas… Lâche-moi ! Non…

Odile la maintenait fermement et elle avait déjà troussé la jupe de son amie, celle-ci essaya de se débattre, deux claques atterrirent sur l’arrière de ses cuisses :

— Cesse ces enfantillages, c’est quand même la meilleure position pour que j’examine ta raie ma chérie.

La culotte était baissée sous les fesses de la sévère maman, Odile la descendit un peu plus et elle ajouta en riant :

— Tu as vraiment une bonne paire de fesses, en général quand j’ai un derrière à ma disposition, la dame en question à intérêt à se tenir tranquille.

Laurence avait été surprise, mais elle se laissait faire maintenant, elle était assez fière de son fessier qu’elle entretenait en faisant régulièrement de la gym. Elle tortilla un peu son derrière et minauda :

— Oh quand même, tu ne me donnerais pas la fessée.

Elle avait dit ça d’un ton léger, mais elle n’était pas si sûr d’elle que son ton le laissait paraître. Elle eut la réponse à son interrogation, deux claques retentirent sur la peau nue de ses fesses :

— Eh pourquoi pas, si tu la mérites. Bon voyons un peu cette raie fessière.

La sévère mère de famille écarta avec deux doigts les fesses de Laurence qui se contractèrent légèrement, attirant une réflexion amusée d’Odile :

— Madame ne veut pas me montrer son petit trou ?

Si elle avait pu voir les joues de son amie, elle aurait pu constater que celle-ci appréciait moyennement cet examen indiscret, Laurence n’était pas une oie blanche mais se faire examiner le derrière dans cette position était pour le moins humiliant.

Odile avait vu juste, un léger duvet garnissait la raie fessière :

— Ma petite chérie, je pense qu’on va avoir recours aux services d’Annie.

Laurence se récria :

— Ah non, ça fait trop mal.

Odile tapota le derrière de son amie :

— Je croyais que tu ne savais pas ce que c’était que l’épilation du sillon inter-fessier ?

Laurence se mit à bredouiller :

— Euh, oui, enfin non, quand j’étais étudiante, j’étais allé chez une esthéticienne.

Une claque très sèche atterrit sur sa fesse droite :

— Petite menteuse !

— Aïe, noon…

Elle devinait qu’Odile allait profiter de la situation, elle n’avait pas reçu de fessée déculottée depuis très longtemps et même pour ainsi dire jamais.

Pour une première, elle fut servie, Odile ne fessait jamais pour rire et en plus Laurence lui avait servi sur un plateau une bonne raison de lui rougir les fesses. La correction reçue par Laurence fut magistrale pas moins que celle qu’elle avait elle-même administrée à sa fille quelques heures plus tôt, elle était dans la même position et la même tenue, troussée et déculottée comme une gamine. Elle s’égosillait pareillement, ouvrait grand ses fesses écarlates, battaient des jambes. Odile adorait administrer la fessée et elle se régalait du spectacle offert par son amie, elle en rajouta un peu :

— Eh bien ma chérie, ton derrière est vraiment magnifique, je pense que ça ferait plaisir à Clara de te voir couchée sur mes genoux avec des fesses aussi rouges. Qu’en penses-tu ?

Laurence s’était mis à pleurer, elle ne pensait pas qu’une fessée avec la main puisse brûler autant, elle supplia :

— Pardon Odile, s’il te plaît plus la fessée… Aïe, aïe… Non.

La correction continuait, la main d’Odile s’abattait comme un métronome sur la croupe cramoisie :

— Tu l’as bien méritée celle-là tu ne crois pas ? Tes fesses te brûlent ? C’est normal ma chérie, je vais même continuer à te rougir un peu plus le derrière, ça t’apprendra à mentir.

La fessée retentissait dans l’appartement des deux étudiantes, c’était un bruit familier, mais celle qui la recevait aujourd’hui n’avait pas vingt-cinq ans et habituellement c’était elle qui administrait ce genre de punition..

Bien sûr après une bonne fessée déculottée, un passage au coin les fesses à l’air était obligatoire, Laurence n’y échappa et toute honte bue, elle dut aller poser son nez contre le mur et mettre ses mains sur sa tête tandis qu’Odile épinglait sa jupe dans son dos. 



Elle se mit à rire :

— Tu es vraiment adorable ma chérie avec ton derrière bien rouge, je vais appeler Annie pour voir si elle peut passer.

Laurence protesta faiblement :

— Non, non, s’il te plaît, pas maintenant.

Odile souriait en regardant la croupe écarlate de son amie, ça avait été finalement assez facile de la mettre sur ses genoux, il fallait en profiter pour qu’elle devienne une gentille petite fille comme Brigitte :

— Mais ma chérie, je ne te demande pas ton avis, c’est maman Odile qui décide, et quand on est au coin et qu’on vient de recevoir une bonne fessée déculottée on ne dit rien, sinon tu reviens sur mes genoux, c’est compris !

Laurence se mordit les lèvres pour ne pas répondre, elle avait en quelques instants changé de statut, elle n’osait même pas protester, Odile était vraiment une redoutable maîtresse. Elle l’entendit parler avec Annie :

— Coucou ma chérie, alors ça t’a plu mon petit spectacle de tout à l’heure avec ma nouvelle grande fille ?

— …

— Oui tu l’as reconnue ? c’est la dame du troisième, elle a une belle paire de fesses n’est-ce pas ?

Elle riait de bon cœur, apparemment Annie avait été ravie d’assister à la punition de Brigitte, soudain le sang de Laurence se glaça, ce que lui avait annoncé Odile prenait forme :

— Je t’appelle pour autre chose, je suis en train d m’occuper d’une dame, tu ne la connais pas encore, c’est la maman de Clara une de mes deux petites étudiantes.

— …

— Oui c’est ça, exactement, elles ont de bien jolies paires de fesses. Eh bien je peux te dire que Laurence la maman de Clara a également un bien joli derrière.

— …

— Bien sûr, tu me connais, elle est au coin avec une paire de fesses bien rouges.

— …

— Oh oui une bonne fessée déculottée, quand on ment à maman Odile c’est ce qui arrive. Dis-moi tu es libre ?

— …

— D’accord, demain chez toi. Oui en fait, j’ai examiné de près notre petite Laurence et elle aurait bien besoin d’une épilation de sa raie fessière, tu pourrais t’en occuper ?

— …

— Oh oui, elle va être mignonne, ça c’est sûr. Bisous et à demain.

Elle raccrocha le téléphone, Laurence était atterrée, une deuxième personne savait qu’elle venait de recevoir une fessée cul nu et en plus elle allait devoir lui présenter ses fesses nues demain.

Odile s’approcha en souriant :

— Eh bien voilà. Tu verras, Annie est une experte, une fois passée entre ses mains tu vas avoir des petites fesses nickel.

Elle tapota la croupe bien rouge :

— Allez vilaine fille, ta punition est terminée, viens ici.

Soulagée, mais les joues très rouges, Laurence quitta le mur, elle faisait mine de remonter sa culotte quand Odile l’arrêta :

— Non, viens t’asseoir sur mes genoux et laisse ta culotte où elle est.

Laurence se mit à sourire, son attrait pour la sévère maman lui fit oublier ses fesses brûlantes. Elle posa délicatement son derrière sur les cuisses gainées de bas d’Odile. Celle-ci passa sa main sous les fesses de son amie :

— Alors ma chérie, ça brûle ? Maman a fait panpan cucul.

Laurence se blottit contre sa poitrine et lâcha :

— Tu ne m’as pas manquée, j’ai le feu au derrière, tu vas t’en occuper ?

Odile se mit à rire :

— Tu veux une autre fessée ?

Laurence se récria :

— Oh non…

Odile glissa ses doigts entre les fesses puis les cuisses :

— Je crois que je sais ce que tu veux, coquine. On va aller dans la chambre de Clara, on sera plus tranquille, j’ai vu leur emploi du temps, elles ne rentreront pas avant vingt heures.

Laurence se leva, sa nouvelle maman lui claqua tendrement les fesses encore rouges :

— Allez en route, vilaine fille. Tu vas peut-être voir mes fesses à ton tour…

En riant comme deux adolescentes, elles disparurent dans la chambre.

La fin d’après-midi fut donc chaude dans tous les sens du terme et les deux mamans étaient de très bonne humeur quand les quatre filles revinrent à la maison. Odile avait invité tout le monde à dîner, pour une fois il n’y eut pas de culottes baissées et de derrières rougis, les deux fesseuses avaient eu leur content de déculottées, ce fut donc une soirée de répit pour les jeunes.

Après le repas, Laurence et les deux étudiantes regagnèrent leur appartement, Odile avait précisé à son amie qu’elle l’attendait à dix heures pour aller voir Annie. Laurence avait rougi légèrement à ce rappel mais ni Clara, ni Clémence ne s’en rendirent compte.

Laetitia demanda à sa mère si elle pouvait monter chez Brigitte sous prétexte d’une précision à lui demander sur un cours. Odile la regarda en souriant :

— Au fait, ça c’est bien passé la pénitence au thermomètre ? Tu lui as laissé combien de temps dans le derrière ?

Laetitia jeta un regard méfiant à sa mère, se doutait-elle de la suite qu’elle avait donnée à la punition de Brigitte, elle fut vite rassurée car Odile continuait :

— De toute façon, elle a besoin d’être bien tenue, je ferai peut-être appel à toi quand je serai occupée, j’ai vu que tu savais donner la fessée et ça lui a fait le plus grand bien d’en recevoir une par une jeune femme.

Laetitia poussa un petit soupir de satisfaction, ses désirs étaient comblés, elle se mit à rire :

— Comme tu m’avais donné carte blanche, je lui ai laissé pendant une heure, le temps de regarder une série, je peux te dire qu’après ça elle ne faisait plus la fière, ensuite je l’ai raccompagné chez elle.

Elle omit de préciser que la professeure en retraite avait parcouru l’escalier les fesses à l’air et qu’ensuite elle lui avait administré une fessée supplémentaire. Odile lui donna l’autorisation d’aller voir Brigitte.

La jeune fille grimpa les escaliers quatre à quatre, elle se délectait par avance de cette fin de soirée, elle avait gardé dans sa poche les clés de l’appartement de Brigitte, elle entra donc sans sonner. La professeure sursauta en la voyant, elle regardait la télévision, Laetitia la fixait en souriant :

— Alors ma petite chipie, comment vont tes jolies fesses ?

Brigitte avait rougi et instinctivement s’était levée pour montrer son respect, elle bredouilla :

— Euh… bien mademoiselle, merci…

— Comment ça bien ? Ce n’est pas une réponse, j’espère qu’elles te cuisent encore. Bon tu te déculottes et tu me montres tes fesses en vitesse !

Les joues de Brigitte étaient écarlates, jamais elle n’avait été traitée ainsi par une si jeune femme qui plus est, celle-ci était son élève. La fessée qu’elle avait administrée à Laetitia était loin maintenant, l’éducation stricte à laquelle elle avait été soumise toute sa vie avait laissé des traces. Elle ne se rebella pas et glissa ses mains sous sa jupe. Laetitia l’arrêta :

— Non, pas comme ça, d’abord tu te tournes, ensuite tu retrousses ta jupe que je voie ta culotte et ensuite seulement tu la baisseras.

Docilement la professeure redevenue une gamine s’exécuta, sa culotte blanche, tendue sur ses fesses, ses porte-jarretelles qui tenaient ses bas, le tableau était excitant, elle glissa ses doigts sous la ceinture de sa lingerie et se déculotta, elle la laissa sous ses fesses, celles-ci gardaient encore les traces des fessées successives reçues cet après-midi. Laetitia s’approcha et tapota les fesses :

— C’est bien, tu es obéissante. À partir de maintenant, dès que j’arriverai, je veux que tu te déculottes comme ça et que tu me montres ton bon gros derrière, ça sera ta façon de me dire bonjour. Si tu oublies tu seras punie.



Elle saisit l’oreille de Brigitte et l’attira vers le canapé où elle s’installa :

— On va terminer cette belle journée par une fessée du coucher, je vais voir avec maman, mais je pense que je vais m’arranger pour que tu ailles au lit tous les soirs avec une paire de fesses bien rouges.

Elle avait basculé sa nouvelle pupille sur ses genoux, elle arrangea un peu la position pour que les larges fesses soient bien exposées :

— Tu es bien installée ? Tu sais que je fais baby-sitter chez les deux chipies, je me demande si tu n’aurais pas besoin toi aussi d’être surveillée le soir, pour t’éviter de faire des bêtises.

La sexagénaire était à nouveau dans cette position qui lui devenait de plus en plus familière, elle se mit à gémir :

— S’il vous plaît mademoiselle, j’ai déjà été bien punie aujourd’hui… Mes fesses sont encore brûlantes… Mademoiselle Laetitia, s’il vous plaît… Aïe…

Laetitia avait claqué le large derrière en riant :

— Mais ma petite Brigitte, ce n’est pas à toi de décider si tu as été assez punie. Je sais que tes fesses sont brûlantes et dans un moment elles vont te cuire encore plus, mais c’est nécessaire. Il faut que tu ailles au lit avec des fesses bien chaudes, comme ça tu vas penser à mademoiselle Laetitia toute la nuit.

Elle baissa un peu plus la culotte et administra une courte mais cuisante fessée au derrière meurtri. Brigitte ne put retenir ses cris puis ses pleurs, cette jeune femme avait vraiment une main très ferme.

Quand elle se releva, elle constata que sa jeune maîtresse avait vu juste, ses fesses la cuisaient encore plus. Laetitia éteignit la télé et lui montra la chambre :

— Maintenant au lit, quand on est une gamine qui reçoit encore la fessée déculottée, on ne traîne pas devant la télé.

Elle claqua le derrière écarlate de la professeure pour la faire avancer, la culotte était arrivée aux genoux, elle avança à petit pas sans oser frotter sa croupe :

— Retrousse ta jupe, ça serait dommage de cacher ces jolies fesses.

L’ordre de Laetitia avait claqué comme sa main sur le fessier brûlant. Arrivée dans la chambre, elle s’installa sur le lit et regarda la dame d’âge mûr se déshabiller, c’était une situation embarrassante pour Brigitte et c’est en rougissant qu’elle se retrouva nue devant sa maîtresse, Laetitia souriait, elle jouissait de sa nouvelle autorité :

— Tourne-toi !

Le fessier écarlate de sa pupille éclairait la pièce :

— C’est bien, tu mets ta chemise de nuit tu vas faire pipi et au dodo !

Elle lui avait parlé comme si elle était sa baby-sitter, Brigitte sans un mot s’exécuta. Elle revint quelques instants plus tard, Laetitia avait ouvert le lit, sa pupille s’y glissa. Elle tira la couette et donna ses dernières instructions :

— J’éteins la lumière et tu dors, si jamais je reviens et que tu as désobéi gare à tes fesses, tu ne pourras pas t’asseoir pendant une semaine. Tu restes sur le dos, je veux que tu sentes bien ta fessée et je te rappelle qu’on ne frotte pas ses fesses.

Brigitte acquiesça, il lui semblait entendre sa mère quelques quarante ans plus tôt quand elle venait de la corriger et qu’elle devait aller au lit très tôt en complément de punition. La différence d’âge n’y faisait rien, que sa maîtresse puisse être sa petite fille n’était pas un obstacle à son autorité.

Laetitia sortit de la chambre après avoir éteint la lumière, elle ferma la porte de l’appartement à clé et redescendit le sourire aux lèvres. Odile était devant la télé, elle leva les yeux vers sa fille :

— Ça c’est bien passé ?

Son air mutin, laissait entendre qu’elle devinait les désirs de sa fille, Laetitia lui répondit l’air détaché et comme si c’était une évidence :

— Oui, parfaitement. Elle est au lit avec une paire de fesses bien chaudes.

Odile regarda à nouveau l’écran :

— C’est bien, au moins elle va passer une bonne nuit, je penses que dorénavant tu iras tous les soirs la coucher.




jeudi 7 novembre 2024

Deux étudiantes 20

 Une nouvelle maîtresse pour Brigitte



Brigitte continuait d’exposer sa croupe cramoisie, Odile avait souri en voyant bouger le rideau de mademoiselle Vilpot, la vieille fille du deuxième, elle ne perdait rien du spectacle des deux belles fesses rouges de Brigitte.

Elles continuèrent donc leurs discussions, Laurence expliqua qu’elle avait pris goût à la fessée sur les bancs de l’université au contact d’une copine qui fantasmait sur l’éducation anglaise, elle était plutôt soumise et Laurence avait tout de suite préféré baisser les culottes que d’avoir les fesses rouges.

Odile de son côté parla de son éducation sévère et de sa mère qui avait la main leste, elle omit cependant de raconter qu’elle était encore soumise à cette stricte discipline.

Elle tourna la tête et fit un signe de la main, Annie la mère de Louisa venait d’ouvrir sa fenêtre et regardait dans sa direction, elle ne pouvait pas manquer de voir le magnifique fessier de la professeure en retraite :

— Tes fesses ont du succès ma petite Brigitte, tu as deux spectatrices.

La pauvre contracta ses fesses en signe d’inquiétude, elle émit une petite plainte :

— Oh non, maman s’il te plaît…

Odile se mit à rire :

— Tu n’es pas contente de montrer ton bon gros derrière. Pourtant il a bonne mine, je suis sûr que mademoiselle Vilpot et Annie se régale. Et puis tu arrêtes de pleurnicher, je t’ai déjà prévenue, si tu continues je te flanque une fessée déculottée sur le balcon.

Brigitte serra encore plus ses fesses rouges et appuya bien son nez contre le mur pour éviter d’être reconnue.

Laurence regarda par la fenêtre, elle aperçut Annie :

— Tu connais cette dame ?

— Oui, c’est la mère d’une copine à Chloé, elle a les mêmes méthodes d’éducation que nous.

Laurence regarda en souriant la dame qui était maintenant sortie sur son balcon, son regard fixait manifestement le derrière de Brigitte.

— En effet, elle a l’air particulièrement intéressée par les fesses rouges.

Odile souriait d’un air entendu :

— Tu ne crois pas si bien dire, elle a un salon d’esthétique et si j’ai bien compris, elle s’y connaît en anatomie postérieure.

Elle avait un dit ça en riant, Laurence la regarda un peu surprise :

— Que veux-tu dire ?

Odile était d’humeur coquine, elle regarda son amie :

— tu t’es déjà fait épiler le sillon inter-fessier ?

Laurence rougit brusquement :

— Euh, c’est-à-dire, non… Ça consiste en quoi ?

Odile se mit à rire, elle se leva et se dirigea vers Brigitte, puis lui écarta les fesses avec deux doigts :

— C’est ça ma chérie, chez les dames brunes comme toi, il y a souvent un petit duvet disgracieux, eh bien, Annie est une spécialiste de l’épilation de cet endroit un peu délicat.

Laurence avait les joues rouges, elle avait menti ; un jour elle s’était fait épiler la raie fessière et elle avait en gardé un souvenir assez humiliant. Odile avait remarqué la gêne de son amie, elle décida d’insister :

— Annie m’a expliqué qu’elle a une très bonne méthode pour que les patientes restent tranquilles pendant l’épilation.

Laurence comprenait à demi-mot, mais elle fit l’innocente :

— Ah oui ?

Odile la regarda avec un petit air mutin :

— Tu sais bien qu’avec une paire de fesses bien rouges, une dame devient rapidement docile.

— Ne me dis pas qu’elle flanque une fessée à ses clientes ?

— Pas à toutes, mais à ce qu’elle m’a dit, il y en a qui finissent la séance avec les fesses un peu colorées.

Laurence se souvenait très bien de son épilation, couchée sur le ventre, un coussin pour surélever son derrière, elle avait dû à la demande de l’esthéticienne, tenir écartées ses fesses avec ses deux mains pendant qu’elle officiait et effectivement quand elle avait relâché et resserré ses fesses une ou deux fois, elle s’était attirée des remarques de la jeune femme qui lui avait même tapoté la croupe pour l’inciter à reprendre la position. Rétrospectivement, elle pensait qu’elle aurait pu tout aussi bien lui administrer une fessée, son derrière était vraiment à disposition.

Elle regarda à nouveau la voisine sur le balcon, c’était une femme d’une quarantaine d’années, les cheveux coupés courts et l’air énergique, elle lui fit un petit sourire. Pendant ce temps, Odile s’était approchée de Brigitte et lui avait saisi l’oreille la forçant malgré elle à regarder la fenêtre, il n’était pas difficile pour les deux spectatrices de reconnaître cette dame d’un certain âge demeurant dans l’immeuble d’Odile. Elle suivait sa nouvelle maman, ses fesses rouges et sa culotte blanche baissée à mi-cuisse, c’était assez incongru, mais aussi bien Annie que mademoiselle Vilpot ne s’en formaliserait pas, trop contente d’assister à ce spectacle.

Elle était maintenant devant Laurence, qui souriait et lissait sa jupe et ses bas :

— Tes fesses ont suffisamment refroidi ma petite Brigitte, maman Laurence va te montrer ce qui arrive aux petites menteuses.

Elle était ravie de traiter cette dame d’âge mûre comme une vilaine fille, Odile la regardait faire, elle l’interrogea :

— Tu veux le martinet ?

Laurence tapota en souriant le large derrière encore bien rouge :

— Non, je pense qu’elle a besoin d’une bonne fessée traditionnelle couchée sur les genoux d’une maman sévère. Mais rassure-toi, elle va la sentir passer.

Elle fit basculer Brigitte sur ses cuisses et continua de passer sa main sur la croupe comme pour la préparer à la punition qui n’allait pas tarder, elle s’adressait à cette dame de soixante ans comme elle l’aurait fait avec Clara :

— Ma petite chérie, tu le sais pourtant qu’il ne faut jamais mentir à maman ?

Brigitte était maintenant résignée, elle avait déjà reçu une sévère déculottée et celle qui s’annonçait serait sans doute aussi cuisante, elle contracta encore un peu plus ses fesses, Laurence leva les yeux pour voir si les deux spectatrices étaient toujours là. Le rideau grand ouvert leur offrait une vue panoramique sur cette scène de discipline domestique. La main claqua sèchement le fessier de Brigitte :

— Alors ma petite, pourquoi as-tu menti à maman ?

— Aïe… pardon maman, je… je ne recommencerai plus promis… Aïe, aïe ? Non…

La fessée venait de commencer, Laurence claquait lentement, mais méthodiquement :

— Oh, ça j’en suis sûr que tu ne vas plus recommencer, je te promets que ton derrière va tellement te cuire que ça va t’en faire passer l’envie.

Brigitte était habituée à recevoir de sévères corrections, mais la main de Laurence lui semblait vraiment cuisante.



— Ton bon gros derrière à l’air de plaire aux dames qui regardent ta fessée ma chérie.

Odile venait de rappeler à la professeure que sa punition était publique aujourd’hui, c’était une humiliation supplémentaire, elle se mit à pleurer :

— Pardon, pardon maman, plus la fessée, aïe, aïe…

Les claquements secs continuaient inlassablement, les larges fesses écarlates ballottaient de droite à gauche, s’ouvraient se refermaient, les jambes battaient l’air. C’était une mémorable correction maternelle que recevait Brigitte. Laurence s’arrêta quelques instants :

— Je pense que je vais finir de lui cuire le derrière à la brosse.

Brigitte poussa un cri déchirant :

— Noon… pas la brosse… Noonn, ça brûle trop…

Laurence se mit à claquer l’arrière des cuisses :

— Vas-tu te taire, petite menteuse, si maman Laurence à dit que tu méritais la brosse et bien tu l’auras, la prochaine fois, tu réfléchiras à deux fois avant de mentir.

Odile souriait, ravie de la sévérité de son amie, le fessier de Brigitte était cramoisi, elle allait vraiment déguster avec cette fessée supplémentaire à la brosse, mais son bon gros derrière en avait vu d’autres. Elle aurait sans doute du mal à s’asseoir pendant quelques jours.

La professeure en retraite avait perdu toute sa superbe, elle pleurait comme une gamine sévèrement punie par sa maman devant ses voisines. Odile jeta un œil vers la fenêtre de la vieille fille, elle n’avait pas perdu une goutte du spectacle cuisant. Quant à la mère de Louisa, elle était accoudée à son balcon, elle leva le pouce en signe d’encouragement. La brosse avait commencé son travail, Brigitte hurlait à chaque coup, ses fesses sautaient dans tous les sens comme pour éviter le terrible instrument, mais Laurence la tenait fermement par la taille et seul le bas de son corps pouvait bouger. C’était un spectacle enthousiasmant, la culotte enroulée autour des chevilles fut bientôt expulsée, elle avait perdu ses chaussures depuis longtemps. Ses deux grosses fesses n’étaient plus que deux belles tomates bien mûres.



La correction cessa et Laurence ayant posé la brosse à cheveux, passa sa main sur les fesses brûlantes, elle regarda son amie :

— Son derrière est fumant, je crois que tu vas avoir une petite fille bien sage pendant un moment.

Brigitte resta un moment affalée en travers des cuisses de Laurence, puis elle fut conduite au coin juste devant la fenêtre, les spectatrices purent à nouveau jouir du joli tableau.

Elle sanglotait le nez collé au mur, la cuisson de ses fesses l’occupait entièrement, le fait que sa déculottée ait été publique ne lui importait plus. Depuis son arrivée chez Odile elle avait passé son temps soit couchée sur les genoux d’une des deux amies ou bien le nez collé au mur, ses fesses avaient été mises à l’air quasiment immédiatement. Sa voisine était finalement beaucoup plus stricte que son mari ou que sa mère, ses fessées étaient toujours très sévères et de plus en plus fréquentes, nul doute que bientôt de nombreuses personnes de l’immeuble serait au courant de la situation.

Elle resta donc au coin pendant un long moment et bien sûr, les filles purent admirer sa croupe écarlate en rentrant.

Ce fut Chloé la première, elle ne put réprimer un petit sourire en voyant la situation peu enviable de la professeure, son derrière était encore très rouge. Elle ne fit malgré tout aucune remarque, son carnet de notes n’était pas brillant et il faudrait le faire signer par sa mère, et il ne faisait aucun doute que la professeure se vengerait sur son derrière de cette humiliation, elle s’éclipsa donc rapidement.

Laetitia n’eut pas cette discrétion, elle gardait un souvenir cuisant de sa leçon du matin que Brigitte lui avait donné culotte baissée et de sa conclusion claquante. la voir au coin exposant sa bonne paire de fesses rougies était une douce revanche, elle regarda sa mère et Laurence en souriant :

— On dirait que ça a chauffé cet après-midi.

Odile aimait souffler le chaud et le froid, elle aimait déculotter sa fille et lui flanquer de cuisantes corrections, mais il fallait de temps en temps inverser les rôles et la leçon d’humilité que recevait Brigitte n’en était que plus excitante, elle sourit à sa grande fille :

— Oui en effet Brigitte a appris à ses dépens ce qu’il en coûtait de désobéir et de mentir. Tu le sais toi que maman n’aime pas ça.

Laetitia rougit légèrement, mais elle se ressaisit :

— Oh oui maman. Elle a reçu une bonne déculottée à ce que je vois.

Elle s’était approchée de la dame d’âge mûre exposant son fessier rougeoyant, on ne voyait pas ses joues, mais elles étaient de la même couleur que son postérieur. La jeune fille se tourna vers sa mère et avec un petit sourire coquin demanda :

— Je peux toucher, ça a l’air bien chaud ?

Elle avait une idée perverse, mais elle ne savait pas si sa mère allait l’exaucer. Odile et Laurence se mirent à rire de concert, la honte que devait ressentir la professeure en retraite les mettaient en joie. Ce fut Odile qui répondit :

— Bien sûr, vas-y, tout à l’heure il fumait ce bon gros derrière.

Elle fit un petit clin d’œil à son amie, tandis que Laetitia avait posé sa main sur la large croupe et la caressait :

— Eh bien mazette, vous avez pris une bonne déculottée madame, ça chauffe vraiment ?

Brigitte était au comble de la confusion, que sa jeune élève la voie dans cette position, lui caresse les fesses et en plus lui demande si ça chauffait… Odile adorait ces situations humiliantes ça donnait du piquant à la punition :

— Réponds à Laetitia, elle t’a posé une question.

Brigitte savait que si elle n’obéissait la sanction serait immédiate, elle avala sa salive et répondit doucement :

— Oui mademoiselle… ça brûle beaucoup…

Laetitia décida de jouer un peu puisqu’apparemment sa mère l’y autorisait, elle tapota les fesses :

— Parlez plus fort, je n’ai rien entendu.

Brigitte se promit de faire payer son insolence à cette chipie, mais pour le moment c’était elle qui exposait sa croupe cramoisie :

— Pardon mademoiselle… Oui ça brûle beaucoup.

Elle avait parlé fort et bien distinctement, espérant abréger son humiliation, mais c’était sans compter sur la perversité d’Odile, elle s’adressa à sa fille :

— C’est vrai qu’elle a pris une bonne correction, son derrière doit être encore bien chaud, on va quand même vérifier si tout va bien, je ne voudrais pas qu’elle attrape froid. Va chercher le thermomètre.

Laetitia était rayonnante, elle n’osait espérer que sa mère la charge de cette tâche si excitante. Elle revint rapidement avec l’instrument, les deux amies papotaient toujours, tandis que les épaules de Brigitte se levaient au rythme de ses sanglots, Laurence était ravie de son après-midi :

— Tu vas lui faire prendre la température par la petite ?

Odile lui fit un petit signe de la tête :

— Je pense que ça va être nécessaire.

Laetitia avait entendu juste la fin de la phrase, elle rougit de plaisir, Odile lui désigna la punie :

— Je crois que tu sais comment faire puisque tu l’as déjà prise à Clémence et Clara, installe-toi confortablement.

Laetitia ne se le fit pas dire deux fois, elle saisit l’oreille de la professeure, comme si elle n’était qu’une vulgaire élève punie et l’attira au milieu du salon. La chaise qui avait servi aux fessées successives de Brigitte était toujours en place. Celle-ci se laissa faire, elle sanglotait toujours, décidément sa nouvelle maman ne lui épargnerait rien. En un instant elle se retrouva couchée sur les genoux de Laetitia, la jeune femme avait maintenant l’habitude d’administrer la fessée, ce n’avait donc pas été compliqué de mettre Brigitte en position, la seule et énorme différence c’était l’âge de celle qui lui exposait ses fesses. Elle n’avait jusqu’à présent fessé que des jeunes femmes, la paire de fesses qu’elle avait devant les yeux appartenait à une dame qui avait l’âge de sa grand-mère, c’était troublant et très excitant.

Elle interrogea sa mère du regard, en général une fessée précédait toujours la mise en place du thermomètre, Odile comprit immédiatement :

— Oui ma chérie, remets une petite couche de rouge sur ce derrière, cette chipie doit apprendre que s’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée, il n’y en a pas non plus pour la donner.

Laetitia n’en demandait pas tant, ses fesses gardaient le souvenir de la fessée administrée le matin même par celle qui lui offrait maintenant sa croupe. Elle leva la main et s’appliqua à prouver à sa professeure qu’elle n’avait pas besoin de leçon pour ce genre d’exercice.

Après une centaine de claques généreusement distribuées sur le large fessier, Odile fit signe à sa fille que c’était suffisant. Brigitte serrait et desserrait ses fesses, la brûlure était à nouveau intense, cette petite garce ne l’avait pas manqué.

Mais sa punition n’était pas finie, avec horreur, elle sentit les doigts de la jeune fille écarter largement ses fesses. La cuisson de la correction l’empêchait de penser à son humiliante position, sa raie largement ouverte s’offrait aux regards des deux dames, en levant les yeux Laetitia vit que mademoiselle Vilpot était toujours à sa fenêtre, elle avait assisté à l’intégralité de la punition de Brigitte.

Le thermomètre pénétrait lentement, la jeune femme était une experte, elle le faisait coulisser et ressortir pour accentuer le trouble et la honte de la punie. Celle-ci gémissait doucement, si Odile lui faisait subir souvent ce traitement, se le faire imposer par son élève était vraiment une humiliation suprême. Une fois l’instrument bien en place, Laetitia relâcha les fesses et les tapota :

— C’est bien madame, vous avez été sage. Vous êtes bien installée ?

Odile la félicita :

— C’est parfait ma chérie, nous allons te laisser. Tu lui fais garder au moins quinze minutes.

Laetitia souriait, ravie de la situation :

— Ne t’inquiète pas maman, fait ce que tu as à faire. Mais à mon avis avec des fesses si rouges, il faudrait qu’elle le garde au moins une demi-heure.

Laurence se mit à rire :

— Eh bien, cette petite apprend vite, mais je pense qu’elle a raison.

Odile était déjà debout :

— Fait comme tu veux, je te laisse juge.

Dès que les deux dames furent sorties, la main de Laetitia claqua sèchement le derrière écarlate :

— Alors ça fait quel effet de se prendre une déculottée par son élève ?

Brigitte gémissait doucement :

— Aïe, aïe… pardon mademoiselle, plus la fessée s’il vous plaît, je vous promets que je vais être gentille.

Laetitia se mit à rire :

— Oh ça j’en suis sûr que vous allez être gentille, après une bonne fessée déculottée et avec un thermomètre dans les fesses, on promet toujours. Mais on a du temps pour discuter, vous avez entendu maman, je peux vous garder sur mes genoux avec le thermomètre, le temps que je veux. En attendant cessez de pleurnicher et écartez-moi un peu ses cuisses.

La main de la vicieuse jeune femme s’égara entre les jambes de Brigitte, elle adressa un sourire à la demoiselle qui lui fit un petit signe de la main. Les doigts étaient humides des sécrétions de la punie. Elle lui claqua à nouveau les fesses en riant :

— Eh bien, c’est du joli, à votre âge, vous mouillez d’exposer vos fesses à votre élève ! On va donc inverser les rôles ma petite.

Brigitte avait peur d’entendre la suite, mais son caractère soumis l’empêchait de protester, Laetitia avait administré une dizaine de claques sur le fessier écarlate, juste pour le plaisir du bruit de la fessée sur la peau nue. Elle fit à nouveau coulisser le thermomètre :

— Voilà les nouvelles règles, tu m’appelleras mademoiselle Laetitia et chaque fois que je viendrai chez toi, tu seras déculottée et tu seras ma petite Brigitte. C’est bien compris !!

Elle avait claqué sèchement le large derrière. La professeure gémit à nouveau :

— Oui, oui, aïe, aïe mademoiselle Laetitia.

— Tu as intérêt à filer droit sinon je dis à maman que tu as refusé de m’obéir. Je vais faire quelques photos de tes fesses bien rouges et de toi sur mes genoux au cas où il te viendrait à l’idée de te rebeller.

Laetitia était passé au tutoiement pour bien marquer le changement de statut de la dame d’âge mûr qui venait soudain de trouver une nouvelle maîtresse. Elle prit son téléphone et posta sur Twitter quelques photos du derrière bien rouge :

— Pour le moment on ne voit que tes fesses, je te conseille d’être docile si tu ne veux pas qu’on te reconnaisse.

Elle fit relever Brigitte sans lui retirer le thermomètre et s’installa sur le canapé :

— Tu vas revenir sur mes genoux, on sera mieux toutes les deux, je vais regarder une série, tu en as encore pour cinquante minutes avec les fesses garnies.



Docilement, la punie reprit sa position. Quand enfin Laetitia leva sa punition, et l’autorisa à quitter ses cuisses, Brigitte était totalement matée. La jeune maîtresse lui fit relever la tête en posant son doigt sous le menton :

— Qu’est-ce qu’on dit ?

Brigitte les joues empourprées bégaya :

— Euh… euh…

Laetitia souriait mais son regard était impérieux. La professeure définitivement soumise se reprit :

— Merci mademoiselle Laetitia.

La jeune femme arbora un sourire triomphant :

— Voilà qui est bien, à chaque fois que je te punirai tu diras merci, c’est bien compris ! Tourne-toi que j’examine tes fesses !

Brigitte songea un instant qu’elle avait eu le temps de bien les regarder depuis tout à l’heure, mais il n’était pas question de discuter, elle pivota et présenta son postérieur au regard vicieux de la jeune femme. Celle-ci le palpa à nouveau, puis lui administra une petite claque :

— Elles sont en parfait état, ça se voit qu’elles ont l’habitude des déculottées.

Elle prit la culotte posée sur la table :

— Je te raccompagne chez toi, allez en route.

La claque traditionnelle sur le fessier avait accompagné cet ordre, la jupe de Brigitte était toujours épinglée dans le dos, au moment de sortir, elle marqua un moment d’hésitation, laetitia lui administra deux claques rapides en riant :

— Tu as peur que quelqu’un te voie avec le derrière à l’air ? Je crois que bientôt tout le monde saura que madame la professeure reçoit encore panpan cucul, mais rassure-toi à cette heure-là, on ne va rencontrer personne, on va prendre l’escalier. Allez dépêche-toi ou je te flanque une fessée sur le palier.

Brigitte ne demanda pas son reste, elle s’engouffra dans l’escalier quasiment en courant, Laetitia la suivait ravie de voir ces deux bonnes grosses fesses bien rouges ballottant devant ses yeux.

Arrivée à la maison, elle soufflait ce qui fit rire sa jeune maîtresse :

— De toute façon tout l’après-midi tu as montré tes fesses, la mère de Louisa s’est régalée et je pense que d’ici peu tu vas goûter à sa brosse à cheveux, quant à mademoiselle Vilpot, j’ai bien envie qu’on aille lui rendre visite bientôt, je suis sûre qu’elle aimerait voir ton derrière de plus près.

Elle s’installa sur un fauteuil et fit un signe à sa nouvelle grande fille :

— Viens ici, je vais te réchauffer les fesses une dernière fois, ensuite tu iras au coin jusqu’à ce que je t’autorise à le quitter. Allez en piste !

Elle ne se lassait pas de claquer le derrière de sa professeure, surtout que quelques heurs plus tôt, c’était elle qui pleurait sur ses genoux, la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Pour le moment Brigitte n’avait plus de culotte, la sienne était dans la poche de la jeune fille. Après lui avoir administré une courte, mais magistrale fessée, elle la fit mettre au coin face à la fenêtre et ouvrit grand les rideaux :

— Je suppose que tu connais la suite ma chérie, tu n’as pas intérêt à bouger tant que je ne t’en aurai pas donné l’autorisation. Mademoiselle Vilpot a une vue parfaite sur ta jolie paire de fesses, je lui demanderai si tu as été sage.

Elle fit un petit signe de la main à la vieille fille, puis caressa la croupe brûlante :

— Je te laisse, à tout à l’heure ma petite Brigitte.

Elle s’éclipsa en fermant la porte de l’appartement à clé. Brigitte en entendant le bruit de la serrure sut que dorénavant cette jeune fille serait une impérieuse maîtresse. Elle avait l’habitude de passer de longues minutes au coin, pour la première pénitence imposée par Laetitia, celle-ci l’y laissa une heure.




Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...