samedi 31 août 2024

Discipline traditionnelle

Caroline découvre la fessée



Caroline poussa un petit cri de surprise en voyant un martinet suspendu à côté du frigo. Sa mère qui était en train de préparer le repas se retourna en souriant :

— Qu’est-ce qui t’arrive ma chérie ?

Caroline fixait le martinet, elle ne répondit pas. Julie sa maman avait remarqué son regard :

— C’est le martinet de ta grand-mère, je l’ai retrouvé en faisant du rangement. Il était toujours suspendu dans la cuisine quand j’étais gamine.

Caroline avait retrouvé ses esprits, elle regarda sa mère :

— Mais… mais tu ne vas quand même pas le laisser là ?

— Et pourquoi donc ?

Caroline avait rougi, sa mère était sévère et jusqu’à ses dix ans elle avait souvent reçu la fessée déculottée mais depuis cette date elle avait cessé de l’utiliser et Caroline pensait en avoir fini avec ce châtiment enfantin. Avoir un martinet suspendu en permanence dans la cuisine ne lui disait rien qui vaille. Elle essaya de parler calmement, mais ça bouillait à l’intérieur :

— Mais quand même, tu as dit toi-même que c’était quand tu étais gamine.

Julie regardait sa fille avec un petit sourire malicieux :

— Tu le prends donc pour toi ? Ça tombe bien, c’est pour toi que je l’ai mis là. J’ai dit que c’était quand j’étais gamine, mais ce n’est pas tout à fait exact, il est resté là tant que je suis restée à la maison, j’avais vingt ans.

Caroline ne put se retenir :

— Mais maman, qu’est-ce qu’ils vont penser les gens en voyant ce martinet ?

Julie était aux anges devant la gêne de sa grande fille, depuis quelques temps, elle était impossible. Insolente, n’écoutant rien, cela faisait un moment qu’elle pensait avoir recours à son arme fatale, la fessée déculottée. Certes elle ne l’utilisait plus depuis très longtemps et Caroline était une jeune femme et avait un travail, mais comme sa mère l’avait fait avec elle, elle se posait de plus en plus la question ne devrait-elle pas à nouveau utiliser les bonnes vieilles méthodes qui avaient fait leur preuve. En retrouvant ce martinet familial une idée lui était venue pourquoi ne pas s’en servir si Caroline continuait à être insupportable.

— Eh bien ils verront que cette maison est bien tenue ma chérie. Mais pourquoi es-tu si inquiète, si tu te comportes bien tu n’as rien à craindre.

Caroline aurait dû se méfier, elle connaissait pourtant sa mère, mais elle ne put s’empêcher de lancer :

— Mais enfin, ça ne va pas, tu es ridicule, j’ai vingt-deux ans si tu ne le sais pas !

Le sourire de Julie se figea, son regard devint plus sévère :

— Pardon ? Tu ne me parles pas comme ça !

Caroline se mordit les lèvres, mais son caractère volcanique revint rapidement :

— On est au vingt et unième siècle si tu n’es pas au courant !

— Ah oui ? Eh bien, je vais te montrer comment je traite les insolentes au vingt et unième siècle.

Avant que Caroline ne comprenne ce qui lui arrivait, elle se retrouva courbée contre la hanche de sa mère, celle-ci n’ avait pas perdu l’habitude, elle tenait solidement sa grande fille avec son bras gauche. Nous étions en été, Caroline portait une jupe à fleur assez courte, Julie n’eut aucun mal à la retrousser pour mettre à jour une petite culotte jaune en dentelle qui rentrait déjà dans la raie fessière, découvrant à moitié les fesses de la jeune femme.

La main de la sévère maman entreprit de claquer le fessier tendu sous la culotte, Caroline se mit à crier et à trépigner sur place :

— Non, non arrête maman, pardon, aïe, aïe… noon !!!

Julie était ravie que sa fille lui ait tendu la perche, elle allait pouvoir mettre en pratique ses projets. La base des fesses découvertes était déjà rouge, elle relâcha sa fille qui se redressa les joues très rouges, mais ce répit fut de courte durée, la maman avait saisi l’oreille de sa fille et s’était assise sur une chaise, en un clin d’œil, elle fit basculer Caroline en travers de ses genoux, celle-ci poussa un cri :

— Noon…

La jupe était retroussée haut sur son dos, sa mère saisit l’élastique de la culotte et la baissa brusquement à mi-cuisses :

— Une bonne fessée déculottée, voilà ce qu’il faut aux petites insolentes et je te promets que tu vas t’en souvenir de celle-là.



La main claquait méthodiquement la croupe qui rosissait très vite, les pieds décollés du sol battaient l’air désespérément, les fesses s’ouvraient largement, Caroline hoquetait sous la cuisson qui envahissait son derrière. Elle se mit à pleurer et à supplier sa mère :

— Pardon maman, s’il te plaît plus la fessée, aïe, aïe, aïe…

La correction continua encore un moment, la croupe était écarlate quand Julie s’arrêta :

— Tes fesses sont très jolies ma chérie, j’espère que tu commences à comprendre, mais je n’en ai pas encore tout à fait fini avec ton derrière. Tu vas aller au coin pour réfléchir !

Une claque sur la croupe cramoisie invita la jeune femme à rejoindre le coin de la pièce. Ça faisait une éternité que sa mère ne lui avait pas imposé ce petit complément de punition. Être mise au coin fesses à l’air comme une gamine à vingt-deux ans, quelle honte, surtout que Julie lui coinça la jupe dans la ceinture pour bien dégager le derrière rougi, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles. L’humiliation suprême vint de l’ordre suivant :

— Mets tes mains sur la tête et colle ton nez contre le mur et cesse de pleurnicher !

Caroline malgré la brûlure qui incendiait sa croupe était sidérée que sa mère ait osé la traiter ainsi, mais elle avait obéi quand même sans broncher. Julie eu un petit sourire en voyant que sa grande fille ne protestait pas, finalement son éducation stricte avait quand même laissé des traces. Raison de plus pour ne pas transiger pensa-t-elle, Caroline commence à prendre ses aises et je n’ai pas l’intention de me laisser marcher sur les pieds. S’il faut en passer par la bonne vieille fessée cul nu et bien tant pis pour ton derrière ma chérie.



Le temps parut bien long à Caroline, la douleur de la fessée avait laissé place à la honte d’exposer ainsi ses fesses nues au salon, elle entendait sa mère vaquer à ses occupations sans se soucier d’elle, puis soudain elle l’appela :

— Viens ici ma chérie.

Penaude, la jeune femme se retourna, Julie la regardait en souriant :

— J’espère que ce petit séjour au coin t’a permis de réfléchir aux conséquences de ton insolence. Comme je te l’ai dit tout à l’heure, je n’en ai pas tout à fait fini avec ton derrière. Ta conduite ces derniers temps est intolérable et j’ai décidé d’y mettre bon ordre. A partir d’aujourd’hui, à chaque fois que tu te comporteras mal, tu auras droit à un petit séjour sur mes genoux la culotte baissée, quand tu en auras assez d’avoir les fesses bien rouges, je pense que tu changeras d’attitude.



Caroline regardait sa mère avec de grands yeux. Bien sûr, quand elle était gamine celle-ci utilisait la fessée déculottée assez régulièrement, mais elle ne pensait pas qu’elle aurait osé recommencer maintenant qu’elle avait vingt-deux ans. L’époque de ce genre de châtiment lui semblait révolu, la suite fut encore plus terrible pour elle.

— Tu vas aller chercher le martinet à la cuisine, je pense que tes fesses ont besoin d’un petit complément.

La jeune femme allait ouvrir la bouche pour protester, mais le regard noir de sa mère et l’ordre suivant l’en dissuada :

— Tu enlèves ta culotte et tu la poses sur la table, tu resteras fesses à l’air cet après-midi, ce sera plus pratique si tu as besoin d’un petit rappel à l’ordre. Et maintenant tu te dépêches d’aller chercher le martinet, si je dois compter ta punition sera doublée !

Caroline se précipita vers la cuisine, ses fesses encore rosées se trémoussaient aux rythmes de ses pas ce qui fit sourire sa mère. « Tu as vraiment un joli popotin ma petite, tu vas voir comme maman va bien s’en occuper »

La jeune femme réapparut le martinet à la main, elle regardait ses pieds, la honte d’être traitée ainsi était trop forte, Julie tendit la main :

— Donne-moi le martinet, va te mettre à genoux sur le fauteuil et tu me présentes bien tes fesses.

Caroline avait les larmes aux yeux, elle essaya d’amadouer sa mère :

— Maman, promis je vais être sage, s’il te plaît, pas le martinet.

Elle se surprenait elle-même à s’adresser à sa mère comme si elle était une gamine, prête à tout pour éviter la punition. Julie la regarda en souriant :

— Oh ça j’en suis sûr que tu vas être bien sage avec les fesses brûlantes. C’est en général comme ça que les chipies se conduisent après une bonne fessée au martinet. Dépêche-toi si tu ne veux pas que je double ta punition !!

C’était donc peine perdue pour Caroline, elle prit la position requise, elle n’avait jamais reçu une correction avec cet instrument, sa mère avait toujours utilisé uniquement sa main.

Instinctivement elle contracta ses fesses, ce qui eut le don de faire sourire sa maman « on dirait que tu as peur pour ton petit derrière ma chérie ? Tu as bien raison ça brûle le martinet »

Elle se souvenait avec émotion de sa dernière fessée reçue avec cet instrument, elle était à peine plus jeune que Caroline, elle avait vingt ans, c’était juste avant qu’elle ne quitte la maison, sa mère était très stricte, elle l’avait surprise à fumer avec des copines, la sanction avait été immédiate, heureusement pas devant ses amies, mais dès la porte franchie, la sévère maman avait décroché le martinet et après avoir troussé et déculotté Julie, elle l’avait fait se pencher sur la table et lui avait administré une fessée magistrale dont elle gardait encore la mémoire.

Elle contemplait le fessier rebondi de sa fille, elle tapota les fesses :

— Écarte un peu tes jambes ma chérie et desserre tes fesses, crois-en mon expérience, la fessée est moins douloureuse sur des fesses détendues.

Caroline soupira et s’exécuta, sidérée par les réflexions de sa mère qui parlait technique tandis qu’elle était là, à vingt-deux ans en train de lui exposer son derrière déculotté. Elle n’eut pas longtemps à attendre une brûlure indicible scia sa croupe en deux, le martinet manié avec dextérité par Julie entrepris de redonner une magnifique couleur au joufflu de Caroline. C’était ainsi qu’Anne-Marie sa grand-mère dénommait son derrière quand elle voulait se moquer gentiment des rondeurs de sa petite fille.



La jeune femme avait commencé par crier et à battre des pieds, maintenant elle pleurait tout en écartant largement son derrière écarlate. Julie ne fut pas trop sévère, elle voulait juste marquer le coup, il serait toujours temps d’administrer à sa chipie une bonne correction si elle ne changeait pas de comportement.

Elle posa le martinet sur la table du salon et se recula pour regarder le fessier de Caroline, comme un artiste contemplant son œuvre. Les deux fesses se serraient et s’ouvraient convulsivement, c’était assez excitant, Julie se surprit à prendre du plaisir au spectacle de cette jolie paire de fesses rubicondes. Caroline ne le savait pas encore, mais elle allait souvent être déculottée à partir d’aujourd’hui :

— Tu vas retourner te mettre au coin. Il faut que tes fesses refroidissent et puis je pense que tu ne vas pas aller à la piscine cet après-midi. Tes copines pourraient te demander pourquoi tes cuisses et tes fesses sont rouges.









mercredi 28 août 2024

Deux étudiantes 15

 Cuisante soirée



Odile était rentrée à la maison les fesses brûlantes et encore rouges. Elle était cul nu sous sa jupe, sa mère lui ayant confisqué sa culotte. Elle était furieuse d’avoir été traitée ainsi par Claudine, il lui fallait trouver quelque chose pour se calmer. Elle était juste devant la porte de l’appartement des étudiantes, un sourire gourmand éclaira son visage, les jolies fesses de Clara et Clémence allaient la consoler.

Évidemment elle rentra sans frapper, il n’y avait personne dans le salon, sans faire de bruit, elle s’approcha de la chambre de Clara, des soupirs s’échappaient par la porte. Elle entra brusquement, les deux jeunes femmes poussèrent un cri. Clémence était couchée sur les genoux de son amie elle était déculottée et ses fesses étaient encore rosées, elle chercha à se relever mais la sévère maman l’arrêta :

— Non ! Tu restes là.

Un tube de crème était posé sur le lit, Clara avait toujours la main posée sur les fesses de clémence.

— Que faisiez-vous ?

Clara bredouilla :

— Euh… rien madame, je vous assure, je passais juste un peu de crème sur les fesses de Clémence.

Odile regardait amusée les deux jeunes femmes qui ne savaient quelle contenance adopter, elle remarqua rapidement le thermomètre posé à côté du tube de crème, elle s’en saisit :

— Tiens, tiens, vous jouiez au docteur on dirait ? Vous ne croyez pas que ce n’est plus de votre âge.

Clara avait les joues très rouges, elle ne répondit pas, les fesses de Clémence s’étaient contractées.

— Je vais vous apprendre moi ! On va commencer par toi Clémence puisque tu as déjà les fesses à l’air, ça sera plus rapide, lève-toi et viens ici.

En un clin d’œil, Clémence changea de genoux, elle était maintenant couchée en travers des cuisses d’Odile, celle-ci avait pris place sur une chaise. La sévère maman commença par examiner le fessier de la jeune femme, il était encore rosé, signe d’une correction récente :

— Tu as reçu une fessée ? Qui te l’a donnée ?

Elle avait accompagné sa question d’une bonne claque au milieu des fesses, Clémence savait qu’il lui fallait répondre, la punition était inéluctable mais autant qu’elle ne soit pas doublée. D’une petite voix, elle avoua :

— C’est Amélie madame.

Odile fronça les sourcils :

— Amélie ? Et pourquoi donc ?

Clémence se sentait coincée, avouer que la jeune baby-sitter était revenue lui administrer une fessée ce matin à cause de son mauvais comportement de la veille lui vaudrait certainement une punition supplémentaire, mais lui dire qu’Amélie avait été injuste et qu’elle l’avait corrigée sans raison, c’était s’exposer à des représailles lors d’une prochaine soirée baby-sitting. Elle opta pour la première solution :

— Euh, c’est-à-dire… je lui ai mal parlé hier soir.

— Ah oui !!

Le ton de la voix de la sévère maman ne disait rien qui vaille à Clémence, elle poussa un cri, la première claque venait de tomber sur son derrière dénudé :

— De mieux en mieux, je m’apprêtais à te punir pour tes petits jeux avec Clara et bien tu auras droit à un supplément, crois-moi tu vas finir par être une gentille fille sinon tes fesses seront rouges en permanence.

La fessée retentissait déjà dans la chambre, Clara regardait avec effroi sa copine en train de recevoir sa correction, nul doute que dans quelques instants, ce serait son tour. En effet quelques minutes plus tard elle hurlait et pleurait en gigotant sur les genoux d’Odile. Clémence le nez au mur et la culotte aux genoux exposait une paire de fesses écarlates. Dès que la deuxième fessée fut terminée, Odile leur indiqua la porte :

— Maintenant on va continuer votre leçon chez moi, filez devant et vite, vous gardez vos mains sur la tête.



Les deux étudiantes s’exécutèrent, elles marchaient l’une à côté de l’autre, leurs derrières étaient d’un rouge éclatant. Les jupes épinglées dans le dos et la culotte aux genoux, c’est dans cette tenue peu glorieuse qu’elles traversèrent le palier pour rejoindre l’appartement d’Odile.

La sévère maman leur indiqua le canapé :

— Vous vous couchez chacune sur un accoudoir, que vos fesses soient bien exposées, et ne vous avisez pas de bouger, je reviens.

Clara et Clémence obéirent, elles se doutaient un peu de la suite, mais espéraient quand même échapper à cette punition infamante.

Hélas leur espoir fut vite évanoui. Odile était passée dans sa chambre pour remettre une culotte, elle avait regardé son fessier dans la glace, il était toujours rouge, elle passa sa main dessus, il était encore un peu chaud. Décidément pour une première fessée sa mère n’y était pas allée de main morte, elle se reculotta et prit sur la commode les deux thermomètres qui étaient toujours là dans l’attente d’une punition à venir.

Arrivée dans le salon, elle s’arrêta pour contempler le charmant spectacle de ces deux belles croupes rouges, tendues vers le ciel, ces deux demoiselles avaient vraiment des fesses ravissantes. Elle s’approcha en premier de Clémence, elle lui tapota le derrière :

— Allez ma grande, il va falloir me desserrer ces fesses, maman Odile va te mettre le thermomètre, apparemment ça te plaît.

Avec deux doigts, elle avait bien ouvert la raie fessière, même si elle commençait à en avoir l’habitude, c’était toujours un moment de honte pour la jeune femme, sentir le regard d’Odile braqué sur son intimité, l’embout froid du thermomètre commença à pénétrer doucement, elle savait qu’il ne fallait surtout pas serrer ses fesses sous peine d’une punition supplémentaire. Elle ferma les yeux et relâcha au maximum ses muscles fessiers, Odile était satisfaite, sa sévère éducation portait ses fruits, les deux jeunes étudiantes étaient devenues dociles. Elle relâcha les fesses et elle se refermèrent sur le thermomètre qui ne dépassait à peine de la raie médiane.

C’était au tour de Clara de subir l’humiliante introduction, elle eut droit à une dizaine de claques sonores pour n’avoir pas suffisamment écarté ses cuisses, puis Odile se recula pour apprécier le tableau offert par les deux jeunes femmes, c’était vraiment excitant, elle leur annonça avec un sourire gourmand :

— j’espère que vous êtes bien installée, vous allez rester là jusqu’à l’heure du dîner.



Il était dix-sept heures, elles en avaient pour environ deux heures trente à exposer leur derrière au milieu du salon. L’angoisse avait saisi Clémence, elle était moins habituée que sa copine aux punitions publiques, si quelqu’un d’étranger venait rendre visite à Odile.

Elles étaient dans cette position depuis une demi-heure, les fessiers se crispaient de temps en temps sur le thermomètre profondément enfoncé, Odile en passant claquait les derrières :

— J’espère que ça va vous servir de leçon mes demoiselles, vous devriez avoir honte à votre âge d’exposer vos fesses comme deux gamines.

La sonnette retenti, les deux paires de fesses se serrèrent en même temps, une conversation se déroulait dans le hall, puis soudain des pas.

— Oh comme c’est charmant. Mais à qui sont donc ces deux jolis fessiers !

La voix ne leur était pas inconnue, c’est Odile qui les renseigna :

— C’est vrai que vous n’avez pas eu encore l’occasion de voir leurs derrières ma chère Brigitte, ce sont les deux étudiantes qui habitent en face de chez moi. Je fais fonction de tutrice à la demande de leurs mères.

C’était la dame du troisième étage, elles l’avaient souvent croisée dans l’ascenseur, c’était encore plus humiliant, car elles allaient être amenées à la rencontrer à nouveau. Elle avait l’air de trouver normal que deux jeunes femmes soient couchées sur l’accoudoir du canapé, la culotte baissée et les fesses rouges. Elles sentirent qu’elle s’approchait comme pour mieux les examiner :

— Ah, mais elles ont eu droit à votre petite spécialité.

Odile se mit à rire :

— Oui, la spécialité maison, après une bonne déculottée ça fini de calmer les impertinentes, n’est-ce pas Brigitte ?

Si les deux étudiantes n’avaient pas eu le nez dans les coussins et tellement honte d’être vue dans cette position, elles auraient pu remarquer la rougeur des joues de Brigitte et le trouble dans sa voix.

Elle aussi avait goûté à l’humiliante punition, malgré ses soixante ans et ses airs de bourgeoise, elle s’était retrouvée déculottée sur les genoux d’Odile, mais c’est une histoire que nous aborderons plus tard.



Odile était ravie d’avoir retrouvé un peu d’autorité, elle changea de conversation :

— Je vous offre un thé ?

Brigitte en souriant accepta :

— Bien sûr, ça va me permettre de profiter plus longtemps de ce joli spectacle.

Ce n’était pas vraiment du goût des deux punies, mais on ne leur demandait pas leur avis. Brigitte s’approcha de Clara, c’était elle qui avait la plus belle paire de fesses, elle en fut jalouse. C’est beau la jeunesse pensa-t-elle, sa main caressa l’épiderme rougeoyant :

— Alors on a pas été sage ? Maman Odile à fait panpan cucul ?

Clara était mortifiée d’entendre cette dame lui parler comme si elle était une vulgaire gamine que sa mère avait troussée et déculottée devant tout le monde, mais malheureusement elle ne pouvait rien y faire. Odile revenait avec le plateau et les tasses, elle remarqua le regard concupiscent de Brigitte sur les fesses de Clara :

— Vous aurez certainement l’occasion de revoir ces jolis derrières, j’ai beau leur tanner régulièrement les fesses, ces deux chipies continuent de faire des bêtises, à croire qu’elles aiment ça ! D’ailleurs à ce propos, si jamais vous les surprenez en train d’en faire, surtout ne vous gênez pas, la culotte baissée et la fessée illico, vous avez mon autorisation.

Clémence et Clara malgré leur inconfortable position suivaient la conversation, elles furent une nouvelle fois consternées, Odile venait de donner la permission à Brigitte de les punir de cette façon si honteuse, nul doute que celle-ci allait sauter sur l’occasion.

La tea-party avait semblé bien longue aux deux étudiantes, elles étaient maintenant seules, Odile s’affairait en cuisine, se contentant de venir jeter un œil de temps en temps sur les deux croupes exposées.

Ce fut Chloé qui rentra la première, elle pouffa au spectacle des deux derrières déculottés et garni du thermomètre, mais elle le fit discrètement, elle se savait en sursis depuis la sévère punition du week-end et la fessée déculottée du coucher était toujours à l’ordre du jour.

Amélie arriva une quinzaine de minutes plus tard, elle fut moins discrète que sa sœur :

— Mazette, quelles belles paires de fesses, vous avez encore fait des bêtises les chipies ?

Odile sortit de la cuisine :

— Oh que oui ! À propos tu as flanqué une fessée à Clémence ce matin ?

Amélie à peine déstabilisée par la question, répondit le plus naturellement du monde :

— Oui, je lui avais promis hier soir, elle avait été impossible. Il ne fallait pas ?

La réponse de sa mère la rassura et la conforta, elle pouvait user et abuser de la fessée sur les derrières des deux étudiantes :

— Si, si, tu as eu raison, Clémence m’a avoué qu’elle t’avait mal parlé, tu as eu raison, d’ailleurs elle a eu droit à une fessée supplémentaire de ma part.

Clémence bouillait intérieurement, cette petite garce avait maintenant tous les droits et elle n’allait pas s’en priver.

A dix-neuf heures trente, elles furent enfin libérées et elles purent se reculotter, cependant pour Clémence les ennuis n’étaient pas finis, Odile lui annonça :

— Je ne tolère pas l’impolitesse, Amélie viendra t’administrer une bonne fessée avant que tu n’ailles au lit à neuf heures trente. J’espère que la prochaine fois qu’elle viendra vous garder tu te comporteras mieux.

Amélie avait souri en entendant sa mère, décidément c’était une bonne journée, elle aurait eu deux fois le mignon derrière de Clémence à sa disposition.

Les deux amies étaient rentrées chez elle, Clémence fit des reproches à Clara :

— À cause de toi, on a déjà été bien punies et en plus cette petite garce d’Amélie va en profiter ce soir.

Clara lui passa la main sur les fesses en souriant :

— Dis donc vilaine, tu n’étais pas là dernière à vouloir que je te câline, tu en as quand même bien profité et puis je te signale que j’ai eu droit moi aussi à ma déculottée et au thermomètre.

Elle lui tapota un peu plus sèchement la croupe, finalement tu l’auras bien mérité ta fessée de ce soir, tu n’es qu’une ingrate.

Clémence frotta son fessier :

— Ah non, tu ne vas pas t’y mettre toi aussi qu’est-ce qu’elles vous ont fait mes fesses.

Clara se mit à rire :

— Tu sais que tu es adorable ma petite chérie quand tu te frottes le derrière, c’est parce qu’elles sont mignonnes nos fesses, que tout le monde à envie de nous déculotter.

Le téléphone de Clémence vibra, c’était Amélie, la jeune étudiante fit la grimace en lisant le message « coucou ma petite chipie, je vais venir m’occuper de ton petit derrière tout à l’heure, tu vas aller au dodo avec les fesses bien chaudes, je veux te trouver dans ta chambre au pied de ton lit la culotte baissée quand j’arriverai. À tout à l’heure ». Elle siffla entre ses dents :

— Quelle garce ! J’espère bien qu’un jour je pourrai te rendre la monnaie de ta pièce.



À l’heure dite, Amélie entra dans l’appartement, elle n’avait bien sûr pas sonné. Clara lisait dans le salon :

— Coucou ma chipie, où est ta copine ? J’espère qu’elle est prête pour son panpan cucul.

Clara lui désigna la chambre, sans lever les yeux :

— Elle est dans sa chambre.

Amélie lui lança un regard noir :

— Tu sais que ce n’est pas poli de ne pas regarder les gens !

Clara surprise par le ton, regarda enfin la baby-sitter :

— Oh, pardon mademoiselle.

Elle n’avait pas pu se retenir, ce ton ironique eu le don d’irriter encore plus Amélie, elle se dirigea vers la jeune femme et avant qu’elle n’ait pu réagir, elle la saisit par l’oreille :

— Je vais t’apprendre la politesse ma petite chipie.

Sa main avait claqué rapidement l’arrière des cuisses au ras de la jupe, surprise Clara sautilla sur place :

— Aïe, pardon mademoiselle Amélie, aïe…

— Tu files dans ta chambre, tu te mets en pyjama et tu m’attends fesses à l’air au pied de ton lit, je viens te voir quand j’ai fini de m’occuper de Clémence.

Clara regrettait amèrement sa petite rébellion, mais c’était trop tard, elle était bonne pour aller au lit elle aussi avec une paire de fesses rouges. Sans attendre de voir si elle obéissait, Amélie avait ouvert la porte de la chambre de Clémence. Le spectacle était exactement ce qu’elle avait prévu, la jeune femme se tenait bien droite au pied de son lit, les bras pendant le long de son corps, elle avait baissé sa culotte de pyjama sous ses fesses qui étaient encore rosées des fessées reçues précédemment.

Elle s’approcha sans dire un mot, la croupe se crispa légèrement, la raie médiane ne faisait plus qu’un trait, en souriant elle tapota les fesses :

— C’est bien tu es obéissante, on dirait que ton derrière a peur de ce qui va lui arriver.

Elle s’installa sur le lit et prit la main de la jeune étudiante pour la faire approcher :

— Tu as été vilaine n’est-ce pas ?

Amélie, bien qu’elle commençât à s’habituer à ses humiliations, ne put s’empêcher de rougir et de baisser la tête. Elle était comme une gamine prise en faute, alors que celle qui s’adressait à elle avait trois ans de moins qu’elle.

Amélie appuya sur ses fesses pour l’inciter à se coucher en travers de ses cuisses :

— Allez en piste ma belle, avant que je te donne ta fessée, tu vas me raconter un peu pourquoi maman vous a punie cet après-midi.

C’était une humiliation de plus pour la jeune femme, mais elle n’était cependant pas en position de refuser. Pour l’inciter à commencer sa confession, Amélie lui claqua sèchement la croupe :

— Je t’écoute, tâche de ne rien oublier, je vais interroger Clara ensuite.

Elle raconta donc comment elles avaient pris l’habitude de se consoler après une correction en se caressant mutuellement et en se passant une crème apaisante sur les fesses, elle omit cependant de préciser qu’elles avaient pris goût à l’introduction du thermomètre dans leur petit trou.

Pendant sa confession, Amélie lui palpait les fesses, ses doigts s’insinuèrent entre les cuisses et jusqu’à la vulve de sa punie, quand celle-ci eut fini, elle lui administra une bonne claque au milieu des fesses :

— Eh bien c’est du joli !

Elle feignait l’indignation, alors qu’elle faisait la même chose avec sa sœur, mais l’occasion était trop belle de jouer à la maman sévère :

— Je vais vous apprendre, vilaines filles.



La main se mit à claque les rondeurs, c’était la troisième fessée de la journée, son épiderme était déjà enflammé, Clémence ne fut pas longue à pleurer. Comme à son habitude, bien que ça ne serve à rien elle supplia sa fesseuse d’arrêter la punition en promettant d’être sage et de ne plus recommencer. Ce qui eut pour résultat de bien faire rire Amélie :

— Oh ça c’est sûr, je pense qu’avec la correction que je vais t’administrer tu n’es pas près de recommencer. Ton joli petit cul est bien rouge, deux belles tomates. Allez on va finir de le cuire et tu vas aller au dodo.

Elle tint parole et c’est avec un derrière brûlant que Clémence se glissa dans son lit. Amélie avait elle-même remonté la culotte du pyjama comme l’aurait fait une maman.

Elle entra ensuite dans la chambre de Clara, celle-ci était dans la même tenue que Clémence, mais habituée à la rigoureuse éducation de sa mère, elle avait baissé sa culotte de pyjama jusqu’à mi-cuisses et avait posé ses mains sur sa tête. C’était vraiment excitant, Amélie était vraiment amoureuse des beaux derrières féminins, après la fessée déculottée administrée à Clémence sa culotte était déjà humide, elle caressa les fesses de la jeune femme :

— Ma petite chipie, Clémence vient de me raconter comment vous vous amusez toutes les deux, c’est du joli. En plus d’être impolie tu es une vicieuse, tu mérites vraiment une sévère correction, mademoiselle Amélie va s’en charger.

Elle appuya sur le dos de la jeune étudiante pour la faire se pencher sur le lit :

— Écarte les cuisses que je voie bien ton minou.

Ses doigts se glissèrent sur la vulve, elle était humide, la sévère baby-sitter sourit :

— Tu mouilles petite cochonne.



Elle enfonça un peu ses doigts, Clara se mit à gémir :

— Oh, non mademoiselle, s’il vous plaît.

Amélie souriait de la gêne de sa victime :

— Tu préfères la fessée ? Et bien qu’à cela ne tienne.

Elle claqua une dizaine de fois la croupe tendue :

— Voilà vilaine fille, tu es contente ?

Elle reprit ses attouchements, Clara gémissait et remuait ses belles fesses déjà rosées. Amélie prit une règle plate sur le bureau et claqua à nouveau le fessier de la jeune femme. Elle ne s’arrêta pas à quelques claques, la fessée fut sévère, sa main gauche s’était insinuée par-devant et caressait le clitoris de la punie pendant que la main droite maniait la règle.

Clara ne savait plus à quel saint se vouer, entre ses fesses brûlantes qu’elle ouvrait et refermait au rythme de la punition et le plaisir qui montait avec les caresses expertes de sa fesseuse. Bientôt elle râla de plaisir au milieu de ses pleurs. Amélie jouissait du spectacle de ce magnifique fessier écarlate, mais elle en voulait quand même plus. Elle cessa la fessée et fit glisser la culotte de Clara jusqu’à ses chevilles puis lui enleva complètement, elle glissa ses mains sous sa jupe et se déculotta puis elle s’allongea sur le lit et fit signe à la jeune étudiante :

— Tu vas me lécher ma petite chipie et tâche de faire ça bien sinon gare à tes fesses.

Elle fit mettre Clara à quatre pattes sur elle de façon que celle-ci puisse la lécher tandis que ses fesses restaient bien à sa portée.

La punie était une experte en rapport saphique, sa langue habile se mit à lécher sa maîtresse, finalement cette magistrale fessée déculottée l’avait vraiment excitée, elle se surpassa et bientôt Amélie explosa. Ses mains se mirent à claquer à nouveau les fesses de Clara qui elle aussi se mit à râler de plaisir, malgré les claques qui lui brûlaient le derrière.

Après quelques minutes de plaisirs partagés, Amélie fit relever son amante :

— C’est bien tu es douée, je pense que ma fessée t’a stimulée, tu as vraiment un beau cul ma chipie. Nous recommencerons, tu peux préparer tes fesses. Maintenant au dodo.

Clara faillit protester qu’il était bien tôt pour se coucher, mais sa croupe écarlate et le ton sans réplique de sa baby-sitter l’incita au silence. Elle se reculotta sous le regard amusé d’Amélie :

— Tu vas bien dormir avec ton joli derrière bien rouge.

Elle quitta l’appartement, elle savait que les deux étudiantes allaient se tenir tranquille, rien de mieux qu’une bonne fessée déculottée pour assagir les jeunes femmes.





samedi 17 août 2024

Lucie et Christian 17

La punition d'Alice 



Alice savourait tranquillement une liqueur, les fessiers rougis se crispaient sur le plug, la brûlure du suppositoire avait disparu mais pas celle de la peau des fesses. Lucie interrogeait son amie sur son éducation sévère chez sa tante :

— Tu y vas bientôt chez ta tante ?

Alice lui lança un petit sourire coquin :

— Je suis sûr que tu aimerais bien me voir gigoter sur ses genoux.

Lucie se mit à rire :

— Ça c’est certain, mais ne t’inquiète pas je vais quand même voir ton joli derrière se tortiller. Je te demande ça parce que j’aimerais bien y aller avec toi, tu crois que ce serait possible ?

Alice fit une petite moue et un sourire illumina son visage :

— Ce ne sera pas un problème, tatie Ingrid est vraiment accueillante, elle adore la jeunesse. Mais tu prends un risque tu sais.

Lucie lui rendit son sourire :

— Ah oui ? Panpan cucul ?

— Exactement, et je te garantis qu’elle ne fesse jamais pour rire.

Lucie eut un sourire énigmatique :

— Je m’en doute, mais moi non plus je ne fesse pas pour m’amuser, il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée déculottée.

Alice la regarda avec des yeux ronds :

— Tu… tu… Tu crois que tu pourrais lui flanquer une fessée ?

— Pourquoi pas, et déculottée en plus.

Elle regarda les deux paires de fesses exposées :

— On va aller coucher ces deux-là, tu as de la chance, pour aujourd’hui ta fessée sera encore privée.

Alice minauda :

— Oh non, tu n’as pas le droit, je n’ai rien fait.

— Tss, tss, comme je te connais, je suis sûr que tu l’as méritée et une bonne en plus.

Alice s’amusait à jouer avec son amie, mais elle était quand même un peu inquiète pour son derrière :

— Et si je ne veux pas ?

Lucie la regarda fixement :

— Ma petite chérie, je viens de te dire que ta fessée déculottée resterait privée, mais continue comme ça et tu vas la recevoir devant Christine et Aurore. Si c’est ce que tu souhaites, il n’y a pas de problème.

Alice se renfrogna un peu :

— Non, non, c’est bon… Tu gardes Aurore à la maison ?

Elle avait changé volontairement de conversation. Les deux punies, commençaient à gigoter du derrière, Lucie s’approcha et claqua sèchement la croupe d’Aurore qui était la plus agitée :

— Cesse donc de te trémousser comme ça. Tu as envie de revenir sur mes genoux ?

— Non, non, pardon maman Lucie.

C’était curieux de voir cette dame réagir si docilement, comme une gamine devant sa maman sévère. Lucie pour faire bonne mesure, avait claqué aussi les fesses de Christine :

— Aurore, tu vas coucher à la maison, comme ça j’aurai tes petites fesses à ma disposition demain matin. Christine te prêtera une chemise de nuit. Filez-vous mettre en tenue et lavez-vous les dents.

Elle avait claqué le derrière de la cheffe de service, le ton était sans réplique, les deux punies détalèrent. Lucie les arrêta juste avant qu’elles n’aient franchi la porte :

— Ah au fait, vous nous attendez au pied de votre lit avec la nuisette retroussée.

Elles attendirent un moment pour leur laisser le temps de se préparer et surtout pour les faire mariner. Après la soirée cuisante qu’elles venaient de passer, attendre les fesses à l’air que « sa maman » arrive n’était certainement pas très rassurant.

Lucie fit un petit signe à son amie :

— Viens un peu ici ma jolie.

Alice était délurée, mais cette brusque invitation la perturba un peu, elle rougit et s’approcha, Lucie lui fit signe de se tourner et sans façon, elle troussa la jupe d’Alice, celle-ci portait des dessous sexy, une culotte rose en dentelle bien échancrée qui avait du mal à couvrir son bon gros derrière comme disait sa tatie et des bas tenus par un porte-jarretelle Lucie caressa le derrière à demi découvert :

— Ta culotte ne cache pas grand-chose ma chérie, ce n’est pas le genre de culotte que je tolère chez moi. On réglera ça tout à l’heure. En attendant tu tiens ta jupe retroussée, je vais faire une photo de tes jolies fesses culottées, c’est pour mon compte Twitter.

Alice était un peu honteuse, mais elle ne protesta pas et obéit à sa nouvelle maîtresse. Celle-ci la laissa dans cette situation gênante pendant un petit quart d’heure :

— Bon, remets ta jupe en place, on va aller voir nos chéries. On va leur enlever le plug pour la nuit, la punition a été suffisante. Tu vas t’occuper d’Aurore et moi de Christine.

Christine avait laissé la porte de sa chambre ouverte, le spectacle de son derrière encore bien rouge encadré par la nuisette retroussée était charmant, Alice fit un petit clin d’œil à son amie :

— Elle a vraiment un joli petit cul.

Lucie se mit à rire :

— Joli, pour sûr, mais pas petit… Elle a un beau gros derrière fessable.

Alice appréciait l’humour de sa copine, elle se tourna vers la chambre d’ami qui avait également la porte ouverte :

— Et celui d’Aurore, il est comment ?

Lucie jeta un regard dans la chambre, Aurore était sagement debout au pied du lit, les mains croisées dans son dos pour tenir retroussée sa nuisette blanche ourlée de dentelle :

— Il est vraiment mignon également, le rouge lui va bien et puis il est confortable si on peut dire, il y a de la place pour lui flanquer une bonne fessée.

Alice se mit à rire également :

— Encore une ? C’est vrai que ça fait vraiment envie un si beau derrière.

Elles rentrèrent chacune dans une chambre, Alice s’approcha doucement de la cheffe de service aux fesses rouges, elle la saisit par l’oreille comme si elle n’était qu’une gamine :

— Viens donc par là ma petite, tatie Alice va s’occuper de ton joli cul.

Aurore se laissa tirer par l’oreille, depuis qu’elle était arrivée chez Lucie elle avait abandonné sa fierté de bourgeoise vivant dans le luxe. Elle s’était fait déculotter, fesser, prendre la température ; on lui avait mis un suppositoire et pour finir un plug garnissait son derrière. Maintenant cette jeune femme la traitait comme une adolescente désobéissante, elle se retrouva donc couchée en travers des cuisses d’Alice, celle-ci tourna la rondelle du plug :

— C’est bon n’est-ce pas ?



Aurore gémissait doucement, malgré sa honte, elle savait qu’il lui fallait répondre. Elle sentait également une sourde excitation gagner son entre-cuisse, elle parla rapidement d’une voix sourdre :

— Euh… oui tatie Alice.

Alice souriait, elle manipula un peu le plug le faisant légèrement ressortir puis plaquant la rondelle contre la raie fessière :

— J’ai mal entendu ma chérie, répète plus fort.

— Oui, oui Tatie Alice… c’est bon… oh pardon, s’il vous plaît, j’ai honte.

Alice était ravie de son nouveau pouvoir, les jolies fesses rondes d’Aurore étaient contractées sur le plug, elle les claqua sèchement :

— Desserre tes fesses ! Vite ! J’espère bien que tu as honte. Tu es une vilaine fille et c’est ce qui leur faut aux chipies de ton espèce. Une bonne fessée déculottée bien humiliante pour t’apprendre à être sage.

Elle força la jolie bourgeoise soumise à écarter ses cuisses :

— Voilà, c’est bien, je vois bien ton petit abricot. Je vais te flanquer une dernière fessée avant de t’enlever le plug et ensuite tu verras, tu vas dormir comme un bébé.

La main agile d’Alice entrepris de redonner une belle couleur à la croupe d’Aurore qui pleura immédiatement, autant de honte que de douleur. La fessée fut rapide, ensuite la jeune femme retira délicatement le plug, puis elle remit la nuisette en place et claqua les cuisses de sa punie :

— C’est fini, maintenant dodo et tu ne frottes pas tes fesses, sinon tatie Alice te remets sur ses genoux.

Dans l’autre chambre les cris et les pleurs de Christine se mêlaient au claquement de la main sur la peau des fesses nues. Elles sortirent en même temps des chambres, Lucie claqua sèchement la croupe d’Alice :

— À nous deux ma jolie, on va s’occuper de ton bon gros derrière.

Alice eut un petit rire crispé, elle était inquiète mais tellement excitée, la fessée déculottée ça brûle vraiment le derrière, mais après finalement c’est bon. Souvent dans son lit le soir pendant les vacances chez sa tante elle avait les fesses en feu mais pas que. Sa vulve était gonflée et avec ses doigts elle se donnait du plaisir, elle y songeait en suivant Lucie.

Finalement l’éducation stricte de sa tante avait beaucoup influencé sa sexualité, elle avait eu des expériences bisexuelles, mais jamais vraiment satisfaisantes. Elle aurait aimé rencontrer quelqu’un de strict qui la prenne en main, mais elle n’avait jamais osé avouer à ses différents partenaires qu’elle avait besoin d’une bonne déculottée et d’avoir les fesses bien rouges pour jouir complètement.

Depuis que madame Dugou avait repris le rôle de maman sévère et bien que ça soit très souvent douloureux, elle avait retrouvé un certain équilibre. Même si elle n’aurait jamais osé l’avouer elle éprouvait des sentiments pour sa sévère cheffe de service.

Elle avait remarqué que celle-ci n’était pas insensible au charme de sa bonne croupe bien dodue, sa main s’attardait souvent sur ses rondeurs après la fessée et il lui semblait que de toutes les dames soumises à l’humiliante punition, elle était celle qui se faisait déculotter le plus souvent.

Mais aujourd’hui c’était Lucie qui avait décidé de lui faire goûter à sa main sévère. Alice était assez petite et bien en chair ce n’était pas pour lui déplaire, elle était toujours habillée de façon sexy, aujourd’hui sa jupe courte découvrait des cuisses gainées de bas fumés, elle portait des escarpins. Lucie était ravie d’administrer une fessée déculottée à une dame, même si elle aimait transformer Aurore en gamine c’était une autre excitation à venir.

Elle n’avait pas été déçue en retroussant la courte jupe de son amie, ses dessous étaient vraiment ravissants, sa culotte rose en dentelle très échancrée ne masquait rien du magnifique fessier d’un blanc nacré. Les bas étaient retenus par un porte-jarretelles assorti à la culotte.

Lucie pinça légèrement la base des fesses découvertes :

— Il va falloir me muscler ce derrière ma chérie, je n’aime pas les fesses molles.

Alice rougit sous l’affront, c’est vrai qu’elle avait un peu de cellulite, mais elle était quand même fière de son derrière qui attirait souvent l’œil et même la main de ses partenaires. Lucie glissa sa main sous la culotte :

— Ne t’inquiète pas, avec les fessées régulières de maman Lucie, tu vas avoir un fessier en béton.

Elle fit glisser la fine lingerie sur les rondeurs de son amie, elle apprécia que celle-ci ait eu la présence d’esprit de mettre sa culotte par-dessus les jarretelles ce qui autorisait un déculottage complet.

La culotte était maintenant à mi-cuisses, Lucie la fit basculer vers l’avant pour que sa croupe soit vraiment bien exposée :

— Tu es confortablement installée ma chérie, nous en avons pour un moment.

Alice riait nerveusement :

— Oui, ma chérie. Elles te plaisent mes fesses ? Aïe.

La main de Lucie venait de claquer le postérieur joufflu :

— Il n’y a pas de chérie ! Tu m’appelles maman Lucie comme tout le monde. Ton insolence te vaudra une correction supplémentaire. Quant à tes fesses, elles sont effectivement très mignonnes, mais bien trop blanches. Tu vas voir je vais leur donner bonne mine.

Alice commençait à comprendre que si la soirée s’annonçait excitante, elle serait avant tout cuisante. Sa prémonition fut rapidement confirmée, la brûlure qui enflamma immédiatement ses fesses fut intense. Lucie tenait à montrer son autorité, Alice allait recevoir une correction magistrale dont elle se souviendrait longtemps.

Les fessées de madame Dugou et de sa tante étaient sévères, mais celle-là le fut également, elle se mit rapidement à pleurer, son excitation était retombée, malgré sa tenue de dame sexy elle n’était plus qu’une adolescente éplorée gigotant sur les genoux de sa sévère maman. Lucie n’était pas insensible aux charmes de son amie. Depuis que Chloé lui avait fait goûter au plaisir d’une prise par-derrière avec son gode ceinture, et qu’elle avait fait de même avec Aurore, elle était très attirée par les relations saphiques où elle avait un rôle dominant.

Le derrière resplendissant d’Alice s’offrait à ses yeux, il était carmin, deux belles tomates bien mûres, bien joufflue, elle écarta les fesses sans aucune gêne, mettant à jour ce qui allait être au centre de son attention, le petit trou bien serré. Elle humecta son doigt et le posa doucement sur l’anus de son amie :

— Détends-toi ma chérie, maman Lucie va s’occuper de ton petit trou du cul.

Alice avait l’habitude d’être déculottée et de recevoir la fessée, mais ses deux fesseuses, que ça soit madame Dugou ou sa tante ne s’intéressaient pas à son intimité. Elle se contentait de lui claquer sévèrement le derrière et même si de temps en temps elles lui écartaient les fesses, il lui semblait que leur regard était moins sexuel que celui de Lucie. Elle sentit le doigt de sa maîtresse forcer son anus, elle ne put s’empêcher de contracter son derrière brûlant, la sanction fut immédiate.

Lucie s’attendait à cette petite rébellion, en souriant elle prit sa brosse à cheveux :

— Décidément, on dirait que tu cherches la fessée, la première ne t’a pas suffi ?

Le premier coup claqua sur la fesse droite puis immédiatement sur la gauche :

— Aïe, aïe… Non, non pardon maman Lucie.

La brosse continuait son cuisant travail sans se soucier des cris et des gigotements de la dame punie, les escarpins ne restèrent pas longtemps aux pieds d’Alice, sous les battements désespérés de ses jambes, ils volèrent dans la pièce sous le regard amusé de la fesseuse :

— On dirait que ça te cuit le derrière ma chérie, que penses-tu de la brosse à cheveux de maman Lucie ? Ça c’est pour avoir serré les fesses, mais je t’en dois encore une autre. On va finir de cuire tes bonnes grosses fesses et tu iras au coin.



Alice hurlait sous la brûlure, même si elle en avait reçu souvent des très sévères, cette correction resterait dans les annales. Ses deux larges fesses étaient plus qu’écarlates, elles étaient d’un rouge profond avec deux taches plus sombres au milieu, Lucie s’appliquait, aucun endroit de la surface du fessier ne fut oubliée, le haut des cuisses reçut aussi sa dose. Enfin la punition cessa et c’est une dame en pleurs que Lucie conduisit au coin. Sa culotte entortillée autour de ses chevilles l’empêchait de marcher, la sévère maman lui lâcha l’oreille pour la lui faire enjamber, elle posa la fine lingerie sur la table :

— Pour le moment tu n’en auras plus besoin. Pour le reste de la soirée, je veux avoir tes fesses toujours à disposition.

Quand Alice eut posé son nez contre le mur, elle lui épingla la jupe dans le dos. Les épaules de la punie étaient secouées par les sanglots, Lucie claqua une nouvelle fois le large fessier rubicond :

— Cesse de pleurnicher, tu ne vas pas faire toute une histoire pour une fessée déculottée que tu avais bien cherché. Je pense que ton beau gros derrière en a vraiment besoin.

Elle s’installa confortablement dans son canapé, elle souriait en regardant les fesses de son amie se serrer convulsivement, apparemment la fessée avait été cuisante, mademoiselle avait chaud aux fesses. Son téléphone prit de nombreuses photos qu’elle publia sur son compte Twitter :

— Tu sais que ton joli derrière bien rouge a du succès, tout le monde me demande à qui sont ses jolies fesses.

Alice se rencogna un peu plus contre le mur, elle ne tenait vraiment pas à être reconnue dans cette humiliante position. Après un quart d’heure passé au coin, Lucie l’appela :

— Tu vas aller me chercher le martinet, on va régler ton petit problème d’insolence.

Alice fit une petite grimace mais ne protesta pas, son fessier douloureux lui rappelait que Lucie ne tolérait aucune récrimination. Elle revint la tête basse en tenant l’instrument de punition familial à la main.

En voyant son regard dépité, Lucie se mit à rire :

— Eh bien, tu en fais une tête, tu pensais peut-être que j’allais te faire cadeau de ta dernière fessée. Tourne-toi que j’examine ton derrière.

Alice s’exécuta, elle se pencha un peu en espérant que sa maîtresse fasse preuve d’indulgence. La main de Lucie caressa les fesses brûlantes, elle écarta les deux hémisphères et glissa ses doigts entre les cuisses. Elle sourit en constatant l’humidité :

— Ça te plaît que je te cuise le derrière petite coquine. Ne t’inquiète pas, maman Lucie va s’en occuper régulièrement.

Elle poussa la jeune femme vers le fauteuil :

— Mets-toi à genoux et présente bien tes fesses à monsieur martinet.

Alice tendit ses fesses au maximum, elle avait deviné que son amie n’était pas insensible au charme de ses rondeurs callipyges et malgré la cuisson, elle était très excitée par la situation. Mais soudain elle poussa un cri, les lanières venaient de cingler son joufflu, c’est ainsi que sa tante nommait son large derrière. Depuis les dernières vacances elle n’avait pas reçu la fessée avec cet instrument, elle avait oublié que ça cuisait autant, Lucie admirait ce beau fessier qui se tortillait mais restait en place.



 Décidément l’éducation de tatie Ingrid avait fait des merveilles, Alice subissait stoïquement sa punition, enfin c’était le cas pour ses fesses, car pour le reste elle pleurait à chaudes larmes et suppliait Lucie d’arrêter la correction :

— Ça brûle n’est-ce pas ma petite chérie, tu recommenceras à être insolente ?

— Non, non, aïe, aïe, pardon maman Lucie.

— Tes jolies fesses sont ravissantes, ce martinet te fait vraiment un joli petit cul.

Lucie passa sa main sur le derrière écarlate :

— C’est bien chaud, tu es prête pour la suite. Tu ne bouges pas sinon je t’en reflanque une !

Alice serra les fesses sous la menace, sa croupe était d’un rouge éclatant, ronde et bombée par la position et luisante de la fouaillée au martinet.

Lucie s’était absentée quelques instants, elle revint rapidement tenant à la main son god ceinture. Elle quitta sa jupe et sa culotte, ses fesses blanches étaient magnifiques, hélas pour elle, Alice ne pouvait pas en profiter. Lucie installa autour de sa taille son joujou préféré, c’était le troisième derrière qui allait y goûter, elle avait d’abord sodomisé son mari et c’était rapidement devenu une habitude, il n’avait à présent plus droit qu’a ça pour jouir, puis elle avait honoré le joli cul bien rebondi d’Aurore qui maintenant s’habituait à être prise par-derrière par sa maman-maîtresse.

Elle avait devant ses yeux le plantureux derrière d’Alice, elle allait lui faire subir avec plaisir l’humiliation d’une première sodomisation, elle était sûre qu’elle finirait comme ses deux autres soumises à y prendre du plaisir.

Elle écarta les fesses, humecta son doigt et le posa sur la rondelle brune si bien présentées :

— Détends-toi ma chérie, écarte les jambes que je voie bien ton petit trou. Tu vas voir maman Lucie va s’en occuper.

Alice geignait doucement, elle se doutait de ce qui allait lui arriver car Lucie lui avait expliqué le traitement qu’elle faisait subir régulièrement à Christine. Elle avait ajouté en riant « C’est vraiment un plaisir de la prendre par-derrière quand son cul est bien rouge et chaud ». C’était exactement le cas de son derrière actuellement. Elle obéit cependant, écarta ses pieds pour ouvrir sa raie médiane et essaya de se détendre au maximum.

Le doigt de Lucie avait forcé son petit trou et s’enfonçait inexorablement puis tournait lentement pour l’assouplir, c’était une découverte pour la jeune femme, elle se mit à gémir :

— Oh… maman… Non… mais, que fais-tu…

Lucie se mit à rire :

— Ce que je fais ? Tu ne le sens pas ma chérie ? Je vais t’enculer, je prépare ton bon gros derrière de vilaine fille. Tu devrais te détendre un peu plus, sinon je vais reprendre le martinet.

— Non, non maman, pas le martinet… Non… Aïe…

La main de Lucie venait de claquer les fesses tendues tandis qu’elle continuait à faire aller et venir son doigt entre les fesses de sa petite chérie :

— Si tu ne veux pas une autre fessée, tu sais ce qu’il te reste à faire ma petite.

Alice écarta encore un peu plus ses fesses :

— Voilà, voilà…

La sévère maman retira son doigt, claqua deux fois les fesses puis s’approcha, elle posa son god sur la rondelle légèrement dilatée et doucement s’introduisit dans le fondement d’Alice.

Elle y allait doucement, c’était la première sodomisation de son amie, elle était sévère, mais pas cruelle. Alice ahanait doucement, elle ne bougeait pas, le bassin de Lucie était maintenant posé contre les fesses brûlantes d’Alice, elle se mit à effectuer des va-et-vient, jusqu’à que soudain elles explosent toutes les deux unies dans la jouissance.

Lucie était contente, elle s’était livrée à ses deux activités favorites, elle se retira doucement, les fesses d’Alice se serraient convulsivement, elle était un peu honteuse et surprise d’avoir pris du plaisir de cette façon. Sa maîtresse la fit relever et l’attira avec elle sur le canapé :

— Alors ma petite chérie aux fesses rouges, tu as aimé ça ?

Alice avait les joues aussi rouges que ses fesses brûlantes :

— Oui… oui maman Lucie, mais j’ai les fesses en feu.

Lucie se mit à rire :

— Je crois bien qu’il n’y a pas que ton cul qui est en feu ma chérie.

Alice se colla contre elle :

— Tu ne m’as pas manquée…

La sévère maîtresse caressa les fesses brûlantes :

— C’est ce qu’il te faut, tu as vraiment des fesses faites pour ça, ne t’inquiète pas tu vas souvent en recevoir et même au bureau si tu n’es pas sage.





dimanche 4 août 2024

Lucie et Christian 16

Un repas cuisant



 Aurore était toujours allongée sur les cuisses de Lucie, ses fesses nues bien rouges se contractaient convulsivement sur le thermomètre profondément enfoncé en leur centre. De temps en temps sa jeune maîtresse lui tapotait la croupe ou faisait coulisser l’instrument médical, ces deux manœuvres entraînaient immanquablement une excitation de la punie. Malgré la cuisson de ses fesses et sa honte d’être ainsi exposée, son masochisme inconscient avait été mis à jour par Lucie et elle acceptait sans rechigner les sévères punitions que la jeune femme lui imposait.

Lucie appela Christine, les fesses d’Aurore se contractèrent un peu plus, elle avait déjà été fessée devant Christine mais c’était la première fois qu’elle se retrouvait dans cette situation si embarrassante. Elle venait de recevoir une fessée déculottée publique et elle exposait ses fesses avec un thermomètre planté au milieu. La soubrette ne put retenir un léger sourire que Lucie remarqua bien sûr :

— Eh oui, il n’y a pas que toi qui a les fesses rouges, mais fait quand même attention je pourrais encore les réchauffer.

Alice regardait avec envie le fessier rebondi de Christine, aurait-elle le droit de le corriger ? et celui d’Aurore, cette jolie bourgeoise transformée en adolescente punie avec sa culotte aux genoux et ses fesses écarlates.

Lucie profitait de son pouvoir, elle avait mis à nu deux paires de fesses, elle remarqua le regard intéressé de son amie :

— Christine, tu vas aller voir Alice, je pense qu’elle aimerait avoir une petite discussion avec ton derrière.

Le mari soubrette fit une grimace qui eut le don d’amuser les deux dames, Alice en profita :

— Tu n’es pas contente de venir me montrer tes fesses ?

Elle se tourna vers Lucie :

— Cette petite a besoin d’apprendre à accepter ses punitions.

Lucie fut un peu agacée par cette remarque, comme si Alice lui reprochait son manque d’autorité, elle se promit de lui faire regretter cette petite insolence. Christine était tout près d’elle, sa main claqua sèchement le postérieur à sa portée :

— Dépêche-toi d’aller chercher la brosse à cheveux et tu la donnes à Alice !

Christine regrettait déjà sa petite bouderie, au lieu d’une petite claquée à la main, elle allait avoir droit cet instrument qu’elle détestait. Elle était toujours posée sur la commode prête à servir, c’était une large brosse avec un manche noir en ébène, bien lourde et qui brûlait horriblement à chaque coup, elle la tendit à la jeune femme.

Alice soupesa en experte l’objet qui allait meurtrir les jolies fesses de sa victime :

— Ma tante a presque la même, ça va me faire plaisir de l’utiliser, pour une fois que ce n’est pas moi qui suis déculottée.

L’allusion aux fessées que recevait son amie fit sourire Lucie « Ne t’inquiète pas ma chérie ta culotte ne va pas rester longtemps sur tes fesses ».

Pour le moment c’était au tour de son petit chéri de découvrir une nouvelle fesseuse, bien sûr depuis qu’il était soumis à la stricte discipline de Lucie, Christian-Christine avait l’habitude de se retrouver couché en travers des genoux d’une dame avec les fesses à l’air, c’était la quatrième. Rapidement elles avaient défilés dans son cerveau, il y avait eu madame Sylvie, la sévère fessothérapeute, puis Chloé sa jeune assistante à la main tout aussi claquante, bien sûr sa tendre et chère épouse lui rougissait très régulièrement le derrière et puis en dernier, Aurore sa cheffe de service prenait souvent le relais. Aujourd’hui celle-ci n’était pas dans une situation avantageuse, mais le regard sévère d’Alice ne lui disait rien qui vaille, son petit signe du doigt et son sourire pervers était sans équivoque, il s’approcha. Sa nouvelle maîtresse lui saisit la main et en un clin d’œil il se retrouva dans la position traditionnelle d’une gamine désobéissante sur les genoux de sa maman.

Alice ne fessait pas depuis longtemps, mais elle avait rapidement appris, le fessier de Christine en fit les frais. La lourde brosse claquait alternativement les fesses déjà rouges, elles étaient maintenant carmin avec une marque plus foncée au milieu sur la partie la plus charnue. Christine poussait des cris déchirants, elle pleurait abondamment, suppliant la jeune maîtresse d’arrêter la punition. Alice souriait au spectacle de cette soubrette déculottée lui exposant son derrière, elle n’était pas décidée à se priver du plaisir d’administrer cette fessée, après tout quand elle était couchée sur les genoux de sa tante, celle-ci ne s’arrêtait pas à ses premiers pleurs ou à ses supplications, elle appliquait la punition décidée un point c’est tout.



Christine reçut donc une magistrale correction, Lucie était contente, bien sûr c’était un peu injuste pour sa petite chérie, mais elle avait une bonne paire de fesses et elle pouvait recevoir plusieurs sévères fessées à la suite. Elle aurait sans doute un peu de mal à s’asseoir pendant toute la soirée, mais, ce n’était pas bien grave, car son épouse avait prévu qu’elle fasse le service et que le reste du temps elle le passe au coin à exposer son derrière bien rouge.

Alice la fit enfin se relever :

— Alors tu es contente de la fessée de tatie Alice ? Va donc montrer tes jolies fesses à maman Lucie.

Christine, les larmes dégoulinant sur ses joues se dirigea vers sa sévère chérie, celle-ci lui fit un petit signe du doigt :

— Tourne-toi et présente-moi bien tes fesses !

Christine savait ce que ça voulait dire, elle pivota et se pencha en avant pour bien faire ressortir sa croupe. Lucie avait deux paires de fesses à sa disposition, elle caressa doucement le derrière brûlant de Christine puis celui d’Aurore. La cheffe de service contracta ses fesses, Lucie lui administra immédiatement une claque très sèche :

— Qu’est-ce que c’est que ces manières ? Écarte tes cuisses, vite !

Aurore se dépêcha d’obéir, offrant à Alice un très joli panorama sur son intimité, Lucie fit tourner lentement le thermomètre pour accentuer sa confusion :

— C’est parfait, tu n’es pas contente de montrer ton petit derrière ? Pourtant je suis sûr qu’Alice l’apprécie.

Celle-ci approuva en riant :

— Oh que oui, quel beau petit cul. Mais si tu veux mon avis, il est quand même beaucoup moins rouge que celui de Christine.

Lucie la regarda en souriant, Alice allait de toute façon repartir avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes, autant lui faire plaisir et puis un petit complément d’humiliation pour Aurore n’était pas pour lui déplaire. Elle tapota les fesses de sa soumise :

— Tu vas te lever et aller voir Alice, je pense comme elle que tes fesses ne sont pas assez rouges. Tu peux les serrer, je ne veux pas que le thermomètre sorte, sinon je te garantis que tu auras du mal à t’asseoir pendant un moment.

Complètement abasourdie par la sévérité de sa nouvelle maman, Aurore se releva et se dirigea vers la jeune femme, elle baissait la tête, les joues très rouges. Elle put cependant observer la croupe cramoisie de son assistante qui n’avait pas bougé et qui tendait toujours ses fesses nues. Lucie la fit légèrement pivoter :

— Voilà, tu es très bien comme ça, tu ne bouges pas, Alice va pouvoir comparer la couleur de vos petites fesses.

Elle se tourna vers son amie qui avait saisi la main d’Aurore et l’avait positionné pour sa seconde fessée. Celle-ci avait bien serré ses fesses et marché doucement pour maintenir le thermomètre en place, c’était une petite marche de la honte que lui avait imposé Lucie. La jeune maîtresse était contente d’elle, Aurore goûterait au coin avec le thermomètre dans les fesses c’était très excitant.

Alice fit basculer la punie vers l’avant et enfonça un peu plus l’instrument punitif dans le fondement de la jolie bourgeoise qui pour le moment n’en menait pas large. Malgré son caractère soumis, les humiliations successives que lui imposait Lucie était vraiment difficile à supporter.



La jeune femme tapota les fesses d’Aurore :

— Tu n’as pas répondu à ta maman Lucie, tu n’es pas contente de me montrer tes fesses ?

Aurore gémissait doucement, tellement honteuse, une claque sèche atterrit immédiatement sur sa fesse droite suivie d’une autre sur la gauche.

— Aïe, Aïe…

— J’attends ! Je t’ai posé une question !!

Alice prenait de plus en plus de plaisir à son rôle de maîtresse. Aurore se mit à pleurer :

— Pardon mademoiselle… Aïe, aïe, aïe…

La main d’Alice claquait joyeusement le joli fessier :

— Tu ne gagnes qu’une fessée supplémentaire ma petite chérie, alors je répète, tu es contente de me montrer tes fesses ?

— Aïe… oui, oui, mademoiselle…

Aurore était définitivement soumise, elle acceptait tout, même d’avouer qu’elle était contente de présenter son derrière à une jeune femme. Alice cessa de claquer la croupe, mais ses doigts s’insinuèrent entre les cuisses pour les écarter :

— Il faut que tu desserres tes petites fesses maintenant, le thermomètre ne risque plus de bouger.

Elle interrogea Lucie :

— Tu lui donnes souvent la fessée avec le thermomètre dans les fesses ?

Lucie hocha la tête :

— Non, ça va être une première, mais je pense que ça va lui faire le plus grand bien.

Alice s’était penchée pour saisir la lourde brosse à cheveux sur la table, elle caressa la croupe qui s’était maintenant ouverte, dévoilant la raie médiane et la petite rondelle brune garnie du thermomètre, elle regarda son amie :

— On a dit même couleur que pour Christine ?

Lucie se mit à rire :

— Oui, deux jolies paires de fesses, applique-toi, sinon gare !

La menace à peine voilée d’une future correction fit rougir Alice. Les deux punies concentrées sur la brûlure de leurs fesses et leur honte n’y prêtèrent pas attention.

La deuxième fessée d’Aurore pouvait commencer, elle fut sévère comme celle de Christine, la cheffe de service battait des jambes et pleurait comme une gamine fessée par son institutrice, son derrière fut rapidement aussi cramoisi que celui de sa compagne d’infortune, elle poussait des cris déchirants, ses fesses se serraient puis s’ouvraient largement, mais le thermomètre resta bien en place. Elle avoua plus tard à Lucie que malgré la douleur, la sensation de l’instrument bien calé dans son fondement lui avait procuré une sourde excitation pendant que la brosse continuait son cuisant travail.

Une tache plus sombre au centre de chaque fesse prouvait la sévérité de la correction, Alice cessa la fessée, elle posa la brosse sur la table et regarda Lucie :

— Ça te convient ?

La sévère maman souriait :

— C’est parfait, Christine tu peux te relever et aller nous préparer ton cocktail préféré. Aurore va aller finir sa pénitence au coin, à moins que tu préfères la garder sur tes genoux.

Alice frappa dans ses mains :

— Oh oui, bonne idée, elle va rester là, elle est confortablement installée.

Elle tapota à nouveau les fesses de sa punie :

— N’est-ce pas que tu es bien sur les genoux de tatie Alice ?

Aurore avait compris qu’il lui fallait répondre quoi qu’il lui en coûte. D’une petite voix larmoyant, elle acquiesça :

— Oui, mademoiselle, c’est comme vous voulez, je suis bien installée.

Lucie se mit à rire :

— Eh bien c’est parfait, tu vas rester là jusqu’à l’heure du repas, ensuite Alice t’enlèvera le thermomètre et tu pourras venir à table avec nous. Mais tu mangeras cul nu, il faut que ton petit derrière se rappelle de ta fessée.

Quand Christine revint portant le plateau avec les cocktails, elle se retint de sourire au tableau humiliant de sa fesseuse habituelle exhibant sa paire de fesses cramoisie, elle avait retenu la leçon et ne comptait pas donner l’occasion à Lucie de lui reflanquer une fessée.

Les deux amies dégustèrent tranquillement tandis qu’Aurore se morfondait dans cette position désagréable, ses fesses se contractaient de temps en temps sur le thermomètre ou quand distraitement, Alice lui tapotait les fesses :

— Tu es une gentille petite fille, allez calme-toi et relâche-moi un peu ton joli derrière, de toute façon je ne t’enlèverai pas le thermomètre avant le repas.

Enfin la pénitence fut levée par Lucie :

— Je crois que mademoiselle a compris.

Alice la regarda en souriant :

— Comme tu veux, mais je ne veux pas qu’elle ait froid pour dîner.

Elle leva la main et claqua une vingtaine de fois la belle croupe, Aurore ne put retenir ses gémissements et remua à nouveau ses fesses de façon très suggestive. Puis la sévère demoiselle retira lentement l’instrument punitif :

— C’est fini pour le moment, allez relève-toi ma chérie.

Une petite claque sur le derrière rubicond l’avait encouragé à se remettre debout. Les joues écarlates, elle n’osait pas regarder les deux jeunes maîtresses qui venait de la corriger. Lucie lui claqua les fesses qui étaient à sa portée :

— Cesse de faire la tête, tu l’avais bien mérité cette fessée, maintenant c’est fini, tâche de faire bonne figure si tu ne veux pas passer le repas au coin avec les fesses à l’air.

La menace était suffisante, Aurore releva la tête et s’excusa :

— Oui, oui, pardon, maman Lucie.

Sa jeune maîtresse n’avait pas l’intention de cesser de la tourmenter :

— Bien, mais tu vas aller remercier Alice pour la punition qu’elle t’a administrée. Tu sais comment faire.

Aurore rougit encore plus, mais ne protesta pas, elle s’approcha d’Alice, se tourna et se pencha légèrement pour lui tendre sa croupe écarlate :

— Merci tatie Alice pour cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée.



La jeune femme était admirative devant l’autorité et l’imagination de son amie, elle s’y entendait vraiment pour éduquer les dames. Elle tapota les fesses tendues devant ses yeux :

— C’est bien, tu es pardonnée ma chérie, ton derrière est vraiment mignon.

Il était temps de passer à table, les trois dames s’installèrent, la jupe d’Aurore avait été épinglée dans son dos, sa culotte baissée à mi-cuisse, elle posa délicatement son fessier douloureux et ne put retenir une grimace qui mit en joie les deux jeunes femmes.

Le repas se passa sans incident pour Aurore, ce ne fut pas le cas pour Christine qui renversa une goutte de vin sur la nappe, la sanction fut immédiate, Lucie recula sa chaise et sans dire un mot elle montra ses genoux avec son doigt, elle avait volontairement retroussé un peu sa jupe sur ses cuisses gainées de bas noir pour rendre le tableau plus excitant la soubrette savait ce que cela signifiait, elle se coucha docilement sur les genoux de sa maîtresse. La fessée fut rapide et sévère, Christine ne put retenir ses cris et ses larmes, ses fesses étaient encore endolories par les précédentes corrections, Lucie la fit relever :

— Tâche de faire attention, la prochaine fois, c’est le martinet. Tu vas te mettre au coin en attendant, je t’appellerai quand on aura fini.

Une claque ponctua ce discours et en reniflant, la soubrette se dirigea vers le mur où elle appuya son nez et posa ses mains sur sa tête.

À la fin du repas, Christine s’apprêtait à servir le dessert, Lucie l’arrêta :

— Aurore est privée de dessert, enfin de celui-là, j’ai prévu autre chose pour elle, et pour toi aussi ma chérie.

La cheffe de service regarda avec incrédulité sa nouvelle maman, elle pensait en avoir fini avec les punitions, elle aurait pourtant du savoir que quand on était fesses nues chez Lucie, on avait de grandes chances de les avoir rouges rapidement.

Le gâteau était servi pour les deux amies, Lucie désigna le mur :

— Allez vous mettre au coin pendant qu’on déguste ce délicieux dessert et réfléchissez à ce que vous méritez.

Deux fessiers écarlates exposés pour finir le repas c’était parfait, Quand elles eurent terminé, Lucie se leva et alla chercher deux petites boites roses qu’elle posa sur la table, elle adressa un petit sourire énigmatique à son amie :

— C’est le dessert de nos petites chéries.

Elles déplacèrent leurs chaises au milieu de la pièce et Lucie appela les deux punies :

— Mes petites chéries, venez un peu ici, nos genoux vous attendent.

Aurore et Christine se présentèrent devant elles, les joues rouges et la tête basse. Alice était tout excitée, lequel de ces deux fessiers allait lui échoir ?

Lucie prit la parole :

— Christine tu vas voir Alice et Aurore tu viens ici.

Elle désignait ses genoux. Alice aurait bien aimé claquer à nouveau le derrière de la jolie bourgeoise transformée en adolescente, mais corriger celui de Christine était très excitant tout de même. Lucie lui avait réservé une surprise, elle la regarda en souriant :

— Ces deux chipies doivent pouvoir comparer nos mains, tu vas t’occuper de Christine pour commencer et ensuite Aurore viendra sur tes genoux. Il faut qu’elles aient les fesses bien rouges pour le dessert que j’ai prévu.

Elle repositionna correctement sa punie en la faisant basculer légèrement vers l’avant, c’était très humiliant pour Aurore, ses pieds étaient décollés du sol, ses fesses parfaitement exposées. La pauvre avait encore les fesses bien rouges de la sévère fessée à la brosse à cheveux, elle pleurait doucement. Malgré sa soumission naturelle, c’était quand même une soirée très difficile et dont elle se souviendrait longtemps, Christine était plus habituée à ces punitions répétitives. Quand Lucie était énervée et qu’elle rentrait du travail avec les fesses rouges d’une bonne fessée administrée par madame Dugou, il n’était pas rare qu’elle administre plusieurs corrections dans la même soirée à sa petite chérie.

Les deux fesseuses se regardèrent et une double fessée bien sonore se mit à retentir dans le salon, les cris et les pleurs des deux punies se mêlaient aux claquements des mains sur la peau nue des fesses. De temps en temps, Lucie et Alice se regardaient pour s’encourager mutuellement et les gémissements redoublaient.



Les deux croupes avaient repris une couleur pourpre du plus bel effet, il était temps de changer. Aurore et Christine se relevèrent, les larmes coulaient sur leurs joues, la cheffe de service ne pût s’empêcher de protester doucement et de frotter son derrière brûlant :

— Oh non maman Lucie, ça fait trop mal, s’il te plaît plus la fessée.

La sévère maîtresse fronça les sourcils, elle se retint de sourire, Aurore lui donnait encore l’occasion de sévir et puis elle était tellement mignonne en train de se frotter les fesses comme une gamine :

— Qu’est-ce que c’est que ces manières !

Aurore Vigreu n’était plus qu’une adolescente punie par sa maman, la fière jeune femme de quarante ans baissa les yeux en gémissant :

— Pardon maman, ça brûle.

Lucie lui lança un sourire gourmand :

— J’espère bien ma petite chérie, va chercher le martinet, je vais t’apprendre à obéir.

Aurore se mit à pleurer :

— Non, non… Aïe aïe, aïe.

La main de sa sévère maîtresse venait de claquer sèchement ses cuisses :

— Dépêche-toi, si je suis obligée de compter, je te promets que tu auras du mal à t’asseoir pendant un moment. Tu auras droit à la fessée déculottée au martinet matin et soir pendant un mois !

Vaincue, Aurore se dirigea vers la cuisine où le martinet avait été suspendu par Christine après sa correction. Quand elle revint, elle le tendit à Lucie qui immédiatement la fit pivoter et la tenant par la main se mit à lui cingler les mollets et l’arrière des cuisses. La punie sautait sur place en essayant d’éviter la morsure des lanières mais c’était peine perdue, la peau des cuisses et des mollets fut rapidement aussi cramoisie que celle du derrière.

Alice était fascinée par le spectacle et la sévérité de son amie, elle était excitée par la vue de la croupe qui se tortillait mais un peu inquiète pour la suite.

Enfin Lucie cessa la punition :

— Voilà, j’espère que tu vas être sage maintenant, va voir Alice, tes petites fesses n’ont pas reçu le martinet, elle va pouvoir s’en occuper.

Un instant plus tard les deux punies étaient en position en travers des cuisses des fesseuses et le joyeux claquement sur la peau nue avait repris.

Aurore s’égosillait sous cette énième fessée, tout le bas de son corps de la ceinture au mollet n’était que brûlure.

Jugeant la couleur suffisante, Lucie s’arrêta et adressa un sourire gourmand à son amie :

— Voilà deux belles paires de fesses, on va leur donner le dessert.

Elle ouvrit la première boîte et en sorti deux suppositoires rose de belle taille. Alice la regardait avec des yeux ronds :

— C’est pour leurs fesses ?

Lucie se mit à rire :

— Bien sûr, où veux tu qu’on les mette ? C’est des suppos à la fraise et au gingembre, je les achète chez madame Sylvie, la fessothérapeute, elle les fabrique elle-même. Tu vas voir comme nos deux petites chéries vont aimer ça.

Elle écarta avec deux doigts les fesses bien rouges de Christine et posa le suppositoire sur l’anus puis elle le fit pénétrer doucement :

— C’est bien, ma chérie, tu es mignonne.

Elle se tourna vers Alice :

— En général avec un derrière bien rouge ma petite Christine est toujours docile.

Soudain le suppositoire commença à faire son effet et la punie se mit à gigoter et à gémir, Lucie se mit à rire :

— On dirait que ça te brûle ma chérie, et oui tu seras sage la prochaine fois.

Elle tapota les fesses :

— Serres bien les fesses, s’il ressort tu auras droit à un deuxième et à une fessée en prime.

C’était maintenant au tour d’Aurore de subir l’humiliation de l’introduction d’un suppositoire. Alice écarta largement les deux hémisphères écarlates, la jeune femme était désormais soumise, elle se laissa faire en pleurant doucement. Elle avait l’habitude maintenant que Lucie lui impose la honte de l’exposition de ses fesses bien écartées pour lui mettre le thermomètre mais outre que c’était cette petite peste d’Alice qui mettait à jour son petit trou, c’était la première fois qu’on allait lui mettre un suppositoire.

Elle le sentit pénétrer doucement, la dernière fois qu’elle avait dû subir ce traitement, elle devait avoir dix ans et c’était sa mère qui procédait. Elle contracta légèrement les fesses ce qui lui valut un commentaire sarcastique de sa fesseuse :

— Tu peux essayer de serrer les fesses ma chérie, il va rentrer quand même.

Effectivement, lentement le gros suppositoire rose disparut dans le fondement de la pauvre Aurore et comme pour Christine dès qu’il commença à fondre, elle se mit à gémir et tortiller comiquement son joli derrière bien rebondi. Alice avait resserré les fesses, elle se mit à rire également :

— Ton petit cul à l’air d’apprécier ma friandise ma chérie.

Aurore pleurait et battait des pieds, Alice lui claqua le derrière :

— Cesse un peu ces simagrées, tu devrais plutôt remercier ta maman d’avoir pensé à ton dessert. En attendant tu serres bien les fesses si tu n’en veux pas toi aussi un deuxième dans ton petit cul.

Les deux punies ne disaient plus rien mais les contractions de leurs fesses montraient que la brûlure était intense. Lucie prit la deuxième boite et montra ce qu’elle contenait à son amie, deux jolis plugs rose de taille moyenne, elle en prit un entre ses doigts et le tendit à Alice :

— On va leur mettre un petit bouchon, comme ça elles auront le derrière garni pour la soirée et elles profiteront bien de leurs suppos.

Alice battit des mains :

— Ouah, super, tu les as vraiment gâtées.

Elle écarta à nouveau largement la raie fessière, Aurore ne protesta pas, la fessée au martinet avait fini de la dompter, elle gémissait mais se laissait faire. C’était la première fois qu’Alice mettait en place un plug, elle fit ça très bien. Lucie l’avait regardé faire :

— Tu deviens une spécialiste de l’enculage des petits derrières ma chérie. Je vais garnir celui de Christine et elles retourneront au coin pour méditer sur les risques de la désobéissance.



Le programme fut appliqué à la lettre, deux paires de fesses écarlates ornaient désormais le mur du salon avec en leur centre la rondelle rose du plug.

Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après...