Un repas cuisant
Aurore était toujours allongée sur les cuisses de Lucie, ses fesses nues bien rouges se contractaient convulsivement sur le thermomètre profondément enfoncé en leur centre. De temps en temps sa jeune maîtresse lui tapotait la croupe ou faisait coulisser l’instrument médical, ces deux manœuvres entraînaient immanquablement une excitation de la punie. Malgré la cuisson de ses fesses et sa honte d’être ainsi exposée, son masochisme inconscient avait été mis à jour par Lucie et elle acceptait sans rechigner les sévères punitions que la jeune femme lui imposait.
Lucie appela Christine, les fesses d’Aurore se contractèrent un peu plus, elle avait déjà été fessée devant Christine mais c’était la première fois qu’elle se retrouvait dans cette situation si embarrassante. Elle venait de recevoir une fessée déculottée publique et elle exposait ses fesses avec un thermomètre planté au milieu. La soubrette ne put retenir un léger sourire que Lucie remarqua bien sûr :
— Eh oui, il n’y a pas que toi qui a les fesses rouges, mais fait quand même attention je pourrais encore les réchauffer.
Alice regardait avec envie le fessier rebondi de Christine, aurait-elle le droit de le corriger ? et celui d’Aurore, cette jolie bourgeoise transformée en adolescente punie avec sa culotte aux genoux et ses fesses écarlates.
Lucie profitait de son pouvoir, elle avait mis à nu deux paires de fesses, elle remarqua le regard intéressé de son amie :
— Christine, tu vas aller voir Alice, je pense qu’elle aimerait avoir une petite discussion avec ton derrière.
Le mari soubrette fit une grimace qui eut le don d’amuser les deux dames, Alice en profita :
— Tu n’es pas contente de venir me montrer tes fesses ?
Elle se tourna vers Lucie :
— Cette petite a besoin d’apprendre à accepter ses punitions.
Lucie fut un peu agacée par cette remarque, comme si Alice lui reprochait son manque d’autorité, elle se promit de lui faire regretter cette petite insolence. Christine était tout près d’elle, sa main claqua sèchement le postérieur à sa portée :
— Dépêche-toi d’aller chercher la brosse à cheveux et tu la donnes à Alice !
Christine regrettait déjà sa petite bouderie, au lieu d’une petite claquée à la main, elle allait avoir droit cet instrument qu’elle détestait. Elle était toujours posée sur la commode prête à servir, c’était une large brosse avec un manche noir en ébène, bien lourde et qui brûlait horriblement à chaque coup, elle la tendit à la jeune femme.
Alice soupesa en experte l’objet qui allait meurtrir les jolies fesses de sa victime :
— Ma tante a presque la même, ça va me faire plaisir de l’utiliser, pour une fois que ce n’est pas moi qui suis déculottée.
L’allusion aux fessées que recevait son amie fit sourire Lucie « Ne t’inquiète pas ma chérie ta culotte ne va pas rester longtemps sur tes fesses ».
Pour le moment c’était au tour de son petit chéri de découvrir une nouvelle fesseuse, bien sûr depuis qu’il était soumis à la stricte discipline de Lucie, Christian-Christine avait l’habitude de se retrouver couché en travers des genoux d’une dame avec les fesses à l’air, c’était la quatrième. Rapidement elles avaient défilés dans son cerveau, il y avait eu madame Sylvie, la sévère fessothérapeute, puis Chloé sa jeune assistante à la main tout aussi claquante, bien sûr sa tendre et chère épouse lui rougissait très régulièrement le derrière et puis en dernier, Aurore sa cheffe de service prenait souvent le relais. Aujourd’hui celle-ci n’était pas dans une situation avantageuse, mais le regard sévère d’Alice ne lui disait rien qui vaille, son petit signe du doigt et son sourire pervers était sans équivoque, il s’approcha. Sa nouvelle maîtresse lui saisit la main et en un clin d’œil il se retrouva dans la position traditionnelle d’une gamine désobéissante sur les genoux de sa maman.
Alice ne fessait pas depuis longtemps, mais elle avait rapidement appris, le fessier de Christine en fit les frais. La lourde brosse claquait alternativement les fesses déjà rouges, elles étaient maintenant carmin avec une marque plus foncée au milieu sur la partie la plus charnue. Christine poussait des cris déchirants, elle pleurait abondamment, suppliant la jeune maîtresse d’arrêter la punition. Alice souriait au spectacle de cette soubrette déculottée lui exposant son derrière, elle n’était pas décidée à se priver du plaisir d’administrer cette fessée, après tout quand elle était couchée sur les genoux de sa tante, celle-ci ne s’arrêtait pas à ses premiers pleurs ou à ses supplications, elle appliquait la punition décidée un point c’est tout.
Christine reçut donc une magistrale correction, Lucie était contente, bien sûr c’était un peu injuste pour sa petite chérie, mais elle avait une bonne paire de fesses et elle pouvait recevoir plusieurs sévères fessées à la suite. Elle aurait sans doute un peu de mal à s’asseoir pendant toute la soirée, mais, ce n’était pas bien grave, car son épouse avait prévu qu’elle fasse le service et que le reste du temps elle le passe au coin à exposer son derrière bien rouge.
Alice la fit enfin se relever :
— Alors tu es contente de la fessée de tatie Alice ? Va donc montrer tes jolies fesses à maman Lucie.
Christine, les larmes dégoulinant sur ses joues se dirigea vers sa sévère chérie, celle-ci lui fit un petit signe du doigt :
— Tourne-toi et présente-moi bien tes fesses !
Christine savait ce que ça voulait dire, elle pivota et se pencha en avant pour bien faire ressortir sa croupe. Lucie avait deux paires de fesses à sa disposition, elle caressa doucement le derrière brûlant de Christine puis celui d’Aurore. La cheffe de service contracta ses fesses, Lucie lui administra immédiatement une claque très sèche :
— Qu’est-ce que c’est que ces manières ? Écarte tes cuisses, vite !
Aurore se dépêcha d’obéir, offrant à Alice un très joli panorama sur son intimité, Lucie fit tourner lentement le thermomètre pour accentuer sa confusion :
— C’est parfait, tu n’es pas contente de montrer ton petit derrière ? Pourtant je suis sûr qu’Alice l’apprécie.
Celle-ci approuva en riant :
— Oh que oui, quel beau petit cul. Mais si tu veux mon avis, il est quand même beaucoup moins rouge que celui de Christine.
Lucie la regarda en souriant, Alice allait de toute façon repartir avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes, autant lui faire plaisir et puis un petit complément d’humiliation pour Aurore n’était pas pour lui déplaire. Elle tapota les fesses de sa soumise :
— Tu vas te lever et aller voir Alice, je pense comme elle que tes fesses ne sont pas assez rouges. Tu peux les serrer, je ne veux pas que le thermomètre sorte, sinon je te garantis que tu auras du mal à t’asseoir pendant un moment.
Complètement abasourdie par la sévérité de sa nouvelle maman, Aurore se releva et se dirigea vers la jeune femme, elle baissait la tête, les joues très rouges. Elle put cependant observer la croupe cramoisie de son assistante qui n’avait pas bougé et qui tendait toujours ses fesses nues. Lucie la fit légèrement pivoter :
— Voilà, tu es très bien comme ça, tu ne bouges pas, Alice va pouvoir comparer la couleur de vos petites fesses.
Elle se tourna vers son amie qui avait saisi la main d’Aurore et l’avait positionné pour sa seconde fessée. Celle-ci avait bien serré ses fesses et marché doucement pour maintenir le thermomètre en place, c’était une petite marche de la honte que lui avait imposé Lucie. La jeune maîtresse était contente d’elle, Aurore goûterait au coin avec le thermomètre dans les fesses c’était très excitant.
Alice fit basculer la punie vers l’avant et enfonça un peu plus l’instrument punitif dans le fondement de la jolie bourgeoise qui pour le moment n’en menait pas large. Malgré son caractère soumis, les humiliations successives que lui imposait Lucie était vraiment difficile à supporter.
La jeune femme tapota les fesses d’Aurore :
— Tu n’as pas répondu à ta maman Lucie, tu n’es pas contente de me montrer tes fesses ?
Aurore gémissait doucement, tellement honteuse, une claque sèche atterrit immédiatement sur sa fesse droite suivie d’une autre sur la gauche.
— Aïe, Aïe…
— J’attends ! Je t’ai posé une question !!
Alice prenait de plus en plus de plaisir à son rôle de maîtresse. Aurore se mit à pleurer :
— Pardon mademoiselle… Aïe, aïe, aïe…
La main d’Alice claquait joyeusement le joli fessier :
— Tu ne gagnes qu’une fessée supplémentaire ma petite chérie, alors je répète, tu es contente de me montrer tes fesses ?
— Aïe… oui, oui, mademoiselle…
Aurore était définitivement soumise, elle acceptait tout, même d’avouer qu’elle était contente de présenter son derrière à une jeune femme. Alice cessa de claquer la croupe, mais ses doigts s’insinuèrent entre les cuisses pour les écarter :
— Il faut que tu desserres tes petites fesses maintenant, le thermomètre ne risque plus de bouger.
Elle interrogea Lucie :
— Tu lui donnes souvent la fessée avec le thermomètre dans les fesses ?
Lucie hocha la tête :
— Non, ça va être une première, mais je pense que ça va lui faire le plus grand bien.
Alice s’était penchée pour saisir la lourde brosse à cheveux sur la table, elle caressa la croupe qui s’était maintenant ouverte, dévoilant la raie médiane et la petite rondelle brune garnie du thermomètre, elle regarda son amie :
— On a dit même couleur que pour Christine ?
Lucie se mit à rire :
— Oui, deux jolies paires de fesses, applique-toi, sinon gare !
La menace à peine voilée d’une future correction fit rougir Alice. Les deux punies concentrées sur la brûlure de leurs fesses et leur honte n’y prêtèrent pas attention.
La deuxième fessée d’Aurore pouvait commencer, elle fut sévère comme celle de Christine, la cheffe de service battait des jambes et pleurait comme une gamine fessée par son institutrice, son derrière fut rapidement aussi cramoisi que celui de sa compagne d’infortune, elle poussait des cris déchirants, ses fesses se serraient puis s’ouvraient largement, mais le thermomètre resta bien en place. Elle avoua plus tard à Lucie que malgré la douleur, la sensation de l’instrument bien calé dans son fondement lui avait procuré une sourde excitation pendant que la brosse continuait son cuisant travail.
Une tache plus sombre au centre de chaque fesse prouvait la sévérité de la correction, Alice cessa la fessée, elle posa la brosse sur la table et regarda Lucie :
— Ça te convient ?
La sévère maman souriait :
— C’est parfait, Christine tu peux te relever et aller nous préparer ton cocktail préféré. Aurore va aller finir sa pénitence au coin, à moins que tu préfères la garder sur tes genoux.
Alice frappa dans ses mains :
— Oh oui, bonne idée, elle va rester là, elle est confortablement installée.
Elle tapota à nouveau les fesses de sa punie :
— N’est-ce pas que tu es bien sur les genoux de tatie Alice ?
Aurore avait compris qu’il lui fallait répondre quoi qu’il lui en coûte. D’une petite voix larmoyant, elle acquiesça :
— Oui, mademoiselle, c’est comme vous voulez, je suis bien installée.
Lucie se mit à rire :
— Eh bien c’est parfait, tu vas rester là jusqu’à l’heure du repas, ensuite Alice t’enlèvera le thermomètre et tu pourras venir à table avec nous. Mais tu mangeras cul nu, il faut que ton petit derrière se rappelle de ta fessée.
Quand Christine revint portant le plateau avec les cocktails, elle se retint de sourire au tableau humiliant de sa fesseuse habituelle exhibant sa paire de fesses cramoisie, elle avait retenu la leçon et ne comptait pas donner l’occasion à Lucie de lui reflanquer une fessée.
Les deux amies dégustèrent tranquillement tandis qu’Aurore se morfondait dans cette position désagréable, ses fesses se contractaient de temps en temps sur le thermomètre ou quand distraitement, Alice lui tapotait les fesses :
— Tu es une gentille petite fille, allez calme-toi et relâche-moi un peu ton joli derrière, de toute façon je ne t’enlèverai pas le thermomètre avant le repas.
Enfin la pénitence fut levée par Lucie :
— Je crois que mademoiselle a compris.
Alice la regarda en souriant :
— Comme tu veux, mais je ne veux pas qu’elle ait froid pour dîner.
Elle leva la main et claqua une vingtaine de fois la belle croupe, Aurore ne put retenir ses gémissements et remua à nouveau ses fesses de façon très suggestive. Puis la sévère demoiselle retira lentement l’instrument punitif :
— C’est fini pour le moment, allez relève-toi ma chérie.
Une petite claque sur le derrière rubicond l’avait encouragé à se remettre debout. Les joues écarlates, elle n’osait pas regarder les deux jeunes maîtresses qui venait de la corriger. Lucie lui claqua les fesses qui étaient à sa portée :
— Cesse de faire la tête, tu l’avais bien mérité cette fessée, maintenant c’est fini, tâche de faire bonne figure si tu ne veux pas passer le repas au coin avec les fesses à l’air.
La menace était suffisante, Aurore releva la tête et s’excusa :
— Oui, oui, pardon, maman Lucie.
Sa jeune maîtresse n’avait pas l’intention de cesser de la tourmenter :
— Bien, mais tu vas aller remercier Alice pour la punition qu’elle t’a administrée. Tu sais comment faire.
Aurore rougit encore plus, mais ne protesta pas, elle s’approcha d’Alice, se tourna et se pencha légèrement pour lui tendre sa croupe écarlate :
— Merci tatie Alice pour cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée.
La jeune femme était admirative devant l’autorité et l’imagination de son amie, elle s’y entendait vraiment pour éduquer les dames. Elle tapota les fesses tendues devant ses yeux :
— C’est bien, tu es pardonnée ma chérie, ton derrière est vraiment mignon.
Il était temps de passer à table, les trois dames s’installèrent, la jupe d’Aurore avait été épinglée dans son dos, sa culotte baissée à mi-cuisse, elle posa délicatement son fessier douloureux et ne put retenir une grimace qui mit en joie les deux jeunes femmes.
Le repas se passa sans incident pour Aurore, ce ne fut pas le cas pour Christine qui renversa une goutte de vin sur la nappe, la sanction fut immédiate, Lucie recula sa chaise et sans dire un mot elle montra ses genoux avec son doigt, elle avait volontairement retroussé un peu sa jupe sur ses cuisses gainées de bas noir pour rendre le tableau plus excitant la soubrette savait ce que cela signifiait, elle se coucha docilement sur les genoux de sa maîtresse. La fessée fut rapide et sévère, Christine ne put retenir ses cris et ses larmes, ses fesses étaient encore endolories par les précédentes corrections, Lucie la fit relever :
— Tâche de faire attention, la prochaine fois, c’est le martinet. Tu vas te mettre au coin en attendant, je t’appellerai quand on aura fini.
Une claque ponctua ce discours et en reniflant, la soubrette se dirigea vers le mur où elle appuya son nez et posa ses mains sur sa tête.
À la fin du repas, Christine s’apprêtait à servir le dessert, Lucie l’arrêta :
— Aurore est privée de dessert, enfin de celui-là, j’ai prévu autre chose pour elle, et pour toi aussi ma chérie.
La cheffe de service regarda avec incrédulité sa nouvelle maman, elle pensait en avoir fini avec les punitions, elle aurait pourtant du savoir que quand on était fesses nues chez Lucie, on avait de grandes chances de les avoir rouges rapidement.
Le gâteau était servi pour les deux amies, Lucie désigna le mur :
— Allez vous mettre au coin pendant qu’on déguste ce délicieux dessert et réfléchissez à ce que vous méritez.
Deux fessiers écarlates exposés pour finir le repas c’était parfait, Quand elles eurent terminé, Lucie se leva et alla chercher deux petites boites roses qu’elle posa sur la table, elle adressa un petit sourire énigmatique à son amie :
— C’est le dessert de nos petites chéries.
Elles déplacèrent leurs chaises au milieu de la pièce et Lucie appela les deux punies :
— Mes petites chéries, venez un peu ici, nos genoux vous attendent.
Aurore et Christine se présentèrent devant elles, les joues rouges et la tête basse. Alice était tout excitée, lequel de ces deux fessiers allait lui échoir ?
Lucie prit la parole :
— Christine tu vas voir Alice et Aurore tu viens ici.
Elle désignait ses genoux. Alice aurait bien aimé claquer à nouveau le derrière de la jolie bourgeoise transformée en adolescente, mais corriger celui de Christine était très excitant tout de même. Lucie lui avait réservé une surprise, elle la regarda en souriant :
— Ces deux chipies doivent pouvoir comparer nos mains, tu vas t’occuper de Christine pour commencer et ensuite Aurore viendra sur tes genoux. Il faut qu’elles aient les fesses bien rouges pour le dessert que j’ai prévu.
Elle repositionna correctement sa punie en la faisant basculer légèrement vers l’avant, c’était très humiliant pour Aurore, ses pieds étaient décollés du sol, ses fesses parfaitement exposées. La pauvre avait encore les fesses bien rouges de la sévère fessée à la brosse à cheveux, elle pleurait doucement. Malgré sa soumission naturelle, c’était quand même une soirée très difficile et dont elle se souviendrait longtemps, Christine était plus habituée à ces punitions répétitives. Quand Lucie était énervée et qu’elle rentrait du travail avec les fesses rouges d’une bonne fessée administrée par madame Dugou, il n’était pas rare qu’elle administre plusieurs corrections dans la même soirée à sa petite chérie.
Les deux fesseuses se regardèrent et une double fessée bien sonore se mit à retentir dans le salon, les cris et les pleurs des deux punies se mêlaient aux claquements des mains sur la peau nue des fesses. De temps en temps, Lucie et Alice se regardaient pour s’encourager mutuellement et les gémissements redoublaient.
Les deux croupes avaient repris une couleur pourpre du plus bel effet, il était temps de changer. Aurore et Christine se relevèrent, les larmes coulaient sur leurs joues, la cheffe de service ne pût s’empêcher de protester doucement et de frotter son derrière brûlant :
— Oh non maman Lucie, ça fait trop mal, s’il te plaît plus la fessée.
La sévère maîtresse fronça les sourcils, elle se retint de sourire, Aurore lui donnait encore l’occasion de sévir et puis elle était tellement mignonne en train de se frotter les fesses comme une gamine :
— Qu’est-ce que c’est que ces manières !
Aurore Vigreu n’était plus qu’une adolescente punie par sa maman, la fière jeune femme de quarante ans baissa les yeux en gémissant :
— Pardon maman, ça brûle.
Lucie lui lança un sourire gourmand :
— J’espère bien ma petite chérie, va chercher le martinet, je vais t’apprendre à obéir.
Aurore se mit à pleurer :
— Non, non… Aïe aïe, aïe.
La main de sa sévère maîtresse venait de claquer sèchement ses cuisses :
— Dépêche-toi, si je suis obligée de compter, je te promets que tu auras du mal à t’asseoir pendant un moment. Tu auras droit à la fessée déculottée au martinet matin et soir pendant un mois !
Vaincue, Aurore se dirigea vers la cuisine où le martinet avait été suspendu par Christine après sa correction. Quand elle revint, elle le tendit à Lucie qui immédiatement la fit pivoter et la tenant par la main se mit à lui cingler les mollets et l’arrière des cuisses. La punie sautait sur place en essayant d’éviter la morsure des lanières mais c’était peine perdue, la peau des cuisses et des mollets fut rapidement aussi cramoisie que celle du derrière.
Alice était fascinée par le spectacle et la sévérité de son amie, elle était excitée par la vue de la croupe qui se tortillait mais un peu inquiète pour la suite.
Enfin Lucie cessa la punition :
— Voilà, j’espère que tu vas être sage maintenant, va voir Alice, tes petites fesses n’ont pas reçu le martinet, elle va pouvoir s’en occuper.
Un instant plus tard les deux punies étaient en position en travers des cuisses des fesseuses et le joyeux claquement sur la peau nue avait repris.
Aurore s’égosillait sous cette énième fessée, tout le bas de son corps de la ceinture au mollet n’était que brûlure.
Jugeant la couleur suffisante, Lucie s’arrêta et adressa un sourire gourmand à son amie :
— Voilà deux belles paires de fesses, on va leur donner le dessert.
Elle ouvrit la première boîte et en sorti deux suppositoires rose de belle taille. Alice la regardait avec des yeux ronds :
— C’est pour leurs fesses ?
Lucie se mit à rire :
— Bien sûr, où veux tu qu’on les mette ? C’est des suppos à la fraise et au gingembre, je les achète chez madame Sylvie, la fessothérapeute, elle les fabrique elle-même. Tu vas voir comme nos deux petites chéries vont aimer ça.
Elle écarta avec deux doigts les fesses bien rouges de Christine et posa le suppositoire sur l’anus puis elle le fit pénétrer doucement :
— C’est bien, ma chérie, tu es mignonne.
Elle se tourna vers Alice :
— En général avec un derrière bien rouge ma petite Christine est toujours docile.
Soudain le suppositoire commença à faire son effet et la punie se mit à gigoter et à gémir, Lucie se mit à rire :
— On dirait que ça te brûle ma chérie, et oui tu seras sage la prochaine fois.
Elle tapota les fesses :
— Serres bien les fesses, s’il ressort tu auras droit à un deuxième et à une fessée en prime.
C’était maintenant au tour d’Aurore de subir l’humiliation de l’introduction d’un suppositoire. Alice écarta largement les deux hémisphères écarlates, la jeune femme était désormais soumise, elle se laissa faire en pleurant doucement. Elle avait l’habitude maintenant que Lucie lui impose la honte de l’exposition de ses fesses bien écartées pour lui mettre le thermomètre mais outre que c’était cette petite peste d’Alice qui mettait à jour son petit trou, c’était la première fois qu’on allait lui mettre un suppositoire.
Elle le sentit pénétrer doucement, la dernière fois qu’elle avait dû subir ce traitement, elle devait avoir dix ans et c’était sa mère qui procédait. Elle contracta légèrement les fesses ce qui lui valut un commentaire sarcastique de sa fesseuse :
— Tu peux essayer de serrer les fesses ma chérie, il va rentrer quand même.
Effectivement, lentement le gros suppositoire rose disparut dans le fondement de la pauvre Aurore et comme pour Christine dès qu’il commença à fondre, elle se mit à gémir et tortiller comiquement son joli derrière bien rebondi. Alice avait resserré les fesses, elle se mit à rire également :
— Ton petit cul à l’air d’apprécier ma friandise ma chérie.
Aurore pleurait et battait des pieds, Alice lui claqua le derrière :
— Cesse un peu ces simagrées, tu devrais plutôt remercier ta maman d’avoir pensé à ton dessert. En attendant tu serres bien les fesses si tu n’en veux pas toi aussi un deuxième dans ton petit cul.
Les deux punies ne disaient plus rien mais les contractions de leurs fesses montraient que la brûlure était intense. Lucie prit la deuxième boite et montra ce qu’elle contenait à son amie, deux jolis plugs rose de taille moyenne, elle en prit un entre ses doigts et le tendit à Alice :
— On va leur mettre un petit bouchon, comme ça elles auront le derrière garni pour la soirée et elles profiteront bien de leurs suppos.
Alice battit des mains :
— Ouah, super, tu les as vraiment gâtées.
Elle écarta à nouveau largement la raie fessière, Aurore ne protesta pas, la fessée au martinet avait fini de la dompter, elle gémissait mais se laissait faire. C’était la première fois qu’Alice mettait en place un plug, elle fit ça très bien. Lucie l’avait regardé faire :
— Tu deviens une spécialiste de l’enculage des petits derrières ma chérie. Je vais garnir celui de Christine et elles retourneront au coin pour méditer sur les risques de la désobéissance.
Le programme fut appliqué à la lettre, deux paires de fesses écarlates ornaient désormais le mur du salon avec en leur centre la rondelle rose du plug.