Double punition
Clémence s’était couchée rapidement sans parler à sa copine, celle-ci ne se doutait pas qu’une nouvelle punition très humiliante lui pendait au nez ou plutôt se rapprochait dangereusement de ses fesses. La jeune étudiante avait fait un compte rapide des punitions reçues, Clara avait reçu quatre fessées déculottées en comptant celle de ce soir, le nombre était le même pour elle-même, si tant est qu’Odile décompte la rapide claquée qu’elle lui avait administré ce soir.
Elle avait eu un peu de mal à s’endormir, elle revoyait le thermomètre pénétrer doucement entre les fesses d’Amélie.
Son réveil sonna tôt, elle se doutait que même le dimanche, leur sévère maman serait là de bonne heure.
Elle ne se trompait pas, à 8 h précise, Odile entra dans l’appartement. Clémence déjeunait, Clara n’était pas levée.
— Clara n’est pas là ?
Clémence fit une petite moue signifiant qu’elle ne savait pas ce que faisait sa copine, Odile se dirigea vers la chambre, juste au moment où elle allait entrer, Clara apparu. Odile lui adressa un petit sourire :
— Tu te lèves seulement ?
Clara rougit et bafouilla un peu :
— Euh oui, madame, je suis un peu fatiguée.
Odile lui claqua les fesses par-dessus le pyjama :
— Évidemment, à l’heure où tu es rentrée, ce n’est pas étonnant !
Elle regarda avec un air gourmand le derrière de la jeune femme :
— Tourne-toi un peu et montre-moi tes fesses !
Clara rougit et hésita :
— Euh, mais pourquoi madame ?
— Tu te déculottes et tu ne poses pas de question, à moins que tu ne veuilles faire un petit tour sur mes genoux dès le matin.
Désemparée, Clara glissa ses doigts dans la ceinture de son pyjama et entrepris de le baisser. Dès qu’elle eut les fesses à l’air, la sévère maman la fit pivoter et la coinça sous son bras. Les magnifiques fesses encore rosées de sa copine étaient tendues vers Clémence celle-ci ressentit immédiatement une excitation entre ses cuisses. Odile était dans le même état d’esprit, elle était sévère mais également très attirée par les postérieurs féminins et malheureusement pour Clara sa croupe lui plaisait vraiment. Elle avait ressenti une pulsion érotique en la voyant sortir de sa chambre et puis c’était tellement charmant de voir une jeune femme baisser sa culotte, elle souriait en caressant les fesses de la jeune femme :
— Alors ma petite Clara tu as bien dormi avec les fesses rouges ? Elles sont en parfait état, si tu n’es pas sage, je pourrai recommencer.
Elle força la jeune femme à écarter les cuisses et glissa ses doigts jusqu’à la fente humide, c’était particulièrement humiliant mais Clara n’osait rien dire, ses fesses étaient vraiment trop près de la main d’Odile.
— Comme je vous l’ai dit hier, je ne tolère pas la négligence sur votre hygiène intime. Vos culottes n’étaient vraiment pas nettes hier soir, j’ai donc décidé ce matin de contrôler votre toilette.
Elle tenait toujours Clara coincée sous son bras les fesses nues tendues vers elle. Elle regarda Clémence qui avait rougi à cette annonce :
— Oui ça te concerne aussi ma chérie, tu vas faire comme ta copine. Tu viens ici et tu te déculottes !
La jeune femme ouvrit la bouche pour protester mais rien ne sortit, le regard sévère de sa nouvelle maman l’incitait à la prudence. Elle se leva et se tourna puis comme Clara quelques instants auparavant, elle baissa sa culotte de pyjama. Odile avait relâché celle-ci et elle fit subir le même examen à son amie. Clémence coincée sous son bras, les fesses bien exposées sentit les doigts d’Odile explorer son intimité :
— Parfait, vous allez toutes les deux dans la salle de bain, et cul nu. Je vais vous apprendre à vous laver.
Totalement humiliées par cette nouvelle atteinte à leur dignité de jeune femme, les deux étudiantes se dirigèrent vers la salle de bain, elles n’avaient pas osé remonter leurs culottes. Odile put donc se régaler de ces deux adorables fessiers juvéniles qui se tortillaient en s’éloignant à petit pas.
Elle les laissa mijoter deux minutes, elle se doutait du désarroi qui devait les gagner. Dans la salle de bain les deux amies ne savaient pas quoi faire, Odile avait précisé cul nu, fallait-il retirer complètement leur pyjama. Clara entrepris de le retirer mais Clémence hésitait encore quand la sévère maman entra :
— J’ai dit cul nu ma petite Clémence, je te garantis que si c’est moi qui enlève ton pyjama tes fesses vont chauffer !
Clémence se dépêcha d’imiter sa copine et bientôt Odile eut devant elle, deux jeunes femmes nues des pieds à la ceinture. Elle s’approcha de Clémence et la fit pivoter :
— Tu te penches et tu écartes les jambes, vite !
Une claque bien appliquée au milieu des fesses avait accompagné ses paroles. Clémence poussa un petit cri et prit immédiatement la position.
Odile avait saisi un gant de toilette, elle le passa sous l’eau puis coinça la jeune femme sous son bras comme pour lui donner la fessée. Sa main experte entreprit de passer le gant entre les cuisses et les fesses. S’en était trop pour Clémence, elle ne put s’empêcher de serrer les jambes. Odile semblait n’attendre que ça, elle retira le gant, et força Clémence à se pencher un peu plus vers l’avant et une avalanche de claques se mit dégringoler sur la croupe tendue. Désemparée la jeune femme se mit immédiatement à pleurer, elle trépignait sur place pendant que son derrière reprenait la couleur préférée de sa sévère maman, un beau rouge éclatant :
— Ah ça ma petite, il va falloir que tu apprennes à te laisser faire quand maman Odile s’occupe de toi. Je sais qu’à ton âge, ce n’est pas très agréable de se faire laver les fesses comme si tu avais cinq ans mais c’est moi qui décide et la prochaine fois tu t’arrangeras pour que ta culotte soit propre.
Clara regardait sa copine recevoir cette magistrale déculottée, décidément elle avait encore des progrès à faire question docilité, quand on est cul nu face à une maman sévère il vaut mieux se laisser faire.
Odile avait terminé la fessée, elle saisit la savonnette :
— Ouvre la bouche !
Elle glissa la savonnette entre les dents de sa grande fille :
— Serre les dents, si jamais elle tombe, je te promets que tu ne pourras pas t’asseoir de la journée. Oui je sais c’est mauvais, mais c’est comme ça que je calme les récalcitrantes !
Elle reprit le gant et continua le nettoyage de l’intimité de Clémence, celle-ci sanglotait, mais elle se laissait faire, son fessier était écarlate. La sévère maman la relâcha et s’assit sur un tabouret puis elle la fit basculer sans ménagement en travers de ses genoux, la pauvre tenait toujours la savonnette entre ses dents, malgré le mauvais goût elle faisait son possible pour l’empêcher de tomber, elle savait que les menaces d’Odile étaient à prendre au sérieux.
— Je vais te sécher le derrière à ma façon ma petite chérie.
La main se remit à claquer la belle paire de fesses, la peau sécha rapidement sous l’effet de la chaleur de la fessée.
Enfin Odile la fit se relever et lui retira la savonnette :
— Tu peux te rincer la bouche, ensuit tu te mets au coin le nez contre le mur et les mains sur la tête pendant que je m’occupe du petit derrière de Clara.
Clémence en larmes, s’exécuta sans un mot.
Clara instruite par la correction reçue par son amie se laissa faire malgré la honte ressentie d’être traitée comme une fillette. Elle n’échappa pas cependant au séchage spécial de maman Odile et c’est avec une paire de fesses bien rouge qu’elle regagna le salon, suivie par Clémence.
Une autre catastrophe les attendaient, Odile les regarda en souriant, elles étaient charmantes les fesses à l’air, les joues du haut aussi rouges que celle du bas :
— Mes petites chéries j’ai déjà été obligée de vous corriger quatre fois cette semaine, c’est beaucoup trop, vous allez donc faire connaissance avec monsieur thermomètre, je vous attends à 14 heure chez moi.
Puis sans un mot de plus, elle laissa les deux jeunes étudiantes. Clara se tourna vers son amie :
— Qu’est-ce-que c’est encore que ça ?
Clémence s’y attendait, elle était catastrophée, elle expliqua brièvement à Clara en quoi consistait la punition qui les attendaient.
Clara ouvrait de grands yeux, c’était encore une nouveauté, avec sa mère elle était habituée à des traitements pervers et humiliant, mais il ne lui était pas encore venu cette idée, elle frissonna un peu en y pensant. Puis elle regarda son amie nue comme elle de la taille aux pieds, elle était vraiment craquante, elle lui prit la main et l’entraîna dans sa chambre :
— Puisqu’on ne peut rien faire pour y échapper, amusons-nous en attendant.
Elle lui avait claqué la croupe en riant, Clémence essaya d’oublier ce qui l’attendait et suivi sa copine, ses deux fesses bien rouges se tortillaient de façon suggestive. Quelques instants plus tard elles étaient sur le lit, tête bêche et elle se léchait mutuellement, la cuisson de leurs derrières était déjà oubliée.
Malheureusement l’heure de traverser le palier pour sonner chez Odile arriva rapidement, celle-ci les accueillit avec un petit sourire :
— Ah voilà nos deux chipies, venez par là.
En entrant dans le salon elles eurent la surprise de voir Amélie assise sur un des canapés, elle arborait un large sourire. Odile prit immédiatement les choses en main :
— Comme vous devez être punie toutes les deux, Amélie va m’aider.
Les deux jeunes femmes pâlirent et se regardèrent complètement affolées, elles étaient comme pétrifiées sur place. Le regard moqueur de la fille d’Odile était insupportable, elle tapotait ses cuisses de façon très explicite. Clémence voulut protester mais avant qu’elle n’ait ouvert la bouche, Odile lui prit la main :
— Amélie va s’occuper de toi, allez en piste ma petite.
Puis se tournant vers Clara :
— Quant à toi, c’est maman Odile qui va s’occuper de ton petit derrière, viens un peu par là ma jolie.
Clémence était debout contre les cuisses de la jeune femme, celle-ci lui prit la main et la força à se coucher sur ses genoux. La jeune étudiante ne résista pas, elle avait les larmes aux yeux, c’était particulièrement humiliant de se retrouver dans cette honteuse position, soumise à une fille plus jeune qu’elle. Mais elle savait que la cause était entendue.
De son côté Clara était maintenant couchée sur les genoux d’Odile dans cette position qu’elle connaissait trop bien. La sévère maman saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa haut sur les reins :
— Voyons un peu ces jolies fesses.
Elle regarda sa fille pour l’inviter à faire de même, celle-ci était aux anges, cette pimbêche s’était régalée hier de son humiliation publique et bien chacun son tour. Elle s’empressa d’imiter sa mère. Les deux derrières moulés dans les sages culottes en coton étaient à disposition des deux fesseuses. Odile glissa ces doigts dans la culotte de Clara et la fit glisser sur les rondeurs de la jeune femme :
— Voilà, cul nu ma petite Clara, c’est ce qui arrive aux vilaines filles.
Elle s’adressa à Amélie :
— Déculotte-moi cette chipie, on va commencer par leur chauffer le derrière avant le thermomètre.
Amélie ne se fit pas prier, elle baissa la petite culotte de Clémence, ses fesses étaient encore légèrement rosées de la fessée matinale. La jeune fille était comme sa victime, elle n’était pas insensible au charme d’une jolie croupe féminine et celle-ci était vraiment mignonne.
Rapidement le bruit caractéristique d’une bonne fessée déculottée retentit dans la pièce, la jeune sœur d’Amélie pointa le bout de son nez. Les deux voisines étaient en train de recevoir la fessée cul nu, elle ne put s’empêcher de rire mais suffisamment discrètement pour que sa mère ne le remarque pas. Amélie lui avait jeté un regard complice et sa main avait redoublé d’ardeur pour rougir le fessier de Clémence qui maintenant pleurait comme toute punie soumise à un tel traitement.
Clara, n’était pas en reste, c’était un véritable concert dans le salon. Odile aperçut sa cadette :
— Tiens, puisque tu es là tu vas à la salle de bain et tu ramènes ma brosse à cheveux et la brosse de bain.
Quand elle revint elle tendit les deux instruments à sa mère, celle-ci cessa la fessée :
— Donne la brosse à cheveux à Amélie, les bonnes fesses de Clara vont goûter à la brosse de bain.
Puis se tournant vers sa fille aînée :
— Ne te retiens pas, cette chipie à un aussi bon derrière que le tien et tu sais bien qu’on ne meurt pas d’une bonne fessée.
Effectivement Amélie connaissait très bien cet instrument et son effet sur ses fesses, elle y goûtait au minimum une ou deux fois par semaine. Elle savait que Clémence allait ressentir une brûlure intolérable et que celle-ci durerait une bonne partie de la soirée, mais demain il n’y paraîtrait plus et son derrière serait apte à une nouvelle correction si Odile le jugeait utile.
C’était ainsi, la nature avait doté les dames, et particulièrement les quatre présentes dans cette pièce, d’une bonne paire de fesses qui semblait faite pour recevoir ce châtiment.
La fessée avait repris, l’accalmie avait été de courte durée, à peine le temps pour les deux punies de reprendre leur souffle et à nouveau elles pleuraient à chaudes larmes sous la brûlure des brosses. Les deux fessiers rebondis étaient d’une belle couleur rouge carmin, Clara et Clémence n’étaient plus deux étudiantes en médecine mais deux gamines punies de la plus honteuse et cuisante des façons.
Odile fit signe à Amélie :
— C’est bon, ces deux derrières sont à point. On va passer à la suite, Chloé donne un thermomètre à ta sœur.
La plus jeune des filles était aux anges, d’abord parce que ce n’était pas elle qui avait la culotte baissée et les fesses brûlantes et ensuite parce que le spectacle offert par les deux voisines était particulièrement excitant. Elles avaient vraiment des jolis culs et ce n’était pas fini, elle adorait regarder la pénitence au thermomètre. Bon bien sûr quand c’était son tour de se faire écarter les fesses et présenter son petit trou, elle trouvait ça nettement moins amusant.
Odile donnait les consignes à Amélie, celle-ci savait comment mettre un thermomètre, car elle avait souvent assisté aux punitions de Chloé, mais la sévère maman était directive :
— Tu écartes les fesses de Clémence et tu mets le thermomètre doucement, il faut qu’elle le sente pénétrer. Elle se laisse faire ?
Clémence essayait de rester stoïque malgré sa honte, elle devinait le regard des trois spectatrices sur sa raie largement écartée, elle sentit l’embout froid de l’instrument contre son anus et malgré ses efforts, elle ne put retenir une contraction de sa croupe. Amélie était ravie de son nouveau rôle :
— Mademoiselle Clémence n’est pas très docile.
Elle savait en disant cela qu’elle aurait l’autorisation de fesser à nouveau cette pimbêche. Odile fronça les sourcils :
— Caresse-lui encore les fesses avec la brosse ça va lui apprendre !!
Clémence hurla immédiatement, Amélie avait claqué très fort le fessier endolori, une cinquantaine de coups plus tard, en sanglotant elle dut répondre à la question mielleuse de sa fesseuse :
— Alors ma petite Clémence tu vas te laisser faire faut-il que je continue ?
— Oui, oui, mademoiselle, plus la fessée s’il vous plaît.
Elle écarta un peu plus ses cuisses et relâcha au maximum ses muscles fessiers. Amélie mouillait, c’était vraiment très excitant, elle était sûre que sa mère allait lui demander de surveiller les deux voisines à l’avenir, et qu’elle serait certainement autorisée à les corriger.
Elle entreprit de faire pénétrer lentement le thermomètre dans le fondement de la jeune femme, elle souriait en voyant les efforts que faisait Clémence pour ne pas serrer les fesses, celles-ci se contractaient légèrement mais pas suffisamment pour mériter une autre correction. Amélie savait pour l’avoir expérimenté que sa mère exigeait que le thermomètre soit enfoncé très profondément, la pauvre Clémence avait beau gémir la pénétration continua jusqu’au bout.
Odile avait regardé avec attention :
— C’est très bien ma chérie, c’est exactement comme ça qu’il faut faire. J’avais prévu 15 minutes mais vu ta rébellion ma petite Clémence, la punition est doublée, tu vas le garder 1/2 heure, ça t’apprendra.
Elle tapotait maintenant les fesses rouges de Clara :
— Alors ma petite Clara, tu es prête ? Tu vas voir une petite séance de thermomètre dans tes jolies fesses va te faire réfléchir. Je suis sûr que la semaine prochaine tu vas t’appliquer à faire moins de bêtises.
Elle avait largement écarté les deux hémisphères mettant à jour la petite rondelle brune, Clara avait l’habitude des punitions humiliantes de sa mère, mais Odile la surpassait en perversité.
— Ta maman ne te met pas le thermomètre ?
Une petite claque sèche, indiqua à Clara qu’il lui fallait répondre :
— Non, madame, jamais.
— Eh bien elle a tort, c’est très efficace pour rabattre le caquet des jeunes péronnelles, je vais lui en parler.
Elle se tourna vers Chloé :
— Ma chérie, tu vas faire une petite vidéo, je vais l’envoyer à Laurence et je lui expliquerai pourquoi j’ai puni sa fille.
La jeune fille était aux anges, elle prit son téléphone et commença à filmer en gros plan les fesses rouges bien écartées. Clara était morte de honte mais instruite par la punition de Clémence, elle s’efforçait de ne pas resserrer ses cuisses.
Le thermomètre pénétra lentement, Odile le faisait tourner, le retirait puis le rentrait à nouveau, tout cela dans le but de faire réagir la jeune femme couchée sur ses genoux. Évidemment Clara ne put s’empêcher de contracter ses fesses.
La sanction fut immédiate, elle gratifia la jeune étudiante d’une magistrale fessée avec la brosse de bain puis quand le thermomètre fut bien place, elle annonça :
— Comme pour Clémence, ta punition est doublée, 30 minutes sur mes genoux ma petite chérie.
Elle prit la télécommande de la télé et se mit une série pendant que les deux punies exposaient leurs derrières. De son côté, Amélie pianotait sur son téléphone tout en caressant nonchalamment les fesses de Clémence. Chloé avait filmé toute la séance, elle fit une copie de la vidéo, elle avait une petite idée derrière la tête.