mardi 26 mars 2024

Deux étudiantes 6

Double punition



Clémence s’était couchée rapidement sans parler à sa copine, celle-ci ne se doutait pas qu’une nouvelle punition très humiliante lui pendait au nez ou plutôt se rapprochait dangereusement de ses fesses. La jeune étudiante avait fait un compte rapide des punitions reçues, Clara avait reçu quatre fessées déculottées en comptant celle de ce soir, le nombre était le même pour elle-même, si tant est qu’Odile décompte la rapide claquée qu’elle lui avait administré ce soir.

Elle avait eu un peu de mal à s’endormir, elle revoyait le thermomètre pénétrer doucement entre les fesses d’Amélie.

Son réveil sonna tôt, elle se doutait que même le dimanche, leur sévère maman serait là de bonne heure.

Elle ne se trompait pas, à 8 h précise, Odile entra dans l’appartement. Clémence déjeunait, Clara n’était pas levée.

— Clara n’est pas là ?

Clémence fit une petite moue signifiant qu’elle ne savait pas ce que faisait sa copine, Odile se dirigea vers la chambre, juste au moment où elle allait entrer, Clara apparu. Odile lui adressa un petit sourire :

— Tu te lèves seulement ?

Clara rougit et bafouilla un peu :

— Euh oui, madame, je suis un peu fatiguée.

Odile lui claqua les fesses par-dessus le pyjama :

— Évidemment, à l’heure où tu es rentrée, ce n’est pas étonnant !

Elle regarda avec un air gourmand le derrière de la jeune femme :

— Tourne-toi un peu et montre-moi tes fesses !

Clara rougit et hésita :

— Euh, mais pourquoi madame ?

— Tu te déculottes et tu ne poses pas de question, à moins que tu ne veuilles faire un petit tour sur mes genoux dès le matin.

Désemparée, Clara glissa ses doigts dans la ceinture de son pyjama et entrepris de le baisser. Dès qu’elle eut les fesses à l’air, la sévère maman la fit pivoter et la coinça sous son bras. Les magnifiques fesses encore rosées de sa copine étaient tendues vers Clémence celle-ci ressentit immédiatement une excitation entre ses cuisses. Odile était dans le même état d’esprit, elle était sévère mais également très attirée par les postérieurs féminins et malheureusement pour Clara sa croupe lui plaisait vraiment. Elle avait ressenti une pulsion érotique en la voyant sortir de sa chambre et puis c’était tellement charmant de voir une jeune femme baisser sa culotte, elle souriait en caressant les fesses de la jeune femme :

— Alors ma petite Clara tu as bien dormi avec les fesses rouges ? Elles sont en parfait état, si tu n’es pas sage, je pourrai recommencer.

Elle força la jeune femme à écarter les cuisses et glissa ses doigts jusqu’à la fente humide, c’était particulièrement humiliant mais Clara n’osait rien dire, ses fesses étaient vraiment trop près de la main d’Odile.

— Comme je vous l’ai dit hier, je ne tolère pas la négligence sur votre hygiène intime. Vos culottes n’étaient vraiment pas nettes hier soir, j’ai donc décidé ce matin de contrôler votre toilette.

Elle tenait toujours Clara coincée sous son bras les fesses nues tendues vers elle. Elle regarda Clémence qui avait rougi à cette annonce :

— Oui ça te concerne aussi ma chérie, tu vas faire comme ta copine. Tu viens ici et tu te déculottes !

La jeune femme ouvrit la bouche pour protester mais rien ne sortit, le regard sévère de sa nouvelle maman l’incitait à la prudence. Elle se leva et se tourna puis comme Clara quelques instants auparavant, elle baissa sa culotte de pyjama. Odile avait relâché celle-ci et elle fit subir le même examen à son amie. Clémence coincée sous son bras, les fesses bien exposées sentit les doigts d’Odile explorer son intimité :

— Parfait, vous allez toutes les deux dans la salle de bain, et cul nu. Je vais vous apprendre à vous laver.

Totalement humiliées par cette nouvelle atteinte à leur dignité de jeune femme, les deux étudiantes se dirigèrent vers la salle de bain, elles n’avaient pas osé remonter leurs culottes. Odile put donc se régaler de ces deux adorables fessiers juvéniles qui se tortillaient en s’éloignant à petit pas.

Elle les laissa mijoter deux minutes, elle se doutait du désarroi qui devait les gagner. Dans la salle de bain les deux amies ne savaient pas quoi faire, Odile avait précisé cul nu, fallait-il retirer complètement leur pyjama. Clara entrepris de le retirer mais Clémence hésitait encore quand la sévère maman entra :

— J’ai dit cul nu ma petite Clémence, je te garantis que si c’est moi qui enlève ton pyjama tes fesses vont chauffer !

Clémence se dépêcha d’imiter sa copine et bientôt Odile eut devant elle, deux jeunes femmes nues des pieds à la ceinture. Elle s’approcha de Clémence et la fit pivoter :

— Tu te penches et tu écartes les jambes, vite !

Une claque bien appliquée au milieu des fesses avait accompagné ses paroles. Clémence poussa un petit cri et prit immédiatement la position.

Odile avait saisi un gant de toilette, elle le passa sous l’eau puis coinça la jeune femme sous son bras comme pour lui donner la fessée. Sa main experte entreprit de passer le gant entre les cuisses et les fesses. S’en était trop pour Clémence, elle ne put s’empêcher de serrer les jambes. Odile semblait n’attendre que ça, elle retira le gant, et força Clémence à se pencher un peu plus vers l’avant et une avalanche de claques se mit dégringoler sur la croupe tendue. Désemparée la jeune femme se mit immédiatement à pleurer, elle trépignait sur place pendant que son derrière reprenait la couleur préférée de sa sévère maman, un beau rouge éclatant :

— Ah ça ma petite, il va falloir que tu apprennes à te laisser faire quand maman Odile s’occupe de toi. Je sais qu’à ton âge, ce n’est pas très agréable de se faire laver les fesses comme si tu avais cinq ans mais c’est moi qui décide et la prochaine fois tu t’arrangeras pour que ta culotte soit propre.

Clara regardait sa copine recevoir cette magistrale déculottée, décidément elle avait encore des progrès à faire question docilité, quand on est cul nu face à une maman sévère il vaut mieux se laisser faire.

Odile avait terminé la fessée, elle saisit la savonnette :

— Ouvre la bouche !

Elle glissa la savonnette entre les dents de sa grande fille :

— Serre les dents, si jamais elle tombe, je te promets que tu ne pourras pas t’asseoir de la journée. Oui je sais c’est mauvais, mais c’est comme ça que je calme les récalcitrantes !



Elle reprit le gant et continua le nettoyage de l’intimité de Clémence, celle-ci sanglotait, mais elle se laissait faire, son fessier était écarlate. La sévère maman la relâcha et s’assit sur un tabouret puis elle la fit basculer sans ménagement en travers de ses genoux, la pauvre tenait toujours la savonnette entre ses dents, malgré le mauvais goût elle faisait son possible pour l’empêcher de tomber, elle savait que les menaces d’Odile étaient à prendre au sérieux.

— Je vais te sécher le derrière à ma façon ma petite chérie.

La main se remit à claquer la belle paire de fesses, la peau sécha rapidement sous l’effet de la chaleur de la fessée.

Enfin Odile la fit se relever et lui retira la savonnette :

— Tu peux te rincer la bouche, ensuit tu te mets au coin le nez contre le mur et les mains sur la tête pendant que je m’occupe du petit derrière de Clara.

Clémence en larmes, s’exécuta sans un mot.

Clara instruite par la correction reçue par son amie se laissa faire malgré la honte ressentie d’être traitée comme une fillette. Elle n’échappa pas cependant au séchage spécial de maman Odile et c’est avec une paire de fesses bien rouge qu’elle regagna le salon, suivie par Clémence.

Une autre catastrophe les attendaient, Odile les regarda en souriant, elles étaient charmantes les fesses à l’air, les joues du haut aussi rouges que celle du bas :

— Mes petites chéries j’ai déjà été obligée de vous corriger quatre fois cette semaine, c’est beaucoup trop, vous allez donc faire connaissance avec monsieur thermomètre, je vous attends à 14 heure chez moi.

Puis sans un mot de plus, elle laissa les deux jeunes étudiantes. Clara se tourna vers son amie :

— Qu’est-ce-que c’est encore que ça ?

Clémence s’y attendait, elle était catastrophée, elle expliqua brièvement à Clara en quoi consistait la punition qui les attendaient.

Clara ouvrait de grands yeux, c’était encore une nouveauté, avec sa mère elle était habituée à des traitements pervers et humiliant, mais il ne lui était pas encore venu cette idée, elle frissonna un peu en y pensant. Puis elle regarda son amie nue comme elle de la taille aux pieds, elle était vraiment craquante, elle lui prit la main et l’entraîna dans sa chambre :

— Puisqu’on ne peut rien faire pour y échapper, amusons-nous en attendant.

Elle lui avait claqué la croupe en riant, Clémence essaya d’oublier ce qui l’attendait et suivi sa copine, ses deux fesses bien rouges se tortillaient de façon suggestive. Quelques instants plus tard elles étaient sur le lit, tête bêche et elle se léchait mutuellement, la cuisson de leurs derrières était déjà oubliée.

Malheureusement l’heure de traverser le palier pour sonner chez Odile arriva rapidement, celle-ci les accueillit avec un petit sourire :

— Ah voilà nos deux chipies, venez par là.

En entrant dans le salon elles eurent la surprise de voir Amélie assise sur un des canapés, elle arborait un large sourire. Odile prit immédiatement les choses en main :

— Comme vous devez être punie toutes les deux, Amélie va m’aider.

Les deux jeunes femmes pâlirent et se regardèrent complètement affolées, elles étaient comme pétrifiées sur place. Le regard moqueur de la fille d’Odile était insupportable, elle tapotait ses cuisses de façon très explicite. Clémence voulut protester mais avant qu’elle n’ait ouvert la bouche, Odile lui prit la main :

— Amélie va s’occuper de toi, allez en piste ma petite.

Puis se tournant vers Clara :

— Quant à toi, c’est maman Odile qui va s’occuper de ton petit derrière, viens un peu par là ma jolie.

Clémence était debout contre les cuisses de la jeune femme, celle-ci lui prit la main et la força à se coucher sur ses genoux. La jeune étudiante ne résista pas, elle avait les larmes aux yeux, c’était particulièrement humiliant de se retrouver dans cette honteuse position, soumise à une fille plus jeune qu’elle. Mais elle savait que la cause était entendue.

De son côté Clara était maintenant couchée sur les genoux d’Odile dans cette position qu’elle connaissait trop bien. La sévère maman saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa haut sur les reins :

— Voyons un peu ces jolies fesses.

Elle regarda sa fille pour l’inviter à faire de même, celle-ci était aux anges, cette pimbêche s’était régalée hier de son humiliation publique et bien chacun son tour. Elle s’empressa d’imiter sa mère. Les deux derrières moulés dans les sages culottes en coton étaient à disposition des deux fesseuses. Odile glissa ces doigts dans la culotte de Clara et la fit glisser sur les rondeurs de la jeune femme :

— Voilà, cul nu ma petite Clara, c’est ce qui arrive aux vilaines filles.

Elle s’adressa à Amélie :

— Déculotte-moi cette chipie, on va commencer par leur chauffer le derrière avant le thermomètre.

Amélie ne se fit pas prier, elle baissa la petite culotte de Clémence, ses fesses étaient encore légèrement rosées de la fessée matinale. La jeune fille était comme sa victime, elle n’était pas insensible au charme d’une jolie croupe féminine et celle-ci était vraiment mignonne.



Rapidement le bruit caractéristique d’une bonne fessée déculottée retentit dans la pièce, la jeune sœur d’Amélie pointa le bout de son nez. Les deux voisines étaient en train de recevoir la fessée cul nu, elle ne put s’empêcher de rire mais suffisamment discrètement pour que sa mère ne le remarque pas. Amélie lui avait jeté un regard complice et sa main avait redoublé d’ardeur pour rougir le fessier de Clémence qui maintenant pleurait comme toute punie soumise à un tel traitement.

Clara, n’était pas en reste, c’était un véritable concert dans le salon. Odile aperçut sa cadette :

— Tiens, puisque tu es là tu vas à la salle de bain et tu ramènes ma brosse à cheveux et la brosse de bain.

Quand elle revint elle tendit les deux instruments à sa mère, celle-ci cessa la fessée :

— Donne la brosse à cheveux à Amélie, les bonnes fesses de Clara vont goûter à la brosse de bain.

Puis se tournant vers sa fille aînée :

— Ne te retiens pas, cette chipie à un aussi bon derrière que le tien et tu sais bien qu’on ne meurt pas d’une bonne fessée.



Effectivement Amélie connaissait très bien cet instrument et son effet sur ses fesses, elle y goûtait au minimum une ou deux fois par semaine. Elle savait que Clémence allait ressentir une brûlure intolérable et que celle-ci durerait une bonne partie de la soirée, mais demain il n’y paraîtrait plus et son derrière serait apte à une nouvelle correction si Odile le jugeait utile.

C’était ainsi, la nature avait doté les dames, et particulièrement les quatre présentes dans cette pièce, d’une bonne paire de fesses qui semblait faite pour recevoir ce châtiment.

La fessée avait repris, l’accalmie avait été de courte durée, à peine le temps pour les deux punies de reprendre leur souffle et à nouveau elles pleuraient à chaudes larmes sous la brûlure des brosses. Les deux fessiers rebondis étaient d’une belle couleur rouge carmin, Clara et Clémence n’étaient plus deux étudiantes en médecine mais deux gamines punies de la plus honteuse et cuisante des façons.

Odile fit signe à Amélie :

— C’est bon, ces deux derrières sont à point. On va passer à la suite, Chloé donne un thermomètre à ta sœur.

La plus jeune des filles était aux anges, d’abord parce que ce n’était pas elle qui avait la culotte baissée et les fesses brûlantes et ensuite parce que le spectacle offert par les deux voisines était particulièrement excitant. Elles avaient vraiment des jolis culs et ce n’était pas fini, elle adorait regarder la pénitence au thermomètre. Bon bien sûr quand c’était son tour de se faire écarter les fesses et présenter son petit trou, elle trouvait ça nettement moins amusant.

Odile donnait les consignes à Amélie, celle-ci savait comment mettre un thermomètre, car elle avait souvent assisté aux punitions de Chloé, mais la sévère maman était directive :

— Tu écartes les fesses de Clémence et tu mets le thermomètre doucement, il faut qu’elle le sente pénétrer. Elle se laisse faire ?

Clémence essayait de rester stoïque malgré sa honte, elle devinait le regard des trois spectatrices sur sa raie largement écartée, elle sentit l’embout froid de l’instrument contre son anus et malgré ses efforts, elle ne put retenir une contraction de sa croupe. Amélie était ravie de son nouveau rôle :

— Mademoiselle Clémence n’est pas très docile.

Elle savait en disant cela qu’elle aurait l’autorisation de fesser à nouveau cette pimbêche. Odile fronça les sourcils :

— Caresse-lui encore les fesses avec la brosse ça va lui apprendre !!

Clémence hurla immédiatement, Amélie avait claqué très fort le fessier endolori, une cinquantaine de coups plus tard, en sanglotant elle dut répondre à la question mielleuse de sa fesseuse :

— Alors ma petite Clémence tu vas te laisser faire faut-il que je continue ?

— Oui, oui, mademoiselle, plus la fessée s’il vous plaît.

Elle écarta un peu plus ses cuisses et relâcha au maximum ses muscles fessiers. Amélie mouillait, c’était vraiment très excitant, elle était sûre que sa mère allait lui demander de surveiller les deux voisines à l’avenir, et qu’elle serait certainement autorisée à les corriger.

Elle entreprit de faire pénétrer lentement le thermomètre dans le fondement de la jeune femme, elle souriait en voyant les efforts que faisait Clémence pour ne pas serrer les fesses, celles-ci se contractaient légèrement mais pas suffisamment pour mériter une autre correction. Amélie savait pour l’avoir expérimenté que sa mère exigeait que le thermomètre soit enfoncé très profondément, la pauvre Clémence avait beau gémir la pénétration continua jusqu’au bout.

Odile avait regardé avec attention :

— C’est très bien ma chérie, c’est exactement comme ça qu’il faut faire. J’avais prévu 15 minutes mais vu ta rébellion ma petite Clémence, la punition est doublée, tu vas le garder 1/2 heure, ça t’apprendra.

Elle tapotait maintenant les fesses rouges de Clara :

— Alors ma petite Clara, tu es prête ? Tu vas voir une petite séance de thermomètre dans tes jolies fesses va te faire réfléchir. Je suis sûr que la semaine prochaine tu vas t’appliquer à faire moins de bêtises.

Elle avait largement écarté les deux hémisphères mettant à jour la petite rondelle brune, Clara avait l’habitude des punitions humiliantes de sa mère, mais Odile la surpassait en perversité.

— Ta maman ne te met pas le thermomètre ?

Une petite claque sèche, indiqua à Clara qu’il lui fallait répondre :

— Non, madame, jamais.

— Eh bien elle a tort, c’est très efficace pour rabattre le caquet des jeunes péronnelles, je vais lui en parler.

Elle se tourna vers Chloé :

— Ma chérie, tu vas faire une petite vidéo, je vais l’envoyer à Laurence et je lui expliquerai pourquoi j’ai puni sa fille.

La jeune fille était aux anges, elle prit son téléphone et commença à filmer en gros plan les fesses rouges bien écartées. Clara était morte de honte mais instruite par la punition de Clémence, elle s’efforçait de ne pas resserrer ses cuisses.



Le thermomètre pénétra lentement, Odile le faisait tourner, le retirait puis le rentrait à nouveau, tout cela dans le but de faire réagir la jeune femme couchée sur ses genoux. Évidemment Clara ne put s’empêcher de contracter ses fesses.

La sanction fut immédiate, elle gratifia la jeune étudiante d’une magistrale fessée avec la brosse de bain puis quand le thermomètre fut bien place, elle annonça :

— Comme pour Clémence, ta punition est doublée, 30 minutes sur mes genoux ma petite chérie.

Elle prit la télécommande de la télé et se mit une série pendant que les deux punies exposaient leurs derrières. De son côté, Amélie pianotait sur son téléphone tout en caressant nonchalamment les fesses de Clémence. Chloé avait filmé toute la séance, elle fit une copie de la vidéo, elle avait une petite idée derrière la tête.



vendredi 15 mars 2024

Lucie et Christian 11

La vie cuisante du bureau



Lucie était devenue une redoutable fesseuse à la maison mais au bureau elle redevenait tous les matins une gamine qui reçoit encore la fessée déculottée.

C’était devenu désormais une habitude bien ancrée, dès leur arrivée, elle et Alice devait se rendre immédiatement dans le bureau de Claire Dugou qui systématiquement les couchaient sur ses genoux l’une après l’autre et leurs administraient une magistrale fessée après les avoir soigneusement déculottées comme si elles étaient encore des petites filles.

Elles entraient dans le bureau après avoir frappé, Alice qui était habituée depuis l'enfance à recevoir de solides corrections n'était pas particulièrement troublée, elle s'était fait une raison, sa tante la corrigeait pendant les vacances et maintenant au bureau elle était soumise à la stricte discipline de Mme Dugou. Pour Lucie c'était un peu plus difficile, en effet à la maison c'est elle qui portait la culotte si on peut dire et au bureau elle se la faisait baisser. Elle enrageait tous les matins mais impossible d'échapper à l'humiliante séance de déculottage couchée sur les genoux de sa cheffe de service.

Ce matin là elle avait accueilli ses deux subordonnées avec un grand sourire :

- Bonjour mes petites chéries, qui va me montrer ses fesses en premier aujourd'hui ?

Alice et Lucie ne répondirent pas, ce qui eut le don d'agacer Claire Dugou :

- Bon, qui a reçu la fessée en premier hier ?

Elle s'en souvenait parfaitement, mais ça l'amusait de voir la gêne des deux jeunes femmes. Alice répondit doucement :

- C'est moi madame.

Claire regarda Lucie avec un petit sourire gourmand :

- Eh bien aujourd'hui c'est donc toi ma petite Lucie qui va me présenter ton joli petit derrière en premier. Allez en piste !

Dès que la jeune femme fut en position, elle retroussa rapidement la jupe. La petite culotte blanche moulait parfaitement le derrière bien rond de sa subordonnée. Elle tapota la croupe :

- Vous le savez bien pourtant que c'est chacune votre tour. Puisque c’est ça, ma petite chérie, tu as gagné une fessée supplémentaire, la prochaine fois, tu viendras toute seule sur mes genoux pour te faire déculotter.  Voyons un peu si ton petit derrière a retrouvé sa blancheur.

Elle glissa ses doigts sous l’élastique de la lingerie et la baissa sous les fesses, même si elle commençait à en avoir l’habitude, Lucie n’arrivait pas à supporter calmement l’humiliation de devoir exposer ses fesses nues, elle les serra instinctivement ce qui fit sourire Claire :

- Madame serre ses fesses, madame a peur pour son derrière... Eh bien tu as raison, tu vas voir la bonne déculottée que je vais te flanquer. En attendant tu écartes un peu mieux tes cuisses tu sais bien que je n'aime pas les culs serrés.

Elle avait claqué sèchement la jolie croupe de Lucie. Celle-ci rouge de honte s'exécuta, elle savait que cette vicieuse allait se délecter de son intimité si bien exposée. Elle sentit les doigts de Claire Dugou s'immiscer entre ses fesses :

- Allez écarte encore un peu, voilà c'est bien, te voilà prête pour le panpan cucul du matin.

Alice souriait en voyant sa copine se faire traiter ainsi. Bien sûr, elle savait que dans quelques instants ce serait son tour mais en attendant elle profitait du spectacle et c'est vrai que Lucie avait vraiment un très joli derrière. Elle trouvait le sien un peu trop gros, ce n’était pas un avantage car ça avait le don d'attirer la main des fesseuses.

La fessée ne tarda pas à retentir dans le bureau, accompagné des gémissements de la punie puis bientôt de ses pleurs. Mme Dugou n'arrêtait pas la fessée avant que la dame couchée sur ses genoux ne soit en larmes.



Dès qu'elle fut debout, Lucie souleva sa jupe qui était retombée, elle devait rester fesses à l'air pendant la punition de sa collègue. Quand Alice se releva à son tour des genoux de la sévère cheffe de service, la couleur de sa croupe n'avait rien à envier à celle de Lucie. Elles durent comme d'habitude se tourner en tenant leurs jupes pour présenter leurs fesses écarlates :

- C'est parfait, je pense qu'avec ces fesses bien rouges vous allez vous mettre au travail rapidement. Vous enlevez vos culottes et vous les suspendez à leur place.

Sans discuter les deux secrétaires enjambèrent leurs sous-vêtement et le suspendirent à la patère où étaient inscrits leur nom.

- Bon maintenant, vous filez vous mettre au travail et que je ne vous entende pas papoter, vos fesses sont prêtes si nécessaire.

Les deux punies ne demandèrent pas leur reste, les jupes étaient retombées masquant leur derrière écarlate, arrivées dans le bureau avant de s’asseoir, elles prirent soin de retrousser leur jupe, Mme Dugou exigeait qu’elle soit cul nu sur leur chaise après la fessée.

Dans le couloir elles avaient croisé Clotilde Berteau la responsable de la comptabilité, celle-ci avait rougi et baissé la tête sans les saluer comme elle en avait l’habitude. Alice donna un coup de coude à sa copine :

- Il y a du panpan cucul dans l’air.

Lucie la regarda, incrédule :

- Tu crois ? Non ce n’est pas possible, la mère Berteau à 50 ans, elle n’a plus l’âge de la fessée déculottée et puis ce n’est pas parce qu’on se fait traiter comme des gamines que ça va être le cas de tout le monde. Arrête de prendre tes désirs pour des réalités.

Alice la regardait le sourire aux lèvres :

- Tu as raison, ce n’est pas sûr mais je crois que notre chère madame Dugou commence à prendre goût à nos déculottages matinaux et je ne serais pas surprise qu’elle désire découvrir de nouvelles paires de fesses. Ne me dit pas le contraire, je sais que toi aussi tu ne peux pas résister.

Lucie l’avait mis dans la confidence et Alice savait que sa copine avait plusieurs derrières à sa disposition. La jeune femme mis son doigt sur la bouche et elle sortit discrètement, elle s’approcha de la porte du bureau de la cheffe de service, ce qu’elle entendit confirma ses soupçons. Quelques instants plus tard elle était assise et racontait à Lucie :

- Je peux te dire qu’à l’heure qu’il est notre bonne Clotilde à la culotte aux chevilles et les fesses bien rouges. La mère Dugou n’y va pas de main morte, ça claque sévère sur son gros derrière et elle couine comme une gamine.

Lucie avait les yeux brillant :

- C’est vrai ? Olala je voudrais être une petite souris pour la voir gigoter sur les genoux de notre chère Claire Dugou. Si j’en juge à ce qu’on voit quand elle est habillée, elle est bien pourvue du côté pile, c’est vrai qu’elle a vraiment une bonne paire de fesses, elle doit se régaler la cheffe.

Elles avaient laissé entrouverte la porte de leur bureau pour surveiller le couloir, Clotilde ne réapparu pas mais madame Dugou vint leur rendre visite, elle était souriante, visiblement l’administration d’une fessée déculottée à la responsable de la comptabilité l’avait mise de bonne humeur :

- Alors mes chéries on a bien travaillé avec ces derrières bien rouges ? Vous allez me montrer vos fesses que je voies si tout va bien.

Les deux secrétaires commençaient à avoir l’habitude de ces petites humiliations, elles se levèrent et se retournèrent en retroussant leur jupe pour présenter leur croupe à Claire.



 Celle-ci était encore toute excitée par le spectacle du gros derrière de madame Berteau sautant sous ses claques, elle passa sa main sur les fesses tendues, ses doigts s’immisçant même entre les cuisses :

- C’est parfait, vous pouvez vous rasseoir sans retrousser vos jupes, Lucie tu viendras à 11 heure prendre la fessée supplémentaire que je t’ai promis ce matin. Je suis en réunion vidéo, soyez sage sinon gare à vos fesses.

Dès qu'elle furent seules, Alice eut un petit rire malicieux :

- À mon avis Clotilde expose en ce moment ses fesses bien rouges au coin dans le bureau de madame Dugou, on va surveiller sa sortie.

Un quart d'heure plus tard, la responsable de la comptabilité sortait du bureau, elle baissait la tête et passa rapidement dans le couloir sans regarder les deux amies qui riaient sous cap. Lucie donna un petit coup de coude à Alice :

- Notre chère Clotilde doit avoir chaud aux fesses, tu crois qu'elle a encore sa culotte ?

Alice se mit à rire :

- Je ne crois pas, tu sais bien que madame Dugou aime bien garder nos culottes. De toute façon tu verras bien si elle est suspendue au crochet quand tu vas aller lui montrer tes fesses.

Lucie fit une petite grimace, elle avait oublié que bientôt ce serait à elle de couiner sous les claques de la sévère cheffe de service. Elle regarda la pendule, il lui restait une demi-heure de tranquillité.

À 11 h pile elle frappa au bureau de Claire Dugou, il ne fallait surtout pas être en retard. Dès qu'elle fut dans la pièce son regard se dirigea vers les patères, Alice avait vu juste, un culotte en dentelle noire était suspendue à côté des leurs, au dessus il y avait une étiquette avec le nom de Clotilde Berteau. Claire avait remarqué le regard de Lucie, elle lui adressa un petit sourire :

- Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée n'est ce pas ma petite Lucie.

Elle prit une règle plate sur son bureau, recula sa chaise et tapota ses cuisses :

- En piste ma petite chérie, tes fesses ont dû refroidir depuis ce matin.

Quelque instants plus tard la sévère maman de Christine et Aurore pleurait comme une gamine sous les claquements de la règle plate. Claire souriait en admirant la magnifique danse des fesses de la jeune femme, les pieds battaient l’air frénétiquement. Madame Dugou ne savait pas donner une petite fessée, la punie se relevait systématiquement de ses genoux avec un derrière cramoisi et brûlant.



- Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée, j’espère que la prochaine fois tu viendras gentiment sur mes cuisses sans que j’aie à te le demander.

Lucie sanglotait toujours couchée en travers de ses genoux, elle lui écarta sans vergogne les deux hémisphères écarlates :

- Je pense qu’un petit plug te ferais du bien, tu ne vas plus voir Chloé à ta pause déjeuner, on va remédier à ça.

Elle ouvrit le tiroir de son bureau et en sorti un plug rose de bonne taille, elle m'humidifia en le suçant d'un air gourmand puis titilla l'anus de Lucie avec son doigt :

- Il va falloir détendre ton joli derrière ma jolie.

Elle mit le plug sous les yeux de sa victime :

- Regarde moi ce joli plug qui va garnir ton derrière.

Lucie fit une petite grimace, en effet elle n'avait plus goûté à l'humiliation de la mise en place de cet instrument dans ses fesses depuis un moment. Elle gémit doucement quand le plug pénétra doucement. Claire prenait son temps, c'était particulièrement excitant de voir l'engin disparaître doucement au milieu de la croupe écarlate. Quand la rondelle fut bien calée au fond du sillon fessier, elle relâcha les fesses.

- Voilà ton joli petit cul est bien garni, tu es bien sûr toujours privée de culotte et tu posera bien tes fesses nues sur la chaise, gare à toi si tu désobéi.

Lucie n'en avait nullement l'intention, son derrière brûlant et le plug qui lui garnissait l'anus la rappelait à sa condition de soumise.

Elle regagna son bureau, Alice l'attendait en souriant :

- Alors ma chérie ? Elle est en forme la mère Dugou ?

Lucie avait les yeux rouges, elle savait que son amie ne se moquait pas. Elle-même pouvait subir très rapidement les foudres de leur sévère cheffe de service. Elle fit une grimace :

- Ça tu peux le dire  elle ne m'a pas loupée, mais tu avais raison pour Clotilde, sa culotte est suspendue à côté des nôtres.

Alice avait le regard triomphant :

- Qu'est-ce que je t'avais dit ? J'en étais sûre. Tu me montres tes fesses, j'aimerais bien voir le résultat ?

Lucie fit une petite moue, elle était un peu honteuse de devoir montrer ses fesses, pas par pudeur, Alice les voyait très souvent quand Mme Dugou la corrigeait mais aujourd'hui elles étaient garnies d'un plug, c'était plus humiliant. Alice la regarda avec un petit air vicieux :

- Allez, montre... fais pas ta chochotte.

- ...

Lucie se sentit rougir, elle ne répondit pas. Alice s’impatientait :

- Tu veux que je m’arrange pour que la mère Dugou t’en remette une ? Tu sais c’est pas compliqué !

- Tu en serais capable ?

- Bien sûr ma chérie, en plus comme ça je serais sûre de  voir tes jolies fesses.

Lucie abdiqua, elle se tourna et retroussa sa jupe.

Alice s’approcha et se pencha pour voir de plus près la croupe de son amie.

- Olala, elle t’a bien soigné dis-moi ! Mais c’est quoi ça ?

Elle avait posé son doigt sur la rondelle rose au centre des fesses.

Lucie serra un peu ses deux hémisphères et chercha à se relever :

- Euh, euh, c’est un plug, c’est un complément de punition.

Alice avait posé sa main sur le dos de son amie pour la forcer à garder sa position :

- Non, non ma petite chérie, tu restes là. C’est trop mignon ce truc. Et puis tu l’as dit c’est une punition donc tu dois le montrer.



Elle tapotait le derrière écarlate de pauvre Lucie, ses joues du haut étaient aussi rouge que celles du bas.

- Dis-donc, ça doit être gênant quand on s’assoit.

Lucie se détendait peu à peu, après tout, Alice risquait bien un jour de goûter à cette nouvelle lubie de leur cheffe de service. Elle se releva et se tourna vers son amie :

- C’est pas très agréable au début, mais on s’y habitue.

Comme Alice faisait des yeux ronds, elle lui raconta ses séjours chez Mme Sylvie et les fessées déculottées que lui administrait Chloé pendant sa pause déjeuner ainsi que les après-midis passé avec un plug dans le derrière.

Sa collègue la fit pivoter et la saisissant  par la taille elle la força à nouveau à se pencher courbée sous son bras. Lucie avait poussé un petit cri mais s’était laissée faire. La jupe retroussée bien haut sur ses reins, ses fesses étaient tendues vers Alice, celle-ci les écarta :

- C’est vraiment trop excitant de voir ton  petit trou comme ça.

Lucie se dégagea en riant :

- Tu es une coquine ma chérie, rassure-toi tu y goûtera un jour, si ce n’est pas au bureau ce sera chez moi.

Pendant ce temps dans son bureau Claire contemplait les trois culottes suspendues. Comme ça avait été facile de flanquer une fessée déculottée à Clotilde Berteau, elle en était encore tout excitée. Il faut dire que celle-ci lui avait tendu la perche.



A suivre

samedi 9 mars 2024

Deux étudiantes 5

La punition d'Amélie



Clara était sortie seule, la révolte de Clémence sur l’heure du couvre-feu lui avait valu en plus d’une magistrale fessée déculottée, d’être privée de sortie.

Et elle avait été invitée à passer la soirée chez Odile. Amélie et Chloé après leur escapade sans autorisation au bar étaient privées de sortie pendant un mois.

Odile leur avait préparé le repas et à la grande surprise de la jeune étudiante dès qu’elles eurent fini de débarrasser la table, les deux filles montèrent dans leur chambre pour se mettre en pyjama, il était 19h30 et comme des petites filles punies elles redescendirent au salon dans cette tenue un peu ridicule.

Dès qu’elles furent arrivées, Odile s’adressa à Amélie :

— je pense que tu n’as pas oublié ce que je t’ai promis ma chérie ?

La jeune fille piqua un fard et protesta.

— oh non maman pas ce soir, s’il te plaît ?

Odile fronça les sourcils :

— et pourquoi donc pas ce soir ? tu viens de gagner 10’ supplémentaire ma chérie. Dépêche-toi d’aller chercher le thermomètre si tu ne veux pas que je rajoute 10’.

Clémence ouvrait de grands yeux, pourquoi fallait-il qu’Amélie aille chercher un thermomètre. Celle-ci avait les yeux embués de larmes :

— maman, s’il te plaît…

Odile souriait maintenant devant le désarroi de sa grande fille :

— parfait, 10’ de plus, ça fait déjà trente minutes ma grande. Tu devrais te dépêcher car en plus ma main commence à me démanger.

— non, maman, non, j’y vais tout de suite.

— comment non ? c’est toi qui décides peut-être ? On va rajouter encore 10’

Amélie se mit à pleurer et se dirigea vers la salle de bain. Elle revint rapidement en tenant à la main un thermomètre en verre pour la température rectale. Elle avait les joues très rouges comme ses fesses après une bonne fessée. Elle le tendit à sa mère.

— maman, s’il te plaît ?

— encore “mais” décidément aujourd’hui tu ne comprends pas. Bon et bien on rajoute encore 10', tu n’es plus loin de le garder 1 h dans ton petit trou ma chérie. J’en ai plus qu’assez de tes pleurnicheries, je sais bien que tu as honte de te faire mettre le thermomètre dans tes petites fesses devant Clémence mais outre que ce n’est pas toi qui décides comment tu dois être punie, tu n’avais qu’à pas être désobéissante. Allez en piste ma chérie.

Odile c’était assise sur le canapé et elle tapotait ses genoux. En pleurant, sa grande fille se coucha en travers de ses cuisses, ses belles fesses étaient parfaitement moulées par la culotte du pyjama. Odile les tapota en souriant :

— tu es bien installée ma chérie, tu sais que tu en as pour un moment.

Elle fit glisser Amélie un peu vers l’avant, son buste reposait sur le canapé, ses fesses étaient pointées vers sa mère, Odile glissa ses doigts dans la culotte et la fit descendre lentement, elle franchit la rondeur du fessier joufflu. Elle la laissa à mi-cuisses puis elle leva la main et commença à claquer les fesses si bien présentées, Clémence ne pouvait pas quitter des yeux la magnifique paire de fesses qui gigotait sous l’avalanche de claques, elle était comblée, finalement elle n’était pas mécontente d’avoir été privée de sortie. Soudain la fessée cessa et Odile se tourna vers Chloé.

— ma chérie, va me chercher ma brosse à cheveux dans la salle de bain, les fesses de ta sœur méritent une vraie bonne fessée ce soir.

Amélie se mit à gémir :

— oh non maman, pardon, s’il te plaît pas la brosse.

Odile se mit à rire :

— et pourquoi donc pas la brosse, c’est toi qui décides peut-être ? Tu viens juste de gagner les 10' qu’il manquait pour faire un compte rond. Je te garantis que tes fesses vont être bien rouges pour recevoir monsieur thermomètre.

La fessée repris, la brûlure était intense car la jeune fille pourtant habituée aux sévères fessées maternelles se mit à pleurer, tout en battant des jambes et en ouvrant largement ses fesses. Le fessier était maintenant rubicond, Odile posa la brosse puis elle prit le thermomètre et avec sa main gauche elle écarta largement les deux fesses pour mettre à jour la petite rondelle brune. Amélie pleurait à chaudes larmes maintenant, elle était humiliée comme jamais. Odile était restée inflexible, elle avait une conception très stricte de l’éducation de ses filles. L’embout força doucement le passage, Amélie était vaincue, elle se laissait faire en pleurant doucement.

Clémence était comme hypnotisée par la raie fessière bien écartée et le thermomètre qui disparaissait doucement dans l’intimité de la jeune femme.



Odile s’appliqua à le faire pénétrer très profondément puis elle relâcha les deux fesses bien rouges, c’était un spectacle ravissant et excitant, Chloé se tourna vers Clémence qui avait les joues très rouges, elle lui murmura :

— tu mouilles ta petite culotte je parie.

La jeune femme ne répondit pas, mais un petit sourire apparu sur ses lèvres. Odile avait vu le manège de la plus jeune de ses filles :

— ne fait pas trop la maligne ma petite Chloé, la semaine n’est pas finie et monsieur thermomètre pourrait peut-être visiter ton petit trou bientôt.

Chloé rougit violemment et baissa la tête, décidément sa mère ne laissait rien passer. Odile regarda Clémence, elle sentait qu’il fallait lui donner quelques explications :

— je vois que tu es un peu surprise ma petite Clémence, sache que quand l’une de mes deux chipies à fait beaucoup de bêtises dans la semaine et que j’ai été obligée de la déculotter trop souvent, elle a droit à ce petit supplément de punition. Je sais que c’est très désagréable et humiliant quand on est grande de se faire mettre un thermomètre dans les fesses et c’est bien pour ça que je le fais, ça les ramène à un peu plus d’humilité.

Elle regardait fixement Clémence, celle-ci se mit à rougir également. Est-ce que leur nouvelle maman comptait leur appliquer le même traitement. Elle eut rapidement la réponse car Odile continuait à parler tout en faisant coulisser le thermomètre dans les fesses de sa fille.

— Amélie a déjà reçu 4 fessées déculottées depuis le début de la semaine, c’est beaucoup trop…

Elle ajouta en souriant :

— ma petite Chloé en est à trois déculottages, elle n’est pas loin de la pénitence avec le thermomètre. Et toi ma petite Clémence ?

La jeune femme ne savait pas où se mettre, elle venait de compter mentalement, elle aussi, elle avait dû présenter trois fois ses fesses nues à Odile et celle-ci le savait parfaitement.

Elle fut soulagée quand Odile changea de conversation :

— bon si nous regardions un peu la télé pendant que notre petite Amélie réfléchi à ses bêtises.

Elle tapota les fesses rouges de sa fille et prit la télécommande. La soirée fut assez surréaliste les deux jeunes sur un canapé qui regardait une série et Odile avec Amélie couchée fesses à l’air sur ses genoux qui pleurait en silence.

Au bout d’une demi-heure, Odile leva la main et administra une courte mais cuisante fessée au derrière de sa fille. Elle expliqua en souriant que la punition au thermomètre exigeait des fesses bien rouges.

La fin de la série correspondait juste avec la fin de la punition d’Amélie. Odile écarta les fesses et délicatement retira le thermomètre. Elle le posa sur la table prit la brosse à cheveux et administra une vingtaine de claques sur les fesses encore très rouges. Amélie hurla, tapa des pieds et écarta à nouveau largement ses fesses au grand plaisir de Clémence. Quand la fessée fut finie, Odile caressa doucement les fesses brûlantes :

— voilà ma chérie, ta punition est terminée, j’espère que ça va te servir de leçon et que nous allons passer une bonne semaine. Mais rassure-toi si c’est nécessaire tu reviendras sur mes genoux pour me montrer tes fesses. En attendant tu files au lit et tu éteins la lumière immédiatement, je ne veux rien entendre.

Elle regarda Chloé.

— toi aussi tu files au lit et tu éteins la lumière également. Allez exécution !!

Amélie s’était relevée, elle essaya d’éviter le regard de Clémence et commença à remonter sa culotte de pyjama, Odile lui dit en riant :

— non, non tu ne caches pas tes jolies petites fesses rouges. Tu ne remettras ta culotte en place que dans ta chambre, je te rappelle que tu dois dormir sur le dos et ne pas frotter tes fesses. Allez maintenant file !!



Clémence était ravie de voir les belles fesses bien rouges d’Amélie se dandiner au rythme de la marche.

Les deux filles ayant rejoint leurs chambres, Odile se tourna vers Clémence :

— bon, je vais te raccompagner, comme ça je vérifierai si Clara est bien rentrée, il est 21h10, normalement elle doit être là, sinon gare à ses fesses.

Elle avait dit ça en souriant mais le geste de sa main était très explicite. Elles étaient sur le palier quand Clara arriva tout essoufflée, elle marqua un temps d’arrêt en voyant Odile qui fronçait les sourcils.

— je, je… j’ai raté le bus…pardon madame.

Odile n’avait pas dit un mot, elle avait déjà saisi Clara par l’oreille et lui administrait deux fortes claques par-dessus sa jupe :

— tu te moques de moi !! Tu mériterais que je te déculotte ici-même pour te flanquer la fessée que tu mérites. Je suis gentille je vais faire ça dans ton salon, mais rassure-toi tes petites fesses vont la sentir passer.

Elle tenait toujours Clara par l’oreille, elle lui claqua à nouveau les fesses pour la faire avancer. Clémence la précédait, elle ouvrit la porte de l’appartement. Elle était désolée pour son amie mais pas mécontente non plus d’assister à une nouvelle fessée qui serait précédée d’un déculottage, ce moment qu’elle appréciait tellement dans la fessée.

Elles étaient maintenant dans le salon, Odile prit une chaise tout en continuant de tirer l’oreille de la jeune femme. Il faisait beau, Clara portait une jupe courte en lin et un tee-shirt, rapidement elle se retrouva dans cette position qu’elle détestait le plus, la tête près du sol, les pieds décollés et les fesses pointant vers le ciel. La jupe ne resta pas longtemps en place, la position disciplinaire l’avait déjà fait remonter légèrement découvrant la sage petite culotte blanche, Odile la retroussa haut sur les reins, puis d’un geste sec elle déculotta Clara qui poussa un petit cri. 



Elle avait l’habitude des fessées de sa mère et quand celle-ci déculottait immédiatement sans prendre le temps d’un échauffement sur la culotte, ça présageait d’une magistrale fessée. Effectivement la fessée déculottée fut au delà de ses espérances, Odile était vraiment en colère, Clara avait désobéi malgré les avertissements et les corrections qu’elle lui avait administrées depuis une semaine, cette petite chipie allait le regretter. Elle leva les yeux vers Clémence :

— va me chercher une brosse à cheveux, il doit bien y en avoir une dans la salle de bain.

Clémence acquiesça, sa copine allait vraiment dérouiller, ses fesses étaient déjà écarlates avec la fessée à la main. La seule brosse qu’elle trouva malheureusement pour le derrière de Clara était celle que la mère de celle-ci avait laissé pour l’avoir à disposition quand elle reviendrait. C’était une brosse large et lourde en bois foncé. Clémence la soupesa et eu des frissons rien que de penser qu’un jour ce redoutable instrument claquerait ses propres fesses. En attendant c’était celle de Clara qui allait brûler, au milieu de ses pleurs, la jeune étudiante vit son amie revenir avec la brosse, elle la reconnut immédiatement.

— non, non madame, s’il vous plaît pas la brosse, je…je suis désolée…c’est vrai que j’ai manqué mon bus… Aïe, Aïe, Noon.

La brosse venait de claquer fortement ses fesses déjà endolories, Odile s’appliquait à claquer toute la surface du derrière de la jeune étudiante, elle alternait la fesse droite puis la gauche, le centre du fessier puis la base et enfin la zone si sensible sur le pli qui séparait la croupe des cuisses. Clara pleurait maintenant, la danse de ses fesses était impressionnante. Odile cessa un instant la punition.

— ma petite Clara, ce n’est pas la peine d’être désolée, je sais que la brosse ça brûle beaucoup tes petites fesses mais c’est fait pour ça. Tu devais être rentrée à 21 h, tu n’avais qu’a prendre tes précautions pour ne pas manquer le bus. Je pense que quand j’en aurai fini avec ton petit derrière tu vas t’en souvenir pour la prochaine fois.

Puis elle se tourna vers Clémence :

— ma petite chérie, prend ton téléphone et fait quelques photos de cette chipie en train de recevoir sa fessée, je vais les envoyer à sa maman. Je pense qu’elle va beaucoup apprécier le comportement de sa petite fille, n’est-ce pas Clara ?

Clara bien sûr ne répondit pas, elle pleurait comme une gamine punie sur les genoux de sa nouvelle maman. Elle savait que sa mère ne laisserait pas passer ça, elle pouvait s’attendre à passer un week-end avec les fesses bien rouges à sa prochaine visite. Mais pour le moment c’était la cuisson intolérable qui lui embrasait le derrière qui était sa priorité.

Odile avait repris la fessée, elle détestait la désobéissance et la punition serait exemplaire. Le fessier de la pauvre Clara était maintenant rouge brique, la sévère maman eut un petit sourire “toi ma jolie, tu vas avoir du mal à t’asseoir demain”. Elle administra encre une vingtaine de coups de brosse puis elle la reposa sur la table. Elle posa sa main sur les fesses de la jeune étudiante pour en apprécier la chaleur, c’était vraiment brûlant, elle était satisfaite de son travail :

— voilà ce que j’appelle une bonne fessée déculottée ma petite chérie. Vas-tu encore désobéir ?

Clara sanglotait doucement, ses fesses se serraient et s’ouvraient pour essayer d’atténuer la brûlure. Une nouvelle claque retentit dans la pièce.

— Aïe, Aïe…

— Je t’ai posé une question !! tu veux encore la fessée ?

— non, non madame… Aïe, Aïe, Aïe…

La main d’Odile claquait imperturbablement le fessier incandescent :

— non, quoi ? tant que tu ne m’auras pas répondu correctement je vais continuer la fessée, c’est toi qui choisit.

— oui, madame, non je ne désobéirai plus promis, Aïe, Aïe, plus la fessée s’il vous plaît.

Odile eut un petit sourire satisfait, cette petite était matée, et en plus elle avait vraiment une ravissante paire de fesses. Si la sévère maman fessait toujours à bon escient, il n’y avait aucun doute qu’elle aimait jouer le rôle de mère fouettarde, trousser et déculotter des jolis derrières lui plaisait énormément. Elle en avait maintenant quatre à sa disposition et ces deux jeunes étudiantes avait des fesses à fessées.

Elle cessa de caresser les fesses brûlantes de Clara et la fit se relever :

— bien maintenant en pyjama et au lit ! toi aussi Clémence, ça te fera le plus grand bien. Vous me donnez vos téléphones, quand je dis au lit, c’est lumière éteinte et dodo. C’est bien compris. A j’oubliais, vous êtes privée de sortie pendant un mois, Clémence tu peux remercier ta copine.

La culotte de Clara était enroulée autour de ses chevilles, Odile la regarda en souriant.

— enlève-moi complètement ta culotte et donne-moi là, tu n’en as plus besoin.

Clara fit ce qu’on lui demandait, elle était un peu gênée de devoir donner sa culotte à Odile mais la brûlure qui envahissait son fessier l’empêchait de protester. Elle tendit sa petite culotte en coton à sa nouvelle maman. Celle-ci sans aucune gêne la retourna pour en examiner le fond. Elle fit une petite moue.

— ce n’est pas très net ça ma petite Clara, nous en discuterons demain.

Clara avait tellement mal aux fesses qu’elle ne releva pas cette petite phrase mais Clémence en eu le sang glacé. Après la menace à peine voilée de prise de température rectal voilà que Odile avait l’intention de vérifier leur hygiène intime. La confirmation arriva quelques minutes plus tard quand Odile rentra dans sa chambre au moment où elle se déshabillait.

— montre-moi ta culotte ma petite Clémence, je pense que tu dois être comme ta copine.

Clémence rougit violemment, depuis qu’elle avait douze ans jamais personne n’avait osé lui parler comme ça, mais le souvenir très récent des deux fessées auxquelles elle venait d’assister, l’incita à la prudence. Elle se déculotta et rouge de honte tendit sa petite culotte à Odile. Elle savait qu’elle devait garder les traces de ses émois intimes pendant qu’elle assistait aux punitions d’Amélie et de Clara.

Odile avait retourné complètement la culotte pour en examiner le fond, la moue fut encore plus explicite que pour celle de Clara. Elle posa la culotte sur le lit s’y assit et fit un signe à Clémence.

— viens un peu ici !!

Clémence était pétrifiée mais comme un automate elle s’approcha des genoux d’Odile, en un clin d’œil celle-ci la bascula en travers de ses cuisses comme si elle allait lui administrer une fessée, c’est d’ailleurs ce que pensait Clémence, car elle se mit à protester :

— non, non, s’il vous plaît madame pas la fessée, je n’ai rien fait.

Odile se mit à rire :

— mais qui t’a dit que j’allais te donner la fessée, ce n’est pas mon intention, enfin pas tout de suite. Je vais juste vérifier quelque chose.

Elle avait pris un kleenex et elle écarta les fesses de la jeune étudiante puis elle passa soigneusement le mouchoir le long de la raie fessière puis descendit jusqu’à la vulve en la forçant à écarter ses cuisses. Elle regarda ensuite le mouchoir blanc qui bien sûr en fin de journée ne pouvait pas être nickel. Elle fit une grimace et passa le mouchoir sous le nez de Clémence :

— à ton âge, tu pourrais quand même faire un peu attention à ta toilette intime ma petite. C’est incroyable !!

Elle leva la main et administra une cinquantaine de claques sur les fesses si bien présentées.



— j’aurai une petite conversation avec vous deux dès demain, je n’aime pas les filles négligées.

Elle fit relever Clémence qui avait les joues écarlates de honte. Elle lui désigna la salle de bains :

— file te laver les fesses et applique-toi !

Clémence s’exécuta sans un mot, elle se rendit compte qu’elle venait de recevoir sa quatrième fessée, est-ce-que Odile comptait également. Elle repensa à Amélie et à la punition au thermomètre, ses fesses se serrèrent d’angoisse.

Elle sentait quasiment le thermomètre pénétrer dans son derrière.










Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...