mercredi 21 février 2024

Deux étudiantes 3

 Odile, une nouvelle maman.





Odile parcourut l’appartement du regard.

— Ma chère Laurence, toutes mes félicitations, le résultat obtenu est remarquable, je suppose que les fesses de ces deux chipies ont dû chauffer pour que cet appartement soit si clean.

Laurence en riant lui répondit :

— Oh juste une petite fessée déculottée pour Clémence qui avait eu un peu de mal à comprendre les consignes malgré la brosse à cheveux mais rien de bien méchant. Leurs fesses sont en parfait état si vous avez besoin de sévir, je viens juste de les reculotter mais si vous voulez vérifier par vous-même.

Clémence était rouge de honte en assistant impuissante à cette conversation qui la ramenait au rang de gamine. Odile les regardait attentivement, s’attardant sur leurs fesses :

— Non, non ce n’est pas la peine, je vous fais confiance, j’aurai certainement l’occasion d’examiner leurs fesses je suppose.

Laurence acquiesça puis elle prit congé en faisant une bise à chacune des deux jeunes femmes :

— Bien je vous laisse, soyez sage, je pense que Odile va bien s’occuper de vous, je reviens la semaine prochaine.

Dès qu’elles furent seules, Odile leur annonça le programme :

— Mesdemoiselles, je pense que vous avez compris que je suis un peu exigeante, je vous ai bien observée depuis la rentrée et votre comportement m’a souvent agacée, ça va changer croyez-moi. Fini les rentrées tardives et les fêtes en semaine, vous rentrerez directement après vos cours et vous aurez le droit de sortir le vendredi et le samedi uniquement et après m’en avoir demandé l’autorisation. Si vous faites des bêtises vous serez privée de sortie et la fessée déculottée sera la règle en cas de désobéissance. Pour commencer vous allez m’écrire votre emploi du temps, je le collerai sur le frigo à côté de celui d’Amélie et Chloé, je pourrai surveiller si vous avez traîné.

Clémence et Clara se regardèrent, elles revenaient de nombreuses années en arrière, pour Clémence c’était au collège que sa mère surveillait son emploi du temps, pour Clara la surveillance avait duré jusqu’au lycée mais pour elle à la différence de Clémence ce contrôle s’accompagnait de sanctions cuisantes sur son derrière dénudé. Clara ne put s’empêcher de faire la moue ce qui agaça Odile. C’était le moment de marquer son autorité, elle prit la jeune femme par la main et s’asseyant sur une chaise elle la bascula en travers de ses genoux, ça avait été si rapide que Clara surprise ne s’était pas défendue, quand elle se rendit compte de ce qui allait lui arriver c’était trop tard.

— Il va falloir vous habituer à m’obéir sans discuter sinon ce sera la fessée.

— Non, non pardon.. Mais je n’ai rien dit, s’il vous plaît madame… Aie… Aie.

La fessée avait commencé sur la culotte, Odile fessait rapidement, elle était expérimentée et ça se voyait, elle claquait la base des fesses qui n’était pas couverte par la lingerie, puis rapidement elle saisit la ceinture de la culotte et la baissa jusqu’au milieu des cuisses, Clara poussa un cri mais c’était trop tard, elle était maintenant déculottée comme une gamine et ses fesses bien exposées subirent immédiatement une avalanche de claques très fortes. En moins d’une minute ses fesses furent écarlates, elle criait et suppliait mais bien maintenue par la taille, elle ne pouvait que battre des jambes et exposer son intimité à Clémence qui regardait ébahie le spectacle de son amie corrigée comme une fillette désobéissante. Elle serra inconsciemment ses fesses sous sa petite culotte blanche, quelque chose lui disait qu’elle subirait bientôt la même humiliation. La fessée rapide terminée, Odile reculotta elle-même Clara et la remit sur pied :

— Bien j’espère que vous avez compris. Vos cours commencent à quelle heure ? 8 h… Vous devez donc partir à 7h30. Lever tous les matins à 6h30 pour que vous ayez le temps de ranger votre chambre et de déjeuner correctement, je passerai vérifier votre tenue tous les matins et gare si le ménage n’est pas fait ou si vous portez une tenue incorrecte. Vous m’amènerez votre emploi du temps dès que vous l’aurez écrit.

Elle quitta l’appartement, laissant les deux jeunes femmes, elles se regardèrent, Clara avait les yeux encore humides, elle frotta ses fesses :

— Eh bien on est dans de beaux draps, elle claque dur celle-là… Ça fait longtemps que je n’avais pas reçu une fessée déculottée aussi rapide et qui brûle autant.

Clémence regardait Clara soucieuse, oui c’était un grand changement qui s’annonçait et la fessée reçue par son amie ne laissait présager rien de bon.

— Je crois qu’on a pas le choix, on doit lui obéir, si ma mère apprend qu’elle a dû nous punir on est bonne pour une double fessée ce week-end.

— Tu crois ?

— C’est sûr, elle a toujours appliqué le précepte une fessée à l’école, une fessée à la maison et en général plus sévère, je ne pense pas qu’elle va changer.

— Oui, mais je ne suis pas sa fille.

— Comme tu veux, mais tu as vu que ça ne changeait pas grand-chose pour elle.

Clémence convaincue par les arguments de son amie, se mit à la rédaction de son emploi du temps.

Comme elle l’avait annoncé, Odile arriva dans leur appartement vers 7 h, elle se dirigea immédiatement vers les chambres qui bien entendu était un peu en désordre, Clémence sortait de la salle de bain, une serviette enroulée autour d’elle pour masquer sa nudité, Odile lui saisi l’oreille et l’accompagna dans sa chambre, dès qu’elles y furent rentrées sa main libre claqua le derrière de Clémence sur la serviette :

— Tu ne peux pas tenir ta chambre rangée ! Depuis hier tu as trouvé le moyen de laisser à nouveau traîner tes affaires !

La main cessa de claquer, mais elle tira sur la serviette, Clémence poussa un petit cri, elle était entièrement nue devant une quasi inconnue, elle n’eut pas le temps de protester plus longtemps, Odile s’était assise sur le bord du lit et l’avait couchée en travers de ses cuisses. 



La fessée débuta immédiatement, comme celle qu’avait reçu Clara la veille, elle fut très brève mais très forte. Clémence avait crié et pleuré comme toute personne recevant une sévère fessée, Clara était sortie de sa chambre et regardait les fesses écarlates de son amie. Décidément ça confirmait ses craintes, elle retourna précipitamment dans sa chambre et fit son lit. Odile avait laissé Clémence debout au milieu de la pièce, elle se frottait les fesses pour atténuer la cuisson.

— Je n’ai pas le temps de te punir pour ta désobéissance, je ne veux pas que tu sois en retard en cours. Je t’attends chez moi à 18h30 puisque tes cours finissent à 18 h. Nous réglerons ça. En attendant tu me plies tes affaires sur cette chaise et tu fais ton lit.

En larmes et entièrement nue, Clémence s’exécuta, exposant son derrière écarlate à sa nouvelle maman. Odile resta dans l’appartement pour surveiller la tenue de ses pupilles. Elles se gardèrent bien de mettre des culottes sexy, le coton blanc accompagnerait leurs fesses dorénavant, elle l’avait bien compris.

Pendant toute la journée, Clémence eut du mal à être attentive en cours, elle pensait à la soirée qui s’annonçait cuisante, mais elle ne voyait pas comment échapper au châtiment enfantin qui lui était promis. Elle ne traîna pas sur le chemin du retour, Clara avait essayé de la consoler, mais elle s’était fait rembarrer, Clémence la tenait pour responsable de la situation, ce qui était un peu vrai.

Quand elle sonna chez Odile, ses fesses étaient crispées sous sa jupe. Ce fut Amélie qui lui ouvrit, Clémence rougit en la voyant, non… Elle n’allait quand même pas recevoir une fessée devant cette fille… Odile passa la tête à la porte de la cuisine.

— À c’est toi, Clémence, c’est bien tu es à l’heure. Entre et viens me voir.

De plus en plus rouge, Clémence s’avança, Amélie la regardait, un petit sourire aux lèvres.

— J’en ai pour quelques minutes et je suis à toi, en attendant approche.

Elle saisit la main de la jeune femme et la fit pivoter. Puis elle lui retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture, Clémence voulu protester mais une vigoureuse claque sur la culotte l’incita à l’obéissance, immédiatement Odile descendit la culotte à mi-cuisse.



— Tu vas aller te mettre au coin, pour réfléchir à ce qui va t’arriver et pourquoi cette fessée est bien méritée. Mets tes mains sur la tête et colle bien ton nez contre le mur.

Pendant qu’elle parlait, elle avait conduit Clémence au coin de la pièce, elle termina sa phrase par une autre claque sur le derrière dénudé. La jeune étudiante ne put retenir ses larmes, ce n’était pas la douleur, mais l’humiliation de se retrouver fesses à l’air, dans cet appartement inconnu, exposant son intimité à Odile et surtout à Amélie qui n’avait pas perdu une miette du spectacle. Elle était assise sur le canapé et elle contemplait la jolie paire de fesses de Clémence. Elle l’avait souvent croisée dans l’escalier et elle la trouvait un peu bêcheuse, elle ne lui parlait pas trop, la considérant peut être encore comme une gamine alors qu’elle, dans son appartement en colocation elle était une adulte. Eh bien ma petite songeait Amélie, maintenant tu es cul nu et connaissant maman, bientôt tu auras les fesses rouges. Odile était retournée dans la cuisine finir de préparer le repas. La pénitence, les fesses à l’air avant d’administrer une fessée était sa spécialité, Amélie et Chloé faisaient souvent des séjours dans le coin fesses nues avant une punition annoncée. L’attente était bénéfique pensait-elle, bien sûr en cas de faute caractérisée, la fessée déculottée immédiate était aussi une pratique courante. Elle laissa Clémence au coin pendant 1/4 h. Puis elle plaça une chaise au milieu de la pièce.

— Bien, il est temps, Clémence vient ici !

Tétanisée Clémence ne bougea pas.

— Clémence !!!! Si je suis obligée de venir te chercher ça va très mal aller pour tes fesses !!

Se rendant à l’évidence que la punition était inévitable, Clémence s’approcha, elle n’avait pas osé enlever ses mains de sa tête, ce qui lui donnait un air encore plus soumis. Odile la regarda en souriant.

— Tu peux baisser tes mains, allez, en position.

Elle avait pris le bras de la jeune femme et l’avait attirée contre ses genoux puis elle la bascula en travers de ses cuisses. C’était une position que Clémence commençait à connaître depuis hier, cependant elle ne s’y habituait pas. Elle était déjà en tenue pour la fessée déculottée, elle songea avec effroi au spectacle qu’elle offrait à Amélie et à sa mère, quelle honte d’exposer ainsi sa croupe bien tendue, elle resserra les cuisses espérant ainsi protéger son intimité. Mais immédiatement la brûlure de la fessée la ramena à la réalité et bientôt sa pudeur n’eut plus d’importance, tout à sa douleur elle écartait largement ses fesses au rythme du battement de ses jambes. Amélie était ravie pour une fois que ce n’était pas elle qui pleurait couchée sur les genoux de maman. Odile s’arrêta et s’adressa à sa fille :

— Tu vois ma chérie, quand on est pas sage, on reçoit la fessée déculottée et il n’y a pas d’âge pour ça, Clémence est plus vieille que toi mais ce n’est pas une raison. Va me chercher ma brosse.

En entendant ces mots, Clémence se mit à supplier :

— Oh non s’il vous plaît plus la fessée, ça brûle, pardon madame… Noon.

Odile se mit à rire :

— Mais ma petite Clémence, ce n’est pas toi qui décides, je sais que ça brûle, c’est fait pour ça la fessée.

Amélie était revenue et avait donné la brosse à cheveux à sa mère. Au passage elle avait regardé de pus près la belle paire de fesses de Clémence. C’est vrai qu’elle a un joli petit cul pensa-t-elle. Elle sentit sa culotte s’humidifier. Odile passa le dos de la brosse sur les fesses déjà chaudes de clémence :

— Je pense qu’après cette punition tu vas prendre soin de ranger correctement ta chambre, mais si ce n’est pas le cas, tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux la culotte baissée.

Elle leva la brosse et recommença la correction, Clémence se mit à crier et supplia à nouveau sa nouvelle maman de cesser la punition :

— Noon, aïe, aïe, ça fait trop mal, pardon madame, non, plus la fessée, aïe… aïe…

Elle avait oublié la cuisson ressentie lors de la dernière fessée à la brosse, c’était horrible, ses fesses n’étaient plus que brûlure, maintenant elle pleurait vraiment, se laissant aller. Odile savait que la partie était gagnée, dorénavant Clémence allait lui obéir au doigt et à l’œil, certes il faudrait encore quelques fessées déculottées pour que son comportement soit acceptable, mais on était sur la bonne voie.

Au milieu de la fessée, Chloé entra dans la pièce, Odile arrêta un instant la punition :

— C’est à cette heure que tu rentres ?

— Euh, oui maman je vais t’expliquer.

— Je n’en doute pas ! En attendant baisse ta culotte, retrousse ta jupe et mets-toi au coin. Je finis avec Clémence et je suis à toi, tu vas avoir tout le temps de me donner des explications une fois que tu seras sur mes genoux.



Chloé piqua un fard mais sans discuter elle obéit à sa mère. Celle-ci avait repris la fessée, nous étions sur la fin, la croupe de Clémence n’était plus qu’une boule écarlate, aucun endroit n’avait échappé à la brosse, y compris le haut des cuisses. Jugeant la punition suffisante, elle remonta la culotte :

— Bien j’espère que tu as compris la leçon, je te dispense de coin pour cette fois, je suppose que tu as du travail. Mais tu peux rester deux minutes, tu verras que tu n’es pas la seule à recevoir la fessée déculottée en cas de désobéissance.

Elle fit relever la jeune femme, ses yeux étaient embués de larmes, elle voulut porter la main à ses fesses, mais le regard sévère d’Odile l’en dissuada. Puis elle se dirigea vers la cuisine, quelques instants plus tard elle revint tenant un martinet à la main, c’était un martinet traditionnel, avec le manche en bois et une dizaine de lanières de cuir d’une trentaine de cm de long. On voyait qu’il n’était pas neuf et qu’il avait dû caresser d’innombrables derrière.

— Chloé ! Approche un peu.

En voyant le redoutable instrument de punition dans la main de sa mère, Chloé se mit à pleurer :

— Oh non, maman, pas le martinet, s’il te plaît, je n’ai pas fait exprès, pardon…

— J’espère bien que tu ne l’as pas fait exprès, après la fessée que je t’ai donnée hier soir, ça serait malheureux, mais je t’ai déjà dit que tu n’avais qu’à prendre tes précautions pour arriver à l’heure, puisque ma main n’a pas suffi, monsieur martinet va s’occuper de tes fesses. Tu connais la position, sur le fauteuil et vite !

Tout en continuant de pleurnicher, Chloé qui savait qu’elle n’avait pas le choix s’agenouilla sur le fauteuil réservé à cet effet et docilement se pencha en avant pour tendre ses fesses. Odile s’approcha, elle retroussa la jupe haut sur les reins et baissa la culotte jusqu’aux genoux. Puis elle se plaça sur le côté et entrepris de cingler le fessier juvénile. La jeune fille habituée aux punitions sévères de sa maman ne bougeait pas, se contentant de serrer et de desserrer ses fesses au rythme des cinglées. Elle pleurait maintenant et suppliait sa mère d’arrêter mais malgré ses 17 ans elle reçut jusqu’au bout la correction que sa mère jugeait méritée.

Clémence regardait ébahie la correction au martinet, c’était encore une nouveauté, bien sûr elle avait entendu parler de cet instrument de punition, mais elle croyait qu’il avait disparu. Elle regardait fascinée les fesses écarlates de la pauvre Chloé, ce n’était pas très charitable mais voir quelqu’un d’autre recevoir la fessée atténuait un peu la cuisson de sa croupe et l’humiliation ressentie. Elle eut quand même un petit frisson en songeant que peut être prochainement ce serait son derrière qui goûterait à la brûlure des lanières.

La fessée était maintenant terminée, elle n’avait pas duré longtemps, Odile était sévère juste ce qu’il faut, une fessée déculottée devait être humiliante et douloureuse, mais elle ne marquait jamais les fesses de ses filles. La rougeur et la cuisson ne durait que la soirée et une partie de la nuit pour les plus sévères des fessées.

— Maintenant tu files au coin et je ne veux plus t’entendre jusqu’à ce qu’on passe à table. Vu l’heure qu’il était, Chloé était bonne pour passer une heure le nez collé au mur et les fesses à l’air.

Clémence prit congé, ses fesses étaient toujours brûlantes quand elle rentra dans l’appartement, Clara se précipita pour lui demander comment cela s’était passé. Clémence fondit en larmes dans les bras de son amie. Celle-ci l’amena jusqu’au canapé.

— Ma pauvre chérie, fais-moi voir.

Et sans laisser le temps à Clémence de réagir elle la coucha sur ses genoux et la déculotta. La jeune femme ne chercha même pas à l’en empêcher, tout à sa douleur et au souvenir de l’humiliation de la fessée publique. Clara caressait doucement les fesses de son amie.

— Ma pauvre petite, elle ne t’a pas loupé, attend je vais te passer ma crème hydratante, tu vas voir ça fait du bien, j’ai l’habitude.

Clémence se laissa faire, c’était nettement plus agréable que la fessée même si elle était dans la même position.



À suivre…



mercredi 14 février 2024

Lucie et Christian 10

La punition d'Aurore





Aurore avait les joues rouges en arrivant au salon, elle devinait le regard de Lucie braqué sur son fessier.

Le souvenir de la fessée reçue par sa professeure de piano lui revenait, Lucie en avait la sévérité et vu la magistrale déculottée qu’elle venait d’administrer à Christine elle avait un peu d’appréhension pour la suite des événements. Elle était malgré tout excitée, mais elle se doutait que sa correction si elle en recevait une n’aurait rien à voir avec les petits panpan cucul coquin de sa jeunesse avec ses petites amies.

Lucie sans aucune gêne lui claqua à nouveau les fesses :

— Allez ma petite dépêche-toi un peu.

La stricte responsable du service commercial se sentit fondre, elle s’entendit répondre :

— Oui, oui madame, mais que voulez-vous faire ?

Lucie se mit à rire :

— Tu ne t’en doutes pas ? Avec une si belle paire de fesses tu ne crois pas que je vais te laisser repartir comme ça.

Aurore était trop excitée pour oser refuser quoi que ce soit, mais elle eut quand même une dernière hésitation :

— Mais madame, quand même, je ne suis pas Christine, vous n’allez pas…

Sa phrase resta en suspens, car la main de sa jeune hôtesse venait de claquer encore plus sèchement son derrière :

— Comment ça je ne vais pas ? Te déculotter pour te flanquer la bonne fessée que tu mérites ? Bien sûr que si !

Lucie s’était installée confortablement sur le canapé, elle attrapa la main d’Aurore :

— Allez viens un peu ici ma jolie.

La jeune femme ne résista qu’à peine, en un clin d’œil elle était couchée en travers des cuisses de la sévère épouse de Christine. Lucie tapota les fesses encore recouvertes par la jupe, Aurore s’habillait assez court, celle-ci s’était déjà légèrement relevée découvrant presque sa culotte :

— Depuis quand n’as-tu pas reçu une fessée ?

La main de Lucie claqua un peu plus énergiquement la croupe. Aurore ne savait plus où elle en était, des pensées diverses s’entrechoquaient dans son cerveau. Recevoir cette punition infantile à son âge ? L’accepter sans réagir ? Mais que lui arrivait-il. Soudain une brûlure sur ses cuisses la fit crier :

— Aïe, Aïe… Non, Non… Aïe…

La main de Lucie venait de claquer l’arrière des cuisses, découvertes par la jupe remontée :

— Je t’ai posé une question, tu sais que tes cuisses vont vite devenir rouges !

La main continuait à claquer.

— Non, non, aïe, aïe, aïe… Arrêtez madame… Aïe…

Aurore était au bord des larmes, ses cuisses la brûlaient énormément, elle n’avait pas le souvenir d’une cuisson aussi intense lors d’une fessée. Lucie s’arrêta de claquer les cuisses :

— Alors, j’attends. Depuis quand n’as-tu pas été fessée ?

La jeune femme vaincue par la sévérité, répondit en pleurnichant :

— Euh, aïe, ça fait mal… Euh depuis longtemps… AÏE.

La main venait de reclaquer :

— Tu commences à m’agacer, tu as vu ce qui est arrivé à Christine et la couleur de ses fesses, je pense que tu vas avoir droit au même traitement. Dépêche-toi ! La main reclaqua une dizaine de fois l’arrière des cuisses qui était maintenant très rouge.

Aurore pleurait maintenant, elle avoua la fessée de sa professeure de piano et après quelques claques supplémentaires les fessées coquines de sa jeunesse.

Lucie souriait, « Toi ma petite tu n’as pas fini d’avoir le petit cul bien rouge, crois-moi puisque tu aimes la fessée je te promets qu’il va te cuire souvent », elle lissa la jupe de la punie :

— Bien, bien nous avons donc pas mal de retard à rattraper, voyons un peu ce joli derrière.

Elle retroussa largement la jupe sur les reins d’Aurore, celle-ci portait une culotte blanche en dentelle particulièrement échancrée. Les mouvements désordonnés de la jeune femme pendant la claquée sur les cuisses, l’avait fait rentrer dans la raie médiane, les fesses blanches étaient quasiment entièrement découvertes.

C’était très excitant ce petit derrière à moitié dénudé, Lucie décida de retarder le déculottage, elle avait le temps cette petite allait passer un moment sur ses genoux.

Elle leva la main et commença à claquer cette très jolie croupe, elle s’amusait à alterner les fortes claques avec des plus douces, elle variait aussi l’endroit, tantôt la base des fesses dénudées, puis la partie la plus charnue encore recouverte par la culotte. Rapidement les fesses se mirent à rougir en même temps qu’elles se trémoussaient sous la cuisson, Aurore essayait de rester stoïque, au début elle gémissait doucement, mais Lucie accentua la force des claques et bientôt la jeune femme se mit à supplier :

— Aïe, aïe, aïe ça fait mal, non, non…



Lucie souriait le battement des jambes, les fesses bien rouges, maintenant presque complètement mise à l’air, tout cela était vraiment mignon. Cette Aurore avait vraiment un joli popotin, il lui fallait vraiment l’examiner de plus près.

Elle cessa la fessée :

— Eh oui, ça brûle beaucoup, c’est fait pour ça la fessée ma petite chérie, tu vas voir, ça va te cuire encore mieux quand tu vas être cul nu.

Elle avait glissé ses doigts sous la culotte et elle la baissa jusqu’aux genoux :

— Voilà ma petite dame, déculottée comme une gamine… J’espère que tu as bien honte de me montrer tes fesses…

Elle caressait la croupe déjà bien colorée :

— Avec une si belle paire de fesses, c’est vraiment une bonne fessée déculottée qu’il te faut, tu vas voir comment maman Lucie va bien s’en occuper.

Elle prit la brosse à cheveux sur la table et appliqua le premier coup sur la fesse droite puis immédiatement sur l’autre. Aurore hurla sous la brûlure, Lucie n’avait pas retenu sa force, une plaque plus rouge était apparue sur chacune des fesses.

Aurore s’était cambrée, mais elle était bien maintenue par la taille et seules ses jambes pouvaient bouger, ses fesses s’ouvraient largement à chaque coup de la brosse. Elle commençait à comprendre ce que c’était qu’une correction de maman Lucie, elle se mit à pleurer rapidement. La sévère fesseuse qu’était devenue Lucie appréciait quand ses punis en arrivaient aux larmes, c’était le signe que sa punition avait été efficace, elle continua quand même à claquer le généreux fessier d’Aurore. Il fallait qu’elle se souvienne longtemps de sa première fessée déculottée et qu’elle la craigne pour lui obéir ensuite au doigt et à l’œil.

La croupe était maintenant cramoisie, Lucie souriait, « Tu vas avoir du mal à t’asseoir ce soir ma pauvre petite chérie ». Elle administra encore une dizaine de coups de brosse puis caressa les fesses brûlantes, Aurore sanglotait, ce n’était plus la stricte responsable de Christine mais une gamine éplorée couchée sur les genoux de sa maman après une magistrale correction. Lucie lui tapota les fesses :

— Voilà, tu as reçu la fessée déculottée que tu avais bien méritée, j’espère que tu as compris qu’à partir de maintenant tu vas devoir obéir sans discuter à maman Lucie.

Aurore pleurait à chaudes larmes, une nouvelle claque très forte sur son fessier brûlant lui tira un cri. Lucie la voulait vraiment docile :

— Je t’ai posé une question ? Si tu ne réponds pas, je recommence la fessée. Vas-tu m’obéir bien gentiment ?

Aurore répondit en pleurant :

— Aïe, aïe, aïe, oui, oui madame, promis, mais plus la fessée s’il vous plaît.

Lucie caressa à nouveau le derrière écarlate :

— J’espère bien, si tu n’obéis pas, gare à tes fesses, tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux. Tu vas m’appeler maman Lucie comme Christine, c’est bien compris !

Elle avait terminé sa phrase en administrant quelques claques bien sonores sur le joli fessier de sa nouvelle soumise.

Quand Aurore put enfin se relever, elle avait perdu toute sa superbe, des larmes coulaient sur ses joues qui étaient aussi rouges que ses fesses, elle n’osait pas regarder sa nouvelle maman. Celle-ci en souriant, lui releva le menton :

— Regarde-moi quand je te parle. Tu l’avais bien cherché cette fessée déculottée n’est-ce pas ?

Aurore avait retenu la leçon, il lui fallait répondre, au milieu de ses sanglots, elle articula :

— Oui… oui maman Lucie.

Elle posa ses mains sur ses fesses pour les frotter. Lucie fronça les sourcils :

— Mets tes mains sur la tête immédiatement, ça t’évitera de faire des bêtises. La prochaine fois que tu essayes de te frotter les fesses après la fessée, tu reviens illico sur mes genoux.

La jeune femme obéit immédiatement, sans se rendre compte de sa soumission et du ridicule de la situation. Lucie lui fit un petit signe :

— Tourne-toi !

Elle souleva la jupe qui était retombée sur la croupe écarlate et coinça l’ourlet dans la ceinture, la culotte était entortillée autour de ses chevilles, elle la remonta à mi-cuisses. Puis elle claqua le derrière bien présenté :

— Tu connais la suite n’est-ce pas ? File au coin et mets ton nez contre le mur. Je ne veux plus t’entendre, tu vas réfléchir à ce qui t’attends dorénavant.

 


Puis elle se leva laissant Aurore en pénitence le nez collé au mur, elle se dirigea vers la chambre. Le spectacle qu’offrait sa petite Christine était particulièrement excitant, elle n’avait pas bougé, le nez bien collé contre le mur, les mains sur la tête, les fesses bien rouges avec en leur milieu, la rondelle bleu pâle du plug. Elle s’approcha et posa sa main sur les fesses encore bien chaudes :

— Alors ma petite chérie, il te brûle encore ton petit cucul ? Tu sais que tu es très mignonne comme ça, j’ai bien envie de te recoller une déculottée.

La punie se mit à gémir :

— Oh non, maman Lucie, mes fesses me brûlent trop, s’il te plaît…

La jeune maîtresse se mit à rire, satisfaite de son pouvoir :

— Ah tu as peur pour ton petit derrière ? Mais tu n’as eu que ce que tu méritais et si je décide de t’en flanquer une autre c’est qu’elle sera justifiée.

Sa main avait saisi la rondelle du plug et le fit coulisser doucement :

— Ton petit cul est bien garni mais rassure-toi ce soir tu auras droit à autre chose, tu es contente que maman Lucie s’occupe de toi ?

Christine savait qu’il lui fallait répondre sous peine d’une nouvelle fessée sur son derrière endolori, elle avala sa salive avant de répondre doucement :

— Oui maman Lucie, merci… Aïe…

Une claque venait de retentir dans la pièce :

— Mieux que ça remercie-moi, comme je t’ai appris.

Christine le savait pourtant mais c’était toujours un peu difficile, elle recommença sa phrase :

— Merci maman Lucie de t’occuper de mon gros derrière, merci pour cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée.



La jeune femme souriait ravie, elle tapota les fesses brûlantes :

— C’est bien, ce n’est quand même pas difficile, la prochaine fois je veux que tu me remercies dès que je te touche les fesses, sinon tu auras droit au martinet.

Elle recula pour à nouveau contempler le superbe fessier de sa chérie, c’est vrai que l’administration régulière de fessées lui ont fait vraiment un beau cul pensa-t-elle :

— En attendant puisque tu reconnais que tu as mérité d’être punie, rassure-toi ce soir tu y auras encore droit avant que je te fasse jouir avec mon gode. Tu n’as pas fini ta pénitence tâche de rester tranquille si tu tiens à la peau de tes fesses.

Elle sortit et referma la porte, elle prit le plug rose sur la table et s’approcha d’aurore :

— C’est bien, je vois que tu as été sage, viens un peu ici ma jolie.

La jeune femme se retourna tout en gardant ses mains sur sa tête, elle rosit en voyant le plug, elle se doutait qu’il lui était destiné. Lucie remarqua sa mine inquiète :

— Eh oui ma petite chérie, regarde bien ce qui va garnir ton petit derrière.

Aurore se mit à gémir :

— Oh non maman Lucie, non, pas ça c’est trop gros.

Lucie éclata de rire :

— Tu plaisantes j’espère ? C’est un petit plug de rien du tout, ne me dit pas que tu n’as jamais rien eu dans le derrière ?

Aurore rouge de confusion lui avoua que oui, elle était vierge de ce côté-là.

Lucie était ravie, ce n’en était que plus excitant, elle prit la main de sa nouvelle soumise et la fit basculer en travers de ses cuisses :

— Allez en piste ma petite.

Aurore poussa un cri mais ne résista pas. Immédiatement Lucie lui écarta largement les fesses :

— Allez tu vas voir, je vais m’occuper de toi, écarte un peu mieux les jambes et desserre les fesses si tu ne veux pas goûter à nouveau à ma brosse à cheveux.

Honteuse mais craignant pour son fessier déjà bien endolori, la jeune femme s’exécuta. Lucie tenait les deux hémisphères écartés, la petite rondelle brune semblait bien contractée, elle humidifia son doigt et le posa dessus pour en apprécier l’élasticité. Aurore gémissait doucement, elle se mit à sangloter, elle était vaincue par cette humiliation supplémentaire, Lucie souriait toujours :

— On va commencer doucement ma chérie, maman Lucie va prendre la température à sa petite Aurore.

Celle-ci poussa un petit cri en sentant l’embout froid du thermomètre pénétrer doucement son anus. Elle se souvenait qu’elle détestait quand sa mère lui prenait la température et à 40 ans, elle était obligée de subir ça à nouveau et de se laisser faire. Elle ne put retenir la contraction de ses fesses, calmement Lucie ressorti le thermomètre :

— Décidément ma petite chérie, tu n’as pas encore compris que je n’aime pas les petites effrontées qui n’en font qu’à leur tête, je vais avoir une conversation avec ton joli petit derrière, il va peut-être mieux comprendre que ta cervelle.

La brosse à cheveux repris son action et Aurore ses cris.



Lucie adorait donner la fessée et Aurore avait vraiment une très jolie paire de fesses, elle s’en donna donc à cœur joie sans se préoccuper des cris de détresse de la jeune femme. Celle-ci n’avait jamais reçu une correction pareille, elle avait littéralement le feu aux fesses. La sévère fesseuse cessa la punition, les fesses étaient rouges briques, elle posa la brosse puis elle caressa la croupe brûlante :

— J’espère que tu as compris, ton petit cul est bien chaud ma petite chérie, tu vas bien gentiment laisser le thermomètre rentrer dedans sinon je recommence, quand tes fesses en auront assez j’arrêterai.

Aurore était abasourdie par la sévérité de Lucie, elle était prête à tout pour ne pas recevoir une nouvelle fessée, elle écarta largement ses jambes :

— Non, non maman Lucie, plus la fessée, écartez mes fesses et mettez-moi le thermomètre si vous voulez.

La sévère maman souriait :

— C’est bizarre comme une bonne fessée déculottée rend les dames dociles. Tu aurais pu t’éviter celle-là si tu m’avais laissé faire.

Elle avait écarté largement les deux fesses, le thermomètre pénétra profondément, Lucie sentit une humidité entre ses cuisses, c’était vraiment très excitant. Elle le fit coulisser plusieurs fois :

— Alors ma petite chérie Tu le sens bien dans ton petit cul ?



Aurore gémissait doucement, certes elle était humiliée de se faire prendre la température comme une gamine, mais elle sentait également une excitation dans cette punition qui était nouvelle pour elle. Lucie retira presque complètement le thermomètre puis le fit pénétrer à nouveau rapidement :

— Il faut vraiment détendre ton petit trou ma chérie, on va lui faire faire un peu de gymnastique, on va le sortir et le rentrer comme ça 20 fois et tu vas compter. Allez on commence et gare à tes fesses si tu te trompes !

Le thermomètre commença ses va-et-vient dans le derrière d’Aurore, celle-ci complètement vaincue comptait soigneusement les allers-retours du thermomètre en gémissant. Lucie était ravie du spectacle elle accélérera le rythme jusqu’à ce la punie se trompe. Elle laissa le thermomètre profondément enfoncé et administra une vingtaine de claques sévères sur les fesses écarlates :

— Décidément je crois que tu aimes quand je te claque le derrière et bien rassure-toi je ne suis pas fatiguée. À combien en sommes nous ? Si tu te trompes on recommence !

En pleurant Aurore annonça « 15 ».

— C’est bien, il n’y a rien de mieux que la fessée déculottée pour les vilaines filles. Encore cinq allers-retours et ton petit cul sera prêt pour le plug.

Quand enfin elle retira le thermomètre, Aurore gémissait légèrement, ce qui fit sourire sa jeune maîtresse, elle posa son doigt sur l’anus et le fit légèrement pénétrer :

— Voilà tu es prête pour goûter au plug ma petite chérie. Tu as vu que maman Lucie n’aime pas les effrontées, je te conseille de bien te laisser faire, ma brosse à cheveux n’est pas encore fatiguée.

Elle avait pris le plug rose, elle écarta à nouveau les deux hémisphères écarlates et poussa lentement l’engin punitif contre la petite rondelle qui s’ouvrit doucement. Aurore râlait doucement mais instruite par l’expérience de ses fesses brûlantes, elle ne les contracta pas.

Bientôt la rondelle du plug se cala au fond de la raie fessière, Lucie relâcha les fesses et les tapota gentiment :

— C’est bien tu as été mignonne, c’est quand même malheureux qu’a ton âge il te faille encore recevoir une bonne déculottée pour te faire obéir. Mais rassure-toi, maman Lucie sera toujours disponible pour te déculotter quand ça sera nécessaire.



Aurore avait les joues aussi rouges que ses fesses pendant que sa nouvelle maman lui faisait la morale comme si elle était une gamine. Lucie se délectait du spectacle de la magnifique croupe cramoisie, elle n’était pas pressée de la faire relever, elle continuait à caresser l’épiderme brûlant :

— Pour t’apprendre l’obéissance et l’humilité, chaque fois que tu viendras à la maison tu me demanderas de te prendre la température. Si tu oublies, tu seras punie, je suppose que tu n’aimerais pas te faire baisser la culotte pour recevoir une bonne fessée déculottée devant Christine ? C’est ce qui t’arrivera si tu désobéis et en plus elle assistera à ta prise de température après la fessée.

Aurore était atterrée par la perversion de sa nouvelle maîtresse, mais inconsciemment elle savait qu’elle avait besoin de se sentir soumise.

Lucie la fit se relever et lui claqua les fesses :

— Tu peux te reculotter, tu vas garder ce plug jusqu’à ce que tu te couches. Ne t’avise pas de l’enlever avant. Je vais t’appeler régulièrement en vidéo par WhatsApp et tu devras me montrer ton petit cul pour que je vérifie qu’il est toujours en place.

Aurore se mordit les lèvres, décidément Lucie pensait à tout.

Elle n'avait pas fini de gigoter sur les genoux de sa nouvelle maîtresse avec la culotte baissée et les fesses bien rouges.




 

 

 

 

mercredi 7 février 2024

Deux étudiantes 2

Odile



Laurence en quittant l’appartement avait une idée derrière la tête. Elle ne pouvait pas laisser sa fille sans surveillance c’était sûr maintenant. Elle traversa le palier et sonna à l’appartement d’en face. Odile lui ouvrit, c’était une dame d’un peu plus de quarante ans, Laurence avait fait sa connaissance lors de l’emménagement de Clara et les conversations qu’elles avaient eu lui avait donné une idée.

Odile avait deux filles de 16 et 19 ans et Laurence avait compris à plusieurs allusions qu’elles partageaient la même méthode d’éducation, à savoir la bonne vieille fessée déculottée.

Odile fut un peu surprise de sa visite mais quand Laurence lui eut expliqué la situation elle eut un petit sourire.

— je comprends votre démarche, moi-même je pense que je ne serais pas tranquille de laisser mon aînée vivre seule… J’ai bien remarqué que votre fille et son amie manquait de maturité mais je vous pensais laxiste.

Laurence fut un peu vexée de cette remarque et se promit de prouver à Odile qu’elle avait tort, c’était dommage pour les fesses de Clara qui risquait d’en payer les conséquences. Elle proposa à sa nouvelle amie de venir avec elle dans l’appartement des deux jeunes femmes.

Pendant ce temps clémence se morfondait le nez collé au mur, la cuisson de ses fesses étaient encore présente et lui rappelait sa nouvelle condition. Quand elle entendit la porte se refermer, elle chuchota :

— Clara… Elle va nous laisser la longtemps ?

Sa copine ne bougeait toujours pas et restait silencieuse…

— Clara..!!!

Sans bouger, celle-ci murmura dans un souffle :

— il vaudrait mieux que tu te taises si jamais ma mère t’entends tu es bonne pour une autre fessée et je te garantis que la première te paraîtra douce par rapport à celle-là.

Elle avait dit cela en chuchotant et très vite, on voyait qu’elle connaissait le risque de désobéir à sa mère. Clémence impressionnée se tut et repris son attente humiliante. Quand elle entendit la porte s’ouvrir son sang se glaça et ses fesses se contractèrent en entendant une conversation, Laurence n’était pas seule !



En pénétrant dans la pièce le spectacle offert était un plaisir pour une fesseuse comme l’était Odile, les deux paires de fesses exposées contre le mur était encore rouges, les culottes baissées à mi cuisse soulignaient le caractère humiliant de la pénitence, Odile se retourna vers Laurence :

— je retire ce que j’ai dit, vous n’êtes pas trop laxiste ma chère, joli spectacle !!!

Satisfaite Laurence l’invita à visiter l’appartement sans se soucier des deux punies. Clémence avait reconnu la voix de la voisine et elle avait rentré sa tête dans ses épaules et appuyé encore plus son nez contre le mur, elle aurait voulu disparaître. C’était l’humiliation suprême, après le passage sur les genoux, le déculottage, la fessée, maintenant elle devait présenter ses fesses nues à une inconnue… Clara avait l’habitude, sa mère adorait ajouter ces petites humiliations à la fessée, la punition n’en était que plus profitable. Les deux dames firent le tour de l’appartement pour bien se convaincre de l’utilité d’une sévère reprise en main, en passant dans la salle de bain Laurence récupéra la brosse à cheveux de sa fille. De retour dans le salon elles constatèrent que les deux punies n’avaient pas bougé, Laurence s’adressa à sa nouvelle amie :

— vous conviendrez qu’un tel désordre mérite plus qu’une seule fessée manuelle. Ces deux péronnelles vont devoir comprendre que ça ne peut plus durer, comme vous allez devoir vous charger de les surveiller je vous propose de faire connaissance immédiatement avec leurs derrières. Je vous confie Clara et je vais m’occuper de Clémence.

Elle avait sorti de son sac une brosse à cheveux, identique à celle de Clara, elle la tendit à Odile et lui dit en souriant :

— je pense que vous savez vous servir de cet instrument ?

Odile acquiesça en lui rendant son sourire :

— Amélie et Chloé y goûte régulièrement, pour les grosses bêtises je pense que c’est très efficace.

Laurence se dirigea vers les deux jeunes femmes. Clara se doutait bien que la fessée reçue tout à l’heure n’allait pas suffire à calmer sa mère, la conversation le lui avait confirmée. Pour Clémence c’était autre chose, en plus de l’humiliation du châtiment enfantin reçu et la honteuse exposition de ses fesses nues elle ressentait encore très douloureusement les séquelles de sa première punition, elle ne pensait pas pouvoir supporter une deuxième fessée, la suite allait lui donner tort. Laurence avait saisi les deux amies chacune par une oreille comme si elles étaient des gamines insupportables, elle amena Clara devant Odile qui avait pris place sur une chaise puis toujours en tenant Clémence par l’oreille elle plaça une chaise en face de celle d’Odile. La jeune femme comprenant ce qui allait lui arriver se mit à pleurer et à supplier :

— Oh noon madame, s’il vous plaît, plus la fessée, non je vous en supplie, je vais ranger ma chambre, je serai sage, noon…

Ne tenant aucun compte des supplications de Clémence, la sévère maman l’avait basculée en travers de ses genoux :

— Mais j’espère bien que tu seras sage et que tu vas ranger ta chambre ma petite Clémence, la fessée c’est fait pour ça, mais pour que je sois vraiment sûre que tu aies bien compris, je pense qu’une deuxième fessée est nécessaire.



Odile en avait fait de même avec Clara, celle-ci habituée à l’éducation stricte de sa mère n’avait pas protesté. Maintenant les deux jeunes femmes étaient à nouveau en position disciplinaire, les fesses bien exposées et encore rouges. Odile en connaisseuse appréciait la croupe de Clara, elle passa sa main dessus comme pour en apprécier la qualité, sa main descendit et se glissa entre les cuisses pour les écarter légèrement, en remontant ses doigts s’insinuèrent dans la raie fessière. Elle savait que pour une jeune femme c’était déjà très humiliant de se retrouver dans cette position mais sentir que l’on examinait en détail son anatomie intime ajoutait au trouble. Elle aurait l’occasion de connaître en détail ce derrière mais une première prise en main était importante.

Laurence la regardait amusée, elle était fière des fesses de sa fille, c’était d’ailleurs une des raisons pour laquelle Clara se retrouvait très souvent culotte baissée sur ses genoux. Elle baissa les yeux pour regarder les deux fesses que lui présentait bien malgré elle Clémence, celle-ci pleurnichait doucement et la crainte lui faisait serrer les fesses ce qui n’est pas très agréable pour une fesseuse, elle les tapota doucement :

— Il va falloir me desserrer ces fesses mademoiselle, allez… Voilà encore un peu…

Comme Odile, elle avait glissé sa main entre les cuisses de Clémence pour les écarter et lui indiquer la position à prendre pour recevoir correctement sa punition. Clémence était résignée, une heure avant elle était encore une étudiante en médecine sûre d’elle-même et de son charme, maintenant elle était redevenue une gamine attendant déculottée le châtiment d’une maman sévère.

Laurence saisit la brosse à cheveux et en regardant Odile, donna le signal du début de la correction. Sous la brûlure du premier coup les deux amies poussèrent un cri mais déjà le deuxième arrivait et ce ne fut plus qu’un concert de pleurs et de supplications, les jambes battaient l’air, les fesses s’ouvraient et se refermaient au rythme effréné de la fessée, chacune des deux fesseuses voulait prouver son talent et rivalisait dans la sévérité. 



Aucune partie de la surface fessière n’échappa à leurs claques, les deux paires de fesses étaient maintenant d’un rouge éclatant. Laurence s’arrêta à la grande surprise d’Odile, celle-ci jugeait la punition insuffisante, mais elle fut vite rassurée :

— Maintenant que vous avez fait connaissance avec le fessier de Clara je vous propose de découvrir celui de Clémence, vous verrez qu’il n’a rien à lui envier.

Odile acquiesça en souriant, les deux punies furent relevées, leurs joues étaient baignées de larmes. Chacune des deux sévères mamans saisirent la main de leur nouvelle victime et rapidement, Clara et Clémence se retrouvèrent à nouveau dans la position disciplinaire favorite des fesseuses.

En plus de la douleur intolérable qui envahissait ses fesses, Clémence subissait une ultime humiliation, recevoir la fessée par sa voisine de palier, celle-là même qu’elle croisait régulièrement et qu’elle trouvait un peu trop stricte avec ses filles. Maintenant elle devinait pourquoi celle-ci filait droit. Elle n’eut pas le loisir de continuer ses réflexions la fessée avait repris et celle d’Odile était encore plus sévère que celle de Laurence. Clémence exécuta ce jour-là, sa première danse des fesses, ce ne serait pas la dernière pensait Odile en appréciant le spectacle de l’intimité de la jeune femme bien exposée.

Maintenant les croupes étaient rouge brique uniformément, les deux fesseuses se jetèrent un regard et la fessée cessa. Clémence et Clara sanglotaient et serraient convulsivement leurs fesses.

— Eh bien ma chère Odile, je suis rassurée, ces demoiselles sont en de bonnes mains.

— Je vous remercie Laurence, c’était un plaisir de découvrir ces nouvelles paires de fesses.

Elles caressaient chacune la croupe de leur punie pour apprécier la qualité de la punition, Odile se régalait du spectacle que lui offrait Clémence bien malgré elle :

— C’est curieux comme une bonne fessée rend la peau douce… C’est très agréable au toucher vous ne trouvez pas ?

Laurence acquiesça en palpant elle aussi le fessier brûlant de sa fille. Les deux jeunes femmes ne disaient rien subissant l’examen humiliant de leur derrière. Jugeant qu’elles avaient récupéré de leurs fessées, Laurence fit relever Clara, Odile fit de même avec Clémence et sans se concerter elles saisirent chacune l’oreille de leur punie pour la conduire au coin.

Laurence proposa un café à sa nouvelle amie. Odile lui confessa son goût pour l’éducation stricte et lui confia que ses deux filles recevaient régulièrement des fessées déculottées et qu’Amélie malgré ses 19 ans s’était retrouvée, le week-end dernier, allongée sur ses genoux, la culotte baissée et les fesses bien rouges. Elle lui assura qu’elle pouvait être tranquille sa fille et son amie allait filer droit à partir de maintenant.

Clémence entendait tout cela d’une oreille incrédule, ce n’était pas possible, elle avait 25 ans tout de même, elle n’allait pas être traitée comme une gamine par cette femme qu’elle connaissait à peine ! Hélas la cuisson de ses fesses la ramenait à la dure réalité.

Odile prit congé mais en précisant à l’intention des deux punies :

— À ce soir mesdemoiselles, je viendrai vous expliquer l’organisation que je compte mettre en place.

Laurence laissa les deux punies au coin pendant 1/2 heure ce qui parut interminable à Clémence mais tout à fait supportable pour Clara à qui il était arrivé d’y rester une soirée entière. Elle les appela et les fit se retourner pour lui présenter leurs fesses, celle-ci n’avait pas perdu leur belle couleur rouge elle posa sa main pour apprécier la chaleur :

— Voilà ce que j’appelle une bonne fessée, ça va vous chauffer un moment et c’est fait pour ça. Bon maintenant au travail, vous allez me ranger cet appartement et faire le ménage à fond.

Elle remonta la culotte de Clara juste sous ses fesses pour qu’elle puisse marcher, mais que son derrière soit toujours bien visible. Puis elle saisit la culotte sexy de Clémence et lui enleva complètement :

— Je ne veux plus te voir porter ce genre de culotte, si jamais je t’y reprends en plus de la fessée, je te prive de culotte pendant 3 jours et tu resteras cul nu sous ta jupe, c’est bien compris !

Elle avait accompagné sa dernière phrase d’une vigoureuse claque sur les fesses écarlates de Clémence. Elle la tira par l’oreille jusqu’à sa chambre et trouva dans le fouillis une culotte blanche en coton que Clémence mettait pour faire du sport, elle lui tendit. La jeune femme l’enfila satisfaite de pouvoir enfin cacher ses fesses, mais sa satisfaction fut de courte durée, Laurence la fit pivoter et d’un geste rapide descendit la culotte sous les fesses comme elle l’avait fait pour Clara :

— Voilà une tenue parfaite pour faire le ménage, si vous rêvasser ou que c’est mal fait, vos fesses sont à ma disposition.

Les deux jeunes femmes stimulées par cette menace se mirent au travail.

Clara était habituée et elle fut très efficace, ce n’était pas le cas de Clémence, si dans son enfance elle rangeait bien sa chambre depuis qu’elle était autonome elle avait perdu ces bonnes habitudes, sa mère était comme disait Odile, un peu laxiste.

Au bout d’une heure, Laurence entra dans la chambre, sans dire un mot, elle saisit à nouveau Clémence par l’oreille et l’entraîna au salon, elle tenait à ce que la fessée fut publique même s’il n’y avait que Clara, c’était plus humiliant. Elle posa son pied sur un tabouret et souleva Clémence pour la coucher sur sa cuisse horizontale, elle poussa un cri en perdant l’équilibre, ses pieds maintenant ne touchaient plus le sol et ses fesses étaient parfaitement présentées, Laurence leva la main et commença à lui administrer une fessée très rapide :

— Je crois que tu n’as pas compris ma petite Clémence, quand je dis de ranger, ce n’est pas juste de jeter en vrac tes vêtements dans le placard ! puisque ton cerveau ne veut pas comprendre je vais parler à tes fesses ! Tu vas voir, on comprend beaucoup mieux avec les fesses bien rouges.



Clémence goûtait à une quatrième fessée depuis le début de la matinée et c’était encore plus douloureux, car la peau de ses fesses était encore sensible, en plus la position adoptée la ramenait vraiment au rang de petite fille et sa croupe bien tendue rendait également la correction plus cuisante. Ramenée au rang de gamine désobéissante, Clémence pleurait et promettait à sa nouvelle maman qu’elle serait sage, qu’elle rangerait sa chambre, enfin toute chose complètement incongrue dans la bouche d’une étudiante en médecine de 25 ans. Jugeant la leçon suffisante, Laurence la reposa par terre :

— Tu recevras autant de fessées que nécessaire mais crois-moi ta chambre sera impeccable quand je partirai. Je pense que tes fesses en auront assez avant ma main !!

Clémence frottait maintenant ses fesses, Laurence se mit à rire :

— Ah c’est sûr, ça chauffe, c’est fait pour ça ma chérie, mais arrête de frotter tes fesses, c’est interdit sauf si tu veux revenir sur mes genoux.

Clémence cessa immédiatement et se dirigea vers sa chambre en exposant son derrière rougeoyant à Laurence.

En fin d’après-midi l’appartement était nickel. Laurence les félicita :

— C’est parfait mes chéries, c’est quand même dommage qu’à votre âge on soit obligée de vous déculotter comme des gamines pour vous faire obéir. Bien tournez-vous que j’examine un peu vos jolies fesses…

Clara était habituée, elle se tourna et se pencha en avant, pour Clémence se fut un peu plus difficile, cette petite humiliation supplémentaire était très gênante mais en voyant le regard sévère de Laurence et en repensant aux fessées reçues, elle imita son amie. Laurence était ravie, ces deux fessiers bien présentés étaient magnifiques, celui de Clara avait retrouvé toute sa blancheur tandis que celui de Clémence était encore légèrement rosé, trace de la dernière fessée.

— C’est bien, vos fesses sont en parfait état, si vous n’êtes pas sage, Odile pourra vous donner une fessée sans aucun problème.

Puis elle reculotta les deux jeunes femmes comme une l’aurait fait une maman avec des gamines.

C’est à ce moment-là qu’Odile arriva.



À suivre…




Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...