Odile, une nouvelle maman.
Odile parcourut l’appartement du regard.
— Ma chère Laurence, toutes mes félicitations, le résultat obtenu est remarquable, je suppose que les fesses de ces deux chipies ont dû chauffer pour que cet appartement soit si clean.
Laurence en riant lui répondit :
— Oh juste une petite fessée déculottée pour Clémence qui avait eu un peu de mal à comprendre les consignes malgré la brosse à cheveux mais rien de bien méchant. Leurs fesses sont en parfait état si vous avez besoin de sévir, je viens juste de les reculotter mais si vous voulez vérifier par vous-même.
Clémence était rouge de honte en assistant impuissante à cette conversation qui la ramenait au rang de gamine. Odile les regardait attentivement, s’attardant sur leurs fesses :
— Non, non ce n’est pas la peine, je vous fais confiance, j’aurai certainement l’occasion d’examiner leurs fesses je suppose.
Laurence acquiesça puis elle prit congé en faisant une bise à chacune des deux jeunes femmes :
— Bien je vous laisse, soyez sage, je pense que Odile va bien s’occuper de vous, je reviens la semaine prochaine.
Dès qu’elles furent seules, Odile leur annonça le programme :
— Mesdemoiselles, je pense que vous avez compris que je suis un peu exigeante, je vous ai bien observée depuis la rentrée et votre comportement m’a souvent agacée, ça va changer croyez-moi. Fini les rentrées tardives et les fêtes en semaine, vous rentrerez directement après vos cours et vous aurez le droit de sortir le vendredi et le samedi uniquement et après m’en avoir demandé l’autorisation. Si vous faites des bêtises vous serez privée de sortie et la fessée déculottée sera la règle en cas de désobéissance. Pour commencer vous allez m’écrire votre emploi du temps, je le collerai sur le frigo à côté de celui d’Amélie et Chloé, je pourrai surveiller si vous avez traîné.
Clémence et Clara se regardèrent, elles revenaient de nombreuses années en arrière, pour Clémence c’était au collège que sa mère surveillait son emploi du temps, pour Clara la surveillance avait duré jusqu’au lycée mais pour elle à la différence de Clémence ce contrôle s’accompagnait de sanctions cuisantes sur son derrière dénudé. Clara ne put s’empêcher de faire la moue ce qui agaça Odile. C’était le moment de marquer son autorité, elle prit la jeune femme par la main et s’asseyant sur une chaise elle la bascula en travers de ses genoux, ça avait été si rapide que Clara surprise ne s’était pas défendue, quand elle se rendit compte de ce qui allait lui arriver c’était trop tard.
— Il va falloir vous habituer à m’obéir sans discuter sinon ce sera la fessée.
— Non, non pardon.. Mais je n’ai rien dit, s’il vous plaît madame… Aie… Aie.
La fessée avait commencé sur la culotte, Odile fessait rapidement, elle était expérimentée et ça se voyait, elle claquait la base des fesses qui n’était pas couverte par la lingerie, puis rapidement elle saisit la ceinture de la culotte et la baissa jusqu’au milieu des cuisses, Clara poussa un cri mais c’était trop tard, elle était maintenant déculottée comme une gamine et ses fesses bien exposées subirent immédiatement une avalanche de claques très fortes. En moins d’une minute ses fesses furent écarlates, elle criait et suppliait mais bien maintenue par la taille, elle ne pouvait que battre des jambes et exposer son intimité à Clémence qui regardait ébahie le spectacle de son amie corrigée comme une fillette désobéissante. Elle serra inconsciemment ses fesses sous sa petite culotte blanche, quelque chose lui disait qu’elle subirait bientôt la même humiliation. La fessée rapide terminée, Odile reculotta elle-même Clara et la remit sur pied :
— Bien j’espère que vous avez compris. Vos cours commencent à quelle heure ? 8 h… Vous devez donc partir à 7h30. Lever tous les matins à 6h30 pour que vous ayez le temps de ranger votre chambre et de déjeuner correctement, je passerai vérifier votre tenue tous les matins et gare si le ménage n’est pas fait ou si vous portez une tenue incorrecte. Vous m’amènerez votre emploi du temps dès que vous l’aurez écrit.
Elle quitta l’appartement, laissant les deux jeunes femmes, elles se regardèrent, Clara avait les yeux encore humides, elle frotta ses fesses :
— Eh bien on est dans de beaux draps, elle claque dur celle-là… Ça fait longtemps que je n’avais pas reçu une fessée déculottée aussi rapide et qui brûle autant.
Clémence regardait Clara soucieuse, oui c’était un grand changement qui s’annonçait et la fessée reçue par son amie ne laissait présager rien de bon.
— Je crois qu’on a pas le choix, on doit lui obéir, si ma mère apprend qu’elle a dû nous punir on est bonne pour une double fessée ce week-end.
— Tu crois ?
— C’est sûr, elle a toujours appliqué le précepte une fessée à l’école, une fessée à la maison et en général plus sévère, je ne pense pas qu’elle va changer.
— Oui, mais je ne suis pas sa fille.
— Comme tu veux, mais tu as vu que ça ne changeait pas grand-chose pour elle.
Clémence convaincue par les arguments de son amie, se mit à la rédaction de son emploi du temps.
Comme elle l’avait annoncé, Odile arriva dans leur appartement vers 7 h, elle se dirigea immédiatement vers les chambres qui bien entendu était un peu en désordre, Clémence sortait de la salle de bain, une serviette enroulée autour d’elle pour masquer sa nudité, Odile lui saisi l’oreille et l’accompagna dans sa chambre, dès qu’elles y furent rentrées sa main libre claqua le derrière de Clémence sur la serviette :
— Tu ne peux pas tenir ta chambre rangée ! Depuis hier tu as trouvé le moyen de laisser à nouveau traîner tes affaires !
La main cessa de claquer, mais elle tira sur la serviette, Clémence poussa un petit cri, elle était entièrement nue devant une quasi inconnue, elle n’eut pas le temps de protester plus longtemps, Odile s’était assise sur le bord du lit et l’avait couchée en travers de ses cuisses.
La fessée débuta immédiatement, comme celle qu’avait reçu Clara la veille, elle fut très brève mais très forte. Clémence avait crié et pleuré comme toute personne recevant une sévère fessée, Clara était sortie de sa chambre et regardait les fesses écarlates de son amie. Décidément ça confirmait ses craintes, elle retourna précipitamment dans sa chambre et fit son lit. Odile avait laissé Clémence debout au milieu de la pièce, elle se frottait les fesses pour atténuer la cuisson.
— Je n’ai pas le temps de te punir pour ta désobéissance, je ne veux pas que tu sois en retard en cours. Je t’attends chez moi à 18h30 puisque tes cours finissent à 18 h. Nous réglerons ça. En attendant tu me plies tes affaires sur cette chaise et tu fais ton lit.
En larmes et entièrement nue, Clémence s’exécuta, exposant son derrière écarlate à sa nouvelle maman. Odile resta dans l’appartement pour surveiller la tenue de ses pupilles. Elles se gardèrent bien de mettre des culottes sexy, le coton blanc accompagnerait leurs fesses dorénavant, elle l’avait bien compris.
Pendant toute la journée, Clémence eut du mal à être attentive en cours, elle pensait à la soirée qui s’annonçait cuisante, mais elle ne voyait pas comment échapper au châtiment enfantin qui lui était promis. Elle ne traîna pas sur le chemin du retour, Clara avait essayé de la consoler, mais elle s’était fait rembarrer, Clémence la tenait pour responsable de la situation, ce qui était un peu vrai.
Quand elle sonna chez Odile, ses fesses étaient crispées sous sa jupe. Ce fut Amélie qui lui ouvrit, Clémence rougit en la voyant, non… Elle n’allait quand même pas recevoir une fessée devant cette fille… Odile passa la tête à la porte de la cuisine.
— À c’est toi, Clémence, c’est bien tu es à l’heure. Entre et viens me voir.
De plus en plus rouge, Clémence s’avança, Amélie la regardait, un petit sourire aux lèvres.
— J’en ai pour quelques minutes et je suis à toi, en attendant approche.
Elle saisit la main de la jeune femme et la fit pivoter. Puis elle lui retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture, Clémence voulu protester mais une vigoureuse claque sur la culotte l’incita à l’obéissance, immédiatement Odile descendit la culotte à mi-cuisse.
— Tu vas aller te mettre au coin, pour réfléchir à ce qui va t’arriver et pourquoi cette fessée est bien méritée. Mets tes mains sur la tête et colle bien ton nez contre le mur.
Pendant qu’elle parlait, elle avait conduit Clémence au coin de la pièce, elle termina sa phrase par une autre claque sur le derrière dénudé. La jeune étudiante ne put retenir ses larmes, ce n’était pas la douleur, mais l’humiliation de se retrouver fesses à l’air, dans cet appartement inconnu, exposant son intimité à Odile et surtout à Amélie qui n’avait pas perdu une miette du spectacle. Elle était assise sur le canapé et elle contemplait la jolie paire de fesses de Clémence. Elle l’avait souvent croisée dans l’escalier et elle la trouvait un peu bêcheuse, elle ne lui parlait pas trop, la considérant peut être encore comme une gamine alors qu’elle, dans son appartement en colocation elle était une adulte. Eh bien ma petite songeait Amélie, maintenant tu es cul nu et connaissant maman, bientôt tu auras les fesses rouges. Odile était retournée dans la cuisine finir de préparer le repas. La pénitence, les fesses à l’air avant d’administrer une fessée était sa spécialité, Amélie et Chloé faisaient souvent des séjours dans le coin fesses nues avant une punition annoncée. L’attente était bénéfique pensait-elle, bien sûr en cas de faute caractérisée, la fessée déculottée immédiate était aussi une pratique courante. Elle laissa Clémence au coin pendant 1/4 h. Puis elle plaça une chaise au milieu de la pièce.
— Bien, il est temps, Clémence vient ici !
Tétanisée Clémence ne bougea pas.
— Clémence !!!! Si je suis obligée de venir te chercher ça va très mal aller pour tes fesses !!
Se rendant à l’évidence que la punition était inévitable, Clémence s’approcha, elle n’avait pas osé enlever ses mains de sa tête, ce qui lui donnait un air encore plus soumis. Odile la regarda en souriant.
— Tu peux baisser tes mains, allez, en position.
Elle avait pris le bras de la jeune femme et l’avait attirée contre ses genoux puis elle la bascula en travers de ses cuisses. C’était une position que Clémence commençait à connaître depuis hier, cependant elle ne s’y habituait pas. Elle était déjà en tenue pour la fessée déculottée, elle songea avec effroi au spectacle qu’elle offrait à Amélie et à sa mère, quelle honte d’exposer ainsi sa croupe bien tendue, elle resserra les cuisses espérant ainsi protéger son intimité. Mais immédiatement la brûlure de la fessée la ramena à la réalité et bientôt sa pudeur n’eut plus d’importance, tout à sa douleur elle écartait largement ses fesses au rythme du battement de ses jambes. Amélie était ravie pour une fois que ce n’était pas elle qui pleurait couchée sur les genoux de maman. Odile s’arrêta et s’adressa à sa fille :
— Tu vois ma chérie, quand on est pas sage, on reçoit la fessée déculottée et il n’y a pas d’âge pour ça, Clémence est plus vieille que toi mais ce n’est pas une raison. Va me chercher ma brosse.
En entendant ces mots, Clémence se mit à supplier :
— Oh non s’il vous plaît plus la fessée, ça brûle, pardon madame… Noon.
Odile se mit à rire :
— Mais ma petite Clémence, ce n’est pas toi qui décides, je sais que ça brûle, c’est fait pour ça la fessée.
Amélie était revenue et avait donné la brosse à cheveux à sa mère. Au passage elle avait regardé de pus près la belle paire de fesses de Clémence. C’est vrai qu’elle a un joli petit cul pensa-t-elle. Elle sentit sa culotte s’humidifier. Odile passa le dos de la brosse sur les fesses déjà chaudes de clémence :
— Je pense qu’après cette punition tu vas prendre soin de ranger correctement ta chambre, mais si ce n’est pas le cas, tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux la culotte baissée.
Elle leva la brosse et recommença la correction, Clémence se mit à crier et supplia à nouveau sa nouvelle maman de cesser la punition :
— Noon, aïe, aïe, ça fait trop mal, pardon madame, non, plus la fessée, aïe… aïe…
Elle avait oublié la cuisson ressentie lors de la dernière fessée à la brosse, c’était horrible, ses fesses n’étaient plus que brûlure, maintenant elle pleurait vraiment, se laissant aller. Odile savait que la partie était gagnée, dorénavant Clémence allait lui obéir au doigt et à l’œil, certes il faudrait encore quelques fessées déculottées pour que son comportement soit acceptable, mais on était sur la bonne voie.
Au milieu de la fessée, Chloé entra dans la pièce, Odile arrêta un instant la punition :
— C’est à cette heure que tu rentres ?
— Euh, oui maman je vais t’expliquer.
— Je n’en doute pas ! En attendant baisse ta culotte, retrousse ta jupe et mets-toi au coin. Je finis avec Clémence et je suis à toi, tu vas avoir tout le temps de me donner des explications une fois que tu seras sur mes genoux.
Chloé piqua un fard mais sans discuter elle obéit à sa mère. Celle-ci avait repris la fessée, nous étions sur la fin, la croupe de Clémence n’était plus qu’une boule écarlate, aucun endroit n’avait échappé à la brosse, y compris le haut des cuisses. Jugeant la punition suffisante, elle remonta la culotte :
— Bien j’espère que tu as compris la leçon, je te dispense de coin pour cette fois, je suppose que tu as du travail. Mais tu peux rester deux minutes, tu verras que tu n’es pas la seule à recevoir la fessée déculottée en cas de désobéissance.
Elle fit relever la jeune femme, ses yeux étaient embués de larmes, elle voulut porter la main à ses fesses, mais le regard sévère d’Odile l’en dissuada. Puis elle se dirigea vers la cuisine, quelques instants plus tard elle revint tenant un martinet à la main, c’était un martinet traditionnel, avec le manche en bois et une dizaine de lanières de cuir d’une trentaine de cm de long. On voyait qu’il n’était pas neuf et qu’il avait dû caresser d’innombrables derrière.
— Chloé ! Approche un peu.
En voyant le redoutable instrument de punition dans la main de sa mère, Chloé se mit à pleurer :
— Oh non, maman, pas le martinet, s’il te plaît, je n’ai pas fait exprès, pardon…
— J’espère bien que tu ne l’as pas fait exprès, après la fessée que je t’ai donnée hier soir, ça serait malheureux, mais je t’ai déjà dit que tu n’avais qu’à prendre tes précautions pour arriver à l’heure, puisque ma main n’a pas suffi, monsieur martinet va s’occuper de tes fesses. Tu connais la position, sur le fauteuil et vite !
Tout en continuant de pleurnicher, Chloé qui savait qu’elle n’avait pas le choix s’agenouilla sur le fauteuil réservé à cet effet et docilement se pencha en avant pour tendre ses fesses. Odile s’approcha, elle retroussa la jupe haut sur les reins et baissa la culotte jusqu’aux genoux. Puis elle se plaça sur le côté et entrepris de cingler le fessier juvénile. La jeune fille habituée aux punitions sévères de sa maman ne bougeait pas, se contentant de serrer et de desserrer ses fesses au rythme des cinglées. Elle pleurait maintenant et suppliait sa mère d’arrêter mais malgré ses 17 ans elle reçut jusqu’au bout la correction que sa mère jugeait méritée.
Clémence regardait ébahie la correction au martinet, c’était encore une nouveauté, bien sûr elle avait entendu parler de cet instrument de punition, mais elle croyait qu’il avait disparu. Elle regardait fascinée les fesses écarlates de la pauvre Chloé, ce n’était pas très charitable mais voir quelqu’un d’autre recevoir la fessée atténuait un peu la cuisson de sa croupe et l’humiliation ressentie. Elle eut quand même un petit frisson en songeant que peut être prochainement ce serait son derrière qui goûterait à la brûlure des lanières.
La fessée était maintenant terminée, elle n’avait pas duré longtemps, Odile était sévère juste ce qu’il faut, une fessée déculottée devait être humiliante et douloureuse, mais elle ne marquait jamais les fesses de ses filles. La rougeur et la cuisson ne durait que la soirée et une partie de la nuit pour les plus sévères des fessées.
— Maintenant tu files au coin et je ne veux plus t’entendre jusqu’à ce qu’on passe à table. Vu l’heure qu’il était, Chloé était bonne pour passer une heure le nez collé au mur et les fesses à l’air.
Clémence prit congé, ses fesses étaient toujours brûlantes quand elle rentra dans l’appartement, Clara se précipita pour lui demander comment cela s’était passé. Clémence fondit en larmes dans les bras de son amie. Celle-ci l’amena jusqu’au canapé.
— Ma pauvre chérie, fais-moi voir.
Et sans laisser le temps à Clémence de réagir elle la coucha sur ses genoux et la déculotta. La jeune femme ne chercha même pas à l’en empêcher, tout à sa douleur et au souvenir de l’humiliation de la fessée publique. Clara caressait doucement les fesses de son amie.
— Ma pauvre petite, elle ne t’a pas loupé, attend je vais te passer ma crème hydratante, tu vas voir ça fait du bien, j’ai l’habitude.
Clémence se laissa faire, c’était nettement plus agréable que la fessée même si elle était dans la même position.
À suivre…