Elle avait noté qu’il ne restait plus que deux amatrices de derrières rougis à ne pas avoir goûté à l’humiliation du déculottage préalable à l’administration d’une solide correction.
Le cas de Florence Costa, l’ancienne professeure avait été réglé par sa punition lors de la soirée, la sévère directrice de l’institut avait veillé à ce qu’Amélie complète et prolonge ce changement de statut de Florence. Et ce n’était pas tout puisqu’après ça elle avait dû venir à l’institut, où Aurélie l’avait pris en charge.
Il n’y avait donc plus qu’Isabelle qui se croyait encore protégée par son statut de correspondante personnelle de madame Rose. Celle-ci l’avait donc convoquée ce matin-là.
La sévère cadre hospitalière qui gérait avec autorité son service était arrivée pleine d’assurance à l’institut. Aurélie était assise à l’acceuil surveillant trois derrières rougis.
- Eh bien ma petite Aurélie vous n’avez pas chômé.
S’approchant de la dame la plus âgée qui exposait son large derrière bien rouge, elle passa sans façon sa main sur l’épiderme brûlant :
- Mes félicitations, c’est bien chaud. A qui appartient ce derrière, il ne me semble pas le connaître ?
Aurélie avait rougi de plaisir, elle connaissait la sévérité d’Isabelle, et que celle-ci la félicite pour la qualité de sa fessée, la remplissait d’aise. Elle n’était pas mécontente non plus d’ajouter à la confusion de la punie en révélant son identité :
- Mais si vous les avez déjà vues ces fesses, ce sont celle de madame Costa, la dame à qui Amélie à flanqué une bonne fessée déculottée lors de la dernière soirée.
Isabelle se rapprocha un peu plus de la pauvre Florence qui était morte de honte :
- Ah oui, je les reconnais maintenant, je suis impardonnable un si beau derrière, je n’aurais pas du l’oublier.
Elle palpa sans vergogne la plantureuse croupe :
- Vous avez du vous régaler. La main ou un instrument ?
Aurélie était contente qu’une fesseuse aussi expérimentée apprécie son travail :
- Seulement la main, mais rassurez-vous, madame Costa va goûter à d'autres instruments tout à l’heure.
La porte du bureau de madame Rose s’ouvrit :
- Bonjour Isabelle, je vous attendais, venez me voir.
Dès qu'elles furent seules, la directrice de l’institut attaqua frontalement le sujet :
- J’ai appris par Sylvie l’existence de votre bonne, vous ne m’en avez jamais parlé. Comment l’avez-vous recrutée ?
Isabelle, un peu surprise par la question, répondit le plus naturellement du monde :
- Par l’intermédiaire d’une association d’aide aux chômeurs en fin de droit, j’ai voulu faire une bonne action.
- C’est tout à votre honneur ma chère. Je suppose, comme je vous connais, que vous connaissez parfaitement l’anatomie postérieure de votre bonne.
Madame Rose avait dit ça en souriant, comme si c’était une évidence que la bonne d’Isabelle soit soumise à une stricte discipline et doive présenter ses fesses dénudées à la main de sa patronne. Isabelle se mit à rire :
- Vous supposez bien. Hortense a vraiment une magnifique paire de fesses et c’est vraiment un régal de la corriger.
Madame Rose la fixa avec ce regard qui impressionnait tant ses clientes :
- L’association est-elle au courant de vos méthodes ?
Le sourire d’Isabelle se figea :
- Bien sûr que non, mais Hortense est tout à fait consentante vous savez, je la paye très bien.
- Je n’en doute pas, je reconnais là votre grand coeur, mais je ne suis pas sûr que cela suffise à justifier l’administration de fessées déculottées à votre bonne aux yeux de l’association.
Isabelle avait pâli, elle connaissait trop bien les méthodes de madame Rose pour ne pas se douter de ce qui allait suivre. Celle-ci souriait à présent :
- Tout cela va rester entre nous rassurez-vous, je ne voudrais pas que vous soyez traînée en justice.
La sévère Isabelle sentit le piège se refermer :
- Merci madame. Je suppose qu’il y a une contrepartie ?
La directrice souriait toujours :
- Bien sûr ma chère, vous connaissez les habitudes de la maison.
Isabelle s’était fait une raison, depuis combien de temps n’avait-elle pas été fessée ? Elle en avait perdu le souvenir. Elle regarda sa future fesseuse, celle-ci ne semblait pas pressée d’annoncer la sentence, elle aimait laisser ses patientes dans l’incertitude :
- Vous allez voir Aurélie et vous lui demandez de vous administrer la fessée déculottée que vous méritez.
Isabelle blêmit en entendant cette phrase, elle s’attendait à tout mais c’était bien pire que ce qu’elle avait imaginé, elle articula difficilement :
- Mais, mais... Madame, s’il vous plaît...
Les mots avaient du mal à sortir de sa bouche. La sévère directrice jouissait de l’embarras de la fesseuse redevenue en un instant une petite fille implorant la clémence :
- Vous devriez vous dépêchez, vous savez que les punitions sont doublées très rapidement à l’institut.
Isabelle rouge de honte se dirigea vers la porte du bureau, en fesseuse passionnée, Rose regarda avec attention le fessier d’Isabelle, il paraissait bien ferme.
Dans le secrétariat les pires craintes d’Isabelle se confirmèrent, sur les genoux de la jeune assistante un monsieur gigotait et sanglotait comme un gamin, son pantalon était entortillé autour de ses chevilles et sa culotte entourait ses genoux. La main d’Aurélie claquait sévèrement ce fessier déjà bien rouge :
- Oh vous pouvez pleurer, je n’en ai pas encore fini avec vos fesses, votre épouse m’a demandé de vous administrer une punition exemplaire et je vous promets que vous allez avoir du mal à vous asseoir ce soir.
Avec horreur, Isabelle avait reconnu le monsieur que la jeune femme corrigeait, il s’agissait de Gérald le mari de son amie Sylvie, elle avait souvent eu l’occasion d’assister aux corrections que son épouse lui administrait et elle avait eu également le plaisir de le déculotter pour lui rougir les fesses.
Aurélie s’était arrêtée en voyant la dame sortant du bureau de madame Rose. Celle-ci avait manifestement quelque chose de gênant à lui demander si on se fiait à son langage corporel, la main en suspens au-dessus du fessier écarlate, elle interrogea Isabelle :
- Que puis-je pour vous ?
La sévère fesseuse n’était plus qu’une adolescente envoyée chez la surveillante générale pour confesser ses fautes. Parler était au-dessus de ses forces, pourtant il le fallait, c’est ce que lui signifia Aurélie :
- Vous êtes devenue muette madame ! En général quand on sort du bureau de madame Rose et qu’on vient me voir, c’est qu’on a quelque chose de pas très agréable à me demander. Mais plus vous attendez plus ça risque d’être compliqué pour vous et pour votre derrière si vous voyez ce que je veux dire.
Gérald était toujours couché sur les genoux de la jeune femme, il tourna légèrement la tête, ce qui lui valu de recevoir une volée de claques :
- Restez tranquille je n’en ai pas fini avec votre vilain derrière !
Isabelle en baissant la tête se décida quand même, elle parlait très bas :
- Madame Rose m’a dit de vous demander...
Elle s’arrêta, elle aurait voulu rentrer sous terre...
Aurélie se mit à rire :
- Eh bien ça a du mal à sortir, faut-il que je vous aide, vous voulez prendre la place de Gérald ? Parlez plus fort et articulez, vite !!
Isabelle repris une inspiration :
- Madame Rose veut que je vous demande de m’administrer la fessée.
La jeune assistante était hilare :
- Ah, c’était donc ça, effectivement c’est un peu dur à sortir, je vais m’occuper de vous dès que j’ai fini de corriger ce vilain garçon. En attendant vous allez vous mettre le nez au mur, vous retroussez votre jupe et vous baissez votre culotte, ça va vous permettre de réfléchir.
Isabelle s’exécuta sans un mot, la roue tournait, habituellement c’était elle qui imposait cette honteuse attente aux dames qu’elle punissait.
Elle était sûr que Gérald l’avait reconnu, ça rendait encore plus humiliante sa future correction.
Quand le monsieur au fessier écarlate eut regagné le mur pour la pénitence réglementaire après la punition, Amélie s’adressa à la sévère dame qui exposait ses fesses nues :
- Reculottez-vous et venez me voir.
Sans illusion sur ce qui l’attendait, Isabelle remonta sa culotte et se présenta devant la jeune femme, elle la connaissait bien, mais c’est seulement maintenant qu’elle prenait conscience de sa jeunesse, elle aurait pu être sa fille et elle allait lui administrer une fessée déculottée, c’était surréaliste, mais ça allait arriver inéluctablement.
La jeune femme, s'était assise sur la chaise à fessée, elle regardait en souriant sa future victime :
- Vous allez me reformuler correctement votre demande, je suppose que madame Rose à été plus précise.
Isabelle toute honte bue, dût se plier au rituel humiliant de réclamer sa punition :
- Pouvez-vous s'il vous plaît me donner la fessée que j'ai bien méritée.
Aurélie la regarda sévèrement :
- Il manque un mot madame, recommencez !
Légèrement décontenancée, la sévère cadre, réfléchi rapidement, elle était rouge de honte, elle reprit sa respiration :
- Pardon mademoiselle. Pouvez-vous me donner la fessée déculottée que j'ai bien méritée.
- Voilà qui est mieux, ce petit oubli vous vaudra un petit supplément, mais pour le moment je vais commencer par examiner votre derrière. Venez-ici et en position !
Isabelle se retrouva dans la position qu'elle connaissait trop bien, mais de l'autre côté. Aurélie lui imposa un examen minutieux de son fessier, elle dût écarter largement ses ocuisses et elle sentit les doigts inquisiteurs fouiller son intimité.
La fessée fut magistrale et très longue, la magnifique croupe de dame mûre était écarlate quand la jeune femme cessa de la claquer. Isabelle pleurait autant que sa bonne quand elle avait fini de la corriger. Aurélie passa sa main sur l'épiderme brûlant :
- Voilà pour la fessée prescrite par madame Rose, maintenant vous allez recevoir le petit supplément que je vous ai promis.
Isabelle protesta faiblement :
- Oh non, s'il vous plaît mademoiselle. Aïe, aïe aïe aïe.
La jeune assistante avait commencé immédiatement la suite de la punition. Mademoiselle claquefesse remplissait parfaitement son rôle, la petite raquette en cuir s'adaptait à la forme du derrière et c'est avec une croupe d'un beau rouge sombre que la sévère fesseuse gagna le dernier coin disponible.
Aurélie s'était rassise à son bureau, elle prépara deux carnets de punition, un au nom de Florence, l'autre au nom d'Isabelle.
Il n'y avait plus de fessier vierge parmi les adhérentes de l'institut.
Madame Rose consulta ses rendez-vous. Une alerte clignotait, elle rougit et serra imperceptiblement ses fesses sous sa culotte.
Elle avait rendez-vous vous avec sa tante Alice cet après-midi et malgré ses 70 ans passés, elle avait encore la main leste. Les fesses de ses nièces en savait quelque chose, elle ne devait surtout pas être en retard.
.
Fin.
Magnifique récit !! J'attends la prochaine histoire avec impatience, avec le risque et l'appréhension de recevoir une bonne fessée déculottée 🍑🔥🍑 Ne soyez pas trop sévère avec moi Madame Sylvie
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire élogieux. Rassurez-vous pour vos fesses, je ne fesse que très rarement et en lisant mon blog vous pourrez constater que c'est souvent moi qui me fait baisser la culotte et me retrouve au coin avec des fesses bien rouges.
SupprimerSylvie