vendredi 5 janvier 2024

L'institut chapitre 29

 Bonjour à tous mes fidèles lecteurs, je publie donc très tardivement les deux derniers chapitres de "L'institut" dont le dernier épisode a été publié en Août 2022.

Je signale également à ceux qui sont intéressé que ce récit est publié en intégralité sur atramenta.net, auteur Sylvie Bouger.

Florence



Amélie avait convoqué Florence pour le lendemain. Pendant la soirée elle avait discuté avec Caroline qui lui avait confié qu’elle avait apprécié de voir la sévère professeure de français recevoir à son tour la fessée. Monique une fois habillée était également venue la féliciter. Voir Madame Costa couchée sur les genoux d’une dame, la culotte baissée et les fesses bien rouges, l’avait un peu consolée des nombreuses fessées déculottées que celle-ci lui avait administrée. Amélie était convaincue que la seule fessée de ce soir ne suffirait pas pour que Florence se rende compte que pour elle aussi, il n’y a pas d’âge pour la fessée cul nu.

Florence reçu un message sur son téléphone le soir même.

« Rendez-vous à 18 h pour notre petite séance de découverte des charmes de la fessée à l’âge adulte. Culotte blanche de rigueur, pas de collants, jupe courte »

Le ton moqueur du message mit Florence en colère, pour qui se prenait-elle, cette petite pimbêche. Mais malheureusement pour elle, au même instant le téléphone sonna, c’était Aurélie de l’institut :

— Bonjour Mme Costa, c’est l’institut. Mlle Rose voudrait vérifier que vous avez bien reçu votre convocation pour une petite séance chez Amélie.

— Euh, oui… Mais justement à ce propos, je ne trouve pas ça normal…

— Pardon !! Vous pouvez me répéter ça ?

— Euh, c’est-à-dire que… Je pensais qu’après avoir reçu la fessée déculottée pendant la soirée… enfin… vous comprenez.

— Non, je ne comprends pas, ou plutôt si, je crois que vous n’avez pas bien saisis, votre convocation chez Amélie n’est pas une option. Mais comme vous avez l’air de protester, je vous annonce qu’après-demain, c’est à l’institut que vous viendrez. Je vais m’occuper personnellement de votre petit derrière madame. À 9 h, soyez à l’heure !!

Florence Costa raccrocha, tremblante de colère et d’angoisse. Elle, d’ordinaire si autoritaire et si sûr d’elle, se retrouvait confrontée à une réalité inimaginable quelques jours auparavant. Elle était passée sans transition du côté des dames punies, de celles à qui on baissent la culotte pour leurs rougir les fesses. Elle avait pensé naïvement que l’épisode de sa fessée déculottée en public de la veille n’était qu’un accident, il lui fallait se faire une raison, ce genre de situation risquait de se reproduire assez rapidement.

Pour le lendemain elle réfléchit à sa tenue, le message d’Amélie était explicite, elle avait parlé d’une culotte blanche, Florence devina à quoi elle faisait allusion, elle voulait sans doute qu’elle porte les mêmes sous-vêtements que Monique, des culottes de gamine. Il n’en était pas question, elle avait des culottes blanches en dentelle, elle ferait l’affaire. Elle se décida également pour une jupe lui arrivant au genou, relativement large, elle ne mit pas de bas.

Quand elle sonna chez Amélie, son cœur battait un peu plus fort que d’habitude. Celle-ci l’accueillit avec un grand sourire :

— Bonjour Florence, je suis ravie que vous ayez accepté mon invitation.

L’ancienne professeure fit une petite moue, décidément cette pimbêche avait tous les culots, son sourire moqueur l’horripilait au plus haut point.

Dès qu’elles furent dans le salon, Amélie se recula pour dévisager son invitée. Ce fut son tour de faire la moue :

— J’avais dit une jupe courte ma petite Florence.

Le ton était réprobateur, madame Costa ne s’attendait pas à ce que cette dame d’une quarantaine d’années l’appelle « ma petite Florence », elle ne put s’empêcher de rougir, surtout qu’Amélie continuait :

— Déjà une désobéissance, ça commence bien ! j’espère au moins que votre culotte est correcte, tournez-vous et relevez votre jupe !

Complètement déstabilisée par ce ton autoritaire, Florence essaya de protester :

— Mais enfin… Pourquoi ?

— Dépêchez-vous n’aggravez pas votre cas.

Amélie se régalait de rabaisser celle qui l’avait menacée implicitement de lui donner la fessée lors de la soirée :

— Faut-il que j’appelle l’institut pour vous faire obéir ?

Affolée, Florence se récria :

— Non, non, voilà.

Elle s’était tournée et toute honte bue, elle retroussa sa jupe, dévoilant sa culotte en dentelle. Amélie s’approcha et claqua rapidement et sèchement le large derrière :

— C’est ce que vous appelez une culotte blanche ! Je suppose que vos élèves ne vous montrent pas ce genre de sous-vêtements quand vous les punissez ?

Amélie s’était reculée, elle prit son smartphone pour faire une photo :

— Tournez la tête vers moi, je vais envoyer cette photo à Mlle Rose, elle verra que vous avez désobéi.

Rouge de honte d’être traitée comme elle le faisait avec ses élèves, la sévère professeure s’exécuta. Sa nouvelle maîtresse lui désigna une chaise :

— J’avais deviné que vous désobéiriez, j’ai emprunté à l’institut une tenue qui va vous aller comme un gant. Déshabillez-vous et mettez-la. Et vous vous dépêchez !

Elle avait accompagné sa phrase de deux vigoureuses claques sur les fesses encore culottées. Florence était effondrée, décidément c’était pire que ce qu’elle avait prévu, elle essaya de limiter les conséquences de sa petite rébellion :

— Je suis désolée mademoiselle, s’il vous plaît ne dîtes rien à l’institut.

Amélie était fière de son nouveau pouvoir :

— Ça dépendra de votre comportement, dépêchez-vous de vous déculotter pour commencer.

Florence était désemparée, elle se rendait compte qu’elle n’avait pas le choix et qu’elle devait faire profil bas pour protéger un tant soit peu ses fesses. 



Elle glissa ses mains sous sa jupe et baissa sa culotte. Amélie la regardait en souriant :

— Vous devenez obéissante, c’est bien. Mais je pense qu’il y a encore du travail. Laissez votre culotte où elle est, et enlevez tout le reste. Vite !

La culotte de madame Costa était au niveau de ses genoux, elle se déshabilla le plus rapidement possible sous l’œil goguenard de la jeune femme. Quand elle fut entièrement nue à part sa fine lingerie entourant ses genoux, Amélie la fit pivoter :

— Vos fesses sont bien blanches ma chère, on va remédier à ça. Enlevez-moi complètement cette culotte indécente et mettez votre uniforme de jeune fille.

Complètement abasourdie, la sévère professeure s’exécuta, elle prit en premier la culotte blanche bien sage, puis elle enfila les socquettes, le chemisier blanc et la jupe bleu marine. Amélie était contente, Sophie avait l’œil, elle lui avait donné une tenue à la taille exacte de Florence. Celle-ci se regarda dans la glace, elle avait rajeuni de plus de 40 ans d’un seul coup, la jupette lui arrivait à peine à mi-cuisse. Elle songea à ses élèves qu’elle déculottait et fessait à la moindre occasion que dirait-il en la voyant habillée comme ça.

Elle n’eut pas le temps de réfléchir longtemps car déjà Amélie l’avait prise par la main et fait basculer en travers de ses cuisses :

— Nous allons avoir du travail ma chère Florence.

Elle tapotait le large derrière, la jupe remontée par la position découvrait le haut des cuisses, on devinait déjà la culotte :

— Vous deviez recevoir juste une fessée déculottée en complément de celle d’hier mais votre désobéissance va vous valoir une punition supplémentaire. Vous avez voulu faire la rebelle, vous allez le regretter, votre correction sera exemplaire je peux vous l’assurer. Voyons un peu ce vilain derrière.

Amélie avait reçu et assisté à tellement de fessées à l’institut qu’elle savait comment préparer une dame à recevoir ce châtiment enfantin et comment le rendre encore plus humiliant. Elle se souvenait de la première fois où Aurélie lui avait administré une fessée déculottée dans le secrétariat en public, ça l’avait marquée.

La jupette était maintenant retroussée haut sur les reins et la belle croupe moulée dans la petite culotte était étalée devant ses yeux, elle devinait la honte et l’angoisse de cette dame de 60 ans, obligée de subir ce traitement humiliant. Elle tapotait le fessier encore culotté :

— Je comptais vous échauffer le derrière avant la vraie fessée mais votre désobéissance doit être punie, donc ça sera cul nu directement.

Elle baissa rapidement la culotte sous les fesses de Florence. Amélie se délectait de ces fesses larges, bien blanches et parfaitement exposées. Pour une première expérience de fesseuse, elle était gâtée de pouvoir s’occuper du derrière de madame Costa, il semblait fait pour la fessée.



Sa main se mit à claquer avec entrain la belle paire de fesses, malgré son désir de rester stoïque, Florence commença par gigoter, ouvrir et serrer ses fesses, puis elle se mit à battre des jambes. Elle gémissait et suppliait, elle se comportait comme toute punie recevant une bonne fessée déculottée et celle-ci était magistrale. Les belles fesses blanches étaient maintenant écarlates et Florence se mit à pleurer comme les nombreuses élèves qu’elle avait punies ainsi au cours de sa carrière.

Amélie cessa la punition et la garda un moment en travers de ses genoux :

— C’est un bon début, vos fesses sont ravissantes, vous allez les faire refroidir au coin pendant un moment. Ça va vous permettre de réfléchir.

La sévère professeure fit donc l’amère expérience de l’exposition de son derrière bien rouge au coin de la pièce, elle avait remarqué qu’il n’y avait pas de rideau à la fenêtre. Le tableau qu’elle offrait aux voisins devait être édifiant, mais elle n’osa rien dire, le feu qui envahissait son fessier était trop présent.

Comme elle l’avait appris à l’institut, Amélie prit soin de photographier Florence dans cette honteuse position, en lui faisant tourner la tête pour qu’on la reconnaisse parfaitement :

— Je vais envoyer cette photo à madame Rose, elle sera ravie de voir vos jolies fesses bien rouges et puis ça complétera sa collection.

Florence compris qu’elle était dorénavant à la merci de la sévère directrice de l’institut et que ses fesses seraient souvent brûlantes. Elle les serra instinctivement.

Amélie la laissa au coin pendant une demi-heure. Pour une première fois c’était suffisant, la sévère professeure trouva le temps bien long. La jeune femme dut venir lui claquer le derrière plusieurs fois pour la faire se redresser et cesser de se tortiller :

— Décidément vous avez encore des progrès à faire ma chère Florence, mais vous verrez, on s’habitue très bien à rester immobile en exposant ses fesses nues.

Elle sonna enfin l’heure de la délivrance en claquant joyeusement le large derrière :

— Allez, reculottez-vous, on va aller se promener vous avez encore quelques découvertes à faire.

Florence la regarda interdite, elle n’allait tout de même pas sortir dans cette tenue. Devant son air ahuri, Amélie éclata de rire :

— Vous en faites une tête. Oui vous allez sortir habillée en gamine, ça va vous ramener à un peu plus d’humilité. Et dépêchez-vous si vous ne voulez pas revenir sur mes genoux.

Elle prit la main de sa grande fille et ouvrit la porte, Florence marqua une petite résistance. Calmement, la jeune femme la ceintura et la fit se courber sous son bras, elles étaient sur le palier, la dame mature se rendit compte trop tard qu’elle allait recevoir la fessée avec un risque supplémentaire, c’est qu’elle soit publique, elle poussa un petit gémissement :

— Oh, non mademoiselle, s’il vous plaît, non, je vais obéir… Noon.

Déjà de sa main libre, Amélie avait retroussé la jupette et baissé la culotte sous les fesses, la correction fut courte mais bien sonore, le bruit envahissait toute la cage d’escalier. Quand elle la relâcha, les joues du haut de Florence étaient aussi rouges que celles du bas… Sa jeune maîtresse la regarda sévèrement :

— J’espère que tu as compris !!

Florence avait les larmes aux yeux, plus de honte que de douleur, elle remarqua qu’Amélie était passée au tutoiement, son statut venait à nouveau de changer. Surtout qu’elle continuait :

— Tu peux remonter ta culotte, mais la prochaine fois tu resteras cul nu sous ta jupe, allez on y va !

Elle avait claqué sèchement les fesses de sa grande fille. Celle-ci remonta maladroitement sa culotte, Amélie lui prit la main, elles sortirent de l’immeuble et marchèrent jusqu’à la voiture d’Amélie, elle n’était garée qu’à 100 mètres, mais ils parurent interminables à Florence.

Amélie avait eu une idée excitante et perverse, elle avait décidé d’administrer à Florence une fessée déculottée en plein air. Elle roula pendant quelques kilomètres et s’arrêta au bord d’un petit bois qu’elle connaissait pour y venir faire du jogging :

— Allez ma chérie, on va aller prendre l’air.

Elle avait ouvert la porte et tiré fermement Florence hors de la voiture, celle-ci était vraiment inquiète de la suite, elle regardait à droite et à gauche pour voir si quelqu’un arrivait. Amélie était ravie de l’humiliation infligée à cette dame arrogante. Elles s’étaient un peu éloignée de la route, un tronc d’arbre couché sur le sol offrait un siège, Amélie s’y assit et tapota ses cuisses, Florence blêmit, le geste était sans équivoque, elle jeta un œil aux alentours, la perverse jeune femme souriait toujours :

— En position ma petite Florence, je pense que tu la connais.

L’endroit ne semblait pas la gêner, administrer une fessée en plein air à une dame de plus de 60 ans était sans doute normal à ses yeux, elle s’impatientait :

— Tu devrais te dépêcher de venir sur mes genoux avant que quelqu’un n’arrive, de toute façon tu vas la recevoir, mais si tu préfères qu’elle soit publique, libre à toi.

La sévère professeure était désespérée mais rien ne pouvait lui éviter cette humiliation, elle s’approcha doucement mais tenta une dernière fois d’amadouer la jeune femme :

— S’il vous plaît madame, pas ici…

Amélie se mit à rire :

— Et pourquoi donc ? Ça va faire le plus grand bien à ton joli derrière de prendre l’air, rien de mieux pour lui donner bonne mine.

Florence insensiblement s’adaptait à sa nouvelle condition, elle ne protesta pas plus et s’approcha des genoux de sa jeune maîtresse, celle-ci se découvrait des talents de fesseuse perverse. Sans plus attendre elle prit la main de « sa grande fille » et la bascula en travers de ses cuisses comme l’aurait fait une maman en colère pour châtier immédiatement une bêtise, sans se soucier du lieu de la punition.

La punie sentit avec horreur l’air frais sur ses cuisses, la jupette découvrait maintenant largement le fessier encore culotté. Au moment où Amélie glissait ses doigts sous l’élastique de la culotte, un bruit de pas se fit entendre, elle hésita un instant à poursuivre la mise à nu de la croupe. Elle leva la tête, c’était une joggeuse d’une quarantaine d’années, qui marqua un temps d’arrêt devant ce spectacle pour le moins incongru, le sourire qu’elle adressa à Amélie incita celle-ci à continuer.

Florence avait elle aussi, entendu le bruit des pas, elle était complètement affolée, elle poussa un cri en essayant de se relever :

— Non, non, mademoiselle, s’il vous plaît pas la culotte, noon…

Amélie raffermit sa prise et coinça le bras de la punie avec sa main gauche et tranquillement lui baissa la culotte jusqu’à mi-cuisse :

— Et pourquoi donc pas la culotte ? Je t’ai promis une bonne fessée déculottée et bien tu vas la recevoir, que madame soit là n’a aucune importance, la punition n’en sera que plus profitable.

La spectatrice s’était arrêtée à quelques mètres, elle s’approcha un peu plus, elle souriait toujours :

— Vous avez raison mademoiselle, surtout ne vous dérangez pas pour moi, une fessée promise doit toujours être administrée sans délai. Si madame a mérité d’être corrigée, allez-y.

Malgré sa tenue juvénile, elle avait bien remarqué que ce n’était pas une gamine qui était couchée sur les genoux d’Amélie, le derrière exposé était bien celui d’une dame.

La nouvelle maîtresse leva la main et commença à claquer le plantureux fessier et comme elle l’avait annoncé, celui-ci repris immédiatement des couleurs et une bonne mine. La jeune joggeuse au grand désespoir de Florence assista jusqu’au bout à sa correction, elle la vit battre des pieds, serrer et ouvrir largement ses fesses, supplier et pleurer comme l’aurait fait une gamine désobéissante punie par sa maman.



Ce n’est que quand Amélie cessa la fessée qu’elle s’éloigna non sans avoir félicité celle-ci :

— Mes compliments mademoiselle, ça fait longtemps que je n’ai pas assisté à une si belle fessée, c’est une tradition qui se perd, pourtant je pense que ça serait bien souvent très utile afin de remettre un peu les idées en place à certaine personne.

Elle reprit son jogging, Florence pleurait doucement, toujours en position disciplinaire, Amélie lui tapota les fesses brûlantes :

— Cesse de pleurnicher et relève-toi. Si tu n’avais pas désobéi pour ta tenue et je n’aurais pas été obligée de sévir. Tu as reçu une bonne fessée déculottée en public, la belle affaire, tu en recevras d’autre chez madame Rose et tout le monde saura que c’est madame Florence Costa qui se fait corriger cul nu. Aujourd’hui la spectatrice n’a vu que ton derrière.

La sévère professeure avait définitivement perdu sa superbe, elle était toujours déculottée devant sa jeune maîtresse, celle-ci la fit pivoter, retroussa sa jupe et passa ses doigts sur les fesses rougies :

— Ton derrière a vraiment bonne mine, elle coinça la jupe dans la ceinture, remonta la culotte juste sous les fesses et claqua joyeusement cette large croupe :

— Allez en route, une petite promenade cul nu va te faire le plus grand bien.

Quand elles rentrèrent à la maison, la jupe avait repris sa place mais pas la culotte, Amélie avait averti Florence :

— Sophie m’a expliqué que pour que la rougeur de la fessée dure suffisamment longtemps, il faut utiliser un instrument, je n’ai malheureusement pas de martinet, mais j’ai une brosse de bain, ça devrait faire l’affaire.

Quand elle vit son futur instrument de punition dans la main d’Amélie, Florence ne put s’empêcher de faire la grimace. C’était une solide brosse en bois avec un manche long d’une trentaine de centimètres. La jeune maîtresse posa son pied sur un tabouret et fit un petit signe à sa punie :

— On va terminer ta punition ma grande, ensuite tu pourras repartir chez toi avec une paire de fesses bien rouge et bien chaude.

Florence était maintenant résignée, elle s’approcha, Amélie la fit se courber sur sa cuisse, ses pieds touchaient à peine le sol, c’était une nouvelle humiliation pour l’ancienne professeure, cette position lui rappelait celle qu’elle utilisait pour punir ses élèves, les fesses nues bien exposées devant tout la classe.

Bientôt ce fut son tour de montrer sa croupe dénudée, la culotte avait glissé jusqu’à ses genoux. La brosse claqua le fessier tendu et Florence se remit à crier sous la brûlure, la douleur était sans commune mesure avec celle des fessées précédentes. Amélie la tenait solidement, elle trépignait sur place, puis la jeune maîtresse la saisit par la taille et la fit basculer sur sa cuisse, ses pieds quittèrent le sol et ses jambes se mirent à battre l’air comme devait le faire les gamines à qui elle réservait ce châtiment public.

La punition alla à son terme, la croupe n’était plus qu’une boule rouge quand Amélie la reposa par terre. Florence failli frotter ses fesses mais le regard sévère de sa jeune maîtresse l’en dissuada. Elle lui désigna le mur :

— Encore un petit séjour au coin pour méditer et tu pourras rentrer chez toi.

Sa grande fille regagna le coin de la pièce sans dire un mot, elle mit même ses mains sur sa tête sans qu’Amélie le lui demande. Celle-ci épingla la jupe dans le dos pour parfaire le tableau, et fit bien sûr une photo.



Après une demi-heure passée au coin fesses à l’air, Florence était comme toutes les punies, quand sa maîtresse lui permit de quitter son coin et de se reculotter, elle ne faisait pas la fière. Amélie lui tendit un sac :

— J’ai mis tes affaires dedans, tu rentres chez toi habillée en collégienne, ça va te rappeler ta jeunesse.

L’ancienne professeure protesta :

— Oh non, s’il vous plaît mademoiselle, je vais avoir trop honte, si je rencontre des gens.

Amélie la regardait en souriant :

— C’est fait pour ça ma grande, ça va te ramener à un peu plus d’humilité.

Florence avait les larmes aux yeux, elle supplia à nouveau la jeune femme :

— S’il vous plaît mademoiselle, j’ai déjà été bien punie.

Sa jeune maîtresse la dévisagea de la tête aux pieds, une petite bouffée d’excitation la parcouru, une idée perverse venait de germer dans sa tête. Avoir cette dame d’âge mûre à sa merci cet après-midi avait été une expérience agréable, pourquoi ne pas la prolonger :

— Je veux bien être magnanime et t’autoriser à remettre tes vêtements, mais à une condition…

Elle laissa la phrase en suspens. Sourire aux lèvres, elle regardait fixement Florence, celle-ci joignit les mains :

— Tout ce que vous voulez mademoiselle.

Il était temps pour Amélie de porter l’estocade :

— Tu devras venir toutes les semaines passer un après-midi ici, tu porteras ces vêtements de collégienne à chaque fois et je te punirai comme tu l’auras mérité. Et ceci jusqu’à ce que je juge que tu as changé.

Florence était sidérée, elle allait être soumise pour un temps indéterminé aux caprices de cette jeune femme. Elle se regarda dans la glace, elle ne se voyait vraiment pas rentrer chez elle dans cette tenue, elle acquiesça :

— Comme vous voudrez mademoiselle.

Amélie lui désigna le sac :

— Parfait, tu peux te rhabiller. Je t’attends mercredi.

Puis dans un sourire :

— Tu peux préparer tes jolies fesses.



3 commentaires:

  1. quel plaisir... J'avais vraiment envie que le pantalon Florence soit démonté par quelqu'un. au chapitre 26,27 cela a été fait mais sous les yeux de madame rose. c'était une bonne chose. Elodie fera-t-elle partie de l'éducation de Florence.


    Chinmay

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  2. Chère Sylvie, je suis actuellement entrain de lire l'intégralité de l'institut sur atramenta.net . C'est pour moi, un régal et je vous remercie de me procurer autant de plaisir, grâce aux nombreuses fessées déculottées.🍑🔥🍑

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  3. Merci. La publication sur atramenta avait pour but de permettre à mes lecteurs d'avoir l'intégralité en une fois.
    Profitez bien de ces fesses bien rouges.

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