Quatuor de fessées déculottées
Virginie revenait donc toutes les fins de semaine chez Sylvie et elle prenait en charge «son éducation».
Ce n’était pas de tout repos pour les fesses de sa mère qui tout compte fait préférait passer la semaine chez sa maman Huguette, en effet même si celle-ci avait la main leste, comme elle avait maintenant quatre derrières à sa disposition pour assouvir ses pulsions fessophiles, celui de sa grande fille était moins souvent mis à nu pour être rougi.
Ce Vendredi Virginie avait une grande nouvelle à annoncer à Sylvie. Après négociation avec son employeur elle avait obtenu l'autorisation de télétravailler, elle allait donc s’installer de façon permanente chez sa mère. Elle ajouta dans un sourire :
- Je vais pouvoir m’occuper encore plus sérieusement de toi ma chérie. Celle-ci n’apprécia pas particulièrement cette annonce et la grimace qu’elle fit fut certainement éloquente. Le sourire de sa fille se fit plus pervers :
- Tu n’es pas contente ma petite maman ? Et bien tu vas commencer par baisser ta culotte, je pense que je vais avoir une petite conversation avec ton bon gros derrière.
Je le savais pourtant qu’il ne fallait pas que je boude ou que je récrimine. Je maudissais ma réaction, le regard de Virginie était sans équivoque, je ne pouvais même pas négocier. Je glissai mes mains sous ma jupe et je baissai ma culotte comme elle me l’avait demandé. Se déculotter devant sa fille est une épreuve très humiliante je peux vous l’assurer, surtout que celle-ci ne me quittait pas des yeux.
- Baisse la jusqu’aux genoux que je puisse discuter correctement avec tes fesses !
La lingerie était maintenant à l’endroit prescris, elle fouillait son sac à main, ce n’était pas bon signe. La suite des consignes arriva :
- Tourne-toi et relève ta jupe !
Mes fesses étaient maintenant à sa disposition, je sentis sa main caresser ma croupe :
- Depuis qu’on s’occupe de ton bon gros derrière avec Huguette, je trouve qu’il s’est bien raffermit. Par contre tu n’as pas encore compris que je veux pas de grimace quand je t’annonce quelque chose. Je vais donc l’expliquer à ma façon. Qu’est-ce qu’on demande à Virginie quand on a les fesses à l’air ?
C’était une nouvelle humiliation que ma sévère momy m’imposait depuis quelques temps, elle tapotait ma croupe avec sa brosse à cheveux pour marquer son impatience :
- Tu devrais te dépêcher, tu sais que je n’aime pas répéter.
- Pardon momy. S’il te plaît peux-tu m’administrer la bonne fessée déculottée que j’ai bien mérité.
J’avais débité cette phrase d’un trait. Je la connaissais par coeur et je savais que Virginie ne tolérait aucune hésitation et qu'elle devait être exacte. Elle l’avait fait rentrer dans ma mémoire avec sa méthode habituelle et après quelques magistrales déculottées j'avais appris que quand une correction était nécessaire du point de vue de ma momy, je devais réclamer ma punition, en prononçant ces paroles humiliante.
Virginie était satisfaite, depuis 3 mois qu’elle avait repris en main sa mère, celle-ci était devenue docile et obéissante, son caractère nonchalant et désordonné s’estompait. De son côté, elle appréciait de pouvoir exercer son autorité. Elle se régalait encore plus de pouvoir administrer à sa mère ces cuisantes et longues fessées qui la laissait pantelante et en pleurs couchées sur ses genoux. Elle essayait de ne pas trop abuser de son pouvoir et de ne la punir qu’à bon escient, mais il faut bien l’avouer, de temps en temps la pauvre Sylvie se retrouvait déculottée et les fesses brûlantes pour une raison futile. L’excitation que ressentait Virginie en lui administrant ce châtiment enfantin était trop grande pour qu’elle soit toujours juste.
A vrai dire, même si c’est difficile à avouer, je commençais à m’habituer à être traitée comme une gamine par Huguette et Virginie et je trouvais quasiment normal de recevoir encore à mon âge, la fessée déculottée. Dire que j’y prenais du plaisir serait quand même exagéré mais quand l’une ou l’autre après m’avoir chauffé le derrière, s’occupait de mon petit trou en y mettant un thermomètre ou que leurs mains s’égaraient entre mes cuisses, je ressentais poindre une excitation.
A ma grande honte, elles s’en étaient rendu compte, c’est Virginie qui, avait glissé ses doigts dans ma fente après une sévère déculottée et en avait ressorti les doigts gluants, elle avait rit tout en me claquant le derrière :
- Eh bien ma petite chérie elles te font de l’effet mes fessées ! Puisque c’est ça on va continuer.
Je m’étais reçu ce jour-là, une deuxième correction encore plus mémorable.
Virginie continuait de caresser la large croupe de sa mère, la fessée qu’elle allait lui administrer n’était pas vraiment méritée, Sylvie avait fait juste une petite moue quand elle lui avait annoncé qu’elle allait habiter ici en permanence. Mais elle ne l’avait pas punie depuis une semaine et il faut bien l’avouer ça lui manquait un peu. Ce bon gros derrière comme elle l’appelait avait besoin d’être entretenu régulièrement :
- Puisque tu me le demande si gentiment je vais te faire ce plaisir ma chérie. Momy va t’administrer la bonne fessée déculottée qui te manque depuis une semaine. Allez en position sur mes genoux et vite !
La brosse avait claqué sèchement le fessier de Sylvie. Elle savait ce que cela voulait dire, elle se retourna. Virginie s’était installée confortablement sur le canapé, sa mère se coucha docilement en travers de ses cuisses. C’était un tableau un peu incongru que de voir cette dame âgée la culotte aux genoux, prête à recevoir la fessée comme si elle était une gamine. Mais dans cette maison depuis un bon moment les rôles étaient inversé et c’est la maman qui recevait la fessée et sa fille qui la lui administrait.
Virginie modifia un peu la position, elle fit basculer Sylvie vers l'avant de façon que ses fesses soient bien à sa portée. Celle-ci connaissait parfaitement cette position, ses pieds décollés du sol, elle posa ses mains par terre pour se stabiliser. Elle savait que Virginie adorait l'avoir ainsi, complètement à sa merci. La main tapota les fesses :
- Tu es bien installée ma chérie ? Désserre un peu tes cuisses que ton popotin soit bien détendu. Voilà c'est bien.
Je savais qu'il fallait obéir immédiatement aux demandes de momy sous peine de correction encore plus cuisante. Maintenant j'étais habituée à présenter mon intimité à mes fesseuses. Caroline, Daisy, Huguette et Virginie s'étaient toutes régalées du spectacle de mes larges fesses blanches bien étalées devant elle mais également de mes lèvres mises à jour par l'écartement de mes cuisses. Les doigts experts de ma maitresse se glissait vicieusement entre mes fesses et descendaient lentement. J'étais morte de honte bien que ce soit pas là première fois que Virginie se livre à un examen minutieux de mon intimité :
- Décidément ma chérie ça te fait toujours de l'effet de me présenter ton bon gros derrière. Puisque tu as l'air d'y prendre du plaisir et bien je peux t'assurer qu'à partir d'aujourd'hui tu vas me le montrer très souvent.
Elle riait en tapotant mes fesses :
- Bon, passons aux choses sérieuses.
Comme d'habitude Virginie administra une sévère fessée à sa petite maman. Elle ne put retenir longtemps ses pleurs, la jeune femme s'appliquait à claquer alternativement chaque hémisphère et le haut des cuisses. C'est avec une croupe écarlate qu'elle rejoignit le coin.
La vie allait être modifiée au hameau des fesses rouges.
Huguette n'avait plus les fesses de Sylvie continuellement à sa disposition, ce sont donc celle de Pauline et de ses deux grandes filles qui en firent les frais.
Dès le lendemain, elle décida que sa voisine devrait venir lui présenter son derrière tout les jours pour une fessée de maintenance matinale.
Aussitôt les jeunes filles parties, Pauline la tête basse vêtue de sa courte jupette traversait la rue et sonnait chez Huguette. Après lui avoir fait une bise, celle-ci la faisait entrer et la jeune femme découvrait l'instrument qui allait rougir son fessier, il était posé sur la table.
Ce matin là c'était le martinet, Huguette tapota les fesses de sa voisine par dessus sa jupe :
- Tu as bien dormi ma chérie ? On va réveiller ton petit derrière. A qu'elle heure dois-tu aller au travail ?
Pauline avait des horaires variables, aujourd'hui pour le malheur de ses fesses, elle ne travaillait que l'après-midi. Huguette eut un petit sourire complice :
- C'est parfait on va avoir un peu de temps. Viens un peu sur mes genoux.
Elle était devenue une spécialiste, elle commençait toujours par une fessée d'échauffement.
Elle ne dérogea pas à la règle, sa main claqua sévèrement et longuement le derrière culotté, quand elle baissa le petit sous-vêtement de coton, la croupe de Pauline était déjà bien colorée. La dame couchée sur ses genoux n'était plus la responsable d'une boutique de mode mais une gamine punie par sa maman. Celle-ci examinait maintenant soigneusement les fesses de sa grande fille. Ne disposant plus de la croupe plantureuse de Sylvie, elle se délectait du postérieur bien rebondi de Pauline. La fessée déculottée reprit, mais pas trop longtemps. Ce matin c'était le martinet qui devait cuire les fesses de sa voisine.
Quelques instants plus tard, elle était agenouillée sur le fauteuil, les fesses tendues vers l'arrière. Le martinet manié avec adresse par la sévère maman fit son travail. La pauvre Pauline les fesses écarlates rejoignit le coin de la pièce qui lui était destiné. Comme après chaque correction avec le martinet, Huguette lui coinça le manche entre les fesses bien serrées :
- Arrange toi pour qu'il ne tombe pas ma chérie, sinon gare à tes fesses.
La perverse matrone s'installa sur son fauteuil pour se délecter du spectacle, elle ne put s'empêcher de glisser sa main sous sa jupe pour se caresser.
Pauline ne le savait pas encore mais c'était quand même bon signe pour elle, Huguette avait découvert le plaisir de donner la fessée déculottée mais également les jeux entre dames et quelques fois après une sévère correction, elle entraînait Pauline dans sa chambre pour une suite plus douce et plus tendre. Malgré son derrière brûlant celle-ci appréciait beaucoup ce petit intermède.
La matinée fut donc chaude au sens propre comme au sens figuré. Pauline se rendit à son travail avec des fesses bien rouges et bien chaudes sous sa culotte mais malgré tout, épanouie de plaisir.
Virginie peu à peu prit de l'assurance et son autorité naturelle fit le reste. Pauline et ses filles où plutôt leurs derrières, firent la découverte de sa main et de sa brosse à cheveux.
Ça s'était fait naturellement et un jour, alors que les quatre croupes rougies de Sylvie et de ses voisines ornaient le mur de son salon, elle songea à Huguette.
Il n'y avait aucune raison qu'elle ne lui présente pas également son derrière. Elle regarda par la fenêtre, la sévère matrone était en train d'étendre du linge dans son jardin. Elle quitta la pièce après un dernier regard sur le délicieux spectacle des quatre fessiers écarlates, non sans avoir prévenu les punies, qu'elles en avaient encore pour une heure à rester au coin.
Ça avait été un après-midi cuisant. Olga et Juliette avait reçu la fessée déculottée en premier pour être arrivée en retard.
Virginie ensuite m'avait reproché mon ménage mal fait. C'était parfaitement injuste mais elle était très énervée et je savais que dans ces cas là, il fallait mieux ne pas répondre. Pour rendre ma punition plus exemplaire, elle autorisa les deux jeunes filles à assister à mon châtiment :
- Retournez-vous mais gardez vos mains sur la tête. Vous allez voir ce qui arrive aux bonnes grosses fesses de Sylvie quand elle est paresseuse.
J'avais rougi sous l'affront, bien sûr je commençais à avoir l'habitude d'être déculottée en public pour recevoir ce châtiment enfantin mais c'est toujours humiliant quand ce sont de nouvelles spectatrices. En plus aujourd'hui celle-ci avait l'âge d'être mes petite-filles. Je n'en avais pas fini avec la honte car je vis que Virginie posait son pied sur un tabouret, elle allait me fesser dans cette position qui me rappellait tant mes sévères institutrices et qui me ramenait définitivement au rang de gamine.
La sévère momy adressa un regard explicite à la future punie :
- Viens ici que je t'explique comment on fait le ménage.
Celle-ci s'approcha tête basse, elle détestait cette position et sa fille le savait parfaitement. Recevoir une bonne fessée déculottée avec les pieds qui battaient l'air et la culotte entortillée autour de ses chevilles comme une gamine devant toute la classe c'était ce qui l'attendait.
Olga et sa soeur ne perdait rien du spectacle, c'était une petite compensation à leurs derrières cuisants.
Virginie avait attrapé la main de Sylvie et l'avait attiré près d'elle :
- Allez en position ma petite chérie.
Sylvie ne montrait aucun enthousiasme à être couchée sur son genou avec les fesses bien exposées, ce qui énerva un peu plus sa jeune fesseuse.
- Ah madame ne veut pas montrer ses fesses, tu crois peut-être que tu as le choix ?
Elle saisit sa mère par la taille et la fit basculer en travers de sa cuisse, cette position instable était particulièrement humiliante, ses jambes pendaient d'un côté et de l'autre ses mains s'aggripaient au tabouret pour ne pas perdre l'équilibre. La courte jupe était particulièrement adaptée, elle s'était retroussée toute seule, découvrant les larges fesses de la punie. Elles étaient encore couverte par la culotte mais celle-ci rentrait déjà profondément dans la raie médiane.
- Regardez bien mesdemoiselles, voilà ce qui arrive aux paresseuses. Même si elles se croient trop grandes pour recevoir la fessée.
Elle tapotait maintenant les fesses encore culottées :
- Voyez-moi ce bon gros derrière, il est fait pour la fessée. C'est à croire que tu la cherches.
Je sais bien que j'ai ce qu'on appelle un bon popotin, mais à chaque fois qu'elle me donnait la fessée ou même qu'elle m'en menaçait, Virginie utilisait ces mots pour bien me faire honte, elle parlait de mon bon gros derrière ou de mes bonnes grosses fesses.
Et les deux chipies ne perdaient rien du spectacle que je leur offrais bien malgré moi. J'avais jeté un oeil sur le côté et je les voyais sourire légèrement. Mamie Sylvie allait avoir panpan cucul.
Je sentis les doigts de Virginie s'insinuer sous la ceinture et ma culotte glisser sur mes rondeurs. Je ne pus m'empêcher de gémir de honte. Ce qui fit réagir ma jeune maîtresse :
- Oh oui tu peux avoir honte de montrer tes fesses à tout le monde, j'espère que ça va te servir de leçon. Je te garantis que tu vas t'en souvenir et comme tu as fait des difficultés pour venir te mettre en position, tu as gagné une fessée à la brosse.
Une correction avec cet instrument quand on a les fesses bien tendues, c'est sûr que j'allais m'en rappeller.
Virginie tenait toujours parole, elle avait annoncé à sa mère une punition exemplaire, ce fut le cas, les deux jeunes filles assistèrent à une magnifique danse des fesses.
Et pour terminer ce concerto de claquements sur peau nue, Pauline qui était arrivée juste à la fin de la punition de Sylvie avait dû elle aussi baisser sa culotte devant le trio de fesses rouges.
Quelle honte pour cette mère de famille de devoir se préparer pour sa punition devant ses deux grandes filles. Bien sûr celles-ci avaient les fesses bien rouges et bien chaudes mais bientôt ce serait leur maman qui allait chanter sur les genoux de Virginie.
Pour le moment, celle-ci la regardait avec insistance :
- Je ne vais pas attendre bien longtemps ma petite Pauline ! Qu'est-ce qu'on dit quand on est cul nu devant momy ?
La maman avait les joues écarlates, quatre paires d'yeux la regardaient, elle ne pouvait pas échapper à l'humiliante phrase. Virginie tapotait sa main avec la brosse à cheveux :
- Tu veux goûter au martinet en plus ?
- Non, non.... Momy peux-tu me donner la fessée déculottée que j'ai bien méritée.
Cette phrase avait eu du mal à sortir, reconnaître devant ses filles qu'on mérite encore la fessée déculottée et en plus la réclamer était particulièrement humiliant.
La jeune femme souriait, satisfaite de la domination qu'elle exerçait sur ces femmes. Elle fit un petit signe du doigt et docilement Pauline se coucha en travers de ses cuisses :
- C'est bien, ma grande, je vais répondre favorablement à ta demande.
Elle leva sa brosse à cheveux et commença à claquer le beau fessier. Pauline n'avait pas eu de chance, comme Sylvie avait été punie avec cet instrument, elle aussi y eu droit. Les quatre derrières écarlates avaient ensuite rejoint le mur et Virginie avait quitté la pièce, le fessier d'Huguette allait subir le même sort mais celle-ci ne le savait pas encore.
A suivre...