dimanche 31 décembre 2023

Bonne Année 2024

Je vous souhaite à tous une magnifique année 2024...

Avec :

des petites culottes blanches comme ça


ou comme ça



Peut-être que la fessée commencera sur la culotte....



Mais ça ne durera pas, Caroline adore baisser les culottes...

Comme ça ?



ou bien...


ou encore...



Mais un vrai déculottage c'est encore mieux en plein air...



De toute façon ça se termine toujours par une bonne fessée déculottée, n'est-ce-pas ?



Ce genre avec des fesses bien rouges


ou même une fessée à deux...




Mais elle sera de toute façon cuisante




Une bien belle année 2024 en perspective car ensuite on ira exposer son derrière bien rouge.

Seule ou à deux







Des fesses bien rouges et cuisantes qui font le bonheur des fesseuses n'est-ce-pas Caroline et Mel ?




 

Et ensuite on file dans sa chambre...



Et on promet d'être sage pendant toute l'année 2024.



Sinon c'est la fessée déculottée en plein air et en public...



Et ce n'est pas drôle du tout de rester cul nu dans le jardin...



Je vous souhaite à tous, 
une merveilleuse Année 2024


jeudi 28 décembre 2023

Caroline fesseuse de dame 16

Huguette n'échappera pas aux fesses rouges



En arrivant chez Huguette, Virginie fut frappée par sa croupe plantureuse, elle était toujours en train d'étendre son linge et son large popotin se tortillait de façon exquise du point de vue d'une fesseuse comme l'était devenu la jeune femme.

La sévère matrone qui déculottait à tout va, fut un peu surprise de la visite de sa jeune voisine, elle avait entendu les échos des magistrales corrections qu'elle avait administrée cet après midi. Elle lui adressa un sourire pervers :

- Quelque chose me dit qu'il doit y avoir des derrières bien rouges dans les coins de ton salon.



- Oh oui, et des larmes qui coulent encore, mais tu sais je me demande si elles ne les cherchent pas ces fessées, depuis un moment c'est tout les jours qu'il faut que je les déculotte.

Huguette se mit à rire :

- Je ne suis pas sûr que ça te déplaise petite coquine.

Virginie la regarda en souriant :

- À toi non plus, si j'en juge aux confidences que m'a fait Pauline.

Le rire malicieux d'Huguette se figea, elle rougit :

- Euh, que t'as dit cette péronnelle ?

La jeune femme était amusée par la gêne perceptible de sa voisine :

- Rien de bien grave de mon point de vue, tu as bien le droit de t'amuser, mais je ne suis pas sûr que ça plaise à monsieur le curé.

Huguette n'était pas ce qu'on appelle une grenouille de bénitier mais elle était très croyante et assidue à la messe. Virginie compris que la partie était gagnée quand elle vit l'expression affolée sur le visage de sa voisine :

- Non, non, Virginie, surtout ne dit rien, je... je ferai ce que tu voudras, s'il te plaît.

La jeune femme lui prit fermement la main :

- Rentrons, nous avons à parler.

Dès qu'elle fut sur le pas de la porte, elle lâcha la main d'Huguette et lui saisit l'oreille. Celle-ci cria :

- Mais arrête, qu'est ce qui te prend ?

La main de Virginie claqua immédiatement la généreuse croupe :

- Tu préfères qu'on aille directement voir le curé ?

- Non, non, aïe aïe aïe.

La main de Virginie avait à nouveau claqué par dessus la jupe :

- Je peux aussi te déculotter dans le jardin si tu préfères.

Huguette cessa immédiatement de protester et se laissa conduire, toujours tenue par l'oreille, dans son salon. Virginie s'assit sur une chaise et attira la sévère matrone contre ses genoux :

- Je suppose que tu connais la position.

Huguette était rouge jusqu'aux oreilles, elle essaya de négocier une dernière fois :

- Mais, Virginie, écoute... quand même tu ne vas pas... Aïe

La main de la jeune femme lui avait claqué la cuisse juste sous la jupe :

- Comment ça je ne vais pas ! Te flanquer une bonne fessée déculottée ? Oh que si et même pas qu'une si tu ne te dépêches pas de te coucher sur mes genoux.

Comme Huguette ne bougeait pas, elle la tira par le bras et la fit basculer en travers de ses cuisses :

- Eh bien voilà, tu as gagné une deuxième fessée !

La jupe était déjà retroussée, Huguette se débattait un peu mais Virginie était maintenant une fesseuse avertie et elle eut vite fait de coincer le bras d'Huguette dans son dos, immédiatement elle la déculotta. La culotte rose en dentelle qui couvrait mal le large fessier était maintenant aux genoux.

Huguette avait vraiment un beau popotin, c'est ce que Virginie apprécia immédiatement, encore bien rebondi et séparé en son milieu par une profonde raie que la jeune femme écarta largement. Huguette poussa un petit cri de honte d'être ainsi traitée. Bien sûr c'est comme ça qu'elle procédait quand elle avait un derrière déculotté à sa disposition, mais elle n'aurait jamais songé que ça puisse lui arriver.

Virginie avait fini son inspection, la fessée pouvait commencer, elle fut magistrale, la sévère maman qui d'habitude claquait si fort les croupes de ses voisines, exécuta une magnifique danse des fesses.



Le large fessier était rubicond quand Virginie la fit se relever. Ne perdant pas de temps elle épingla la jupe dans le dos puis remonta un peu la culotte et saisit l'oreille de la fesseuse fessée :

- Allez en route, tu vas faire du coin avec les autres que je puisse te surveiller.

Et à son tour Huguette connu l'humiliation de traverser la rue, les fesses à l'air, comme avant elle, Caroline, Sylvie et Pauline, la main de sa jeune maîtresse claquait de temps en temps sa croupe pour la faire avancer plus vite.

Quand elle arriva chez elle, Virginie constata que les quatre paires de fesses bien rouges étaient toujours alignées face au mur. Ce spectacle excitant la fit sourire, décidément, l'éducation stricte avait du bon. Elle conduisit Huguette au bout de la file et lui claqua sèchement les fesses en lui donnant les consignes :

- Mets tes mains sur la tête et ne t'avise pas de bouger !



J'avais légèrement tourné la tête et je n'en revenais pas, c'était bien ma sévère maman qui pleurnichait à côté de moi, elle était cul nu, et si j'en jugeais par les claques que Virginie venait de lui administrer son derrière devait être certainement bien rouge.

La roue venait de tourner,  j'en eu la confirmation en entendant ma fille chérie lui annoncer :

- On va laisser refroidir tes jolies fesses et ensuite tu goûteras au martinet.

Le programme se déroula comme annoncé par Virginie. Les quatre punies étaient  au coin depuis une heure, les fesses avaient perdu un peu de leurs rougeurs surtout celles des filles qui n’avaient eu droit qu’à une simple fessée avec la main. Les deux plus âgées avaient été punies avec la brosse, leurs fessiers en portaient encore les traces.  Virginie décida donc de remettre un peu de couleur sur les fesses d’Olga et de Juliette, l’une après l’autre, elles furent coincées sous le bras de la jeune femme et reçurent une courte mais très sévère fessée, elle s’appliqua à bien rougir toute la surface des deux derrières juvéniles :

- Voilà mes petites chéries vous avez une jolie culotte rouge, vous allez me donner les vôtres, ce soir c’est cul nu sous la jupe jusqu’au dodo.

Les deux filles s’exécutèrent, Virginie en souriant prit les culottes et les posa sur la table :

- Vous pouvez remettre vos jupes en place, mais rappelez vous que vos fesses sont disponibles si vous n'êtes pas sage.

Elle regarda Pauline et Sylvie qui exposaient encore leurs deux croupes bien colorées, elle s’approcha et sans les autoriser à bouger elle administra à chacun des derrières une cinquantaine de claques rapides :

- Enlevez vos culottes, vous resterez cul nu vous aussi.

Les deux dames avaient l’habitude d’obéir sans discuter, elles tendirent leurs sous-vêtement à leur jeune maîtresse. Il y avait maintenant quatre petites culottes en coton sur la table.

Elle renvoya les deux jeunes filles chez elle, Huguette recevrait le martinet devant les deux adultes. Elle était maintenant la seule à exposer sa croupe bien rouge. Virginie s'adressa à Sylvie :

- Va me chercher le martinet dans la cuisine.

J'étais un peu inquiète, quand on est cul nu sous sa jupe et qu'on doit aller chercher un martinet, c'est toujours un peu risqué. Mais je fus vite rassurée, ma sévère momy prit l'instrument et s'approcha de maman Huguette :

- Je t'ai promis une deuxième fessée pour ta désobéissance, tu vas la recevoir  devant tes deux grandes filles, ça te servira de leçon pour l'avenir.

Huguette se mit à supplier :

- Oh, non pardon mademoiselle Virginie, s'il vous plaît.

Ma fille chérie était toute souriante, Pauline et moi également. Voir notre sévère maman en si mauvaise posture était une compensation à nos fesses cuisantes.

Virginie fut satisfaite de constater que son autorité n'était pas remise en cause par Huguette, celle-ci venait même de l'appeler mademoiselle, preuve que maintenant c'était elle la maîtresse du hameau des fesses rouges. Elle aurait dorénavant cinq paires de fesses à sa disposition en permanence et celle de Caroline occasionnellement.

Huguette dut se mettre à genou sur le fauteuil et se pencher pour bien présenter son plantureux derrière. 



Monsieur Martinet fit son travail à la perfection et c'est avec une paire de fesses écarlates que la sévère matrone regagna son coin.

Pauline rentra chez elle cul nu sous sa jupe, ses fesses étaient bien chaudes, Virginie avait pris soin de les lui rougir un peu plus juste avant de partir.

Sylvie repris son ménage, le calme était revenu dans la maison mais Virginie était quand même excitée par tous les fessiers rougis durant l'après midi. Il lui restait juste une petite humiliation à faire subir à Huguette pour que la fête fut parfaite, elle alla chercher son thermomètre, saisit au passage l'oreille de la dernière punie exposant son derrière au coin :

- Allez ma grande, vient un peu ici, mademoiselle Virginie va te prendre la température.

Huguette ne résista pas, ses fesses brûlantes était une raison suffisante pour obéir, elle pleurait doucement quand Virginie la fit se coucher en travers de ses genoux.

Les larges fesses rouges étaient étalées devant les yeux ravis de la jeune femme. Avec deux doigts elle écarta les deux globes :

- Cesse de pleurnicher et desserre tes fesses, sinon gare à toi !

Le ton de Virginie était sans réplique, Huguette écarta ses cuisses pour faciliter le travail de sa jeune maîtresse. La rondelle brune était maintenant bien visible. Le thermomètre rentra doucement sous les gémissements de la dame transformée en gamine. Comme elle en avait l'habitude elle le fit rentrer et sortir plusieurs fois avant de le laisser en place enfoncer très profondément.

Je savourais ma revanche, combien de fois maman Huguette m'avait-elle fait subir ce traitement humiliant, je ne pouvais pas quitter des yeux son gros derrière bien rouge avec le thermomètre planté au milieu. Virginie s'en rendit compte, elle me fit un petit sourire vicieux :

- Tu vois ce qui arrive aux vilaines filles désobéissantes, ma chérie. Ne te réjouis pas trop vite, tes fesses vont certainement prendre l'air d'ici ce soir et vu ton comportement d'aujourd'hui tu auras droit à la fessée déculottée au coucher et au thermomètre également.

Je rougis à l'annonce de ma future punition à et je me remis au travail.

La jeune femme envoya un message à Caroline, elle l'attendait dès vendredi soir pour passer le week-end à la maison. Elle fit une photo des fesses rouges d'Huguette qu'elle envoya à Daisy, elle en profita pour la mettre au courant des dernières nouvelles du hameau et de ses nouvelles prérogatives. Nul doute que la pétulante anglaise apprécierait de venir en vacances chez elle prochainement. Julie, la mère de Caroline serait bientôt invitée, elle sourit en pensant que son derrière était certainement fessable.



Virginie était vraiment maintenant la seule et unique maîtresse du hameau des fesses rouges.


Fin

 

 

-

 

 

 

mardi 19 décembre 2023

Caroline fesseuse de dame 15

 Quatuor de fessées déculottées 



Virginie revenait donc toutes les fins de semaine chez Sylvie et elle prenait en charge «son éducation».

Ce n’était pas de tout repos pour les fesses de sa mère qui tout compte fait préférait passer la semaine chez sa maman Huguette, en effet même si celle-ci avait la main leste, comme elle avait maintenant quatre derrières à sa disposition pour assouvir ses pulsions fessophiles, celui de sa grande fille était moins souvent mis à nu pour être rougi.

Ce Vendredi  Virginie avait une grande nouvelle à annoncer à Sylvie. Après négociation avec son employeur elle avait obtenu l'autorisation de télétravailler, elle allait donc s’installer de façon permanente chez sa mère. Elle ajouta dans un sourire :

- Je vais pouvoir m’occuper encore plus sérieusement de toi ma chérie. Celle-ci n’apprécia pas particulièrement cette annonce et la grimace qu’elle fit fut certainement éloquente. Le sourire de sa fille se fit plus pervers :

- Tu n’es pas contente ma petite maman ? Et bien tu vas commencer par baisser ta culotte, je pense que je vais avoir une petite conversation avec ton bon gros derrière.

Je le savais pourtant qu’il ne fallait pas que je boude ou que je récrimine. Je maudissais ma réaction, le regard de Virginie était sans équivoque, je ne pouvais même pas négocier. Je glissai mes mains sous ma jupe et je baissai ma culotte comme elle me l’avait demandé. Se déculotter devant sa fille est une épreuve très humiliante je peux vous l’assurer, surtout que celle-ci ne me quittait pas des yeux.

- Baisse la jusqu’aux genoux que je puisse discuter correctement avec tes fesses !

La lingerie était maintenant à l’endroit prescris, elle fouillait son sac à main, ce n’était pas bon signe. La suite des consignes arriva :

- Tourne-toi et relève ta jupe !

Mes fesses étaient maintenant à sa disposition, je sentis sa main caresser ma croupe :

- Depuis qu’on s’occupe de ton bon gros derrière avec Huguette, je trouve qu’il s’est bien raffermit. Par contre tu n’as pas encore compris que je veux pas de grimace quand je t’annonce quelque chose. Je vais donc l’expliquer à ma façon. Qu’est-ce qu’on demande à Virginie quand on a les fesses à l’air ?

C’était une nouvelle humiliation que ma sévère momy m’imposait depuis quelques temps, elle tapotait ma croupe avec sa brosse à cheveux pour marquer son impatience :

- Tu devrais te dépêcher, tu sais que je n’aime pas répéter.

- Pardon momy. S’il te plaît peux-tu m’administrer la bonne fessée déculottée que j’ai bien mérité.

J’avais débité cette phrase d’un trait. Je la connaissais par coeur et je savais que Virginie ne tolérait aucune hésitation et qu'elle devait être exacte. Elle l’avait fait rentrer dans ma mémoire avec sa méthode habituelle et après quelques magistrales déculottées j'avais appris que quand une correction était nécessaire du point de vue de ma momy, je devais réclamer ma punition, en prononçant ces paroles humiliante.

Virginie était satisfaite, depuis 3 mois qu’elle avait repris en main sa mère, celle-ci était devenue docile et obéissante, son caractère nonchalant et désordonné s’estompait. De son côté, elle appréciait de pouvoir exercer son autorité. Elle se régalait encore plus de pouvoir administrer à sa mère ces cuisantes et longues fessées qui la laissait pantelante et en pleurs couchées sur ses genoux. Elle essayait de ne pas trop abuser de son pouvoir et de ne la punir qu’à bon escient, mais il faut bien l’avouer, de temps en temps la pauvre Sylvie se retrouvait déculottée et les fesses brûlantes pour une raison futile. L’excitation que ressentait Virginie en lui administrant ce châtiment enfantin était trop grande pour qu’elle soit toujours juste.


A vrai dire, même si c’est difficile à avouer, je commençais à m’habituer à être traitée comme une gamine par Huguette et Virginie et je trouvais quasiment normal de recevoir encore à mon âge, la fessée déculottée. Dire que j’y prenais du plaisir serait quand même exagéré mais quand l’une ou l’autre après m’avoir chauffé le derrière, s’occupait de mon petit trou en y mettant un thermomètre ou que leurs mains s’égaraient entre mes cuisses, je ressentais poindre une excitation.

A ma grande honte, elles s’en étaient rendu compte, c’est Virginie qui, avait glissé ses doigts dans ma fente après une sévère déculottée et en avait ressorti les doigts gluants, elle avait rit tout en me claquant le derrière :

- Eh bien ma petite chérie elles te font de l’effet mes fessées ! Puisque c’est ça on va continuer.

 Je m’étais reçu ce jour-là, une deuxième correction encore plus  mémorable.


Virginie continuait de caresser la large croupe de sa mère, la fessée qu’elle allait lui administrer n’était pas vraiment méritée, Sylvie avait fait juste une petite moue quand elle lui avait annoncé qu’elle allait habiter ici en permanence. Mais elle ne l’avait pas punie depuis une semaine et il faut bien l’avouer ça lui manquait un peu. Ce bon gros derrière comme elle l’appelait avait besoin d’être entretenu régulièrement :

- Puisque tu me le demande si gentiment je vais te faire ce plaisir ma chérie. Momy va t’administrer la bonne fessée déculottée qui te manque depuis une semaine. Allez en position sur mes genoux et vite !

La brosse avait claqué sèchement le fessier de Sylvie. Elle savait ce que cela voulait dire, elle se retourna. Virginie s’était installée confortablement sur le canapé, sa mère se coucha docilement en travers de ses cuisses. C’était un tableau un peu incongru que de voir cette dame âgée la culotte aux genoux, prête à recevoir la fessée comme si elle était une gamine. Mais dans cette maison depuis un bon moment les rôles étaient inversé et c’est la maman qui recevait la fessée et sa fille qui la lui administrait.  

Virginie modifia un peu la position, elle fit basculer Sylvie vers l'avant de façon que ses fesses soient bien à sa portée. Celle-ci connaissait parfaitement cette position, ses pieds décollés du sol, elle posa ses mains par terre pour se stabiliser. Elle savait que Virginie adorait l'avoir ainsi, complètement à sa merci. La main tapota les fesses :

- Tu es bien installée ma chérie ? Désserre un peu tes cuisses que ton popotin soit bien détendu. Voilà c'est bien. 


Je savais qu'il fallait obéir immédiatement aux demandes de momy sous peine de correction encore plus cuisante. Maintenant j'étais habituée à présenter mon intimité à mes fesseuses. Caroline, Daisy, Huguette et Virginie s'étaient toutes régalées du spectacle de mes larges fesses blanches bien étalées devant elle mais également de mes lèvres mises à jour par l'écartement de mes cuisses. Les doigts experts de ma maitresse se glissait vicieusement entre mes fesses et descendaient lentement. J'étais morte de honte bien que ce soit pas là première fois que Virginie se livre à un examen minutieux de mon intimité :

- Décidément ma chérie  ça te fait toujours de l'effet de me présenter ton bon gros derrière. Puisque tu as l'air d'y prendre du plaisir et bien je peux t'assurer qu'à partir d'aujourd'hui tu vas me le montrer très souvent.

Elle riait en tapotant mes fesses :

- Bon, passons aux choses sérieuses. 

Comme d'habitude Virginie administra une sévère fessée à sa petite maman. Elle ne put retenir longtemps ses pleurs, la jeune femme s'appliquait à claquer alternativement chaque hémisphère et le haut des cuisses. C'est avec une croupe écarlate qu'elle rejoignit le coin. 

La vie allait être modifiée au hameau des fesses rouges. 

Huguette n'avait plus les fesses de Sylvie continuellement à sa disposition, ce sont donc celle de Pauline et de ses deux grandes filles qui en firent les frais. 

Dès le lendemain, elle décida que sa voisine devrait venir lui présenter son derrière tout les jours pour une fessée de maintenance matinale. 

Aussitôt les jeunes filles parties, Pauline la tête basse vêtue de sa courte jupette traversait la rue et sonnait chez Huguette. Après lui avoir fait une bise, celle-ci la faisait entrer et la jeune femme découvrait l'instrument qui allait rougir son fessier, il était posé sur la table. 

Ce matin là c'était le martinet, Huguette tapota les fesses de sa voisine par dessus sa jupe :

- Tu as bien dormi ma chérie ? On va réveiller ton petit derrière. A qu'elle heure dois-tu aller au travail ?

Pauline avait des horaires variables, aujourd'hui pour le malheur de ses fesses, elle ne travaillait que l'après-midi. Huguette eut un petit sourire complice :

- C'est parfait on va avoir un peu de temps. Viens un peu sur mes genoux. 

Elle était devenue une spécialiste, elle commençait toujours par une fessée d'échauffement. 


Elle ne dérogea pas à la règle, sa main claqua sévèrement et longuement le derrière culotté, quand elle baissa le petit sous-vêtement de coton, la croupe de Pauline était déjà bien colorée. La dame couchée sur ses genoux n'était plus la responsable d'une boutique de mode mais une gamine punie par sa maman. Celle-ci examinait maintenant soigneusement les fesses de sa grande fille. Ne disposant plus de la croupe plantureuse de Sylvie, elle se délectait du postérieur bien rebondi de Pauline. La fessée déculottée reprit, mais pas trop longtemps. Ce matin c'était le martinet qui devait cuire les fesses de sa voisine. 

Quelques instants plus tard, elle était agenouillée sur le fauteuil, les fesses tendues vers l'arrière. Le martinet manié avec adresse par la sévère maman fit son travail. La pauvre Pauline les fesses écarlates rejoignit le coin de la pièce qui lui était destiné. Comme après chaque correction avec le martinet, Huguette lui coinça le manche entre les fesses bien serrées :

- Arrange toi pour qu'il ne tombe pas ma chérie, sinon gare à tes fesses. 



La perverse matrone s'installa sur son fauteuil pour se délecter du spectacle, elle ne put s'empêcher de glisser sa main sous sa jupe pour se caresser.

Pauline ne le savait pas encore mais c'était quand même bon signe pour elle, Huguette avait découvert le plaisir de donner la fessée déculottée mais également les jeux entre dames et quelques fois après une sévère correction, elle entraînait Pauline dans sa chambre pour une suite plus douce et plus tendre. Malgré son derrière brûlant celle-ci appréciait beaucoup ce petit intermède. 

La matinée fut donc chaude au sens propre comme au sens figuré. Pauline se rendit à son travail avec des fesses bien rouges et bien chaudes sous sa culotte mais malgré tout,  épanouie de plaisir.

Virginie peu à peu prit de l'assurance et son autorité naturelle fit le reste. Pauline et ses filles où plutôt leurs derrières, firent la découverte de sa main et de sa brosse à cheveux.

Ça s'était fait naturellement et un jour, alors que les quatre croupes rougies de Sylvie et de ses voisines ornaient le mur de son salon, elle songea à Huguette. 

Il n'y avait aucune raison qu'elle ne lui présente pas également son derrière. Elle regarda par la fenêtre, la sévère matrone était en train d'étendre du linge dans son jardin. Elle quitta la pièce après un dernier regard sur le délicieux spectacle des quatre fessiers écarlates, non sans avoir prévenu les punies, qu'elles en avaient encore pour une heure à rester au coin.


Ça avait été un après-midi cuisant. Olga et Juliette avait reçu la fessée déculottée en premier pour être arrivée en retard. 



Virginie ensuite m'avait reproché mon ménage mal fait. C'était parfaitement injuste mais elle était très énervée et je savais que dans ces cas là, il fallait mieux ne pas répondre. Pour rendre ma punition plus exemplaire, elle autorisa les deux jeunes filles à assister à mon châtiment :

- Retournez-vous mais gardez vos mains sur la tête. Vous allez voir ce qui arrive aux bonnes grosses fesses de Sylvie quand elle est paresseuse. 

J'avais rougi sous l'affront, bien sûr je commençais à avoir l'habitude d'être déculottée en public pour recevoir ce châtiment enfantin mais c'est toujours humiliant quand ce sont de nouvelles spectatrices. En plus aujourd'hui celle-ci avait l'âge d'être mes petite-filles. Je n'en avais pas fini avec la honte car je vis que Virginie posait son pied sur un tabouret, elle allait me fesser dans cette position qui me rappellait tant mes sévères institutrices et qui me ramenait définitivement au rang de gamine. 


La sévère momy adressa un regard explicite à la future punie :

- Viens ici que je t'explique comment on fait le ménage. 

Celle-ci s'approcha tête basse, elle détestait cette position et sa fille le savait parfaitement. Recevoir une bonne fessée déculottée avec les pieds qui battaient l'air et la culotte entortillée autour de ses chevilles comme une gamine devant toute la classe c'était ce qui l'attendait. 

Olga et sa soeur ne perdait rien du spectacle,  c'était une petite compensation à leurs derrières cuisants. 

Virginie avait attrapé la main de Sylvie et l'avait attiré près d'elle :

- Allez en position ma petite chérie. 

Sylvie ne montrait aucun enthousiasme à être couchée sur son genou  avec les fesses bien exposées, ce qui énerva un peu plus sa jeune fesseuse. 

- Ah madame ne veut pas montrer ses fesses, tu crois peut-être que tu as le choix ?

Elle saisit sa mère par la taille et la fit basculer en travers de sa cuisse, cette position instable était particulièrement humiliante, ses jambes pendaient d'un côté et de l'autre ses mains s'aggripaient au tabouret pour ne pas perdre l'équilibre. La courte jupe était particulièrement adaptée, elle s'était retroussée toute seule, découvrant les larges fesses de la punie. Elles étaient encore couverte par la culotte mais celle-ci rentrait déjà profondément dans la raie médiane. 

- Regardez bien mesdemoiselles, voilà ce qui arrive aux paresseuses. Même si elles se croient trop grandes pour recevoir la fessée. 

Elle tapotait maintenant les fesses encore culottées :

- Voyez-moi ce bon gros derrière, il est fait pour la fessée. C'est à croire que tu la cherches.

Je sais bien que j'ai ce qu'on appelle un bon popotin, mais à chaque fois qu'elle me donnait la fessée ou même qu'elle m'en menaçait, Virginie utilisait ces mots pour bien me faire honte, elle parlait de mon bon gros derrière ou de mes bonnes grosses fesses.

Et les deux chipies ne perdaient rien du spectacle que je leur offrais bien malgré moi. J'avais jeté un oeil sur le côté et je les voyais sourire légèrement. Mamie Sylvie allait avoir panpan cucul. 

Je sentis les doigts de Virginie s'insinuer sous la ceinture et ma culotte glisser sur mes rondeurs. Je ne pus m'empêcher de gémir de honte. Ce qui fit réagir ma jeune maîtresse :

- Oh oui tu peux avoir honte de montrer tes fesses à tout le monde, j'espère que ça va te servir de leçon. Je te garantis que tu vas t'en souvenir et comme tu as fait des difficultés pour venir te mettre en position, tu as gagné une fessée à la brosse. 

Une correction avec cet instrument quand on a les fesses bien tendues, c'est sûr que j'allais m'en rappeller. 

Virginie tenait toujours parole, elle avait annoncé à sa mère une punition exemplaire, ce fut le cas, les deux jeunes filles assistèrent à une magnifique danse des fesses. 

Et pour terminer ce concerto de claquements sur peau nue, Pauline qui était arrivée juste à la fin de la punition de Sylvie avait dû elle aussi baisser sa culotte devant le trio de fesses rouges. 

Quelle honte pour cette mère de famille de devoir se préparer pour sa punition devant ses deux grandes filles. Bien sûr celles-ci avaient les fesses bien rouges et bien chaudes mais bientôt ce serait leur maman qui allait chanter sur les genoux de Virginie. 

Pour le moment, celle-ci la regardait avec insistance :

- Je ne vais pas attendre bien longtemps ma petite Pauline ! Qu'est-ce qu'on dit quand on est cul nu devant momy ?

La maman avait les joues écarlates, quatre paires d'yeux la regardaient, elle ne pouvait pas échapper à l'humiliante phrase. Virginie tapotait sa main avec la brosse à cheveux :

- Tu veux goûter au martinet en plus ?

- Non, non.... Momy peux-tu me donner la fessée déculottée que j'ai bien méritée. 

Cette phrase avait eu du mal à sortir, reconnaître devant ses filles qu'on mérite encore la fessée déculottée et en plus la réclamer était particulièrement humiliant. 

La jeune femme souriait, satisfaite de la domination qu'elle exerçait sur ces femmes. Elle fit un petit signe du doigt et docilement Pauline se coucha en travers de ses cuisses :

- C'est bien, ma grande, je vais répondre favorablement à ta demande. 



Elle leva sa brosse à cheveux et commença à claquer le beau fessier. Pauline n'avait pas eu de chance, comme Sylvie avait été punie avec cet instrument, elle aussi y eu droit. Les quatre derrières écarlates avaient ensuite rejoint le mur et Virginie avait quitté la pièce, le fessier d'Huguette allait subir le même sort mais celle-ci ne le savait pas encore. 




A suivre...


vendredi 8 décembre 2023

Lucie et Christian 8

A mes fidèles lecteurs, je m'excuse pour ce retard de publications, lié à mes multiples activités.

Je vous invite d'ailleurs à lire mes Ebooks sur Atramenta. Sylvie Bouger a déjà publié 3 récits complets. Ils sont accessibles en lecture libre.


La fessée d'Elodie





Lucie et Alice étaient sorties ensemble de l'immeuble, elles avaient chacune une paire de fesses bien rouges sous leurs culottes.

Lucie était guillerette, malgré la cuisson de son derrière. Elle fit une bise à sa collègue et lui donna une petite tape sur les fesses :

- À demain petite coquine. Il faudra que tu viennes manger à la maison un de ces soirs, j'ai une petite surprise pour toi.

La boutique de lingerie était à deux pas, quand elle y arriva elle vit Elodie à travers la vitrine en discussion avec une cliente. Elle portait une jupe à fleurs assez courte, Lucie ne put s'empêcher de sourire, la jeune vendeuse lui avait obéi, c'était bon signe.

Elle entra, Elodie rougit violemment en la voyant. Elle s'adressa quand même à Lucie :

- je... Je suis à vous tout de suite, je termine avec madame.

Lucie avec un sourire gourmand lui répondit :

- Faites mademoiselle, j'ai tout mon temps.

Elle prit son téléphone et pianota un message à sa petite Christine : "Je vois que Mlle Vigreu s'est bien occupée de ton petit derrière, mais tu n'es pas quitte, je te veux comme hier quand j'arrive et tu peux préparer tes fesses"

Quand la notification arriva sur son téléphone, Christine était dans le bureau de sa cheffe de service. La secrétaire était déjà partie et Aurore regardait son assistante avec un sourire coquin :

- Regarde ta notification ma petite Christine, si jamais c'est Lucie et que tu ne réponds pas tu pourrais avoir panpan cucul.

En rougissant Christian-Christine prit son téléphone. Ses joues s'empourprèrent encore davantage en lisant le message de Lucie. Mlle Vigreu tendit la main :

- Montre moi ça !

Il lui tendit le smartphone. Ravie sa cheffe de service dévora le message :

- Et bien ma petite Christine, la soirée s'annonce chaude.

Elle prit son téléphone et envoya une réponse à Lucie : "Ne vous inquiétez pas, Christine est dans mon bureau, j'ai juste une petite discussion avec ses fesses et je vous le renvoie. Son derrière sera prêt ". Puis elle se tourna vers son assistante :

- Enlève ton pantalon !

Christine un peu surprise, mais docile s'exécuta et quelques instants plus tard il était en petite culotte devant Mlle Vigreu, elle s'était assise sur une chaise et tapotait ses cuisses :

- Allez ma petite, en piste, j'ai promis à Lucie de m'occuper de tes fesses.

Christian-Christine se coucha en travers de ses genoux. Aurore était fascinée par sa soumission et la facilité qu'elle avait de pouvoir lui claquer le derrière à sa guise. Le fessier du monsieur, redevenu une jeune assistante punie par sa cheffe, était tendu vers, bien moulé dans la culotte rose. Elle passa sa main sur la fine lingerie puis insinua ses doigts dessous au niveau des cuisses pour découvrir un peu ce derrière qu'elle allait corriger. Elle claqua la base des fesses mises à nu :

- Alors comme ça, tu vas avoir panpan cucul comme une vilaine fille quand tu vas arriver à la maison ?

Christine répondait pas, tout à sa honte, d'être dans cette position humiliante et forcé d'exposer sa culotte de fille.

Aurore claqua plus fort les fesses culottées :

- Ah mademoiselle ne veux pas répondre ? Et bien tu vas déjà t'en prendre une bonne maintenant, comme ça tu pourras montrer ton petit derrière bien rouge à Lucie.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture et entrepris de déculotter son assistante :

- Voyons un peu ce que cache cette petite culotte.

Les fesses étaient déjà rosées, elle caressa à nouveau cette croupe rebondie, quasiment féminine :

- Tu as vraiment un très joli petit cul ma chérie...

Elle fut surprise elle-même par ses paroles, appeler son assistante "ma chérie" et désigner son derrière comme "un joli petit cul". Mais elle était vraiment excitée par la situation.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses nues, doucement d'abord puis se prenant au jeu, de plus en plus fort. Elles étaient seules dans les bureaux, le bruit n'avait pas d'importance, la main rebondissait sur le derrière, il  se mit à rougir rapidement. Les jambes de Christine battaient l'air, elle gémissait et suppliait sa cheffe de service d'arrêter la fessée :

- Aïe, aïe, pardon mademoiselle, non, aïe, ça fait mal... non.



Aurore Vigreu souriait, les yeux fixés sur la magnifique croupe écarlate, c'était une bien belle fessée. Mais tout plaisir a une fin, malgré son excitation elle cessa la correction :

- Je pense que Lucie sera contente, tu vas lui montrer un bien joli derrière. Quand elle va rentrer. Je n’ai pas le temps de te mettre au coin, mais demain matin tu y auras droit rassure-toi.

Elle lui claqua à nouveau les fesses pour l’inciter à se relever :

- Debout ma petite, tu peux te reculotter.

Elle renvoya un message à Lucie, «Je crois que vous allez être contente, les fesses de notre petite chérie ont bonne mine».

Pendant ce temps dans la boutique de lingerie, Elodie s’activait avec sa cliente. Elle sentait le regard de Lucie braqué sur sa croupe. Elle était à la fois pressée que cette enquiquineuse, qui ne se décidait pas, s’en aille mais également un peu inquiète de la suite des événements.

La nuit précédente dans son lit, elle s’était imaginée couchée sur les genoux de cette jeune femme à l’air sévère. Elle était déculottée et recevait une fessée. Ça l’avait beaucoup excitée, mais maintenant qu’elle était face à la réalité, c’était un peu différent.

Enfin la dame d’âge mûre quitta le magasin, Lucie qui n’attendait que ça s’adressa immédiatement à la jeune vendeuse :

- J’espère que tu as préparé tes fesses.

Elodie rougit fortement et regarda la porte, heureusement la cliente était déjà sortie et semblait ne pas avoir entendu.

- Tu m’as trouvé les culottes que je t’ai demandé pour ma petite chérie ?

La jeune femme les posa sur le comptoir :

- Oui madame, les voilà. Des petites culottes de gamine en coton, avec des fleurs ou  des petits pois, ça vous convient ?

Lucie en avait déplié une et la regardait en détail :

- C’est parfait, ça va lui faire un joli derrière, pour lui donner la fessée, c’est  idéal.

Elodie était contente que sa cliente soit satisfaite mais l'évocation de la fessée qu'elle ne manquerait pas d'administrer à sa chérie ne lui disait rien de bon, même si ça l'excitait un peu. Elle lui tendit la culotte sexy que Lucie lui avait également commandée :

- Et celle-ci, elle vous convient?

Lucie regarda attentivement, la fine culotte en dentelle jaune paille, elle était transparente et bien échancrée :

- Elle est très mignonne, ça va lui faire un joli petit cul quand nous sortirons.

Elle regarda la jeune vendeuse avec un regard gourmand :

- Ça ne m'empêchera pas quand même de la déculotter si elle le mérite.

Elle s'était approchée d'Elodie et lui avait mis un doigt sous le menton pour la forcer à la regarder :

- Tu n'as pas oublié ce que je t'ai promis hier ?

Les joues de la jeune femme étaient écarlates, elle ne pouvait pas baisser la tête, elle répondit timidement :

- Non madame... Mais je dois fermer la porte...

Lucie la regarda en souriant :

- Tu crois que c'est nécessaire ? Une bonne fessée déculottée en publique te ferait pourtant le plus grand bien.

Devant le regard affolé d'Elodie, elle se mit à rire :

- Tu as raison d'avoir peur, si un jour c'est nécessaire, je n'hésiterai pas à te baisser la culotte même si il y a du monde.

Puis elle claqua la croupe de la vendeuse :

- Vas vite me fermer la porte avant que je ne change d'avis.

Elodie se précipita sous le regard amusé de Lucie, dès qu’elle revint vers elle, la sévère jeune femme lui saisit l’oreille comme si elle était une gamine désobéissante :

- Viens donc un peu par là que je m’occupe de tes jolies fesses.

La jeune vendeuse avait été surprise d’être tirée par l’oreille, elle gémit légèrement :

- Aïe... Pardon madame...

Lucie souriait, cette petite était trop mignonne, elle demandait pardon avant sa punition, peut-être avait-elle vraiment quelque chose à se reprocher. Elles étaient arrivées dans l’arrière-boutique, Lucie s’installa sur une chaise, elle lâcha l'oreille d'Elodie pour lui prendre la main et elle la fit basculer en travers de ses genoux. La jeune femme ne résista pas, elle acceptait donc d'être punie comme une gamine.

En fait dans la tête d'Elodie des pensées contradictoires s'entrechoquaient,  l'excitation de voir se réaliser un fantasme se mêlait à la honte et la crainte de la fessée.

Lucie lissait la jupe avec la main, elle allait découvrir un nouveau fessier, c'était la première fois qu'elle allait donner une fessée à quelqu'un d'autre que Christine. Une humidité pointa entre ses cuisses, elle retroussa lentement la jupe et la mignonne paire de fesses de la jeune vendeuse apparut, bien moulé dans une petite culotte blanche, on les devinaient serrées par l'angoisse. Lucie décida de faire durer le plaisir. Elle leva la main et commença à claquer la croupe sur la culotte :

- On va chauffer un peu ce joli derrière.

Elle claquait lentement mais fermement, alternativement la fesse droite puis la gauche. Elodie gémissait doucement, la main s’égarait de temps en temps sur le haut de la cuisse. Bientôt une rougeur apparu à la limite de la culotte. Il était temps décida Lucie de procéder au déculottage.

C'est toujours un moment exaltant pour une fesseuse que de prendre possession d'une nouvelle paire de fesses, Lucie commençait à s'en rendre compte. La lingerie glissait sur la croupe potelée, elle décida de la laisser pour le moment juste sous les fesses. La main recommença à claquer. Elodie gigotait sous la cuisson qui commençait à envahir son derrière. De rose il vira rapidement au rouge et la petite vendeuse se mit à supplier :

- Non, non, arrêtez madame, aïe ça brûle, s'il vous plaît.

Aux gémissements succédèrent quelques sanglots, les jolies fesses étaient maintenant écarlates. Lucie s'arrêta quelques instants pour baisser la culotte jusqu'aux genoux puis elle reprit la correction, il fallait que cette petite s'en souvienne. Elodie sanglotait, ses pieds battaient l'air désespérément, la sévère jeune femme appréciait le spectacle  elle ne semblait pas vouloir s'arrêter. Le haut des cuisses était rouge également, la lingerie était entortillée autour de ses chevilles.

Lucie la fit se relever :

- Voilà mademoiselle ce qui arrive aux vilaines filles. J'espère que la leçon sera profitable. Donne moi ta culotte.

Un peu surprise mais tellement contente que la fessée soit terminée, Elodie enjamba sa culotte et la tendit à sa nouvelle maîtresse. Celle-ci la prit en souriant :

- Tu es  privée de culotte pour toute la soirée. Quand tu arriveras chez toi, tu iras te mettre au coin fesses à l'air pendant un quart d'heure. Tu m'enverras une photo. Si jamais tu me désobéis gare à tes fesses la prochaine fois.



Elle avait pris un air très sévère, Elodie acquiesça en baissant la tête :

- Oui madame.

Lucie n'avait aucune garantie que la jeune femme s'exécuterait mais son air soumis lui laissait penser qu'elle obéirait et qu'elle avait désormais une nouvelle soumise.

Guillerette, elle ressortit du magasin, la soirée commençait bien. Elle songea à sa petite Christine qui l’attendait au coin les fesses rouges bien exposées. Nul doute que sa main et sa brosse à cheveux n’allait pas chômer.



Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...