A mes fidèles lecteurs, je m'excuse pour ce retard de publications, lié à mes multiples activités.
Je vous invite d'ailleurs à lire mes Ebooks sur Atramenta. Sylvie Bouger a déjà publié 3 récits complets. Ils sont accessibles en lecture libre.
La fessée d'Elodie
Lucie et Alice étaient sorties ensemble de l'immeuble, elles avaient chacune une paire de fesses bien rouges sous leurs culottes.
Lucie était guillerette, malgré la cuisson de son derrière. Elle fit une bise à sa collègue et lui donna une petite tape sur les fesses :
- À demain petite coquine. Il faudra que tu viennes manger à la maison un de ces soirs, j'ai une petite surprise pour toi.
La boutique de lingerie était à deux pas, quand elle y arriva elle vit Elodie à travers la vitrine en discussion avec une cliente. Elle portait une jupe à fleurs assez courte, Lucie ne put s'empêcher de sourire, la jeune vendeuse lui avait obéi, c'était bon signe.
Elle entra, Elodie rougit violemment en la voyant. Elle s'adressa quand même à Lucie :
- je... Je suis à vous tout de suite, je termine avec madame.
Lucie avec un sourire gourmand lui répondit :
- Faites mademoiselle, j'ai tout mon temps.
Elle prit son téléphone et pianota un message à sa petite Christine : "Je vois que Mlle Vigreu s'est bien occupée de ton petit derrière, mais tu n'es pas quitte, je te veux comme hier quand j'arrive et tu peux préparer tes fesses"
Quand la notification arriva sur son téléphone, Christine était dans le bureau de sa cheffe de service. La secrétaire était déjà partie et Aurore regardait son assistante avec un sourire coquin :
- Regarde ta notification ma petite Christine, si jamais c'est Lucie et que tu ne réponds pas tu pourrais avoir panpan cucul.
En rougissant Christian-Christine prit son téléphone. Ses joues s'empourprèrent encore davantage en lisant le message de Lucie. Mlle Vigreu tendit la main :
- Montre moi ça !
Il lui tendit le smartphone. Ravie sa cheffe de service dévora le message :
- Et bien ma petite Christine, la soirée s'annonce chaude.
Elle prit son téléphone et envoya une réponse à Lucie : "Ne vous inquiétez pas, Christine est dans mon bureau, j'ai juste une petite discussion avec ses fesses et je vous le renvoie. Son derrière sera prêt ". Puis elle se tourna vers son assistante :
- Enlève ton pantalon !
Christine un peu surprise, mais docile s'exécuta et quelques instants plus tard il était en petite culotte devant Mlle Vigreu, elle s'était assise sur une chaise et tapotait ses cuisses :
- Allez ma petite, en piste, j'ai promis à Lucie de m'occuper de tes fesses.
Christian-Christine se coucha en travers de ses genoux. Aurore était fascinée par sa soumission et la facilité qu'elle avait de pouvoir lui claquer le derrière à sa guise. Le fessier du monsieur, redevenu une jeune assistante punie par sa cheffe, était tendu vers, bien moulé dans la culotte rose. Elle passa sa main sur la fine lingerie puis insinua ses doigts dessous au niveau des cuisses pour découvrir un peu ce derrière qu'elle allait corriger. Elle claqua la base des fesses mises à nu :
- Alors comme ça, tu vas avoir panpan cucul comme une vilaine fille quand tu vas arriver à la maison ?
Christine répondait pas, tout à sa honte, d'être dans cette position humiliante et forcé d'exposer sa culotte de fille.
Aurore claqua plus fort les fesses culottées :
- Ah mademoiselle ne veux pas répondre ? Et bien tu vas déjà t'en prendre une bonne maintenant, comme ça tu pourras montrer ton petit derrière bien rouge à Lucie.
Elle glissa ses doigts sous la ceinture et entrepris de déculotter son assistante :
- Voyons un peu ce que cache cette petite culotte.
Les fesses étaient déjà rosées, elle caressa à nouveau cette croupe rebondie, quasiment féminine :
- Tu as vraiment un très joli petit cul ma chérie...
Elle fut surprise elle-même par ses paroles, appeler son assistante "ma chérie" et désigner son derrière comme "un joli petit cul". Mais elle était vraiment excitée par la situation.
Elle leva la main et commença à claquer les fesses nues, doucement d'abord puis se prenant au jeu, de plus en plus fort. Elles étaient seules dans les bureaux, le bruit n'avait pas d'importance, la main rebondissait sur le derrière, il se mit à rougir rapidement. Les jambes de Christine battaient l'air, elle gémissait et suppliait sa cheffe de service d'arrêter la fessée :
- Aïe, aïe, pardon mademoiselle, non, aïe, ça fait mal... non.
Aurore Vigreu souriait, les yeux fixés sur la magnifique croupe écarlate, c'était une bien belle fessée. Mais tout plaisir a une fin, malgré son excitation elle cessa la correction :
- Je pense que Lucie sera contente, tu vas lui montrer un bien joli derrière. Quand elle va rentrer. Je n’ai pas le temps de te mettre au coin, mais demain matin tu y auras droit rassure-toi.
Elle lui claqua à nouveau les fesses pour l’inciter à se relever :
- Debout ma petite, tu peux te reculotter.
Elle renvoya un message à Lucie, «Je crois que vous allez être contente, les fesses de notre petite chérie ont bonne mine».
Pendant ce temps dans la boutique de lingerie, Elodie s’activait avec sa cliente. Elle sentait le regard de Lucie braqué sur sa croupe. Elle était à la fois pressée que cette enquiquineuse, qui ne se décidait pas, s’en aille mais également un peu inquiète de la suite des événements.
La nuit précédente dans son lit, elle s’était imaginée couchée sur les genoux de cette jeune femme à l’air sévère. Elle était déculottée et recevait une fessée. Ça l’avait beaucoup excitée, mais maintenant qu’elle était face à la réalité, c’était un peu différent.
Enfin la dame d’âge mûre quitta le magasin, Lucie qui n’attendait que ça s’adressa immédiatement à la jeune vendeuse :
- J’espère que tu as préparé tes fesses.
Elodie rougit fortement et regarda la porte, heureusement la cliente était déjà sortie et semblait ne pas avoir entendu.
- Tu m’as trouvé les culottes que je t’ai demandé pour ma petite chérie ?
La jeune femme les posa sur le comptoir :
- Oui madame, les voilà. Des petites culottes de gamine en coton, avec des fleurs ou des petits pois, ça vous convient ?
Lucie en avait déplié une et la regardait en détail :
- C’est parfait, ça va lui faire un joli derrière, pour lui donner la fessée, c’est idéal.
Elodie était contente que sa cliente soit satisfaite mais l'évocation de la fessée qu'elle ne manquerait pas d'administrer à sa chérie ne lui disait rien de bon, même si ça l'excitait un peu. Elle lui tendit la culotte sexy que Lucie lui avait également commandée :
- Et celle-ci, elle vous convient?
Lucie regarda attentivement, la fine culotte en dentelle jaune paille, elle était transparente et bien échancrée :
- Elle est très mignonne, ça va lui faire un joli petit cul quand nous sortirons.
Elle regarda la jeune vendeuse avec un regard gourmand :
- Ça ne m'empêchera pas quand même de la déculotter si elle le mérite.
Elle s'était approchée d'Elodie et lui avait mis un doigt sous le menton pour la forcer à la regarder :
- Tu n'as pas oublié ce que je t'ai promis hier ?
Les joues de la jeune femme étaient écarlates, elle ne pouvait pas baisser la tête, elle répondit timidement :
- Non madame... Mais je dois fermer la porte...
Lucie la regarda en souriant :
- Tu crois que c'est nécessaire ? Une bonne fessée déculottée en publique te ferait pourtant le plus grand bien.
Devant le regard affolé d'Elodie, elle se mit à rire :
- Tu as raison d'avoir peur, si un jour c'est nécessaire, je n'hésiterai pas à te baisser la culotte même si il y a du monde.
Puis elle claqua la croupe de la vendeuse :
- Vas vite me fermer la porte avant que je ne change d'avis.
Elodie se précipita sous le regard amusé de Lucie, dès qu’elle revint vers elle, la sévère jeune femme lui saisit l’oreille comme si elle était une gamine désobéissante :
- Viens donc un peu par là que je m’occupe de tes jolies fesses.
La jeune vendeuse avait été surprise d’être tirée par l’oreille, elle gémit légèrement :
- Aïe... Pardon madame...
Lucie souriait, cette petite était trop mignonne, elle demandait pardon avant sa punition, peut-être avait-elle vraiment quelque chose à se reprocher. Elles étaient arrivées dans l’arrière-boutique, Lucie s’installa sur une chaise, elle lâcha l'oreille d'Elodie pour lui prendre la main et elle la fit basculer en travers de ses genoux. La jeune femme ne résista pas, elle acceptait donc d'être punie comme une gamine.
En fait dans la tête d'Elodie des pensées contradictoires s'entrechoquaient, l'excitation de voir se réaliser un fantasme se mêlait à la honte et la crainte de la fessée.
Lucie lissait la jupe avec la main, elle allait découvrir un nouveau fessier, c'était la première fois qu'elle allait donner une fessée à quelqu'un d'autre que Christine. Une humidité pointa entre ses cuisses, elle retroussa lentement la jupe et la mignonne paire de fesses de la jeune vendeuse apparut, bien moulé dans une petite culotte blanche, on les devinaient serrées par l'angoisse. Lucie décida de faire durer le plaisir. Elle leva la main et commença à claquer la croupe sur la culotte :
- On va chauffer un peu ce joli derrière.
Elle claquait lentement mais fermement, alternativement la fesse droite puis la gauche. Elodie gémissait doucement, la main s’égarait de temps en temps sur le haut de la cuisse. Bientôt une rougeur apparu à la limite de la culotte. Il était temps décida Lucie de procéder au déculottage.
C'est toujours un moment exaltant pour une fesseuse que de prendre possession d'une nouvelle paire de fesses, Lucie commençait à s'en rendre compte. La lingerie glissait sur la croupe potelée, elle décida de la laisser pour le moment juste sous les fesses. La main recommença à claquer. Elodie gigotait sous la cuisson qui commençait à envahir son derrière. De rose il vira rapidement au rouge et la petite vendeuse se mit à supplier :
- Non, non, arrêtez madame, aïe ça brûle, s'il vous plaît.
Aux gémissements succédèrent quelques sanglots, les jolies fesses étaient maintenant écarlates. Lucie s'arrêta quelques instants pour baisser la culotte jusqu'aux genoux puis elle reprit la correction, il fallait que cette petite s'en souvienne. Elodie sanglotait, ses pieds battaient l'air désespérément, la sévère jeune femme appréciait le spectacle elle ne semblait pas vouloir s'arrêter. Le haut des cuisses était rouge également, la lingerie était entortillée autour de ses chevilles.
Lucie la fit se relever :
- Voilà mademoiselle ce qui arrive aux vilaines filles. J'espère que la leçon sera profitable. Donne moi ta culotte.
Un peu surprise mais tellement contente que la fessée soit terminée, Elodie enjamba sa culotte et la tendit à sa nouvelle maîtresse. Celle-ci la prit en souriant :
- Tu es privée de culotte pour toute la soirée. Quand tu arriveras chez toi, tu iras te mettre au coin fesses à l'air pendant un quart d'heure. Tu m'enverras une photo. Si jamais tu me désobéis gare à tes fesses la prochaine fois.
Elle avait pris un air très sévère, Elodie acquiesça en baissant la tête :
- Oui madame.
Lucie n'avait aucune garantie que la jeune femme s'exécuterait mais son air soumis lui laissait penser qu'elle obéirait et qu'elle avait désormais une nouvelle soumise.
Guillerette, elle ressortit du magasin, la soirée commençait bien. Elle songea à sa petite Christine qui l’attendait au coin les fesses rouges bien exposées. Nul doute que sa main et sa brosse à cheveux n’allait pas chômer.
Bonsoir, j'ai apprécié l'histoire avec la jeune Elodie, une bonne petite fessées déculottée comme je l'ai aime 🍑
RépondreSupprimerJ ai ensuite trouvé avec un peu de mal vos trois histoires sur vôtre Ebooks sur Atramenta . Ces histoires sont magnifiques, j'espère que j'aurai moins de difficultés a trouvé la prochaine histoire !!
Bonne soirée à vous 🍑🔥🍑
Merci pour ce gentil commentaire. Pour me trouver sur atramenta, il suffit de taper mon nom dans rechercher un auteur.
SupprimerSylvie
Pour vos prochaines histoires sur atramenta, vous serait il possible, de nous les signaler ou bien de posté un lien ?
SupprimerMerci d'avance pour vos histoires a venir 🍑🔥🍑
Merci pour ces ebooks avez vous recu une ou plusieurs fessee deculotee pour vos retards??
RépondreSupprimerQuelle chanceux ce christian ! Enfin christine plutot ! Si il en a marre il a qu'a me le signaler je prend sa place !
RépondreSupprimerPlus d une semaine sans une nouvelle publication ....
RépondreSupprimerGare a la fessée deculotees thermomètre et au coin