Huguette n'échappera pas aux fesses rouges
En arrivant chez Huguette, Virginie fut frappée par sa croupe plantureuse, elle était toujours en train d'étendre son linge et son large popotin se tortillait de façon exquise du point de vue d'une fesseuse comme l'était devenu la jeune femme.
La sévère matrone qui déculottait à tout va, fut un peu surprise de la visite de sa jeune voisine, elle avait entendu les échos des magistrales corrections qu'elle avait administrée cet après midi. Elle lui adressa un sourire pervers :
- Quelque chose me dit qu'il doit y avoir des derrières bien rouges dans les coins de ton salon.
- Oh oui, et des larmes qui coulent encore, mais tu sais je me demande si elles ne les cherchent pas ces fessées, depuis un moment c'est tout les jours qu'il faut que je les déculotte.
Huguette se mit à rire :
- Je ne suis pas sûr que ça te déplaise petite coquine.
Virginie la regarda en souriant :
- À toi non plus, si j'en juge aux confidences que m'a fait Pauline.
Le rire malicieux d'Huguette se figea, elle rougit :
- Euh, que t'as dit cette péronnelle ?
La jeune femme était amusée par la gêne perceptible de sa voisine :
- Rien de bien grave de mon point de vue, tu as bien le droit de t'amuser, mais je ne suis pas sûr que ça plaise à monsieur le curé.
Huguette n'était pas ce qu'on appelle une grenouille de bénitier mais elle était très croyante et assidue à la messe. Virginie compris que la partie était gagnée quand elle vit l'expression affolée sur le visage de sa voisine :
- Non, non, Virginie, surtout ne dit rien, je... je ferai ce que tu voudras, s'il te plaît.
La jeune femme lui prit fermement la main :
- Rentrons, nous avons à parler.
Dès qu'elle fut sur le pas de la porte, elle lâcha la main d'Huguette et lui saisit l'oreille. Celle-ci cria :
- Mais arrête, qu'est ce qui te prend ?
La main de Virginie claqua immédiatement la généreuse croupe :
- Tu préfères qu'on aille directement voir le curé ?
- Non, non, aïe aïe aïe.
La main de Virginie avait à nouveau claqué par dessus la jupe :
- Je peux aussi te déculotter dans le jardin si tu préfères.
Huguette cessa immédiatement de protester et se laissa conduire, toujours tenue par l'oreille, dans son salon. Virginie s'assit sur une chaise et attira la sévère matrone contre ses genoux :
- Je suppose que tu connais la position.
Huguette était rouge jusqu'aux oreilles, elle essaya de négocier une dernière fois :
- Mais, Virginie, écoute... quand même tu ne vas pas... Aïe
La main de la jeune femme lui avait claqué la cuisse juste sous la jupe :
- Comment ça je ne vais pas ! Te flanquer une bonne fessée déculottée ? Oh que si et même pas qu'une si tu ne te dépêches pas de te coucher sur mes genoux.
Comme Huguette ne bougeait pas, elle la tira par le bras et la fit basculer en travers de ses cuisses :
- Eh bien voilà, tu as gagné une deuxième fessée !
La jupe était déjà retroussée, Huguette se débattait un peu mais Virginie était maintenant une fesseuse avertie et elle eut vite fait de coincer le bras d'Huguette dans son dos, immédiatement elle la déculotta. La culotte rose en dentelle qui couvrait mal le large fessier était maintenant aux genoux.
Huguette avait vraiment un beau popotin, c'est ce que Virginie apprécia immédiatement, encore bien rebondi et séparé en son milieu par une profonde raie que la jeune femme écarta largement. Huguette poussa un petit cri de honte d'être ainsi traitée. Bien sûr c'est comme ça qu'elle procédait quand elle avait un derrière déculotté à sa disposition, mais elle n'aurait jamais songé que ça puisse lui arriver.
Virginie avait fini son inspection, la fessée pouvait commencer, elle fut magistrale, la sévère maman qui d'habitude claquait si fort les croupes de ses voisines, exécuta une magnifique danse des fesses.
Le large fessier était rubicond quand Virginie la fit se relever. Ne perdant pas de temps elle épingla la jupe dans le dos puis remonta un peu la culotte et saisit l'oreille de la fesseuse fessée :
- Allez en route, tu vas faire du coin avec les autres que je puisse te surveiller.
Et à son tour Huguette connu l'humiliation de traverser la rue, les fesses à l'air, comme avant elle, Caroline, Sylvie et Pauline, la main de sa jeune maîtresse claquait de temps en temps sa croupe pour la faire avancer plus vite.
Quand elle arriva chez elle, Virginie constata que les quatre paires de fesses bien rouges étaient toujours alignées face au mur. Ce spectacle excitant la fit sourire, décidément, l'éducation stricte avait du bon. Elle conduisit Huguette au bout de la file et lui claqua sèchement les fesses en lui donnant les consignes :
- Mets tes mains sur la tête et ne t'avise pas de bouger !
J'avais légèrement tourné la tête et je n'en revenais pas, c'était bien ma sévère maman qui pleurnichait à côté de moi, elle était cul nu, et si j'en jugeais par les claques que Virginie venait de lui administrer son derrière devait être certainement bien rouge.
La roue venait de tourner, j'en eu la confirmation en entendant ma fille chérie lui annoncer :
- On va laisser refroidir tes jolies fesses et ensuite tu goûteras au martinet.
Le programme se déroula comme annoncé par Virginie. Les quatre punies étaient au coin depuis une heure, les fesses avaient perdu un peu de leurs rougeurs surtout celles des filles qui n’avaient eu droit qu’à une simple fessée avec la main. Les deux plus âgées avaient été punies avec la brosse, leurs fessiers en portaient encore les traces. Virginie décida donc de remettre un peu de couleur sur les fesses d’Olga et de Juliette, l’une après l’autre, elles furent coincées sous le bras de la jeune femme et reçurent une courte mais très sévère fessée, elle s’appliqua à bien rougir toute la surface des deux derrières juvéniles :
- Voilà mes petites chéries vous avez une jolie culotte rouge, vous allez me donner les vôtres, ce soir c’est cul nu sous la jupe jusqu’au dodo.
Les deux filles s’exécutèrent, Virginie en souriant prit les culottes et les posa sur la table :
- Vous pouvez remettre vos jupes en place, mais rappelez vous que vos fesses sont disponibles si vous n'êtes pas sage.
Elle regarda Pauline et Sylvie qui exposaient encore leurs deux croupes bien colorées, elle s’approcha et sans les autoriser à bouger elle administra à chacun des derrières une cinquantaine de claques rapides :
- Enlevez vos culottes, vous resterez cul nu vous aussi.
Les deux dames avaient l’habitude d’obéir sans discuter, elles tendirent leurs sous-vêtement à leur jeune maîtresse. Il y avait maintenant quatre petites culottes en coton sur la table.
Elle renvoya les deux jeunes filles chez elle, Huguette recevrait le martinet devant les deux adultes. Elle était maintenant la seule à exposer sa croupe bien rouge. Virginie s'adressa à Sylvie :
- Va me chercher le martinet dans la cuisine.
J'étais un peu inquiète, quand on est cul nu sous sa jupe et qu'on doit aller chercher un martinet, c'est toujours un peu risqué. Mais je fus vite rassurée, ma sévère momy prit l'instrument et s'approcha de maman Huguette :
- Je t'ai promis une deuxième fessée pour ta désobéissance, tu vas la recevoir devant tes deux grandes filles, ça te servira de leçon pour l'avenir.
Huguette se mit à supplier :
- Oh, non pardon mademoiselle Virginie, s'il vous plaît.
Ma fille chérie était toute souriante, Pauline et moi également. Voir notre sévère maman en si mauvaise posture était une compensation à nos fesses cuisantes.
Virginie fut satisfaite de constater que son autorité n'était pas remise en cause par Huguette, celle-ci venait même de l'appeler mademoiselle, preuve que maintenant c'était elle la maîtresse du hameau des fesses rouges. Elle aurait dorénavant cinq paires de fesses à sa disposition en permanence et celle de Caroline occasionnellement.
Huguette dut se mettre à genou sur le fauteuil et se pencher pour bien présenter son plantureux derrière.
Monsieur Martinet fit son travail à la perfection et c'est avec une paire de fesses écarlates que la sévère matrone regagna son coin.
Pauline rentra chez elle cul nu sous sa jupe, ses fesses étaient bien chaudes, Virginie avait pris soin de les lui rougir un peu plus juste avant de partir.
Sylvie repris son ménage, le calme était revenu dans la maison mais Virginie était quand même excitée par tous les fessiers rougis durant l'après midi. Il lui restait juste une petite humiliation à faire subir à Huguette pour que la fête fut parfaite, elle alla chercher son thermomètre, saisit au passage l'oreille de la dernière punie exposant son derrière au coin :
- Allez ma grande, vient un peu ici, mademoiselle Virginie va te prendre la température.
Huguette ne résista pas, ses fesses brûlantes était une raison suffisante pour obéir, elle pleurait doucement quand Virginie la fit se coucher en travers de ses genoux.
Les larges fesses rouges étaient étalées devant les yeux ravis de la jeune femme. Avec deux doigts elle écarta les deux globes :
- Cesse de pleurnicher et desserre tes fesses, sinon gare à toi !
Le ton de Virginie était sans réplique, Huguette écarta ses cuisses pour faciliter le travail de sa jeune maîtresse. La rondelle brune était maintenant bien visible. Le thermomètre rentra doucement sous les gémissements de la dame transformée en gamine. Comme elle en avait l'habitude elle le fit rentrer et sortir plusieurs fois avant de le laisser en place enfoncer très profondément.
Je savourais ma revanche, combien de fois maman Huguette m'avait-elle fait subir ce traitement humiliant, je ne pouvais pas quitter des yeux son gros derrière bien rouge avec le thermomètre planté au milieu. Virginie s'en rendit compte, elle me fit un petit sourire vicieux :
- Tu vois ce qui arrive aux vilaines filles désobéissantes, ma chérie. Ne te réjouis pas trop vite, tes fesses vont certainement prendre l'air d'ici ce soir et vu ton comportement d'aujourd'hui tu auras droit à la fessée déculottée au coucher et au thermomètre également.
Je rougis à l'annonce de ma future punition à et je me remis au travail.
La jeune femme envoya un message à Caroline, elle l'attendait dès vendredi soir pour passer le week-end à la maison. Elle fit une photo des fesses rouges d'Huguette qu'elle envoya à Daisy, elle en profita pour la mettre au courant des dernières nouvelles du hameau et de ses nouvelles prérogatives. Nul doute que la pétulante anglaise apprécierait de venir en vacances chez elle prochainement. Julie, la mère de Caroline serait bientôt invitée, elle sourit en pensant que son derrière était certainement fessable.
Virginie était vraiment maintenant la seule et unique maîtresse du hameau des fesses rouges.
Fin
-
époustouflant. J'ai beaucoup aimé la façon dont Virginie a pris en charge Huguette, pour devenir la maîtresse ultime de la famille. Huguette a dû sentir que désormais elle n'était qu'une autre paire de fesses rouges dans le coin. merci pour cette magnifique série.
RépondreSupprimerChinmay