mercredi 8 novembre 2023

Lucie et Christian 7

 Fessées au bureau



 Aurore Vigreu avait raccroché le téléphone, elle contemplait ce fessier dénudé si bien exposé. Elle songea à la honte que devait ressentir ce monsieur, les fesses nues encore rouges de la fessée matinale que lui avait administré son épouse.

Soudain un souvenir lui revint comme un éclair, elle avait 13 ans, sa professeur de piano, une vieille fille acariâtre et sévère après de multiples fautes lui avait fait avouer qu'elle n'avait pas travaillé son morceau, la sanction avait été immédiate, courbée sous le bras de sa professeur, la jupe troussée et la culotte baissée sous les fesses elle avait reçu avec la règle plate une fessée déculottée plus humiliante que douloureuse, une dizaine de claques tout au plus. Mais la suite avait été plus douloureuse pour son amour propre puisqu'elle avait du aller au coin fesses à l'air jusqu'à la fin du cours. 


Heureusement elle avait pu se reculotter avant l'arrivée de l'élève suivante. C'était resté un secret entre elle et Mlle Soual, elle n'en avait pas parlé à sa mère ne sachant que trop bien qu'elle aurait donné raison à la professeure et aurait sans doute doublé la punition. La fessée n'avait plus cours à la maison, il ne fallait pas donner des idées à sa mère.

Ses souvenirs remontaient doucement à la surface, lors de ses premiers émois amoureux, une de ses amantes qui l'avait initiée aux amours saphiques avait également la main leste et plus d'une fois, Aurore avait eu les fesses bien rouges avant et après des étreintes enflammées.

Elle regarda en souriant la croupe de Christine, c'est vrai qu'elle était rebondie et bien ferme,  une jolie paire de fesses de jeune femme. Lucie avait raison de lui faire porter cette culotte féminine.

Mais maintenant qu'elle avait annoncé la sanction, il fallait l'appliquer et si comme je l'ai dit elle avait reçu de bonnes fessées dans sa jeunesse, elle n'en avait jamais administrée. Après tout ça ne devait pas être si compliqué.

Elle se leva se dirigea vers le coin et saisit Christine par l'oreille, Lucie lui avait demandé de l'appeler par son prénom féminin et l'idée lui plaisait beaucoup.

- Viens un peu ici ma petite, je vais t'apprendre à me raconter des histoires.

Christine ne protesta pas, elle était résignée, elle marchait à petit pas, gênée par son pantalon entourant ses chevilles. Aurore s'en rendit compte, elle s'arrêta et lui lâcha l'oreille.

- Enlève ce pantalon.

Christine s'exécuta et comme lui avait enseigné Lucie à l'aide de quelques bonnes fessées, elle le plia soigneusement et le posa sur une chaise. Aurore Vigreu le regardait faire en souriant,  c'est vrai que la stricte discipline domestique avait du bon, un monsieur habituellement ne plie pas ses affaires. Elle lui reprit l'oreille pour l'amener à son bureau où elle posa délicatement ses fesses puis elle saisit Christine par la taille et la força à se courber sur sa cuisse. Son corps était courbé à 90 degré, son buste et sa tête reposait sur le bureau. Aurore avait une vue parfaite sur les fesses de sa victime, les pieds de Christine touchaient à peine le sol. Elle était entièrement à la merci de sa fesseuse  elle serrait ses fesses dans l'attente de la première claque.

Aurore Vigreu avait fait le premier pas, elle avait mis en place la punie, elle ne put résister, elle caressa les fesses si bien exposées, sa main descendit jusqu'aux cuisses. Elle baissa un peu plus la culotte pour bien dégager la surface qu'elle allait rougir, elle tapota l'intérieur des cuisses pour que Christine les écarte, c'était une petite humiliation supplémentaire qu'elle imposait à la punie. L'obéissance de Christine la fit sourire, c'était finalement très agréable d'être une fesseuse.

Elle leva la main et commença à claquer le derrière déjà rouge, rapidement celui-ci prit une couleur plus foncée, Christine gémissait et se tortillait, ses fesses s'ouvraient et se fermaient au rythme de la fessée. Elle n'était pas très sévère mais Christian-Christine était conscient qu'il recevait une fessée déculottée sur son lieu de travail dans le bureau de sa cheffe de service et à deux pas de sa secrétaire. Elle essayait de rester stoïque et de ne pas faire trop de bruit, il fallait absolument que cette fessée reste un secret.

Aurore aussi jugeait préférable que ceci reste entre elle et lui, elle avait essayé de claquer plus fort mais c'était un peu trop bruyant. Pourtant il fallait que cette petite soit sévèrement punie, elle l'avait promis à Lucie. Elle cessa la fessée et pris la règle plate en bois posée sur son bureau, elle la passa doucement sur les fesses nues.

- Je crois qu'il te faut une fessée plus sévère pour que tu ne recommence plus ma petite Christine.

Le premier coup de règle surprit la punie, elle rua, ses pieds battirent le sol mais Aurore la tenait solidement par la taille, elle était ravie de sa découverte, la règle plate en bois semblait faire des merveilles sur ce derrière et le bruit de la fessée ne passerait pas la porte du bureau. C'était malheureux pour Christine car la punition allait durer plus longtemps.

Maintenant les fesses étaient d'un beau rouge carmin du bas du dos jusqu'aux cuisses, Christine n'avait pas pu retenir ses pleurs, elle ne se débattait plus et semblait accepter sa correction. Enfin Aurore Vigreu estima que la fessée était suffisante, elle reposa la règle sur son bureau et caressa le fessier brûlant.

- Voilà un derrière bien rouge, tu l'avais bien méritée cette fessée déculottée n'est ce pas ?

Christine sanglotait doucement, la main de la sévère demoiselle claqua sèchement les fesses tendues.

- Je t'ai posée une question !!

- Aïe aïe aïe, oui, pardon madame. Oui.

- Oui quoi ??

La main avait reclaqué à nouveau.

- Aïe, oui j'ai bien mérité la fessée.

Aurore souriait en caressant les fesses de son assistant, ou plutôt de son assistante.

- Une bonne fessée déculottée, comme une sale gamine, je veux te l'entendre dire, refais ta phrase.

Christine était toujours courbée sur la cuisse de sa cheffe de service, les fesses brûlantes bien exposées, la honte était totale, elle sanglotait encore un peu. Une nouvelle claque retenti.

- Aïe, oui madame, j'ai bien méritée cette bonne fessée déculottée comme une gamine.

Aurore Vigreu tapota les fesses.

- Et bien nous y voilà, tu as vraiment un très joli derrière, surtout quand il est bien rouge. Tu vas retourner au coin et je vais faire une photo pour l'envoyer à Lucie. Elle verra que tu as été correctement punie.

Christine se dirigea vers le coin de la pièce et mit ses mains sur la tête, la petite culotte blanche était descendue à mi cuisses. Aurore pris son téléphone et immortalisa la scène.

Lucie était arrivée à l'heure à son travail, la fessée déculottée de la veille lui avait servi de leçon, elle portait bien sûr toujours sa minijupe et ses ballerines qui lui donnait une allure de jeune fille. Alice l'accueilli avec son sourire espiègle et tapota le dos de sa main gauche avec la droite pour mimer une fessée.

- Tu vas être sage aujourd'hui sinon la mère Dugou va faire panpan cucul...hihi.

Lucie lui jeta un regard noir, si seulement madame Dugou pouvait flanquer à cette péronnelle une bonne fessée déculottée, ça lui ferait le plus grand bien.

Justement celle-ci arrivait dans le bureau, une liasse de papier à la main. Elle regarda Alice d'un oeil sombre.

- Qu'est ce que c'est que ce torchon que vous m'avez rendu, vous appelez ça un rapport ?

La dame d'une quarantaine d'années, un peu rondelette et au sourire malicieux, baissa la tête comme une mauvaise élève devant sa professeur.

- Vous vouliez que la mère Dugou fasse panpan cucul à Lucie ? Et bien je crois que c'est vos fesses qui vont faire connaissance avec ma main. Dans mon bureau immédiatement !!

Alice était devenue écarlate.

- Mais madame, non, enfin... non s'il vous plaît.

Mme Dugou la fixait en souriant.

- Vous préférez peut-être que je vous déculotte ici devant Lucie, c'est comme vous voulez.

Lucie était ravie, cette petite garce allait goûter à l'humiliation de la fessée cul nu, elle souhaitait vraiment que Mme Dugou mette sa menace à exécution. Elle fut déçue de voir Alice se lever et se diriger vers la porte, la fessée ne serait pas publique.

Quand elle passa devant elle, Mme Dugou la gratifia d'une vigoureuse claque sur ses généreuses fesses.

- Plus vite que ça, je n'ai pas que ça à faire que de vous flanquer la fessée déculottée à l'une et à l'autre.

Lucie était rassurée pour le moment mais l'allusion était limpide, l'épée de Damoclès d'une future fessée déculottée planait au dessus de sa tête.

Claire Dugou suivait Alice, elle n'avait jamais fait attention à son anatomie mais c'était vraiment un régal pour une fesseuse, son large derrière se trémoussait au rythme de ses pas, elle portait une jupe bleue marine évasée,  des bas fumés et des escarpins. Ce n'était pas une lolita qu'elle allait fesser mais une dame élégante.

Elle referma la porte de son bureau, Alice n'en menait pas large, elle sentait ses fesses se serrer sous sa culotte, ses mains étaient moites, elle tenta d'amadouer sa cheffe

- Pardon, madame ce n'est pas ce que vous croyez, je plaisantais.

Un léger sourire flottait sur les lèvres de Claire Dugou

- Ah oui ? Et bien moi je ne plaisante pas, la mère Dugou va faire panpan cucul.

Alice était rouge comme une pivoine, elle baissa les yeux, depuis quand n'avait elle pas reçu la fessée ?

Ce n'était pas si lointain, chaque vacances d'été, elle allait en Bourgogne chez sa tante qui l'avait élevée et là... Elle n'était plus Mlle Alice la secrétaire toujours pomponnée avec des dessous sexy, non elle redevenait la petite Alice qui devait obéir au doigt et à l'oeil, répondre poliment et qui plus souvent qu'à son tour se retrouvait couchée en travers des genoux de la sévère matrone la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Oh oui, elle avait encore l'habitude de recevoir la fessée cul nu, mais là c'était différent, elle était au travail, mon dieu... Mme Dugou s'était assise sur une chaise et lui faisait le même signe que sa tante.

- En position ma petite Alice, je n'ai pas de temps à perdre.

Sans le savoir Claire Dugou avait employé les mêmes mots que sa tante. Alice docilement s'exécuta, c'était une position qu'elle connaissait depuis son enfance, et contrairement à la plupart des gens, elle n'en avait pas perdu l'habitude. Elle posa ses mains par terre et attendit la suite inéluctable. L'air frais sur ses cuisses la renseigna, Mme Dugou venait de retrousser sa jupe.

Claire était ravie de découvrir une nouvelle paire de fesses pour assouvir ses pulsions. Et quel spectacle, Alice était très coquette, elle adorait les dessous sexy, elle avait mis ce matin là un porte-jarretelle noir assorti à des bas fumé à couture et une mignonne petite culotte noire en dentelle qui ne cachait pas grand chose de son large fessier.

"c'est très joli ma petite Alice mais ça ne va pas m'empêcher de t'administrer la bonne fessée déculottée que tu mérites pour ton comportement de vilaine fille" les pensées de Claire vagabondaient pendant qu'elle caressait les fesses de la secrétaire.



- Bien passons aux choses sérieuses, je t'ai promis un fessée déculottée, et bien on va donc baisser ta culotte.

Claire était un peu surprise de la facilité avec laquelle elle avait mis sa secrétaire dans cette position humiliante et de son absence de réaction à l'annonce du déculottage.

Si elle avait su que pendant tout l'été dernier, Alice avait reçu au moins une fessée cul nu par jour, quand ce n'était pas deux ou trois, et qu'elle avait passé de longues heures au coin exposant honteusement ses fesses bien rouges. Elle aurait compris qu'il n'avait pas à se gêner pour lui baisser la culotte.

La fine lingerie glissa sur le derrière rebondi d'Alice, c'était vraiment un postérieur fait pour la fessée, sa tante lui disait souvent quand elle l'avait couchée sur ses genoux et déculottée : "avec une bonne paire de fesses comme ça il t'en faut des fessées et des bonnes"

Claire était trop impatiente, la fessée pétarada immédiatement dans le bureau, depuis 3 mois les fesses d'Alice avait un peu perdu l'habitude, elle se mit à crier et à gémir rapidement, la brûlure était intense. Sa cheffe savait donner la fessée c'était une évidence, sa main claquait aussi fort que celle de tatie. La fine culotte était maintenant entortillée autour de ses chevilles, le large derrière s'ouvrait à chaque claque, la profonde raie fessière et l'entre-cuisse n'avait plus de secret pour la sévère fesseuse.

Heureusement ce matin là, il n'y avait que Lucie dans le bureau voisin, sinon tout le monde aurait été au courant que Mlle Alice recevait la fessée cul nu. Le bruit des claques sur la peau nue retentissait dans la pièce, mêlé aux pleurs et aux supplications de la secrétaire aux fesses rouges.

Lucie s'était levée discrètement et s'était approchée de la porte du bureau, elle se régalait du bruit de cette fessée. Dès qu'elle cessa, elle regagna rapidement son poste de travail.

Son téléphone vibra  elle ouvrit sa messagerie et elle eu le plaisir de découvrir sa petite Christine exposant au coin une paire de fesses écarlate signe d'une magistrale fessée déculottée. Le message de Mme Vigreu était explicite, "Christine a reçu une bonne fessée déculottée pour son mensonge, elle va rester 1/4 d'heure au coin et ensuite elle ira au travail"

C'était vraiment une bonne journée qui s'annonçait, tout aurait été parfait si il n'y avait pas la fessée déculottée que Chloé allait lui administrer à midi, sans compter le plug qu'elle devrait garder tout l'après-midi.



Pour le moment c'était Alice qui revenait, ses yeux rougis ne laissait pas de doute sur la sévérité de la fessée qu'elle venait de recevoir. Elle s'asseyait précautionneusement quand Mme Dugou entra dans le bureau.

- J'ai dit cul nu sur la chaise Alice ! Vous voulez revenir faire un petit séjour sur mes genoux ? Relever votre jupe avant de vous asseoir.

Rouge de honte la dame élégante s'exécuta. Lucie venait d'apprendre que Mme Dugou l'avait privée de culotte pour la journée.

- Ce sera plus pratique si je dois vous donner une autre fessée.

lui avait-elle dit, en posant la culotte d'Alice sur le coin de son bureau.

- Vous viendrez la récupérer ce soir quand je vous donnerai votre dernière fessée.

Dès qu'elle fut partie, Lucie lui fit un petit clin d'œil.

- Alors c'est maintenant au tour d'Alice d'avoir mal à son petit cucul ?

Elle n'avait pas pu s'empêcher d'envoyer cette petite pique à sa collègue. Celle-ci leva ses yeux rougis.

Ça c'est sûr, pardon de m'être moquée de toi hier. Elle a vraiment la main leste... Presque autant que ma tante.

Devant le regard ébahi de Lucie, elle lui raconta son adolescence sous la férule énergique de sa tante, et même ses vacances où elle redevenait une adolescente, avec des fesses bien rouges presque en permanence.

- Mais c'est incroyable ! Et tu acceptes à ton âge de te faire baisser la culotte pour recevoir une bonne fessée ?

Alice souriait.

- Je n'ai pas vraiment le choix, c'est ma seule famille, elle est très riche et elle me gâte beaucoup.

- Oui mais quand même, la fessée cul nu ça fait mal et puis c'est la honte.

- Et toi, tu l'as bien acceptée il me semble ?

Lucie piqua un fard, on était sur une pente glissante. Heureusement Claire Dugou entra dans le bureau.

- J'aimerais bien que vous cessiez de bavarder. A moins que vous ne vouliez faire un petit séjour sur mes genoux ? Apparemment Alice n'a pas encore les fesses assez chaudes et toi Lucie, les tiennes n'ont pas encore pris l'air.

Les deux secrétaires avaient piqué du nez dans leur dossier. Mme Dugou s'approcha de Lucie et lui pris l'oreille pour la faire se lever. Puis sans plus de façon elle la fit se pencher en avant, lui troussa la jupe et la déculotta. Une dizaine de claques atterrirent sur les fesses dénudées.

- Voilà c'est juste un avertissement, tu ne remontes pas ta culotte et tu te mets cul nu sur ta chaise, ça va te faire penser à ce qui va t'arriver si tu continues à bavarder.

Maintenant c'était fait les fesses de Lucie avait pris l'air.

La fin de matinée fut très calme au bureau et la productivité exemplaire. Mme Dugou était satisfaite, travailler avec les fesses nues directement posées sur sa chaise de bureau y était sans doute pour quelque chose.

Elle avait sous ses ordres trois autres dames au service comptabilité à l'étage supérieur, peut-être faudrait-il qu'elle utilise la même méthode de management. Dans cette petite société sa patronne était très peu présente et elle lui laissait gérer son personnel à sa guise. Pour le service commercial constitué d'Alice et Lucie, la cause était entendue, elle serait soumise dorénavant au régime des châtiments corporels en cas de nécessité. La méthode avait fait ses preuves et le calme qui régnait dans le bureau en était la confirmation éclatante.

À 14 h, Lucie revint au bureau avec les yeux rougis, elle s'était dépêchée pour ne pas être en retard. À peine avait-elle posée avec délicatesse ses fesses brûlantes garnies du plug rose sur sa chaise que Mme Dugou entra.

- Lucie, dans mon bureau !

La jeune femme n'osa pas protester, depuis la veille elle savait que c'était inutile. Cependant en entrant dans le bureau elle dit à sa cheffe de service d'une voix timide.

- J'étais à l'heure madame.

Claire Dugou se mit à rire.

- Mais je le sais ma petite Lucie, ça prouve d'ailleurs que ma fessée déculottée d'hier à servit à quelque chose. Rassure toi je ne t'ai pas fait venir pour te corriger, je veux simplement constater le résultat de ton rdv avec Chloé.

Lucie se mit à rougir et baissa la tête. Son séjour chez la fessothérapeute avait été cuisant, son derrière écarlate le lui rappelait. Mme Dugou lui fit un petit signe.

- Tourne toi et montre moi tes petites fesses.

Lucie n'avait d'autres solutions que d'obéir. Elle tourna le dos à sa cheffe de service et retroussa sa courte jupe.

La rougeur dépassait du sous-vêtement, s'étendant sur le haut des cuisses. Claire Dugou sentit une petite excitation, décidément cette petite avait un très joli fessier, moulé dans cette petite culotte blanche, il était vraiment sexy.

- Déculotte toi !

Baisser soi même sa culotte était nouveau pour Lucie, elle se rendit compte que c'était aussi humiliant que de se faire déculotter par sa fesseuse.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture et fit descendre lentement sa culotte sur ses rondeurs enflammées. Ne sachant pas trop ce qu'entendait Mme Dugou par "se déculotter", elle la baissa jusqu'à mi cuisses.

Claire était de plus en plus excitée par le spectacle que lui offrait Lucie. Ses jolies fesses rebondies étaient écarlates et la rondelle rose du plug apparaissait au centre. Elle s'approcha et posa sa main sur le dos de la jeune femme pour la faire se pencher en avant. Puis elle passa sa main sur les fesses rougies.

- Chloé s'est bien occupée de ton petit derrière, c'est parfait. Je pense qu'avec une paire de fesses si rouge tu n'auras pas envie de revenir sur mes genoux cet après midi. Tu vas voir comme on travaille bien avec des fesses bien chaudes.

Elle tapotait les fesses tout en parlant, elle ne put s'empêcher de toucher le plug et de le faire tourner légèrement. Elle se doutait que ça devait être très gênant pour Lucie, pourquoi s'en priver.

Celle-ci, malgré l'humiliation de devoir exposer ses fesses nues, était vaguement excitée par la situation, surtout quand Claire manipula le plug. Heureusement elle ne s'attarda pas, une claque un peu plus vigoureuse la ramena à la réalité.

- Bon maintenant au travail. Tu retires complètement ta culotte. Comme Alice tu vas travailler cul nu jusqu'à ce soir. Tes fesses seront prêtes si le besoin s'en fait sentir.

Lucie obéit immédiatement, elle tenait maintenant sa culotte à la main. Mme Dugou s'en saisit et la posa bien en évidence sur son bureau où se trouvait déjà celle d'Alice.

La jupette était retombée masquant le derrière rougi. Elle décida de s'offrir un dernier petit plaisir.

- Maintenant tu retournes au travail, mais tu tiens ta jupe retroussée et tu t'assois cul nu sur ta chaise.

Lucie la regarda incrédule, mais le sourire malicieux de sa cheffe de service était éloquent, elle voulait profiter de la vue de ses fesses. Elle souleva sa jupe et quitta le bureau en exposant une dernière fois ses fesses à Mme Dugou.

Celle-ci sentit monter son excitation en voyant s'éloigner les deux jolies fesses bien rouges qui dodelinaient au rythme de la marche.

Alice ouvrit de grands yeux en la voyant entrer dans le bureau en tenant sa jupe retroussée. Elle allait parler quand Lucie lui fit un petit signe, en effet la cheffe de service était dans le couloir pour vérifier si elle n'avait pas laissé retomber sa jupe.

Elle posa délicatement ses fesses nues sur son siège, c'était plus gênant et humiliant que douloureux. Elle regarda Alice en souriant,  elle aussi avait retroussé sa jupe avant de s'asseoir. Elles étaient à égalité.

Claire Dugou était retournée dans son bureau, elle contempla les deux culottes posées sur son bureau. Une idée lui vint.

Sur la cloison à droite de son bureau était fixé une patère avec 4 crochets. Elle édita des étiquettes au nom de Lucie et Alice, qu'elle colla sous deux crochets, puis elle y suspendit les culottes.

Puis en souriant elle édita les prénoms de deux des filles de la comptabilité, Emilie et Laetitia. Il manquait un crochet pour Catherine la plus âgée, elle trouverait une solution.

A la fin de la journée, elle convoqua les deux secrétaires dans son bureau, elles n'en menaient pas large. La première chose qu'elles virent, ce fut leurs deux culottes suspendues avec leurs noms en dessous. C'était particulièrement humiliant, mais ce qui les intrigua c'est de voir le nom de deux collègues sous les deux autres crochets.

Mme Dugou avait reculé un peu sa chaise de son bureau et elle tapotait ses cuisses en souriant.

- bon,  qui veux passer la première ?



Elles comprirent qu'elles ne sortiraient pas du bureau sans avoir les fesses bien rouges.


A suivre...

 

 

 

2 commentaires:

  1. Sylvie tu as besoin d'avoir lrs fessee rouge et un thermomètre pour écrire une nouvelle histoire??...

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  2. Sylvie, j'adore votre courte jupe rouge avec les pois blanc, elle est jolie et on y vois magnifiquement tes sublime fesses que j'aime 🍑😘

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