jeudi 2 novembre 2023

Caroline fesseuse de dame 12

Le hameau des fesses rouges




Huguette tenait Caroline par la main pour traverser la route jusqu’à sa maison, de l’autre elle tenait sa culotte et son leggings. 

La jeune femme nue de la taille aux pieds et les fesses écarlates pleuraient à chaudes larmes, jamais elle n’avait subi pareille humiliation. Même si sa mère était sévère et n’hésitait pas malgré son âge à la déculotter pour lui administrer la fessée quand elle le jugeait utile, le sort que lui faisait subir Huguette dépassait tout ce qu’elle avait connu. 

Bien sûr le hameau était isolé et se composait seulement de trois maisons, celle de Sylvie, celle d’Huguette et celle de Pauline. Cette dernière depuis sa fenêtre n’avait été jusqu’à présent que spectatrice des fessées retentissantes qui se déroulaient dans les maisons voisines. Elle avait assisté avec plaisir derrière sa vitre à la fessée déculottée administrée par Caroline à Sylvie lors d’un week-end précédent. Et depuis qu’Huguette avait pris en charge l’éducation de Sylvie, sans jamais y avoir assisté directement elle devinait que sa sévère voisine utilisait sur Sylvie les méthodes traditionnelles qui avait fait leurs preuves. 

Depuis sa fenêtre elle avait souvent aperçu Sylvie se tenant au coin, les mains sur la tête, les fesses nues bien rouges.



Elle était dans son jardin quand elle entendit des éclats de voix et le bruit caractéristique d’une claque sur la peau nue. Elle tourna la tête et vit Huguette sortir de la maison de Sylvie, elle marchait d’un pas décidé en tenant par la main une jeune femme qu’elle reconnu immédiatement, c’était Caroline. Cette fois-ci les rôles avaient changé, ce n’était plus la jolie et sévère Caroline qui tenait couchée sur ses genoux Sylvie mais une jeune femme éplorée et gémissante qui suivait Huguette, celle-ci pour lui faire presser le pas lui administrait de temps à autre une magistrale claque sur les fesses, c’était ça qui avait attiré l’attention de Pauline. Elle n’en croyait pas ses yeux, Caroline était fesses nues et la couleur de son derrière ne laissait pas de place au doute, elle avait reçu récemment une bonne fessée déculottée. Huguette le confirma rapidement.

- allez avance, tu as déjà été punie par Virginie mais ce n’est pas suffisant. Tu vas voir comment maman Huguette sait bien s’occuper des vilains derrières des coquines de ton espèce. A mademoiselle aime la fessée et bien je peux te garantir que tu vas être servie, tu vas avoir du mal à t’asseoir ce soir je te le garantis.

- aïe, aïe, non, non, aïe pardon madame.

La main d’Huguette venait encore de claquer deux fois les fesses de Caroline juste quand elle passait devant Pauline. La sévère matrone l’aperçu.

- à tu es là ? ça tombe bien, tu vois ce qui arrive aux dames mal élevées, oui, il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée, tiens toi le pour dit.

Pauline piqua un énorme fard devant cette allusion à peine dissimulée à ce qui pourrait lui arriver. Depuis un moment elle savait qu’Huguette était agacée par son comportement nonchalant et la façon un peu trop laxiste qu’elle avait d’élever ces deux grandes filles. Elle lui en avait fait plusieurs fois la remarque.

Huguette ne s’était pas attardée devant chez Pauline mais ça avait été suffisant pour augmenter la confusion de Caroline? Cette fois-ci même si sa nouvelle maman ne lui avait pas administré la fessée cul nu dans la rue, quelqu’un d’extérieur avait put assister à sa marche de la honte fesses à l’air.

Elle était maintenant arrivée chez Huguette, celle-ci ne perdit pas de temps, elle avait trop envie de tester un nouveau postérieur et celui de Caroline, bien rond et bien ferme et d’un volume suffisant, semblait vraiment fait pour la fessée. Elle lâcha la main de la jeune femme, posa la culotte et le leggings sur le fauteuil puis elle saisit une chaise qu’elle installa au milieu de la pièce, elle s’y installa et fit un petit signe à Caroline.

- allez, en piste ma petite, tu vas pouvoir comparer la fessée de Virginie avec celle de maman Huguette.

Caroline voulu protester, dire qu'elle ne méritait pas une fessée supplémentaire mais le regard sévère d'Huguette l'en dissuada. C'était le même que celui de sa mère quand elle se préparait à lui administrer une bonne fessée déculottée, en général une contestation de la sanction valait au moins une fessée doublée et l'utilisation d'un instrument.

Elle se coucha donc docilement sur les genoux de sa nouvelle fesseuse. C'est toujours un moment angoissant même si on a l'habitude de recevoir ce châtiment humiliant de devoir présenter ses fesses à une quasi inconnue. Celle-ci  allait pouvoir détailler de près votre anatomie intime. 

Huguette ne se priva pas de se plaisir, depuis qu'elle avait decouvert le plaisir de rougir un derrière c'était la première fois qu'elle en avait un autre que celui de Sylvie à sa disposition. Celui de Pauline ne tarderait certainement pas, elle n'avait pas protesté quand elle avait sous entendu qu'elle aussi méritait la fessée.

Sa main caressait la croupe étalée devant elle, elle en suivait les courbes, ses doigts s'insinuaient entre les deux globes jumeaux, évidemment Caroline ne put s'empêcher de contracter ses fesses ce qui lui valut de recevoir deux claques retentissantes sur son derrière bien exposé.

- ah pas de ça ma petite, tu me desserres tes fesses et vite. De toute façon tu vas bientôt les exposer bien plus que ça.

La main d'Huguette était descendue entre les cuisses et avait forcé Caroline a les écarter, les joues de la jeune femme étaient aussi rouges que ses fesses mais elle se laissa faire. 

Satisfaite de cette obéissance, Huguette leva la main et commença à claquer lentement mais très fort les fesses de Caroline, le bruit était assourdissant, la fenêtre était ouverte, Huguette souriait en pensant à Pauline dans son jardin, elle devait entendre le son de cette fessée et les gémissements puis les cris de la pauvre Caroline. 



Celle-ci avait été surprise par la vigueur de cette correction, quand sa mère la corrigeait par une fessée, en général elle commençait doucement, même parfois sur la culotte puis la fessée allait crescendo jusqu’au bouquet final où Caroline finissait en pleurs affalée sur ses genoux. 

Mais la fessée d’aujourd’hui était spéciale, elle avait déjà les fesses endolories par la première correction de Virginie, elle était déjà déculottée et Huguette lui administrait une correction qui ressemblait fortement à celle que sa mère lui avait flanqué un jour où elle lui avait très mal parlé. La sanction avait été immédiate, déculottage instantané et une fessée pétaradante qui avait duré très longtemps avec des fesses qui étaient restées rouges jusqu’au lendemain.

Maintenant Caroline pleurait à chaudes larmes, elle avait le derrière en feu, elle ressentait quand même une injustice à ce traitement, bien sûr elle n’était pas un modèle de sagesse et elle avait encore raconté une histoire à sa mère pour pouvoir venir passer le week-end chez Sylvie mais Huguette n’était pas censée le savoir. Enfin ce n’était pas sûr, elle se comportait vraiment comme une maman et les mamans devinent tout.

- alors ma petite chérie, tu recommenceras à mentir et à faire des bêtises ?

C’était juste les mots de sa mère, Caroline en pleurant, essaya de répondre.

- non, non, aïe, aïe, pardon maman, non, non, plus la fessée, aïe aïe, noon, promis maman plus la fessée.

Huguette souriait en entendant cette jeune femme l’appeler maman et la supplier, elle continua à rougir consciencieusement le derrière joufflu, il était maintenant carmin et les fesses s’ouvraient largement laissant voir la raie fessière et sa rondelle brune. Les jambes battaient l’air désespérément, c’était une correction magistrale que recevait Caroline. Huguette avait pris possession de son postérieur et le week-end allait être cuisant pour la jeune écervelée.

Enfin elle s’arrêta et posa sa main sur la peau brûlante du fessier, les jambes continuèrent à battre l'air pendant quelques instants, les fesses se contractaient également. Huguette était ravie de sa nouvelle grande fille, ses pensées allèrent immédiatement vers Pauline, la prochaine à lui présenter ses fesses ce serait elle.

Elle jeta un oeil par la fenêtre et elle vit sa voisine qui était restée dans le jardin. «petite coquine pensa Huguette en souriant, ça t’intérresse la fessée, rassure toi, ça va bientôt être ton tour»

Dans l’autre maison le bruit d’une fessée et les cris de Sylvie retentissaient, décidément ce hameau devrait s’appeler, «hameau des fesses rouges», Huguette se mit à rire de son idée, Caroline pleurnichait toujours en travers de ses genoux.

- bien voilà, c’est un bon début tes jolies fesses sont ravissantes, tu vas aller les faire refroidir au coin.

Elle aida Caroline à se relever et la conduisit au coin en la tenant par l’oreille, c’était infantilisant mais Caroline était tellement contente que la fessée soit finie qu’elle en aurait presque apprécié le passage au coin fesses à l’air.

La fessée continuait chez Sylvie, Huguette s’arrêta sans lâcher l’oreille de Caroline.

- tu entends ? il n’y a pas que toi qui montre tes fesses, je pense que Virginie est en train de s’occuper de celle de Sylvie.

 

Quand Caroline et Huguette eurent quitter la maison, Virginie regarda le large fessier bien rouge de sa mère, elle décida qu'il était temps de l'autoriser à remettre sa culotte.

- tu peux te reculotter.

Puis elle lui tendit le thermomètre.

- va le poser sur ta table de nuit,  comme tu n'as pas été très sage aujourd'hui tu y auras droit ce soir.

 

A l'annonce d'une nouvelle pénitence au thermomètre avant le coucher je ne pus m'empêcher de protester. Je trouvais ça injuste et puis me faire mettre le thermomètre dans les fesses par ma fille me paraissait particulièrement humiliant.



- oh non !! Pas encore le thermomètre, c'est pas juste !!

Sans faire attention j'avais presque tapé du pied par terre, je n’eus pas le temps de réagir avant que Virginie l’oeil noir se précipite sur moi.

- pardon , j’ai mal entendu !

En un clin d’oeil elle m’avait ceinturé et je me retrouvais  pliée en deux et coincée sous son bras.

 - ah je vais t’apprendre moi, tu vas voir ce qui arrive aux capricieuses.

Le sang de Virginie n’avait fait qu’un tour, elle pensait que sa mère était domptée et qu’elle allait lui obéir au doigt et à l’oeil , et voilà qu’elle se rebellait, il lui fallait sévir immédiatement pour bien marquer son autorité.

La jupette avait volé sur les reins découvrant à nouveau la petite culotte blanche, celle-ci ne serait pas restée longtemps sur les fesses de Sylvie. 

Virginie la descendit à mi-cuisse et immédiatement entrepris de claquer le large derrière de sa mère qui était à nouveau parfaitement exposé.



C’était cette fessée qu’avait entendu Caroline et Huguette, c’était une fessée magistrale, les fesses de Sylvie n’avait pas eu le temps de refroidir et maintenant elles étaient rouge carmin. Elle trépignait sur place bien maintenue par le bras gauche de sa fille tandis que sa main droite claquait inlassablement son derrière tout en la grondant comme si elle était une gamine capricieuse.

- ah madame tape du pied par terre, ah madame ne veux pas le thermomètre et bien c’est ce qu’on va voir, oh tu peux pleurer, je n’en ai pas fini avec ton bon gros derrière, je te garantis que tu vas t’en souvenir de cette fessée déculottée.

la main allait et venait dans un bruit assourdissant, semblant rebondir sur les fesses tendues. Enfin la jeune femme relâcha sa mère redevenue une gamine qui pleurait et sautillait sur place en frottant ses fesses. 

Virginie ne releva pas cette désobéissance, elle avait prévu un petit complément à cette punition. Laissant sa mère dans le salon, elle se dirigea vers la cuisine, décrocha le martinet et revint vers Sylvie, celle-ci se frottait toujours les fesses sa culotte enroulée autour de ses genoux. Elle l’attrapa par l’oreille et la tira sur la terrasse.

 

J’étais tout occupée à frotter les fesses brûlantes sans me soucier de savoir si c’était autorisé. J’avais vraiment besoin de soulager la cuisson, décidément les fessées de ma fille chérie n’avait rien à envier à celle de mes trois autres fesseuses. Je n’aurais pas pu dire laquelle des trois avaient la main la plus sévère. Quand je l’ai vu revenir avec le martinet j’ai compris que ma punition n’était pas terminée, je regrettais amèrement d’avoir protesté, surtout que je savais bien que ça ne servait à rien sauf à recevoir une fessée supplémentaire, je l’avais déjà expérimenté avec Huguette. Quand je compris que la suite de ma correction allait avoir lieu sur la terrasse j’essayai de l’attendrir.

- non, non momy, pardon, s’il te plaît pas  le martinet, non, non pas dehors, pardon momy.

 

Virginie n’avait que faire des supplications de sa maman, au contraire ça la confortait dans sa décision. A savoir, administrer une bonne fessée déculottée en plein air, au vu et au sus de de tout le monde, ça allait asseoir définitivement son autorité sur sa mère et montrer au voisinage qui était la maîtresse de la  maison.

Tenant toujours Sylvie par l’oreille, elle la conduisit devant la table et la fit se courber dessus, elle retroussa à nouveau la jupette pour mettre à l’air les fesses.

- cesse de pleurnicher et tends bien ton derrière, monsieur martinet va finir de t’expliquer qu’il faut obéir à momy et que je ne veux plus de caprices.

Deux paires d’yeux ne quittaient pas du regard le fessier rougeoyant de Sylvie bien tendu par la position, c’était ceux de Pauline qui après la fessée traditionnelle reçue par Caroline, s’apprêtait à assister à celle de Sylvie et ceux d’Huguette qui ayant installé Caroline au coin pouvait de sa fenêtre constater que sa grande fille était en de bonnes mains.

Virginie tourna la tête vers les spectatrices et leur adressa un petit sourire, elle n’était pas mécontente d’administrer cette fessée déculottée en public, ça montrerait aux voisines qu’elle assumait ses responsabilités.

Elle passa les lanières sur les fesses nues.

- alors ma petite maman, tu recommenceras encore à faire des caprices ? je pense que tu vas y réfléchir la prochaine fois. Huguette et Pauline sont aux premières loges pour assister à ta fessée. Tends bien tes fesses que le martinet s’en occupe.

 

J’étais abasourdie et tellement honteuse de montrer mes fesses dans cette position, bien sûr Huguette avait déjà eu le plaisir de les voir nues, mais pour Pauline c’était une nouveauté enfin je le pensais,  je ne savais pas qu’elle avait assisté à une des  fessées que Caroline m’avait administré. Mes fesses étaient déjà brûlantes, la caresse des lanières m’impressionnait, je ne pu retenir mes larmes.

- pardon momy, promis je ne recommencerai plus, pardon momy.

 

Virginie passa la main sur les fesses de Sylvie.

- j'espère bien que tu ne recommenceras plus, c'est fait pour ça la fessée, pour que les vilaines filles ne fassent plus de caprices et obéissent et même si elles se croient trop âgées pour recevoir la fessée cul nu. Tu vas voir avec ton joli derrière bien rouge ça va rentrer tout seul dans ta petite cervelle.

Elle se recula un peu, jeta un regard sur le côté pour voir si les spectatrices étaient prêtes, puis elle leva le martinet et administra le premier coup. 



Sylvie se cabra et cria mais elle ne chercha pas à s'échapper, la fessée au martinet pu suivre son cours. Sylvie pleurait et trépignait sur place, ses larges fesses rouges étaient maintenant striées par un entrelacs plus foncé. Virginie voulait marquer le cerveau de Sylvie, elle devait intégrer que désormais c'était sa fille qui avait autorité sur elle et pour ça il fallait lui marquer les fesses.

Sylvie pleurait maintenant c'était certainement la plus sévère fessée qu'elle ait reçu depuis son changement de statut et ce n'était pas une dame mûre qui lui administrait cette punition mais sa propre fille.

Virginie posa le martinet.

- bien j'espère que tu as compris, tu vas aller au coin que tout le monde puissent bien voir comment je punis les désobéissantes.

Elle la conduisit contre le mur et la pauvre Sylvie mit immédiatement ses mains sur sa tête, sa jupe coincée dans la ceinture, Virginie remonta la culotte jusqu'à mi cuisses. Le contraste entre le blanc de la culotte et le rouge profond du fessier et du haut des cuisses était saisissant.

Virginie se tourna vers les deux spectatrices et leur adressa un large sourire, Huguette lui fit un petit signe, le pouce levé pour lui montrer sa satisfaction. Pour Pauline c'était différent, elle avait les joues très rouges et son regard ne quittait pas le derrière écarlate de sa voisine. Elle n'était pas très loin, Virginie s'adressa à elle.

- je déteste les caprices, je pense que maman ne va plus recommencer.

Pauline ne savait pas que cette jeune femme était la fille de Sylvie, la surprise fut totale.

- vous, vous ... êtes la fille de Sylvie ? Et vous... vous...

Elle ne pouvait pas finir sa phrase, comment prononcer ces mots. "Vous avez donné la fessée déculottée à votre maman"

Virginie se mit à rire.

- et oui, j'ai été obligée de punir maman et quoi de mieux qu'une bonne fessée déculottée. Vous savez il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée cul nu. Quand on se comporte comme une gamine on doit être corrigée comme telle.

Pauline avait le regard hypnotisé par la large paire de fesses de Sylvie, Virginie se mit à rire.

- on dirait qu'elles vous plaisent les belles fesses bien rouges de maman. C'est vrai qu'elles ont vraiment bonne mine vous ne trouvez pas ?

Pauline esquissa un sourire, c’était vrai que les fesses de sa voisine étaient vraiment agréable à regarder, ce n’était pas très charitable mais elle devait reconnaître qu’elle avait pris du plaisir à assister à la fessée au martinet de Sylvie. 

Cependant elle se remémorait la menace à peine voilée d’Huguette lui promettant de la déculotter elle aussi et le regard sévère de Virginie l’impressionnait également, elle jugea préférable de mettre un terme à la conversation.

- euh, oui, elles sont vraiment mignonnes, mais ça doit la brûler beaucoup, euh... il faut que j’y aille.

Virginie jeta un regard perçant à la jeune femme, décidément cette voisine avait des formes, lui baisser la culotte serait sans doute agréable.

- il faut que ça la brûle longtemps, sinon la punition ne sera pas efficace, elle va rester un bon moment au coin fesses à l’air, ça lui fera le plus grand bien.

Pauline fit un petit signe et rentra chez elle. Virginie s’installa dans un fauteuil et pianota sur son téléphone, de temps en temps elle levait les yeux pour surveiller sa mère exposant son derrière écarlate comme une mauvaise élève sévèrement punie.

 



Mes fesses me brûlaient affreusement, je n’avais reçu une correction aussi sévère et jamais même dans mes fantasmes de fessées je n’aurais imaginé que je puisse être punie comme ça. J’étais maintenant prise au piège. Bien sûr que j’avais rêvée d'être corrigée telle une gamine par une jeune femme, j’en avais fait part à Caroline qui s’était chargée de me rappeler qu’une bonne fessée déculottée ça peut faire très mal aux fesses mais maintenant l’engrenage funeste était engagé et je ne pouvais plus revenir en arrière. Je serais désormais soumise à la stricte autorité de ma propre fille quand elle viendrait à la maison et en son absence, Huguette jouerait parfaitement son rôle de maman sévère.

Et en plus j’exposais en public mes fesses nues et les éventuels passants ne pouvaient pas manquer de remarquer que je venais de recevoir une magistrale fessée.

 

Une petite exclamation fit lever la tête à Virginie.

- et bien pour une fessée, c’est une bonne fessée. Quelle jolie couleur.

Sylvie serra les fesses instinctivement, ce qu'elle craignait venait d’arriver son infortune ne resterait pas connue de ses seules voisines. Il lui sembla reconnaître cette voix. Virginie adressa un sourire à la dame qui venait d’arrêter son vélo contre la clôture.

- merci du compliment. Maman a une bonne paire de fesses et elles rougissent bien en effet.

Daisy, car c’était elle, se mit à rire.

- c’est bien vrai. Je l’ai moi même constaté. Vous êtes donc Virginie, Huguette m’a dit que vous étiez la pour le week-end. Je vois que notre petite Sylvie est en de bonnes mains.

Virginie était contente de faire la connaissance de Daisy, elle se doutait bien que sa promenade en vélo ne devait rien au hasard et qu'elle avait sans doute voulu voir comment se passait les retrouvailles entre la mère et la fille. Elle décida de lui faire plaisir.

- mais ne restez donc pas là, entrez boire quelque chose.

Daisy ne voulait pas trop montrer son enthousiasme, elle minauda un peu.

- je voudrais surtout pas vous déranger, vous devez peut-être vous occuper de Sylvie.

La jeune femme jeta un oeil à sa mère toujours dans la même position, une légère contraction de ses fesses rouges montrait son trouble.

- oh non, ne vous inquiétez pas, notre petite capricieuse va rester un bon moment le nez au mur, ça va lui permettre de réfléchir. Entrez donc !

Daisy ne se le fit pas dire deux fois.

Dès qu'elle fut sur la terrasse, elle se dirigea vers Sylvie et posa sa main sur ses fesses nues.

- et bien, moi qui croyait que tu étais devenue sage, tu me déçois. Nous aurons à discuter quand tu viendras prendre ta leçon à la maison.

Puis elle se tourna vers Virginie.

- mes félicitations mademoiselle, c'est une très bonne fessée qu'a reçu notre petite chérie.

Virginie en souriant s'éclipsa pour aller chercher de quoi se rafraîchir.

 

 Les dernières paroles de Daisy n'avait rien de rassurant pour moi. Ma prochaine leçon d'anglais risquait d'être cuisante.

 

À suivre....

 

 

 

 

 

 

2 commentaires:

  1. L'attente en valait la peine. Quelle belle histoire qui se passe avec de multiples possibilités de fessée. Daisy, Hugette et Virginie se réunissent sous un même toit et peuvent donner lieu à de nombreuses situations différentes. Caroline est déjà réduite au statut de vilaine fille. Sylvie sera toujours là en coquine.....et oui la dernière voisine Pauline...que va-t-il lui arriver

    Chinmay

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  2. salut Sylvie, combien de temps va-t-il falloir attendre. nous voulons voir des clochards chauds et rôtis

    Chinmay

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