dimanche 19 novembre 2023

Caroline fesseuse de dame 13




Une nouvelle punie

La vie suivait son cours au hameau des fesses rouges. De nouveaux derrières rougissaient, et ça c'était fait naturellement. Pauline et ses deux grandes filles avaient dû présenter leurs fesses déculottées aux mains sévères de Virginie et d'Huguette.

Mais ne brûlons pas les étapes. Huguette avait pris contact avec la mère de Caroline et elles s'étaient mise d'accord. La jeune femme pouvait venir tous les week-ends au hameau des fesses rouges pour parfaire son éducation. Sylvie quant à elle passerait la semaine chez Huguette et reviendrait passer le week-end chez elle avec  Virginie qui avait décidé de s’y installer le plus souvent possible.

Ce lundi donc, Sylvie venait d'arriver chez sa nouvelle maman, elle avait eu droit bien sûr à un examen de son anatomie fessière dès son entrée dans le salon.

- Alors ma petite chérie, Virginie s'est bien occupée de ton petit derrière ? Ta grande fille t'as fait panpan cucul ? Viens ici !

Elle s'était assise sur une chaise et lui faisait le signe classique. Elle tapotait ses cuisses en souriant.

Virginie venait de partir en me promettant de revenir vendredi. Bien sûr elle avait voulu marquer son autorité. Avant de m'asseoir pour le petit déjeuner, elle m'avait couchée sur ses genoux, retroussé la nuisette et administré une courte mais cuisante fessée et j'avais dû déjeuner les fesses nues directement posées sur la chaise.

Elle avait décidé que même si il n'y avait pas de raison précise pour me flanquer une bonne fessée déculottée. M’en administrer une dès le réveil, était un excellent moyen pour bien démarrer la journée.J’avais donc en général, les fesses bien chaudes pour déjeuner.

Bien sûr elle m'avait choisi une tenue de gamine, la jupe la plus courte qu'elle avait trouvé et une culotte blanche en coton à petites fleurs. Des socquettes et des ballerines complétaient ma tenue.

J'avais eu droit également aux consignes d'usage que donnent les mamans avant de partir.

- J'espère que tu vas être bien sage et que tu vas obéir à Huguette pendant mon absence. Si jamais tu me fais honte gare à tes fesses quand je rentrerai.

Je n'avais que la rue à traverser pour arriver chez ma nouvelle maman. La première chose que je vis en arrivant, c'est le derrière bien rouge de Caroline, elle était couchée sur un pouf qui relevait bien ses fesses et on devinait le thermomètre planté au milieu.



Huguette commenta la scène.

- Notre petite Caroline a encore fait un caprice ce matin. Elle voulait remettre son leggings et moi je pense qu'une demoiselle qui reçoit encore la fessée déculottée doit se mettre en jupe. J'ai réglé le problème à ma façon. Elle va rester en pénitence pendant 1 h, pour pouvoir réfléchir.

Décidément Huguette était de plus en plus sévère et son sourire ne me disait rien qui vaille. J'en eu la confirmation quand elle m'annonça un examen de mes fesses.

Je commençais à m'y habituer mais c'est quand même très humiliant.

Sylvie était maintenant allongée sur les genoux de sa maman, sa jupette découvrait déjà le bas de sa petite culotte. Huguette appréciait vraiment ce spectacle, la rougeur de la fessée matinale débordait sur le haut des cuisses. Elle retroussa la jupe et baissa immédiatement la culotte. Les fesses étaient encore bien colorées.

- Eh bien dis donc, momy Virginie a été obligée de te corriger dès le matin ?

Sylvie serrait déjà les fesses dans l'attente d'une nouvelle punition, ça aurait été injuste car elle n'avait pas fait de bêtises. Virginie lui avait administré cette fessée déculottée à titre préventif.

Huguette caressait les fesses de sa grande fille. Dire qu'elle n'avait pas envie de lui administrer une bonne fessée déculottée aurait été exagéré mais elle décida d'être magnanime. De toute façon les occasions de déculotter Sylvie seraient nombreuses au cours de la semaine et même certainement aujourd'hui. Elle tapota les fesses.



- Tu sais que normalement maman devrait te flanquer la fessée puisque Virginie l'a fait ce matin. Une bêtise égale une fessée par momy et une autre par maman. Je veux bien passer l'éponge pour aujourd'hui mais gare à tes fesses si ça se reproduit.

Puis elle reculotta elle-même Sylvie et lui claqua sèchement les fesses pour la faire se relever.

Elle trouva du travail à sa grande fille, la maison était vaste et il fallait faire le ménage. Sylvie s'activa, sachant que toute paresse serait sanctionnée. Elle passait régulièrement à côté de Caroline qui exposait toujours ses fesses nues et bien rouges. Elle compatissait au sort de sa jeune amie. Huguette venait également de temps en temps vérifier si le  thermomètre était bien en place, elle le faisait tourner et claquait les fesses bien exposées.

- Alors, tu recommenceras à faire des caprices ? Tu sais que j'en ai parlé à ta maman, elle n'était pas très contente. À partir de maintenant tu peux oublier les leggings, tu seras tout les jours en jupe courte.

Caroline gémissait doucement :

- Oui, madame. Pardon.

Quand l’heure fût passée, Huguette retira le thermomètre. Elle avait pris une jupette très courte dans l’armoire de Sylvie. C’était ce qu’elle appelait une jupe de punition, elle l’avait tellement raccourci que la culotte était visible dès que la punie se penchait ne serait-ce qu’un peu.

Caroline fit une grimace en l’enfilant et en se regardant dans la glace, elle essaya machinalement de tirer dessus. Ça lui attira immédiatement une réflexion cinglante d’Huguette accompagnée de quelques claques rapides sur les cuisses dénudées :

- Cesse un peu ces simagrées et je te conseille également d’arrêter de faire la tête, sinon tu n’auras pas froid aux fesses pour rentrer chez toi, je peux te le garantir !

Caroline compris que la partie était perdue, elle s'imagina arriver chez elle dans cette tenue.

Sa mère avait été mise au courant de son week-end chez Huguette, nul doute que sa tenue et ce coup de téléphone allait lui donner des idées.C’était inutile quHuguette rajoute une couche de rouge sur son derrière, sa mère allait s'en charger.

Elle prit son sac et fit une bise à Sylvie et Huguette avant de quitter la maison.

Pauline rentrait chez elle à ce moment-là, elle fit un petit signe à Huguette :

- Je peux te parler ?

Elle était visiblement tendue. Huguette l'invita à entrer.

Sylvie continuait son ménage, sa jupette vraiment très courte dévoilait le haut de ses cuisses et la base de ses fesses à chaque mouvement. La rougeur de la fessée matinale était parfaitement visible. Virginie maintenant ne se contentait plus de rougir les fesses, sa main s'occupait également de l'arrière des cuisses. Elle s'était rendue compte que la zone juste sous les fesses était très sensible et rendait la fessée encore plus douloureuse, donc plus efficace.

Pauline avait bien sûr remarqué la tenue de Sylvie, elle était habituée à la voir dans le jardin où lorsqu’elle sortait se promener avec Huguette, mais la voir de si près avec cette jupe de gamine et les traces de sa fessée, était assez surprenant. Ses yeux avait du mal à se détacher du large derrière de Sylvie, Huguette le remarqua et décida d’en sourire :

- Ma petite Sylvie a un joli popotin n’est-ce-pas ?



Les joues de Pauline s’empourprèrent, elle quitta du regard les fesses de sa voisine :

- Euh... Oui, enfin, non, je ne sais pas... Peut-être.

Huguette souriait de la gêne de le jeune femme :

- Moi je pense qu’avec une bonne paire de fesses comme ça, il faut que Sylvie fasse attention, ça attire la fessée. Alors que voulais-tu me dire ?

Satisfaite du changement de conversation, Pauline se ressaisi :

- C’est au sujet des filles, je ne sais pas comment faire, elles ne m’écoutent plus et elles deviennent de plus en plus insolente.

Huguette lui jeta un regard noir.

- Ce n’est pas étonnant avec le genre d’éducation qu’elles ont reçu !

Pauline baissa les yeux, pendant qu’Huguette continuait :

- Et avec l’exemple que tu leur donne en plus !

Les joues de Pauline était écarlates, surtout que Sylvie avait levé la tête et ne perdait pas une bribe de la conversation.

- Depuis le temps que je te demande de leur dire de faire moins de bruit, de ne pas mettre la musique aussi fort, de dire bonjour quand on les croisent. Il y a bien longtemps qu’avec moi elles auraient reçu une bonne fessée déculottée, je te garantis que ça les auraient calmées !

Pauline tête basse acquiesçait :

- Oui, je sais, tu as certainement raison.

Huguette était remontée, elle s’approcha de la jeune femme :

- Quant à toi, depuis le temps que je te dis de ne pas remettre les choses à plus tard, tu vois un peu l’exemple que tu donnes à te filles.

Pauline sentit que la conversation prenait un tour dangereux, elle jeta un oeil sur le fessier de Sylvie qui époussetait le buffet. Huguette s’était approchée d’elle.

- Je veux bien t’aider avec tes filles, mais avant tout chose, il va falloir que je m’occupe de toi ma petite Pauline.

La  jeune femme se recula légèrement, elle devinait vaguement la suite. Huguette avait parlé d’administrer une fessée déculottée à ses filles et Sylvie exposait des fesses rougies dépassant de sa culotte de gamine.

- Tes filles sont insupportables et je pense qu’il va falloir reprendre leur éducation à la base. Mais de ton côté tu as vraiment des progrès à faire et si tu veux mon avis on va commencer par toi. Maman Huguette a un très bon moyen pour mettre du plomb dans la cervelle aux jeune femme de ton espèce.

J'écoutais avec intérêt la conversation, la façon dont elle s'était engagée ne présageait rien de bon pour les fesses de Pauline, et ça me ravissait.

Cette petite peste se régalait depuis un moment du spectacle de mes humiliations successives. Des fessées administrées par Caroline et Huguette, de mes passages au coin fesses à l'air, de ma transformation en gamine par Virginie et Huguette, il était temps qu'elle connaisse à son tour la honte de présenter son derrière dénudé. Car il ne faisait aucun doute que c'était l'intention d'Huguette.

Pauline s'était légèrement éloignée, mais Huguette eut vite fait de l'attraper par la main, je ne connaissais que trop bien sa technique, la suite était écrite, "ma petite Pauline tu vas avoir panpan cucul ", je souriais discrètement, je tenais ma revanche.

Huguette avait pris la main de Pauline et l’avait attiré près d’elle en s’asseyant sur une chaise. La jeune femme étai debout contre ses genoux, elle commença à dégrafer les boutons du jeans, puis rapidement avant que celle-ci ait put dire un mot, elle l’avait fait glisser le long de ses cuisses. Pauline tenta une petite résistance :

- Mais Huguette que fais-tu, on, non...

Elle n’eut pas le temps de continuer, Huguette l’avait basculée en travers de ses genoux.

- Ce que je fais ? Ce que ta mère aurait dû faire quand tu en avais l’âge et ce que j’aurais dû faire depuis longtemps. Je vais t’administrer la fessée déculottée que tu mérites.

- Aïe, aïe, on, non, arrêtes Huguette, ce n’est pas drôle, j’ai 40 ans quand même... Aïe, Aïe...

La fessée avait commencé, Pauline portait une culotte brésilienne en dentelle jaune très échancrée qui laissait voir son généreux fessier. La main d’Huguette visait particulièrement la base des des fesses qui n’était pas recouverte par la fine lingerie.

 

Je n’avais pas remarqué que notre petite Pauline avait un si beau fessier, ses dessous sexy allait lui valoir une punition exemplaire, comme je connaissais Huguette maintenant, je savais qu’elle ne tolérait pas trop ses dessous affriolants. La pauvre commençait  sentir la brûlure de la fessée, ses fesses étaient déjà rouges et elle n’avait pas encore été déculottée.

 

Huguette en était à son troisième derrière, celui-ci était encore différent de celui de Caroline ou de Sylvie. Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte pour mieux pouvoir l’examiner, le fin sous-vêtement descendit jusqu’à mi-cuisse. C’était vraiment un beau fessier de femme, bien rond, assez large mais très ferme, d’un blanc laiteux, la base était déjà bien rouge et la partie la plus charnue rosée à souhait.



- Tu vas voir comme maman Huguette va bien s’occuper de tes fesses ma petite Pauline, une bonne fessée cul nu pour te mettre du plomb dans la cervelle.

Huguette comme elle l’avait fait avec Caroline, palpait avec gourmandise ce nouveau terrain de jeux.Pauline pleurait maintenant, plus de honte que de douleur d’ailleurs. Elle n’aurait jamais imaginé qu’une chose pareille puisse lui arriver, sa mère ne lui avait jamais administrer la moindre fessée, pas même une petite claque par dessus la jupe quand elle était insupportable.

Mais curieusement, elle ne se débattait pas et ne cherchait pas à s’échapper, elle semblait reconnaître le bien-fondé de l’attitude d’Huguette et de la punition qui se profilait.

Maintenant Huguette tapotait le derrière rebondi :

- Tes filles sont mal élevées, ma petite Pauline, elles méritent de recevoir une bonne fessée déculottée, mais c’est toi qui est responsable. Donc avant de m’occuper des fesses de tes filles, je vais rougir les tiennes et je te garantis que tu vas t’en souvenir de cette fessée !

Elle leva la main et commença à fesser ce magnifique derrière. Maintenant elle avait l’habitude de cette punition, elle claquait méthodiquement,une fesse après l’autre, alternant des claques plus ou moins fortes, puis accélérant et donnant une série très rapide. C’était une bien belle fessée déculottée que recevait Pauline.

Entendre les cris de ma jeune voisine mêlés au bruit des claques était une douce musique à mes oreilles. Pour une fois que ce n’était pas moi qui présentait mes fesses nues à la main sévère d’Huguette. Je connaissais trop bien ce que devait ressentir la pauvre Pauline, d’abord la honte de se retrouver dans cette humiliante position, puis de se faire déculotter. Mais cette honte n’était rien à côté de la douleur de la fessée, l’intense cuisson qui envahissait tout son derrière, cette envie de mettre ses mains pour protéger ses fesses. Je jetais de temps en temps un oeil à la fessée de Pauline mais sans arrêter mon ménage, je connaissais trop bien Huguette, elle n’aurait certainement pas apprécié que je me moque de ma condisciple.

Pauline comme je le prévoyais avait essayé de protéger ses fesses avec sa main, Huguette s’y attendait également, la main de la punie était maintenant coincée dans son dos et la fessée redoublait.

- Ah pas de ça, ma petite ! Je te garantis que tu vas le regretter, quand on a mérité une fessée on essaye pas d’y échapper.

Pauline s’était mise à pleurer, ses fesses étaient maintenant d’un beau rouge vif. Malgré ma rancune à son égard, je la plaignais quand même un peu. Huguette n’y allait pas de main morte pour une première fessée déculottée. C’était une très sévère fessée, ça faisait un moment que je n’en avais pas reçu une comme ça.

 


Huguette jugea que la punition était suffisante, Pauline savait maintenant à quoi s’en tenir. Elle ne s’était pas rebellée, désormais elle serait soumise au même traitement que Sylvie et Caroline, sa culotte ne resterait pas souvent sur ses fesses quand elle viendrait chez sa nouvelle maman. Celle-ci la garda sur ses genoux afin qu’elle se calme puis elle lui expliqua ce qu’elle attendait d’elle à présent :

- Bien, j’espère que tu as compris. Maman Huguette te donnera la fessée cul nu chaque fois que tu la mériteras. Je ne veux plus que tu portes ces horribles jeans. Chez moi, une jeune femme bien élevée ne porte que des jupes. Nous irons voir ta garde-robe, je te raccourcirai les jupes comme celle de Sylvie pour qu’elles soient à ma convenance. Pour tes dessous, je ne veux plus de ces culottes de dévergondée, nous irons t’acheter des culottes en coton de jeune fille.  Maintenant tu vas te lever et aller au coin, ça va te permettre de réfléchir. Allez hop !

Elle avait claqué les fesses écarlates pour inciter Pauline à se relever. Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois et tout en reniflant, elle se dirigea vers le coin de la pièce. Sa marche était entravée par son jeans, Huguette l’arrêta et le lui fit enlever complètement ainsi que la culotte. C’est donc nue de la taille aux pieds que ma jeune voisine posa son nez contre le mur. Huguette savourait le spectacle de cette belle paire de fesses écarlates, l’ordre claqua :

- Mets tes mains sur ta tête ! Et tu ne bouges pas.



 J’étais fascinée par le spectacle offert par Pauline. Bien sûr j’avais vue Caroline fesses à l’air mais c’était une très jeune femme, la croupe de Pauline était vraiment très attirante, le rouge leur allait bien. Je m’étais arrêtée de passer le chiffon. Huguette se tourna vers moi :

- Dis-moi ma petite Sylvie, tu veux aller rejoindre Pauline au coin ? Je te garantis que si tu y vas, tu auras les fesses de la même couleur.

Je savais que ce n’étais pas une menace en l’air, je baissai les yeux et je repris mon travail.

Huguette ne voulait surtout pas que Sylvie pense qu’elle ne risquait plus rien. Elle s’approcha d’elle et la fit pivoter:

- Je vais te mettre plus à l’aise pour travailler.

Elle retroussa la jupette et coinça l’ourlet dans la ceinture, instinctivement les fesses de Sylvie s’étaient contractées sous la culotte. Huguette s’en aperçut en voyant la lingerie rentrer dans la raie fessière. Elle se mit à rire :

- On dirait que ma petite Sylvie a peur que maman fasse panpan cucul. Rassure toi ce n’est pas encore le moment, je vais juste arranger un peu ta tenue.

Elle baissa la culotte sous les fesses et claqua le derrière dénudé.



- Allez maintenant au travail. Tes fesses sont à ma disposition si tu n’es pas sage.

 

A suivre

2 commentaires:

  1. merci sylvie pour ce chapitre très bien rédigé. Pauline sait désormais ce que Sylvie a vécu. c'est vraiment amusant de lire les histoires et j'ai l'impression que ça ne devrait jamais s'arrêter.

    Chinmay

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  2. Merci Chinmay pour tes commentaires toujours élogieux. C'est vrai que j'aime que mes récits soient sans fin. Mais il faudra bien que celui-ci s'arrête un jour, je pense que ça ne va pas tarder.
    Sylvie

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