Nouvelles paires de fesses à disposition
Huguette vaquait à ses occupations tout en surveillant ses deux grandes filles. Pauline dans son coin avec ses fesses bien rouges et Sylvie qui faisait le ménage cul nu.
C’était assez charmant et même légèrement excitant. Elle songea aux deux filles de Pauline, ces adolescentes allaient elles aussi goûter à la sévère discipline de mamie Huguette. Encore deux nouveaux fessiers à découvrir, la journée s’annonçait claquante au hameau des fesses rouges.
Sylvie avait son cours d’anglais cet après-midi avec Daisy, mais il fallait l’occuper pendant qu’elle irait avec Pauline vérifier et trier sa garde-robe. Sa grande fille passait à côté d’elle, elle lui prit la main et la fit pivoter de façon à ce qu’elle lui présente ses fesses :
— Eh bien ma grande, tes fesses sont bien blanches. Je ne voudrais pas que tu attrapes froid.
Je savais ce que ça signifiait, quand j’étais cul nu, Huguette ne supportait pas que mon derrière ne soit pas coloré.
J’avais vu juste, sa main se mit à me claquer les fesses. Je déteste la fessée en général, mais particulièrement quand elle me fesse dans cette position, courbée sous son bras et le derrière bien tendu, c’est particulièrement douloureux.
Remarquez, avec Huguette il n’y a pas de petite fessée, elles sont toujours cuisantes, celle-ci ne dérogea pas à la règle, je piétinais sur place en la suppliant d’arrêter. C’était sans effet comme d’habitude, pour ma sévère maman une fessée déculottée devait me tirer des larmes sinon elle était inefficace.
Quand elle me relâcha, je pus voir les dégâts sur mon derrière dans la grande glace du salon. Il était d’un rouge éclatant. Maman était satisfaite, elle arborait un grand sourire :
— Voilà une bonne paire de fesses bien rouges, tu vas me copier des lignes pendant que je m’occupe de Pauline.
C’était sa nouvelle idée depuis un moment, pour compléter une punition ou quand je n’avais rien à faire, pour m’éviter de faire des bêtises disait-elle, je devais copier des lignes sur un cahier qu’elle avait acheté exprès.
Elle choisissait toujours une phrase bien humiliante à copier, le nombre de lignes dépendaient de son humeur ou du temps qu’elle voulait me voir rester tranquille assise à ma table de travail.
— Va me chercher ton cahier.
J’étais bonne pour écrire mes lignes cul nu sur la chaise en paille. Une fois assise, j’attendis bien sagement.
— Applique-toi sinon gare à tes fesses. Tu me copies 200 fois la phrase suivante « Je ne me moquerai pas de ma petite sœur qui vient de recevoir une bonne fessée déculottée sinon maman va m’en donner une à moi aussi avec le martinet ».
Elle avait posé le martinet sur la table pour m’inspirer peut-être.
Vu la longueur de la phrase et le nombre de lignes, Huguette était tranquille pour un moment, sa grande fille était occupée.
Elle se dirigea vers Pauline et lui saisit l’oreille :
— À nous ma petite.
Pauline sursauta, elle n’était pas encore habituée à être traitée comme une gamine. Huguette était allée chercher une culotte dans la commode de Sylvie, à vue d’œil leurs fessiers étaient de taille presque équivalente. Celui de la plus jeune était peut-être plus rond et plus ferme que celui de la plus âgée qui était plus en poire mais l’administration régulière de la fessée l’avait rendu tout à fait agréable à regarder et il ne présentait pas de traces de cellulite.
Huguette lui avait lâché l’oreille, elle lui tendit la culotte blanche à pois qui faisait vraiment sous-vêtements de fillette :
— Enfile-moi ça, pour cacher ton derrière, j’irai t’en acheter d’autres demain. À partir de maintenant c’est ce genre de culotte que je veux voir sur tes fesses quand je retrousserai ta jupe.
Pauline fit une petite moue en voyant le style de la culotte qu’elle devrait désormais mettre. Sa grimace ne passa pas inaperçue, Huguette lui administra immédiatement deux fortes claques sur chaque fesse :
— Je déteste ce genre de bouderie, tu as intérêt à changer d’attitude si tu ne veux pas refaire un petit séjour sur mes genoux !
Pauline couina un peu, mais elle ne se rebella pas et elle enfila la petite culotte sans rien dire. Huguette souriait de la voir si obéissante, elle la fit pivoter pour admirer sa tenue :
— C’est parfait, ton petit derrière est très mignon comme ça.
Elle lui prit la main et se dirigea vers la porte, tout en recommandant à Sylvie de s’appliquer sous peine de sanctions. Pauline marqua une légère résistance, elle venait de comprendre qu’Huguette avait l’intention de la faire traverser la rue en petite culotte. La sévère maman avait l’habitude, elle tira un peu plus fort la main de sa nouvelle grande fille.
— La dernière fois que Caroline n’a pas voulu traverser la rue, elle était cul nu. Toi tu as de la chance, tu as une culotte. Mais si tu continues, je pense que tu vas sortir les fesses à l’air et bien rouges, je peux te l’affirmer.
Huguette n’avait pas l’air de plaisanter, Pauline ne résista pas et rouge de honte, elle traversa la rue en petite tenue, en serrant la main de sa sévère maman.
Arrivée dans sa chambre, Huguette eut vite fait de trier ses vêtements. Tous ses pantalons furent mis de côté pour être donné à une association, les jupes furent examinées afin de vérifier leurs longueurs. Une seule eut les faveurs de la nouvelle maman. C’était une robe de plage imprimée, très courte que Pauline n’avait plus mis depuis des années.
Elle dut la mettre et bien sûr ne put éviter de faire la moue. La réaction fut immédiate :
— Je pensais t’avoir prévenue et bien puisque tu ne comprends que la fessée, allons-y.
Elle coinça la pauvre Pauline sous son bras la forçant à se courber, la courte jupette était déjà relevée par la position, la culotte ne fut pas longue à descendre. Depuis sa fessée du matin les fesses avaient eu le temps de perdre un peu de couleur, elles étaient juste un peu rosées. Huguette se chargea de leurs redonner bonne mine, comme elle disait en parlant des fesses de ses grandes filles.
Après une centaine de claques généreusement distribuées sur le derrière dénudé, Huguette la relâcha :
— Voilà, tu as juste gagné une bonne déculottée, tu ferais mieux de cesser de bouder, je déteste ça.
Elle rassembla les jupes et les robes et les mis sous son bras :
— je vais m’occuper de raccourcir tout ça et demain tu pourras mettre une tenue de vraie jeune fille, pour tes culottes j’irai t’en acheter cet après-midi.
Elle regarda la pièce :
— Tu vas me faire le plaisir de ranger cette maison ! Je reviendrai vérifier tout à l’heure, et gare à tes fesses si ça ne me convient pas.
J’étais bien sagement assise cul nu sur ma chaise en train d’écrire mes lignes quand maman Huguette est rentrée. Elle est venue voir par-dessus mon épaule où j’en étais. J’avais déjà copié 100 fois la phrase humiliante, je trouvais ça bien, mais maman est très exigeante avec sa grande fille, elle m’a saisi l’oreille pour me faire lever :
— 100 lignes… Tu te moques du monde ! Ça fait une heure que tu as commencé. Je suis sûr que tu as dû bailler aux corneilles au lieu de travailler !
C’était carrément injuste et je me mis à pleurnicher :
— Non, non, maman, je t’assure j’ai bien travaillé, aïe, aïe…
Sa main avait claqué sèchement mes fesses nues :
— Cesse de pleurnicher ! Tu n’es qu’une paresseuse ! Et tu sais ce qui arrive aux gamines paresseuses ?
Sa main continuait de me claquer les fesses, je savais qu’elle attendait une réponse :
— Pardon maman, oui, oui, aïe, aïe… euh… Une fessée…
— C’est ça, oui une bonne fessée sur ton joli derrière, tu vas voir ça va te stimuler !
Elle avait pris le martinet posé sur la table. Elle m’appuya sur le dos :
— Penche-toi sur la table et tends-moi bien tes bonnes grosses fesses, tu vas voir Monsieur Martinet va s’en occuper.
J’étais bonne pour ma troisième déculottée depuis ce matin, alors que je pensais m’être bien comportée. Je ne pus m’en empêcher de pleurer. Huguette tenait le martinet à la main :
— Cesse donc de pleurnicher, je n’ai pas encore commencé à te corriger.
Huguette était un peu attendrie par les pleurs de sa grande fille, peut-être était-elle trop sévère ? Elle passa sa main sur les fesses bien dodues de Sylvie. La peau était douce, à peine rosée de la fessée précédente. Décidément cette belle croupe pouvait tout à fait supporter une nouvelle correction. Elle décida cependant de ne claquer ni trop fort ni trop longtemps :
— 20 coups de martinet pour t’apprendre à lambiner et tu vas les compter au lieu de pleurnicher !
Sylvie reçu donc sa troisième correction, elle compta les coups en pleurant. Quand ce fut terminé, Huguette lui caressa les fesses :
— Allez vilaine fille, au travail et arrange-toi pour que ça soit fini à midi.
La journée se déroula sereinement, Sylvie avait pu se reculotter et Pauline avait reçu les félicitations de sa nouvelle maman pour la qualité de son ménage.
Olga et Juliette les deux filles de Pauline arrivèrent ensemble à 16 h. Pauline suivit les instructions d’Huguette et les conduisit dans la maison voisine. Elles protestèrent bien un peu mais devant l’air courroucé de leur mère, elles obéirent.
Olga avait 20 ans, elles étaient en BTS de comptabilité et Juliette qui avait 18 ans était en terminale.
Huguette et Sylvie étaient assises, Pauline entama immédiatement la discussion :
— Huguette, voilà mes deux chipies, je ne sais plus quoi en faire.
Olga se mit à protester :
— Mais arrête un peu, on est plus des gamines.
Huguette s’était levée d’un bond, elle saisit la jeune femme par l’oreille la fit pivoter et avant qu’elle n’ait pu réagir lui avait administré quelques claques sur son legging :
— Tu ne parles pas comme ça à ta mère !
— Aïe, mais vous êtes folle, arrêtez !
Olga essayait de se libérer mais Huguette lui tenait fermement l’oreille, elle était plus grande et plus forte que la grande fille de Pauline :
— Oh non, je ne vais pas m’arrêter, je ne fais que commencer.
Elle avait lâché l’oreille mais c’était pour saisir Olga par la taille et la courber sous son bras. De sa main libre elle eut vite fait de déculotter la jeune femme, le legging descendit en même temps que la culotte. Ce que pressentait Huguette était exact, la fille de Pauline avait un très mignon petit derrière, bien rond et ferme le même que celui de sa mère mais en modèle réduit.
Elle ne s’attarda pas, il fallait mater cette péronnelle rapidement, elle criait et se débattait mais bien maintenue par le bras gauche de la sévère matrone elle ne pouvait que piétiner sur place.
La fessée pétarada dans le silence, les trois paires d’yeux des spectatrices étaient braqués sur le fessier qui rosissait à vue d’œil. Olga commença à gémir rapidement et à supplier :
— Arrêtez madame, s’il vous plaît… Aïe, aïe, non… Ça fait mal…
Huguette était concentrée sur la jolie paire de fesses maintenant bien rouge. Elle s’appliquait à claquer alternativement chaque hémisphère, les pleurs, tant attendu par la fesseuse, ne tardèrent pas. Elle continua la fessée encore quelques instants pour bien marquer son autorité, puis tenant toujours la punie coincée sous son bras, elle lui annonça la suite :
— Voilà un joli derrière bien rouge, tu vas être sage à présent ?
Olga en pleurnichant répondit :
— Oui, madame…
— J’espère bien, maintenant tu vas aller t’excuser auprès de ta maman.
Elle la relâcha et les yeux embués de larme, la jeune femme, redevenue une gamine, se dirigea la tête basse vers Pauline :
— Pardon maman…
Pauline souriait, sa grande fille était redevenue mignonne par la grâce d’une bonne fessée déculottée. Elle pensait également à sa propre punition et à sa nouvelle condition, ça la consolait un peu.
Huguette n’en avait pas fini avec les filles, elle interpella Olga :
— Ça c’était pour ton impolitesse, mais crois-moi ce n’est pas terminé. En attendant tu files te mettre au coin que tout le monde puisse admirer ton joli derrière bien rouge.
Puis elle se tourna vers Juliette qui avait assisté, terrorisée à la fessée déculottée de sa sœur :
— À nous mademoiselle !
La jeune fille protesta :
— Mais je n’ai rien fait madame !
Huguette avait un sourire carnassier, elle se régalait de l’angoisse de sa future victime. Juliette était plus petite et plus ronde que sa sœur, elle portait une mini-jupe en jeans, ça serait plus facile pour lui mettre les fesses à l’air.
— Ah oui, tu n’as rien fait ? Ce n’est pas ce que ta maman m’a dit. Tu ne te souviens pas que tu l’as envoyé balader ce matin ?
Juliette avait rougi et baissé la tête. Huguette décida d’utiliser une méthode plus classique, la jeune fille ne paraissait pas vouloir résister. Elle la prit par la main et s’assit sur une chaise :
— Viens un peu ici ma mignonne, mamie Huguette va avoir une petite conversation avec tes fesses.
La deuxième fille de Pauline était plus docile que sa sœur, elle avait aussi été impressionnée par la correction reçue par Olga. Elle se laissa faire quand la sévère mamie la coucha en travers de ses cuisses.
La lingerie abaissée il apparut, il était d’un blanc laiteux et contracté par l’appréhension,. Un joli petit derrière fait pour la fessée. Huguette s’attarda un peu, elle le caressa :
— Voilà ce qui arrive ma petite Juliette quand on est vilaine avec sa maman. On reçoit une bonne fessée déculottée devant tout le monde.
La jeune fille gémissait de honte et de peur :
— Non, non, madame pardon, s’il vous plaît, pas la fessée.
Curieusement elle ne cherchait pas à s’échapper, elle semblait résignée à recevoir ce châtiment enfantin.
Huguette en avait fini avec la palpation du joli fessier, elle songea qu’elle aurait tout le temps de l’explorer plus à fond ultérieurement. Sa main se leva et commença la punition. Ce fut une bonne fessée déculottée traditionnelle pas trop sévère, mais quand même suffisante pour que les fesses de Juliette soient d’un beau rouge vif et que la punie pleure abondamment.
Une fois remise sur ses pieds, elle fut conduite au coin à côté de sa sœur.
Sylvie et Pauline étaient ravies de voir contre le mur, deux paires de fesses bien rouges qui n’étaient pas les leurs.
Huguette se tourna vers elles en souriant :
— Ne sont-elles pas mignonnes. Pauline tu as eu tort de ne pas le déculotter plus tôt, ces petits derrières sont faits pour la fessée.
Sa jeune voisine souriait timidement, elle savait que cette phrase pouvait également s’appliquer à ses propres fesses.
La sévère maman, se dirigea vers Olga, elle lui saisit l’oreille pour la faire avancer au milieu de la pièce. Matée par sa première correction, elle ne protesta pas. Satisfaite Huguette la relâcha et elle s’installa dans un fauteuil, puis elle tapota ses cuisses :
— En position ma petite Olga.
Celle-ci protesta :
— Mais madame, j’ai déjà été bien punie.
Huguette se mit à rire :
— Bien punie ? Tu veux rire, tu as juste reçu une petite fessée déculottée pour ton impolitesse. Maintenant on va passer à la punition que tu mérites pour ton comportement envers ta mère. Allez dépêche-toi de te coucher sur mes genoux avant que je ne me fâche.
La jeune femme s’exécuta, domptée par le ton impérieux de la sévère voisine. Ses fesses étaient encore bien colorées, Huguette pris le temps de les examiner de plus près. Elle savait que la soumission commençait avec l’humiliation de devoir exposer ses fesses nues. Ses doigts s’insinuèrent entre les deux globes bien fermes pour les écarter, Olga qui n’était plus une oie blanche se laissa faire. Mais quand sa nouvelle mamie, passa son doigt dans sa raie fessière et força un peu son anus, elle resserra ses fesses.
Huguette lui administra immédiatement deux fortes claques sur chaque fesse :
— Pas de ça ma petite, quand mamie examine tes fesses, tu te laisses faire, c’est compris !
Sa main avait claqué à nouveau le fessier rebondi. Elle se tourna vers Sylvie :
— Amène-moi la brosse à cheveux et le thermomètre !
Elle avait deviné que Olga serait plus rétive, il fallait être sévère immédiatement. Sylvie lui tendit les deux instruments.
Huguette tapota à nouveau les fesses serrées de la jeune femme :
— Alors ma jolie, tu commences à regretter ton comportement ? Tu vas voir mamie va bien s’occuper de ton petit derrière.
Elle leva la brosse et l’abattit sèchement sur la fesse droite puis immédiatement sur la gauche. Olga poussa un cri, elle n’avait jamais reçu la moindre fessée et depuis 1/2 h c’était la deuxième, et celle administrée avec une brosse était particulièrement douloureuse.
La correction continuait sans soucis des supplications de la punie, les jambes battaient l’air, les fesses s’ouvraient et se fermaient. Huguette s’appliquait, elle voulait que cette petite peste se souvienne de sa première fessée. La croupe bien ferme ressemblait à deux tomates bien mûres, elle cessa enfin la punition et posa la brosse :
— Voilà une paire de fesses bien chaudes, cesse de pleurer tu l’as bien mérité. On va vérifier si c’est suffisant.
Elle écarta avec deux doigts les hémisphères brûlants pour mettre à jour le petit trou secret comme elle l’appelait quand elle prenait la température à Sylvie. Celle-ci était impressionnée par la sévérité de sa maman, bien sûr elle recevait souvent des punitions aussi sévères, mais y assister ne lui était pas souvent arrivée.
Olga pleurait doucement mais la correction à la brosse avait fait son effet, elle ne chercha pas à échapper à la mise à nu de son intimité. Pourtant c’était une humiliante exposition que lui faisait subir sa nouvelle mamie. Huguette avait posé la brosse et pris le thermomètre.
Pauline n’en croyait pas ses yeux, sa fille aînée d’ordinaire si fière et mal élevée, venait de se recevoir une magistrale déculottée, ses fesses étaient écarlates, Huguette s’apprêtait à lui mettre un thermomètre dans les fesses comme si elle était une gamine et elle se laissait faire.
Le thermomètre pénétrait inexorablement dans le fondement de la jeune femme, elle gémissait :
— Non, non, pardon madame, aïe, non, non, ça fait mal !
Huguette relâcha les fesses, reprit la brosse et administra une dizaine de coups sur le derrière déjà meurtri :
— Voilà tu vas pouvoir te plaindre pour quelque chose ! Se faire mettre un thermomètre dans les fesses n’est pas très agréable mais ça ne fait pas mal ! Alors cesse de pleurnicher ou je te flanque une autre fessée et là tu vas pleurer pour quelque chose !
Olga cessa immédiatement ses plaintes, son postérieur était suffisamment brûlant comme ça. L’engin médical était désormais bien en place, Huguette tapota le derrière :
— Voilà, tu vas le garder un moment, le temps que tu te calmes.
Puis elle se tourna vers Sylvie :
— Prépare-nous du thé pendant que ces deux péronnelles sont punies.
Sylvie ravie que pour une fois ce ne soit pas elle qui expose ses fesses au coin pendant le thé, s’empressa d’aller à la cuisine. Pendant ce temps, la sévère mamie s’adressait à Pauline :
— Tu vois ce n’est pas compliqué d’avoir la paix à la maison, une bonne fessée déculottée à chacune et si c’est nécessaire une petite prise de température sur tes genoux et tu vas avoir deux anges à la maison.
Elle caressait la croupe enflammée d’Olga tout en discutant. La jeune femme tout à sa honte et à sa douleur ne disait rien. Sans nul doute songeait-elle à sa nouvelle condition, le temps où elle régentait la maison semblait loin désormais.
Juliette se faisait toute petite dans son coin, ses fesses cuisantes et la correction reçue par sa sœur l’incitait à la prudence.
A suivre