vendredi 24 novembre 2023

Caroline fesseuse de dame 14




Nouvelles paires de fesses à disposition 

Huguette vaquait à ses occupations tout en surveillant ses deux grandes filles. Pauline dans son coin avec ses fesses bien rouges et Sylvie qui faisait le ménage cul nu.

C’était assez charmant et même légèrement excitant. Elle songea aux deux filles de Pauline, ces adolescentes allaient elles aussi goûter à la sévère discipline de mamie Huguette. Encore deux nouveaux fessiers à découvrir, la journée s’annonçait claquante au hameau des fesses rouges.

Sylvie avait son cours d’anglais cet après-midi avec Daisy, mais il fallait l’occuper pendant qu’elle irait avec Pauline vérifier et trier sa garde-robe. Sa grande fille passait à côté d’elle, elle lui prit la main et la fit pivoter de façon à ce qu’elle lui présente ses fesses :

— Eh bien ma grande, tes fesses sont bien blanches. Je ne voudrais pas que tu attrapes froid.

Je savais ce que ça signifiait, quand j’étais cul nu, Huguette ne supportait pas que mon derrière ne soit pas coloré.

J’avais vu juste, sa main se mit à me claquer les fesses. Je déteste la fessée en général, mais particulièrement quand elle me fesse dans cette position, courbée sous son bras et le derrière bien tendu, c’est particulièrement douloureux.

Remarquez, avec Huguette il n’y a pas de petite fessée, elles sont toujours cuisantes, celle-ci ne dérogea pas à la règle, je piétinais sur place en la suppliant d’arrêter. C’était sans effet comme d’habitude, pour ma sévère maman une fessée déculottée devait me tirer des larmes sinon elle était inefficace.

Quand elle me relâcha, je pus voir les dégâts sur mon derrière dans la grande glace du salon. Il était d’un rouge éclatant. Maman était satisfaite, elle arborait un grand sourire :

— Voilà une bonne paire de fesses bien rouges, tu vas me copier des lignes pendant que je m’occupe de Pauline.

C’était sa nouvelle idée depuis un moment, pour compléter une punition ou quand je n’avais rien à faire, pour m’éviter de faire des bêtises disait-elle, je devais copier des lignes sur un cahier qu’elle avait acheté exprès.

Elle choisissait toujours une phrase bien humiliante à copier, le nombre de lignes dépendaient de son humeur ou du temps qu’elle voulait me voir rester tranquille assise à ma table de travail.

— Va me chercher ton cahier.

J’étais bonne pour écrire mes lignes cul nu sur la chaise en paille. Une fois assise, j’attendis bien sagement.



— Applique-toi sinon gare à tes fesses. Tu me copies 200 fois la phrase suivante « Je ne me moquerai pas de ma petite sœur qui vient de recevoir une bonne fessée déculottée sinon maman va m’en donner une à moi aussi avec le martinet ».

Elle avait posé le martinet sur la table pour m’inspirer peut-être.

Vu la longueur de la phrase et le nombre de lignes, Huguette était tranquille pour un moment, sa grande fille était occupée.

Elle se dirigea vers Pauline et lui saisit l’oreille :

— À nous ma petite.

Pauline sursauta, elle n’était pas encore habituée à être traitée comme une gamine. Huguette était allée chercher une culotte dans la commode de Sylvie, à vue d’œil leurs fessiers étaient de taille presque équivalente. Celui de la plus jeune était peut-être plus rond et plus ferme que celui de la plus âgée qui était plus en poire mais l’administration régulière de la fessée l’avait rendu tout à fait agréable à regarder et il ne présentait pas de traces de cellulite.

Huguette lui avait lâché l’oreille, elle lui tendit la culotte blanche à pois qui faisait vraiment sous-vêtements de fillette :

— Enfile-moi ça, pour cacher ton derrière, j’irai t’en acheter d’autres demain. À partir de maintenant c’est ce genre de culotte que je veux voir sur tes fesses quand je retrousserai ta jupe.

Pauline fit une petite moue en voyant le style de la culotte qu’elle devrait désormais mettre. Sa grimace ne passa pas inaperçue, Huguette lui administra immédiatement deux fortes claques sur chaque fesse :

— Je déteste ce genre de bouderie, tu as intérêt à changer d’attitude si tu ne veux pas refaire un petit séjour sur mes genoux !

Pauline couina un peu, mais elle ne se rebella pas et elle enfila la petite culotte sans rien dire. Huguette souriait de la voir si obéissante, elle la fit pivoter pour admirer sa tenue :

— C’est parfait, ton petit derrière est très mignon comme ça.

Elle lui prit la main et se dirigea vers la porte, tout en recommandant à Sylvie de s’appliquer sous peine de sanctions. Pauline marqua une légère résistance, elle venait de comprendre qu’Huguette avait l’intention de la faire traverser la rue en petite culotte. La sévère maman avait l’habitude, elle tira un peu plus fort la main de sa nouvelle grande fille.

— La dernière fois que Caroline n’a pas voulu traverser la rue, elle était cul nu. Toi tu as de la chance, tu as une culotte. Mais si tu continues, je pense que tu vas sortir les fesses à l’air et bien rouges, je peux te l’affirmer.

Huguette n’avait pas l’air de plaisanter, Pauline ne résista pas et rouge de honte, elle traversa la rue en petite tenue, en serrant la main de sa sévère maman.

Arrivée dans sa chambre, Huguette eut vite fait de trier ses vêtements. Tous ses pantalons furent mis de côté pour être donné à une association, les jupes furent examinées afin de vérifier leurs longueurs. Une seule eut les faveurs de la nouvelle maman. C’était une robe de plage imprimée, très courte que Pauline n’avait plus mis depuis des années.

Elle dut la mettre et bien sûr ne put éviter de faire la moue. La réaction fut immédiate :

— Je pensais t’avoir prévenue et bien puisque tu ne comprends que la fessée, allons-y.

Elle coinça la pauvre Pauline sous son bras la forçant à se courber, la courte jupette était déjà relevée par la position, la culotte ne fut pas longue à descendre. Depuis sa fessée du matin les fesses avaient eu le temps de perdre un peu de couleur, elles étaient juste un peu rosées. Huguette se chargea de leurs redonner bonne mine, comme elle disait en parlant des fesses de ses grandes filles.

Après une centaine de claques généreusement distribuées sur le derrière dénudé, Huguette la relâcha :

— Voilà, tu as juste gagné une bonne déculottée, tu ferais mieux de cesser de bouder, je déteste ça.

Elle rassembla les jupes et les robes et les mis sous son bras :

— je vais m’occuper de raccourcir tout ça et demain tu pourras mettre une tenue de vraie jeune fille, pour tes culottes j’irai t’en acheter cet après-midi.

Elle regarda la pièce :

— Tu vas me faire le plaisir de ranger cette maison ! Je reviendrai vérifier tout à l’heure, et gare à tes fesses si ça ne me convient pas.


J’étais bien sagement assise cul nu sur ma chaise en train d’écrire mes lignes quand maman Huguette est rentrée. Elle est venue voir par-dessus mon épaule où j’en étais. J’avais déjà copié 100 fois la phrase humiliante, je trouvais ça bien, mais maman est très exigeante avec sa grande fille, elle m’a saisi l’oreille pour me faire lever :

— 100 lignes… Tu te moques du monde ! Ça fait une heure que tu as commencé. Je suis sûr que tu as dû bailler aux corneilles au lieu de travailler !

C’était carrément injuste et je me mis à pleurnicher :

— Non, non, maman, je t’assure j’ai bien travaillé, aïe, aïe…

Sa main avait claqué sèchement mes fesses nues :

— Cesse de pleurnicher ! Tu n’es qu’une paresseuse ! Et tu sais ce qui arrive aux gamines paresseuses ?

Sa main continuait de me claquer les fesses, je savais qu’elle attendait une réponse :

— Pardon maman, oui, oui, aïe, aïe… euh… Une fessée…

— C’est ça, oui une bonne fessée sur ton joli derrière, tu vas voir ça va te stimuler !

Elle avait pris le martinet posé sur la table. Elle m’appuya sur le dos :

— Penche-toi sur la table et tends-moi bien tes bonnes grosses fesses, tu vas voir Monsieur Martinet va s’en occuper.

J’étais bonne pour ma troisième déculottée depuis ce matin, alors que je pensais m’être bien comportée. Je ne pus m’en empêcher de pleurer. Huguette tenait le martinet à la main :

— Cesse donc de pleurnicher, je n’ai pas encore commencé à te corriger.


Huguette était un peu attendrie par les pleurs de sa grande fille, peut-être était-elle trop sévère ? Elle passa sa main sur les fesses bien dodues de Sylvie. La peau était douce, à peine rosée de la fessée précédente. Décidément cette belle croupe pouvait tout à fait supporter une nouvelle correction. Elle décida cependant de ne claquer ni trop fort ni trop longtemps :

— 20 coups de martinet pour t’apprendre à lambiner et tu vas les compter au lieu de pleurnicher !



Sylvie reçu donc sa troisième correction, elle compta les coups en pleurant. Quand ce fut terminé, Huguette lui caressa les fesses :

— Allez vilaine fille, au travail et arrange-toi pour que ça soit fini à midi.

La journée se déroula sereinement, Sylvie avait pu se reculotter et Pauline avait reçu les félicitations de sa nouvelle maman pour la qualité de son ménage.

Olga et Juliette les deux filles de Pauline arrivèrent ensemble à 16 h. Pauline suivit les instructions d’Huguette et les conduisit dans la maison voisine. Elles protestèrent bien un peu mais devant l’air courroucé de leur mère, elles obéirent.

Olga avait 20 ans, elles étaient en BTS de comptabilité et Juliette qui avait 18 ans était en terminale.

Huguette et Sylvie étaient assises, Pauline entama immédiatement la discussion :

— Huguette, voilà mes deux chipies, je ne sais plus quoi en faire.

Olga se mit à protester :

— Mais arrête un peu, on est plus des gamines.

Huguette s’était levée d’un bond, elle saisit la jeune femme par l’oreille la fit pivoter et avant qu’elle n’ait pu réagir lui avait administré quelques claques sur son legging :

— Tu ne parles pas comme ça à ta mère !

— Aïe, mais vous êtes folle, arrêtez !

Olga essayait de se libérer mais Huguette lui tenait fermement l’oreille, elle était plus grande et plus forte que la grande fille de Pauline :

— Oh non, je ne vais pas m’arrêter, je ne fais que commencer.

Elle avait lâché l’oreille mais c’était pour saisir Olga par la taille et la courber sous son bras. De sa main libre elle eut vite fait de déculotter la jeune femme, le legging descendit en même temps que la culotte. Ce que pressentait Huguette était exact, la fille de Pauline avait un très mignon petit derrière, bien rond et ferme le même que celui de sa mère mais en modèle réduit.

Elle ne s’attarda pas, il fallait mater cette péronnelle rapidement, elle criait et se débattait mais bien maintenue par le bras gauche de la sévère matrone elle ne pouvait que piétiner sur place.

La fessée pétarada dans le silence, les trois paires d’yeux des spectatrices étaient braqués sur le fessier qui rosissait à vue d’œil. Olga commença à gémir rapidement et à supplier :

— Arrêtez madame, s’il vous plaît… Aïe, aïe, non… Ça fait mal…

Huguette était concentrée sur la jolie paire de fesses maintenant bien rouge. Elle s’appliquait à claquer alternativement chaque hémisphère, les pleurs, tant attendu par la fesseuse, ne tardèrent pas. Elle continua la fessée encore quelques instants pour bien marquer son autorité, puis tenant toujours la punie coincée sous son bras, elle lui annonça la suite :

— Voilà un joli derrière bien rouge, tu vas être sage à présent ?

Olga en pleurnichant répondit :

— Oui, madame…

— J’espère bien, maintenant tu vas aller t’excuser auprès de ta maman.

Elle la relâcha et les yeux embués de larme, la jeune femme, redevenue une gamine, se dirigea la tête basse vers Pauline :

— Pardon maman…

Pauline souriait, sa grande fille était redevenue mignonne par la grâce d’une bonne fessée déculottée. Elle pensait également à sa propre punition et à sa nouvelle condition, ça la consolait un peu.

Huguette n’en avait pas fini avec les filles, elle interpella Olga :

— Ça c’était pour ton impolitesse, mais crois-moi ce n’est pas terminé. En attendant tu files te mettre au coin que tout le monde puisse admirer ton joli derrière bien rouge.

Puis elle se tourna vers Juliette qui avait assisté, terrorisée à la fessée déculottée de sa sœur :

— À nous mademoiselle !

La jeune fille protesta :

— Mais je n’ai rien fait madame !

Huguette avait un sourire carnassier, elle se régalait de l’angoisse de sa future victime. Juliette était plus petite et plus ronde que sa sœur, elle portait une mini-jupe en jeans, ça serait plus facile pour lui mettre les fesses à l’air.

— Ah oui, tu n’as rien fait ? Ce n’est pas ce que ta maman m’a dit. Tu ne te souviens pas que tu l’as envoyé balader ce matin ?

Juliette avait rougi et baissé la tête. Huguette décida d’utiliser une méthode plus classique, la jeune fille ne paraissait pas vouloir résister. Elle la prit par la main et s’assit sur une chaise :

— Viens un peu ici ma mignonne, mamie Huguette va avoir une petite conversation avec tes fesses.

La deuxième fille de Pauline était plus docile que sa sœur, elle avait aussi été impressionnée par la correction reçue par Olga. Elle se laissa faire quand la sévère mamie la coucha en travers de ses cuisses.

La suite fut classique. La jupette, retroussée haut sur les reins, découvrit une mignonne petite culotte à fleurs qui moulait un postérieur bien plus joufflu que celui de sa sœur. 


La lingerie abaissée il apparut,  il était d’un blanc laiteux et contracté par l’appréhension,. Un joli petit derrière fait pour la fessée. Huguette s’attarda un peu, elle le caressa :

— Voilà ce qui arrive ma petite Juliette quand on est vilaine avec sa maman. On reçoit une bonne fessée déculottée devant tout le monde.

La jeune fille gémissait de honte et de peur :

— Non, non, madame pardon, s’il vous plaît, pas la fessée.

Curieusement elle ne cherchait pas à s’échapper, elle semblait résignée à recevoir ce châtiment enfantin.

Huguette en avait fini avec la palpation du joli fessier, elle songea qu’elle aurait tout le temps de l’explorer plus à fond ultérieurement. Sa main se leva et commença la punition. Ce fut une bonne fessée déculottée traditionnelle pas trop sévère, mais quand même suffisante pour que les fesses de Juliette soient d’un beau rouge vif et que la punie pleure abondamment.

Une fois remise sur ses pieds, elle fut conduite au coin à côté de sa sœur.

Sylvie et Pauline étaient ravies de voir contre le mur, deux paires de fesses bien rouges qui n’étaient pas les leurs.



Huguette se tourna vers elles en souriant :

— Ne sont-elles pas mignonnes. Pauline tu as eu tort de ne pas le déculotter plus tôt, ces petits derrières sont faits pour la fessée.

Sa jeune voisine souriait timidement, elle savait que cette phrase pouvait également s’appliquer à ses propres fesses.

La sévère maman, se dirigea vers Olga, elle lui saisit l’oreille pour la faire avancer au milieu de la pièce. Matée par sa première correction, elle ne protesta pas. Satisfaite Huguette la relâcha et elle s’installa dans un fauteuil, puis elle tapota ses cuisses :

— En position ma petite Olga.

Celle-ci protesta :

— Mais madame, j’ai déjà été bien punie.

Huguette se mit à rire :

— Bien punie ? Tu veux rire, tu as juste reçu une petite fessée déculottée pour ton impolitesse. Maintenant on va passer à la punition que tu mérites pour ton comportement envers ta mère. Allez dépêche-toi de te coucher sur mes genoux avant que je ne me fâche.

La jeune femme s’exécuta, domptée par le ton impérieux de la sévère voisine. Ses fesses étaient encore bien colorées, Huguette pris le temps de les examiner de plus près. Elle savait que la soumission commençait avec l’humiliation de devoir exposer ses fesses nues. Ses doigts s’insinuèrent entre les deux globes bien fermes pour les écarter, Olga qui n’était plus une oie blanche se laissa faire. Mais quand sa nouvelle mamie, passa son doigt dans sa raie fessière et força un peu son anus, elle resserra ses fesses.

Huguette lui administra immédiatement deux fortes claques sur chaque fesse :

— Pas de ça ma petite, quand mamie examine tes fesses, tu te laisses faire, c’est compris !

Sa main avait claqué à nouveau le fessier rebondi. Elle se tourna vers Sylvie :

— Amène-moi la brosse à cheveux et le thermomètre !

Elle avait deviné que Olga serait plus rétive, il fallait être sévère immédiatement. Sylvie lui tendit les deux instruments.

Huguette tapota à nouveau les fesses serrées de la jeune femme :

— Alors ma jolie, tu commences à regretter ton comportement ? Tu vas voir mamie va bien s’occuper de ton petit derrière.

Elle leva la brosse et l’abattit sèchement sur la fesse droite puis immédiatement sur la gauche. Olga poussa un cri, elle n’avait jamais reçu la moindre fessée et depuis 1/2 h c’était la deuxième, et celle administrée avec une brosse était particulièrement douloureuse. 



La correction continuait sans soucis des supplications de la punie, les jambes battaient l’air, les fesses s’ouvraient et se fermaient. Huguette s’appliquait, elle voulait que cette petite peste se souvienne de sa première fessée. La croupe bien ferme ressemblait à deux tomates bien mûres, elle cessa enfin la punition et posa la brosse :

— Voilà une paire de fesses bien chaudes, cesse de pleurer tu l’as bien mérité. On va vérifier si c’est suffisant.

Elle écarta avec deux doigts les hémisphères brûlants pour mettre à jour le petit trou secret comme elle l’appelait quand elle prenait la température à Sylvie. Celle-ci était impressionnée par la sévérité de sa maman, bien sûr elle recevait souvent des punitions aussi sévères, mais y assister ne lui était pas souvent arrivée.

Olga pleurait doucement mais la correction à la brosse avait fait son effet, elle ne chercha pas à échapper à la mise à nu de son intimité. Pourtant c’était une humiliante exposition que lui faisait subir sa nouvelle mamie. Huguette avait posé la brosse et pris le thermomètre.

Pauline n’en croyait pas ses yeux, sa fille aînée d’ordinaire si fière et mal élevée, venait de se recevoir une magistrale déculottée, ses fesses étaient écarlates, Huguette s’apprêtait à lui mettre un thermomètre dans les fesses comme si elle était une gamine et elle se laissait faire.

Le thermomètre pénétrait inexorablement dans le fondement de la jeune femme, elle gémissait :

— Non, non, pardon madame, aïe, non, non, ça fait mal !

Huguette relâcha les fesses, reprit la brosse et administra une dizaine de coups sur le derrière déjà meurtri :

— Voilà tu vas pouvoir te plaindre pour quelque chose ! Se faire mettre un thermomètre dans les fesses n’est pas très agréable mais ça ne fait pas mal ! Alors cesse de pleurnicher ou je te flanque une autre fessée et là tu vas pleurer pour quelque chose !

Olga cessa immédiatement ses plaintes, son postérieur était suffisamment brûlant comme ça. L’engin médical était désormais bien en place, Huguette tapota le derrière :

— Voilà, tu vas le garder un moment, le temps que tu te calmes.

Puis elle se tourna vers Sylvie :

— Prépare-nous du thé pendant que ces deux péronnelles sont punies.

Sylvie ravie que pour une fois ce ne soit pas elle qui expose ses fesses au coin pendant le thé, s’empressa d’aller à la cuisine. Pendant ce temps, la sévère mamie s’adressait à Pauline :

— Tu vois ce n’est pas compliqué d’avoir la paix à la maison, une bonne fessée déculottée à chacune et si c’est nécessaire une petite prise de température sur tes genoux et tu vas avoir deux anges à la maison.

Elle caressait la croupe enflammée d’Olga tout en discutant. La jeune femme tout à sa honte et à sa douleur ne disait rien. Sans nul doute songeait-elle à sa nouvelle condition, le temps où elle régentait la maison semblait loin désormais.

Juliette se faisait toute petite dans son coin, ses fesses cuisantes et la correction reçue par sa sœur l’incitait à la prudence.




A suivre


mardi 21 novembre 2023

Une bonne fessée déculottée pour Sylvie

 À mes lecteurs pour m'excuser de mes publications tardives.

Une photo de mes fesses culottées puis déculottées après une sévère fessée de "maman"




Sylvie a été obligée de mettre sa petite culotte blanche de gamine avant de recevoir sa fessée. 

Après une bonne fessée d'échauffement, "maman" a baissé la culotte. 😭


Résultat de la fessée déculottée à la main puis à la brosse. 


Ensuite 15' au coin fesses à l'air. 

Et maintenant obligée de vous poster ce compte rendu, cul nu sur la chaise. 

Promis je ne recommencerai plus. 

Sylvie. 


dimanche 19 novembre 2023

Caroline fesseuse de dame 13




Une nouvelle punie

La vie suivait son cours au hameau des fesses rouges. De nouveaux derrières rougissaient, et ça c'était fait naturellement. Pauline et ses deux grandes filles avaient dû présenter leurs fesses déculottées aux mains sévères de Virginie et d'Huguette.

Mais ne brûlons pas les étapes. Huguette avait pris contact avec la mère de Caroline et elles s'étaient mise d'accord. La jeune femme pouvait venir tous les week-ends au hameau des fesses rouges pour parfaire son éducation. Sylvie quant à elle passerait la semaine chez Huguette et reviendrait passer le week-end chez elle avec  Virginie qui avait décidé de s’y installer le plus souvent possible.

Ce lundi donc, Sylvie venait d'arriver chez sa nouvelle maman, elle avait eu droit bien sûr à un examen de son anatomie fessière dès son entrée dans le salon.

- Alors ma petite chérie, Virginie s'est bien occupée de ton petit derrière ? Ta grande fille t'as fait panpan cucul ? Viens ici !

Elle s'était assise sur une chaise et lui faisait le signe classique. Elle tapotait ses cuisses en souriant.

Virginie venait de partir en me promettant de revenir vendredi. Bien sûr elle avait voulu marquer son autorité. Avant de m'asseoir pour le petit déjeuner, elle m'avait couchée sur ses genoux, retroussé la nuisette et administré une courte mais cuisante fessée et j'avais dû déjeuner les fesses nues directement posées sur la chaise.

Elle avait décidé que même si il n'y avait pas de raison précise pour me flanquer une bonne fessée déculottée. M’en administrer une dès le réveil, était un excellent moyen pour bien démarrer la journée.J’avais donc en général, les fesses bien chaudes pour déjeuner.

Bien sûr elle m'avait choisi une tenue de gamine, la jupe la plus courte qu'elle avait trouvé et une culotte blanche en coton à petites fleurs. Des socquettes et des ballerines complétaient ma tenue.

J'avais eu droit également aux consignes d'usage que donnent les mamans avant de partir.

- J'espère que tu vas être bien sage et que tu vas obéir à Huguette pendant mon absence. Si jamais tu me fais honte gare à tes fesses quand je rentrerai.

Je n'avais que la rue à traverser pour arriver chez ma nouvelle maman. La première chose que je vis en arrivant, c'est le derrière bien rouge de Caroline, elle était couchée sur un pouf qui relevait bien ses fesses et on devinait le thermomètre planté au milieu.



Huguette commenta la scène.

- Notre petite Caroline a encore fait un caprice ce matin. Elle voulait remettre son leggings et moi je pense qu'une demoiselle qui reçoit encore la fessée déculottée doit se mettre en jupe. J'ai réglé le problème à ma façon. Elle va rester en pénitence pendant 1 h, pour pouvoir réfléchir.

Décidément Huguette était de plus en plus sévère et son sourire ne me disait rien qui vaille. J'en eu la confirmation quand elle m'annonça un examen de mes fesses.

Je commençais à m'y habituer mais c'est quand même très humiliant.

Sylvie était maintenant allongée sur les genoux de sa maman, sa jupette découvrait déjà le bas de sa petite culotte. Huguette appréciait vraiment ce spectacle, la rougeur de la fessée matinale débordait sur le haut des cuisses. Elle retroussa la jupe et baissa immédiatement la culotte. Les fesses étaient encore bien colorées.

- Eh bien dis donc, momy Virginie a été obligée de te corriger dès le matin ?

Sylvie serrait déjà les fesses dans l'attente d'une nouvelle punition, ça aurait été injuste car elle n'avait pas fait de bêtises. Virginie lui avait administré cette fessée déculottée à titre préventif.

Huguette caressait les fesses de sa grande fille. Dire qu'elle n'avait pas envie de lui administrer une bonne fessée déculottée aurait été exagéré mais elle décida d'être magnanime. De toute façon les occasions de déculotter Sylvie seraient nombreuses au cours de la semaine et même certainement aujourd'hui. Elle tapota les fesses.



- Tu sais que normalement maman devrait te flanquer la fessée puisque Virginie l'a fait ce matin. Une bêtise égale une fessée par momy et une autre par maman. Je veux bien passer l'éponge pour aujourd'hui mais gare à tes fesses si ça se reproduit.

Puis elle reculotta elle-même Sylvie et lui claqua sèchement les fesses pour la faire se relever.

Elle trouva du travail à sa grande fille, la maison était vaste et il fallait faire le ménage. Sylvie s'activa, sachant que toute paresse serait sanctionnée. Elle passait régulièrement à côté de Caroline qui exposait toujours ses fesses nues et bien rouges. Elle compatissait au sort de sa jeune amie. Huguette venait également de temps en temps vérifier si le  thermomètre était bien en place, elle le faisait tourner et claquait les fesses bien exposées.

- Alors, tu recommenceras à faire des caprices ? Tu sais que j'en ai parlé à ta maman, elle n'était pas très contente. À partir de maintenant tu peux oublier les leggings, tu seras tout les jours en jupe courte.

Caroline gémissait doucement :

- Oui, madame. Pardon.

Quand l’heure fût passée, Huguette retira le thermomètre. Elle avait pris une jupette très courte dans l’armoire de Sylvie. C’était ce qu’elle appelait une jupe de punition, elle l’avait tellement raccourci que la culotte était visible dès que la punie se penchait ne serait-ce qu’un peu.

Caroline fit une grimace en l’enfilant et en se regardant dans la glace, elle essaya machinalement de tirer dessus. Ça lui attira immédiatement une réflexion cinglante d’Huguette accompagnée de quelques claques rapides sur les cuisses dénudées :

- Cesse un peu ces simagrées et je te conseille également d’arrêter de faire la tête, sinon tu n’auras pas froid aux fesses pour rentrer chez toi, je peux te le garantir !

Caroline compris que la partie était perdue, elle s'imagina arriver chez elle dans cette tenue.

Sa mère avait été mise au courant de son week-end chez Huguette, nul doute que sa tenue et ce coup de téléphone allait lui donner des idées.C’était inutile quHuguette rajoute une couche de rouge sur son derrière, sa mère allait s'en charger.

Elle prit son sac et fit une bise à Sylvie et Huguette avant de quitter la maison.

Pauline rentrait chez elle à ce moment-là, elle fit un petit signe à Huguette :

- Je peux te parler ?

Elle était visiblement tendue. Huguette l'invita à entrer.

Sylvie continuait son ménage, sa jupette vraiment très courte dévoilait le haut de ses cuisses et la base de ses fesses à chaque mouvement. La rougeur de la fessée matinale était parfaitement visible. Virginie maintenant ne se contentait plus de rougir les fesses, sa main s'occupait également de l'arrière des cuisses. Elle s'était rendue compte que la zone juste sous les fesses était très sensible et rendait la fessée encore plus douloureuse, donc plus efficace.

Pauline avait bien sûr remarqué la tenue de Sylvie, elle était habituée à la voir dans le jardin où lorsqu’elle sortait se promener avec Huguette, mais la voir de si près avec cette jupe de gamine et les traces de sa fessée, était assez surprenant. Ses yeux avait du mal à se détacher du large derrière de Sylvie, Huguette le remarqua et décida d’en sourire :

- Ma petite Sylvie a un joli popotin n’est-ce-pas ?



Les joues de Pauline s’empourprèrent, elle quitta du regard les fesses de sa voisine :

- Euh... Oui, enfin, non, je ne sais pas... Peut-être.

Huguette souriait de la gêne de le jeune femme :

- Moi je pense qu’avec une bonne paire de fesses comme ça, il faut que Sylvie fasse attention, ça attire la fessée. Alors que voulais-tu me dire ?

Satisfaite du changement de conversation, Pauline se ressaisi :

- C’est au sujet des filles, je ne sais pas comment faire, elles ne m’écoutent plus et elles deviennent de plus en plus insolente.

Huguette lui jeta un regard noir.

- Ce n’est pas étonnant avec le genre d’éducation qu’elles ont reçu !

Pauline baissa les yeux, pendant qu’Huguette continuait :

- Et avec l’exemple que tu leur donne en plus !

Les joues de Pauline était écarlates, surtout que Sylvie avait levé la tête et ne perdait pas une bribe de la conversation.

- Depuis le temps que je te demande de leur dire de faire moins de bruit, de ne pas mettre la musique aussi fort, de dire bonjour quand on les croisent. Il y a bien longtemps qu’avec moi elles auraient reçu une bonne fessée déculottée, je te garantis que ça les auraient calmées !

Pauline tête basse acquiesçait :

- Oui, je sais, tu as certainement raison.

Huguette était remontée, elle s’approcha de la jeune femme :

- Quant à toi, depuis le temps que je te dis de ne pas remettre les choses à plus tard, tu vois un peu l’exemple que tu donnes à te filles.

Pauline sentit que la conversation prenait un tour dangereux, elle jeta un oeil sur le fessier de Sylvie qui époussetait le buffet. Huguette s’était approchée d’elle.

- Je veux bien t’aider avec tes filles, mais avant tout chose, il va falloir que je m’occupe de toi ma petite Pauline.

La  jeune femme se recula légèrement, elle devinait vaguement la suite. Huguette avait parlé d’administrer une fessée déculottée à ses filles et Sylvie exposait des fesses rougies dépassant de sa culotte de gamine.

- Tes filles sont insupportables et je pense qu’il va falloir reprendre leur éducation à la base. Mais de ton côté tu as vraiment des progrès à faire et si tu veux mon avis on va commencer par toi. Maman Huguette a un très bon moyen pour mettre du plomb dans la cervelle aux jeune femme de ton espèce.

J'écoutais avec intérêt la conversation, la façon dont elle s'était engagée ne présageait rien de bon pour les fesses de Pauline, et ça me ravissait.

Cette petite peste se régalait depuis un moment du spectacle de mes humiliations successives. Des fessées administrées par Caroline et Huguette, de mes passages au coin fesses à l'air, de ma transformation en gamine par Virginie et Huguette, il était temps qu'elle connaisse à son tour la honte de présenter son derrière dénudé. Car il ne faisait aucun doute que c'était l'intention d'Huguette.

Pauline s'était légèrement éloignée, mais Huguette eut vite fait de l'attraper par la main, je ne connaissais que trop bien sa technique, la suite était écrite, "ma petite Pauline tu vas avoir panpan cucul ", je souriais discrètement, je tenais ma revanche.

Huguette avait pris la main de Pauline et l’avait attiré près d’elle en s’asseyant sur une chaise. La jeune femme étai debout contre ses genoux, elle commença à dégrafer les boutons du jeans, puis rapidement avant que celle-ci ait put dire un mot, elle l’avait fait glisser le long de ses cuisses. Pauline tenta une petite résistance :

- Mais Huguette que fais-tu, on, non...

Elle n’eut pas le temps de continuer, Huguette l’avait basculée en travers de ses genoux.

- Ce que je fais ? Ce que ta mère aurait dû faire quand tu en avais l’âge et ce que j’aurais dû faire depuis longtemps. Je vais t’administrer la fessée déculottée que tu mérites.

- Aïe, aïe, on, non, arrêtes Huguette, ce n’est pas drôle, j’ai 40 ans quand même... Aïe, Aïe...

La fessée avait commencé, Pauline portait une culotte brésilienne en dentelle jaune très échancrée qui laissait voir son généreux fessier. La main d’Huguette visait particulièrement la base des des fesses qui n’était pas recouverte par la fine lingerie.

 

Je n’avais pas remarqué que notre petite Pauline avait un si beau fessier, ses dessous sexy allait lui valoir une punition exemplaire, comme je connaissais Huguette maintenant, je savais qu’elle ne tolérait pas trop ses dessous affriolants. La pauvre commençait  sentir la brûlure de la fessée, ses fesses étaient déjà rouges et elle n’avait pas encore été déculottée.

 

Huguette en était à son troisième derrière, celui-ci était encore différent de celui de Caroline ou de Sylvie. Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte pour mieux pouvoir l’examiner, le fin sous-vêtement descendit jusqu’à mi-cuisse. C’était vraiment un beau fessier de femme, bien rond, assez large mais très ferme, d’un blanc laiteux, la base était déjà bien rouge et la partie la plus charnue rosée à souhait.



- Tu vas voir comme maman Huguette va bien s’occuper de tes fesses ma petite Pauline, une bonne fessée cul nu pour te mettre du plomb dans la cervelle.

Huguette comme elle l’avait fait avec Caroline, palpait avec gourmandise ce nouveau terrain de jeux.Pauline pleurait maintenant, plus de honte que de douleur d’ailleurs. Elle n’aurait jamais imaginé qu’une chose pareille puisse lui arriver, sa mère ne lui avait jamais administrer la moindre fessée, pas même une petite claque par dessus la jupe quand elle était insupportable.

Mais curieusement, elle ne se débattait pas et ne cherchait pas à s’échapper, elle semblait reconnaître le bien-fondé de l’attitude d’Huguette et de la punition qui se profilait.

Maintenant Huguette tapotait le derrière rebondi :

- Tes filles sont mal élevées, ma petite Pauline, elles méritent de recevoir une bonne fessée déculottée, mais c’est toi qui est responsable. Donc avant de m’occuper des fesses de tes filles, je vais rougir les tiennes et je te garantis que tu vas t’en souvenir de cette fessée !

Elle leva la main et commença à fesser ce magnifique derrière. Maintenant elle avait l’habitude de cette punition, elle claquait méthodiquement,une fesse après l’autre, alternant des claques plus ou moins fortes, puis accélérant et donnant une série très rapide. C’était une bien belle fessée déculottée que recevait Pauline.

Entendre les cris de ma jeune voisine mêlés au bruit des claques était une douce musique à mes oreilles. Pour une fois que ce n’était pas moi qui présentait mes fesses nues à la main sévère d’Huguette. Je connaissais trop bien ce que devait ressentir la pauvre Pauline, d’abord la honte de se retrouver dans cette humiliante position, puis de se faire déculotter. Mais cette honte n’était rien à côté de la douleur de la fessée, l’intense cuisson qui envahissait tout son derrière, cette envie de mettre ses mains pour protéger ses fesses. Je jetais de temps en temps un oeil à la fessée de Pauline mais sans arrêter mon ménage, je connaissais trop bien Huguette, elle n’aurait certainement pas apprécié que je me moque de ma condisciple.

Pauline comme je le prévoyais avait essayé de protéger ses fesses avec sa main, Huguette s’y attendait également, la main de la punie était maintenant coincée dans son dos et la fessée redoublait.

- Ah pas de ça, ma petite ! Je te garantis que tu vas le regretter, quand on a mérité une fessée on essaye pas d’y échapper.

Pauline s’était mise à pleurer, ses fesses étaient maintenant d’un beau rouge vif. Malgré ma rancune à son égard, je la plaignais quand même un peu. Huguette n’y allait pas de main morte pour une première fessée déculottée. C’était une très sévère fessée, ça faisait un moment que je n’en avais pas reçu une comme ça.

 


Huguette jugea que la punition était suffisante, Pauline savait maintenant à quoi s’en tenir. Elle ne s’était pas rebellée, désormais elle serait soumise au même traitement que Sylvie et Caroline, sa culotte ne resterait pas souvent sur ses fesses quand elle viendrait chez sa nouvelle maman. Celle-ci la garda sur ses genoux afin qu’elle se calme puis elle lui expliqua ce qu’elle attendait d’elle à présent :

- Bien, j’espère que tu as compris. Maman Huguette te donnera la fessée cul nu chaque fois que tu la mériteras. Je ne veux plus que tu portes ces horribles jeans. Chez moi, une jeune femme bien élevée ne porte que des jupes. Nous irons voir ta garde-robe, je te raccourcirai les jupes comme celle de Sylvie pour qu’elles soient à ma convenance. Pour tes dessous, je ne veux plus de ces culottes de dévergondée, nous irons t’acheter des culottes en coton de jeune fille.  Maintenant tu vas te lever et aller au coin, ça va te permettre de réfléchir. Allez hop !

Elle avait claqué les fesses écarlates pour inciter Pauline à se relever. Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois et tout en reniflant, elle se dirigea vers le coin de la pièce. Sa marche était entravée par son jeans, Huguette l’arrêta et le lui fit enlever complètement ainsi que la culotte. C’est donc nue de la taille aux pieds que ma jeune voisine posa son nez contre le mur. Huguette savourait le spectacle de cette belle paire de fesses écarlates, l’ordre claqua :

- Mets tes mains sur ta tête ! Et tu ne bouges pas.



 J’étais fascinée par le spectacle offert par Pauline. Bien sûr j’avais vue Caroline fesses à l’air mais c’était une très jeune femme, la croupe de Pauline était vraiment très attirante, le rouge leur allait bien. Je m’étais arrêtée de passer le chiffon. Huguette se tourna vers moi :

- Dis-moi ma petite Sylvie, tu veux aller rejoindre Pauline au coin ? Je te garantis que si tu y vas, tu auras les fesses de la même couleur.

Je savais que ce n’étais pas une menace en l’air, je baissai les yeux et je repris mon travail.

Huguette ne voulait surtout pas que Sylvie pense qu’elle ne risquait plus rien. Elle s’approcha d’elle et la fit pivoter:

- Je vais te mettre plus à l’aise pour travailler.

Elle retroussa la jupette et coinça l’ourlet dans la ceinture, instinctivement les fesses de Sylvie s’étaient contractées sous la culotte. Huguette s’en aperçut en voyant la lingerie rentrer dans la raie fessière. Elle se mit à rire :

- On dirait que ma petite Sylvie a peur que maman fasse panpan cucul. Rassure toi ce n’est pas encore le moment, je vais juste arranger un peu ta tenue.

Elle baissa la culotte sous les fesses et claqua le derrière dénudé.



- Allez maintenant au travail. Tes fesses sont à ma disposition si tu n’es pas sage.

 

A suivre

Deux étudiantes 22

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