mardi 1 août 2023

Le manoir des dames, la fin 4

 Première journée de travail pour Sylvie



Mélanie avait décidé que Sylvie devait connaître toutes les activités du manoir. Ce jour là elle était donc affectée au ménage sous sa surveillance. 

Mildred en les réveillant le lui avait annoncé et avait également déposé sur son lit la blouse qui se fermait dans le dos et qui était destinée à celle qui n'était pas au jardin. Elle était un peu soulagée de ne pas avoir à mettre le petit short vert très court et moulant qu'elle trouvait assez indécent et qui moulait vraiment trop le derrière d'Adélaïde et laissait voir la base de ses larges fesses.

Mais quand Irène et Christine lui expliquèrent qu'elle ne devait rien mettre dessous et ne porter que sa culotte et son soutien-gorge, elle marqua un petit arrêt. Adélaïde lui conseilla de ne pas protester si elle ne voulait pas commencer la journée avec une paire de fesses bien rouges. Elle avait donc obéit et maintenant, elle était en compagnie d’Irène, Elodie et Camille dans cette tenue qu’elle trouvait un peu ridicule. Dès leur arrivée devant Mélanie comme elles en avaient l’habitude, elles déboutonnèrent les boutons du bas, Irène proposa à Sylvie de l’aider, mais celle-ci un peu surprise demanda pourquoi. Ce fut Miss Mélanie qui lui répondit.

- viens un peu ici ma petite Sylvie, je vais te montrer à quoi ça sert d’avoir sa blouse déboutonnée.

Sylvie s’était approchée en rougissant. Mélanie l'avait saisit par la taille et courbé sous son bras, naturellement les deux pans de la blouse s'écartèrent dévoilant la culotte blanche.

- tu vois c'est fait pour ça ma petite Sylvie, si tu travailles mal ou si tu es paresseuse, c'est très facile pour moi de m'occuper de ton joli derrière.

En disant ces mots elle avait baissé la culotte sous les fesses et avait claqué une dizaine de fois les fesses tendues.

- bien, tu restes comme ça et tu tiens ta blouse pour qu'on puisse voir tes fesses.



Puis elle se tourna vers les trois spectatrices qui avait regardé avec intérêt la petite fessée de Sylvie.

- à nous mesdames, tournez vous et montrez moi vos culottes !

Dans un ensemble parfait, Irène, Elodie et Camille se retournèrent et écartèrent leurs blouses dévoilant elles aussi leurs culottes blanches. Mélanie souriait, satisfaite de la docilité de ces nobles dames. Elle s'approcha et comme elle le faisait tout les matins, elle baissa chacune des culottes en prenant bien soin de les retourner pour que le fond soit bien visible. Cette humiliante inspection les ramenaient au rang de gamines obligée de prouver à leur gouvernante qu’elle avait bien changé leurs culottes le matin. C’était toujours le cas d’ailleurs donc cette inspection avait uniquement pour but de faire prendre conscience à toutes ces dames de leur nouvelle condition.

Mélanie avait maintenant devant elle quatre paire de fesses nues, elle s’approcha d’Elodie, elle avait les fesses rouges signe d’une précédente fessée.



- dis moi Elodie, tu as reçu la fessée ce matin ?

La dame de 33 ans qui exposait ses fesses, bégaya un peu.

- euh... oui Miss, Miss Mildred m’a punie ce matin parce que je traînais trop pour m’habiller.

- ah oui ? et alors qu’a-t-elle fait ?

Elodie était au supplice, Mildred lui avait retroussé la chemise de nuit et administré une fessée comme si elle avait 12 ans, c’était déjà très humiliant quand on était maman et qu’on en avait 33. Mais être obligée de le raconter à haute voix était une épreuve supplémentaire. Pourtant c’était ce que la jeune gouvernante voulait, elle n’avait pas le choix. Elle savait qu’il fallait toujours répondre à ses demandes et le faire par des phrases complètes et précises.

- et bien Miss Mildred est rentrée dans la chambre quand j’étais encore en chemise de nuit, elle a pris la tapette en cuir et m’a donné la fessée.

- sur la chemise de nuit ?

Mélanie souriait de l’embarras bien visible de la jeune femme. Celle-ci lui exposait toujours ses fesses mais elle se doutait que son visage devait avoir la même couleur que son derrière.

- oh non Miss, elle a retroussé ma chemise de nuit.

Le derrière bien dodu d’Elodie était contracté au souvenir de l’humiliant châtiment, Mélanie décida de prolonger l’interrogatoire.

- elle t’a couchée sur ses genoux ?

- oui Miss....

Mélanie se dirigea vers le bureau où était posée sa règle plate en bois.

- c’est bien, j’espère que tu as retenu la leçon et que tu ne traîneras plus le matin pour t’habiller, mais je suis très mécontente, approche un peu !

Elodie se retourna et se présenta face à la jeune gouvernante qui tenait la règle plate à la main.

- vous pouvez vous retourner, vous pourrez voir ce qui arrive quand on est paresseuse.

Elle s’était adressée aux trois dames qui exposaient encore leurs fesses nues. Elle saisit la jeune femme par la taille et la coinça sous son bras comme elle l’avait fait avec Sylvie, puis elle la força à se courber en avant, les fesses d’Elodie étaient tendues vers ses trois compagnes. Mélanie leva la règle et commença la fessée, la règle claquait sèchement le derrière bien rebondi, il était déjà rouge mais il devint rapidement écarlate. Elodie trépignait sur place et se mit rapidement à pleurer. La fessée fut courte mais suffisamment sévère pour que toute la surface des fesses et le haut des cuisses fut d'un beau rouge éclatant. Quand elle la relâcha, Elodie se mit à sautiller sur place, sa culotte était enroulée autour de ses chevilles, elle mourait d'envie de frotter ses fesses mais elle ne le fit pas. Mélanie lui fit retirer complètement sa culotte et la posa bien en évidence sur le bureau. Puis elle regarda les spectatrices.

- bien maintenant au travail, vous pouvez remonter vos culottes. Elodie, tes fesses sont prêtes si jamais tu as envie de paresser encore !

La matinée de travail pouvait commencer. Sylvie devait faire la poussière des bibelots, c'était un travail fastidieux qu'elle n'avait jamais fait, elle savait que Mélanie la surveillait. C'était très gênant car chaque fois qu'elle se penchait sa blouse s'ouvrait et découvrait sa culotte moulant ses larges fesses.

Mélanie soupçonnait Irène de ne pas passer correctement l'aspirateur sous les meubles, elle se leva et prit un chiffon qu’elle tendit à Irène.

- s'il te plaît, j'aimerais vérifier  qu'il n'y a plus de poussière sous le buffet, peux-tu y passer ce chiffon.

Irène la regarda sans comprendre. Mélanie en souriant lui expliqua.

- ce n'est pas très compliqué, tu te mets à quatre pattes et tu passes ce chiffon sous le meuble.

Irène rougit violemment, c'était très humiliant ce que lui demandait la jeune gouvernante mais elle ne pouvait pas refuser. Elle se mit à quatre pattes et se pencha en avant, ses fesses étaient tendues et sa blouse largement ouverte découvrait ses petites fesses moulées dans sa culotte blanche de jeune fille. Elle ressorti le chiffon et comme Mélanie s'en doutait, il était couvert de poussière.

- ah, c'est comme ça que tu passes l'aspirateur. Ne bouges pas, tu es en parfaite position.

Elle avait prit sa règle sur le bureau, elle s'approcha de la grand mère penchée en avant qui tendait si bien ses fesses, elle saisit l'élastique de la culotte et la descendit brusquement sous les fesses. Puis elle leva la règle plate et administra une vingtaine de coups sur le derrière si bien présenté. Irène se mit à crier mais elle ne bougea pas.



- relève toi et recommence ton travail, tu ne remonte pas ta culotte, ta punition n'est pas terminée.

Irène en sanglotant repris l'aspirateur, sa culotte baissée juste sous ses fesses laissait voir son derrière déjà rouge. Elle était inquiète car miss Mélanie avait bien précisé "ta punition n'est pas terminée"

Mélanie s'intéressait au travail de Sylvie, elle se doutait bien que cette noble dame n'était certainement pas douée pour faire la poussière. Elle en eu rapidement la preuve en passant son doigt sur une petite statue. Elle saisit la dame d'âge mûr par l'oreille comme si elle avait été son institutrice.

- viens un peu ici ma petite chérie, je vais épousseter tes fesses, pour te montrer comment le faire avec le bibelots.

Elle s'était assise sur une chaise et avait couchée Sylvie en travers de ses genoux. Une nouvelle fois celle-ci se retrouvait dans cette position si honteuse à son âge. Prête pour recevoir ce châtiment enfantin, ‘’une bonne fessée’’. Et bien sûr ce serait cul nu, elle sentit sa culotte descendre sur ses fesses. Elle gémissait mais se laissait faire, elle commençait à avoir l'habitude de cette position. Elle posa ses mains par terre et attendit la première claque mais elle ne vint pas immédiatement.

Mélanie souriait et caressait ce large fessier de dame mûre. Elle aimait vraiment donner la fessée et le derrière de Sylvie même si elle l'avait déjà corrigé était encore nouveau pour elle.

- alors ma petite Sylvie, on dirait que tu aimes me montrer tes fesses. Ce n'est quand même pas très compliqué de faire la poussière. Tu sais que tu mérites cette fessée n'est ce pas ?

Sylvie était rouge de honte, elle serrait ses fesses.  Une très forte claque atterri sur son fessier.

- quand je pose une question, j'attends une réponse !!

- Aïe....oui miss.

- oui quoi ??

Une deuxième claque rebondi sur le large derrière.

- Aïe aïe aïe. Pardon miss....oui je mérite la fessée.

Mélanie souriait à nouveau elle caressait ce beau derrière, il était vraiment fait pour la fessée, quel métier agréable.

- et bien, puisque tu la mérite, tu vas me la réclamer....et vite !

Sa main avait à nouveau claqué le fessier tendu devant ses yeux.

Sylvie pleurnichait mais elle s'exécuta.

- s'il vous plaît miss Mélanie pouvez-vous me donner la fessée cul nu que j'ai bien méritée.

Elle en avait rajouté un peu dans la phrase humiliante, espérant secrètement que Mélanie serait moins sévère. Celle-ci était vraiment satisfaite, ces nobles dames devenaient vraiment très dociles quand elles avaient la culotte baissée. Il était temps de commencer.

- puisque nous sommes d'accord, allons-y.

La sévère main se mit à claquer, ce n'était pas une fessée pour rire, mais un véritable correction. Sylvie devait savoir ce qui arrivait quand on travaillait mal au manoir. 



Maintenant la dame âgée de 72 ans se comportait comme une gamine, elle criait, battait des pieds, ouvrait et serrait ses fesses au rythme des claques, elle se mit rapidement à pleurer surtout que Mélanie s’était attaquée à l’arrière de ses cuisses et à la zone si sensible juste sous les fesses. Le large derrière était maintenant bien rouge, Mélanie prit sa règle et claqua encore un peu les fesses qui devinrent écarlates, la pauvre Sylvie poussait des cris désespérés, elle n’avait jamais reçu une pareille correction. Mélanie était appliquée sur son oeuvre, elle ne cessait la fessée que quand  toute la surface du fessier était de la même couleur et quand les pleurs de la punie montrait que la punition avait été bénéfique et qu’elle avait bien retenu la leçon.

La fessée cessa, Mélanie garda un moment Sylvie allongée sur ses genoux le temps qu’elle se calme. Puis elle la fit se relever et lui fit retirer sa culotte qui retrouva celle d’Elodie sur le bureau.

- bien maintenant, tu reprends ton chiffon et tu recommence à nettoyer correctement ces bibelots !!

Sylvie en pleurant s’exécuta. Camille était la seule à avoir encore sa culotte sur ses fesses. Elle avait vu sa grand-mère et sa tante se faire déculotter et recevoir la fessée et maintenant c’était Sylvie cette cousine du même âge que son arrière grand-mère qui venait de recevoir une magistrale fessée. La jeune fille était un peu inquiète pour son propre derrière, elle serrait ses fesses sous sa culotte. Ce matin miss Mélanie paraissait en forme et d’humeur à baisser les culottes et rougir les derrières.

Elle avait raison, Mélanie avait vraiment envie de donner la fessée ce matin. À présent que la charge initiale de ce nouveau poste était revenue à un niveau raisonnable, elle pouvait à nouveau trouver l’administration des châtiments corporels merveilleusement relaxants. Elle constatait que son prédécesseur, Miss Simpson, avait fait du bon travail ainsi bien sûr que tous les gouvernantes qui les avaient précédé. Comment avaient-ils réussi à mettre toute cette famille noble sous leur contrôle ? Elle résolut d'étudier prochainement les archives de la chronique familiale, ce serait idéal comme lecture stimulante au coucher.

Mais cependant elle n’avait pas assouvi son plaisir coupable de rougir un fessier juvénile. Elle regarda avec envie la jolie paire de fesses bien rebondie de Camille, celle-ci s’activait à nettoyer le sol espérant échapper à l’humiliante punition.

Mélanie décida d’en rester là, les fesses de Camille resteraient blanches, mais demain c’était presque certain elles prendraient l’air et une jolie couleur rouge.

La matinée se termina par une magistrale fessée pour Irène qui se retrouva elle aussi couchée sur les genoux de la jeune gouvernante. Elle lui avait annoncé que sa punition n'était pas terminée et elle avait tenu parole.



Les trois dames punies purent remettre leurs culottes et aller noter leur nom sur le tableau.

Sa curiosité pour l'évolution de ce monde rêvé, dans lequel elle passerait désormais de nombreuses années heureuses en tant que maîtresse indéniable du château, des jardins et des fesses, ne la laissait pas en repos.

Après l'obligatoire rendez-vous du soir avec ses assistantes, qui suivait toujours les visites des dortoirs, elle se précipita dans sa chambre après le verre de vin également obligatoire.

Sur le chemin, elle était allée chercher les chroniques reliées en cuir des premières années dans la réserve fermée à clé de la bibliothèque. Bien sûr, depuis très longtemps, ceux-ci n'étaient plus accessibles aux membres de la famille, la gouvernante en place gardait toujours la seule clé.

En aucun cas, elle ne devaient donner de fausses idées qui auraient put remettre en cause la structure de pouvoir bien ordonnée de la famille et du château.

Au début, tout se passait probablement tout à fait normalement au château. Il y avait des gouvernantes qui étaient responsables des filles mineures. Bien sûr,elles étaient également responsables des châtiments corporels, comme c'était la coutume à l'époque.



Mais la baronne de l’époque décida que l'autorité de la gouvernante ne s'arrêtait pas lorsqu'une fille devenait majeure.

Bien sûr, cette décision n'a pas été appréciée par les personnes concernées, mais comme elles avaient été soumises à des punitions régulières pendant des années, cette résistance fut facilement brisée par la gouvernante de l'époque grâce à une utilisation intensive d'instruments de punition.

Cela a également été un succès parce que celles qui étaient déjà adulte à l'époque n'était pas concernées, le règlement ne s'appliquait pas rétroactivement.

Mais hélas, la baronne qui avait introduit cette nouvelle règle n'avait pas pensé à la façon dont cela continuerait sur le long terme.

Et ses successeurs ne savaient pas non plus à quoi tout cela mènerait.

Mais vint le jour où la dernière baronne non encore soumise à cette règle décéda.

La nouvelle baronne avait, bien sûr été soumise aux pouvoirs punitifs des gouvernantes respectives depuis sa naissance. Et pourquoi cela devrait-il s'arrêter juste parce qu'elle était devenue la baronne maintenant.

Tout le monde compris qu'une nouvelle ère s'était ouverte dans le château, lorsque la nouvelle baronne, immédiatement après son avènement, fut énergiquement et par de vigoureuses claques sur ses fesses élégamment vêtues conduite dans ses appartements par la gouvernante.

Elle ne pensait pas qu'elle continuerait à être sous l'autorité de la gouvernante, mais alors qu’elle recevait sa première fessée avec le martinet sur ses fesses rapidement déculottées, elle s'est très vite rendu compte que tout les membres adultes de la famille seraient maintenant sous la férule de la gouvernante et que cela s'appliquait également bien sûr aussi à elle la nouvelle baronne.



A partir de cet instant, l’autorité absolue de la gouvernante fut établie, et dans le même temps, le martinet s'imposa comme principal instrument de punition de la baronne.

La gouvernante avait très consciemment laissé ouvertes toutes les portes entre la salle de cérémonie et la salle où se déroulait la punition. Ainsi tout le monde put écouter le claquement du martinet et les cris de douleur de la baronne. Et aussi ses aveux en pleurs qu'il était juste qu'elle reçoive le Martinet.

Depuis cette date le pouvoir des gouvernantes n'a plus jamais été remis en cause par personne.

Bien sûr, cela incluait également le pouvoir de choisir la prochaine gouvernante.

C'est aussi cette gouvernante qui institua ensuite le rituel du vendredi, pratiqué sans interruption depuis de nombreuses générations jusqu'à ce que Mélanie le modifie dans la forme égalitaire. Elle ajouterait cela assez rapidement aux chroniques, décida-t-elle en refermant le tome relié de cuir.

Elle en avait assez lu pour aujourd'hui. Mais elle avait déjà hâte d'en lire davantage les soirs suivants. Il fallait connaître le passé pour façonner l'avenir. C'est ce qu'elle avait appris durant ses études universitaires. Et c'est comme ça qu'elle voulait faire.



 

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