mercredi 28 juin 2023

Caroline fesseuse de dame 3

Caroline et la fessée sensuelle 





Nous prenions le thé dans le salon, j’avais posé mes fesses avec précaution sur le fauteuil, le contact de mon derrière avec le siège n’était pas très douloureux mais c’était quand même sensible, surtout avec le frottement de la culotte sur la peau. 

Caroline avait disposé bien en évidence sur le canapé les 4 badines que j’avais coupée. Elle me rappelait que mes fesses n’étaient pas encore au repos.

Mais je sentais que ma jeune amie avait pour le moment d’autres idées en tête, elle me regardait d’un air coquin.

- depuis le temps que je rêve de goûter ton petit abricot, je pense que c’est le moment, viens avec moi.


Caroline s’était levée et avait entraîné  Sylvie dans la chambre, elle avait glissé sa main sous sa jupe et caressait sa croupe par dessus sa culotte. Dès qu’elles furent près du lit, elle retroussa la jupe de son amie et lui baissa la culotte.

- enlève complètement ta culotte, tu ne vas pas en avoir besoin !

De son côté elle s’était également déculottée, elle s’allongea sur le lit, retroussa sa jupe, écarta ses jambes et fit un petit signe à Sylvie.

- à toi de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue ma chérie, tâche d’être habile, sinon tes fesses vont rougir à nouveau.


J’étais à la fois émue de voir Caroline offerte et gênée. Bien sûr dans ma jeunesse, j’avais eu quelques expériences sexuelles avec des copines mais Caroline qui venait de me flanquer une fessée déculottée comme si elle avait été ma mère voulait que je lui fasse un cunni, je savais que sa menace de me rougir à nouveau les fesses était sérieuse. Je me mis à quatre patte sur lit et j’approchai ma bouche de ses lèvres grande ouverte. J’avais un peu oublié mais rapidement ma langue se mit à la dévorer. J’étais encore excitée par les multiples humiliations qu’elle m’avait fait subir et je sentis une chaleur envahir mon entre-jambe. Soudain elle me repoussa et me fit relever.

- c’est bien ma chérie mais on va changer de position, j’ai besoin de voir ton derrière. Tourne toi.


Caroline fit mettre Sylvie à califourchon sur elle, ses fesses tournées vers son visage. Puis elle lui commanda de recommencer à la lécher. Sylvie se pencha en avant son large derrière était maintenant à la disposition de sa jeune amie. Caroline se mit à caresser les fesses encore rouges et à les claquer doucement puis sous l’effet de la langue de Sylvie elle commença à haleter et à gémir, rapidement elle atteignit le septième ciel, les claques sur les fesses de Sylvie qui étaient devenues plus sévère au fur et à mesure de la montée de son excitation cessèrent.

 

La fessée que m’avait administrée Caroline pendant que je lui faisais un cunni avait été plus excitante que douloureuse. J’étais heureuse de lui avoir fait ce plaisir. Rapidement elle me fit allonger à sa place et me rendit la pareille. Quelques minutes plus tard nous étions allongée côte à côte, moi sur le ventre bien sûr pour que ma sévère petite amie puisse surveiller mon derrière bien rouge.


Il était temps de passer à la suite pensa Caroline après ce petit intermède érotique et langoureux, elle se rhabilla et fit remettre sa culotte à Sylvie.

- bien ma petite chérie, il te reste encore une petite punition, tu vas goûter aux badines que tu as préparées.

Sylvie fit une petite grimace qui fit bien rire Caroline.

- et oui ma chérie ton derrière s’est bien reposé, il est prêt.

Elles étaient dans le salon, Caroline mit une chaise au milieu de la pièce.

- tu poses tes mains sur la chaise et tu tends bien tes jolies fesses. Il y a quatre badines, tu vas recevoir trois coups avec chacune et tu vas compter.

- oh non Caroline.. Aïe, Aïe, Aïe,

La main de Caroline venait de claquer les fesses tendues.

- qu’est-ce-que j’ai dit ? Comment dois tu m’appeler ?

- Aïe, oui, pardon Mlle Caroline.

La jeune femme avait retroussé la courte jupe haut sur les reins et baissé la culotte jusqu’aux genoux, elle claqua une dizaine de fois le fessier déjà rouge.

- c’est la dernière fois que je te le dis, la prochaine tu iras chercher le martinet !!!

Elle s’approcha des badines et prit la première.

- tu es prête ? on a dit trois et tu comptes !


Je n’étais vraiment pas prête du tout à me faire cingler les fesses avec ces badines en noisetier, mais que pouvais-je dire. Soudain une brûlure fulgurante, scia mon derrière en deux, je criai et me relevai en portant mes mains à mes fesses. 



Mal m’en prit car immédiatement une brûlure identique barra mes cuisses.

- qu’est ce que c’est que ces manières !!! reprends ta position et vite.

La voix sévère de ma jeune maîtresse venait de me rappeler à la réalité, je n’étais qu’une adolescente punie qui devait obéir et subir stoïquement sa punition.


Une ligne rouge barrait le milieu des larges fesses de Sylvie et une autre le haut de ses cuisses. Caroline savourait son pouvoir, la dame d’âge mûre qui lui présentait son fessier pour recevoir sa punition avait immédiatement repris sa position sans protester, elle gémissait doucement.

- Aïe, pardon Mlle Caroline, ça brûle trop.

Caroline souriait.

- je sais ma chérie mais c’est une punition, il faut que ça brûle pour que tu t’en souvienne et que tu obéisse bien à tatie Caroline. Tends bien ton derrière, tu n’as pas compté, ces deux coups n'existent donc pas.


Cette fois-ci je restai stoïque et malgré la douleur je criai «un». C’était vraiment une punition nouvelle et très sévère, Caroline fit une pause après les trois premiers coups et elle me caressa les fesses. C’était excitant et ça atténuait un peu la cuisson.

- c’est bien ma chérie, ton derrière est très mignon avec ces traces rouges bien parallèles. Encore neuf, ne serre pas les fesses tu vas avoir encore plus mal.

Ne pas serrer les fesses? Elle était bien gentille ma jeune maîtresse, mais c’était impossible, j’essayais de me détendre au maximum, mais l’appréhension était la plus forte.


Caroline se recula pour apprécier son oeuvre, elle aimait vraiment les fesses de Sylvie, elle ne voulait pas les abîmer, aussi décida-t-elle de ne pas être trop sévère, elle prit la deuxième badine et administra les trois coups suivant sans les appuyer. Sylvie pleurait et trépignait sur place. Sept lignes bien droites marquaient son large fessier, la troisième badine dessina trois traits sur le haut des cuisses ce qui fit hurler et pleurer encore plus fort la pauvre Sylvie, bien que Caroline n’eut pas frappé très fort. Elle décida que la correction était suffisante.

- bon je pense que tu as compris la leçon ma petite Sylvie, je te fais cadeau des trois derniers coups, mais si tu n’est pas sage la dernière badine est toujours prête à s’occuper de ton derrière. Tu peux te relever et tu files te mettre au coin, tu tiens ta jupe retroussée que je voies bien tes fesses.


J’étais tellement contente que la fessée prenne fin que le passage humiliant au coin, les fesses nues me parut presque agréable. Mes fesses me brûlait mais je ne pouvais pas les frotter; en me dandinant discrètement d’un pied sur l’autre et en les serrant doucement, j’essayais de calmer la cuisson. Mais sans trop le faire remarquer à ma jeune et sévère amie, je savais qu’elle voulait que l’effet de la fessée sur mon derrière dure longtemps, je ne voulais pas lui donner l’occasion de me recoucher à nouveau sur ses genoux.



Elle me laissa ainsi à exposer mes fesses rouges pendant très longtemps, elle avait ouvert la baie qui donnait sur le parc et j’entendais distinctement mes deux voisines qui discutaient dans le jardin mitoyen du mien. Si elle avait su que j’étais au coin les fesses bien rouges, je n’osais imaginer leur réaction.


Il était maintenant tard, Sylvie avait pu se reculotter, Caroline lui annonça que pour le reste de la soirée, elle pouvait à nouveau l’appeler Caroline, elle lui fit un tendre bisou et lui caressa les fesses par dessus la jupe.

- ta petite Caroline s’est bien occupée de toi n’est-ce-pas ?

Elle avait dit ça en riant.

- bon je pense que ton derrière à besoin de repos, je vais m’en occuper d’une autre manière ce soir. Il faut qu’il soit en pleine forme pour aller prendre le thé chez Daisy.

Sylvie fit une petite moue en pensant à la professeur anglaise retraitée qui l’avait vu cet après-midi en fâcheuse posture, déculottée et fesses bien rouges.

La tête que faisait Sylvie eut le don de mettre Caroline en joie.

- si tu voyais ta tête ma chérie. J’espère que demain tu ne feras pas ce genre de grimace chez Daisy car tu sais ce qui t’arrivera dans ce cas, un petit séjour sur mes genoux fesses à l’air.

La soirée se déroula sans incident notable, au moment d’aller au lit, Caroline décréta qu’il fallait qu’elle s’occupe des fesses de Sylvie. Celle-ci était en chemise de nuit, sa jeune amie s’installa au bout du lit et fit un petit signe.

- en position madame !


Le petit signe de Caroline était explicite, elle voulait que je me couche à nouveau sur ses genoux. Je savais que protester était inutile sauf à l’énerver et recevoir une fessée encore plus sévère. Résignée je m’allongeai en travers de ses cuisses. L’air frais sur mes fesses m’avertit qu’elle avait retroussé ma nuisette.

- voyons un peu ce derrière.



Sa main caressait mes fesses, s’insinuait entre mes cuisses et les écartait. Je les serrais redoutant la première claque. Mais je ne reçus qu’une petite claque amicale.

- n’ai pas peur ma chérie, pas de fessée ce soir, je pense que tu as bien retenu la leçon. Je vais juste te passer de la crème pour que demain ton derrière soit en parfait état.

Rassurée je me détendis, ses mains massaient mes deux rondeurs, c'était très agréable surtout qu'elle insinuait de temps en temps ses doigts dans ma raie fessière et descendait ensuite entre mes cuisses. Elle massa mes fesses pendant 5 bonnes minutes puis elle me les claqua.

- allez vilaine fille, au lit maintenant et fait de beaux rêves. 

J'ai dormi comme un bébé, je pensais à sa phrase préférée, "on dort bien mieux avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes". Le lendemain se passa le mieux du monde, du moins si on excepte la magistrale fessée après le petit déjeuner. 


Caroline  était de très bonne humeur, elle avait bien dormi, Sylvie aussi. Elle finissait de déjeuner sur la terrasse quand Caroline regarda son amie. 

- comment vont tes petites fesses ma chérie ?

Sylvie rougit un peu et regarda la maison voisine, Huguette avait ouvert sa fenêtre et Caroline avait parlé un peu fort. 

- je t'ai posé une question Sylvie !

La voix était devenue plus impérieuse, Sylvie répondit timidement. 

- euh, ça va… ta crème m'a fait du bien. 

Caroline souriait de la gêne de son amie. 

- on va vérifier ça,  approche un peu. 

Sylvie tourna la tête vers le jardin d'Huguette.

- oh , non Caroline pas ici s'il te plaît, on pourrait rentrer.

La jeune femme fronça les sourcils. 

- qu'est ce que c'est que cette histoire ? Les fessées d'hier n'ont donc pas suffit ! Viens ici immédiatement. Si jamais je dois aller te chercher je te garantis que tu ne vas pas pouvoir t'asseoir pendant un moment. 

Sylvie se rendit compte que sa situation avait vraiment changé, Caroline se comportait comme une adulte autoritaire s’adressant à une adolescente rebelle. Elle se leva et s’approcha de Caroline, celle-ci lui fit un petit signe du doigt.

- tourne toi.

Sylvie restait paralysée, elle regardait la fenêtre ouverte d’Huguette qui avait une vue imprenable sue sa terrasse. Elle ne bougea pas.

- décidément tu la cherche cette fessée, et bien tant pis pour toi !!


Le ciel me tombait sur la tête, Caroline avait pris ma main et m’avait attirée contre sa cuisse, en un instant je me retrouvai couchée en travers de ses genoux dans une position que je commençais à connaître depuis hier. Ma chemise de nuit était assez courte, je sentais que mes fesses étaient quasiment découvertes, ce n’était bien sûr pas suffisant pour ma sévère maîtresse, je sentis l’air frais sur mes fesses, ma chemise de nuit était maintenant retroussée, je tournais la tête vers la fenêtre d’Huguette et à mon grand désespoir je l’aperçus qui regardait dans ma direction.


Caroline était contente d'avoir à nouveau les fesses de Sylvie à sa disposition, elles étaient encore un peu rosées et on distinguait les traces laissées par la badine. Elle passa sa main sur la peau nue. 

- décidément je pense que tu as encore besoin d'avoir les fesses bien rouges pour devenir obéissante. Tes fesses sont en parfait état. 

Elle leva la main et commença à claquer le large derrière si bien tendu par la position. Sylvie essayait de ne pas trop crier mais la fessée était sévère et rapidement elle ne put retenir ses larmes. 




J'avais oublié Huguette, cette fessée matinale était vraiment cuisante et malgré ma honte d'être déculottée et de recevoir une fessée devant ma voisine je ne pus retenir mes pleurs, comme quand ma mère m'administrait cette punition quand j'étais jeune fille. 


Les fesses de Sylvie étaient à nouveau écarlates, Caroline s'était appliquée à rougir toute la surface et même le haut des cuisses. Elle s’arrêta et posa sa main sur la croupe de son amie.

- tu vois ça aurait été quand même plus simple de te tourner pour que je puisse examiner tes fesses, tu me les montre quand même et en plus tu as eu droit à une bonne fessée.

Elle leva la tête et aperçu Huguette qui depuis sa fenêtre n’avait rien perdu du spectacle.

- je pense que ta voisine a apprécié de te voir gigoter pendant ta fessée ma chérie, elle a de la chance tes fesses sont magnifiques.


C’était ce que je redoutais, Huguette était maintenant au courant du traitement que me réservait Caroline et même si je dois l’avouer recevoir la fessée par cette jeune femme m’excitait je ne tenais pas à ce que mon voisinage soit au courant. Je tremblais en pensant au moment où j’allais devoir croiser Huguette. J’en oubliais presque la brûlure de mon fessier.

- allez tu peux te relever.

Caroline avait pris une pince à cheveux et elle agrafa ma chemise de nuit dans le dos.

- voilà ça va t’apprendre à désobéir, tu vas rester fesses à l’air pour débarrasser le petit déjeuner. Allez dépêche toi un peu !

Elle avait accompagné ses dernières paroles par une vigoureuse claque au milieu de mes fesses.


Sylvie était morte de honte de devoir rester avec ses fesses rouges bien visibles, mais la fessée qu’elle venait de recevoir et le ton impérieux de Caroline n’incitait pas à désobéir. La jeune femme était rentrée au salon et elle regardait en souriant son amie débarrasser la table et faire des aller et retour vers la cuisine. Une idée perverse traversa son esprit.

- quand tu aura fini, tu m’apportera le martinet ma chérie.


Quand j’ai entendu le mot martinet mon sang s’est glacé, je détestais cet instrument que ma mère avait utilisé si souvent sur mes mollets et sur mes fesses nues quand j’étais adolescente. Je n’y avais plus goûté depuis. C’était un martinet familial qui se transmettait de génération en génération, je pense que les fesses de ma mère et celle de ma grand-mère avait senti la brûlure de ses lanières avant moi.




Tête basse, Sylvie se dirigea vers Caroline en tenant le redoutable instrument de punition dans sa main droite. Celle-ci s’en saisit et caressa les lanières.

- tu sais que ta désobéissance mériterait que je te punisse avec ça ma chérie. Comme le faisait ta maman.

Sylvie n’osait pas regarder le martinet, elle se rappelait comme si c’était hier la dernière fois où sa mère l’avait utilisé, jupe retroussée, la culotte baissée aux genoux, penchée sur le dossier du canapé. Elle avait 18 ans et malgré son âge sa mère n’avait pas cédé à ses supplications. Une fessée c’était toujours cul nu. Et c’est elle qui s’était chargée du déculottage de sa fille.




Mes fesses nues étaient serrées, je redoutais cette punition. Mais c’est vrai que j’avais désobéi, j’étais redevenue une adolescente et je n’aurais pas du refuser de lui montrer mes fesses. Je méritais cette fessée au martinet.

Mais Caroline se mit à sourire.

- je crois que tu as compris, ta petite fessée déculottée en public sera suffisante pour ce matin, mais ne t’avise pas de recommencer. Tu vas aller au coin ça va te permettre de réfléchir.


Sylvie se dirigea vers le coin de la pièce un endroit qui lui était familier depuis hier. Elle mit ses mains sur sa tête sans que Caroline le lui demande puis elle posa son nez contre le mur. 

Caroline s'approcha, elle écarta les deux fesses et posa le manche du martinet au fond de la raie fessière. 

- serre bien les fesses ma chérie, si jamais le martinet tombe je serai obligée de m'en servir sur ton bon gros derrière. 

Elle avait placé le martinet avec les lanières vers le haut, elles retombaient très esthétiquement sur les fesses bien rouges. 


C'était curieux de serrer le manche du martinet entre mes fesses, je savais que la promesse de s'en servir faite par Caroline n'était pas une promesse en l'air. Combien de temps allait elle me laisser au coin comme ça. 


Caroline prit son téléphone et fit une photo, le spectacle offert par Sylvie les fesses bien rouges et serrées sur le manche du martinet était très excitante. 

Elle décida de laisser la pauvre Sylvie pendant 15' au coin dans cette position humiliante. Ensuite elle la laisserait tranquille jusqu'à l'heure du thé chez Daisy.




A suivre …. 


dimanche 18 juin 2023

La bibliothèque 9

 Brigitte change de statut 



Brigitte exposait toujours son derrière écarlate au coin du bureau. Elle avait assisté mais seulement en audio à la fessée de Véronique, la cuisson de ses fesses commençait à s’atténuer. Michèle l’appela,



- c’est bon, tu peux venir ici

Elle était assise à son bureau, Brigitte était maintenant debout devant elle avec ses mains sur la tête, ce qui fit sourire Michèle.

- tu peux enlever tes mains de ta tête et poser ton derrière sur la chaise.

L’institutrice en retraite fit une petite grimace en s’asseyant, c’était curieux et un peu humiliant pour elle d’être assise ainsi, les fesses nues posées directement sur le plastique froid du siège.

- alors ma petite Brigitte, j’espère que tu as bien compris, à partir de maintenant tu va venir me présenter tes fesses tout les jours jusqu’à ce que je juge que ton comportement aura suffisamment  changé, nous avons encore un petit détail à régler avant que je te libère. Ensuite tu iras voir Ingrid à la bibliothèque, elle veut absolument voir tes fesses.

Elle avait pris le thermomètre rectal sur son bureau et elle s’était levée. Brigitte avait compris ce qui l’attendait, déjà la veille le docteur Dupuis lui avait fait subir l’humiliation de la prise de température ‘’dans les fesses’’. Elle lui indiquait le lit d’examen.

- vas t’allonger.

Brigitte se leva et au passage Michèle lui claqua le derrière pour la faire activer puis alors que Brigitte s’installait à plat ventre, elle ouvrit la porte du secrétariat. Véronique était assise à son bureau, Michèle esquissa un sourire, sa secrétaire avait suivi ses consignes, elle avait retroussé sa jupe et comme elle était privée de culotte, ses fesses nues étaient posées directement sur son siège.

- Véronique tu peux venir, je vais te montrer quelque chose.

La secrétaire se leva et suivi la médecin dans son bureau, un sourire se dessina sur ses lèvres en voyant Brigitte allongée sur le lit d’examen exposant ses belles fesses encore bien rouges. Elles se contractèrent quand elle entendit Michèle s’adresser à Véronique.

- il faut que tu apprennes à prendre la température rectale, de temps en temps je te demanderai de le faire si je suis occupée. Ce n’est pas très compliqué, tu mets la dame sur tes genoux ou comme Brigitte aujourd'hui tu la fait allonger sur la table. Ensuite tu écartes bien les fesses. 

Avec deux doigts elle avait écarté les larges fesses bien rouges, plongeant Brigitte dans le désespoir. Bien sûr la secrétaire l'avait déculottée pour la mettre au coin mais c'était autrement humiliant que de lui présenter ainsi ses fesses bien écartées. 

Michèle tapota l'intérieur des cuisses de Brigitte. 

- écarte un peu tes cuisses ma chérie. Voilà c'est bien. Allez Véronique c'est à toi maintenant, je te rappelle que si madame fait des manières, tu as tout à fait ma permission pour lui flanquer une bonne fessée. Son derrière est à ta disposition. 

Véronique était ravie que le docteur Dupuis lui donne des responsabilités, ça compensait un peu la fessée déculottée de tout à l'heure et celle qui lui était promise ce soir. 

Elle s'approcha de la table d'examen et fit comme Michèle, elle écarta largement les deux fesses mettant à jour la petite rondelle brune, elle regarda sa patronne. 

- faut-il lubrifier docteur ?

- non, ce n'est pas la peine, tu humecte juste un peu le bout du thermomètre, il faut quand même qu'elle le sente rentrer.

Véronique prit le thermomètre et le mit dans sa bouche. Puis elle le posa sur le petit trou bien exposé et commença à l'enfoncer. Elle avait pris souvent la température à ses filles de cette façon mais elle ne pensait pas qu'elle aurait un jour l'occasion de le faire à une dame adulte, c'était curieux et excitant. Brigitte gémissait doucement puis elle serra légèrement les fesses. Véronique lui donna une petite claque sur les fesses. 

- ah non, madame, le docteur vous a bien dit de déserrer vos fesses. 

- oui, oui madame pardon mais vous l'enfoncer trop...

Michèle Dupuis fronça les sourcils. 

- qu'est ce que c'est que cette histoire !! Il est à peine rentré. Véronique vous avez ma permission. 

La secrétaire avait compris immédiatement, elle leva la main et claqua sèchement les fesses, Brigitte se mit à crier, Véronique ne retenait pas ses claques,  mais Michèle l'arrêta.

- mettez la sur vos genoux, vous serez plus à l'aise. 

La dame aux fesses nues sous sa jupe ne se le fit pas dire deux fois. Elle retira le thermomètre et prit Brigitte par l'oreille pour la faire se relever.

Puis elle s'assit sur la chaise et coucha la pauvre Brigitte en travers de ses genoux. Elle était adepte de l'éducation traditionnelle et ses deux filles avaient goûté assez souvent à la fessée déculottée mais c'était la première fois qu'elle allait fesser une adulte et qui plus est une dame qui aurait pu être largement sa mère. Les larges fesses de Brigitte étaient maintenant étalées devant elle, encore rouges des fessées précédentes. Elle ne perdit pas de temps et elle administra immédiatement une magistrale fessée à ce beau derrière. Elle y prenait du plaisir, c'était beaucoup plus agréable que de fesser un derrière d'adolescente, cette belle croupe s'ouvrait et se refermait au rythme des claques, par contre l'âge de la punie ne changeait rien à la façon de réagir à la fessée. Elle criait, battait des jambes et  pleurait comme ses filles quand elle les corrigeait. 

Michèle appréciait en connaisseuse la technique de Véronique,  le fessier de Brigitte était maintenant d'un beau rouge brique. Se prenant au jeu de la maman sévère elle se mit à parler à Brigitte comme si elle s’adressait à l’une de ses filles.

- alors Brigitte, est-ce- que ça te suffit tu vas être sage et me laisser te mettre le thermomètre ?

Au milieu de ses pleurs, Brigitte trouva la force de répondre.

- oh oui, oui madame, j’ai compris, s’il vous plaît plus la fessée, aïe, aïe, non, non, pardon madame, aïe....

Véronique continuait de claquer les belles fesses de l’ancienne institutrice qui maintenant ne battait même plus des jambes, elle pleurait comme une mauvaise élève punie devant toute la classe.

Combien de fois avait elle corrigé de la sorte les derrières de ses élèves mais aujourd’hui c’était son tour et elle se rendait compte qu’après une telle correction on avait plus vraiment envie de désobéir.

- c’est bien sûr ? tu vas me laisser écarter tes fesses pour que je puisse mettre le thermomètre bien profondément ? tu es sûr ?

Elle avait ponctué ces dernières paroles de quelques claques encore plus fortes.

- ouiii, ouii, promis madame, plus la fessée....aïe, aïe, aïe.

Véronique posa sa main sur les fesses brûlantes de la pauvre Béatrice, elle regarda Michèle en souriant.

- je crois que ce derrière est cuit à point.

Elle reprit le thermomètre et écarta largement les fesses, Brigitte était prostrée, elle sanglotait, ses fesses étaient complètement ouverte maintenant, le thermomètre pénétra doucement, la secrétaire regardait Michèle pour savoir jusqu’où elle devait le rentrer. Celle-ci l’encouragea.



- n’ai pas peur vas y encore, il doit être bien en place pour ne plus bouger, oui encore un peu. Voilà un joli derrière bien rouge et bien garni.

Le thermomètre ne dépassait plus que d’un centimètre, Véronique n’avait jamais mit un thermomètre aussi profondément. Elle relâcha les fesses, juste un petit morceau de verre dépassait de la profonde raie médiane, Brigitte continuait de pleurer et de gémir, ce qui énervait Michèle.

- vas tu cesser ces jérémiades, tu l’as bien mérité cette fessée et je te garantis que si tu continues c’est sur mes genoux que tu vas revenir.

Cette menace eu le don de faire cesser les pleurs les plus bruyants de la pauvre Brigitte. Michèle déposa un coussin sur le lit d’examen.

- bon maintenant tu vas t’allonger là, tes fesses seront bien exposées et ne t’avise pas de faire sortir le thermomètre sinon je te flanque une fessée dont tu te souviendras longtemps.

Brigitte se releva et les fesses bien serrées sur le thermomètre elle s’allongea sur le lit, ses fesses surélevées étaient vraiment très appétissantes. Véronique sentait une excitation monter entre ses cuisses, Michèle la regardait en souriant, elle avait un oeil coquin. 

Elle prit la place de Véronique sur la chaise et lui fit un petit signe avec le doigt.

- je pense qu'il faut que tu connaisses cette expérience ma petite Véronique, vient un peu ici. 

Elle tapotait ses cuisses, la secrétaire compris immédiatement ce qui l'attendait, elle ouvrit la bouche pour protester mais le regard sévère du docteur Dupuis et ses fesses encore sensibles l’avait rendue prudente, docilement elle se coucha à son tour en travers des genoux de Michèle, elle sentit immédiatement l'air sur sa croupe, la médecin était pressée de découvrir à nouveau sa jolie paire de fesses. L'absence de culotte facilitait l'accès au fessier, il ne restait que quelques traces rosées de la fessée à la règle plate. Michèle avait prit un deuxième thermomètre et elle avait écarté les fesses de sa secrétaire, celle-ci se rendait compte qu'avec sa patronne il ne fallait pas crier victoire trop tôt, quelques instants auparavant elle administrait une magistrale fessée déculottée à Brigitte mais maintenant couchée sur les genoux de Michèle elle lui présentait ses fesses de la plus humiliante des façons. Elle sentit le thermomètre pénétrer doucement dans son fondement,  c'était une sensation bizarre, mélange de honte et d'excitation, depuis combien de temps lui avait-on pris la température de cette façon, elle n'en avait plus le souvenir. 

Michèle lui tapotait les fesses et faisait coulisser le thermomètre dans les fesses. 

- c'est bien tu as été très sage, la fessée déculottée à du bon....

Véronique n'était pas rassurée, ses fesses étaient vraiment à la disposition de Michèle, elle essayait de ne pas les contracter. Elle resta ainsi pendant 5' avec le thermomètre bien enfoncé, la perverse docteur se régalait d'avoir ainsi deux fessiers à sa disposition, elle continuait de sortir puis d'enfoncer le thermomètre, souriant des efforts de sa secrétaire pour rester stoïque. Enfin elle leva la main et claqua très sèchement une vingtaine de fois les fesses de Véronique, puis elle lui retira le thermomètre. 

- c'est parfait, tu sais l'effet que ça fait maintenant, tes fesses ont repris une jolie couleur pour attendre ce soir. Allez file te remettre au travail. 

Véronique remis sa jupe en place et regagna le secrétariat très troublée par cette nouvelle expérience. 

Brigitte exposait toujours son large fessier bien rouges, Michèle s'approcha et fit comme avec Véronique, elle tapota les fesses et fit coulisser lentement le thermomètre. 

- alors ma petite Brigitte, on va être bien sage j'espère ? Tu vas garder le thermomètre encore 15' dans tes jolies fesses. 

Elle alla s'asseoir à son bureau et se mit à travailler sans s'occuper de la dame qui attendait fesses à l'air couchée sur son lit d'examen. 

Quand la pénitence de Brigitte fut terminée, elle put enfin se reculotter, ses fesses étaient encore bien rouges et chaudes. Elle fut surprise de se voir remettre un carnet qui ressemblait beaucoup à celui qu'Olga lui faisait signer tout les soirs. Le docteur Dupuis lui expliqua que c'était pour un suivi de son traitement. Elle y avait noté toutes les fessées reçues par Brigitte ainsi que la durée de la pénitence au thermomètre.

- il va falloir te trouver une correspondante pour me signer ce carnet que tu dois avoir avec toi en permanence. Pour aujourd'hui tu iras voir Ingrid c'est elle qui va s'en charger. 

Brigitte acquiesça, son derrière brûlant lui rappelait douloureusement qu'il valait mieux tenir sa langue. Elle passa par le secrétariat pour régler sa consultation, Véronique la regardait en souriant. 

- j'ai appelé Mlle Ingrid comme le docteur Dupuis me l'a demandé, elle vous attend. 

Brigitte était consternée, son changement de situation était vraiment brutal. 

Il était 16h quand elle se gara devant la bibliothèque, la jeune stagiaire rangeait des livres, elle avait les yeux rougis. Brigitte pensa qu'elle devait avoir certainement les fesses bien rouges sous sa petite culotte. Un peu gênée Brigitte lui demanda si elle pouvait voir Ingrid, Lucie lui indiqua le bureau.

- je crois que Mlle Ingrid est occupée madame mais je vais lui dire que vous êtes là.

La jeune femme se dirigea vers la porte et frappa doucement, une voix impérieuse l’autorisa à rentrer.

- tes fesses ont déjà refroidi ? tu veux encore une déculottée ? Je t’avais dit de ne ne pas me déranger !!

La jeune femme se mit à bégayer.

- non, non pardon Mlle, mais il y a une dame qui veut vous voir, elle est envoyée par le docteur Dupuis.

La porte était restée ouverte, Ingrid aperçu Brigitte.

- à c’est toi, viens donc un peu ici, on doit discuter. C’est bon Lucie, pour cette fois je ne vais pas te claquer les fesses, retourne au travail.

Brigitte les joues toutes rouges entra dans le bureau, le magnifique fessier d’Olga illuminait le coin de la pièce, il était d’un rouge vif, signe d’une récente déculottée. La directrice se tenait dans le coin, les mains sur la tête, la culotte baissée à mi-cuisse, la jupe épinglée dans le dos. Elle avait le nez collé contre le mur, une feuille de papier était coincée entre son nez et le mur.

- entre ma belle, tu vois j’ai encore été obligée de corriger cette chipie d’Olga, elle n’a pas fini le rapport qu’elle devait remettre ce matin, elle tient avec son nez le torchon qu’elle m’a présenté, si il tombe elle est prévenue qu’elle ne pourra pas s’asseoir de la soirée tellement je vais lui soigner les fesses.

Brigitte avait les fesses serrées sous sa jupe, Ingrid avait l’air un peu énervée aujourd’hui. La jeune bibliothécaire se tourna vers la mère d’Olga.

- mais parlons de toi, tu n’as pas quelque chose à me montrer ?

Brigitte baissa la tête et rougi encore plus violemment, cette fois-ci plus moyen de reculer, la correction reçue cet après midi l’avait transformée, elle sorti le carnet de son sac et d’une voix blanche elle s’adressa à la jeune femme.

- oui Mlle Ingrid, le docteur Dupuis m’a dit de vous donner ça. 

Ingrid prit le carnet en souriant, 

- à cette chère Michèle, comment va-t-elle ?

Elle feuilleta rapidement le carnet,

- et bien dis donc ma petite Brigitte, c’est sérieux ça ?  Tu sais ce qui arrive aux désobéissantes ?

Brigitte jeta un oeil à sa fille qui se tenait toujours au coin.

- oui, Olga a les fesses bien rouges, je crains que les tiennes aient la même couleur bientôt. Approche un peu.

Elle avait pris la main de Brigitte, elle l’a fit pivoter et la coinça sous son bras . En quelques instants la jupe troussée et la culotte baissée, Brigitte exposait son large fessier encore bien rouge.

- elle t’a bien soignée, mais tu connais le tarif ?

Comme Brigitte ne disait rien, elle lui administra une claque très forte sur chaque fesse.

- tu vas me répondre ! qu’est ce qui va t’arriver ?

- Aïe, Aïe.... Oui, oui Mlle...

- alors ?

- euh, Aïe, Aïe.



La main d’Ingrid avait encore claqué les fesses bien tendues devant ses yeux. Brigitte trépignait sur place, elle savait ce que voulait Ingrid mais que c’était dur de devoir reconnaître qu’on méritait une fessée. Du temps où elle était la sévère directrice d’école, c’est elle qui forçait les grandes filles à demander leurs punitions, maintenant c’était son tour.

- oui, Mlle Ingrid je mérite une fessée déculottée...

- une ?? je crois que tu as oublié quelque chose ma petite chérie.

Et la main de la jeune femme recommença à claquer le plantureux derrière. Brigitte se remit à crier et à trépigner.

- aïe, aïe, aïe... oui, oui Mlle, une double fessée.... Aïe, Aïe.

- à nous y voilà, oui c’est exactement ça une double fessée déculottée. Et je te promets que tu vas la recevoir cette double fessée. Tes fesses sont déjà bien rouges mais tu m’as dit toi même qu’une bonne paire de fesses peut supporter plusieurs fessées successives sans dommage.

Elle relacha Brigitte qui se releva, ses joues étaient maintenant de la même couleur que ses fesses. Ingrid lui indiqua le mur.

- va te mettre à côté d’Olga et tu mets tes mains sur la tête comme elle.

Elle coinça la jupe de Brigitte dans la ceinture et se recula pour profiter du spectacle de ces deux magnifiques fessiers de dames mûres, écarlates et parfaitement exposés. La mère et la fille présentait des similitudes morphologiques, deux larges croupes séparées en leur milieu par une profonde raie. Ingrid était une amoureuse des fesses quelque soit leur forme, aujourd’hui elle était servie. Elle appela la fille en premier. 

- Olga, viens ici, tu m'amène ce torchon que tu m'as présenté comme ton rapport. 

La directrice de la bibliothèque s'approcha la feuille à la main, Ingrid l'a saisit par l'oreille et sorti du bureau, elle appela Lucie. 

- tu amènes madame dans son bureau, tu prends le petit paillasson de pénitence et tu le mets sur son siège. Quand à toi Olga, si ce rapport n'est pas fini dans 1 h, je te promets que tu vas goûter au martinet. Allez file. 

Elle avait accompagné sa phrase par une bonne claque au milieu du large derrière. 

Lucie était ravie de son nouveau rôle, elle n'avait pas oublié que Olga l'avait déculotté dans son bureau. Elle saisit l'oreille de sa directrice et la conduisit vers son bureau. Heureusement à cette heure là, il n'y avait personne, car Olga était toujours fesses à l'air tandis qu'elle traversait la salle de lecture tenue par l'oreille comme une mauvaise élève. 

Ingrid avait regardé s'éloigner le fessier rougeoyant d'Olga se dandinant au rythme de sa marche, un peu gênée par la culotte baissée à mi cuisse. Elle retourna à son bureau, Brigitte n'avait bien sûr pas bougé, il était temps pour la jeune femme de découvrir cette nouvelle paire de fesses. Elle prit sa brosse à cheveux sur son bureau et alla s’asseoir sur la chaise disposée devant puis elle appela Brigitte.

- à nous deux madame, viens donc un peu ici me montrer tes jolies fesses.

Brigitte s’approcha, elle n’avait pas osé enlever ses mains de dessus sa tête ce qui fit sourire Ingrid. ‘’décidément la fessée déculottée fait des miracles, Brigitte est redevenue l’adolescente docile et obéissante qu’elle avait du être dans sa jeunesse’’ . Elle tapota sur ses cuisses en souriant, elle était vraiment ravie d’avoir envoyée Brigitte chez Michèle Dupuis, elles avaient maintenant un nouveau derrière à disposition.

- allez ma petite Brigitte, en position.Je pense que je n’ai pas besoin de te l’expliquer. Maman Ingrid va corriger ton gros popotin.

Les fesses de Brigitte étaient maintenant bien exposées, encore rouges des fessées reçues. Pour une première expérience de soumise, l’ancienne institutrice était servie, elle avait reçu deux sévères fessées au cabinet médical et elle était en position pour en recevoir une troisième. La brosse à cheveux claqua sur le derrière bien tendu et Brigitte poussa un cri, mais ce n’était que le début bientôt comme un métronome Ingrid se mit à fesser cette magnifique paire de fesses. 



Elles étaient aussi larges que celle d’Olga mais plus ferme, la brosse rebondissait sur la croupe étalée devant ses yeux. Maintenant Brigitte pleurait à chaudes larmes, suppliant la jeune bibliothécaire d’arrêter la punition.

- en voilà une idée et pourquoi faudrait-il que j’arrête la fessée ? Tu as été vilaine, tu as reçu deux fessées chez le docteur Dupuis et tu penses que tu as été assez punie ? et bien moi je ne pense pas, je suis même sûr du contraire. Tes fesses ont encore besoin de goûter à ma brosse. Oh tu peux pleurer, ça ne vas rien changer, je te l’ai dit tu as une bonne paire de fesses et elles peuvent en recevoir des fessées tu n’en mourras pas mais je suis sûr que tu vas devenir toute gentille après ça.

Elle parlait à cette dame de 70 ans couchée sur ses genoux comme si elle avait été sa maman, c’était curieux mais cependant tout à fait plausible. Brigitte pleurait, suppliait, battait des jambes comme ses élèves quand elle leur administrait une fessée déculottée devant toute la classe.

La large croupe était à nouveau d’un beau rouge profond, Brigitte resta prostrée sur les cuisses d’Ingrid quand elle cessa la correction. Puis elle la fit se relever et lui indiqua le coin.

- voilà pour ta première fessée, maintenant tu files au coin, tu vas y rester jusqu’à 17h30. Tu recevras ta deuxième fessée en même temps qu’Olga. Je ne veux pas te voir bouger, ni t’entendre !!

Le scénario fut respecté à la lettre, à 17h30, Olga arriva dans le bureau, elle était toujours fesses nues, la jupe épinglée dans le dos et la culotte descendue à mi-cuisse, elle tendit 3 feuillets à Ingrid qui les parcouru rapidement.

- à voilà qui est mieux, c’est quand même incroyable qu’il faille te flanquer une bonne déculottée pour que tu te mettes sérieusement au travail. Bon, en position pour ta fessée du soir. Ne fait pas cette tête là, oui je sais bien que tu en as reçu une il y a moins d’une heure mais ma petite chérie si tu avais fait correctement ton travail je n’aurais pas été obligée de te rougir les fesses.

Quelques instants plus tard, Olga telle une gamine pleurait sur les genoux d’Ingrid, celle-ci n’avait utilisé que la main.



En entrant dans le bureau Olga avait eu le plaisir malgré tout d’admirer les fesses rubicondes de sa mère exposée dans le coin du bureau.

Après sa traditionnelle fessée déculottée de fin de journée que Ingrid lui administrait depuis plus de 15 jours, Olga ne put pas se reculotter comme elle le faisait habituellement; Ingrid lui avait indiqué le coin.

- file te mettre au coin pendant que je m’occupe de Brigitte.

Ingrid avait décidé que même si Olga savait que sa mère était maintenant soumise au même traitement qu’elle, il n’était pas encore temps qu’elle regarde Brigitte recevoir une fessée déculottée.

Elle alla chercher celle-ci et la prit par l’oreille.

- allez ma petite, maman Ingrid va t’administrer la deuxième fessée que tu as méritée. Comme tes jolies fesses sont bien rouges et que c’est la première fois je vais être magnanime, tu vas recevoir juste une fessée à la main, mais ça ne sera pas toujours comme ça.

Brigitte se retrouva rapidement dans la même position que sa fille quelques instants auparavant, la tête près du sol, les fesses pointées vers le ciel, les pieds battant l’air aux rythmes des claques magistrales que lui administrait en souriant la jeune bibliothécaire.

Puis quand la fessée fut finie, elle la fit se relever et l’autorisa enfin à remettre sa culotte en place. Elle lui signa le carnet pour le docteur Dupuis après y avoir noté les deux fessées et le temps de passage au coin.

Penaude brigitte mit le carnet dans son sac à main, mais la remise en cause de son statut n’était pas terminé, Ingrid lui annonça qu’elle avait appelé dans l’après midi sa voisine Rosa et qu’elle avait rendez-vous demain soir avec elle pour voir avec elle si elle acceptait de devenir sa tutrice pour signer le carnet.

- je souhaite bien sûr que tu soies là ma chérie.

Brigitte baissa la tête et acquiesca, connaissant Rosa,  celle-ci allait être ravie. Elle tourna la tête vers Olga qui était toujours au coin fesses à l'air. Ingrid compris et se mit à rire. 

- mais bien sûr ma chérie, Olga reste ta fille et tu as le droit et même le devoir de la corriger. Bien sûr quand tu seras dans l'impossibilité de le faire, je pense que Rosa va s'en charger. 

Brigitte était soulagée, elle n'avait pas perdu toutes ses prérogatives, l'allusion à une éventuelle impossibilité et le recours à Rosa était quand même un peu inquiétant. 

Quant à Olga, elle avait serré ses fesses bien rouges, elle savait que le reste de la soirée serait cuisante, sa mère allait certainement se venger sur son derrière des punitions et humiliations de la journée. 

Brigitte était déjà partie, Ingrid remplissait le carnet de punition d'Olga tout en la surveillant du coin de l'oeil. Puis elle la fit se reculotter et lui tendit le carnet. 

- à demain ma petite Olga, j'ai comme l'impression que tes fesses vont rester chaudes. Tu me raconteras ça en détail demain. 




À suivre....

dimanche 11 juin 2023

Caroline fesseuse de dame 2

 Fessée en plein air 



C’est très long 30’ au coin le nez contre le mur à ne pas bouger sous peine d’une nouvelle fessée encore plus cuisante. C’est ce que Caroline m’avait dit quand elle m’avait mise en pénitence.

- et ne t’avise pas de bouger sinon tes bonnes grosses fesses vont le sentir passer.

Je commençais à avoir des crampes dans les bras, la brûlure de mes fesses s’atténuait, j’entendais Caroline pianoter sur son téléphone, c’était sûr qu’une photo de mes fesses écarlates avec des commentaires ironiques de Caroline devait traîner sur Twitter.

Au début j’avais essayé d’atténuer la cuisson de mon derrière en serrant et desserrant mes fesses, ce qui m’avait valu quelques remarques moqueuses.

- on dirait que ma petite chérie à chaud à son petit cucul, tu sais que tu es mignonne en train de serrer tes fesses.

Au bout d’un certain temps je m’étais dandinée d’un pied sur l’autre, ce qui n’avait pas plu à ma jeune maîtresse. J’ai eu droit à une bonne claque au milieu de mes fesses.

- vas tu t’arrêter de gigoter !! si tu continues tu reviens immédiatement sur mes genoux je vais te calmer !!


Caroline s’était rassise et elle contemplait avec ravissement le magnifique fessier de Sylvie, rouge à souhait. "À ma petite chérie, tu voulais savoir ce que ça faisait que de recevoir une vraie fessée déculottée et bien tu as été servie et ce n'est pas fini" Sylvie ne bougeait plus, le nez collé contre le mur, la menace de revenir sur ses genoux avait suffit, c'est curieux comme à tout âge une bonne fessée déculottée rend obéissante les dames. 


- c'est bon, tu peux venir me voir, enlève tes mains de ta tête. 


Caroline m'avait fait venir j'étais debout, elle me fit pivoter et passa sa main sur mes fesses. C'était à la fois humiliant et excitant, je la sentis remonter ma culotte sous mes fesses et remettre ma jupe en place. 

- voilà tes petites fesses sont cachées mais elles sont toujours à ma disposition si tu n'es pas sage. 

J'étais donc toujours cul nu sous ma jupe mais je n'osais pas protester.


Caroline avait posé sa brosse à cheveux bien en évidence sur la table basse. 

- on va aller faire une petite promenade, qu'en penses-tu?

Sylvie habitait une maison à la campagne avec de nombreux chemins de randonnée, elle n'avait que deux voisines, une dame veuve un peu plus âgée qu'elle et une autre d'une quarantaine d'années, divorcée avec deux enfants. Sylvie fit une petite moue qui n'échappa pas à sa jeune maîtresse. 

- tu as quelque chose à dire ? Je n'aime pas les grimaces tu devrais le savoir, tes fesses sont disponibles n'oublie pas.


Décidément Caroline avait l'oeil à tout et bien que la douleur de mes fesses soit en train de s’atténuer, je ne tenais pas à goûter à la brosse. Cette promenade ne me disait rien qui vaille surtout dans ma tenue, avec cette jupe trop courte et ma culotte baissée sous les fesses. Pourvu que l'on ne rencontre pas Huguette ou Pauline. La première avec son éducation rétro ne se gênerait pas pour me faire des réflexions sur ma tenue, quant à cette coquine de Pauline je pense que ça la ferait bien rire. Bon elles ne sauraient quand même pas que ma culotte était baissée, on ne la voyait pas.


- non , non c'est bon, oui on y va ne te mets pas en colère. 


Caroline avait sourit, décidément la bonne vieille fessée avait du bon. Elle claqua le derrière de Sylvie par dessus sa jupe. 

- et bien allons-y. 


Cette petite claque administrée naturellement sur mes fesses me rappela que j'étais maintenant la petite gamine qui sortait avec sa maman. En passant je vérifiai quand même que ma culotte ne dépassait pas sous ma jupe, je remarquai que Caroline avait ramassé sa brosse et l'avait mise dans son sac.

En passant devant chez Huguette je l'aperçus derrière ses rideaux, j'étais bonne pour quelques réflexions prochainement. Heureusement Pauline était au travail et ses deux filles au collège. 


Caroline avait une petite idée derrière la tête, elle emprunta un chemin forestier. Au bout de quelques minutes de marche elle s'arrêta et montra un buisson de noisetier à Sylvie, elle sorti un sécateur de son sac. 

- tu vas aller me couper trois ou quatre badines. Je pense que tes fesses ont besoin de découvrir autre chose que la fessée avec la main.

 

Je regardais Caroline sans oser comprendre, enfin si j'avais très bien compris mais j'étais affolée, un correction avec une badine en noisetier ça devait faire horriblement mal, Caroline fronça les sourcils, je savais ce que ça voulait dire. 

- tu te dépêche ! Sinon ton derrière va goûter à la brosse avant la badine. 

Je pris le sécateur et je me dirigeai vers le buisson, un frisson me parcourait les fesses et aussi surprenant que ça puisse paraître, ma vulve était humide. Elle me donna les instructions. 

- prend les assez fines, je ne veux pas endommager tes jolies fesses.

 

Sylvie tendit à Caroline 4 fines tiges de noisetier. Celle-ci les prit et apprécia leurs souplesse. Puis elle les rendit à sa petite amie soumise. 

- très bien, tu enlèves les feuilles et tu les portes, elles vont servir tout à l'heure. 


Être obligée de préparer l'instrument de sa punition c'était une petite humiliation supplémentaire que m'avait réservée Caroline. Je me suis appliquée à bien rendre lisse les baguettes,  Caroline me regardait en souriant. Puis nous sommes reparties, je tenais à la main les quatre badines.

Évidemment ne rencontrer personne ça aurait été trop beau, au détour d'un virage nous rencontrâmes deux dames qui se promenaient également, heureusement je ne les connaissais pas. Mais Caroline entama la conversation, j'étais confuse avec mes badines à la main, j'avais l'impression qu'elles les regardaient et qu'elles avaient deviné que j'étais cul nu sous ma jupe. Au bout de quelques minutes elles continuèrent leurs chemins, j'étais soulagée, mais Caroline perfidement s'adressa à moi.

- tu sais que tu as eu de la chance, il y avait un tronc d'arbre pour m'asseoir j'avais l'intention de te réchauffer un peu les fesses, tu imagines le spectacle pour ces randonneuses une belle paire de fesses bien rouges, je suis sûr qu'elles auraient appréciés. 

Je ne savais pas que répondre, sa main me claqua sèchement les fesses.

- puisque tu as décidé de faire la tête, on va régler ça immédiatement. 

Les deux randonneuses avaient disparu, Caroline s'était assise sur le tronc d'arbre et elle me fit basculer en travers de ses genoux. 


La jeune femme avait décidé que Sylvie devait se rappeler longtemps de cette journée, quoi de mieux qu'une bonne fessée déculottée en plein air avec le risque qu'elle devienne public, c'était une excitation supplémentaire pour elle et une douce humiliation pour son amie. 


Avec horreur je sentis l'air frais sur mes fesses, ma culotte était déjà baissée mais ça ne suffisait pas à Caroline, elle me la descendit jusqu'aux genoux.

- je vais t'apprendre à faire la tête, tu vas finir par comprendre. 



Une brûlure intense irradia mes fesses, elle avait prit sa brosse, ça n'avait rien à voir avec la fessée avec sa main. C'était horrible, j'avais l'impression que le bruit de cette fessée déculottée s'entendait à des kilomètres à la ronde, je suppliais Caroline d'arrêter et je retenais mes cris quand soudain la fessée cessa. 


- oh my god !!

Caroline n'avait pas vu arriver cette randonneuse, c'était une petite dame âgée un peu ronde avec un chapeau de paille et qui s'adressa à elle dans un français parfait mais avec un très fort accent anglais. Elle avait stoppé net la correction de Sylvie en entendant l'exclamation de la dame. Celle-ci lui souriait ne semblant pas trouver anormal qu'une dame adulte reçoive une bonne fessée la culotte baissée aux genoux en pleine nature. 

- je vous félicite mademoiselle, vu la couleur des fesses de cette dame, votre fessée est très efficace. Je ne pensais pas qu'en France on savait donner d'aussi bonnes fessées. 

Caroline la surprise passée la remercia pour son compliment, elle était ravie, elle fantasmait depuis longtemps sur la fessée publique, le hasard faisait bien les choses.


Je croyais vivre un cauchemar éveillé, il y avait quelqu’un juste derrière moi qui me voyait dans cette position humiliante, qui pouvait contempler à loisirs mes fesses nues et certainement très rouges. Ça ne semblait pas déranger Caroline, elle avait posé sa main sur mes fesses et elle discutait tranquillement des bienfaits de la fessée déculottée. J’appris ainsi que la dame qui assistait à ma correction était une anglaise, professeur de français en retraite et qu’elle était en vacance pour une semaine dans le village voisin. Elle semblait être également une amatrice de fessée  et autres châtiments corporels ainsi que de derrières bien rouges car elle en parlait en toute décontraction. Les deux interlocutrices semblaient avoir oublié ma présence, après tout pour elles je n’étais sans doute qu’une gamine punie exposant son derrière bien rouge et qui n’avait pas voix au chapitre.


La randonneuse se présenta elle s’appelait Daisy et elle invita Caroline à venir prendre le thé le lendemain pour pouvoir discuter tranquillement, elle ajouta en riant.

- bien sûr vous amenez ‘’madame aux fesses rouges’’.

Caroline approuva en riant elle aussi.

- peut-être que demain son derrière sera redevenu blanc, quoique ça m’étonnerait en ce moment elle est insupportable.

Daisy semblait ravie du spectacle que je lui offrais bien malgré moi.

- oh cette chipie a une bonne paire de fesses, je pense qu’elle peut supporter plusieurs fessées par jours, vous n’avez pas de soucis à avoir, chez moi en Angleterre c’est très courant qu’une punie garde les fesses rouges en permanence pendant plusieurs jours. Mais je ne voulais pas vous interrompre, je suppose que vous n’aviez pas fini la punition de cette dame, continuez je vous en prie.


En entendant ces dernières paroles le mince espoir que ma fessée publique soit écourtée s’était évanoui. Caroline avait relevé la brosse et la brûlure repris de plus belle, rapidement je ne pus retenir mes larmes et mes battements de jambes devaient ravir aussi bien ma fesseuse que la spectatrice. Ma jeune maîtresse avait l’intention de prouver son talent, je n’avais jamais reçu une correction pareille. Au milieu de mes pleurs,  j’entendis Daisy.

- je crois que la leçon va être bien apprise ma chère Caroline, je vous laisse et je vous attends demain pour le thé.


Les fesses de Sylvie étaient d’un beau rouge sombre sur toute leur surface, c’était vraiment un tableau très excitant, Caroline était vraiment contente de sa journée, elle regarda Daisy s’éloigner. Sylvie étalée en travers de ses cuisses pleuraient abondamment, elle posa sa main sur les fesses brûlantes, la peau était d’une douceur extrême, ses doigts explorèrent à nouveau l’intimité de son amie, elle était mouillée, ainsi madame avait apprécié la fessée publique pensa-t-elle.

- dis donc petite coquine qu'est ce que c'est que ça ?


Caroline avait mis ses doigts humides de ma mouille devant mon nez. J'étais morte de honte, oui malgré ou peut-être à cause de la douleur et de l'humiliation de cette fessée déculottée publique j'étais excitée. 

- puisque c'est ça, je te garantis que tu n'as pas fini de te retrouver sur mes genoux la culotte baissée ! 

Elle recommença à me claquer les fesses, pas très longtemps mais en me faisant la leçon comme si j'étais une gamine. 

- j'espère que cette fessée déculottée va te servir de leçon, je ne veux plus de bouderie tu as compris !! et demain chez Daisy tu as intérêt à bien te tenir, je n'hésiterai pas à te baisser la culotte si c'est nécessaire. 

Elle rythmait ses paroles par de vigoureuses claques, mes fesses étaient en feu et je pleurais comme une madeleine. Je ne pensais plus que j'étais fessée cul nu dans la campagne et que quelqu'un pouvait me voir, seule la cuisson de mon fessier m'importait.


Caroline cessa la punition, les fesses de Sylvie étaient écarlates, sa culotte avait glissé jusqu'à ses chevilles, elle lui retira complètement et la fit se relever. Elle lui tendit la culotte. 

- tu ramasses les badines et tu tiens ta culotte à la main, comme ça tout le monde pourra savoir qu'elle n'est plus sur tes fesses. 

Elle la fit pivoter et retroussa la jupe qui était retombée. 

- tu sais que tu as vraiment un très joli derrière ma chérie, surtout que le rouge lui va vraiment bien. Ça serait dommage de le cacher, on va le laisser à l'air. 

Elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua sèchement les fesses brûlantes. 

- allez en route !


C'était plus que tout ce que j'avais imaginé, certes je fantasmais depuis longtemps sur la fessée, mais Caroline faisait preuve d'une imagination dans la perversité qui me sidérait. J'étais morte de honte de devoir marcher à ses côtés en tenant ma petite culotte blanche à la main et exposant mon derrière bien rouge. Heureusement elle ne poussa pas la punition jusqu'au bout. Dès que nous arrivâmes en vue de la maison elle remit ma jupe en place, nous n'avions rencontré personne. Discrètement je mis ma culotte en boule au creux de ma main. J'aperçu Huguette dans son jardin, je lui fis un petit signe et je me dépêchai de rentrer dans la maison. 


Caroline avait bien remarqué le petit manège de Sylvie qui avait dissimulé sa culotte au creux de sa main, elle décida de punir cette petite désobéissance plus tard. Elle avait jugé que ce n'était pas encore le moment de faire participer les voisines.

Arrivé dans la maison, elle saisit l'oreille de son amie. 

- c'est comme ça que je t'avais dit de tenir ta culotte ?

Sylvie se mit à gémir. 

- aïe, non...pardon Mlle Caroline mais j'avais trop honte devant Huguette. 

Caroline retroussa la jupe et coinça Sylvie sous son bras, elle palpa les fesses qui était encore chaudes.



- je crois que tes fesses ont eu leur compte pour le moment. Mais tu mérites quand même une petite punition ma chérie. Tu vas aller me chercher le thermomètre. Oui tu sais celui qu'utilisait ta maman et que tu détestais. Tu m'as bien dit que tu l'avais gardé. 


Cette petite peste me connaissait trop bien, il faut dire que nos conversations sur Twitter portaient souvent sur mes souvenirs d'enfance et des punitions qui m'avaient marquée. Elle rajouta également. 

- par la même occasion tu me ramèneras le martinet familial, j'aimerais bien l'examiner de près. 


Sylvie se dirigea vers sa chambre et revint quelques instants plus tard avec les deux instruments demandés. Caroline prit le martinet en caressa les lanières. 

- effectivement, elles sont usées, elles ont du en cingler des derrières, et le tien en premier n'est ce pas ma petite chérie. 

Elle le posa sur la table basse du salon, s'assit sur le canapé et tapota ses cuisses. 

- allez madame, en position pour me montrer tes bonnes grosses fesses. 


Je lui avais donné le thermomètre, je savais ce qui m'attendait, la prise de température dans les fesses comme disait ma mère, c'était ma hantise quand j'étais gamine et j'allais à nouveau y goûter à 70 ans. Pourquoi diable lui avais-je parlé de ce thermomètre. Mais après tout c'était quand même moins douloureux qu'une fessée. J'étais à nouveau couchée sur ses genoux, l'air frais sur mes fesses m'indiqua que ma jupe était encore retroussée et j'eu droit une fois de plus à l'exploration de mon intimité avec ses doigts agiles. Bien sûr elle ne restait pas muette. 

- allez ma petite chérie, desserre moi un peu tes jolies fesses et écartes tes cuisses. Oh mais dis donc c'est tout humide… madame aime se promener dehors fesses à l'air on dirait. 


Caroline avait écarté largement les deux fesses de Sylvie pour mettre à jour la petite rondelle brune qui allait être le centre de son attention, elle humecta son doigt et le passa dessus.

- voilà ton petit trou est prêt, ne t'avise pas de serrer les fesses, ma brosse est prête tu le sais.


J'essayais de me détendre au maximum malgré la gêne de sentir ses doigts écarter mes fesses, j'imaginais sans peine le spectacle que je lui offrais. Je n'avais vraiment pas envie d'une nouvelle fessée. Je sentis l'embout froid du thermomètre pénétrer doucement dans mon petit trou. 



Tout un tas de souvenirs me revenait, ma mère avait la main leste et la fessée déculottée était de rigueur à la maison, la prise de température dans les fesses, allongée sur ses genoux était également la règle au moindre doute sur mon état de santé. J'étais prête pour la fessée si je me rebellais et pire pour la mise en place d'un suppositoire si j'avais de la fièvre. 

Et ne croyez pas que ce traitement m'ait été réservé quand j'étais gamine, même adolescente j'y avais encore droit. Je ne m'en vantais pas auprès de mes copines, ma mère demandait toujours au médecin si il existait un traitement en suppositoire. "Vous comprenez que comme ça je suis sûr qu'elle le prend", c'était son argument favori. Et en plus ça lui permettait de me coucher sur ses genoux et de me déculotter même si je ne méritais pas la fessée. 

C'est tout ça qui remontait à la surface tandis que le thermomètre rentrait inexorablement. 


Caroline s'appliquait à bien faire pénétrer le thermomètre, Sylvie lui avait plusieurs fois dit que sa mère le rentrait très profondément de manière à ne pas être obligée de le tenir pour qu'il reste en place. Elle relâcha les fesses et seul un petit bout de verre dépassait des deux larges fesses bien rouges. 



C'était très excitant, elle décida de jouir du spectacle un moment,  elle tapota les fesses de Sylvie. 

- c'est bien ma chérie tu as été sage, mais tu mérites cette punition tu le sais, tu vas me garder ce thermomètre pendant tout le temps où je regarde ma série. 

Sylvie poussa un petit gémissement de protestation. 

- décidément, tu ne comprends que la fessée ma chérie, tant pis pour toi.


Je savais bien que j'aurais du me taire, mais rester sur ses genoux avec le thermomètre planté dans mes fesses pendant 45' me paraissait vraiment très sévère. C'était idiot de ma part car j'allais quand même le garder et en plus j'avais droit à une fessée supplémentaire. Elle fut courte mais mes fesses endolories par les corrections précédentes eurent du mal à la supporter, je criais sous les claques et je ne pus m'empêcher de pleurer à nouveau. 




- bon j'espère que tu as compris, maintenant je ne veux plus t'entendre. 

Caroline avait pris la télécommande de la télé et sans plus se soucier des pleurs de Sylvie,  elle chercha le dernier épisode de sa série préférée. 

Pendant 45' elle garda son amie redevenue une adolescente obéissante sur ses genoux, de temps en temps elle faisait coulisser le thermomètre dans les fesses ou elle tapotait le fessier brûlant.

Quand l'épisode fut terminé, elle retira le thermomètre et fit relever Sylvie. 

- voilà, c'est fini pour l'instant tu peux te reculotter. On va se faire un thé. 

Elle prit le martinet sur la table et arrivée dans la cuisine elle l'accrocha bien en évidence à côté du frigo. 

- à partir de maintenant ça sera sa place, il sera toujours disponible si tu n'es pas sage, comme quand tu étais une vilaine fille. 




A suivre…..


jeudi 8 juin 2023

La bibliothèque 8

 Le traitement de Brigitte 



Brigitte se présenta le lendemain au cabinet du docteur Dupuis, une secrétaire l’accueilli avec un sourire.

- bonjour madame, vous avez rendez-vous ?

Brigitte se sentit rougir, oui elle avait un rendez-vous mais c’était un peu particulier, elle n’allait quand même pas dire à cette charmante dame d’une quarantaine d’année, ‘’je viens pour recevoir ma fessée’’. Elle prit une inspiration et répondit en espérant que la secrétaire n’allait pas demander de précisions.

- euh, oui le docteur Dupuis m’a demandé de passer aujourd’hui pour mon traitement.

- votre traitement ? bien je vois, allez vous asseoir. Il va y avoir un peu d'attente le docteur Dupuis est un peu en retard.

Brigitte satisfaite que la secrétaire ne demande pas plus de précisions se dirigea vers la salle d'attente, son sang se glaça quand elle entendit la secrétaire continuer.

- à au fait au sujet du traitement, vous portez quoi comme culotte?

Brigitte surprise, bredouilla.

- euh..euh, que voulez-vous dire madame ?

- Mme Dupuis déteste les strings et les culottes fantaisies. Je peux vérifier ?

Brigitte essaya de protester. 

- mais enfin madame, pourquoi ? Vous ne voulez quand même pas voir ma culotte ?

- si, c'est tout à fait ça, vous allez me montrer votre petite culotte. C'est pour votre bien en plus car si elle ne convient pas à Mme Dupuis, vos fesses risquent d'en payer les conséquences. 

Brigitte était effondrée, ses espoirs que sa situation reste confidentielle était vains. Cette dame qui la regardait en souriant et qui aurait pu être sa fille, savait qu'elle était en passe de recevoir une bonne fessée déculottée. Son ton était devenu plus ferme. 

- tournez-vous et retroussez votre jupe. 

Brigitte la mort dans l'âme s'exécuta, dévoilant une culotte blanche ornée de dentelle qui moulait bien son large fessier. Véronique s'approcha et tapota les fesses, elle tira sur la culotte pour bien la tendre sur la croupe. 

- c'est parfait, c'est très convenable, de toute façon si votre culotte avait été incorrecte j'en ai quelques unes en dépannage dans le tiroir de mon bureau. 

Le téléphone sonna et la secrétaire laissa Brigitte au milieu de la pièce tenant sa jupe retroussée, elle se sentait un peu ridicule mais elle ne savait pas si elle avait le droit de remettre sa jupe en place. En deux jours après la fessée déculottée administrée par Michèle Dupuis et la séance de thermomètre elle était redevenue une adolescente obéissante qui attendait les consignes. Véronique raccrocha le téléphone. 

- bien docteur, ça sera fait. 

Elle se tourna vers Brigitte en souriant. 

- le docteur en a encore pour 10', elle m'a demandé de vous mettre au coin. Suivez moi, vous gardez votre jupe retroussée c'est parfait. 

Elle ouvrit une porte qui donnait sur une petite salle. Elle désigna le coin. 

- allez vous mettre là, le nez contre le mur et les mains sur la tête. 



Brigitte était rouge de honte, elle se retrouvait plus de 50 ans en arrière, sa mère utilisait la même méthode. Elle avait oublié qu'elle même avait puni de la sorte des générations d'élèves. Elle pressentait la suite et ses craintes se concrétisèrent. Véronique s’approcha et retroussa à nouveau la jupe qu’elle coinça dans la ceinture puis elle baissa rapidement la culotte de Brigitte à mi-cuisse, celle-ci serra instinctivement ses fesses. Après avoir tapoté les fesses mise à nu la secrétaire se recula pour apprécier le tableau. Il était édifiant, on se serrait cru dans une salle de classe d’un collège anglais des années 50. Une belle paire de fesses bien blanche, encadrée par la jupe retroussée et la culotte blanche baissée, exposée dans un coin de la pièce, la punie tenant ses mains sur la tête et son nez collé contre le mur.

- voilà, vous restez là jusqu’à ce que le docteur Dupuis ait fini sa consultation, ne bougez pas je laisse la porte ouverte pour vous surveiller.

Elle laissa la pauvre Brigitte complètement désemparée, ses larges fesses contractées d’être ainsi dénudées en public. Certes le public était restreint, c’était juste Véronique mais qu’elle honte pour l’ancienne institutrice qui avait déculotté tellement de derrières dans sa vie. Elle se rendait compte maintenant de l’humiliation qu’elle faisait vivre à ses élèves quand elle les forçait à rester les fesses nues bien exposées devant toute la classe.

Véronique avait regagné son bureau et comme elle l’avait annoncé, elle avait laissé la porte de la pièce entre-ouverte, les personnes qui serait entrée au secrétariat ne pouvait pas voir les fesses de Brigitte mais celle-ci ne le savait pas, son angoisse était totale. La secrétaire répondait au téléphone sans se soucier de la dame de 70 ans qui exposait ses fesse dans la salle de repos. Soudain Brigitte se raidit et serra encore plus si c’était possible ses bonnes grosses fesses de dame mûre, une personne venait de rentrer dans le secrétariat. Comme si de rien n’était, Véronique donna un rendez-vous à une dame, apparemment elle ne venait pas pour recevoir une fessée, enfin son supplice prit fin quand la dame quitta le secrétariat, elle entendit le docteur Dupuis raccompagner la patiente qui la précédait, elle s’adressait à sa secrétaire.

- Véronique, vous donnez un rendez-vous à madame Dugoin, je veux la revoir demain pour un petit complément de traitement.

Encore une patiente qui devait avoir les fesses rouges sous sa culotte pensa Brigitte. Ça allait bientôt être son tour. La porte s’ouvrit complètement alors que la patiente était encore là, elle entendit le docteur Dupuis s’adresser à elle.

- bonjour Brigitte, vos fesses sont magnifiques. Vous pouvez remonter votre culotte puis vous venez dans mon bureau. 

Tout le monde savait donc que sa culotte était baissée, elle s'empressa de recouvrir ses fesses et remis rapidement sa jupe en place. La dame d'une quarantaine d'années qui s'apprêtait à régler sa consultation avait les joues très rouges, elle jeta juste un oeil à Brigitte pour savoir qui était la prochaine patiente qui allait recevoir le traitement spécifique du docteur Dupuis. Elle ne put retenir un sourire en reconnaissant son ancienne institutrice qui lui avait si souvent troussé la jupe et baissé la culotte pour une cuisante correction quand elle était gamine. 

Ainsi la roue tournait pensa-t-elle, cette dame si autoritaire jadis, allait dans un instant se retrouver allongée sur les genoux du docteur Dupuis, les fesses pointées vers le ciel et  elle gémirait certainement, supplierait à coup sûr et finirait en pleurs au coin de la pièce les fesses écarlates. 

Elle était subitement consolée de son derrière brûlant et de l'humiliation que venait de lui faire subir sa gynécologue en la traitant comme une gamine. Pendant que Brigitte disparaissait dans le bureau de Michèle Dupuis, la secrétaire la ramena à la réalité. 

- est-ce-que le docteur a utilisé un instrument ?

Surprise Aline Dugoin, piqua un énorme fard.

- euh, euh mais pourquoi voulez-vous le savoir ?

Véronique ne se départissait jamais de son sourire, elle regarda dans les yeux la patiente. 

- parce que chère madame, vous allez si j'ai bien compris recevoir à nouveau une bonne fessée déculottée demain, si vos fesses sont trop marquées je dois vous donner une ordonnance pour que vous appliquiez une crème ce soir.

Alice penaude baissa la tête, cette chef de projet ne s'attendait pas à ça quand elle avait pris rendez-vous chez sa gynécologue. Comme elle ne répondait pas, Véronique se leva et fit le tour de son bureau. 

- bien je vais vérifier ça moi même, tournez-vous !

Les fesses brûlantes d'Alice ne l'incitait pas à discuter, elle se tourna. La jupe fut rapidement troussée et la culotte glissa sous les fesses. Elles étaient écarlates, signe d'une magistrale déculottée, Michèle Dupuis avait complété la fessée à la main par l'administration d'une correction avec la règle plate en bois. Alice avait put constater qu'une fessée déculottée à l'âge adulte était bien plus terrible que celles reçues dans sa jeunesse. Véronique tenait la jupe relevée et caressait les fesses nues.

- c'est une bonne fessée, mais demain il n'y paraîtra plus. Vous savez quand j'étais en pension la pionne nous interdisait de dormir sur le ventre après la fessée cul nu du coucher, il fallait qu'on sente bien nos fesses, qu'elle disait. 

Elle relâcha la jupe et retourna à son bureau. 

- reculottez vous. Vous avez de la chance, vous pourrez dormir sur le ventre. 

Elle avait sourit, son regard était lointain, dans un collège anglais où elle avait passé de nombreux étés pour des stages linguistiques. 



Pendant ce temps Brigitte se tenait devant Michèle Dupuis, les bras le long du corps. 

- alors ce petit séjour au coin fesses à l'air vous à permit de réfléchir. Pourquoi dois-je vous fesser ma chère ?

Les pensées s'entrechoquaient dans la tête de la pauvre Brigitte. Depuis un mois elle avait repris ses bonnes habitudes en déculottant sa fille et il fallait l'avouer, elle y prenait un certain plaisir. Mais depuis hier elle était passée de l'autre côté de la barrière et c'était beaucoup moins amusant même si elle avait ressenti au milieu de sa honte et de sa douleur un certain trouble à devoir  exposer son derrière dénudé. Elle sentait qu’il lui fallait répondre, mais quoi dire, reconnaître qu’elle méritait une bonne fessée déculottée ? c’était au dessus de ses forces. Le regard perçant de Michèle Dupuis la fixait, elle était rouge de honte, aucun son ne sortait de sa bouche.

- vous êtes devenue muette ?

La voix était sévère comme celle de la directrice de l’école normale de jeune fille le jour où elle avait fait le mur avec une copine. Ces souvenirs revenaient lentement, elles avaient eu le choix entre  un renvoi pur et simple ou une fessée déculottée en privé dans le bureau de la directrice. Le choix avait été vite fait et l’une après l’autre avec sa copine elles avaient connu l’humiliation de la fessée cul nu allongée sur les genoux de la sévère directrice.

- bien, je vais être obligée de vous rafraîchir la mémoire,venez ici !

Le docteur Dupuis désignait la chaise posée devant son bureau, elle s’y était assise.

- tournez-vous !

Brigitte présentait maintenant son dos à sa gynécologue, elle sentit sa jupe se retrousser et sa culotte descendre sur ses fesses.

- avec les fesses à l’air vous allez peut-être retrouver la parole. Je vais commencer à compter si à trois vous n’avez pas commencé votre confession, vous irez dans cette tenue au secrétariat, Véronique sera ravie de surveiller votre joli derrière et les prochaines patientes auront droit à un joli spectacle.

Brigitte était paniquée, décidément le docteur Dupuis savait y faire, elle l'entendit commencer le décompte "un....deux"

- non, non docteur, s'il vous plaît....

- il ne tient qu'à vous madame...

- oui, oui, vous avez raison... Je mérite la fessée docteur...Je, je... enfin oui je pense que ma conduite nécessite une sanction. 

- bien, bien voilà qui est mieux. 

Michèle Dupuis souriait, ravie de voir la gêne de sa patiente. Ingrid lui avait bien dit qu'à son avis cette dame qui avait si souvent donné la fessée et qui fessait encore sa fille âgée de 50 ans serait une proie facile. Elle avait eu raison, elle se souvenait du beau derrière de femme mûre de Brigitte qu'elle avait pris plaisir à examiner hier et également à rougir un peu. Aujourd'hui ça allait être différent, elle allait pouvoir lui administrer une vraie bonne fessée déculottée,  elle avait du temps devant elle. 

- donc, vous méritez une fessée, c'est bien de le reconnaître, ça ne vous évitera pas la punition mais au moins mes patientes ne connaîtrons pas vos fesses, du moins aujourd'hui. 

Brigitte avait les joues très rouges, elle baissait la tête. 

- regardez moi vilaine fille ! Puisque vous reconnaissez que vous méritez une fessée, vous allez me la demander !

Décidément Brigitte allait boire le calice jusqu'à la lie. Elle avala sa salive, prit une inspiration et se lança. 

- s'il vous plaît madame pouvez-vous m'administrer la fessée déculottée que j'ai méritée. 

Michèle souriait toujours. 

- déculottée ?? Vous méritez vraiment que je vous baisse la culotte ?

- euh... oui...

Brigitte essayait de regarder sa future fesseuse, elle ne savait pas quelle contenance avoir. Michèle continuait. 

- et bien puisque vous semblez trouver ça nécessaire. Reculottez vous.

Surprise,  Brigitte remonta sa culotte sur ses fesses. Michèle Dupuis était assise sur la chaise, elle tapota ses cuisses pour signifier à sa patiente l'endroit où elle devait se coucher. Docilement l'ancienne institutrice s'approcha et elle se coucha spontanément en travers des cuisses de sa gynécologue. Ça c'était fait tout naturellement comme si il était normal qu'une dame de 70 ans se retrouve allongée sur les genoux d'une dame plus jeune, la tête près du sol, les fesses pointées vers le ciel. Michèle retroussa à nouveau la jupe, la culotte blanche était tendue sur la croupe, elle rentrait légèrement dans la raie fessière, elle tapota doucement ce derrière qui désormais lui appartenait. Elle savait qu'elle en aurait très souvent la jouissance, qu'elle pourrait le claquer et le rougir autant qu'il lui plairait. Jusqu'à présent elle n'avait fessé que des jeunes femmes ou des dames d'une quarantaine d'années comme Marie qui venait tout les soirs lui présenter ses fesses, ou cette si jolie Alice qu'elle venait de corriger il y a quelques instants. Véronique sa secrétaire avait aussi un joli derrière bien rebondi. Depuis qu'elle avait redécouvert les plaisirs de la fessée, elle ne faisait plus de reproches à sa secrétaire, à la moindre faute c'était panpan cucul et on en parlait plus. 

Elle pensait à toutes ces paires de fesses en caressant la culotte de Brigitte, elle insinua ses doigts sous la culotte et inspecta l'entrejambe de sa punie, elle eut un petit sourire en constatant l'humidité sous ses doigts "madame n'est pas insensible au plaisir de montrer ses fesses on dirait ", elle  claqua sèchement la fesse droite puis la gauche par dessus la culotte. 

- alors ma petite Brigitte, on a mérité sa fessée n'est ce pas ? Je suis gentille je vais commencer par échauffer ton bon gros derrière. 



La fessée préparatoire sur la culotte n'eut rien d'une partie de plaisir, les claques magistrales se succédaient sur les fesses encore culottées, les mouvements désordonnés des jambes eurent bientôt pour effet de faire rentrer encore plus la culotte dans le sillon central, les fesses étaient presque entièrement découvertes quand Michèle cessa la première fessée. Brigitte avait essayé de rester stoïque mais rapidement elle s’était mise à gémir puis à crier. La culotte tirée par Michèle glissa sur le derrière, les fesses étaient déjà bien rouges, la sévère gynécologue les caressa à nouveau, c’était vraiment un plaisir la peau était douce et déjà tiède, ces fesses étaient un peu enrobées, certes mais au moins il y avait de quoi fesser. Il fallait poursuivre l’entreprise de soumission de sa nouvelle punie.

- alors ma petite Brigitte comment la trouves tu la fessée de ta nouvelle maman ? 

Brigitte gémissait doucement, une vigoureuse claque administrée en plein milieu de sa grosse lune eut vite fait de la ramener à la réalité.

- quand je pose une question je veux une réponse !

Une deuxième claque aussi forte que la première atterrissait à nouveau sur le fessier tendu.

- AÏE, AÏE pardon madame, oui ça brûle, oh pardon madame plus la fessée s’il vous plaît.

Michèle éclata de rire.

- mais tu plaisantes j’espère, je n’ai pas encore commencer ta correction ma petite chérie, je t’ai juste un peu échauffé les fesses par dessus la culotte. Tu devrais pourtant le savoir, tu en as suffisamment donné des fessées, une fessée c’est toujours cul nu !

Elle avait terminé sa phrase par une série de claques distribuées généreusement sur le bon gros derrière de Brigitte. Elle palpa les fesses pour en apprécier encore la souplesse et la texture puis elle commença la vraie fessée. La pauvre Brigitte avait oublié combien ça brûlait une bonne fessée déculottée même avec la main. Pourtant comme venait de lui rappeler Michèle elle avait déculotté et rougi des quantités de derrières dans sa vie et sa main était aussi vigoureuse que celle qui en ce moment lui tannait la peau des fesses. Mais aujourd’hui tout ça était oublié elle n’était plus qu’une gamine fessée par une maman sévère et qui bientôt se mit à pleurer. Ses jambes battaient l’air désespérément, ses fesses s’ouvraient sans souci de pudeur, sa culotte étaient maintenant enroulées autour de ses chevilles.

Michèle Dupuis s’appliquait c’était la première véritable fessée qu’elle administrait à Brigitte et il fallait qu’elle s’en souvienne longtemps, que dans son cerveau s’imprime de façon définitive que sa nouvelle maman c’était elle et qu’elle pouvait à sa guise la déculotter et la punir si nécessaire.

Les fesses étaient maintenant de la couleur de deux tomates bien mûres, elle ne se débattait plus semblant accepter sa correction. Le docteur Dupuis satisfaite de son oeuvre la fit se relever, des larmes coulaient sur ses joues, elle porta ses mains à ses fesses. Mal lui en prit, Michèle la saisit immédiatement et la recoucha sur ses genoux, une deuxième fessée crépita dans le bureau avec les cris de Brigitte qui hurlait de douleur et de surprise de cette nouvelle fessée.

- tu devrais pourtant le savoir que c’est interdit de se frotter les fesses après la fessée, oh mais je vais te mater ma petite, tu peux crier tu peux pleurer, je te garantis que tu vas t’en souvenir et ça sera comme ça à chaque fois, Si tu désobéis, tu reviens immédiatement faire un petit séjour sur mes genoux.

La fessée fut magistrale mais courte maintenant une légère buée montait au dessus du fessier rougeoyant, l’arrière des cuisses sous les fesses était également écarlate.

 Brigitte se releva en sanglotant, elle n’avait jamais reçu une correction pareille. Michèle lui montra le coin de la pièce. 

- tu files au coin ! Je n'ai pas besoin de t'expliquer la position. 

En effet c'était inutile, Brigitte avait envoyé au coin tellement de fesses bien rouges. Elle mit son nez contre le mur et posa ses mains sur la tête. Sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, la sévère fesseuse retroussa la jupe, l'épingla dans le dos et remonta la culotte au milieu des cuisses de la punie.



 Puis elle alla s'asseoir à son bureau, elle était excitée par la fessée qu'elle venait d'administrer à ce magnifique fessier, elle glissa sa main dans sa culotte. Mais juste au moment où elle sentait la jouissance monter, le téléphone sonna. Excédée elle répondit, c'était Véronique sa secrétaire. 

- je t'ai pourtant dit que je voulais pas être dérangée ! Viens dans mon bureau immédiatement ! 

Elles raccrocha sans demander qui voulait lui parler.

La secrétaire frappait déjà à la porte. 

- entre !!

Véronique avait les joues rouges et elle baissait la tête. 

- pardon madame....

- décidément, ce n'est quand même pas difficile ! Baisse ta culotte et en position. 

Véronique s approcha du bureau, glissa ses mains sous sa jupe et fit glisser sa culotte sous ses fesses, elle retroussa sa jupe et se pencha sur le bureau. Michèle s'était levée et avait pris une règle plate en bois sur son bureau. Elle appuya un peu sur le dos de sa secrétaire pour lui faire tendre mieux les fesses. Elles étaient bien rondes et musclées à souhait, serrées par l'angoisse de la future punition. Michèle annonça sévèrement. 

- 30 !! Tu comptes !!

La règle claqua sèchement sur le derrière tendu, suivi d'un petit cri.

- aïe, un...aïe, deux...

La fessée suivit son cours jusqu'à son terme, au milieu des claquements et des gémissement de Véronique, à la fin son fessier était parfaitement rouge sur toute sa surface.  On sentait que la secrétaire était habituée aux sévères fessées, elle avait piétiné sur place mais n'avait pas cherché à se relever ou à éviter sa punition. Michèle satisfaite reposa la règle et lui annonça. 



- privée de culotte jusqu'à ce soir et une fessée avant de finir ta journée. File !!

Véronique se releva, elle fit glisser sa culotte jusqu'à ses pieds et l'enjamba puis elle la tendit à Michèle, celle-ci prit la fine lingerie en souriant et la plaça bien en évidence sur le bureau. La secrétaire remis sa jupe en place et se dirigea vers la porte, elle jeta un regard au fesses écarlates de Brigitte. "Celle-là venait d'en prendre une bonne et apparemment ce n'était pas fini".

Dès qu'elle fut sortie, Véronique frotta ses fesses par dessus sa jupe, c'était cuisant, même si elle commençait à en avoir l'habitude c'était toujours une sensation bizarre de sentir ses fesses brûlantes et de se remémorer les minutes précédentes où elle présentait son derrière dénudé. Comme l'exigeait le docteur Dupuis, elle retroussa sa jupe avant de s'asseoir pour que ses fesses nues reposent directement sur la chaise, elle fit une petite grimace. 

Tout avait commencé un mois plus tôt,  Véronique travaillait pour le Dr Dupuis depuis plus d'un an, elle était divorcée et avait élevé seule deux filles qui maintenant avait 17 et 19 ans et habitait toujours chez elle. Elle était assez tête en l'air et Michèle Dupuis lui en avait fait plusieurs fois le reproche, ce jour-là elle avait oublié de transmettre un courrier très important, elle était dans le bureau de sa patronne, la tête basse se confondant en excuses quand elle avait entendu cette phrase incroyable. 

- Véronique ! C'est inadmissible vous mériteriez vraiment que je vous flanque une bonne fessée déculottée !

Elle avait ouvert la bouche pour protester mais le regard noir de Michèle l'en avait dissuadée. De toute façon elle savait que sa faute était impardonnable et que le licenciement se profilait à l'horizon. Dans sa situation c'était impossible…

Michèle Dupuis administrait la fessée à Marie tout les soirs depuis une semaine (cf. la bibliothèque 2), elle commençait à y prendre goût et depuis un moment elle regardait avec intérêt le joli fessier de sa secrétaire,  l'occasion était trop belle. 

- d'ailleurs c'est ce que je vais faire,  à moins que vous préfériez que je vous licencie pour faute grave. 

- non, non madame, s'il vous plaît. 

Véronique s'était mise à pleurer. 

- c'est un peu tard, ma chère, il fallait y penser avant. Gardez vos larmes pour la fessée que je vous réserve. 

Michèle s'était levée et avait pris une chaise pour la placer au milieu de la pièce, elle s'était assise et faisait un petit signe du doigt à Véronique. 

- venez ici, on va régler ça immédiatement et à ma façon. 

- non, madame, non s'il vous plaît. 

Véronique ne savait pas quoi faire. 

- vous préférez le licenciement ?

- non ! Non !

- alors c'est simple vous venez ici tout de suite !

La mort dans l'âme la secrétaire d'une quarantaine d'années s'approcha et en un instant elle se retrouva 25 années auparavant quand sa mère lui administrait encore la fessée. Elle poussa un petit cri mais déjà sa jupe était retroussée sur ses reins et elle sentait l'air frais sur ses cuisses. Michèle apprécia que sa secrétaire porte des bas autofixants et une jolie culotte rose ornée de dentelle, le spectacle de cette jolie paire de fesses moulée par la culotte était ravissant. Elle claqua immédiatement le derrière si bien présenté. Véronique se mit à gémir puis à supplier 

- non, non madame arrêtez s'il vous plaît. 

Elle se rendait compte du ridicule de la situation, elle une mère de famille de 40 ans couchée sur les genoux d'une dame, la jupe retroussée en train de recevoir ce châtiment enfantin. Mais c'était trop tard, Michèle le lui fit remarquer.


 

- vous avez accepté la fessée ma chère, il faut vous laisser faire sinon vous serez licenciée mais avec une paire de fesses bien rouges en plus.

Elle glissa ses doigts dans la culotte et la fit glisser sur le joli popotin de Véronique qui se mit à crier. 

- non, vous n'avez pas le droit arrêtez !

Ce qui fit bien rire Michèle. 

- ah oui ? Et pourquoi donc ? Vous ne savez pas qu'une fessée c'est toujours cul nu chez moi. Oui ma chère Véronique vous allez recevoir la fessée déculottée que vous avez mérité et après on en parlera plus.

Maintenant la secrétaire si autoritaire avec ses filles exposait ses fesses rondes déjà rosées de la fessée sur la culotte, Michèle passa sa main sur l’épiderme si doux, ce fessier était vraiment adorable, ni trop gros ni trop menu, un beau derrière de femme mûre bien rebondi avec une raie  fessière profonde qui séparait deux belles masse de chair.

Il était temps de passer à la vraie fessée, de rougir comme il faut cette belle paire de fesses. La main commença à claquer et Véronique se rappela très bien comment une fessée cul nu ça vous brûlait les fesses, c’était comme ça que sa mère la punissait. Elle l'avait enfoui au fond de sa mémoire mais d'un seul coup tout les souvenirs ressurgissaient, oh oui ces mémorables fessées déculottées qu'elle avait reçu et malgré la brûlure quand elle se retrouvait seule dans sa chambre cet intense désir de se caresser. Tout cela lui revenait par bouffée tandis que méthodiquement Michèle la corrigeait, lui rougissait les fesses. Elle criait et pleurait comme quand elle était adolescente, ses fesses s'ouvraient largement, et Michèle ne perdait rien du spectacle. Elle voulait profiter de cette fessée déculottée pour arriver à ses fins, avoir définitivement les fesses de Véronique à sa disposition. 



Quand la fessée s'arrêta, le derrière de Véronique était écarlate, elle sanglotait toujours étalée en travers des cuisses de sa patronne, celle-ci glissa sa main entre ses cuisses pour constater l'état d'excitation de sa secrétaire. Elle fut satisfaite de constater que la fessée avait fait son effet, ses doigts étaient gluants des sécrétions intimes. Elle eut un petit sourire et tapota les fesses brûlantes.

- voilà c'est fini, tu peux te reculotter. 

Elle avait utilisé à dessein le tutoiement pour que Véronique intègre bien son changement de situation. 

- à partir de maintenant, à chaque bêtises tu feras un petit séjour sur mes genoux. Tu peux retourner travailler, tu as de la chance je ne te mets pas au coin les fesses à l'air. 

Complètement troublée Véronique les fesses brûlantes sous sa culotte était revenue au secrétariat. 

Michèle en regardant son joli derrière se trémousser en quittant le bureau n'avait pas pu s'empêcher de se caresser. 


A suivre….


Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...