lundi 22 mai 2023

La bibliothèque 7

 Changement de fesseuse et de statut 





Ce jour là en arrivant devant la maison de sa mère, Olga vit Rosa qui lui faisait un signe depuis chez elle. Elle hésitait à répondre car Brigitte lui avait interdit de traîner et de discuter en rentrant à la maison.

Mais Rosa sortit sur le pas de sa porte et s’adressa à elle.

- ta maman a été obligée de sortir, elle a un rendez-vous médical, elle m’a chargée de m’occuper de toi. Viens chez moi.

Le ton énergique était sans réplique, Olga se dirigea vers la voisine de sa mère. Celle-ci lui indiqua la porte.

- rentre ma petite Olga, nous avons à discuter. Je pense que Mlle Ingrid a du remplir ton carnet de correspondance.

Olga se mit à rougir, c'était une nouvelle idée de sa jeune maîtresse, elle avait fait acheter à Olga un cahier qu'elle devait toujours avoir avec elle et sur lequel elle notait les punitions qu'elle avait administrée à Olga ainsi que des annotations sur son comportement. La directrice de la bibliothèque devait le ramener signé par sa mère tout les matins. Celle-ci de son côté y notait également comment s'était passé la soirée. Les fessées reçues par sa fille, le temps passé au coin etc..

Olga sorti le cahier de son sac et le tendit a Rosa.



En souriant celle-ci le prit et s'assit sur son canapé, Olga se tenait debout devant elle, la tête baissée, ne sachant quelle attitude adopter. La sévère voisine le remarqua. 

- mets tes mains sur la tête et regarde moi quand je te parle.

Un peu surprise mais désormais habituée à obéir sans discuter, Olga s'exécuta. 

Rosa Murati prenait son temps, elle feuilletait le cahier, sur chaque page les descriptions de fessées déculottées se succédaient. Elle arriva à la page du jour. Ingrid avait particulièrement soigné le derrière d'Olga. Elle avait eu droit au martinet pour sa fessée du midi et avait reçu un supplément en milieu d'après-midi dans son bureau pour avoir oublié un rendez-vous, Ingrid lui avait saisi l'oreille et sans prendre la peine de fermer la porte du bureau elle avait courbé la dame de 50 ans sous son bras, l'avait déculottée et lui avait administré une courte mais très sévère fessée à la main, terminée avec la règle plate qui restait toujours posée sur le bureau. 

Bien sûr après cet incident la fessée du soir avant de quitter le bureau avait été particulièrement soignée, la brosse à cheveux avait sévèrement claqué le plantureux derrière mis à nu par la jeune bibliothécaire. 




Les fesses d'Olga étaient encore très douloureuses sous sa culotte et elle savait que la soirée allait être cuisante.

Elle regardait avec un peu d'inquiétude la moue de Rosa, apparemment celle-ci utiliserait les mêmes méthodes que sa mère. 

La sévère voisine reposa le cahier et jeta un regard sévère à Olga.

- et bien c'est du joli ! Quatre fessées déculottées dans la journée !! Tu es fière de toi ? Et bien j'aimerais bien voir tes fesses. Approche un peu. 

Olga s'approcha, elle avait toujours les mains sur la tête, Rosa la fit pivoter, retroussa sa jupe qu'elle coinça dans la ceinture puis glissa ses doigts dans la culotte qu’elle descendit sous les fesses. Olga était tétanisée, c'était la troisième personne en quelques jours qui se permettait de la déculotter sans se soucier de son âge et de son statut. Ses bonnes grosses fesses étaient maintenant exposées devant Rosa, elle les serra instinctivement. La sévère matrone passa sa main sur l'épiderme rougi et encore chaud.

- et bien ton bon gros derrière est encore bien rouge ma petite, cette jeune Ingrid sait donner la fessée on dirait. Tu vas commencer par filer au coin pour réfléchir à ce qui va t'arriver. 

Elle avait accompagné sa phrase par une bonne claque au milieu des larges fesses. Olga en gémissant se dirigea vers l'angle de la pièce, elle commençait à avoir l'habitude de la position, elle posa son nez contre le mur sans que Rosa ait eu besoin de lui dire.

- et bien voilà un joli tableau,  tu vas rester là un moment à exposer tes jolies fesses, j'ai du travail à finir ensuite je vais m'occuper de toi. 



Olga avait les larmes aux yeux, décidément elle était vraiment redevenue une gamine, même la voisine de sa mère la traitait comme telle. Elle resta un temps qui lui parut interminable dans son coin. Derrière elle Rosa s'activait, elle l'entendit ouvrir la fenêtre pour interpeller quelqu'un. Elle se raidit et contracta un peu plus ses fesses quand elle reconnu la voix de Louise l'autre voisine de sa mère. Les deux femmes échangèrent des banalités, Rosa prenait son temps, elle savait qu'Olga dans son coin avec les fesses à l'air devait angoisser qu'une autre personne la voie dans cette humiliante position. Mais elle décida que la mise au courant de Louise serait pour plus tard. Elle referma la fenêtre et se dirigea vers la punie. 

- je pense que Louise aurait été ravie d'assister à ta punition mais tu ne perds rien pour attendre. 

Elle saisit Olga par l'oreille et la tira jusqu'au canapé où elle posa son plantureux derrière, en un instant la directrice de la bibliothèque se retrouva couchée sur ses genoux. 

Elle commença par prendre possession de son nouveau joujou. Elle était lesbienne et son attirance pour les fessiers féminins était bien connue, elle fit écarter ses cuisses à Olga pour y glisser sa main, elle constata avec intérêt que celle-ci avait mouillé. "on dirait ma petite que ça ne te déplaît pas de montrer tes fesses à tatie Rosa". Elle remonta pour glisser sa main entre les fesses serrées, elle les claqua gentiment. 

- il va falloir me desserrer ces jolies fesses ma petite. 

Olga relâcha la contraction et Rosa écarta largement les deux fesses,  l'humiliation était totale, c'était le but recherché par la perverse matrone. 

- voilà un joli petit derrière, ton petit trou est encore vierge ma petite chérie, ne t'inquiète pas tatie Rosa va s'en occuper. 

Elle relâcha les deux fesses et leva la main, la cinquième fessée déculottée d'Olga pouvait commencer. Elle ne fut pas moins sévère que celles que lui administrait Ingrid ou Brigitte. Visiblement Rosa avait l’habitude de claquer les fesses



 Olga réalisa une magnifique danse des fesses et pour le plus grand plaisir de sa fesseuse elle lui dévoila tout ses trésors cachés. Les fesses étaient maintenant rubicondes bien que Rosa n’ait utilisé que sa main, Olga avait crié au début sous la cuisson mais maintenant elle pleurait et suppliait comme une gamine punie par sa sévère tatie. La fessée cessa mais Rosa garda Olga couchée en travers de ses genoux. Elle voulait profiter de cette nouvelle paire de fesses à sa disposition, bien sûr Olga irait au coin comme toutes les punies après une bonne fessée déculottée mais elle avait d'autres projets actuellement pour ce bon gros derrière si appétissant avec sa couleur de tomate bien mûre. Elle commença à le caresser ce qui parut bien agréable à Olga mais rapidement elle écarta à nouveau les fesses, ce qui l'était beaucoup moins. 

- on va s'occuper maintenant de ton petit trou ma petite chérie, détends toi sinon tatie va être obligée de recommencer la fessée. 

Elle avait préparé un petit plug rose qu'elle prit sur la table, elle le mit dans sa bouche pour l'humidifier, elle souriait en pensant que ce joli petit engin allait garnir le gros derrière écarlate d'Olga. Celle-ci ne se doutait pas de ce que manigançait Rosa, elle essayait de ne pas serrer ses fesses que sa fesseuse maintenait toujours écartées. Elle sentit soudain quelque chose de doux et rond s'appuyer sur son anus, par réflexe elle contracta ses fesses. Une magistrale claque lui brûla à nouveau le postérieur. 

- ah pas de  ça ma petite, sinon tatie va vraiment se fâcher.

- non, non...pardon tatie Rosa, mais qu'allez vous me faire. 

La sévère matrone se mit à rire. 

- rien de bien grave ma chérie, je vais te mettre un gros suppositoire dans ton joli derrière, tu sais comme faisait ta maman quand tu étais malade. Un bon gros suppositoire rose que tu vas garder toute la soirée pour t'apprendre à être sage au travail. 

Elle avait mis le plug sous le nez d'Olga. 

- regarde ce qui va rentrer dans ton petit trou ma chérie, regarde comme c'est mignon.

- oh non tatie Rosa, pardon, non s'il vous plaît pas ça. 

Olga avait toujours détesté quand sa mère lui mettait un suppositoire, c'était déjà très humiliant et Rosa avait prévu de lui mettre cette chose énorme dans les fesses alors qu'elle avait 50 ans. Elle se remit à pleurer. La fesseuse lui tapotait les fesses. 

- tu vas te laisser faire ma chérie, ce n'est pas très agréable certainement mais la prochaine fois tu seras sage et tu n'auras pas le plug. Si jamais tu resserres encore les fesses, je prends la brosse à cheveux. 

La menace était sérieuse, Olga détendit le plus qu'elle pouvait son bon gros derrière, elle sentit l'instrument punitif franchir l'obstacle de son petit trou qui s'ouvrait doucement, c'était plus humiliant que douloureux, Rosa pour une première fois avant choisi un plug d'une taille raisonnable. Elle jouissait du plaisir de pénétrer pour la première fois ce beau derrière de femme mûre "Tu vas voir ma petite chérie ce n'est pas la dernière fois que je m'occupe de ton derrière, je te garantis qu'il va être souvent bien garni" ses pensées vagabondaient pendant que le plug disparaissait entre les fesses d'Olga. Nul doute qu'un jour celle-ci goûterait à son gode ceinture. 

Maintenant Olga pleurait doucement, elle sentit la rondelle du plug contre sa raie fessière, c'était vraiment une nouvelle sensation, ses fesses brûlantes et cet engin à l'intérieur. Satisfaite, Rosa lui claqua les fesses. 

- voilà un derrière bien garni, bon maintenant tu files au coin, le plug va te permettre d'encore mieux réfléchir à ton comportement. 

Olga repris sa position dans le coin, c'était encore plus désagréable qu'habituellement mais la menace d'une fessée à la brosse était suffisante pour lui faire accepter cette douloureuse et humiliante pénitence. 

Quand Brigitte arriva elle trouva donc sa fille au coin exposant une magnifique paire de fesses écarlate, elle fut un peu surprise de découvrir au milieu des fesses d’Olga la rondelle rose du plug.

Rosa eut vite fait de lui expliquer les bienfaits de ce petit supplément à la punition d'Olga, elle appela la punie. 

- viens ici ma chérie, tu vas montrer à maman comment tatie Rosa s'est bien occupé de ton bon gros derrière. 

Rouge de honte, Olga tout en gardant ses mains sur la tête de retourna. Rosa était assise sur le canapé et son doigt indiquait ses genoux, la directrice de la bibliothèque se retrouva à nouveau couchée en travers des cuisses de la solide matrone, Brigitte était assise en face ne quittant pas des yeux le fessier rougeoyant de sa fille. Rosa écarta largement les deux fesses, la rondelle du plug était plaquée au  fond de la raie fessière, elle la saisi et commença à le retirer doucement.

,- tu vois cet instrument est bien en place et notre petite Olga à été bien sage, je vais juste le retirer un moment pour que tu voies comment le mettre. 

Olga gémissait doucement devant cette humiliation supplémentaire, le plug était maintenant sorti, Rosa tenait toujours les fesses écartées.

- tu vois c'est un plug pour débuter mais je t'assure qu'elle le sent bien dans son derrière quand il est en place. C'est très efficace pour que la punie se rende compte que la punition est encore en cours et qu'elle n'a pas fini de montrer ses fesses. En particulier si tu lui fais garder dans la journée sous sa culotte et sa jupe. 

Elle avait posé le plug sur la table et elle tenait toujours les fesses écartées dans le but évident de faire bien honte à Olga, elle lui tapota les fesses. 

- bien ma petite chérie la récréation est terminée, tatie va te remettre le plug, ta punition n'est pas terminée. Mais avant tu vas aller le nettoyer, on t'attend ne traîne pas. 

C'était la honte définitive pour Olga qui une fois relevée dut aller â la cuisine tenant le plug à la main, les fesses bien rouges exposées à Rosa et Brigitte. Quand elle revint la couleur de ses joues n'avait rien à envier à celle de ses fesses. 

Rosa tapota à nouveau sur ses cuisses gainées par ses bas noirs pour lui indiquer l'endroit qui lui était destiné, sans un mot Olga se coucha à nouveau en travers des genoux de sa nouvelle tatie. Ses fesses étaient à nouveau bien présentées aux deux femmes, Rosa les écarta largement, la petite rondelle brune était bien visible encore un peu dilaté, le plug pénétra doucement, Olga se laissait faire en pleurant, elle était devenue docile à force d'avoir les fesses bien rouges. Le plug était à nouveau en place, la sévère maîtresse posa sa main sur les fesses rouges.

- ce petit derrière a un peu refroidi, on va le réchauffer pour le temps qu'il te reste à passer au coin. 

Elle prit la brosse à cheveux et se mit à claquer à nouveau sur le large derrière de la pauvre Olga, elle souriait en voyant les fesses gigoter sous la brûlure, les jambes battaient l'air de façon désordonnée. 



C'était décidément une très mauvaise journée pour les fesses de la directrice de la bibliothèque. La énième fessée déculottée terminée Olga fut remise sur ses pieds et elle rejoignit le coin de la pièce en reniflant, elle avait fait mine de porter ses mains à son derrière brûlant mais Rosa l'avait avertie. 

- remet immédiatement tes mains sur la tête si tu ne veux pas revenir sur mes genoux pour un petit complément !!

Maintenant les larges fesses bien rouges étaient exposées, elles se serraient convulsivement, c'était le seul moyen pour essayer d'atténuer la cuisson. 

- voilà notre petite Olga va rester là pendant qu'on prend le thé, j'ai été obligée d'être un peu sévère avec elle, tu liras son carnet de correspondance, il est édifiant. Cette petite à vraiment besoin d'être tenue. Mais heureusement ses fesses sont faites pour la fessée. 

Elle avait dit ça en riant et s'était levée pour préparer le thé.

- au fait, ça s'est bien passé ton rendez-vous ?

Brigitte rougit légèrement et éluda la question.

- oh oui, oui rien de particulier. 

Rosa était déjà dans la cuisine et n'avait pas remarqué son léger trouble.

///

C'était Ingrid qui avait conseillé à Brigitte le docteur Dupuis quand elle lui avait dit qu'elle n'avait plus de gynécologue.

- tu verras c'est une dame très efficace, je la connais bien, je peux t'avoir un rendez-vous rapidement. 

Une idée un peu perverse avait germé dans son cerveau, "si on pouvait faire rentrer dans nos petits jeux cette ancienne institutrice". Avec Michèle Dupuis elles étaient devenues amies depuis qu'elles se partageaient les fesses de Marie, elle l'avait même invitée à assister à une des sessions du midi où elle s'occupait des trois paires de fesses de Marie, Olga et Lucie. Le docteur Dupuis avait même mis la main à la pâte si on peut dire puisque Lucie avait reçu une magistrale fessée déculottée de cette même main.



Le lendemain Ingrid annonça à Brigitte qu'elle avait un rendez-vous le soir même. 

En arrivant dans la salle d'attente elle trouva une dame qu'elle avait déjà rencontré à la bibliothèque. Le docteur Dupuis ouvrit la porte de son bureau. 

- à bonjour, vous êtes la dame envoyée par Ingrid, j’en ai pour un instant, je m'occupe de Marie d’abord et ensuite c’est à vous 

La dame ainsi désignée se leva en rougissant et suivit le docteur Dupuis. Quelques instants plus tard, Brigitte qui avait l'oreille fine entendit distinctement un bruit caractéristique, surtout pour une amatrice de fessée. C'était bien le claquement d'une main sur la peau nue. A n'en pas douter, le docteur Dupuis s'occupait vraiment de Marie, enfin plutôt de ses fesses. Un petit sourire se dessina sur les lèvres de l'ancienne institutrice, décidément la fessée n'avait pas disparu dans nos contrées. 

Quelques minutes plus tard la porte du bureau s’ouvrit à nouveau et la médecin lui fit signe d’entrer. Un peu surprise de ne pas avoir vu la patiente précédente sortir, Brigitte se leva. En entrant dans le bureau, elle eu la réponse à sa question, juste en face de la porte, dans un coin se tenait Marie, elle avait la jupe retroussée et épinglée dans son dos, sa culotte était baissée sur ses genoux et elle exposait une très jolie paire de fesses bien rebondie qui était d’un beau rouge profond, celui obtenu après une magistrale fessée déculottée. Les épaules de la punie étaient secouées par les sanglots, ses fesses se serraient convulsivement et elle piétinait sur place signe d’une cuisson intense de son postérieur.

Brigitte marqua un temps d’arrêt que remarqua la gynécologue, les yeux de sa nouvelle patiente était fixé sur le derrière écarlate de Marie. Elle eut un petit sourire.



- cette dame est punie, j’ai été obligée de lui administrer une bonne fessée déculottée comme on le fait aux vilaines filles. Un petit séjour au coin pour montrer ses fesses à tout le monde lui fera le plus grand bien. Asseyez-vous et expliquez moi ce qui vous amène.

Brigitte expliqua ses petits problèmes, la gynécologue lui montra le lit d'examen .

- bien, déshabillez vous, je vais vous examiner. 

Brigitte avait l'habitude des examens gynécologiques mais la présence de cette dame déculottée dans le coin de la pièce, rendait la situation un peu bizarre. Elle commença à enlever ses vêtements, quand elle fut en culotte et soutien-gorge, elle hésita un moment, le regard sévère de Michèle Dupuis l'incita à continuer, il ne lui restait maintenant plus que sa culotte... Michèle Dupuis s'impatienta. 

- vous vous déculottez madame !!! Je ne vais pas vous examiner à travers votre petite culotte ?

Brigitte rougit et s'empressa de baisser sa culotte. Elle se dirigea vers le lit d'examen, Michèle Dupuis appréciait sa belle paire de fesses, malgré son âge, elles étaient encore bien rebondies. Elle avait utilisé le terme se déculotter à dessein, en effet c'était un mot associé à la fessée. Elle avait vu la réaction de Brigitte et elle comptait en profiter, elle remercia Ingrid par la pensée de lui offrir ce nouveau terrain de jeu, une belle croupe de dame mûre. 

Elle redevint professionnelle pendant la durée de l'examen, Brigitte était confuse car la vue du fessier écarlate de Marie l'avait excitée et elle craignait que la gynécologue ne s'en rende compte, ce fut bien sûr le cas, elle regarda sa patiente en souriant. 

- je vous félicite madame, pour votre âge, vous avez encore une bonne sécrétion vaginale. 

Brigitte était morte de honte. Michèle Dupuis s'en rendit compte. 

- ne soyez pas confuse, Marie à vraiment de jolies fesses, particulièrement quand elles sont bien rouges. Maintenant vous allez vous mettre sur le ventre. 

Brigitte protesta. 

- mais pourquoi docteur ?

Michèle fronça les sourcils, sa patiente mordait à l'hameçon, elle prit son air sévère. 

- décidément vous n'êtes pas très obéissante, faut-il que j'emploie la même méthode qu'avec Marie ?

- oh non, non. Excusez-moi. 

Brigitte s'était immédiatement retournée et elle présentait son derrière à la gynécologue. Celle-ci était ravie, elle commença par palper les fesses puis les écarta légèrement. L'institutrice retraitée serra instinctivement ses fesses, Michèle lui administra deux claques sèches. 

- il va falloir vous laisser faire madame, sinon je devrai sévir. 

Brigitte s'excusa,  elle était elle-même surprise de sa soumission. Elle sentait confusément qu'elle changeait imperceptiblement de statut. Surtout que la gynécologue continuait. 

- je vais vous prendre la température. 

Brigitte s'étouffa de honte, mais ne protesta pas. Elle sentit deux doigts de la médecin lui écarter à nouveau les fesses et l'embout froid du thermomètre pénétrer son anus. Elle avait essayé de ne pas résister mais c'était trop pour elle,  elle contracta ses fesses. C'était ce qu'attendait Michèle, elle retira le thermomètre. 

- bien ! Levez-vous !!

Dès que Brigitte fut debout, elle la saisit par la taille, la courba sous son bras et avant que celle-ci n'ait eu le temps de réagir, elle lui administra une rapide mais sévère fessée qui fit trépigner sur place et crier la pauvre Brigitte. 

Sa dernière fessée déculottée remontait à très longtemps, sa mère avait utilisé cette méthode de punition jusqu'à ce qu'elle quitte la maison pour rentrer à l'école normale d'institutrice, cela faisait donc plus de cinquante ans. Depuis cette date, c'est toujours elle qui avait baissé les culottes et claqué les fesses. Elle avait oublié combien ça brûlait une bonne fessée cul nu. Et le docteur Dupuis s'y entendait pour rougir les fesses. Quand elle la relâcha, Brigitte présentait une bonne paire de fesses bien rouges. 

- j'espère que vous avez compris, remettez vous en position,  vite  !

Elle se rallongea sur le ventre et ne protesta pas quand le thermomètre pénétra profondément dans son intimité. 



Satisfaite, Michèle lui tapota les fesses bien rouges. 

- voilà, ce n'était quand même pas si compliqué, vois auriez pu éviter cette petite fessée. 

Elle retourna à son bureau et contempla ce spectacle si excitant pour une fesseuse, deux belles paires de fesses bien rouges exposées et à sa disposition. Elle glissa discrètement sa main dans sa culotte pour se caresser. 

Brigitte avait été complètement prise au dépourvu par ce changement, elle s'était laissée surprendre par l'autorité naturelle de la médecin. Maintenant malgré sa honte d'être ainsi exposée et la cuisson de ses fesses, elle n'osait pas bouger, elle était même un peu surprise de sentir une petite excitation entre ses cuisses. 

Elle resta un quart d'heure ainsi les fesses serrées sur le thermomètre qui dépassait à peine de ses fesses.



 Entre temps Michèle avait à nouveau administré une petite fessée avec la règle à Marie pour entretenir la rougeur de son fessier. 

Quand enfin elle lui retira le thermomètre, c'était une Brigitte soumise qui se rhabilla et s'assit face à elle. Le docteur Dupuis rédigea une ordonnance qu'elle lui tendit.

- tout va bien madame, vous pouvez être rassurée sur votre état de santé, cependant je tiens à ce petit traitement. 

Brigitte lu l'ordonnance, elle n'en cru pas ses yeux, c'était la même que celle de Marie quelques semaines plus tôt. 

Une fessée déculottée, tous les midis, cinq jours par semaine pendant un mois. Administrée par le docteur Dupuis à son cabinet. 

Incrédule, elle leva les yeux vers la gynécologue. Celle-ci souriait. 

- ça va vous faire le plus grand bien, vous allez voir. Bien sûr ce traitement n'est pas optionnel, je ne voudrais pas être obligée de prévenir votre fille pour lui demander de vous accompagner. 

Le piège s'était refermé sur Brigitte, elle baissa les yeux. 

- non, non ce ne sera pas la peine docteur, ne prévenez pas Olga, je viendrai tous les jours. 

Elle régla la consultation et se leva pour sortir, son regard se porta sur les fesses écarlates de Marie. 

Bientôt ce serait son tour d'exposer ainsi son derrière. Elle eu un petit frisson, le docteur Dupuis lui infligerait-elle l'humiliation d'une punition publique ?



Elle sentit sur ses fesses la main de la gynécologue qui la raccompagnait. 

- à demain Brigitte, 12h30 précise. Soyez à l'heure. 


jeudi 18 mai 2023

Le manoir des dames suite 4

Le nouveau rituel



 

Alors que le vendredi suivant approchait, les dames et les filles devenaient de plus en plus inquiètes, bien sûr ça avait toujours été le cas depuis que Miss Simpson avait institué ce strict rituel du vendredi de nombreuses années avant.

Mais cette fois, l'inquiétude était plus profonde, Miss Mélanie avait déjà augmenté la sévérité de la procédure la dernière fois. Elle avait notamment introduit le préchauffage et la participation des deux domestiques. Cela avait été particulièrement humiliant pour la baronne, qui avait perdu certains de ses privilèges, ainsi le fait que la gouvernante ait insisté sur «l'égalité» l'avait finalement amenée à être déshabillée et punie en public comme tous les autres membres de la famille. D’ailleurs n'avait-elle pas dut subir cela également aujourd’hui dans le jardin ?



Une partie de l'inquiétude était due au fait que certains des commentaires d'Agathe et de Mildred indiquaient que le rituel serait encore modifié. Mais elles n'avaient donné aucun détail.

Le premier choc est venu quand, après le déjeuner, Miss Mélanie  annonça que chacune devrait aller mettre son pyjama ou sa chemise de nuit avant d'entrer dans la grande salle où se pratiquait toujours le rituel du vendredi.

Il y eu encore des soupirs et des gémissements quand Miss Mélanie ajouta d'un ton sans réplique.

- et quand je dis pyjama ou chemise de nuit, je le pense vraiment. Vous venez pieds nus et vous ne portez rien en dessous. Vous laissez votre culotte dans vos dortoirs, s'il vous plaît ! mes chéries.

Mais elle avait aussi une annonce légèrement positive à faire. Les fessées de rémanence pour les dames inscrites sur le tableau serait reporté au samedi matin les jours de rituels.

Au fur et à mesure que l'après-midi avançait, il y eu beaucoup de débats parmi les membres de la famille pour savoir si le pyjama serait plus approprié pour protéger sa dignité que la chemise de nuit. Mais aucun verdict clair ne fut rendu car il était certain pour tout le monde que d'une manière ou d'une autre, elles devraient montrer leurs fesses nues.

Quand tout le monde arriva dans  la grande salle, il s'avéra qu'Adélaïde, ses deux filles et les mamans avaient avaient opté pour les chemises de nuit, la tenue qu’elles devaient de toute façon porter la nuit. Les jeunes filles étaient toutes en pyjama. L'ambiance était pesante, beaucoup avaient la tête basse et certaines semblaient au bord des larmes.

Miss Mildred leur demanda de se tenir côte à côte bien droite et de ne pas bouger. En face d'elles, six chaises étaient disposées en arc de cercle.

Elle fit un signe de tête à Agathe, la cuisinière sorti un morceau de papier d'une urne et lu à haute voix, "Virginie!"

La dame de 35 ans sursauta et regarda Agathe, confuse et un peu effrayée,  Miss Mélanie lui dit simplement

- assieds toi sur la première  chaise, ma chérie s'il te plaît !

Virginie obéit, puis sa nièce Élodie s'assit sur la chaise à côté d'elle. Peu à peu, toutes les chaises furent occupées par tirage au sort, la baronne était assise sur la chaise quatre.

Comme toutes les chaises étaient prises, tout le monde se demandait ce qui allait se passer. Le lot suivant fut tiré, c’est le nom d’Isabelle qui sorti en premier, elle fut envoyée devant la chaise de droite sur laquelle était assise sa sœur Virginie, qui avait deux ans de plus qu'elle.

Miss Mélanie ordonna à Isabelle de se coucher sur les genoux de Virginie. Il y eut un gémissement collectif.

- taisez-vous!

La gouvernante avait parlé d'une voix forte et autoritaire et dans le silence soudain, elle ajouta

- Virginie, voudriez-vous s'il vous plaît nous montrer les jolies fesses bien rondes de votre chère sœur.



Maintenant, tout le monde avait  compris que c'était la prochaine étape du concept d'égalité de Miss Mélanie.

Alors que seules les mères avaient jusqu'alors donné une fessée à leurs filles lors du rituel, maintenant une sœur était allongée sur les genoux de l'autre. Et comme tout se décidait par tirage au sort, des appariements encore plus gênants pouvaient se produire.

Lors des tirages suivant les couples furent traditionnels, Margot dût se coucher sur les genoux de sa mère Élodie, le couple suivant constitué de Sophie et de sa nièce Camille n'était pas particulièrement inhabituel non plus.

Par contre, le couple suivant était une nouvelle combinaison, en effet après avoir baissé la culotte de pyjama de Lola comme demandé, le petit derrière bien ferme de la jeune fille se présenta à la baronne assise sur la chaise quatre. C'était une première, car elle n'avait jamais eu l'occasion de fesser l'une de ses arrière-petites-filles. Ça aurait du la rendre heureuse, mais elle se rendit compte rapidement que pour la suite du rituel, c’est elle qui devrait se coucher sur les genoux de Lola et elle ne se faisait aucune illusion, ses propres fesses ne seraient pas non plus couvertes à ce moment là..

Le tirage au sort était enfin terminé, mais comme il y avait un nombre impair de membres de la famille, il en restait une, c'était Marion, 16 ans. Un instant, elle espéra qu'elle serait épargnée ce vendredi. Mais la gouvernante prit une chaise et l'a plaça en face de la rangée de chaises occupée par les couples. Elle s'assit dessus, l'espoir de Marion s'évapora, Mélanie lui souriait en tapotant ses genoux et lui dit gentiment

- on ne t'a pas oubliée Marion, c'est la place qui t'est réservée !

 Mélanie eu donc elle aussi un joli derrière tout nu bien rond, d'un blanc laiteux, disponible pour le traitement qui allait suivre.

Mélanie examina l'illustre éventail de fesses nues, toutes de tailles et de formes variées. Elle sourit et pris une inspiration profonde.

- nous fesserons à l'unisson, Miss Agathe et Miss Mildred vont vous surveiller. Si l'une de vous se comporte de façon trop indulgente, elles diront "stop". Tout le monde arrêtera alors de fesser et la fautive sera punie. Avez-vous compris ?

- oui, Miss Mélanie !

les six fesseuses avaient répondu à l'unisson.

C'est seulement à ce moment qu'elles virent que les deux Miss, ces anciennes domestiques avaient chacune pris une canne sur l'étagère.

La gouvernante leva la main droite, sa main gauche reposait sur le dos de Marion. Sans avoir besoin de leurs dirent, toutes les fesseuses levèrent  leurs mains, prêtes à claquer. Miss Mélanie leur indiqua qu'elle allait donner le rythme, elle abaissa sa main très rapidement et sept claques très fortes retentirent. Suivies de quelques gémissements, moins dû à la douleur qu'à la surprise.

La maîtresse fesseuse laissa sa main reposer un instant sur les fesses de Marion, les six fesseuses firent de même puis toutes les mains se levèrent à nouveau et les claques se suivirent en cadence.



Agathe observait les fesseuses des chaises une à trois, tandis que Mildred se consacrait aux trois autres, elles se tenaient là, fléchissant les cannes dans leurs mains avec désinvolture.

Après la septième ou la huitième claque, Mildred cria très fort : "Stop !’’

Toutes les mains restèrent posées sur une fesse.

- Adélaïle, chérie. Miss Mélanie t'a-t-elle dit de caresser le petit derrière de Lola ?

Adélaïle rougit et demanda

- ce n'est pas assez sévère, Miss Mildred ?

- non, ce ne l'est pas ! 

La jeune femme avait répondu sèchement, ajoutant

- voudriez-vous s'il vous plaît tendre votre main gauche, paume vers le haut?

Ce n'est que lorsque sa main fut levée que la baronne comprit ce que Mildred préparait.

- oh s'il vous plaît, Miss Mildred, Miss Mélanie, s'il vous plaît pas ma main, s'il vous plaît!

C'était quelque chose de nouveau pour la famille De Bois Blanc, on avait jamais puni quelqu'un sur les doigts du vivant des personnes présentes. Mildred n'était pas au courant de cela et ignorant ces pleurnicheries elle abattit deux fois la canne sur la paume d'Adélaïde, elle le fit si rapidement que la dame de 75 ans ne put retirer sa main, elle se mit à pleurer à chaudes larmes. Elle secouait désespérément la main punie en l'air, comme si elle pouvait faire fuir cette douleur indicible, mais elle dut lever rapidement l'autre main, car Miss Mélanie l’avait décidé ainsi. Elle donna les deux coups suivant aussi fort et aussi rapidement, la baronne sursauta ce qui fit rebondir le derrière de Lola couchée sur ses genoux. Mildred souriait de contentement. "Voilà!"  pensait-elle

Un seul avertissement supplémentaire fut nécessaire. Miss Agathe fit goûter la canne aux doigts d'Elodie, à son avis, elle avait été un peu trop douce avec les fesses de sa sœur.

Miss Mélanie ne termina l'échauffement que quand toutes fesses, ainsi que les cuisses furent d’un rouge vif. Il n'y eu pas de temps mort, les dames et les filles durent se relever des genoux et remonter rapidement leurs culottes de pyjama ou remettre en place leurs chemises de nuit. La plupart pleuraient ou sanglotaient encore, celles qui avaient donné la fessée durent également se lever pour laisser la place aux autres qui s'asseyèrent, ce qui provoqua de nombreux gémissements.

Puis celles qui étaient debout se couchèrent sur les genoux de celles qui étaient assises, et bientôt elles exposèrent leurs fesses. Pour Adélaïde en particulier se fut particulièrement gênant, lorsque Lola, 18 ans, retroussa sa chemise de nuit pour mettre à nu ses fesses, c'était certainement le traitement le plus humiliant qu'elle ait jamais subi.

Miss Mélanie, sur les genoux de laquelle Marion pleurait encore, regardait Lola avec plaisir. Elle voyait ses yeux briller en regardant les larges fesses si généreuses de son arrière-grand-mère, elle les caressait et bientôt elle allait les fesser.

Cela inspira Mélanie qui laissa également sa main caresser les fesses brûlantes de Marion. « La vengeance est douce », pensa Mélanie avec un peu de mélancolie et d'envie. Elle n'avait jamais eu le privilège de fesser sa grand-mère ou sa mère, et cette jeune fille allait être autorisée à corriger son arrière-grand-mère sur ses fesses nues. Quelle fille chanceuse.

Marion, quant à elle, appréciait les frottements sur ses fesses brûlantes mais elle était quand même désolée, elle allait recevoir deux fessées d’échauffement. Elle pensait que c'était injuste, mais bien sûr, elle n'osa pas se plaindre.

Le frottement cessa, la gouvernante frappa dans ses mains et cria

- continuons. Est-ce que tous les derrières sont prêts ?

- oui, Miss Mélanie !

Toutes celles qui étaient assises avaient répondu à l’unisson puis elles levèrent la main comme Miss Mélanie.

Et le bruit des bonnes claques bien sonores à retentit à nouveau.  Bien sûr,  Marion s’est mise a crier dès le début et on pouvait même y entendre de la colère. C'était tellement injuste de devoir endurer un deuxième échauffement. À ce moment-là, elle détestait vraiment la gouvernante

Pendant cette deuxième partie, il ne fut pas nécessaire de réprimander qui que ce soit. Apparemment, les deux avertissements avec la canne sur les doigts avaient suffi à faire en sorte que tout le monde fesse très fort. Le sentiment de vengeance jouait certainement son rôle, car celles qui avaient fessé auparavant étaient maintenant couchées sur les genoux des de celles qu’elles avaient fessées.

Miss Mélanie levait parfois les yeux du derrière de Marion qui était déjà d’un beau rouge vif puisqu’elle y travaillait pour la deuxième fois pour surveiller Lola.

C'était émouvant de voir avec qu’elle énergie et enthousiasme elle claquait les fesses si bien présentées de son arrière-grand-mère. Elle voulait absolument impressionner Adélaïde et ça fonctionnait, car rapidement celle-ci donna des coups de pied et se mit à gémir comme une gamine. 



Puis ce fut des cris plus stridents, les claques de Lola devaient faire très mal et la baronne avait sans doute complètement oublié que c'était la jeune Lola qui lui claquait les fesses. Toute son attention était portée sur la cuisson de son derrière et de ses cuisses, c’était de plus en plus douloureux

Mélanie se demandait comment cela allait changer la relation entre arrière-petite-fille et arrière-grand-mère. Il en allait de même pour Louison, qui n'avait que 15 ans et qui fessait sa grand-mère Christine, qui avait 38 ans de plus qu’elle. Dans les deux cas, la gouvernante soupçonnait les dames plus âgées d'être surprises de voir à quel point les jeunes étaient capables de fesser avec plus de force qu’elles-mêmes. Cela générerait certainement beaucoup de respect pour ces jeunes filles à l’avenir.

Mélanie souriait de contentement, son nouveau concept du rituel semblait bien fonctionner, mais soudain elle baissa les yeux. Il y avait une paire de fesses d’un rouge très profond qui se tortillait désespérément sur ses genoux, Mélanie perdue dans ses pensées, avait continué de fesser Marion.

Elle se sentit un peu coupable envers la jeune fille, qui avait déjà reçu deux fois plus que tout le monde, elle décida pour des raisons d'équité, de faire sauter la fessée de Marion avec les instruments de punition.

Il lui sembla aussi que les derrières étaient maintenant suffisamment échauffés.

"Stop" cria-t-elle et toutes les mains qui tapaient restèrent sur les fesses qu'elles avaient claquées en dernier.

Les six fraîchement fessées furent autorisées à se relever, ce fut également le cas pour Marion. Elle fut autorisée à remettre son pyjama, ce qui s'appliqua également à ses compagnes d'infortune. Ensuite, les autres durent se lever de leur chaise et se procurer un instrument destiné à leur génération. La nouvelle gouvernante n’avait pas changé cet héritage de la précédente.

Les jeunes filles Margot, Camille, Lola et Louison revinrent avec des brosses à cheveux. Isabelle alla chercher une paddle en bois et Irène la tawse qui lui était destiné selon l'ancien rituel.

Cette dernière aurait eu envie de protester pourquoi le principe d'« égalité » ne s'appliquait-il pas également aux instruments ? Mais elle n'osa pas se plaindre. En revanche, elle n'avait pas d'illusion sur le fait que sa petite-nièce de 14 ans, Émilie aurait certainement la force de lui faire sentir correctement la brûlure de la tawse. Déjà pendant l'échauffement, elle avait remarqué que la jeune fille pouvait claquer très sévèrement.

Miss Mélanie regardait en souriant les dames et les jeunes filles tenant dans leur main l’instrument qui allait bientôt claquer leurs fesses.

- en place mesdames, asseyez vous. Les punies, vous donnez l’instrument destiné à vos fesses à votre fesseuse. Emilie met ta chaise en avant pour ne pas être gênée. Irène tu te penches et tu mets tes mains sur la chaise.

Personne n’avait protesté et bientôt six derrières déjà bien rouges furent mis à nu. Emilie avait pris un grand plaisir à retrousser bien haut sur son dos la chemise de nuit de sa grand-tante. Irène avait été particulièrement sévère pour la fessée d’échauffement, Emilie en gardait les fesses brûlantes. Elle tenait la lanière en cuir dans sa main, Mélanie s’adressa à Mildred.

- tu vas montrer à notre petite Emilie comment se servir de la tawse pour que les fesses d’Irène s’en souviennent pour le mois qui vient.

Mildred était ravie, elle adorait claquer les fesses de ces nobles dames et aujourd’hui elle avait été un peu frustrée. Elle prit la tawse se plaça sur le côté d’Irène qui tendait bien ses fesses.

- tu vois ma chérie, il faut que ton poignet soit souple, tu commences par viser le centre des fesses, comme ça.

Elle avait levé la tawse et l’abattit en travers du petit derrière bien rebondi malgré son âge,  Irène poussa un cri strident mais ne se releva pas. Emilie avait un petit sourire sur les lèvres, ce nouveau rituel était toujours aussi cuisant pour ses fesses mais il y avait quand même quelques compensations.



Mélanie aussi souriait, l’éducation sévère commençait à porter ses fruits, les dames recevaient leurs punitions sans protester.

Elle frappa dans ses mains et les instruments commencèrent à claquer les derrières nus, les claquements se mêlaient aux cris puis aux pleurs des punies, les jambes battaient l’air dans un véritable ballet. La fessée ne cessa que quand tous les fessiers furent d’un rouge profond.

Les six dames purent se relever le visage noyé de pleurs, elles allaient pouvoir se venger sur les fesses de leurs fesseuses. Mélanie ne les autorisa pas à recouvrir leurs fesses, les culottes de pyjama restèrent aux chevilles et Mildred et Agathe épinglèrent les chemises de nuit dans le dos.

Elodie était particulièrement humiliée de devoir se coucher comme une gamine sur les genoux de sa propre fille, elle avait remarqué le sourire moqueur de Margot lors de la fessée d’échauffement et sa fille ne l’avait vraiment pas épargnée lui administrant une magistrale fessée en souvenir de toutes celles qu’elle lui avait administrée depuis qu’elle était petite. Maintenant elle était devant elle lui présentant tête basse, la paddle en bois qui allait claquer son large fessier rebondi de dame. Les fesses de Margot étaient douloureuses sur le bois dur de la chaise mais elle prit la paddle avec un petit sourire et fit basculer sa mère en travers de ses genoux, c’était la deuxième fois qu’elle les avait ainsi à sa disposition, elle remarqua qu'elles étaient vraiment agréable à regarder, les fesses très blanches d'Elodie prenait une magnifique couleur rouge après la fessée. "Ma petite maman tu vas voir comme je vais te faire danser les fesses", Margot passait le paddle doucement sur l'épiderme brûlant en pensant à la correction qu'elle allait administrer à sa mère.

Mélanie avait demandé à Lola de mettre la chaise au milieu de la pièce pour avoir de la place pour la canne. Christine avait pris la place d'Irène et ses grosses fesses bien rouges étaient maintenant bien exposées,  prêtes pour que Louison leurs administre la tawse. Mildred lui fit une démonstration comme pour Emilie. Christine hurla sous la brûlure, une bande rouge plus sombre barrait son large fessier, elle piétina sur place mais resta les fesses bien tendues vers sa petite fille.

Adélaïde avait été chercher la canne et en rougissant elle l'avait tendue à Lola qui l'avait prise avec un petit sourire. C'était la première fois qu'elle allait recevoir la canne en public pour le rituel et en plus ce n'était pas sa gouvernante qui allait lui administrer mais son arrière petite fille. Comment oserait elle la regarder demain après avoir été obligée de lui présenter son derrière pour cette punition. Elle posa ses mains sur la chaise et tendit ses fesses comme elle avait l'habitude de le faire quand elle recevait la canne dans l'intimité. Lola s'approcha en souriant, ça avait déjà été un grand plaisir de coucher la baronne sur ses genoux et de lui donner la fessée avec la main comme si elle était une petite fille mais lui retrousser sa chemise de nuit pour mettre ses fesses à nu c'était encore plus excitant et lui faisait un peu oublier ses fesses brûlantes.

Tout les derrières étaient maintenant prêt. Mélanie leva la main.

- vous allez pouvoir commencer la fessée sauf Lola. Adélaïde doit recevoir ses douze coups de canne habituel mais elle doit compter. On ne va pas l'entendre, tu vas lui  donner la canne après les autres fessées.

Adélaïde était désespérée, sa fessée serait vraiment publique puisque tout le monde pourrait la voir recevoir la canne.

Mélanie avait donné le signal du départ, les cris redoublèrent mêlés avec les pleurs des punies. Elles purent se relever et les derrières restèrent nus également. Agathe et Mildred epinglèrent bien haut les chemises de nuit.

Adélaïde était toujours dans la même position prête à recevoir la canne, les fesses rouges bien exposées. Mélanie prit la canne des mains de Lola.

- je vais donner un coup de canne sur les fesses d'adélaïde pour te montrer.



Elle se recula fit siffler la canne dans l'air et l'abattit rapidement en travers des fesses de la baronne qui fléchit les genoux et cria en comptant "un". Mélanie sourit et s'adressa à Adélaïde.

- ce coup ne compte pas ma chérie, c'était juste pour montrer à Lola. Mais je te félicite tu as été courageuse.

Puis se tournant vers les dames aux fesses bien rouges.

- mettez vos mains sur la tête et je ne veux plus rien entendre ! À toi Lola, 12 coups bien appliqués, tu finiras par le haut des cuisses.

Lola se plaça de côté et leva la canne, elle avait un sentiment de puissance malgré ses fesses nues et bien rouges. La baronne cria et compta après chaque coup, elle fléchissait chaque fois les genoux mais reprenait rapidement sa position. Au dixième coup elle hurla et se releva, Lola venait de frapper le pli séparant les fesses des cuisses .

- aïe aïe aïe...non non...miss ça fait trop mal .

Lola regarda Mélanie, celle-ci en souriant lui dit.

- tu as entendu 10 ma chérie ?

- non miss Mélanie.

Mélanie se tourna vers Adélaïde qui pleurait et piétinait sur place, on sentait qu'elle mourrait d'envie de se frotter les fesses.

 - Adélaïde ! Cesse de pleurnicher, tu n'as pas compter, il te reste encore trois coups. Mildred, tu vas tenir notre petite Adélaïde pour les trois derniers coups.

Mildred s'approcha et saisit la baronne par les épaules pour la forcer à bien tendre ses fesses. L'ensemble des dames regardait avec beaucoup d'intérêt la punition de l'aïeul de la famille avec un mélange de pitié et de plaisir.

La gouvernante s'adressa à Lola, tu applique les trois derniers coups sur les cuisses ma chérie, il faut qu'Adélaïde s'en souvienne.

C'était important de donner les coups de canne sur les cuisses car on pouvait voir que la dame avait été punie même si elle avait une culotte et demain dans son petit short la baronne exposerait ses cuisses striées.

La fessée alla à son terme, Adélaïde hurla, pleura, mais elle compta les trois coups.

C'était fini, Mélanie était satisfaite de son nouveau rituel.

Adélaïde et Lola rejoignirent le rang des dames aux fesses bien rouges avec les mains sur la tête.

Miss Mélanie leurs ordonna d'aller toutes se mettre le nez contre le mur en gardant les mains sur la tête, elle les fit rester ainsi un quart d'heure à exposer leurs fesses bien punies.



Plus tard, après le dîner quand tous les membres de la famille furent dans leurs dortoirs, la gouvernante et ses assistantes se  retrouvèrent  pour un dernier verre. Bien sûr, tout le monde avait été prévenu au préalable de passer la nuit allongée sur le dos avec interdiction de se frotter les fesses ou les cuisses brûlantes

Mildred et Agathe ont rapporté à Mélanie que cette instruction avait fait pleurer à nouveau certaines dames, ce qui la fit bien rire.

- et bien, il y aura certainement quelques frottements discrets mais on va les négliger ! Par contre nous ne pouvons pas l'autoriser officiellement, car cela donnerait de mauvaises idées à nos petites protégées !



Agathe et Mildred hochèrent la tête en signe d'accord et Agathe  demanda si elle devait ouvrir une bouteille de champagne pour célébrer la journée.

Tout le monde pensa que c'était approprié.

 

Fin de la deuxième partie.

 

 

 

 

 

Deux étudiantes 22

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