dimanche 30 avril 2023

La bibliothèque 6

 Fessées publiques 



Olga se morfondait dans son coin en exposant son derrière rougeoyant. Derrière elle, Brigitte et Ingrid papotait, la conversation roulait sur les bienfaits d’une éducation stricte. Ingrid regrettait que la fessée ne soit plus autorisée à l’école et même au lycée pour les grandes jeunes filles.

Brigitte était ravie, elle avait adoré pendant sa vie professionnelle déculotter et fesser les grandes filles de sa classe, même si c'était toujours pour une raison valable, elle était comblée quand l'une d'entre elle faisait une bêtise qui méritait la sanction suprême une fessée déculottée devant toute la classe. Elle racontait ça avec plaisir à Ingrid qui buvait ses paroles en jetant un oeil sur le beau fessier d'Olga. 

- au début de ma carrière dans les années 60, la fessée était encore assez présente dans les écoles, souvent c'était juste sur la culotte, mais ma directrice de l'époque m'a dit un jour alors que j'avais juste retroussé la jupe de la punie. "Baissez lui la culotte, elle ne recommencera plus", à partir de ce moment là j'ai toujours été adepte de la fessée cul nu. 


Pour ne pas avoir de problème je prévenais toujours les mamans au début de l'année. Et elles me donnaient toujours l'autorisation de donner la fessée déculottée à leur fille si c'était nécessaire. J'exerçais dans un petit village où tout le monde se connaissait et lors d'une rentrée scolaire, une des mamans m'indiqua que le jour où sa fille recevrait une fessée déculottée à l'école elle aurait droit à une double fessée en arrivant à la maison. Ce fut rapidement adopté par les autres mamans. C'était donc simple quand j'avais été obligée de sévir la punie rentrait chez elle avec un papier où j'avais noté "bon pour une bonne fessée déculottée", elle devait me le ramener le lendemain signé par sa maman. 

Ingrid regarda à nouveau le fessier d'Olga. 

- ah bon  j'aurais dû donner un bon à Olga alors ?

Elle avait dit ça en souriant. Brigitte la regarda et lui rendit son sourire, décidément cette petite était délicieuse.

- ce sera pour la prochaine fois, mais ne vous inquiétez pas Ingrid, cette chipie aura droit à sa double fessée. 

Les fesses d'Olga s'étaient contractées, la menace de la fessée maternelle se précisait. Surtout que Brigitte continuait. 

- d'ailleurs ses fesses se sont assez refroidies. Viens un peu ici ma petite chérie. 

Olga se retourna en gardant ses mains sur la tête, sa mère lui fit un petit signe explicite, en baissant les yeux pour ne pas croiser le regard coquin de la jeune bibliothécaire elle se dirigea vers les genoux de sa maman. 

Quelques instants plus tard elle était à nouveau dans cette position humiliante, la tête près du sol, les pieds décollés et les fesses bien tendues vers sa maman. Brigitte commença par palper ce fessier, elle en appréciait la douceur et la souplesse. Vraiment Olga avait une belle paire de fesses, celle-ci instinctivement les serraient sous cette humiliante inspection ce qui lui valu une petite claque et une réflexion amusée de sa maman. 

- tu peux serrer tes fesses ma chérie, maman va te donner la bonne fessée déculottée que tu mérites, je te garantis que tu n'es pas prête de recommencer. Ingrid t'a déjà soigné mais je pense que la double fessée que je te réserve va te faire réfléchir. 



Elle leva la main et commença à claquer les fesses, elle se rendit vite compte qu'elle n'avait pas perdu la main et  qu'une fessée donnée à une adulte n'avait rien à voir avec celle qu'elle administrait à ses élèves. Elle avait la réputation d'avoir la main leste et ses fessées étaient redoutées mais jamais elle n'aurait pu fesser les petits derrières comme elle le faisait sur celui d'Olga, les larges fesses pouvaient recevoir des claques très fortes c'était évident et Brigitte ne s'en privait pas. Rapidement le fessier rebondi repris une belle couleur rouge, Olga avait gémi dès le début de la fessée mais maintenant elle suppliait et pleurait au milieu des claques sonores. 

Ingrid donnait souvent la fessée mais être spectatrice n'était pas désagréable non plus. Elle se rendit compte que c'était même très excitant de voir les fesses d'Olga danser, se serrer puis s'ouvrir largement, Olga était épilée entièrement ce qui rendait encore plus érotique cette correction. Brigitte était vraiment contente de corriger sa fille, depuis longtemps son comportement l'agaçait, la rencontre avec Ingrid avait été le déclenchement, elle allait reprendre l'éducation d'Olga depuis le jour où elle lui avait donné sa dernière fessée déculottée, elle pensa qu'elle n'aurait jamais dû arrêter. Maintenant que le large derrière d'Olga avait repris sa belle couleur de tomate bien mûre, elle cessa la fessée mais elle garda sa fille dans cette position honteuse. 



- alors ma petite chérie, j'espère que tu as bien compris, chaque fois qu'Ingrid sera obligée de te déculotter tu feras un petit séjour sur mes genoux avec la culotte baissée pour la bonne fessée déculottée de maman, je te garantis que tu vas changer d'attitude sinon ton beau gros derrière sera rouge très souvent. En attendant tu vas retourner au coin et tu vas y rester jusqu'à l'heure du repas. 

Ingrid était sidérée par l'autorité de Brigitte,  ainsi Olga qui avait déjà passé une bonne demi-heure au coin allait y rester à nouveau au moins une heure. 

Elles continuèrent à papoter, Ingrid était ravie de parler avec Brigitte et puis le spectacle offert par Olga était très excitant. 

Quand elle fut partie Olga avait encore un moment à passer au coin, Brigitte l'autorisa à croiser ses mains dans le dos mais son nez ne devrait pas quitter le mur.


 

Elle ne put se reculotter qu'au moment de passer à table. 

Une fois assise Brigitte prit la parole. 

- bien ma petite chérie, tu as bien compris que les choses allaient changer, à partir de maintenant tu vas redevenir ma petite fille obéissante. Je vais m'occuper de toi comme quand tu étais une jeune fille, tu me demanderas l'autorisation  avant de sortir, tu rentreras directement à la maison après ton travail. Que je n’apprenne pas que tu as été traîné avec des copines sinon gare. 

Olga écoutait sans rien dire, ses fesses étaient encore douloureuses et son long passage au coin fesses à l'air l'avait rendue docile. Brigitte continuait. 

- tu te rappelle, une fessée déculottée à l'école, double fessée déculottée à la maison. Il t'en reste encore une à recevoir. Dès que tu auras fini de débarrasser la table, tu files dans ta chambre tu te prépares pour la nuit et tu m'attends. Quelques instants plus tard Brigitte entrait dans la chambre de sa fille, Olga était en pyjama debout, elle ne savait pas quelle attitude adopter donc elle s'était mise au pied de son lit les bras le long du corps, Brigitte fronça les sourcils. 

- tu as perdu tes bonnes habitudes,  la prochaine fois je te veux au coin les mains sur la tête 

Olga fit une petite grimace qui ne fut pas du goût de sa maman. 

- je te conseille de cesser ces simagrées, n'oublie pas que tu ne vas pas tarder à me montrer tes fesses ! 

Brigitte s'était assise sur le bord du lit. 

- allez viens ici on va en finir avec cette fessée rapidement. 

Dès qu'Olga fut à sa portée, elle lui prit la main et la fit basculer en travers de ses genoux. Ça les ramenaient toutes les deux des années en arrière, quand Olga avait une douzaine d'années si elle avait été corrigée dans la journée, sa mère complétait souvent la punition par une fessée déculottée avant d'aller au lit. Nous y étions, Brigitte saisit la ceinture de la culotte du pyjama et le fit glisser sur les fesses, elles étaient directement accessibles car Olga savait que sa mère ne voulait pas qu'elle garde sa culotte sous son pyjama. Le fessier était encore rosé, Brigitte en apprécia à nouveau les contours. 

- tu sais ma chérie que maman n'est pas du tout contente de toi. Je vais avoir à partir de maintenant de longues conversations avec tes fesses et je suis sûr que tu vas rapidement redevenir une gentille jeune fille. Ce soir comme c'est ta première fessée au coucher tu n'auras qu'une fessée à la main mais la prochaine fois je prendrai ma brosse pour corriger ton bon gros derrière. 

Elle leva la main et se mit en devoir de rougir à nouveau les fesses d'Olga. Celle-ci se mit immédiatement à tortiller son large popotin et rapidement elle battit des pieds et supplia sa mère. 



- aïe, aïe non, non ça brûle maman, pardon aïe aïe. 

Ce n'était qu'une fessée à la main mais Olga trouvait que sa mère avait un peu trop vite retrouvé sa technique. La fessée fut magistrale et bien cuisante et c'est sur une paire de fesses écarlate que Brigitte remonta la culotte. Le fait de reculotter elle même sa fille après la correction accentuant encore un peu plus le retour en enfance d'Olga. 

Il n'était que 20h30 mais Brigitte n'avait pas l'intention d'en tenir compte elle montra le lit à Olga. 

- maintenant au lit et je veux rien entendre. 

Elle prit le téléphone posé sur la table de nuit. 

- tu n'en as pas besoin la nuit, à partir de maintenant tu le laisseras au salon le soir. 

Elle éteignit la lumière et sortit de la chambre. Olga était atterrée,  non seulement sa maman avait repris ses habitudes de fesseuse avertie, ses fesses brûlantes en étaient le témoin mais en plus elle avait décidé de remettre au goût du jour les mises au lit très tôt en cas de punition. Elle finit quand même par s'endormir. 

Le matin sa mère était déjà dans la cuisine elle lui fit une bise sur le front et immédiatement sa main se dirigea vers sa croupe.

- alors ma petite chipie a bien dormi avec son petit derrière bien rouge. On va regarder ces jolies fesses, tourne toi !

Olga obéit et immédiatement Brigitte lui baissa la culotte du pyjama sous les fesses, elle lui appuya légèrement sur le dos pour qu'elle se penche en avant et elle passa sa main sur les fesses. Elles étaient encore rosées de la succession des fessées de la veille. 

- c'est bien  ton derrière est en parfait état.



Elle remonta la culotte et retourna préparer le déjeuner. 

Olga était définitivement retombée en enfance, quand elle arriva à la bibliothèque  elle se dirigea immédiatement vers le bureau d'Ingrid. Les claquements réguliers et les claques qui en sortait ne laissait pas de place aux doutes, la petite stagiaire avait commencé sa journée. 

Elle hésita un instant puis elle frappa, après tout elle allait recevoir dans un instant sa fessée déculottée matinale autant avoir une petite compensation en assistant à celle de Lucie. Ingrid la fit entrer et le spectacle des petites fesses rebondies et très rouges de la jeune femme lui sauta aux yeux. Elle était couchée traditionnellement en travers des cuisses d'Ingrid. Celle-ci avait cessé la punition et sa main reposait sur le fessier écarlate. 

- ah te voilà. Tu vois qu'il n'y a pas que toi dans cette bibliothèque qui me montre ses fesses. Tu file te mettre au coin et tu te déculottes en attendant que j'en ais fini avec les fesses de Lucie. 


Olga se mordit les lèvres, sa curiosité avait été punie, maintenant Lucie savait que la directrice de la bibliothèque malgré son âge recevait elle aussi là fessée déculottée. 

La fessée avait repris et Lucie s’était remise à crier, la pause avait été de courte durée et maintenant Ingrid utilisait une petite raquette en cuir de la taille de la fesse de Lucie et cela semblait très efficace car les pleurs arrivèrent rapidement.

- voilà ma petite Lucie, une bonne paire de fesses bien rouges pour commencer la journée, je suis sûr que tu vas être très mignonne. Tu vas aller te mettre au coin pendant que je m'occupe du derrière d'Olga. 

C'était une humiliation de plus pour la directrice, non seulement cette petite savait qu'elle était punie comme une gamine mais en plus elle allait assister à sa correction. Certes elle était le nez contre le mur et ne la verrais donc pas dans la position disciplinaire mais c'était une bien maigre consolation. Ses oreilles allaient pouvoir entendre le bruit sonore des claques sur la peau nue de ses fesses et elle savait qu'elle ne pourrait pas s'empêcher de supplier et de finir en pleurs sur les genoux d'Ingrid. 

Ce scénario fut respecté à la lettre, Ingrid l'avait déculottée rapidement et la fessée cul nu avait retenti dans le bureau, Olga s'était comportée comme toutes les punies recevant ce châtiment et Lucie avait assisté à un très joli concert. 



En plus Ingrid avait posé des questions très gênantes en présence d’un tiers.

- alors Olga, maman t’as donné la fessée, tu as dormi avec une paire de fesses bien rouges ? 

Lucie avait ainsi appris que la directrice de la bibliothèque quand elle rentrait chez elle redevenait une jeune fille soumise à une stricte éducation.

Maintenant Olga était à côté d'elle, sanglotant comme une gamine. Elle était ravie malgré la brûlure de la fessée, elle le fut encore plus quand Ingrid lui permit de se reculotter car elle vit enfin le bon gros derrière écarlate d'Olga comme celle-ci avait pu voir le sien. Ingrid était très contente elle en rajouta un peu. 

- tu vois ma petite Lucie, les fesses d’Olga sont aussi rouges que les tiennes. Je pense que vous allez pensez à Ingrid à chaque fois que vous allez vous asseoir.

A midi Ingrid avait à sa disposition trois fessiers bien différents, le plus petit bien rond et bien ferme était celui de Lucie, celui de Marie était plus rebondi et plus large, c’était celui d’une dame de 40 ans bien en chair et puis il y avait bien sûr le large et bien dodu fessier d’Olga. Sa main claquait allègrement les trois paires de fesses, elle les rougissait, les faisait danser. 

Marie venait depuis maintenant deux semaines se faire rougir le derrière, au début Ingrid avait fixé sa punition à une semaine mais en accord avec le docteur Dupuis qui s’occupait aussi des fesses de Marie elles avaient décidé de continuer le traitement jusqu’à la fin du mois. 



Lucie ne se faisait corriger comme une gamine que depuis trois jours et Ingrid appréciait tellement ses petites fesses qu'elle comptait la déculotter régulièrement jusqu'à la fin de son stage. Lucie était maintenant habituée à se faire baisser la culotte, elle ne protestait pas, Ingrid était sa responsable de stage et si il fallait en passer par la pour avoir un bon rapport après tout ce n'était pas si grave. 



Surtout qu'à force de montrer son joli derrière à la sévère bibliothécaire elle s'était rendue compte à certaines caresses qu'Ingrid n'était pas insensible à son charme. La suite lui donnerait certainement raison. 

Quant à Olga qui venait se faire baisser régulièrement la culotte depuis maintenant une semaine, il avait été décidé, en accord avec Brigitte la maman d'Olga que vu la gravité de sa faute elle serait punie de cette façon pendant 2 mois pour commencer. Ensuite on aviserait en fonction des circonstances. Mais en tout état de causes Olga était redevenue la jeune fille de la maison soumise à la stricte discipline d’une maman sévère. 

Olga avait donc les fesses écarlates quasiment en permanence. Sa mère avait repris goût à la fessée déculottée et à la maison les fesses d'Olga étaient bien souvent exposées au coin quand elle n'était pas couchée en travers de ses genoux. Le week-end ne dérogeait pas à la règle du derrière bien rouge, Brigitte appliquait le traitement d’Ingrid à savoir fessée matin, midi et soir.

Brigitte avait deux voisines, Rosa était de la même génération qu'elle,  quant à Louise, elle avait le même âge qu''Olga, elles se connaissaient depuis longtemps, et étaient devenues amies, ce qui devait arriver arriva, après 8 jours de ce traitement cuisant, Olga reçut sa première fessée déculottée en publique devant Rosa. 

Brigitte avait prémédité le coup, elle avait invité Rosa juste avant qu'Olga ne rentre du travail. 

Celle-ci avait blêmi en voyant la voisine assise dans le salon, elle avait essayé de faire bonne figure espérant que sa mère décalerait sa fessée après son départ. Son espoir avait été vain car Brigitte s'était adressée en souriant à son amie. 

- si tu permets ma petite Rosa, j'ai un petit problème à régler avec Olga. 

Rosa s'apprêtait à  se lever.

- oh dans ce cas je vais vous laisser. 

- pas du tout, reste,  ta présence est nécessaire. Olga a fait de grosses bêtises et j'ai été obligée de reprendre son éducation en utilisant les bonnes vieilles méthodes, une bonne fessée déculottée en public sera encore plus efficace. 

Olga était rouge de honte, elle avait les larmes aux yeux, sa mère souriait, contente de pouvoir montrer à son amie qu’elle avait gardé autorité sur sa fille même si celle-ci avait 50 ans. 

Elle fit le petit signe classique avec le doigt, celui qui allait sceller son sort. Olga s’avança lentement tête basse pour ne pas croiser le regard de Rosa, dans quelques instants elle allait se retrouver dans cette position si humiliante, couchée en travers des genoux de sa mère les fesses pointant vers le ciel devant une tierce personne.

Rosa Murati était une forte femme d’origine italienne, elle avait été gouvernante dans un grand hôtel et son autorité sur les femmes de chambre n’avait jamais été discutée même si cela restait toujours confidentiel, il était de notoriété publique qu’elle avait la main leste et que plus d’une jeune femme était ressortie d’une chambre mal nettoyée avec une paire de fesses bien chaude sous sa jupe d’uniforme.



Avec Brigitte elles avaient souvent discuter de leurs professions respectives et elles étaient tombées d’accord pour dire que l’autorité n’était plus ce qu’elle était à leur époque.

Olga était maintenant en position disciplinaire, Rosa avait fait un petit clin d’oeil à son amie Brigitte pour lui signaler qu’elle appréciait le spectacle.

- et bien voila qui rajeunit notre petite Olga ! depuis combien de temps madame est elle soumise à ce régime ?

- une bonne semaine et ce n’est pas fini. Elle est punie régulièrement à son travail et je complète ça en arrivant par une bonne fessée déculottée et elle en reçoit une autre avant d’aller au lit.

- mazette, c’est sévère comme régime mais je suppose que c’est justifié. A ce que je vois cette petite a une bonne paire de fesses.

Tout en parlant, Brigitte avait retroussé bien haut la jupe d’Olga et lui avait baissé la culotte à   mi-cuisse dévoilant ses belles fesses encore rouges de la fessée d’Ingrid. 

Ainsi déculottée, Olga était vraiment retombée en adolescence, quand elle avait encore 14 ans sa mère n’hésitait jamais quand il fallait la punir à le faire en public et à montrer à tout le monde les fesses nues de sa fille.

En moins d’une semaine elle avait retrouvé ses bonnes habitudes le fait qu’Olga soit maintenant âgée de 50 ans ne semblait avoir aucune importance. 

La fessée se mit à pétarader dans la pièce pour la pauvre Olga la présence d'une spectatrice se traduisit en plus de l'humiliation par une fessée encore plus sévère. Brigitte voulait montrer ses talents de fesseuse à son amie et quand Olga fut autorisée à se relever son large fessier ressemblait à deux tomates bien mûres. Elle s'apprêtait docilement à gagner le coin comme après  chaque fessée quand Brigitte l'arrêta.

- va montrer tes fesses à Rosa !

C'était une humiliation supplémentaire, Olga se dirigea donc vers la plantureuse italienne qui souriait de plaisir. Elle se tourna, présentant sa croupe enflammée. Rosa palpa les fesses. 

- penche toi un peu ma belle. 

Elle tapotait les fesses et sa main s'égara même un peu plus bas au niveau de l'entre-cuisse de la pauvre Olga. 

- voilà vraiment un bien joli derrière, je te félicite ma chère Brigitte, ta fille à une belle paire de fesses et ta fessée à été très efficace. 

Brigitte souriait, elle connaissait les penchants saphiques de son amie et elle se doutait bien que les fesses d'Olga ne la laissait pas indifférente.

- c'est vrai qu'on a de la place pour administrer la fessée. Allez ma chérie tu files te mettre au coin. 

La jupe fut coincée dans la ceinture et Olga mit ses mains sur sa tête. Le spectacle était ravissant et le thé délicieux,  Rosa était vraiment heureuse. Elle pensait qu'il ne lui faudrait certainement pas très longtemps pour déculotter à son tour Olga. 





jeudi 27 avril 2023

Con...fesse...ion

 Une bonne fessée déculottée pour Sylvie


 

 J'adore la fessée, puisque vous lisez mon blog vous devez vous en doutez certainement un peu.

Mais je dois avouer que si il m'arrive de temps en temps de trousser et déculotter une dame pour lui administrer une cuisante fessée ce qui m'attire le plus c'est quand une de mes petites amies me gronde, me traite comme une gamine malgré mon âge et me flanque comme si j'avais 15 ans une magistrale déculottée.

Voir ce doigt qui me fait un petit signe quand ma nouvelle maman s'est assise sur une chaise me fait des petits papillon dans le ventre. 

J'approche toujours doucement, je n'ai pas le choix je sais que toute résistance serait punie sévèrement.

Je sais que dans un instant je vais me retrouver dans cette position humiliante que je hais et que j'aime en même temps. La tête près du sol, les jambes décollées, les fesses pointant vers le ciel. 

Et puis l'air sur mes cuisses signe que ma jupe est retroussée, la main qui lisse ma culotte, la voix de ma jeune maîtresse qui recommence à me gronder, qui me dit que je me comporte comme une gamine et que malgré mon âge je vais être traitée comme tel et que je vais encore recevoir une fessée déculottée. 




J'ai honte, mais ma petite culotte est humide, je sais que bientôt je vais lui présenter mes fesses. Une fessée cul nu comme disait ma mère. 

Je pourrais être la mère ou même la grand-mère de mes fesseuses mais à ce moment là je ne suis plus que la petite Sylvie qui va recevoir ce châtiment bien mérité. 

Et maintenant ses doigts qui s'insinuent dans la ceinture de ma culotte et qui tire dessus, elle me déculotte. De toute façon c'est ce qu'elle m'a promis une bonne fessée déculottée. 

Je l'attend et je la crains. Je sais que dans un instant mes fesses vont me brûler que je vais me débattre, supplier, crier. Que je vais ouvrir et serrer mes fesses au rythme de la punition que mes fesses vont danser comme elles disent. Et je finirai en pleurs en travers de leurs genoux comme une gamine que je serai redevenue. 





Le temps du pardon n'est pas encore venu, je dois aller exposer mon derrière écarlate au coin de la pièce où pire encore dehors sur la terrasse. Je déteste ce moment mais c'est nécessaire je le sais et puis mon cul est brûlant et soudain la chaleur diffuse entre mes cuisses. Mains sur la tête je ne peux rien faire pour soulager cette cuisson en me frottant les fesses ou en me caressant. 

Je sais que le spectacle honteux d'une dame mûre mise au coin avec les fesses bien rouges fait plaisir à mes petites chéries. 



Chacune à ses petites marottes pour compléter mes punitions. 

Mel adore me coucher à nouveau sur ses genoux pour me prendre la température en introduisant profondément un thermomètre dans mon petit trou et en me laissant longuement patienter avec cet engin bien enfoncé. 



Caroline aime me faire honte en inspectant mon intimité et en contrôlant la propreté de mes culottes, elle me gronde alors et j'ai droit à une nouvelle fessée avec la culotte sous le nez. 



Rosie a une autre façon de me punir, je dois me mettre en pyjama très tôt, à 18h par exemple et l'heure du coucher est fonction de ma sagesse. En cas de grosse bêtise je suis mise au lit à 20h, avec la lumière éteinte et interdiction de bouger. Lors de ma dernière punition j'ai été au lit sans manger à 19 h avec en prime une grosse fessée déculottée avant l'extinction de la lumière. 



 la fessée déculottée pour les dames, ça brûle beaucoup mais ça fait vraiment du bien. 


Même si je dois regagner ma chambre en exposant mon derrière bien rouge.


Pourquoi donc à mon âge j'accepte d'être traitée comme ça ? 

Parce que j'en ai besoin et que ça me fait du bien. 



Un point c'est tout.


vendredi 21 avril 2023

La bibliothèque 5

La maman d'Olga



 

Olga en arrivant chez elle pensait encore aux paroles d’Ingrid. Ses fesses endolories sous la sage petite culotte blanche qu’elle portait désormais, lui rappelait sa condition. Elle avait fait un saut en arrière brutal, elle avait 50 ans mais elle recevait à nouveau la fessée déculottée comme quand elle avait…. 

Elle réfléchit rapidement en voyant sa mère assise dans le salon. La dernière fessée que lui avait administré sa mère, c’était quand ?

Elle avait 17 ans, oui c’était cela, elle rougit au souvenir de ce jour où elle avait mal répondu à Brigitte sa maman, celle-ci lui reprochait un coucher trop tardif. La réponse de Brigitte ne s’était pas faite attendre et malgré son âge elle s’était retrouvée coincée sous le bras de sa mère, les fesses bien tendues, la jupe rapidement troussée, la culotte descendue sous les fesses, elle avait reçu une courte mais magistrale fessée qui l’avait fait trépigner sur place et pleurer de honte et de douleur.

Brigitte Dubout était veuve et elle avait des principes, elle était institutrice et dans sa classe les jupes étaient souvent retroussées et les culottes baissées. Même si ce n’était plus autorisé, c’était largement toléré et même encouragé par les familles dans ces années là. Olga avait donc été élevée selon les principes d’une éducation rigoureuse et jusqu’à 14 ans, elle recevait encore régulièrement la fessée et toujours sur ses fesses nues. 



A partir de cet âge cette punition était devenue exceptionnelle et après cette mémorable déculottée reçue à 17 ans, jamais plus elle n’avait montré ses fesses nues à sa maman. 

Et maintenant ? Elle repensait aux dernières paroles d'Ingrid, "que penserait ta maman de ton comportement, si elle savait que j'ai été obligée de te flanquer une bonne fessée déculottée". Elle venait de poser sa veste dans l'entrée et elle fut un peu surprise par la réflexion de sa mère.

- tu pourrais quand même accrocher  ta veste sur le porte-manteau, ce n'est quand même pas difficile !

Elle rougit violemment et la cuisson sur ses fesses fut plus sensible, elle s'excusa et repris sa veste.

- euh, oui pardon maman, je n'y ai pas pensé.

Brigitte sourit discrètement à la réaction de sa fille. C'est vrai qu'elle avait accepté avec plaisir d'héberger sa fille après son divorce mais son désordre l'agaçait quelque fois. Elle fut un peu surprise de la réaction de sa fille qui était habituellement prompte à lui répondre parfois avec une pointe d’insolence.

‘’Tiens, tiens ma petite Olga devient mignonne, pourvu que ça dure’’

Elle proposa un thé à sa fille qui l’accepta avec empressement, proposant même de le préparer. Brigitte était de plus en plus surprise du comportement de jeune fille d’Olga qui avait tout de même 50 ans. Quand elle s'assit sur le fauteuil en face de Brigitte, Olga ne put retenir une petite grimace, la douleur sur ses fesses étaient encore présente. Sa mère le remarqua.

- tu as mal ma chérie ?

Olga rougit légèrement mais elle essaya quand même de faire bonne figure.

- non, non ce n'est rien, tu sais après une journée assise au bureau, j'ai un peu mal au dos.

- ma pauvre chérie, si tu veux je peux te faire un massage.

Olga protesta immédiatement

 - non, non ce n'est pas la peine je t'assure, ça va passer.

Elle avait vraiment du mal à rester immobile sur le fauteuil mais elle s'efforçait de ne pas bouger pour que sa mère change de conversation. Si Brigitte avait put voir la couleur des fesses de sa fille, elle aurait tout de suite compris, mais elle repris la parole.

- au fait j'ai été à la bibliothèque aujourd'hui, cette jeune bibliothécaire, comment s'appelle-t-elle déjà?

- Ingrid…

- à oui, c'est ça, elle est charmante et compétente, on a parlé de toi.

Olga avait l'impression que la terre s'ouvrait sous ses pieds, elle baissa les yeux. Elle s'attendait au pire, mais Brigitte continuait.

- oui, elle t'apprécie beaucoup, elle m'a fait des compliments sur toi, c'est toujours agréable pour une maman.

Olga était sidérée, sa mère s'adressait à elle comme si elle avait rencontré sa maîtresse à la sortie de l'école.

- tu devrais l'inviter à boire le thé,  elle est vraiment mignonne.

Olga acquiesça, tout en disant à sa mère qu'elle ne savait pas si Ingrid serait d'accord.

- détrompe toi, je lui en ai parlé, elle serait ravie, je t'attendais pour qu'on fixe un jour.

C'était donc pour ça qu'Ingrid lui avait parlé de sa mère ce soir après la fessée,  Olga sentit le piège se refermer.

Elle passa une nuit affreuse, elle recevait la fessée déculottée par Ingrid devant sa mère, celle-ci la déculottait devant la voisine, elle se réveilla complètement abasourdie par ces rêves ou plutôt ces cauchemars.

En arrivant à la bibliothèque, elle se dirigea vers le bureau d'Ingrid, celle-ci était déjà là. Elle lui désigna la chaise.

- met la chaise à fessée à sa place et ensuite va te mettre au coin, tu baisses ta culotte et tu tiens ta jupe levée. Je reviens.



Elle quitta le bureau, laissant Olga désemparée, mais le souvenir des fessées reçues depuis 2 jours, l'incita à obéir. Ingrid la laissa mijoter 10 minutes, les fesses à l'air. Olga était angoissée, elle sursautait à chaque bruit de pas, mais elle n'osait pas bouger. Enfin Ingrid revint, elle esquissa un sourire en voyant Olga ses bonnes grosses fesses si bien présentées, elle s'approcha et passa sa main sur le large fessier.

- alors ma petite Olga, on va commencer sa journée par une petite fessée cul nu ? Tes fesses sont en parfait état, elles sont prêtes pour la bonne déculottée de tatie Ingrid. Reculotte toi et viens me voir.

La jeune femme s’était assise sur la chaise et elle regardait amusée la dame de 50 ans remontant sa culotte. Bien sûr elle allait lui baisser la culotte pour lui administrer sa correction mais elle ne voulait surtout pas se priver de ce moment si agréable du déculottage. Elle tapota sur ses cuisses pour indiquer à Olga qu’il était temps de lui présenter ses fesses. Docilement la directrice de la bibliothèque se coucha en travers de ses genoux. Ingrid retroussa immédiatement la jupe et tira sur la culotte pour qu’elle soit bien en place sur le plantureux derrière qui avait du mal à contenir dans cette sage petite culotte blanche en coton. 



Avant de commencer la fessée il fallait mettre la punie dans l’ambiance, se retrouver allongée sur les genoux de sa jeune maîtresse la jupe retroussée n’était pas suffisant. Ingrid caressait la culotte.

- alors, vilaine fille on va avoir panpan cucul ? Dis moi tu lui as dit à ta maman que tu avais été punie par tatie Ingrid ?

Comme Olga rouge de honte ne répondait pas elle lui administra une dizaine de claques bien forte sur la culotte. Celle-ci se mit à gémir.

- aïe, Aïe, non Mlle Ingrid, Aïe, Aïe…. pardon…

- quand je te pose une question, j’aimerais bien que tu me répondes, alors tu lui as dit ?

- aïe, aïe, non Mlle Ingrid.

- je m’en doutais, tu as honte de lui raconter qu’a ton âge je suis encore obligée de te flanquer la fessée déculottée ? Mais ne t’inquiète pas, c’est moi qui vais lui dire, je pense qu’elle va être très intéressée que je lui décrive le comportement de sa fille, je pense que tu peux préparer tes fesses ma jolie.

Pendant qu’elle parlait elle avait continué à claquer calmement les fesses par dessus la culotte.

- bon maintenant ce n’est pas tout ça, il va falloir passer à la fessée, tu vas avoir les fesses bien chaudes toute la matinée pour bien travailler et penser à moi.

Elle introduisit ses doigts dan la culotte et la fit descendre jusqu’à mi-cuisse. Les fesses étaient déjà bien colorée par la petite fessée d’échauffement. La main sévère de la jeune bibliothécaire se mit à claquer alternativement le large derrière d’Olga. C’était une fessée magistrale et rapidement celle-ci ne put retenir ses cris puis ses pleurs. Ingrid était satisfaite, elle adorait ce moment où la dame adulte qu’elle tenait couchée sur ses genoux lâchait prise et se comportait comme une gamine punie, pleurant et suppliant sous la cuisson de son derrière. 



Elle avait décidé que pour la déculottée matinale elle se contenterait d’une bonne fessée à la main, elle réservait les instruments pour la fessée du midi, elle avait plus de temps disponible et Olga passait un petit moment au coin ensuite.

Pour le moment la directrice de la bibliothèque n’était plus qu’un gamine punie pleurant sur les genoux de sa jeune maîtresse, les fesses écarlates étaient brûlantes, la fessée avait cessé mais Ingrid prenait plaisir à garder la punie un moment en travers de ses genoux, elle caressait doucement les deux globes incandescents pour en apprécier la douceur, après une bonne fessée la peau des fesses devenaient très agréable au toucher et Ingrid ne s’en lassait pas.

Mais toutes les bonnes choses on une fin, elle fit relever Olga qui avait les joues aussi rouges que ses fesses, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, sa jupe était retombée masquant son large fessier. Ingrid la fit se retourner et coinça la jupe dans la ceinture.

- je veux que tes fesses soient toujours disponible quand tu es dans mon bureau. Nous avons à parler.

Olga se doutait de la suite.

- ta maman m’a gentiment invitée à boire le thé, tu es au courant ?

- euh oui, elle m’en a parlé hier soir.

- c’est parfait, tu vas lui dire que je suis disponible ce soir, ça tombe bien je dois lui parler de ton joli derrière.

Ingrid souriait, elle jouissait de la gêne de sa cheffe de service, la soirée allait être amusante.

- bien tu peux te reculotter et remettre ta jupe en place, ce n’est pas la peine de ranger la chaise à fessée, elle va servir juste après toi.

Olga avait les fesses en feu en quittant le bureau, dans le couloir elle croisa Lucie la jeune stagiaire, elle se retourna et vit qu’elle frappait à la porte du bureau d’Ingrid. C’était donc pour elle que la chaise à fessée était restée à sa place, Olga voulu en avoir le coeur net, elle s’approcha doucement de la porte. Elle reconnu la voix d’Ingrid.

- ma petite Lucie va recevoir sa bonne petite fessée cul nu pour bien démarrer sa journée ?

Elle n’entendit pas la réponse mais les gémissements étaient assez explicite, la jeune fille devait être mise en position. Puis soudain les claquements retentirent distinctement à travers la porte, Lucie recevait elle aussi une bonne fessée déculottée. La cuisson de son fessier lui parut immédiatement plus supportable, elle n’était donc pas la seule à recevoir ce châtiment humiliant. Elle resta contre la porte pour assister par l'oreille à cette correction. Les cris de Lucie étaient maintenant bien distincts et rapidement les pleurs se mêlèrent aux gémissements. Les claques cessèrent et Ingrid repris la parole.

- oh tu peux pleurer ma petite chérie, ton joli derrière n'est pas encore assez rouge, avec une bonne paire de fesses comme tu as, la fessée à la main n'est pas suffisante.

La fessée repris et les cris de Lucie redoublèrent, le bruit était différent, Ingrid devait utiliser un de ces instruments, c'était un bruit plus sec, peut-être la brosse à cheveux. Olga fut vite renseignée.

- la règle plate sur ton petit cul fait des merveilles ma chérie, oh oui comme elles vont être jolies tes fesses, allez encore un peu et tu vas pouvoir retourner travailler.

Effectivement la règle plate claqua encore quelques instants. Dès que la fessée cessa, Olga s'éloigna rapidement mais elle resta dans la salle de lecture pour surveiller la sortie de Lucie.

La jeune fille sorti du bureau, elle s'essuyait les yeux puis discrètement elle frotta son fessier par dessus sa minijupe. Olga fit semblant d'arriver, elle interpella Lucie.

- à tu es là ? J'ai besoin de te parler, vient dans mon bureau.

Un peu surprise celle-ci suivit la directrice, dès qu'elle furent arrivées  Olga referma la porte et attaqua directement.

- pourquoi donc étais tu dans le bureau d'Ingrid ce matin ? Et pourquoi as tu pleuré ?

Lucie se mit à rougir et baissa les yeux.

- je te parle Lucie !

Olga avait pris un air sévère, ses fesses étaient douloureuses mais reprendre son rôle de directrice autoritaire lui permettait de les oublier un peu.

- euh, oui pardon madame, je n'ai pas pleuré, je vous assure.

- tu te moques de moi ! Viens ici. Je n'aime pas les petites menteuses.

Lucie se mit à bégayer.

- non, non madame... pardon. Je vous promets de ne plus recommencer Mlle Ingrid m'a déjà punie.

Olga se mit à sourire.

- ah oui ? Et comment ça ?

Lucie était de plus en plus rouge.

- madame, s'il vous plaît, j'ai trop honte.

Olga était ravie, ce n'était plus elle qui était traitée comme une gamine. Elle prit la main de Lucie et la fit pivoter.

 - voyons un peu comment Ingrid t'a corrigée.

Elle avait retroussé la minijupe, elle baissa rapidement la culotte de Lucie  sous ses fesses. Celle-ci étaient écarlates. Lucie poussa un petit cri mais se laissa faire.

- et bien c'est ce qui s'appelle une bonne fessée déculottée à ce que je vois.

Lucie était pétrifiée, elle venait de recevoir une magistrale fessée déculottée dans le bureau d'Ingrid et maintenant elle était à nouveau fesses à l'air dans le bureau de la directrice.

Olga coinça la jupe dans la ceinture puis elle prit la jeune fille par l'oreille et la conduisit dans le coin.

- après une bonne fessée déculottée on va au coin pour réfléchir, comme Ingrid n'a pas eu le temps, tu vas faire ta pénitence ici. Mets tes mains sur la tête !



Le spectacle était ravissant, cette petite avait vraiment un joli derrière. Elle posa délicatement ses fesses douloureuses sur son fauteuil et contempla le fessier rubicond de Lucie, elle sentit une petite chaleur dans son entrejambe et une légère humidité envahir sa culotte, elle commençait à comprendre Ingrid.

Elle laissa Lucie au coin fesses à l'air pendant un quart d'heure puis elle l'autorisa à se reculotter.

- allez maintenant tu files travailler. Tu sais ce qui va t'arriver si je suis mécontente de toi.

Elle ne pensait pas vraiment mettre sa menace à exécution mais le simple fait de l'évoquer lui permettait d'oublier sa propre condition.

Le téléphone sonna, c'était Brigitte, elle voulait savoir quand Ingrid venait prendre le thé. Avec une petite boule au ventre, Olga lui annonça que c'était pour ce soir.

La journée se déroula normalement si l'on peut dire. À midi elle reçut sa correction en compagnie de Marie, 



et elle passa une bonne partie de sa pause déjeuner au coin à exposer ses fesses nues et bien rouges. Et en fin d'après-midi elle se retrouva à nouveau couchée sur les genoux de sa jeune maîtresse pour une nouvelle fessée déculottée.

Quand elle se releva, les larmes aux yeux, Ingrid lui dit en souriant.

- à tout à l'heure ma chérie.

Olga en arrivant chez sa mère avait la tête en feu comme ses fesses,  elle n'osait pas imaginer ce que la perverse jeune bibliothécaire avait prévu. Sa mère était ravie.

- je suis contente qu'Ingrid ait accepté notre invitation, elle est vraiment charmante et elle a du caractère.

Olga approuva mollement, elle s’éclipsa dans sa chambre. Elle se déculotta devant la glace pour examiner ses fesses, elles étaient encore très rouges. Soudain la sonnette retentit, son coeur fit un bond dans sa poitrine, Brigitte l’appelait.

- Olga, veux tu descendre, Ingrid est arrivée.

Ça lui rappelait quand sa mère la faisait venir pour dire bonjour à la voisine. Elle descendit et sans y penser elle salua la jeune femme comme elle le faisait à la bibliothèque.

- bonsoir Mlle Ingrid.

Celle-ci, très satisfaite de la soumission d'Olga lui répondit avec un petit sourire, 

- bonsoir Olga, tu vas bien depuis tout à l'heure ?

Brigitte les regardait un peu surprise, Olga pour couper court proposa d'aller préparer le thé, comme une jeune fille de bonne famille. Quand elle revint Ingrid et Brigitte conversait comme deux amies, Ingrid leva les yeux vers sa cheffe de service et  dans un sourire elle annonça.

- au fait ma petite Olga tu as mis ta maman au courant ?

La directrice aurait voulu rentrer sous terre, Brigitte jeta un regard interrogateur aux deux dames, Ingrid repris.

- je comprends que c'est un peu gênant, je vais donc le faire à ta place.

Elle mit rapidement au courant la mère d'Olga des malversations de se fille. Brigitte avait le regard sombre, elle jetait de temps en temps un oeil sur sa fille qui baissait la tête.

- mais que comptez vous faire Ingrid, si vous prévenez la mairie Olga va être licenciée immédiatement, sans compter les poursuites judiciaires.

Ingrid souriait.

- c'est ce que j'avais prévu de faire, mais je connais la situation d'Olga, je n'ai pas voulu l'enfoncer plus.

- oh merci, Ingrid vous êtes vraiment gentille.

La jeune femme repris.

- cependant reconnaissez qu'un tel comportement mérite une sanction. Olga à accepté mes conditions.

- oui, oui je comprends, vous avez entièrement raison. Olga ton attitude est inadmissible, je ne sais pas ce qui me retiens !!

Brigitte était mûre pour entendre la suite, Olga était résignée.

- donc, Olga va rembourser toute les sommes détournées et comme sanction j'ai pensé à une méthode traditionnelle qui a fait ses preuves.

- ah oui ? Qu'entendez vous par là ?

- Oh c'est très simple, j'ai administré à Olga une bonne fessée déculottée.



Brigitte ouvrait des yeux ronds, son regard allait de sa fille à Ingrid. Une fessée déculottée ? cette petite avait corrigé sa fille de 50 ans comme elle le faisait avec ses élèves. Olga était rouge de honte.

- vous, vous avez déculotté Olga pour lui flanquer une fessée ?

- tout à fait et pas qu'une fois, vous comprendrez qu'une seule fessée ne peut pas solder cette affaire.

- oui, en effet je comprends.

- d'ailleurs Olga en à reçu une, juste avant de quitter le travail, je vais vous montrer le résultat. Olga viens ici !!

La directrice de la bibliothèque, penaude et résignée s’approcha.

- tourne toi !!

Ingrid et Brigitte était assise sur deux fauteuils côte à côte, Olga leur tournait le dos, la jeune femme retroussa sans ménagement la jupe.

- tiens ta jupe bien relevée !!

Les ordres claquaient et Olga obéissait, elle retint sa jupe avec ses mains croisées dans le dos. Ingrid saisi la ceinture de la culotte et la descendit brusquement sous les fesses. La large croupe d’Olga apparu encore bien rouge de la dernière fessée et de celles reçue dans la journée.

- penche toi un peu plus qu’on voie bien ton derrière !



Brigitte regardait les larges fesses de sa fille. Elle fit comme Olga un compte rapide. Depuis combien de temps ne les avait elle pas vue ? 

Elle arriva au même résultat, elle se souvenait très bien de la magistrale fessée déculottée qu’elle avait administré à sa fille quand elle avait 17 ans. Donc cela faisait 33 ans qu’Olga ne lui avait pas présenté ses fesses dénudées.

Et c'était vraiment une belle découverte, Olga avait des fesses qui certes étaient un peu trop grosses selon les canons actuels mais devaient être un régal pour une fesseuse.

Brigitte n'avait fessé que des derrières juvéniles et soudain elle se rendait compte qu’une paire de fesses de dame et bien rouges qui plus est, ce n'était vraiment pas désagréable. Elle s'était levée et passait maintenant sa main sur la croupe tendue de sa fille.

- mes félicitations Ingrid, ces jolies fesses ont été bien corrigées. Mais dites moi, avez-vous mis Olga au coin ?

Ingrid était ravie, Brigitte semblait se prendre au jeu, Olga n'avait pas fini de présenter ses fesses.

- non, c'était la fin de journée, nous n'avions pas le temps.

- très bien, elle va donc faire son temps de coin maintenant. Mets tes mains sur ta tête !

Elle s'était adressée à sa fille  et son ton avait changé, Olga retrouvait la voix impérieuse de son institutrice de mère. Elle obéit immédiatement, relâchant sa jupe elle posa ses mains sur sa tête. Brigitte saisi l’ourlet de la jupe et le coinça dans la ceinture puis elle administra une magistrale claque au milieu du large fessier.

- tu files au coin et tu mets ton nez contre le mur, je pense que tu te souviens de la position !

Olga était définitivement redevenue la petite fille de Brigitte, elle se souvenait comme si c'était hier des longs moments passés à exposer ses fesses bien rouges et même en présence d'invitées.



Satisfaite, Brigitte se tourna vers Ingrid.

- c'est parfait, si nous prenions le thé maintenant.



A suivre....

Deux étudiantes 22

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