Fessées publiques
Olga se morfondait dans son coin en exposant son derrière rougeoyant. Derrière elle, Brigitte et Ingrid papotait, la conversation roulait sur les bienfaits d’une éducation stricte. Ingrid regrettait que la fessée ne soit plus autorisée à l’école et même au lycée pour les grandes jeunes filles.
- au début de ma carrière dans les années 60, la fessée était encore assez présente dans les écoles, souvent c'était juste sur la culotte, mais ma directrice de l'époque m'a dit un jour alors que j'avais juste retroussé la jupe de la punie. "Baissez lui la culotte, elle ne recommencera plus", à partir de ce moment là j'ai toujours été adepte de la fessée cul nu.
Pour ne pas avoir de problème je prévenais toujours les mamans au début de l'année. Et elles me donnaient toujours l'autorisation de donner la fessée déculottée à leur fille si c'était nécessaire. J'exerçais dans un petit village où tout le monde se connaissait et lors d'une rentrée scolaire, une des mamans m'indiqua que le jour où sa fille recevrait une fessée déculottée à l'école elle aurait droit à une double fessée en arrivant à la maison. Ce fut rapidement adopté par les autres mamans. C'était donc simple quand j'avais été obligée de sévir la punie rentrait chez elle avec un papier où j'avais noté "bon pour une bonne fessée déculottée", elle devait me le ramener le lendemain signé par sa maman.
Ingrid regarda à nouveau le fessier d'Olga.
- ah bon j'aurais dû donner un bon à Olga alors ?
Elle avait dit ça en souriant. Brigitte la regarda et lui rendit son sourire, décidément cette petite était délicieuse.
- ce sera pour la prochaine fois, mais ne vous inquiétez pas Ingrid, cette chipie aura droit à sa double fessée.
Les fesses d'Olga s'étaient contractées, la menace de la fessée maternelle se précisait. Surtout que Brigitte continuait.
- d'ailleurs ses fesses se sont assez refroidies. Viens un peu ici ma petite chérie.
Olga se retourna en gardant ses mains sur la tête, sa mère lui fit un petit signe explicite, en baissant les yeux pour ne pas croiser le regard coquin de la jeune bibliothécaire elle se dirigea vers les genoux de sa maman.
Quelques instants plus tard elle était à nouveau dans cette position humiliante, la tête près du sol, les pieds décollés et les fesses bien tendues vers sa maman. Brigitte commença par palper ce fessier, elle en appréciait la douceur et la souplesse. Vraiment Olga avait une belle paire de fesses, celle-ci instinctivement les serraient sous cette humiliante inspection ce qui lui valu une petite claque et une réflexion amusée de sa maman.
- tu peux serrer tes fesses ma chérie, maman va te donner la bonne fessée déculottée que tu mérites, je te garantis que tu n'es pas prête de recommencer. Ingrid t'a déjà soigné mais je pense que la double fessée que je te réserve va te faire réfléchir.
Elle leva la main et commença à claquer les fesses, elle se rendit vite compte qu'elle n'avait pas perdu la main et qu'une fessée donnée à une adulte n'avait rien à voir avec celle qu'elle administrait à ses élèves. Elle avait la réputation d'avoir la main leste et ses fessées étaient redoutées mais jamais elle n'aurait pu fesser les petits derrières comme elle le faisait sur celui d'Olga, les larges fesses pouvaient recevoir des claques très fortes c'était évident et Brigitte ne s'en privait pas. Rapidement le fessier rebondi repris une belle couleur rouge, Olga avait gémi dès le début de la fessée mais maintenant elle suppliait et pleurait au milieu des claques sonores.
Ingrid donnait souvent la fessée mais être spectatrice n'était pas désagréable non plus. Elle se rendit compte que c'était même très excitant de voir les fesses d'Olga danser, se serrer puis s'ouvrir largement, Olga était épilée entièrement ce qui rendait encore plus érotique cette correction. Brigitte était vraiment contente de corriger sa fille, depuis longtemps son comportement l'agaçait, la rencontre avec Ingrid avait été le déclenchement, elle allait reprendre l'éducation d'Olga depuis le jour où elle lui avait donné sa dernière fessée déculottée, elle pensa qu'elle n'aurait jamais dû arrêter. Maintenant que le large derrière d'Olga avait repris sa belle couleur de tomate bien mûre, elle cessa la fessée mais elle garda sa fille dans cette position honteuse.
- alors ma petite chérie, j'espère que tu as bien compris, chaque fois qu'Ingrid sera obligée de te déculotter tu feras un petit séjour sur mes genoux avec la culotte baissée pour la bonne fessée déculottée de maman, je te garantis que tu vas changer d'attitude sinon ton beau gros derrière sera rouge très souvent. En attendant tu vas retourner au coin et tu vas y rester jusqu'à l'heure du repas.
Ingrid était sidérée par l'autorité de Brigitte, ainsi Olga qui avait déjà passé une bonne demi-heure au coin allait y rester à nouveau au moins une heure.
Elles continuèrent à papoter, Ingrid était ravie de parler avec Brigitte et puis le spectacle offert par Olga était très excitant.
Quand elle fut partie Olga avait encore un moment à passer au coin, Brigitte l'autorisa à croiser ses mains dans le dos mais son nez ne devrait pas quitter le mur.
Elle ne put se reculotter qu'au moment de passer à table.
Une fois assise Brigitte prit la parole.
- bien ma petite chérie, tu as bien compris que les choses allaient changer, à partir de maintenant tu vas redevenir ma petite fille obéissante. Je vais m'occuper de toi comme quand tu étais une jeune fille, tu me demanderas l'autorisation avant de sortir, tu rentreras directement à la maison après ton travail. Que je n’apprenne pas que tu as été traîné avec des copines sinon gare.
Olga écoutait sans rien dire, ses fesses étaient encore douloureuses et son long passage au coin fesses à l'air l'avait rendue docile. Brigitte continuait.
- tu te rappelle, une fessée déculottée à l'école, double fessée déculottée à la maison. Il t'en reste encore une à recevoir. Dès que tu auras fini de débarrasser la table, tu files dans ta chambre tu te prépares pour la nuit et tu m'attends. Quelques instants plus tard Brigitte entrait dans la chambre de sa fille, Olga était en pyjama debout, elle ne savait pas quelle attitude adopter donc elle s'était mise au pied de son lit les bras le long du corps, Brigitte fronça les sourcils.
- tu as perdu tes bonnes habitudes, la prochaine fois je te veux au coin les mains sur la tête
Olga fit une petite grimace qui ne fut pas du goût de sa maman.
- je te conseille de cesser ces simagrées, n'oublie pas que tu ne vas pas tarder à me montrer tes fesses !
Brigitte s'était assise sur le bord du lit.
- allez viens ici on va en finir avec cette fessée rapidement.
Dès qu'Olga fut à sa portée, elle lui prit la main et la fit basculer en travers de ses genoux. Ça les ramenaient toutes les deux des années en arrière, quand Olga avait une douzaine d'années si elle avait été corrigée dans la journée, sa mère complétait souvent la punition par une fessée déculottée avant d'aller au lit. Nous y étions, Brigitte saisit la ceinture de la culotte du pyjama et le fit glisser sur les fesses, elles étaient directement accessibles car Olga savait que sa mère ne voulait pas qu'elle garde sa culotte sous son pyjama. Le fessier était encore rosé, Brigitte en apprécia à nouveau les contours.
- tu sais ma chérie que maman n'est pas du tout contente de toi. Je vais avoir à partir de maintenant de longues conversations avec tes fesses et je suis sûr que tu vas rapidement redevenir une gentille jeune fille. Ce soir comme c'est ta première fessée au coucher tu n'auras qu'une fessée à la main mais la prochaine fois je prendrai ma brosse pour corriger ton bon gros derrière.
Elle leva la main et se mit en devoir de rougir à nouveau les fesses d'Olga. Celle-ci se mit immédiatement à tortiller son large popotin et rapidement elle battit des pieds et supplia sa mère.
- aïe, aïe non, non ça brûle maman, pardon aïe aïe.
Ce n'était qu'une fessée à la main mais Olga trouvait que sa mère avait un peu trop vite retrouvé sa technique. La fessée fut magistrale et bien cuisante et c'est sur une paire de fesses écarlate que Brigitte remonta la culotte. Le fait de reculotter elle même sa fille après la correction accentuant encore un peu plus le retour en enfance d'Olga.
Il n'était que 20h30 mais Brigitte n'avait pas l'intention d'en tenir compte elle montra le lit à Olga.
- maintenant au lit et je veux rien entendre.
Elle prit le téléphone posé sur la table de nuit.
- tu n'en as pas besoin la nuit, à partir de maintenant tu le laisseras au salon le soir.
Elle éteignit la lumière et sortit de la chambre. Olga était atterrée, non seulement sa maman avait repris ses habitudes de fesseuse avertie, ses fesses brûlantes en étaient le témoin mais en plus elle avait décidé de remettre au goût du jour les mises au lit très tôt en cas de punition. Elle finit quand même par s'endormir.
Le matin sa mère était déjà dans la cuisine elle lui fit une bise sur le front et immédiatement sa main se dirigea vers sa croupe.
- alors ma petite chipie a bien dormi avec son petit derrière bien rouge. On va regarder ces jolies fesses, tourne toi !
Olga obéit et immédiatement Brigitte lui baissa la culotte du pyjama sous les fesses, elle lui appuya légèrement sur le dos pour qu'elle se penche en avant et elle passa sa main sur les fesses. Elles étaient encore rosées de la succession des fessées de la veille.
- c'est bien ton derrière est en parfait état.
Elle remonta la culotte et retourna préparer le déjeuner.
Olga était définitivement retombée en enfance, quand elle arriva à la bibliothèque elle se dirigea immédiatement vers le bureau d'Ingrid. Les claquements réguliers et les claques qui en sortait ne laissait pas de place aux doutes, la petite stagiaire avait commencé sa journée.
Elle hésita un instant puis elle frappa, après tout elle allait recevoir dans un instant sa fessée déculottée matinale autant avoir une petite compensation en assistant à celle de Lucie. Ingrid la fit entrer et le spectacle des petites fesses rebondies et très rouges de la jeune femme lui sauta aux yeux. Elle était couchée traditionnellement en travers des cuisses d'Ingrid. Celle-ci avait cessé la punition et sa main reposait sur le fessier écarlate.
- ah te voilà. Tu vois qu'il n'y a pas que toi dans cette bibliothèque qui me montre ses fesses. Tu file te mettre au coin et tu te déculottes en attendant que j'en ais fini avec les fesses de Lucie.
Olga se mordit les lèvres, sa curiosité avait été punie, maintenant Lucie savait que la directrice de la bibliothèque malgré son âge recevait elle aussi là fessée déculottée.
La fessée avait repris et Lucie s’était remise à crier, la pause avait été de courte durée et maintenant Ingrid utilisait une petite raquette en cuir de la taille de la fesse de Lucie et cela semblait très efficace car les pleurs arrivèrent rapidement.
- voilà ma petite Lucie, une bonne paire de fesses bien rouges pour commencer la journée, je suis sûr que tu vas être très mignonne. Tu vas aller te mettre au coin pendant que je m'occupe du derrière d'Olga.
C'était une humiliation de plus pour la directrice, non seulement cette petite savait qu'elle était punie comme une gamine mais en plus elle allait assister à sa correction. Certes elle était le nez contre le mur et ne la verrais donc pas dans la position disciplinaire mais c'était une bien maigre consolation. Ses oreilles allaient pouvoir entendre le bruit sonore des claques sur la peau nue de ses fesses et elle savait qu'elle ne pourrait pas s'empêcher de supplier et de finir en pleurs sur les genoux d'Ingrid.
Ce scénario fut respecté à la lettre, Ingrid l'avait déculottée rapidement et la fessée cul nu avait retenti dans le bureau, Olga s'était comportée comme toutes les punies recevant ce châtiment et Lucie avait assisté à un très joli concert.
En plus Ingrid avait posé des questions très gênantes en présence d’un tiers.
- alors Olga, maman t’as donné la fessée, tu as dormi avec une paire de fesses bien rouges ?
Lucie avait ainsi appris que la directrice de la bibliothèque quand elle rentrait chez elle redevenait une jeune fille soumise à une stricte éducation.
Maintenant Olga était à côté d'elle, sanglotant comme une gamine. Elle était ravie malgré la brûlure de la fessée, elle le fut encore plus quand Ingrid lui permit de se reculotter car elle vit enfin le bon gros derrière écarlate d'Olga comme celle-ci avait pu voir le sien. Ingrid était très contente elle en rajouta un peu.
- tu vois ma petite Lucie, les fesses d’Olga sont aussi rouges que les tiennes. Je pense que vous allez pensez à Ingrid à chaque fois que vous allez vous asseoir.
A midi Ingrid avait à sa disposition trois fessiers bien différents, le plus petit bien rond et bien ferme était celui de Lucie, celui de Marie était plus rebondi et plus large, c’était celui d’une dame de 40 ans bien en chair et puis il y avait bien sûr le large et bien dodu fessier d’Olga. Sa main claquait allègrement les trois paires de fesses, elle les rougissait, les faisait danser.
Marie venait depuis maintenant deux semaines se faire rougir le derrière, au début Ingrid avait fixé sa punition à une semaine mais en accord avec le docteur Dupuis qui s’occupait aussi des fesses de Marie elles avaient décidé de continuer le traitement jusqu’à la fin du mois.
Lucie ne se faisait corriger comme une gamine que depuis trois jours et Ingrid appréciait tellement ses petites fesses qu'elle comptait la déculotter régulièrement jusqu'à la fin de son stage. Lucie était maintenant habituée à se faire baisser la culotte, elle ne protestait pas, Ingrid était sa responsable de stage et si il fallait en passer par la pour avoir un bon rapport après tout ce n'était pas si grave.
Surtout qu'à force de montrer son joli derrière à la sévère bibliothécaire elle s'était rendue compte à certaines caresses qu'Ingrid n'était pas insensible à son charme. La suite lui donnerait certainement raison.
Quant à Olga qui venait se faire baisser régulièrement la culotte depuis maintenant une semaine, il avait été décidé, en accord avec Brigitte la maman d'Olga que vu la gravité de sa faute elle serait punie de cette façon pendant 2 mois pour commencer. Ensuite on aviserait en fonction des circonstances. Mais en tout état de causes Olga était redevenue la jeune fille de la maison soumise à la stricte discipline d’une maman sévère.
Olga avait donc les fesses écarlates quasiment en permanence. Sa mère avait repris goût à la fessée déculottée et à la maison les fesses d'Olga étaient bien souvent exposées au coin quand elle n'était pas couchée en travers de ses genoux. Le week-end ne dérogeait pas à la règle du derrière bien rouge, Brigitte appliquait le traitement d’Ingrid à savoir fessée matin, midi et soir.
Brigitte avait prémédité le coup, elle avait invité Rosa juste avant qu'Olga ne rentre du travail.
Celle-ci avait blêmi en voyant la voisine assise dans le salon, elle avait essayé de faire bonne figure espérant que sa mère décalerait sa fessée après son départ. Son espoir avait été vain car Brigitte s'était adressée en souriant à son amie.
- si tu permets ma petite Rosa, j'ai un petit problème à régler avec Olga.
Rosa s'apprêtait à se lever.
- oh dans ce cas je vais vous laisser.
- pas du tout, reste, ta présence est nécessaire. Olga a fait de grosses bêtises et j'ai été obligée de reprendre son éducation en utilisant les bonnes vieilles méthodes, une bonne fessée déculottée en public sera encore plus efficace.
Olga était rouge de honte, elle avait les larmes aux yeux, sa mère souriait, contente de pouvoir montrer à son amie qu’elle avait gardé autorité sur sa fille même si celle-ci avait 50 ans.
Elle fit le petit signe classique avec le doigt, celui qui allait sceller son sort. Olga s’avança lentement tête basse pour ne pas croiser le regard de Rosa, dans quelques instants elle allait se retrouver dans cette position si humiliante, couchée en travers des genoux de sa mère les fesses pointant vers le ciel devant une tierce personne.
Rosa Murati était une forte femme d’origine italienne, elle avait été gouvernante dans un grand hôtel et son autorité sur les femmes de chambre n’avait jamais été discutée même si cela restait toujours confidentiel, il était de notoriété publique qu’elle avait la main leste et que plus d’une jeune femme était ressortie d’une chambre mal nettoyée avec une paire de fesses bien chaude sous sa jupe d’uniforme.
Avec Brigitte elles avaient souvent discuter de leurs professions respectives et elles étaient tombées d’accord pour dire que l’autorité n’était plus ce qu’elle était à leur époque.
Olga était maintenant en position disciplinaire, Rosa avait fait un petit clin d’oeil à son amie Brigitte pour lui signaler qu’elle appréciait le spectacle.
- et bien voila qui rajeunit notre petite Olga ! depuis combien de temps madame est elle soumise à ce régime ?
- une bonne semaine et ce n’est pas fini. Elle est punie régulièrement à son travail et je complète ça en arrivant par une bonne fessée déculottée et elle en reçoit une autre avant d’aller au lit.
- mazette, c’est sévère comme régime mais je suppose que c’est justifié. A ce que je vois cette petite a une bonne paire de fesses.
Tout en parlant, Brigitte avait retroussé bien haut la jupe d’Olga et lui avait baissé la culotte à mi-cuisse dévoilant ses belles fesses encore rouges de la fessée d’Ingrid.
Ainsi déculottée, Olga était vraiment retombée en adolescence, quand elle avait encore 14 ans sa mère n’hésitait jamais quand il fallait la punir à le faire en public et à montrer à tout le monde les fesses nues de sa fille.
En moins d’une semaine elle avait retrouvé ses bonnes habitudes le fait qu’Olga soit maintenant âgée de 50 ans ne semblait avoir aucune importance.
La fessée se mit à pétarader dans la pièce pour la pauvre Olga la présence d'une spectatrice se traduisit en plus de l'humiliation par une fessée encore plus sévère. Brigitte voulait montrer ses talents de fesseuse à son amie et quand Olga fut autorisée à se relever son large fessier ressemblait à deux tomates bien mûres. Elle s'apprêtait docilement à gagner le coin comme après chaque fessée quand Brigitte l'arrêta.
- va montrer tes fesses à Rosa !
C'était une humiliation supplémentaire, Olga se dirigea donc vers la plantureuse italienne qui souriait de plaisir. Elle se tourna, présentant sa croupe enflammée. Rosa palpa les fesses.
- penche toi un peu ma belle.
Elle tapotait les fesses et sa main s'égara même un peu plus bas au niveau de l'entre-cuisse de la pauvre Olga.
- voilà vraiment un bien joli derrière, je te félicite ma chère Brigitte, ta fille à une belle paire de fesses et ta fessée à été très efficace.
Brigitte souriait, elle connaissait les penchants saphiques de son amie et elle se doutait bien que les fesses d'Olga ne la laissait pas indifférente.
- c'est vrai qu'on a de la place pour administrer la fessée. Allez ma chérie tu files te mettre au coin.