samedi 10 décembre 2022

Sylvie et Leslie 8

A 50 ans punies comme des gamines


Après une heure d’exposition de nos fesses avec le thermomètre bien enfoncé au milieu de notre derrière, Leslie avait bien pris son temps pour nous le retirer. Elle avait commencé par Catherine, avec deux doigts elle avait écarté largement les deux fesses serrées mais trouvant que la punie ne coopérait pas assez à son goût elle lui avait administré une dizaine de claques rapides sur le fessier qui commençait à perdre sa belle couleur rouge.

- décidément ma petite Catherine, on dirait que tu aimes te faire claquer le derrière. Écartes bien tes cuisses que je puisse ouvrir tes fesses. Tu veux que je te laisse le thermomètre une heure de plus ?

Catherine écarta largement ses cuisses, ses fesses nues étaient bien relâchées, Leslie n'eut aucun mal à mettre à jour le petit trou garni du thermomètre. Elle saisit le thermomètre et le fit coulisser lentement, elle souriait de la gêne de cette dame de 50 ans, les fesses largement ouvertes, elle retira le thermomètre lentement puis brusquement le rentra presque complètement.

- alors ma petite chérie, je te l'enlève où je te le laisse encore ? On dirait que ton petit cul veut le garder. Bon tu vas le garder encore un peu.



Elle relâcha les deux fesses qui se refermèrent sur l'engin punitif. Il était encore plus enfoncé, il dépassait à peine des deux larges fesses bien serrées. Catherine pleurait doucement, pas de douleur mais de honte d'être traitée ainsi par sa jeune maîtresse.

- cesse de pleurnicher, tu n'avais qu'a être plus obéissante. Un petit quart d'heure de pénitence supplémentaire va te faire réfléchir.

Comme Catherine continuait de pleurer,  Leslie prit la brosse à cheveux.

- tu vas pleurer pour quelque chose !

La brosse claqua le large fessier qui repris rapidement la belle couleur rouge qui l'ornait depuis ce matin. La fessée fut courte mais les fesses étaient encore très sensibles, Catherine se mit à crier et à tortiller son large derrière de femme mature, mais elle ne chercha pas à éviter sa punition. Leslie était satisfaite son autorité n'était pas mise en cause.

C'était maintenant à mon tour, instruite par la mésaventure de Catherine, j'avais écarté largement mes cuisses, c'était très impudique et je savais que ma jeune belle-fille avait une vue parfaite sur mon intimité, elle ne se gêna pas pour écarter la raie fessière avec deux doigts. 

Elle fit coulisser lentement le thermomètre, à ma grande honte je trouvais cela un peu excitant, puis enfin elle le sorti complètement.



- c'est bien tu as été sage, relève toi. Tu peux te reculotter.

Je regardais le large derrière de Catherine, j'avoue que c'était très excitant, ces deux fesses écarlates serrées sur le petit bout de verre, elle pleurait en silence maintenant, on voyait seulement ses épaules secouées par les sanglots mais aucun son ne sortait de sa bouche. Leslie était très satisfaite de son travail vraiment ces deux dames devenaient très obéissante.

Comme annoncé, Catherine resta en pénitence fesses à l’air et le thermomètre dans les fesses pendant un quart d’heure puis Leslie lui retira l’instrument punitif en utilisant la même technique, il coulissa plusieurs fois entre les fesses avant d’être retiré complètement. Nous étions maintenant enfin rhabillée, nos fesses rouges cachées sous nos petites culottes, Leslie nous regardait en souriant.

- et bien mes petites chipies, vous vous doutez bien qu’avec vos bêtises d’aujourd’hui votre soirée sera courte. Privée de télé mes jolies et au lit à 9h30. Bien sûr j’aurai une petite discussion avec vos petits derrières avant de dormir, donc en pyjama à 9h.



Même si nous nous doutions qu’avec les fessées de la journée nous n’échapperions pas au rituel de la fessée du coucher, c’était toujours un moment très humiliant à 50 ans de se faire traiter comme des gamines désobéissantes d’être privée de télé et mise au lit comme si nous avions 10 ans. Malheureusement nous n’avions pas le choix, Leslie nous annonça également que nous étions libre de faire ce que nous voulions jusqu’à l’heure du repas mais qu’elle ne voulait pas entendre de chahut. Décidément elle s’était transformée en maman sévère et nous, nous étions ses petites filles.

Nous montèrent dans notre chambre sans discuter, nous avions besoin de parler tranquillement après cette cuisante journée.

Catherine s’épancha immédiatement sur mon épaule.

- quelle garce la mère Dujou, je suis sûr qu’elle se régale de nous déculotter et de nous flanquer des fessées comme si nous étions des gamines.

- je t’avais prévenue ma chérie, mais tu n’en fais qu’a ta tête, c’est tes fesses qui ont dégusté. Tu as eu droit au lavage des fesses à l’eau froide ? et au séchage des fesses avec une fessée ? C’est sa spécialité, tu sais j’y suis déjà passée et je pense que j’y repasserai.

Catherine me regardais un peu incrédule devant ma résignation.

- mais enfin ma chérie, on est plus des gamines, qu’on soit punie si on fait des bêtises, passe encore mais quand même tu as vu le nombre de fessée que j’ai reçu aujourd’hui, mes pauvres fesses

J’éclatai de rire,

- ça pour sûr que tu ne vas pas attraper froid à ton petit derrière. Mais tu sais qu’il est très mignon, je sais que ce n’est pas très charitable mais je me suis régalée à te voir tortiller du popotin pendant tes déculottées.



- méchante, ça ne m’étonne pas de toi !

- oh arrête un peu, d’ailleurs si tu es mignonne je veux bien passer un peu de crème sur ton petit derrière.

Catherine me lança un petit sourire coquin.

- bien sûr que je suis mignonne, mais si Leslie arrive ?

- pas de souci, je la connais, elle est accro à Twitter et Instagram, maintenant qu’elle nous a bien claqué les fesses, sa perversité est satisfaite il faut qu’elle en parle à ses copines, on est tranquille pour un moment. Allez ma petite chérie cul nu et vite ! sinon gare !

J’avais agité ma main comme une maman sévère mais en riant, Catherine souriait, ravie de présenter ses fesses pour autre chose qu’une bonne fessée. Je lui avait montré le lit, elle s’y coucha et retroussa largement sa jupe. Je trouvais que son popotin n’était pas assez mis en valeur aussi je lui glissai un oreiller sous le ventre pour le relever. Sa culotte blanche de jeune fille que Leslie nous imposait était bien tendue sur sa large croupe, 



la position la faisait un peu rentrer dans sa raie fessière, la rougeur des fessées reçues dans la journée débordait sur le pli fessier et le haut des cuisses. Je saisis la ceinture de la culotte et j’entrepris de déculotter lentement  ma petite amie, c’était un réel plaisir pour moi de mettre à jour ses larges fesses bien rebondies et encore ferme. Elles étaient encore bien rouge, je déposai une grosse noisette de crème sur chacune de ses fesses, puis ma main commença à masser ce fessier qui se tortillait sous les caresses. J’y prenais autant de plaisir qu’elle.

- tu aimes ça petite coquine, c’est mieux que la fessée de la mère Dujou. Tes fesses sont bien chaudes tu sais.



Je glissais mes doigts entre ses cuisses, jusqu'à ses lèvres humides. Puis j'écartai largement ses fesses et mon doigt s'insinua dans son petit trou, elle serra les fesses par réflexe, je me mis à rire et je lui claquai les fesses.

- tu as de la chance, avec Leslie, tes fesses goûteraient à la brosse à cheveux.

Nous avons continué pendant un moment nos petits jeux saphiques, mais l'heure avançait il devenait dangereux de continuer, nous nous sommes reculottées et avons rejoint Leslie au salon. Elle nous a regardé en souriant, je pense qu’elle se doute de nos petits jeux mais ça ne la gêne pas. Il faut bien qu’elle nous laisse un peu de liberté, du moment qu’elle peut se livrer à son passe temps favori au dépens de nos derrières.

Le repas fut agréable, Leslie adore faire la cuisine et puis ça ajoute à sa qualité de maman, elle s’occupe vraiment de nous comme si nous étions ses filles. La cuisson de mes fesses avait vraiment diminué et je pouvais me tenir sur ma chaise sans me tortiller, ce qui n’était pas le cas de Catherine, malgré mon massage avec la crème apaisante, ses fesses lui faisait encore un peu mal et elle était obligée de passer d’une fesse sur l’autre. Ça amusait beaucoup Leslie.

- alors ma petite chérie a mal à son petit cucul ? tu les sens encore les effets des bonnes fessées de Mme Dujou et de maman Leslie, j’espère que ça va te servir de leçon. Bon maintenant tu arrêtes de gigoter sinon tu vas filer au coin fesses à l’air et tu seras privée de dessert.

La perspective d’aller à nouveau au coin fesses à l’air eu le don de calmer immédiatement les trémoussements de ma petite amie. Leslie avait rajouté l’expression «privée de dessert» pour la ramener vraiment à sa condition de dame de 50 ans traitée en gamine.

Le repas terminé comme des filles sages nous avons débarrassé la table et fait la vaisselle. Il était 20h30, nous avions encore 30’ devant nous avant de devoir monter dans notre chambre. Mais Leslie avait décidé que nous étions privée de télé, donc elle nous envoya chacune dans notre coin et nous dûmes tenir nos jupes retroussées pour montrer nos petites culottes blanches. 



Je connaissais cette situation, ma belle fille l’utilisait quelque fois quand je méritais une fessée mais qu’elle ne pouvait pas me l’administrer immédiatement. L’attente de la punition était assez pénible mais nous n’avions pas le choix. Pour Catherine c’était sa première vraie journée de punition, elle était entrée directement dans le vif du sujet. Leslie discutait au téléphone avec sa copine Chloé, elle lui décrivait en détail nos punitions en omettant aucun détail. Je devinais que Chloé devait se régaler de la description de nos fessées et de nos derrières bien rouges.

Puis Leslie tapa dans ses mains.

- bon mes petites chéries c’est l’heure d’aller au dodo, vous filez vous mettre en pyjama, vous vous lavez les dents et vous faites pipi. Je monte dans 5’, je veux vous trouver prête pour la fessée du coucher.

Nous ne devions pas traîner, elle avait donné ces instructions  naturellement comme si nous étions réellement ses filles et nous avions obéi comme des gamines obéissantes. Nous n'avions pas réellement le choix, la cuisson de nos fesses sous nos culottes nous rappelait notre condition.

Nous arrivions juste dans notre chambre après être passée aux toilettes pour un petit pipi, quand nous avons entendu Leslie monté l'escalier. Il fallait nous mettre en tenue et en position. Chacune devant notre lit, culotte de pyjama baissée sous les fesses et mains sur la tête. Leslie entra dans la chambre le sourire aux lèvres, c'était un plaisir pour elle d'avoir à sa disposition ces deux belles paires de fesses qu'elle pouvait claquer à loisir. Chacune des deux dames avaient l'âge d'être sa mère mais c'était elles qui recevaient encore la fessée déculottée. J'avais jeté un oeil sur le côté,  Leslie tenait à la main un thermomètre, cet instrument particulièrement désagréable m’était réservé. Elle s'adressa à moi.

- ma petite Sylvie, on va commencer par toi, ton petit trou à un peu de mal avec le thermomètre, Chloé m'a donné une bonne idée, je vais te prendre la température matin et soir jusqu'à ce qu'il rentre facilement.

Elle mit un oreiller au bout du lit et me fit coucher dessus, les jambes pendantes, mes fesses étaient parfaitement présentées. Avec  deux doigts elle  écarta largement mes fesses, bien qu'habituée aux humiliations de ma belle-fille j'avoue que se faire mettre un thermomètre dans les fesses à mon âge c'était particulièrement honteux mais je me laissais faire docilement, je savais que j'allais déjà goûter à la brosse à cheveux, il ne fallait pas en rajouter. Le chemin dans mon petit trou devait commencer à se faire car le thermomètre rentra plus facilement, je reçus quand même une douzaine de claques bien appliquées pour m'inciter à relâcher mes muscles fessiers. Je le sentais vraiment profondément enfoncé quand Leslie relâcha mes fesses, une dernière tape sur mon fessier pour me féliciter de ma docilité. 



- tu as été mignonne, voilà, il est bien en place, tu vas le garder pendant que je m'occupe des fesses de Catherine.

Catherine avait un peu tourné la tête pour assister à ma prise de température, elle fit une petite grimace quand elle se rendit compte que c’était à son tour de recevoir la fessée. Leslie s’était assise au bout du lit, elle prit la main de Catherine et la tira pour la faire basculer sur ses genoux. Je connaissais malheureusement bien ce moment ou je passais du statut de femme mûre à celui d’une gamine punie par sa maman. Pour mon amie Catherine c’était encore nouveau bien qu’aujourd’hui elle ait eu son compte de fessée et qu’elle ait passé un bon moment dans cette position la tête près du sol et les fesses bien présentées. L’humiliation était encore trop forte pour Catherine, elle se mit à pleurer.

- non, non, s’il vous plaît Mlle Leslie, pas la fessée.

Leslie posa calmement sa main sur les fesses rouges de Catherine.

- ma petite chérie ce n'est pas la peine de pleurer, il fallait réfléchir avant, tu as été très vilaine aujourd'hui, tu as reçu plusieurs fessées donc tu dois recevoir cette fessée du coucher et tu vas me raconter pourquoi je te punis. Tu as intérêt à ne rien oublier, de toute façon la fessée durera le temps qu'il le faut mais je veux que tu saches pourquoi tu reçois cette fessée déculottée. Allez on commence et je t'écoute.

Leslie avait levé la main et calmement elle commença à administrer des claques très fortes alternant chaque fesse, assez lentement pour permettre à Catherine de faire sa confession. Celle-ci n'était pas habituée aussi au lieu de raconter sa journée elle continua à supplier Leslie.

- non, pardon Mlle Leslie, aïe aïe aïe, ça brûle.

Leslie continuait calmement à distribuer les claques sur chaque fesse.

- ma chérie, je sais que ça brûle la fessée, c'est même fait pour ça, mais j'ai tout mon temps, j'attends que tu me dises pourquoi tu as été punie aujourd'hui, plus tu tarde plus tes fesses vont te brûler. Alors, pourquoi Mme Dujou t'a donné la fessée?



Catherine hoquetait sous les claques mais elle se rendit compte que Leslie ne céderait pas. Elle commença donc à raconter sa journée, ses phrases étaient entrecoupées de sanglot.

- aïe, oui, aïe...Mme Dujou m'a...aïe...donné la.. aïe aïe aïe parce que je...aïe n'était pas habillée.. aïe aïe.

- à nous y voilà, et pourquoi madame était encore en pyjama ?

Leslie continuait imperturbablement la fessée. Les fesses avaient repris la belle couleur rouge qui les ornaient depuis ce matin. Catherine en pleurnichant et en gémissant continua sa confession, au milieu des aïe aïe aïe, des pardon Mlle, elle raconta son lavage des fesses à l'eau froide, la fessée sur ses fesses mouillées, la prise de température rectal par Leslie... Celle-ci abattait régulièrement sa main sur la large  croupe  qui tressautait, Catherine ouvraient largement ses fesses sans aucun souci de pudeur, elle accélérait le rythme de sa confession pour abréger sa punition. Elle avait enfin compris que les supplications ne servaient à rien, Leslie n'arrêterait pas la fessée. Maintenant toute la surface des fesses, du bas des reins jusqu'au haut des cuisses était d'un beau rouge brique. Leslie cessa la fessée et garda Catherine en position pendant un moment en lui caressant les fesses.

- c'est bien ma chérie, voilà c'est fini, maman Leslie est contente. Tu vas aller au coin pendant que je m'occupe des fesses de Sylvie.



La culotte de pyjama était entortillée autour des chevilles, Catherine marcha lentement vers le coin de la pièce et sans que Leslie lui dise, elle posa ses mains sur sa tête.

Je serrais mes fesses sur le thermomètre, je savais que mon tour allait arriver, la sévère fessée de Catherine ne me laissait que peu d'espoir, mes fesses allaient déguster. Je sentis les doigts de Leslie écarter mes fesses puis le thermomètre se mit à coulisser lentement, je suis sûr que Leslie prenait un grand plaisir à mon humiliation.

- alors ma petite chérie, ce petit trou m'a l'air d'accepter mieux le thermomètre, on va voir si il rentre mieux, elle l'avait fait ressortir entièrement et brusquement elle le rentra complètement, je serrai les fesses de surprise. Une avalanche de claques se mit à tomber sur mon derrière.

- à pas de ça ma petite, tu devrais pourtant le savoir. Bon je vois que ton petit cul à encore besoin d'apprentissage, tu auras droit au thermomètre matin et soir pendant 15 jours, ça va t'apprendre !! Allez en piste pour la suite.

Elle avait retiré le thermomètre et s’était assise sur le lit. Je m'étais relevée, mes fesses étaient déjà douloureuses, je n'osais imaginer la suite. Leslie n'avait pas l'intention de traîner, elle me prit la main et me bascula en travers de ses cuisses, leva la main et commença comme pour Catherine à distribuer des claques très fortes sur mes deux fesses en alternant la droite puis la gauche.

- je t’écoute ma chérie pourquoi maman est obligée de te donner la fessée cul nu comme une gamine alors que tu as 50 ans?



Ce rappel de ma condition accentuait ma honte de présenter mes fesses dans cette position. Mais la vigueur des claques et la cuisson de mes fesses eurent vite fait de me ramener à la réalité, il fallait en passe par l’humiliante confession de mes fautes sinon la fessée allait durer et la brûlure sur mon fessier s’intensifier. Malgré mon désir de ne pas pleurer, j’ai quand même fini  l’épisode de la prise de température en sanglotant et en entrecoupant mes phrases de gémissement peu en rapport avec mon âge.

- aïe, aïe, pardon maman, noon... oui je me laisserai mettre le thermomètre, aïe, non plus la fessée maman... oui je serai sage.

La fessée pris fin, mes fesses étaient brûlantes, dès que je fus debout je les aperçus dans la glace, elles n’avaient rien à envier à celle de Catherine. Maternellement Leslie remonta ma culotte de pyjama sur mon fessier écarlate.

- allez, c’est fini maintenant au lit.

Elle fit de même avec Catherine qui grimaça un peu quand le tissu du pyjama frotta sur ses fesses.

- bon j’éteins la lumière, je ne veux plus vous entendre, je pense que vos fesses sont assez rouges pour ce soir n’est ce pas ?

La menace à peine voilée d’un nouveau séjour sur ses genoux suffit à nous calmer immédiatement. De toute façon on dort bien mieux avec une paire de fesses bien chaudes. C’était la phrase préférée de Leslie et j’en avais souvent fait l’expérience, c’était vrai. Il était 9h30, à 50 ans, nous étions au lit, lumière éteinte comme des gamines punies.

3 commentaires:

  1. Des idées pour la suite..
    Nos deux punies vont être surprise en pleine relation s'applique... alors gare aux fesses rouge
    Un lavement et un plug très utile pour faciliter l'introduction du thermomètre

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  2. Mon cher Denis, merci pour vos commentaires, mais définitivement c'est moi qui décide de la suite de mes récits.
    Sylvie

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  3. Oui bien sur pardon sylvie je ne le referais plus promis

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